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«Le Royaume-Uni a un avenir incroyable …derrière lui »

«Le Royaume-Uni a un avenir incroyable …derrière lui »

Douglas Murray, nostalgiques de la grandeur passée de la Grande-Bretagne se félicite du retrait de la Grande-Bretagne de l’Union. Il juge que ses compatriotes ont voulu retrouver leur pleine souveraineté dans le cadre de leurs institutions politiques nationales. Reprenant à son compte la sémantique grandiloquente de Trump, il estime que » le Royaume Uni a un avenir incroyable devant lui ».

Sans doute une confusion entre l’avenir et le passé. Les Britanniques, comme les français d’ailleurs, ne parviennent pas à se convaincre qu’ils devenus de pays moyens  au regards du classement mondial.

Les anciennes puissances coloniales ont perdu leur lustre. La Grande-Bretagne rêve de retrouver sa splendeur coloniale. Aujourd’hui force est de constater que la Grande-Bretagne -comme la France- se classe très loin mais très loin de la Chine bien sûr, des États-Unis, de l’Inde, de la Russie et d’autres puissances mondiales. Bien sûr, elle résiste encore mais leur PIB sera bientôt dépassée par 10 ou 15 pays dans les 20 ou 30 ans. L’union européenne constitue  un moyen de réactiver la puissance perdue à condition évidemment qu’elle soit un peu plus efficace et  un peu plus démocratique.

Chacun a évidemment a deviné qu’elle était le modèle ultra libéral que vous voudrait développer le  fantasque Boris Johnson; à savoir; créer à la porte de l’union européenne une sorte de paradis fiscal comme  Singapour qui pourrait offrir les avantages de l’Europe sans en avoir les inconvénients. Bref , transformer  la Grande-Bretagne en porte d’entrée pour les importations européennes. La ficelle est un peu grosse et le Premier ministre britannique pas n’est pas très fiable vis-à-vis de ses propres opinions. Dans l’affaire brexit , les deux perdants sont l’union européenne et la Grande-Bretagne mais les Britanniques bien davantage avec en plus des problèmes économiques et politiques internes.

Certes l’union européenne ne va pas couper les ponts avec la Grande-Bretagne mais elle va négocier pied à pied pour préserver ses intérêts d’une part, d’autre part tout faire pour que ce brexit n’inspire pas les pays tentés  de s’éloigner aussi de l’union européenne. De ce point de vue, la montée des populismes pourrait nourrir des velléités d’indépendance de certains pays vis-à-vis de l’union européenne. En outre, on ne peut faire comme si les économies britanniques et européennes n’étaient pas imbriquées. Ainsi les premiers clients britanniques sont les Européens et il serait vain d’espérer qu’on pourrait y substituer de manière significative des échanges avec l’ancien empire britannique voire les États-Unis. Il faudra bien que les Britanniques comme les français acceptent leur nouveau statut de nation de second rang et arrête d’entretenir  la nostalgie de leur ancienne puissance coloniale.

 

Le PS derrière Glucksmann….pour sauver les meubles

Le PS derrière Glucksmann….pour  sauver les meubles

 

