Archive pour le Tag 'désastreux'

Insécurité et violences : bilan désastreux et qui se dégrade encore

Insécurité et violences : bilan désastreux et qui se dégrade encore

Face à l’insécurité qui ne fait que progresser, le pouvoir ne pose que des discours de compassion et de promesses. La dernière visant à créer plus de 200 pseudo gendarmerie « dans des camions ». Alors qu’il suffirait de renforcer les effectifs des gendarmeries existantes dont beaucoup ne sont ouvertes que de l’ordre de deux jours par semaine. D’une façon plus globale, il faut évidemment renforcer les effectifs de police et surtout mettre en œuvre une politique judiciaire efficace. Or nombre de délits ne sont examinés que des mois après et le jugement finit en eau de boudin. Exemple quelques années seulement d’emprisonnement pour une attaque physique contre un agent exerçant une mission de service public. Ne parlons pas du trafic de drogue et de la petite délinquance en général.

Les réactions politiques est toujours la même un discours de compassion avec éventuellement un déplacement sur place qui sert à rien et des promesses de fermeté jamais suivie d’effet . Qu’attend-on pour renvoyer chez eux les centaines d’étrangers condamnés par la justice à quitter le territoire. Qu’attend-on pour renvoyés chez eux les étrangers fichés S, qu’attend-on pour prendre une loi protégeant les personnes chargées d’une mission de service public fonctionnaire ou non. Les chiffres de la sécurité son catastrophiques en 2022 et il devrait aussi être très mauvais en 2023 en raison notamment de la révolte des quartiers.

Selon des chiffres du ministère de l’Intérieur, de nombreux faits de violence, escroqueries et cambriolages ont augmenté l’an dernier.

Selon des chiffres du ministère de l’Intérieur, la quasi-totalité des crimes et délits ont augmenté en 2022.

Des chiffres édifiants. La quasi-totalité des crimes et délits ont augmenté en 2022, notamment les violences intrafamiliales (+ 17 %) et sexuelles (+ 11 %), selon un bilan du service statistique du ministère de l’Intérieur (SSMSI) publié mardi 31 janvier.

Les coups et blessures volontaires hors du cadre familial (+ 14 %) et les escroqueries (+ 8 %) augmentent également nettement. Tout comme les cambriolages de logements (+ 11 %) ou les vols de véhicules (+ 9 %), qui avaient fortement baissé pendant la crise sanitaire.

Les augmentations du nombre d’homicides (948, soit 69 victimes de plus qu’en 2021, selon des données encore provisoires), des coups et blessures volontaires, des violences sexuelles et escroqueries « poursuivent celles observées avant la crise sanitaire », note le SSMSI.

Quant aux vols sans violence, cambriolages, vols de véhicules ou d’accessoires de véhicules, ils « s’accroissent nettement en 2022 » après avoir « fortement reculé pendant la crise sanitaire », ajoute le SSMSI.

Ces infractions restent « en dessous de leur niveau d’avant-crise, à l’exception des vols d’accessoires sur véhicules », précise encore le SSMSI. Parmi tous les crimes et délits comptabilisés, seuls les vols violents sont en baisse (- 4 %), poursuivant une « diminution régulière entamée en 2013 ».

Insécurité : bilan désastreux et qui se dégrade encore

Insécurité : bilan désastreux et qui se dégrade encore

Face à l’insécurité qui ne fait que progresser, le pouvoir ne pose que des discours de compassion et de promesses. La dernière visant à créer plus de 200 pseudo gendarmerie « dans des camions ». Alors qu’il suffirait de renforcer les effectifs des gendarmeries existantes dont beaucoup ne sont ouvertes que de l’ordre de deux jours par semaine. D’une façon plus globale, il faut évidemment renforcer les effectifs de police et surtout mettre en œuvre une politique judiciaire efficace. Or nombre de délits ne sont examinés que des mois après et le jugement finit en eau de boudin. Exemple quelques années seulement d’emprisonnement pour une attaque physique contre un agent exerçant une mission de service public. Ne parlons pas du trafic de drogue et de la petite délinquance en général.

