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Sondage Pouvoir d’achat : record d’inquiétude des Français, 80%

Sondage Pouvoir d’achat : record d’inquiétude des Français, 80%

80% des français inquiets sur le pouvoir d’achat, en cause surtout les impôts. Près de six Français sur dix s’attendent à perdre du pouvoir d’achat dans les trois prochains mois, d’après le baromètre Viavoice BPCE pour les Echos et France Info. Toutes les catégories sociales sont concernées mais les retraités sont les plus inquiets. Ce sont les impôts et la fiscalité qui expliquent ce phénomène.  A l’heure où les avis de déclarations d’impôts arrivent dans les boîtes aux lettres et où les mesures fiscales se multiplient pour réduire des déficits publics, les Français sont de plus en plus inquiets : 59% d’entre eux s’attendent à perdre du pouvoir d’achat au cour des trois prochains mois, d’après un baromètre Viavoice BPCE pour les Echos et France Info. »On atteint un record d’inquiétude. Ce qui est très frappant, c’est que toutes les catégories sociales sont concernées. Et la catégorie la plus sensible est celle des retraités. On a aujourd’hui 80% d’entre eux qui se déclarent inquiets, c’est dix points de plus par rapport au mois dernier« , analyse François Miquet-Marty, directeur associé de l’institut de sondage. Principale explication, d’après Viavoice : la fiscalité. Les impôts et les taxes sont en tête des préoccupations pour près d’un Français sur deux, devant l’essence (40%) ou l’alimentation (37%). Une grande partie des ménages se sentent d’ailleurs menacés par de prochaines mesures en raison des mesures d’austérités que risquent de prendre le gouvernement.  Conséquence, les ménages devraient privilégier l’épargne sur la consommation dans les mois à venir. Selon le baromètre, « 50 % d’entre eux envisagent de dépenser moins d’argent que ces derniers mois pour l’alimentation ou l’habillement, en hausse de 15 points depuis mars. A l’inverse, ils ne seraient que 43 % à envisager de dépenser autant d’argent, et 6 % plus d’argent ».

Sondage : Hollande n’a pas tenu ses promesses pour 76% des français

Sondage :  Hollande n’a pas tenu ses promesses pour 76% des français

Hollande n’est plus soutenu que par moins de 25% des français, une raison simple : 76% des personnes interrogées jugent qu’il n’a pas tenu ses engagements de campagne, contre 65% pour Nicolas Sarkozy en 2008 et 48% pour Jacques Chirac en 2003. Dans tous les domaines d’action, une majorité de sondés dresse un constat négatif. Jusqu’à 89% d’avis défavorables sont exprimés sur le pouvoir d’achat, 87% sur la lutte contre la chômage et 84% sur le retour de la croissance. « L’absence de résultat face à la crise et sur des thématiques au cœur des préoccupations des Français lui coûte beaucoup », explique Frédéric Dabi. François Hollande paie également son manque d’autorité (86% font ce constat), son incapacité à rassembler et son absence de clarté. « Il y a un doute sur sa capacité à affronter une situation exceptionnelle. Cela peut se corriger, mais cela prendra du temps », précise le sondeur, selon qui le mécontentement généralisé de ce début de présidence « a toutes les chances d’être durable ». Dans ce constat sévère persistent toutefois des enseignements positifs pour la majorité. Paradoxalement, les Français adhèrent assez nettement à ce qui a été entrepris jusqu’à maintenant. Peu de réformes connaissent une réception majoritairement négative : la fin de la défiscalisation des heures supplémentaires est ainsi l’une des mesures les plus impopulaires. De même, la loi sur le mariage pour tous est – étonnement, au regard des précédents enquêtes – jugée mauvaise par 54% des sondés. Par ailleurs, « les Français intériorisent plus la crise qu’en 2008″, précise le responsable de l’Ifop, en  estimant que François Hollande dispose de peu de marge de manœuvres pour relancer l’économie du pays.