Inutile de tourner autour du pot, l’PS a choisi l’essayiste Raphaël Glucksmann (du mouvement place publique) pour sauver  d la vieille maison. En effet aucun leader socialiste ne paraissait en situation de redresser une situation électorale qui s’annonçait assez dramatique pour les européennes.  Le parti communiste socialiste est comme le parti communiste, sur la voie de l’extinction puisque les sondages lui accordent jusqu’à ce jour seulement autour de 6 % alors qu’il n’y a pas si longtemps, c’est-à-dire avant l’élection de Macron, il disposait d’une large majorité à l’Assemblée nationale. Reste à savoir si cela sera suffisant pour sauver la vieille maison qui sombre comme a sombré la SFIO pour l’énorme décalage entre des discours pseudo révolutionnaires est une pratique de collusion avec les forces économiques dominantes. Souvenons-nous du fameux slogan de François Hollande lors de sa campagne : « l’ennemi c’est la finance » tout cela pour aboutir à la distribution de dizaines de milliards sans aucune compensation, sans aucune exigence et même sans évaluation. Sans parler des autres contradictions notamment de la composition sociologique de la direction du parti socialiste.  C’est donc une sorte d’opération sauvetage qu’ont décidé les quelque 300 membres du conseil national socialiste, réunis à la Maison de la Chimie, à Paris, ont entériné un accord passé cette semaine entre Raphaël Glucksmann, cofondateur du jeune mouvement Place publique, et Olivier Faure, premier secrétaire du PS depuis près d’un an.“C’est une rupture avec le passé, mais ce n’est pas un effacement”, a déclaré ce dernier lors d’un discours de clôture. Place publique et le PS plaident chacun pour le rassemblement – hors France insoumise – de toute la gauche, aujourd’hui en morceaux, mais ils se sont tous deux heurtés au refus opposé notamment par Europe écologie-Les Verts et le parti Génération.s, fondé par l’ex-socialiste Benoît Hamon. Raphaël Glucksmann a annoncé vendredi la constitution d’une liste qui, espère-t-il, finira par attirer les réfractaires. “Il n’est pas socialiste, il ne connaît pas l’histoire de tous nos congrès, son expression peut parfois nous heurter, mais le rassemblement, (…) c’est toujours commencer par accepter cette idée simple que les différences nous enrichissent”, a justifié Olivier Faure lors de son discours. L’ambition affichée par le député de Seine-et-Marne est de faire de cette liste d’alliance la première à gauche au soir des élections du 26 mai. L’idée de confier le destin du PS à une personnalité extérieure rebute de nombreux cadres, à commencer par Stéphane Le Foll, ex-ministre de l’Agriculture et ancien bras droit de François Hollande, qui a annoncé vendredi sa démission du bureau national, principale instance dirigeante du parti.

Les présidents de groupe de l’Assemblée unis derrière le sulfureux Ferrand

Les présidents de groupe de l’Assemblée unis derrière le sulfureux Ferrand

 

Une réaction républicaine des huit présidents de groupe de l’Assemblée nationale ont «condamné  unanimement, et avec la plus grande fermeté, les actes de violences, d’intimidations et les dégradations commises à l’encontre des représentants de la Nation». «Après l’incendie criminel du domicile du président de l’Assemblée nationale en fin de semaine dernière, une nouvelle étape a été franchie», estiment-ils.  Si l’incendie au domicile de Richard Ferrand est effectivement d’origine volontaire, il est alors totalement condamnable et s’inscrit dans la stratégie mortifère de certains leaders des gilets jaunes. S’il faut combattre Richard Ferrand, c’est  sur le plan des idées et pour l’affaire de corruption dans laquelle il est impliqué. On se souvient que le tribunal de Brest avait enterré l’affaire notamment aux motifs de la prescription de certaines infractions. Pas vraiment un blanchiment!  Justement. L’association Anticor avait dénoncé la prescription des faits qui ont permis de classer sans suite le dossier. L’association a donc  déposé plainte à Paris pour relancer l’enquête sur le chef de file des députés LREM. Cette plainte avec constitution de partie civile a été déposée. Elle vise à obtenir la désignation – quasi-automatique – d’un magistrat pour enquêter sur l’affaire du bien immobilier acquis par la compagne de Richard Ferrand et loué aux Mutuelles de Bretagne, dont il était alors le directeur général. La plainte porte sur des faits présumés de « prise illégale d’intérêts », et recel et complicité de ce délit.  Le parquet de Brest avait annoncé le 13 octobre le classement de l’enquête, au regard notamment de la prescription de cette éventuelle infraction. « Nous attendons l’ouverture d’une instruction, pour qu’il y ait un procès, car nous ne sommes pas d’accord avec l’analyse du procureur de la République de Brest », avait déclaré Jean-Christophe Picard, président de l’association. Après le classement sans suite, Anticor s’est tourné vers le pôle financier de Paris en raison de sa compétence nationale sur les affaires « d’une grande complexité ». Dans un des volets de l’affaire, un possible délit de prise illégale d’intérêts, le procureur de Brest Jean-Philippe Récappé reconnaissait que le parquet « aurait pu envisager l’ouverture d’une information judiciaire ». Mais il s’est avéré que « l’infraction éventuelle » était « prescrite » depuis le 19 juin 2015, selon les règles de prescription (trois ans) alors en vigueur, avait-il expliqué. Richard Ferrand, soutien de la première heure d’Emmanuel Macron, s’est toujours défendu de tout conflit d’intérêts. Devenu chef du groupe La République en marche à l’Assemblée nationale après avoir dû quitter son poste de ministre de la Cohésion des territoires, il s’était félicité de la décision du parquet de Brest, estimant avoir été « lavé de tout soupçon ». Dans l’affaire en question, révélée par le Canard enchaîné le 24 mai dernier, Richard Ferrand, 55 ans, est soupçonné d’avoir profité de sa fonction pour favoriser sa compagne, l’avocate Sandrine Doucen, à l’époque où il était directeur général (1998-2012) des Mutuelles de Bretagne et élu local PS. En 2011, cet organisme à but non lucratif, qui cherchait à louer des locaux pour installer un centre de soins à Brest, avait choisi la proposition d’une société civile immobilière (SCI) appartenant à 99 % à Sandrine Doucen, parmi trois offres. Un bien acquis pour un prix de 375 000 euros, « financé » par les loyers versés par les Mutuelles de Bretagne  et dont la valorisation atteindrait de leur de 800 000 € aujourd’hui. Notons que pour l’instant l’affaire est toujours enterrée !

