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SNCF :l’ entreprise achète des terminaux américains

SNCF :l’ entreprise achète des terminaux américains

 

Les prochains terminaux de paiement utilisés à la SNCF ne seront plus français, mais américains. La société californienne VeriFone Systems s’est publiquement réjouit mercredi d’avoir obtenu un contrat de 500.000 euros avec la SNCF. Sa joie a agacé.  VeriFone Systems va fabriquer 12.000 appareils pour régler par carte bleue dans les trains, aux dépens de son concurrent français Ingenico. Dès cette annonce, le vice-président du FN, Florian Philippot en a appelé au gouvernement, soulignant que la SNCF était un établissement public, « donc financé par les contribuables français« . La CFDT Cheminot estime quant à elle que « dans un contexte de crise, il aurait été bon de prendre une entreprise française« . Au-delà de ça, explique le secrétaire du syndicat, Eric Chollet, le problème est que les données « sensibles » que renferment ces terminaux de paiement, vont être données « à une entreprise étrangère ». Dans un communiqué, la SNCF explique qu’à l’origine, c’est un Français qui a remporté l’appel d’offres en 2011. La société Nomadvance, filiale du groupe Aéroports de Paris. Mais, explique Patrick Ropert, directeur de la communication à la SNCF,  »cette société française a sous-traité à une filiale française d’une boîte américaine« . Il assure que les nouveaux appareils seront « made in France« , car tous les emplois seront en France. « Les ingénieurs qui ont développé la solution sont basés à Montpellier et les opérateurs qui font vivre ce contrat tous les jours sont basés à Aubervilliers« .Tous les emplois en France ? surprenant et à vérifier. Et les profits ? américains ou français ?

 

Vacances : « 40% des Français ne partent pas et 30% en vacances « économiques »

Vacances : « 40% des Français ne partent pas et 30% en vacances « économiques »

Les activités de tourisme marchand chutent lourdement. En cause la crise qui empêche 40% des français de partir. Sur ceux qui partent la moitié économisent sur tout logement, restauration, loisirs. Au total une saison qui pourrait se traduire pas une chute de l’hôtel restauration classique de près de 20%.  Pour Bertrand Réau, sociologue, maître de conférences à l’université de Paris I Panthéon-Sorbonne, les écarts se « creusent » en matière de vacances entre les ouvriers et les cadres. « Environ 40% des Français ne partent pas en vacances. C’est une proportion qui a tendance à s’accroître ces dernières années. Pas uniquement, comme on pourrait le voir dans des sondages, à cause des effets de crise. C’est un élément structurel de creusement des inégalités (…). Pour les départs à l’étranger, en dehors de la famille proche, vous avez un écart de un à six entre les cadres supérieurs et les ouvriers. Pour les départs de matière générale, l’écart est de un à trois », a-t-il affirmé mercredi sur Europe 1. Le voyage » low-cost » a-t-il eu un effet sur cette tendance ? « Ceux qui partaient beaucoup, continuent de partir beaucoup et partent encore plus. C’est en ce sens là que les écarts se creusent. Il y a une diversification du type de départs, une multiplication des départs pour les catégories sociales supérieures », a expliqué Bertrand Réau, auteur du livre Les Français et les vacances. Et sur les 60% de vacanciers, près de « 55% des départs se font dans des hébergements non marchands : dans la famille, les amis, etc. La grande majorité des départs ne se fait pas dans des lieux consommatoires », a-t-il ajouté.