 

Sondage popularité Hollande ; 75% des français mécontents

Sondage popularité Hollande ; 75%  des français mécontents

 

Selon un sondage exclusif Ifop-Fiducial pour Europe 1, 75% des personnes interrogées se disent « plutôt » ou « tout à fait » mécontentes de l’action du chef de l’Etat. Seuls 21% des sondés se déclarent satisfaits. A titre de comparaison, un an après son élection, Nicolas Sarkozy ne faisait guère mieux, puisqu’il récoltait 72% d’opinions négatives. Quant à Jacques Chirac, il était encore dans l’état de grâce, avec seulement 39% d’insatisfaction.  Quand on les interroge sur les engagements pris pendant la campagne par François Hollande, les Français sont tout aussi sévères. 76% des sondés estiment ainsi que le chef de l’Etat n’a pas tenu ses promesses, contre seulement 24%. Sur aucun grand domaine de l’action politique, François Hollande ne recueille plus de 50% de réponses positives. Et c’est dans le domaine économique que le jugement est le plus sévère. Ainsi, seuls 21% des sondés jugent positivement l’action de François Hollande en matière de fiscalité. Ils ne sont plus que 16% lorsqu’ils sont interrogés sur la croissance et l’attractivité de la France et 13% seulement concernant la lutte contre le chômage. Mais c’est surtout sur le pouvoir d’achat que les personnes interrogées sont les plus sévères. 89% d’entre elles estiment que l’action de François Hollande a été négative dans ce domaine.  Dans d’autres domaines, l’action du président est jugée avec plus d’indulgence. Il en est ainsi en matière de justice (38% de personnes satisfaites), de relations avec l’Union européenne (38%), d’éducation et de formation (37%) ou encore d’environnement (33%). Alors que l’action de François Hollande est largement rejetée, paradoxalement, beaucoup des mesures adoptées ou envisagée par le pensionnaire de l’Elysée remportent une large adhésion dans l’opinion. C’est surtout le cas de la diminution des rémunérations du président et des ministres, saluée par 85% des sondés, et du retrait des troupes française d’Afghanistan (83%). Le contrat de génération (77%), les emplois d’avenir (64%), la création de la Banque publique d’investissement (64%), l’augmentation de l’ISF (64%) ou encore la création de 60.000 postes dans l’Education (62%) sont aussi largement soutenues. Certains projets ou réforme suscitent en revanche l’hostilité d’une majorité de Français. Objet d’un débat long et de plus en plus douloureux, le mariage gay n’est ainsi plus soutenu que par 46% des Français. Même score pour le crédit d’impôt de 20 milliards accordés aux entreprises. Les deux mesures les plus impopulaires concernent les impôts. 65% des personnes interrogées s’élèvent ainsi contre la fin de la défiscalisation des heures supplémentaires. Et elles sont 74% à envisager l’augmentation de la fiscalité sur les successions et les donations comme une mauvaise mesure. Pour les quatre années à venir, les Français ne semblent pas franchement optimistes quant à l’action de François Hollande. D’abord parce qu’ils pensent que le chef de l’Etat n’a pas les moyens d’agir. Seulement 31% des personnes interrogées, contre 69%, estiment ainsi que le président et le gouvernement disposent d’une marge de manœuvre pour améliorer le pouvoir d’achat. Le pessimisme est encore plus grand pour la relance de l’emploi (29%) et celle de la croissance (28%).

 

Le patrimoine des ministres : très au dessus du patrimoine moyen des français

Le patrimoine des ministres : très au dessus du patrimoine moyen des français

 

Le patrimoine des français se situe autour de 100 000 euros en moyenne, celui  des ministres socialistes est très au dessus, qu’on en juge :