 

 

Popularité Mélenchon: derrière Ruffin

Popularité Mélenchon: derrière Ruffin

Chute de Mélenchon dans les sondages. Mélenchon ne manque évidemment pas de qualité, ni de culture mais ses outrances disqualifient parfois son propos. À ses qualités de tribun, à ses références culturelles, Mélenchon ajoute un certain talent de comédien. On a cependant parfois des difficultés à saisir la réelle personnalité de l’intéressé qui se comporte selon les cas comme Jean Jaurès, Jules César ou encore Georges Marchais. Il est Jaurès quand il veut théoriser le socialisme et ambitionne de réunir toutes la famille de gauche. Malheureusement il devient souvent Jules César quand il négocie avec ses partenaires, d’autres formations, n’hésitant pas à les négliger voire à les maltraiter comme le parti communiste, le parti socialiste où les organisations d’extrême-gauche. Mélenchon conçoit l’union non pas comme un combat mais comme un ralliement à ses seuls positions. Le paradoxe chez Mélenchon c’est qu’il peut tout autant développer une analyse intellectuelle de haut niveau et peu après tomber dans le populisme le plus vulgaire voire insultant. Bref aussi faire du Georges Marchais en utilisant la caricature et la grossièreté il y a un côté sanguin chez Mélenchon qu’il a du mal à contrôler. Force est de reconnaître que Mélenchon a peu de concurrents quant à ses compétences oratoires, son seul ennemi : sans doute lui-même. Selon le dernier sondage BVA, Jean-Luc Mélenchon a perdu sept points et atteint péniblement le 29e rang des hommes politiques les plus populaires auprès des Français.  Une dégringolade qui s’accompagne d’une progression inversement proportionnelle: celle du député de la Somme, François Ruffin, qui lui gagne deux points et devance Jean-Luc Mélenchon à la quinzième place.

 

Macron : derrière le président, la figure du roi (Philippe Raynaud)

Macron : derrière le président,  la figure du roi (Philippe Raynaud)

Ce que pense  Philippe Raynaud, professeur de science politique à l’université de Paris II-Panthéon-Assas, qui parle de son dernier livre dans une interview à 20 Minutes

 

Quelle est l’ambition de ce livre évoquant la « révolution » d’Emmanuel Macron ?

J’ai publié il y a un an un livre sur l’esprit de la Ve République, qui était une réflexion sur la transformation du système politique depuis 1958. Avec ce nouvel ouvrage, je prolonge mes analyses, notamment sur la crise du système bipartisan. La supériorité d’Emmanuel Macron réside dans le fait qu’il a mieux compris cette crise politique que les autres candidats à la présidentielle.

« La révolution d’En Marche se situe à l’intersection de 1789 et la tradition whig » en Angleterre. Que voulez-vous dire ?

Durant la campagne électorale, Emmanuel Macron a établi un lien entre la société [contemporaine] et celle de l’Ancien régime en crise. Il a par ailleurs organisé un clivage entre progressistes et conservateurs, sur le modèle des whigs [libéraux] contre les tories [conservateurs] dans l’Angleterre des XVIIIe et XIXe siècles : il a opposé l’élite des villes et la bourgeoisie en province, l’innovation contre la tradition, la finance contre la rente foncière… Je prends un exemple pour illustrer cette structuration : la réforme de l’ISF, l’IFI, voulue par Emmanuel Macron, cible la fortune immobilière, pas les capitaux mobiliers [dividendes ou intérêts].