Mobile : des prix de 1 à 8 en Europe

Mobile : des prix de 1 à 8  en Europe

La Lituanie est numéro un du prix à la minute, loin devant les Pays-Bas qui arrivent en dernière place. La Commission européenne veut remédier à la situation et présentera à la rentrée des mesures visant à renforcer le marché unique des télécommunications.
 Un appel sur mobile dans le pays d’origine coûte en moyenne 14,7 centimes par minute aux Pays-Bas contre 1,9 centime en Lituanie. Parmi les autres pays où les coups de fil coûtent chers, il y a le Luxembourg (14,6 centimes la minute), la Belgique (13,8 centimes) et la France (12,7 centimes). La moyenne au sein de l’UE est de 9,1 cents. Ces écarts ne s’expliquent pas par des différences de qualité ou de prix de revient des services, ni par des différences de pouvoir d’achat entre les États membres, note la Commission. Les écarts de prix pour les autres catégories de biens et services de base sont bien inférieurs. Par exemple, pour acheter un litre de lait, où que vous soyez dans l’UE, il vous en coûtera entre 69 et 99 centimes, soit une différence de prix de 43 %.En conséquence, les chiffres pour les appels téléphoniques « montrent clairement que les 28 marchés nationaux des télécommunications que compte l’Europe aujourd’hui ne constituent pas un avantage pour les consommateurs comme le ferait un marché unique.  Il est donc essentiel pour toute l’UE d’agir rapidement pour mettre en place un véritable marché unique, afin que notre continent soit véritablement connecté », a estimé la commissaire chargé des Nouvelles technologies, Neelie Kroes.

 

Immobilier : montée des taux

Immobilier : montée des taux

 

La remontée des taux, Voilà qui n’est pas susceptible d’améliorer le marché déjà très dégradé de l’immobilier. Les taux des prêts immobiliers ont légèrement remonté en juillet en France par rapport à leurs plus bas records  de juin, interrompant un mouvement de baisse ininterrompu depuis début 2012, selon les données publiées lundi par l’observatoire Crédit logement/CSA. Le taux moyen des prêts du secteur concurrentiel (hors assurance et coût des sûretés) s’est établi le mois dernier à 2,92%, contre 2,89% en juin, un niveau qui n’avait jamais été constaté auparavant. La remontée a été plus faible pour le marché du neuf (2,92% contre 2,91%), dans la moyenne de l’ensemble pour le marché de l’ancien (2,93% contre 2,90%), mais un petit peu plus rapide pour le marché des travaux (2,90% contre 2,86%). En termes d’activité, le marché s’est maintenu à un haut niveau en juillet après son rebond du deuxième trimestre, avec une production en volume en hausse de 11,3% par rapport au même mois de 2012. Mais compte tenu de la forte diminution des apports personnels mobilisés, et donc d’un recours au crédit plus intense lié au faible niveau des taux d’intérêt, le nombre de prêts bancaires accordés a diminué de 0,6% en rythme annuel.

 

Agriculteurs : rattrapage des retraites

Agriculteurs : rattrapage des retraites

 

« La situation des retraites agricoles n’est pas satisfaisante, il y aura donc un plan de rattrapage », a déclaré le chef de l’Etat.   »Nous préparons l’avenir des retraites, des petites pensions, et notamment dans le domaine de l’agriculture où il y a des femmes et des hommes, beaucoup de femmes, qui vivent avec des pensions qui sont très faibles. Et donc sera assurée une pension dans les trois prochaines années qui atteindra au moins 75% du SMIC. C’est une promesse que j’avais avancée dans la campagne et c’est maintenant une décision », a-t-il poursuivi.  Selon la FNSEA, le syndicat majoritaire, plus d’1,2 million de retraités de l’agriculture ont une retraite moyenne de 722 euros par mois après une carrière complète.  Les trois-quarts du SMIC brut représenteraient une somme de 1.072,66 euros selon les calculs de l’AFP. François Hollande avait proposé lors de la campagne présidentielle un plan sur cinq ans pour revaloriser les retraites des exploitants agricoles et de leurs conjoints. Une augmentation des retraites des non-salariés agricoles –les chefs d’exploitation, leurs conjoints (à 98% des femmes) et les aides familiaux, la plupart du temps les enfants qui travaillent dans les fermes–, est une des grandes revendications de la profession. Pour les syndicats, 75% de revalorisation constituent un « minima » comme ils l’ont rappelé jeudi lors de la réunion de concertation avec la ministre des Affaires sociales Marisol Touraine et celui de l’Agriculture Stéphane Le Foll.  Les scénarios soumis à cette occasion aux partenaires sociaux, selon le ministère de l’Agriculture, comprennent la revalorisation à 75 % du Smic et l’attribution d’un revenu complémentaire obligatoire aux conjoints qui n’en ont aucun actuellement.  La FNSEA souhaiterait également que la retraite des agriculteurs soit calculée sur les 25 meilleures années et non sur la totalité de leur carrière.  Le président du syndicat agricole Xavier Beulin a salué cette mesure, sur BFM Business.   »C’est une promesse du candidat Hollande, il la met en oeuvre, nous en sommes satisfaits », a-t-il réagi. Mais il a insisté sur la question de la base de calcul des retraites   »Nous sommes loin de la parité, on calcule les retraites agricoles sur une carrière entière, c’est la seule profession pour laquelle ça se passe comme cela », a-t-il plaidé, espérant que le monde agricole allait finir par « rattraper le lot commun des professions ».  En outre, il a souligné la problématique du déséquilibre croissant du régime des retraites agricole, en raison de la baisse structurelle du nombre d’agriculteurs.   »Nous voyons bien que l’assiette de contributeurs diminue, (…) et du coup on a un déséquilibre structurel du régime des retraites agriciles, sans doute faudra-t-il revoir cette assiette », a-t-il prévenu.