  1. Laurent Fabius, Affaires étrangères : 6,04 millions d’euros
  2. Michèle Delaunay, Personnes âgées/autonomie : 5,4 millions d’euros
  3. Michel Sapin, Travail : 2,08 millions d’euros
  4. Jean-Marc Ayrault, Premier ministre : 1,45 million d’euros
  5. Victorin Lurel, Outremer : 1,3 million d’euros
  6. Arnaud Montebourg, Redressement productif : 1,35 million d’euros
  7. George Pau-Langevin, Réussite éducative : 1,17 million d’euros
  8. Marisol Touraine, Affaires sociales/Santé : 1,05 million d’euros
  9. Thierry Repentin, Affaires européennes : 863.462 euros
  10. Nicole Bricq, Commerce extérieur : 814.000 euros
  11. Valérie Fourneyron, Sport : 807.000 euros
  12. Alain Vidalies, Relations avec le Parlement : 801.799 euros
  13. Hélène Conway, Français de l’étranger : 761.000 euros
  14. Marylise Lebranchu, Fonction publique : 741.000 euros
  15. Dominique Bertinotti, Famille : 702.000 euros
  16. Kader Arif, Anciens combattants: 634.000 euros
  17. Marie-Arlette Carlotti, Personnes handicapées/lutte contre l’exclusion : 630.000 euros
  18. Guillaume Garot, Agroalimentaire : 601.000 euros
  19. François Lamy, Ville : autour de 600.000 euros
  20. Geneviève Fioraso, Enseignement supérieur/Recherche : 576.000 euros
  21. Jean-Yves Le Drian, Défense : 594.000 euros
  22. Pascal Canfin, Développement : 575.000 euros
  23. Stéphane Le Foll, Agriculture : 452.000 euros
  24. Frédéric Cuvillier, Transports/Mer/Pêche : 440.000 euros
  25. Anne-Marie Escoffier, Décentralisation : 430.000 euros
  26. Aurélie Filippetti, Culture/Communication : 417.011 euros
  27. Vincent Peillon, Education nationale : 360.343 euros
  28. Christiane Taubira, Justice/Garde des Sceaux : 315.221 euros
  29. Sylvia Pinel, Artisanat/Commerce : 277.500 euros
  30. Cécile Duflot, Egalité des territoires/Logement : 264.450 euros
  31. Pierre Moscovici, Economie/Finances : 238.000 euros
  32. Manuel Valls, Intérieur, : 227.000 euros
  33. Benoît Hamon, Economie sociale et solidaire/Consommation : 170.000 euros
  34. Bernard Cazeneuve, Budget : 165.085 euros
  35. Delphine Batho, Ecologie/Energie : 110.300 euros
  36. Najat Vallaud-Belkacem,, Droits des femmes : 106.739 euros
  37. Fleur Pellerin, PME/Innovation/Economie numérique : 91.150 euros
  38. Yamina Benguigui, Francophonie : 90.200 euros

 

Sondage moral des français : encore en baisse 77% non confiants

Sondage moral des français : encore en baisse 77% non confiants

 

 Le niveau de 77% de Français (+2 points) défiants en l’avenir constitue « un nouveau record de pessimisme depuis l’élection de Français Hollande », relève le sondage. A l’inverse 21% des disent « plutôt plus confiants » dans l’avenir de la situation économique française. L’indice de confiance s’établit ainsi à -56 (contre -52 en mars). « Le Président n’a pas réussi à inverser cette tendance à la morosité », observe Gaël Sliman, directeur général adjoint de BVA, cité dans un communiqué.   »Il ne parvient pas non plus à convaincre les Français qu’il tiendra d’ici la fin de l’année 2013 ses engagements réitérés d’inverser la courbe du chômage (seulement 7% le croient) et de ne plus augmenter les impôts pour les classes moyennes et populaires (18%) », poursuit M. Sliman

Le moral des Français s’écroule ( 75% pessimistes) depuis l’élection de Hollande

Le moral des Français s’écroule ( 75% pessimistes)  depuis l’élection de Hollande

Quelque 75% des Français se disent « moins confiants » concernant l’avenir de la situation économique en France, reflétant un moral au plus bas depuis l’élection de François Hollande, indique jeudi le Baromètre de l’économie BVA pour Axys Consultants relayé par Challenges et BFM.  Avec 75% de Français moins confiants en l’avenir, soit une progression de six points en un mois, « le moral économique de nos concitoyens poursuit sa chute depuis janvier, notre indice atteignant ce mois-ci son plus bas niveau depuis l’élection de François Hollande », indique le sondage.   »Avec 75% de Français +défiants+ en l’avenir contre 23% de +confiants+, l’indice (ou solde) s’établit à -52. Cela consacre une baisse de 12 points en un mois et de 16 points depuis janvier ».   »L’indice bat ainsi le précédent record négatif observé depuis l’élection de François Hollande qui datait de septembre dernier (-48 à l’époque contre -52 en ce mois de mars). La séquence de remontée continue observée de septembre à décembre (indice passé de -48 à -36) est bien derrière nous », résume le sondage.  Cette tendance « pourrait même, si elle ne s’interrompt pas bientôt, nous conduire à retrouver les plus mauvais niveaux de moral enregistrés sur cet indicateur après la faillite de Lehman Brothers (-72 en octobre 2008) ou lors des ultimes soubresauts sur la dette grecque après la menace de référendum envisagé par Papandréou à l’automne 2011 (indice de moral de -67) », préviennent les sondeurs.  37% des sondés en activité estiment également que des emplois pourraient être supprimés dans leur entreprise, contre 60% qui estiment le contraire.  Pour diminuer la dette et les déficits publics, 54% des Français estiment qu’il faudrait « diminuer les dépenses de l’Etat en limitant le nombre de fonctionnaires », contre 8% qui pensent qu’il faut « augmenter les impôts et les prélèvements ».