Selon vous, « Emmanuel Macron pense que la République n’a jamais remplacé la figure du roi ». Pourquoi ?

Ce n’est pas moi qui parle de cette figure mais Emmanuel Macron lui-même, dans une interview à Le 1 durant la campagne. D’un côté, il se place dans une tradition présidentielle, voire présidentialiste de la Ve République tant par sa culture que son parcours technocratique. Mais il a aussi un imaginaire favorable à certains souvenirs de la monarchie. On l’a vu ensuite avec l’utilisation du château de Versailles, ou encore le rétablissement des chasses présidentielles à Chambord. Emmanuel Macron ne souhaite pas une restauration de la monarchie, mais il pense que le règlement violent et radical de cette question sous la Révolution pose toujours problème. Il pense qu’il faut aujourd’hui des substituts à cette figure.

 

Vous estimez que le président peut « réaliser l’essentiel de son programme car à terme, les batailles politiques à venir se joueront davantage sur les questions identitaires qu’économiques ». Pourquoi ?

Pour l’instant, Emmanuel Macron a triomphé d’obstacles jugés auparavant insurmontables. L’opposition à la loi travail n’a pas été immense, et il n’apparaît pas, aujourd’hui, que la sélection à l’université va engendrer un grand mouvement d’opposition. Mon hypothèse est qu’il peut réussir l’essentiel de son programme socio-économique si la conjoncture économique est favorable, mais cela ne neutralisera évidemment pas toute l’opposition conservatrice. Celle-ci estime que le succès d’Emmanuel Macron n’empêchera pas le ressentiment et qu’elle peut fédérer dans cette situation. Le cas du président polonais Lech Kaczyński [2005-2010] est ici exemplaire. Ce dernier, conservateur, a été élu alors que le gouvernement précédent avait une économie saine. On peut donc imaginer ce scénario d’un retour des conservateurs après Emmanuel Macron, sans qu’il y ait de crise économique aux effets importants. Ce qui se passe avec les populismes en Europe centrale montre que cette situation n’est pas qu’une théorie.

 

Pourquoi rappeler que le dieu Jupiter, dont Emmanuel Macron est fan, n’est pas le seul dieu du panthéon ?

C’est une remarque. Jupiter est le premier des dieux mais ce n’est pas un dieu unique. S’il transcende l’opposition, toutes les sphères d’opposition ou de valeurs ne lui sont pas soumises. Je souhaite rappeler que Jupiter est puissant, mais qu’il n’est pas le seul dieu.

Audience radio : Europe 1 derrière France Bleu, un signe !

Audience radio : Europe 1 derrière France Bleu, un signe !

Sans conteste Europe 1 était la radio la plus dynamique, la plus innovante la plus écoutée dans la jeunesse mais c’était il y a 40 ou 50 ans ! Depuis le média ne cesse de plonger dans les sondages d’audience et dans la médiocrité. Cette radio était innovante d’un triple point de vue d’abord elle collait à l’information du terrain, une sorte de France info d’aujourd’hui, en moins guindé. Ensuite elle était pionnière en matière de diffusion des nouveautés musicales. Enfin il y avait le style : nouveau, décontracté,  percutant. Aujourd’hui on est passé à la radio pépère d’où sans doute cette sanction de l’opinion qu’il a fait passer derrière France bleue. En cause une ligne éditoriale pour ménagère de 50 ans qui hésite entre Paris-Match et le Parisien. Les anciens auditeurs qui avaient fait le succès de d’Europe 1  préfèrent radio France bleue ! L’audience d’Europe 1 a donc chuté à un nouveau plancher historique, à 6,6% d’audience cumulée en novembre-décembre (-1,5 point sur un an), tandis que RTL (-0,6 point à 12,1%) reste la radio la plus écoutée de France, mais réduit son avance sur France Inter (+0,1 point à 11,3%), selon Médiamétrie. Selon ces chiffres publiés jeudi, franceinfo (-0,4 pt à 8,5%) et RMC (-0,7 pt à 7,4%) ont également vu leur audience reculer. Côté musicales, NRJ reste la première station (-0,2 pt à 10,5%), devant Skyrock (+0,5 pt à 6,5%) et Nostalgie (-0,1 pt à 6,2%). Europe 1, qui avait recruté Patrick Cohen, journaliste vedette de France Inter, et renouvelé en profondeur sa grille à la rentrée de septembre pour se relancer, touche ainsi un nouveau plancher historique, enfonçant son précédent plus bas (7,1%) enregistré au printemps 2017. Et pour la première fois, Europe 1, déjà distancée l’an dernier par franceinfo et RMC, se retrouve devancée par France Bleu (stable à 7%), et tombe ainsi à la septième place au classement national des radios (toutes catégories confondues).