Les réactions politiques est toujours la même un discours de compassion avec éventuellement un déplacement sur place qui sert à rien et des promesses de fermeté jamais suivie d’effet . Qu’attend-on pour renvoyer chez eux les centaines d’étrangers condamnés par la justice à quitter le territoire. Qu’attend-on pour renvoyés chez eux les étrangers fichés S, qu’attend-on pour prendre une loi protégeant les personnes chargées d’une mission de service public fonctionnaire ou non. Les chiffres de la sécurité son catastrophiques en 2022 et il devrait aussi être très mauvais en 2023 en raison notamment de la révolte des quartiers.

Selon des chiffres du ministère de l’Intérieur, de nombreux faits de violence, escroqueries et cambriolages ont augmenté l’an dernier.

Selon des chiffres du ministère de l’Intérieur, la quasi-totalité des crimes et délits ont augmenté en 2022.

Des chiffres édifiants. La quasi-totalité des crimes et délits ont augmenté en 2022, notamment les violences intrafamiliales (+ 17 %) et sexuelles (+ 11 %), selon un bilan du service statistique du ministère de l’Intérieur (SSMSI) publié mardi 31 janvier.

Les coups et blessures volontaires hors du cadre familial (+ 14 %) et les escroqueries (+ 8 %) augmentent également nettement. Tout comme les cambriolages de logements (+ 11 %) ou les vols de véhicules (+ 9 %), qui avaient fortement baissé pendant la crise sanitaire.

Les augmentations du nombre d’homicides (948, soit 69 victimes de plus qu’en 2021, selon des données encore provisoires), des coups et blessures volontaires, des violences sexuelles et escroqueries « poursuivent celles observées avant la crise sanitaire », note le SSMSI.

Quant aux vols sans violence, cambriolages, vols de véhicules ou d’accessoires de véhicules, ils « s’accroissent nettement en 2022 » après avoir « fortement reculé pendant la crise sanitaire », ajoute le SSMSI.

Ces infractions restent « en dessous de leur niveau d’avant-crise, à l’exception des vols d’accessoires sur véhicules », précise encore le SSMSI. Parmi tous les crimes et délits comptabilisés, seuls les vols violents sont en baisse (- 4 %), poursuivant une « diminution régulière entamée en 2013 ».

Société et Insécurité : bilan désastreux et surtout des discours

Société et Insécurité : bilan désastreux et surtout des discours

Face à l’insécurité qui ne fait que progresser, le pouvoir ne pose que des discours de compassion et de promesses. La dernière visant à créer plus de 200 pseudo gendarmerie « dans des camions ». Alors qu’il suffirait de renforcer les effectifs des gendarmeries existantes dont beaucoup ne sont ouvertes que de l’ordre de deux jours par semaine. D’une façon plus globale, il faut évidemment renforcer les effectifs de police et surtout mettre en œuvre une politique judiciaire efficace. Or nombre de délits ne sont examinés que des mois après et le jugement finit en eau de boudin. Exemple quelques années seulement d’emprisonnement pour une attaque physique contre un agent exerçant une mission de service public. Ne parlons pas du trafic de drogue et de la petite délinquance en général.

Les réactions politiques est toujours la même un discours de compassion avec éventuellement un déplacement sur place qui sert à rien et des promesses de fermeté jamais suivie d’effet . Qu’attend-on pour renvoyer chez eux les centaines d’étrangers condamnés par la justice à quitter le territoire. Qu’attend-on pour renvoyer chez eux les étrangers fichés S, qu’attend-on pour prendre une loi protégeant les personnes chargées d’une mission de service public fonctionnaire ou non. Les chiffres de la sécurité son catastrophiques en 2022 et il devrait aussi être très mauvais en 2023 en raison notamment de la révolte des quartiers.

Selon des chiffres du ministère de l’Intérieur, de nombreux faits de violence, escroqueries et cambriolages ont augmenté l’an dernier.

