Archive pour le Tag 'dérape'

Marine Le Pen dérape et dénonce un pseudo coup d’État administratif

Marine Le Pen dérape et  dénonce un pseudo coup d’État administratif 

D’une certaine manière, la tonalité des propos de Marine Le Pen rejoint celle des rappeurs très agressifs et nuls qui sollicitent surtout la violence pour s’opposer aux thèses du camp d’en face.

Chez Marine Le Pen,  la démesure autant que la platitude caractérise la plupart de ses interventions. C’est d’ailleurs lorsqu’elle se tait qu’elle engrange les meilleures soutiens.

«C’est une forme de coup d’État administratif», a-t-elle estimé, tout en espérant «que ceci relève uniquement de la rumeur». Ou l’art de dire tout et son contraire.

Ces propos complètement excessifs témoigne du climat qui risque de régner en France sous la pression des extrêmes. L’Élysée rappelle les principes des nominations:

«l’article 13 de notre loi fondamentale indique que le chef de l’État nomme aux emplois civils et militaires tels les préfets lors du Conseil des ministres qu’il préside», a souligné l’Élysée. «Il y a depuis 66 ans chaque semaine des nominations et des mouvements, notamment l’été, indépendamment des moments politiques traversés par nos institutions, et il n’est aucunement prévu qu’une de ces dispositions puisse changer dans les prochains mois.»

Notons par exemple que les patrons de la SNCF ou de la RATP ne seront pas nommés avant le nouveau gouvernement.

Le propos de Marine Le Pen est en plus idiot puisque le futur gouvernement pourra défaire ce que le précédent a décidé.

Russie : une rhétorique de caniveau

Russie : une rhétorique de caniveau

 

La rhétorique du pouvoir russe tombe de plus en plus bas dans le caniveau quand la télévision officielle qualifie le président de la république française : « de merde qui pue ».

En faite rien d’étonnant à ce discours d’une vulgarité déconcertante car la plupart des soutiens et des proches de Poutine sont issus des réseaux mafieux de Saint-Pétersbourg et de l’ancien KGB. Ils s’expriment comme les voyous qu’ils ont été et demeurent. Poutine lui-même est très médiocre intellectuellement. Il a fait de très mauvaises études secondaires puis a suivi les cours de crimes inspirés du KGB pour finir officier de second rang expédié en Allemagne de l’Est. C’est surtout grâce à l’appui des réseaux mafieux autour de Saint-Pétersbourg qu’il a pu ainsi accéder pouvoir suprême. On comprend mieux le personnage et les déclarations russes à partir de l’histoire de Poutine.
Le mardi 27 février, l’animateur de la chaîne de télévision Russie 1 – réputé pour ses propos outranciers et ses provocations – s’est donc  à nouveau illustré en insultant le président de la République.

« Macron est bien sûr un crétin phénoménal, il a complètement perdu la tête. Tu veux t’en prendre à la Russie? Alors choisis une ville française que tu veux rayer de la carte », lance Vladimir Soloviev.

« Toi, salaud de nazi, héritier de Pétain, tu penses que tu peux frapper la Russie impunément? Dans ce cas tu n’as rien compris à notre pays », estime  l’animateur de télévision russe.

Marche contre l’antisémitisme: Mélenchon dérape encore

Marche contre l’antisémitisme: Mélenchon dérape encore

À propos de la marche contre l’antisémitisme dimanche, Mélenchon dérape encore complètement considérant qu’il s’agit d’un « rendez-vous » des « amis du soutien inconditionnel au massacre » à Gaza.

Face à la recrudescence des actes hostiles aux Juifs en France, le président du Sénat, Gérard Larcher, et la présidente de l’Assemblée, Yaël Braun-Pivet, ont appelé mardi « tous ceux qui se reconnaissent dans les valeurs de notre République » à participer dimanche à une « grande marche civique » contre l’antisémitisme.

L’initiative a été immédiatement saluée par la majorité, mais aussi par la droite et l’extrême droite. Le parti socialiste soutient également cette initiative.