 

Sondage 2017 : Macron en tête, Mélenchon juste derrière Fillon

Sondage 2017 : Macron en tête, Mélenchon juste derrière Fillon,  

Deux sondages, coup sur coup, indique la consolidation de Macron en tête (26%) suivi de Le Pen à (entre 25 et 25.5), de Fillon entre 17 et 17.5 enfin de Mélenchon de 14.5 à 16% ; Hamon, lui, s’écroule (entre 8 et 10%. Premier sondage : Emmanuel Macron et Marine Le Pen restent en tête des intentions de vote en vue du premier tour de la présidentielle alors que Jean-Luc Mélenchon talonne pour la première fois François Fillon pour la troisième place, selon un sondage Odoxa-Dentsu Consulting pour Le Point diffusé vendredi. Le candidat d’En Marche ! occupe la première position (26%), un score quasi stable depuis le 19 mars, devant la présidente du Front national (25%), en léger recul d’un point. Le candidat Les Républicains François Fillon accuse une baisse de deux points et tombe à 17% des intentions de vote. Mais le phénomène nouveau de ce sondage est la progression du candidat de La France insoumise Jean-Luc Mélenchon, qui bondit de 5,5 points avec 16% des intentions de vote. S’il parvient à une telle poussée, c’est parce que le candidat socialiste Benoît Hamon est en chute libre à 8% (-4,5%), souligne l’institut de sondage. Au second tour, Emmanuel Macron l’emporterait toujours très largement avec 59% contre 41%, mais il baisse sensiblement depuis dix jours, son avance étant réduite de 5 points. Ce sondage a été effectué les 29 et 30 mars auprès d’un échantillon de 1.019 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. Second sondage : Macron à  26,%, reste en tête des intentions de vote devant Marine Le Pen (25,5%) en vue du premier tour de l’élection présidentielle, selon un sondage IFOP-Fiducial pour Paris Match, CNEWS et Sud Radio publié jeudi. L’ex-ministre de l’Economie et la présidente du Front national sont stables. Derrière eux, François Fillon reste à 17,5%, un plancher qu’il a atteint à plusieurs reprises depuis le début de ses ennuis judiciaires et des révélations dans la presse sur son train de vie. A gauche, Jean-Luc Mélenchon (La France insoumise) progresse de 0,5 point, avec 14,5% des intentions de vote, tandis que son concurrent socialiste Benoît Hamon est crédité de 10,0% (stable). Dans l’hypothèse d’un second tour Macron-Le Pen, l’ancien ministre l’emporterait avec 60%, un résultat stable, contre 40%. Le sondage a été réalisé en ligne du 27 au 30 mars auprès d’un échantillon de 2.215 personnes inscrites sur les listes électorales.

Sondage 2017 : Fillon bientôt derrière Hamon ?

Sondage 2017 : Fillon bientôt derrière Hamon ?

 

Sur la tendance,  Fillon pourrait passer derrière Hamon selon un sondage Kantar Sofres-OnePoint. François Fillon a en effet perdu 3 points  en une semaine et se retrouve à 17 % soit un point seulement de plus que Benoît Hamon et loin derrière Marine Le Pen et Emmanuelle Macron.  A 17%, le candidat actuellement investi par le parti les Républicains n’a qu’un point d’avance sur le socialiste Benoît Hamon (16%, +2). Dans l’hypothèse d’un maintien de François Fillon, la présidente du Front national (FN) et l’ex-ministre de l’Economie feraient largement la course en tête, avec respectivement 26% (-1 point) et 25% (stable) des intentions de vote. Alain Juppé parviendrait quant à lui à se qualifier pour le second tour s’il devait remplacer le vainqueur de la primaire de novembre 2016, selon cette même étude réalisée pour LCI et Le Figaro. Dans ce cas de figure, le maire de Bordeaux recueillerait 24,5% des voix, Marine Le Pen 27% et Emmanuel Macron serait éliminé avec 20%. Ce sondage a été réalisé du 2 au 4 mars auprès d’un échantillon de 1.027 personnes inscrites sur les listes électorales.