Selon des chiffres du ministère de l’Intérieur, la quasi-totalité des crimes et délits ont augmenté en 2022.

Insécurité : bilan désastreux et surtout des discours

Insécurité : bilan désastreux et surtout des discours

Face à l’insécurité qui ne fait que progresser, le pouvoir ne pose que des discours de compassion et de promesses. La dernière visant à créer plus de 200 pseudo gendarmerie « dans des camions ». Alors qu’il suffirait de renforcer les effectifs des gendarmeries existantes dont beaucoup ne sont ouvertes que de l’ordre de deux jours par semaine. D’une façon plus globale, il faut évidemment renforcer les effectifs de police et surtout mettre en œuvre une politique judiciaire efficace. Or nombre de délits ne sont examinés que des mois après et le jugement finit en eau de boudin. Exemple quelques années seulement d’emprisonnement pour une attaque physique contre un agent exerçant une mission de service public. Ne parlons pas du trafic de drogue et de la petite délinquance en général.

Les réactions politiques est toujours la même un discours de compassion avec éventuellement un déplacement sur place qui sert à rien et des promesses de fermeté jamais suivie d’effet . Qu’attend-on pour renvoyer chez eux les centaines d’étrangers condamnés par la justice à quitter le territoire. Qu’attend-on pour renvoyés chez eux les étrangers fichés S, qu’attend-on pour prendre une loi protégeant les personnes chargées d’une mission de service public fonctionnaire ou non. Les chiffres de la sécurité son catastrophiques en 2022 et il devrait aussi être très mauvais en 2023 en raison notamment de la révolte des quartiers.

Selon des chiffres du ministère de l’Intérieur, de nombreux faits de violence, escroqueries et cambriolages ont augmenté l’an dernier.

Selon des chiffres du ministère de l’Intérieur, la quasi-totalité des crimes et délits ont augmenté en 2022.

Des chiffres édifiants. La quasi-totalité des crimes et délits ont augmenté en 2022, notamment les violences intrafamiliales (+ 17 %) et sexuelles (+ 11 %), selon un bilan du service statistique du ministère de l’Intérieur (SSMSI) publié mardi 31 janvier.

Les coups et blessures volontaires hors du cadre familial (+ 14 %) et les escroqueries (+ 8 %) augmentent également nettement. Tout comme les cambriolages de logements (+ 11 %) ou les vols de véhicules (+ 9 %), qui avaient fortement baissé pendant la crise sanitaire.

Les augmentations du nombre d’homicides (948, soit 69 victimes de plus qu’en 2021, selon des données encore provisoires), des coups et blessures volontaires, des violences sexuelles et escroqueries « poursuivent celles observées avant la crise sanitaire », note le SSMSI.

Quant aux vols sans violence, cambriolages, vols de véhicules ou d’accessoires de véhicules, ils « s’accroissent nettement en 2022 » après avoir « fortement reculé pendant la crise sanitaire », ajoute le SSMSI.

Ces infractions restent « en dessous de leur niveau d’avant-crise, à l’exception des vols d’accessoires sur véhicules », précise encore le SSMSI. Parmi tous les crimes et délits comptabilisés, seuls les vols violents sont en baisse (- 4 %), poursuivant une « diminution régulière entamée en 2013 ».

Union économique : un Brexit désastreux au plan international

Union économique : un Brexit désastreux au plan international

 