 

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Sondage Mali : 75% des français pour

Sondage Mali : 75% des français pour

Les trois-quarts des Français sont favorables à l’intervention militaire au Mali, ce qui est la plus forte approbation pour une opération de ce type depuis quinze ans, selon un sondage BVA pour Le Parisien. Le soutien a fortement augmenté en quelques jours, passant de 63% samedi et dimanche derniers à 75% dans l’enquête réalisée lundi et mardi.  Cette forte approbation se retrouve sur tout l’échiquier politique, à gauche (82%), comme à droite (69%). Les sympathisants à la gauche du PS (74%) et les sympathisants Verts (72%) sont presque les trois-quarts à soutenir cette intervention armée, malgré les réactions plus prudentes de Jean-Luc Mélenchon, du Parti de gauche, et celles encore plus critiques du député Noël Mamère. Dans une moindre mesure, 60% des sympathisants du Front national soutiennent, eux aussi, comme Marine Le Pen cette intervention militaire, alors qu’ils n’étaient que 51% à soutenir l’intervention armée en Libye en mars 2011.

 

Sondage : mariage homos le ralbol des Français

Sondage : mariage homos le ralbol des Français

On s’en doutait mais un sondage le confirme, il y a un ralbol des français à propos du mariage homos ; En faiat, il y a d’autres priorités et surtout la question centrale de l’économie et de l’emploi. De ce point de vue il y a sans doute un décalage certain entre l’intelligentsia parisienne, les médias et le peuple. Alors que les journaux ne cessent de traiter cette question- un peu surréaliste au regard des enjeux du moment- les citoyens eux ont tendance à s’intéresser à d’autres choses plus fondamentales pour l’avenir du pays.  Les Français qu’ils soient pour ou contre, de droite ou de gauche, jeunes ou vieux, estiment donc qu’on parle trop de cette question du « mariage pour tous ». Selon un sondage Ifop/JDD, 62% d’entre eux jugent que ce sujet prend trop de place dans le débat public. Preuve supplémentaire qu’ils attendent d’abord le gouvernement sur les questions économiques plutôt que les sujets sociétaux. Ce résultat constitue un paradoxe alors qu’on attend plusieurs centaines de milliers de Français dans les rues de Paris. Cela soulagera, sans doute, les responsables de l’exécutif qui ont bien l’intention de tenir ferme leur promesse électorale. Cela constituera aussi un avertissement pour l’opposition qui aurait grand tort de vouloir en faire son cheval de bataille principal pour reconquérir l’opinion et panser ses plaies après la crise de l’UMP. Le second constat de cette enquête de l’Ifop : c’est la distanciation de l’opinion voire une volonté de dépassionner un débat qui s’est déjà enflammé et ne devrait pas baisser d’ici la fin du mois et le début de l’examen du projet de loi à l’Assemblée nationale. A la question sur les motivations des manifestants, les Français placent en tête la défense des valeurs familiales (59%), la volonté de sanctionner la politique du gouvernement (46%) et l’opposition entre les laÏcs et les religieux (45%). « Pour l’instant ce qu’on voit c’est que ce sont les valeurs familiales qui motivent en priorité les manifestants.

71% des français pour de nouvelles élections à l’UMP

71% des français pour de nouvelles élections à l’UMP

De nouvelles élections à l’UMP, la solution voulue par 71% des Français et 67% des sympathisants UMP. Sur les responsabilités de la crise, les personnes interrogées répondent en priorité qu’elles ne savent pas (58 % chez les Français et 44 % à l’UMP). Mais quand elles ont un avis, c’est Jean-François Copé qui est jugé responsable du blocage davantage que François Fillon. « Les sympathisants font payer clairement la crise à Copé. En deux semaines, c’est-à-dire avant et après l’élection, la cote d’avenir de Copé a chuté de 21 points quand celle de Fillon ne baisse que de 4 points », relève Frédéric Dabit, directeur général adjoint de l’Ifop. Les responsables de l’UMP trouveront peut-être un motif de consolation dans ce sondage catastrophique, puisque 40% des Français déclarent ressentir de « l’indifférence » et seulement 21% de « l’inquiétude ». Plus préoccupant par contre, le nombre de sympathisants UMP accablés par le spectacle de leurs dirigeants incapables de trouver une solution à la crise : 44% se disent « déçus », 26% « inquiets » et 17% en colère. L’addition de tous ces mécontents à droite coûtera sûrement très cher à leurs dirigeants le moment venu. Une chose est certaine : l’UMP ne survivrait pas à une seconde semaine de crise.

 

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