Sondage 2017 : Macron et Fillon à égalité au 1er tour derrière Le Pen

Sondage 2017 : Macron et Fillon à égalité au 1er tour derrière Le Pen

 

 

Marine Le Pen arrive en tête des intentions de vote pour le premier tour de l’élection présidentielle, avec 24,5%, devant Emmanuel Macron et François Fillon, à 20%, selon un sondage Ifop-Fiducial pour Paris Match, iTELE et Sud Radio publié jeudi. La candidate du Front national progresse de 0,5 point par rapport à un sondage similaire publié mercredi, tandis qu’Emmanuel Macron (En marche !) est stable et François Fillon (Les Républicains) perd un point. Benoît Hamon est quatrième avec 17% (-1 point), suivi par Jean-Luc Mélenchon, à 9,5% (+0,5). François Bayrou, qui n’a pas dit s’il serait ou non candidat, est crédité de 4% (-0,5 point). Au second tour, Emmanuel Macron battrait Marine Le Pen avec 63% (stable) contre 37% et François Fillon la battrait avec 59% (-1 point) contre 41% (+1). Le sondage a été réalisé du 30 janvier au 2 février auprès de 1.414 personnes inscrites sur les listes électorales.

Sondage: La sécurité prioritaire derrière l’emploi

Sondage: La sécurité prioritaire derrière l’emploi

Un sondage dont les résultats ne surprennent guère. La préoccupation du chômage vient toujours en tête chez une majorité de Français. Et suivie  par la problématique de la sécurité dont des Français pensent qu’elle est gérée de manière satisfaisante par les pouvoirs publics. Des tendances qui sont confirmées par  le annuel de l’institut Paul Delouvrier, la sécurité devient prioritaire pour 44% des Français, se plaçant juste derrière l’emploi et la lutte contre le chômage (52%) et devant l’éducation nationale (38%). Le chômage et l’emploi restent la première préoccupation des Français, selon le baromètre annuel élaboré par l’institut Paul Delouvrier. Mais pour la première fois, la sécurité intègre le podium, en raison des multiples attentats commis sur le territoire cette dernière année. Elle devient prioritaire pour 44% des citoyens, se plaçant donc juste derrière l’emploi et la lutte contre le chômage (52%) et devant l’éducation nationale (38%). C’est aussi le seul service public où l’action de l’Etat est jugée positive par une majorité (57%) des Français, malgré une baisse de 6 points, et celui qui satisfait le plus ses usagers (82%). Les attentes des citoyens à l’égard de la police et de la gendarmerie ont fortement progressé comparé à 2015 (+16 points). Côté défense nationale, elles enregistrent là aussi une hausse de huit points, selon cette douzième édition du baromètre. La justice cristallise également des attentes, avec une augmentation de trois points sur un an. L’action de l’Etat dans la santé publique, quatrième domaine où les attentes sont les plus fortes (36%), est jugée positive par 49% des personnes interrogées. Le service public de l’emploi reste le service le plus mal perçu. Seuls 13% des Français en ont une bonne opinion et seulement 45% de ses usagers en sont satisfaits.

2017: Valls à 9% préféré à Hollande à 7% mais loin derrière Macron et Mélenchon

2017: Valls à 9% préféré à Hollande à 7% mais  loin derrière Macron et Mélenchon

Si effectivement selon le sondage Elabe pour BFMTV, Les Echos et Radio Classique, 62% des Français % préfèrent Valls à Hollande, il n’en reste pas moins que le candidat du PS fera à peine 10% dans tous les cas : autour de 7% pour Hollande et 9% pour Valls. Macron et Mélenchon devancent  le candidat socialiste avec chacun autour de 13. François Hollande termine en 5e position avec 7% des intentions de vote au premier tour, derrière Emmanuel Macron et Jean-Luc Mélenchon. Idem pour Manuel Valls qui est lui crédité de 9 points.