 

Crise économique : aggravation pour 70% des français

Crise économique : aggravation pour 70% des français

 

La reprise est là pour Hollande mais pas pour 70% des français qui pensent que la situation s’aggrave. Ce que confirme  un sondage de CSA réalisé pour l’institut Montaigne et « Les Echos ». 70 % des Français ont « personnellement le sentiment que la situation économique en France est plutôt en train de s’aggraver ».  Un état de l’opinion qui tranche avec l’optimisme de François Hollande lors de son interview du 14 juillet : « La reprise, elle est là », avait-il déclaré, s’appuyant sur des indicateurs un peu meilleurs que par le passé – petit rebond du climat des affaires et reprise de la production manufacturière en France, sortie de récession de la zone euro. Le chef de l’Etat avait aussi fait le choix de forcer la tendance économique pour redonner de la « confiance », et vice versa tant les deux sont liés. « Pour qu’il y ait de la croissance, le premier principe c’est la confiance », avait-il même explicité. Mais le  sondage donne la mesure du scepticisme des Français et du travail de conviction qui reste à accomplir pour faire percevoir et pérenniser le « frémissement » mis en avant par l’exécutif. « Il y a toujours un décalage entre la macroéconomie et les perceptions personnelles mais ici il est fort », note Bernard Sananès, le président de CSA.  Le sentiment que la situation s’aggrave est ultramajoritaire dans toutes les classes d’âge et toutes les catégories socioprofessionnelles avec des pics chez les ouvriers et les employés (76 %).