Après l’annonce d’une « grande marche » contre l’antisémitisme, Jean-Luc Mélenchon a dénoncé un « rendez-vous » des « amis du soutien inconditionnel au massacre » à Gaza.

Politique: L’ambassadeur de Chine à Paris a encore sérieusement dérapé !

Politique: L’ambassadeur de Chine à Paris a encore sérieusement dérapé !

Comme nous l’écrivions dans un précédent article, l’ambassadeur de Chine à Paris a sérieusement dérapé en contestant les frontières actuelles de l’ex URSS. Des provocations qui ont d’ailleurs amené Pékin à remettre les choses au point pour rappeler le principe du respect des frontières actuelles. Pire l’ambassade de Chine à Paris a été contrainte de publier un communiqué indiquant que les propos de l’ambassadeur étaient personnels et n’engageaient pas la Chine. Un désavœu sanglant !

Une nouvelle fois l’ambassadeur de Chine montrait sa complaisance vis à vis des crimes chinois en même temps que que sa provocation sur les grands thèmes politiques. Cet aussi cet individu qui au cours de la crise du qCovid avait déclaré que le personnel abandonnait les personnes âgées dans les EHPAD pour les laisser mourir! On croyait entendre les discours des communistes des années 1950 qui se caractérisait par la langue de bois, et le mensonge permanent. Parmi tous les ambassadeurs du monde, l’ambassadeur de la Chine en France figure sûrement en tête des contrevérités invraisemblables ( voir par exemple sa définition du communisme qu’il confond avec le nationalisme) et par un négationnisme provocateur voire criminel . Certes l’intéressé traduit d’une certaine manière la position de Pékin mais il en rajoute des tonnes sans doute pour attirer la bienveillance des plus hautes autorités sur lui. Tellement Surréaliste qu’on peut demander si l’intéressé ne tutoie pas par moments la démence. Son comportement agité légitime en tout cas l’interrogation.

L a France a affiché samedi soir sa « consternation » après des propos de l’ambassadeur de Chine en France, qui a nié la souveraineté des pays issus de l’Union soviétique et a questionné l’appartenance de la Crimée à l’Ukraine.

Interrogé vendredi soir sur la chaîne française LCI, Lu Shaye a estimé que les pays de l’ex-URSS « n’ont pas le statut effectif dans le droit international parce qu’il n’y a pas d’accord international pour concrétiser leur statut de pays souverain ».

Concernant la Crimée, un territoire ukrainien que la Russie occupe depuis 2014, il a déclaré : « Ca dépend de comment on perçoit ce problème. Il y a l’Histoire. La Crimée était tout au début à la Russie. C’est Khrouchtchev qui a offert la Crimée à l’Ukraine dans l’époque de l’Union soviétique. »

Le ministère français des Affaires étrangères a indiqué dans un communiqué avoir « pris connaissance avec consternation » de ces propos, demandant à la Chine « de dire (s’ils) reflètent sa position, ce que nous espérons ne pas être le cas ».

L’Ukraine a été reconnue internationalement « dans des frontières incluant la Crimée en 1991 par la totalité de la communauté internationale, Chine comprise, à la chute de l’URSS comme nouvel Etat-membre des Nations unies », a insisté Paris, rappelant que l’annexion de la Crimée par la Russie en 2014 est « illégale au regard du droit international ».

Société: Plus d’un Français sur deux par en vacances à Noël d’après la sous-ministre Olivia Grégoire qui dérape

Société: Plus d’un Français sur deux par en vacances à Noël d’après la sous-ministre Olivia Grégoire qui dérape</strong>

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La sous- ministre des PME Olivia Grégoire dérape complètement en affirmant que «55% des Français ont l’intention de partir en vacances fin décembre», lors d’un point de presse téléphonique. La soue ministre confond totalement les statistiques globales des vacances et celles spécifiques à Noël.