Sondage 2017 : Sarkozy passe derrière Hollande

Sondage 2017 : Sarkozy passe derrière Hollande

Il faut d’abord relativiser ce sondage (comme les autres)  qui tente de faire apparaître les préférences des Français pour Hollande d’une part,  Sarkozy d’autre part. Il faut se rappeler que 75 % de la population ne souhaitent la présence ni de l’Hollande,  ni de Sarkozy pour cette élection de 2017. Pour autant ce sondage IFOP montre le net affaiblissement de Nicolas Sarkozy par rapport à François Hollande. Sans doute Nicolas Sarkozy paye-t-il là l’attitude prise à l’égard du Front National c’est-à-dire sa position du ni ni qui assimilait FN et  PS ; de toute évidence Sarkozy n’apparaît pas comme le rassembleur qui était espéré, en raison  sans doute de  ses positions sectaires voir même de  la brutalité qu’il manifeste à l’égard des personnalités qui ne perd partagent e pas son point de vue. Mais ce sondage comme d’autres est cependant à relativiser dans la mesure où les résultats sont parfois contradictoires (un récent sondage montrait que Hollande serait battue au premier comme au deuxième tour). On ne peut écarter l’idée que certains sondages sont un peu bricolés.   »Des deux personnalités suivantes, laquelle préférez-vous? » François Hollande, répondent à 49% les sondés, contre 44% pour son prédécesseur. 7% répondent ni l’un ni l’autre. Depuis mars 2013, Nicolas Sarkozy devançait toujours François Hollande dans ce duel, de six points (mai 2015) jusqu’à quatorze (juillet 2014). Il n’y a pas eu de sondage de ce type entre juillet 2012 et mars 2013. Dans un duel entre le locataire de l’Elysée et Marine Le Pen, le premier remporte 66% d’adhésion (+4 par rapport à octobre) contre 30% (-1) pour la présidente du FN, la différence venant des personnes qui ne choisissent ni l’un ni l’autre. Dans un duel entre le président des Républicains et Marine Le Pen, le premier est préféré par 67% (+3 par rapport à mars) des sondés contre 25% (=) pour la fille de Jean-Marie Le Pen.Invités à dire l’opinion qu’ils ont de toute une série de personnalités, les sondés placent comme en novembre Alain Juppé en tête (68%, +5) de celles dont ils ont une bonne opinion, devant François Bayrou (60%, +3) et, nouveau sur la troisième marche du podium, Laurent Fabius (59%, +8), dans un baromètre très largement à la hausse. Parmi les hausses notables, celle du président de la République, qui gagne 14 points à 45% d’opinions favorables, contre 31 en novembre. Cependant Le président de la République est donné battu dès le premier tour dans un autre sondage TNS Sofres-OnePoint pour Le Figaro, LCI et RTL publié ce mardi 15 décembre. Selon ce sondage, Alain Juppé ou Nicolas Sarkozy seraient largement gagnants, de 40 à 28 points d’écart, face à Marine Le Pen au second tour mais le chef de l’Etat ne serait pas qualifié. Trois configurations de premier tour ont été testées dans cette enquête: dans la première, où Nicolas Sarkozy et François Bayrou sont respectivement candidats des Républicains et du MoDem, Marine Le Pen (26%) est qualifiée pour le second tour avec Nicolas Sarkozy (24%). François Hollande (19%) suit, tandis que François Bayrou et Jean-Luc Mélenchon sont à égalité avec 10,5% des voix, devant Nicolas Dupont-Aignan (Debout la France, 4,5%).

Attractivité : la France derrière l’Allemagne et le Royaume-Uni

Attractivité : la France derrière  l’Allemagne et le Royaume-Uni

La France a connu une hausse du nombre d’implantation d’entreprises étrangères en 2013 mais reste décrochée par l’Allemagne et le Royaume-Uni. La France suit le mouvement, mais ce n’est pas suffisant. Selon le baromètre annuel du cabinet Ernst & Young, la France a connu en 2013 une hausse du nombre d’implantation d’entreprises étrangères. L’an dernier, 514 sociétés se sont ainsi installées dans l’hexagone, contre 471 en 2012.  Après un décrochage très net initié en 2009, la France connaît donc un regain d’attractivité, à l’instar de toute l’Europe. Le Vieux continent a repris des couleurs en 2013 avec un nombre record d’implantation d’entreprises étrangères. Mais la France est encore distancée par l’Allemagne et le Royaume-Uni, respectivement cœur industriel et cœur financier du continent, dont le redressement est plus spectaculaire. 