Banlieues : des mesurettes

Banlieues : des mesurettes

Plus de grand plan banlieue ou de mesures d’urgence mais des mesurettes d’affichage. Aucun plan n’a jamais marché et ça va continuer ; la problématique est en effet complexe car il faudrait articuler la remise en cause de l’urbanisme, la lutte contre l’insécurité, la formation, la lutte contre la drogue, le développement économique local, le transport etc.; autant dire mission impossible pour tous les gouvernements qui par ailleurs ignorent tout des réalités socio-économiques des quartiers difficiles. Sans parler des services publics qui n’osent plus s’aventurer dans ces zones, devenues zones de non-droit.  En déplacement à Clichy-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) mercredi, François Hollande a présidé la signature d’un contrat « emploi franc », un dispositif pour favoriser l’embauche en CDI des jeunes de banlieues. « Une mesure antidiscrimination » pour le chef de l’Etat, un « dispositif électoraliste » pour la responsable UMP Camille Bedin interrogée par leJDD.fr.  François Hollande a souhaité délivrer un « message de confiance » aux quartiers défavorisés. Pour cela, rien de mieux qu’une visite à Clichy-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), mercredi, où il a mis en œuvre l’une de ses promesses de campagne : combattre le chômage des jeunes en banlieues. Concrètement, il a présidé la signature d’un contrat d’ »emploi franc » avec un jeune de la commune. Ce dispositif de retour à l’emploi créé cette année, s’ajoutant aux emplois d’avenir et aux contrats de génération, consiste en une aide de 5.000 euros, versée en deux fois, à une entreprise qui embauche en CDI une personne de moins de 30 ans résident d’une zone urbaine sensible (ZUS). Interrogé le 12 juillet dernier par leJDD.fr, François Lamy, le ministre délégué à la Ville, évoquait ce dispositif, « une mesure structurelle, parmi d’autres, pour une action de fond ». « C’est une mesure anti discrimination, pour que ces jeunes qui viennent de zones regardées comme parfois comme posant des problèmes puissent avoir une chance », a complété François Hollande, interrogé mercredi par la presse. L’argument ne convainc pas Camille Bedin, secrétaire général adjointe de l’UMP et auteure de Pourquoi les banlieues sont de droite. Jointe par leJDD.fr, elle estime qu’il « ne s’agit que d’un dispositif électoraliste, pour donner l’impression que le pouvoir s’occupe des banlieues à quelques mois des municipales ». Pourtant, le principe d’ »emploi franc » a d’abord été proposé en 2009 par… Camille Bedin elle-même. « Sauf qu’à l’époque, cette mesure s’inscrivait dans le cadre d’une réforme globale du marché du travail », justifie-t-elle avant de noter : « Les emplois francs, ça marchera, mais pour une dizaine de personnes. Ce n’est pas ‘la’ mesure qui règlera le problème du chômage dans les zones défavorisées. » L’UMP comme le PS font le même constat sur l’emploi dans les banlieues. Quand François Hollande a affirmé mercredi que « le taux de chômage double » dans les communes défavorisées « aussi bien pour les plus de 25 ans que pour les moins de 25 ans », il arrive aux mêmes conclusions que la droite. « Il y a toutefois une différence majeure dans le traitement des problèmes », assure Camille Bedin, développant : « A droite, il y a l’égalité des chances et la mise en avant de la méritocratie. La gauche, elle, traite les habitants des quartiers comme des assistés, les rendant dépendants sur un plan électoral. » François Lamy rejette cette idée, constatant au contraire que « les banlieues veulent simplement dans leur quartier les mêmes politiques publiques qu’ailleurs ». Et les mesures « structurelles », que le ministre compte « faire passer petit à petit », « ont pour objectif de normaliser la situation dans les quartiers ». François Lamy refuse « de faire un énième plan d’urgence pour les banlieues », pique adressée à la majorité précédente qui avait tenté, en 2007, de mettre sur pied un « plan banlieues » sans y parvenir. A cet effet, le projet de loi qu’il présentera vendredi en Conseil des ministres n’est, selon lui, « ni l’alpha ni l’oméga de la politique de la Ville ».

 

Immobilier : encadrement des loyers reconduit pour un an

Immobilier : encadrement des loyers reconduit pour un an

 

Le décret, paru mercredi au Journal officiel, interdit aux propriétaires privés d’augmenter le loyer au-delà de l’indice de référence des loyers (IRL) lors de la relocation du bien ou du renouvellement du bail, dans 39 agglomérations « où des tensions anormales du marché locatif ont été constatées », rappelle la ministre du Logement Cécile Duflot dans un communiqué.  Aux agglomérations de métropole déjà concernées viennent s’ajouter trois villes, Arras, Compiègne et Rouen. Les autres sont Amiens, Annecy, Annemasse, Arles, Beauvais, Bordeaux, Caen, Creil, Fréjus, Grenoble, La Rochelle, Le Havre, Lille, Lyon, Marseille – Aix-en-Provence, Meaux, Menton, Montpellier, Nantes, Nice, Paris, Rennes, Strasbourg, Toulon, Toulouse, précise le décret paru au JO.  En revanche Douai-Lens et Forbach ont quitté le dispositif.  Et outre-mer, les agglomérations entrant dans le dispositif sont Basse-Terre, Cayenne, Fort-de-France, Le Robert, Mamoudzou, Pointe-à-Pitre – Les Abymes, Saint-André, Saint-Denis, Saint-Louis, Saint-Paul et Saint-Pierre.  Ces zones présentent à la fois un loyer moyen supérieur à 11 euros le mètre carré (en 2012) et une évolution moyenne des loyers supérieure à 3,2 % par an entre 2002 et 2011.  Cette mesure d’urgence doit être relayée à partir de l’an prochain par un dispositif « pérenne », dans le cadre du projet de loi pour l’accès au logement et un urbanisme rénové (Alur), qui sera débattu à l’Assemblée nationale en septembre. Ce texte prévoit que le loyer fixé dans un nouveau bail ne pourra pas dépasser de plus de 20% un loyer médian de référence, calculé à partir des loyers pratiqués dans la zone.