Un départ du Royaume-Uni de l’UE serait « désastreux » pour le rayonnement de Bruxelles sur la scène internationale, affaiblissant encore une Union déjà secouée par des crises en cascade, selon des analystes interrogés par l’AFP. Le divorce avec cette puissance nucléaire, seul pays européen ayant un siège permanent au Conseil de sécurité de l’ONU avec la France, « pourrait avoir un effet désastreux sur la politique étrangère et de sécurité de l’UE », estime Rosa Balfour, analyste du German Marshall Fund. D’autant plus qu’il ponctuerait une période agitée. Le continent a été frappé par le terrorisme à Paris, Copenhague et Bruxelles, depuis début 2015, il affronte dans le désordre un afflux migratoire sans précédent depuis 1945, doit gérer le refroidissement de ses relations avec Moscou et a failli voir la Grèce sortir de la zone euro à l’été 2015. Dans ce contexte, le Brexit apparaîtrait comme un nouveau coup dur. Car même si « aucun changement abrupt » n’est attendu en matière de politique étrangère européenne après le référendum britannique du 23 juin, la « perte en termes d’image » serait bien réelle, note Janis Emmanouilidis, directeur du European Policy Center (EPC) à Bruxelles.  Ce départ montrerait que « les Européens sont absorbés par leurs nombreux problèmes comme la crise migratoire ou financière, qu’ils se regardent le nombril. Cela ne donne pas une image de force, mais de faiblesse » qui pourrait être exploitée par la Russie de Vladimir Poutine ou les dirigeants chinois, avides d’étendre leur influence, affirme M. Emmanouilidis. « Cela dégraderait encore son image si l’Union rétrécit pour la première fois dans son histoire », poursuit-il, alors qu’elle n’est dotée d’un service diplomatique que depuis 2010. Ses dirigeants, dont l’actuelle Haute représentante Federica Mogherini, ont chapeauté les négociations ayant mené à un accord historique avec l’Iran sur son programme nucléaire, se sont imposés comme médiateur entre la Serbie et le Kosovo et font partie du Quartet pour le Proche-Orient. L’Union a aussi développé au fil des ans ses missions militaires et civiles à l’étranger, contre le piratage au large de la Somalie, en République centrafricaine et, plus récemment, l’opération navale Sophia contre les passeurs de migrants au large de la Libye. « De grandes puissances comme les Etats-Unis, la Chine, l’Inde… verraient l’UE affaiblie politiquement et géopolitiquement s’il y a un Brexit. Ils ne comprendraient pas. Ils ne comprennent déjà pas qu’il puisse y avoir un débat sur l’appartenance du Royaume-Uni à l’UE », observe Vivien Pertusot, correspondant à Bruxelles de l’Institut français des relations internationales (Ifri). Le départ du Royaume-Uni risquerait aussi de provoquer un recentrage stratégique vers les pays de son voisinage immédiat, au sud et à l’est, au détriment notamment de l’Asie et à contrecourant des Etats-Unis, relève-t-il.
Car en affaires étrangères, les décisions sont prises par les pays membres, et en l’absence de Londres, seul Paris a aujourd’hui un « regard stratégique global » parmi les 28. 
Selon le chercheur, le couple franco-allemand ne pourrait compenser à lui seul cet affaiblissement, en raison des « divergences fondamentales » entre Paris et Berlin sur la question de l’engagement militaire.  Dans ce domaine, Londres s’est toujours opposé à l’essor d’une politique commune en matière de défense, et s’est montré très sélectif quand il s’agissait de fournir des troupes ou équipements pour des missions européennes.
Mais son départ ne permettra pas pour autant d’avancer dans ce domaine car d’autres capitales tiennent à jalousement conserver leur souveraineté, rejetant tout ce qui, de près ou de loin, pourrait ressembler à une « armée européenne », souligne Mme Balfour. 
A leurs yeux, l’Otan, qui compte 22 membres faisant partie de l’UE, reste l’instance privilégiée de coopération en la matière. En revanche, en ce qui concerne les sanctions internationales, véritable bras armé de la diplomatie européenne, la Grande-Bretagne a souvent été un facteur d’unité, voire un moteur, relève Stefani Weiss, de la fondation Bertelsmann. Londres s’est notamment rangé avec force derrière les lourdes sanctions économiques décrétées en 2014 contre la Russie pour son rôle dans le conflit ukrainien, alors que d’autres capitales comme Rome, Budapest ou Athènes ne cachaient pas leur manque d’entrain.

 




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