 

« La crise n’est pas derrière nous » (Chaussade -Suez)

« La crise n’est pas derrière nous » (Chaussade -Suez)

Invité de BFM Business ce même jour, son directeur général, Jean-Louis Chaussade a livré plusieurs éléments d’explication. Jean-Louis Chaussade juge que « la crise n’est pas derrière nous ». « Nous sommes un indicateur assez avancé de la production industrielle et ce que nous voyons, c’est que tout au long de l’année 2013, il y a eu une réduction de la baisse », a-t-il développé.  Avant de poursuivre: « nous sommes sur un pallier et la question est de savoir quelle est la pente du redressement. Selon moi, elle est plutôt lente, mais je pense qu’on est reparti en territoire vert ». Il a ensuite indiqué que la France, l’Europe et l’International comptent chacun pour environ un tiers du chiffre d’affaires de sa société. Concernant la France, « l’activité eau résiste beaucoup mieux à la crise que la partie collecte et traitement des déchets ». Mais malgré cette conjoncture peu évidente « nous n’hésiterons pas à continuer d’investir », a-t-il assuré. « Je crois à l’Europe et je pense qu’il y aura des opportunités sur ce continent », a-t-il insisté.  Alors que le CICE a littéralement sauvé les résultats annuels du groupe La Poste, Jean-Louis Chaussade a indiqué que « le CICE représentait, en 2013, un peu plus de 20 millions d’euros (pour son groupe, soit 10 fois moins que La Poste, ndlr), c’est significatif », a-t-il fait valoir. « Mais je suis plutôt favorable à une baisses des charges », a-t-il nuancé, ajoutant que bien qu’il trouve que le CICE était une bonne idée « je ne voudrais que l’on s’éloigne du chemin qui est de dire ‘baissons les charges des entreprises’ ».

 

Sondage popularité : Fillon remonte, Copé toujours derrière le Pen

Sondage popularité : Fillon remonte, Copé toujours derrière le Pen

 

Presque toutes les personnalités de gauche profite de la remontée de Hollande ; à droite Filon remonte et demeure donc la quatrième personnalité préférée des français, Copé remonte légèrement mais reste à un niveau très bas derrière Le Pen et seulement devant De Villepin. Laurent Fabius (28%) gagne 4 points auprès des Français et 13 auprès des sympathisants de gauche, tandis que Jean-Yves le Drian, testé pour la première fois dans notre baromètre réalise un score de 19%. Des hausses s’observent aussi pour Pierre Moscovici (32% ; +2 points) nettement plus visible depuis un mois, ou pour Najat Vallaud-Belkacem (31% ; +2 points), logiquement très médiatisée en tant que porte-parole du gouvernement dans cette période (mariage-gay notamment). Cette embellie connaît évidemment quelques exceptions, pour les Ministres ayant eu à subir des polémiques médiatiques ces dernières semaines. C’est notamment le cas d’Aurélie Filippetti (26% ; -2 points), suite à son clash avec la direction de France Télévision et aux critiques sur ses vacances Mauriciennes. C’est aussi le cas de Vincent Peillon qui subit en ce moment la colère très médiatisée des syndicats enseignants. Néanmoins, dans son cas, le léger recul constaté ponctuellement en janvier (26% ; -3points) pèse bien peu, au regard du très large soutien des Français à sa réforme et de leur rejet massif du mouvement des enseignants : selon notre enquête BVA-CQFD-itéré publiée le vendredi 25 janvier dernier, 58% des Français soutiennent la réforme et 73% estiment que le mouvement des enseignants s’explique avant tout par leur corporatisme. Sans gaffe, bévue ou boulette il peut espérer capitaliser sur ce soutien de fond pour réussir sa réforme et ainsi retrouver de meilleurs niveaux de popularité dans les mois à venir. A droite aussi, l’année débute mieux qu’elle ne s’est terminée. La fin de la guerre à l’UMP permet aux plaies de se cicatriser. Fillon regagne 3 points auprès de l’ensemble des Français et 6 auprès des seuls sympathisants de droite, et Copé, son rival, en gagne respectivement 2 et 8. Leurs niveaux de départ n’étant pas du tout les mêmes, alors que l’ex-Premier ministre redevient ainsi l’une des personnalités préférées des Français (4ème) comme des sympathisants de droite (3ème après Juppé et Sarkozy), l’actuel patron de l’UMP reste la dernière personnalité de notre top-30 et l’une des personnalités de droite les moins aimées par les sympathisants de droite (avant dernier juste devant Villepin mais derrière Marine le Pen).

 

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