 

Croissance France: baisse de 0,8% de la consommation des ménages en juin

Croissance France: baisse de 0,8% de la consommation des ménages en juin

 

 

Conséquence essentiellement de la hausse de la fiscalité et des dépenses contraintes, la consommation des ménages en France a reculé de 0,8% en juin par rapport à mai, principalement sous l’effet de la baisse des dépenses en énergie, a annoncé mercredi l’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee).Sur l’ensemble du deuxième trimestre, les dépenses de consommation des ménages ont augmenté de 0,3% par rapport au trimestre précédent, a précisé l’Insee dans un communiqué.

Accident de trains en Suisse : un mort et 35 blessés; loi des séries ?

Accident de  trains en Suisse : un mort et 35 blessés; loi des séries ?

 

 Après Brétigny, en France, Compostelle, en Espagne, c’est au tour de la Suisse de faire face à un drame ferroviaire. Lundi, en fin de journée vers 19h, deux trains se sont rentrés dedans. Trente-cinq personnes ont été blessées, dont cinq grièvement. Mardi au petit matin, on était sans nouvelle du conducteur d’une des locomotives, enseveli sous les décombres. L’autre conducteur est en vie et a été pris en charge par les secours.  « Il y a une rame qui sortait de gare et une autre qui entrait, explique sur RMC un témoin du drame. Les deux trains se sont rentrés dedans de manière frontale. Ils ne roulaient pas à grande allure mais les rames sont bien démolies. Il y en a une qui est montée sur l’autre. Nous avons passé les premiers coups de fil pour les secours. J’ai vu les premières victimes qui sortaient elles-mêmes puis les secours qui cassaient les vitres pour faire sortir les gens. Beaucoup de gens pleuraient et étaient très choqués ». « Toujours très sûr d’habitude » Vingt-trois personnes au total ont été hospitalisées, les blessés légers ayant été pris en charge sur place. Une cellule de soutien psychologique a été mise en place. Un soutien qui ne risque pas d’être de trop après un drame qui remue jusqu’aux médecins des hôpitaux accueillant les victimes. « Ça fait deux ans que je travaille dans cet hôpital, explique le directeur de l’hôpital de Payerne, Stéphane Duina. Son établissement a reçu un grand nombre des victimes. Il est très choqué par ce qu’il a vécu. On n’a jamais eu de problème. Il y a déjà eu des éboulements mais rien de très dramatique, c’est toujours très sûr. D’habitude, confie-t-il en larme sur BFMTV,  je garde mon sang-froid. Mais là, en fait ce train c’est celui que je prends tous les jours le matin et le soir à la même heure. Ici à l’hôpital nous avons eu trois blessés. Les autres ont été redirigés vers d’autres établissements hospitaliers. D’après ce que m’ont dit les ambulanciers, ce sont plutôt des blessés légers ». Les causes de l’accident sont pour le moment inconnues. « Les deux trains circulaient en sens inverse sur la même voie, confie sur RMC Jean-Christophe Sauterelle, le porte-parole de la police locale. Nous avons un train régional qui s’arrêtait à toutes les gares et un train accéléré qui lui ne s’arrêtait pas. La collision a eu lieu 200 m avant la gare. Nous n’avons pas les causes de l’accident. Il s’agit de voies uniques où normalement les trains se croisent en gare ce qui n’a pas été le cas ».

 

Croissance Japon : -Hausse des ventes au détail en juin

Croissance Japon : -Hausse des ventes au détail en juin

 

Les ventes au détail ont augmenté de 1,6% en juin au Japon sur un an, confirmant une meilleure orientation de la consommation des ménages, selon des données publiées lundi par le ministère de l’Economie. Les économistes interrogés par Reuters prévoyaient en moyenne une progression de 1,9%. En mai, les ventes au détail avaient progressé de 0,8%. (Kaori Kaneko, Véronique Tison pour le service français)

 

Air France: des fermetures de lignes

Air France: des fermetures de lignes

La compagnie aérienne enregistre une nette amélioration de ses résultats au 2ème trimestre. Sa perte nette est divisée par cinq, à 163 millions d’euros. Sur le second trimestre, le groupe a dégagé un résultat opérationnel de 79 millions d’euros, une première depuis cinq ans. Pour autant, Air France KLM n’est pas encore tiré d’affaire. Ce résultat encourageant est dû à une facture pétrolière beaucoup moins élevée qu’attendue, et à une réduction de coûts issus du plan « Transform 2015″. Malheureusement, la recette unitaire par passager d’Air France KLM reste parmi les plus faibles du secteur.  Pour continuer le redressement économique, d’autres mesures de restructurations doivent être adoptées à l’automne prochain. Comme BFM Business l’annonçait la semaine dernière, c’est une réorganisation de l’offre sur les court et moyen courriers de la compagnie qui se prépare. Certaines lignes seront fermées, d’autres seront transférées aux marques Hop et Transavia. « Il y a probablement des affectations différentes à faire » entre les trois marques du groupe (Air France, Hop et Transavia), a expliqué Alexandre de Juniac, le PDG d’Air France KLM, au micro de BFM Business. « Les destinations court et moyen courriers qui sont très loisirs, donc très sensibles aux prix, doivent être opérer par un opérateur comme Transavia, plutôt que par Air France, qui doit se concentrer d’avantage vers les destinations affaires » a-t-il poursuivi, avant de reconnaître qu’ « il y aura des fermetures de lignes ». 

 

Augmentation des fonctionnaires : addition salée pour les collectivités locales

Augmentation des fonctionnaires : addition salée pour les collectivités locales

 

Selon le quotidien Les Echos daté du vendredi 26 juillet, Marylise Lebranchu a confirmé aux syndicats que le gouvernement ferait un geste salarial, dès le 1er janvier 2014. Celui-ci concernera les agents aux revenus les plus modestes, soit environ un fonctionnaire sur deux. Dans un communiqué, publié vendredi soir, a ensuite indiqué que le mardi 23 juillet « une proposition de grille a ainsi été faite aux organisations syndicales, avec un effort particulièrement marqué en direction des agents », de cette catégorie C. Les décisions sur les modalités de cette revalorisation » seront prises après une réunion, en septembre, précise le texte, qui explique qu’une proposition alternative, mise sur la table par « certains syndicats » sera examinée au cours de cette réunion. Selon Les Echos, les syndicats escomptent un relèvement de 200 à 300 euros par an, sous la forme d’une augmentation de 4 à 6 points d’indice.  Ce qui maintient la problématique du rapprochement des salaires entre privé et public, le gel du point d’indice pendant deux années consécutives et la hausse du Smic n’ayant pas arrangé les choses. Cette question ne devrait d’ailleurs pas être abordée avant 2016. La ministre de la Fonction publique avait déjà évoqué ce geste au micro de BFMTV, le 17 juillet dernier. « Il y a peu de gens dans le privé qui auraient accepté ce qu’ont accepté les fonctionnaires en terme de rémunération », avait-elle alors déclaré. Le coût de cette mesure pourrait être inférieur à 200 millions d’euros pour l’Etat, écrivent Les Echos. En revanche, pour les collectivités locales, qui ont beaucoup d’agents de catégories C dans leurs effectifs, la facture risque d’être plus salée. Elle pourrait s’élever à 600 millions d’euros.

 

Moral des ménages : hausse en juillet avant de reculer en sept-octobre ?

Moral des ménages : hausse en juillet avant de reculer en sept-octobre ?  

Le moral des français légèrement en hausse en juillet, sans doute l’effet des vacances et enfin du beau temps ; Aucun indicateur économique ne peut autrement justifier cette évolution, la moyenne demeurant toutefois très basse. Dès septembre octobre avec les dépenses contraintes notamment les impôts, il faudra s’attendre à une rechute. ! Le moral des Français a connu une embellie en juillet après un mois de juin au plus bas historique, a indiqué vendredi 26 juillet l’INSEE. La raison : une perception plus optimiste de leur niveau de vie et de celui de leurs concitoyens.  L’indicateur qui synthétise la confiance des ménages gagne trois points et s’établit à 82 points en juillet. Il reste néanmoins inférieur à la moyenne sur une longue période : 100 points, calculée entre janvier 1987 et décembre 2012.

 

 

Immobilier : nette baisse des résidences secondaires

Immobilier : nette baisse des résidences secondaires

 

Selon un dossier réalisé par le magazine Capital, les prix des résidences secondaires seraient en train de fondre dans les stations balnéaires françaises: le recul atteint aujourd’hui 10% en front de mer, et jusqu’à 20% pour les résidences situées dans l’arrière-pays. Des baisses assez significatives pour inciter à acheter, d’autant qu’un abattement exceptionnel sur les plus-values de reventes – il est question de 25% – ainsi qu’une fiscalité plus légère seront effectifs en 2014. Voici les endroits où les prix sont en train de fondre.  Même sur la Côte d’Azur, les prix dégringolent. Si négocier le prix sur une villa au bord de la mer est loin d’être gagné, il est en revanche possible d’avoir des propositions intéressantes si on opte pour l’intérieur des terres. Au Grau-du-Roi, par exemple, les prix ont baissé de 10% sur un an. À proximité du front de mer, il est donc possible de trouver une maison d’environ 125 m2, avec parking et piscine, pour environ 400.000 euros. À Sainte-Maxime, où les prix ont chuté de 6%, un appartement T2 des années 1960-1970 vous coûtera de 250.000 à 300.000 euros.  Avec la crise économique qui sévit en Espagne, la cliente transfrontalière s’est faite rare. Si les baisses restent assez minimes (-4% à Biarritz, -6% à Hendaye), elles mettent tout de même fin à une inflation de 60% à 70% qui perdurait depuis 10 ans! Il faut noter toutefois que la plupart des propriétaires préfèrent louer leur bien en attendant des jours meilleurs… Un appartement type de 50m2 à Biarritz avec vue sur la mer vous coûtera environ 500.000 euros, contre 225.000 euros en centre-ville. À Saint-Jean-de-Luz, une maison d’environ 100m2 à 1 kilomètre des plages vous reviendra à 500.000 euros.  Le Sud-ouest est aussi concerné par la baisse des prix. Même dans les stations huppées comme Hossegor ou Cap-Ferret, il est possible de négocier avec les vendeurs. La plupart des stations balnéaires souffrent: -25% de ventes sur un an, et les transactions mettent de plus en plus de temps – en moyenne quinze mois – pour se concrétiser. Côté prix, pour 300.000 euros, on peut s’acheter une belle maison à Soulac-sur-Mer, Lacanau ou Biscarosse. À Hossegor, il faudra compter 600.000 euros pour une maison de 150m2 avec jardin et piscine, à 5 minutes à pied des plages.   Cela fait depuis 2008 – et le début de la crise – que le littoral du Grand Ouest accumule les résidences secondaires en vente. En conséquence, les prix dégringolent: -35% dans l’arrière-pays et de 15 à 20% sur la côte: -5% seulement à Pornic, mais -16% à Pléneuf-Val-André, et -14% à Bénodet. Ainsi, pour 480.000 euros à Pornic, vous pouvez vous payer une maison type de 120 m2 avec garage, jardin et vue sur mer. À Bénodet, sur la pointe bretonne, un appartement est évalué de 2600 à 3500 euros le m2 tandis qu’à Pléneuf-Val-André, un appartement de 65m2 à 100 mètres de la mer vous reviendra environ à 140.000 euros!  Si vous rentrez un peu dans les terres, le prix des villas a baissé de 20%. Une baisse considérable pour une région où les prix avaient flambé de 50% entre 2002 et 2008. Même dans les villes très cotées (Le Touquet, Granville), il est possible de négocier des rabais proches de 10%. Une maison au Touquet vous coûtera 500.000 euros, pour une surface de 120 m2 avec 3-4 chambres et un jardin. Pour la même surface, on peut avoir une maison à 320.000 euros à Honfleur. En dehors des zones maritime, la baise est encore plus spectaculaire avec des baisses qui peuvent atteindre jusqu’à 5O% dans les régions pauvres en emplois. Un phénomène qui finalemenet va toucher tout l’immobilier avec des écarts importants entre les bassins d’emplois.

 

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