Environ «77% d’entre eux envisagent de rester en France pour les vacances de Noël», selon la ministre, ce qui profite à «tous les territoires français (…) pas uniquement les littoraux ou la montagne». «Selon les premières estimations, le budget moyen pour le séjour d’hiver serait de 371 euros par personne, ce qui est équivalent aux années précédentes».

la différence entre les chiffres de la ministre et la réalité est de taille. 20% des Français partent pour les vacances de Noël. C’est ce qu’affirme l’édition 2018 du Baromètre Mondial Assistance, dans un sondage représentatif*. C’est un chiffre équivalent à celui des cinq années précédentes, à l’exception d’un pic à 26% en 2013. En moyenne, leurs vacances durent sept jours, et un quart des vacanciers partent quelques jours de plus. Selon le sondage, les Français ont nettement réduit leur temps de vacances, comparé aux années précédentes.

ll y a 20 ans, 58 % des Français déclaraient partir en vacances selon le Crédoc. Le taux de départ en vacances a assez peu évolué depuis le début des années 2000, et il a diminué en 2020 en raison de la pandémie de Covid-19

Qui sont les chanceux qui font leurs valises chaque année ? Pour partir, il faut en avoir les moyens. Seuls 37 % des personnes aux revenus inférieurs à 1 285 euros mensuels ont quitté leur domicile, contre 72 % de celles qui disposent de plus de 2 755 euros (données de janvier 2022). Transport, hébergement, activités : les vacances coûtent cher et toute une partie des ménages n’ont pas de moyens suffisants pour partir. Les aides financières aux vacances sont insuffisantes. En outre, les plus aisés bénéficient plus souvent, du fait d’amis ou de leur famille, d’un hébergement gratuit.
Partir dépend aussi du milieu social. 65 % des cadres supérieurs et des professions intermédiaires partent en congé, contre 47 % des ouvriers, selon les données de 2022 du Crédoc. Plus on monte dans l’échelle sociale, plus on a de chances de s’échapper.

Délire: « Plus d’un Français sur deux part en vacances à Noël » d’après la sous-ministre Olivia Grégoire qui dérape<

Délire: « Plus d’un Français sur deux part en vacances à Noël » d’après la sous-ministre Olivia Grégoire qui dérape

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La sous- ministre des PME Olivia Grégoire dérape complètement en affirmant que «55% des Français ont l’intention de partir en vacances fin décembre», lors d’un point de presse téléphonique. La soue ministre confond totalement les statistiques globales des vacances et celles spécifiques à Noël.

Environ «77% d’entre eux envisagent de rester en France pour les vacances de Noël», selon la ministre, ce qui profite à «tous les territoires français (…) pas uniquement les littoraux ou la montagne». «Selon les premières estimations, le budget moyen pour le séjour d’hiver serait de 371 euros par personne, ce qui est équivalent aux années précédentes».

la différence entre les chiffres de la ministre et la réalité est de taille. 20% des Français partent pour les vacances de Noël. C’est ce qu’affirme l’édition 2018 du Baromètre Mondial Assistance, dans un sondage représentatif*. C’est un chiffre équivalent à celui des cinq années précédentes, à l’exception d’un pic à 26% en 2013. En moyenne, leurs vacances durent sept jours, et un quart des vacanciers partent quelques jours de plus. Selon le sondage, les Français ont nettement réduit leur temps de vacances, comparé aux années précédentes.

ll y a 20 ans, 58 % des Français déclaraient partir en vacances selon le Crédoc. Le taux de départ en vacances a assez peu évolué depuis le début des années 2000, et il a diminué en 2020 en raison de la pandémie de Covid-19

Qui sont les chanceux qui font leurs valises chaque année ? Pour partir, il faut en avoir les moyens. Seuls 37 % des personnes aux revenus inférieurs à 1 285 euros mensuels ont quitté leur domicile, contre 72 % de celles qui disposent de plus de 2 755 euros (données de janvier 2022). Transport, hébergement, activités : les vacances coûtent cher et toute une partie des ménages n’ont pas de moyens suffisants pour partir. Les aides financières aux vacances sont insuffisantes. En outre, les plus aisés bénéficient plus souvent, du fait d’amis ou de leur famille, d’un hébergement gratuit.
Partir dépend aussi du milieu social. 65 % des cadres supérieurs et des professions intermédiaires partent en congé, contre 47 % des ouvriers, selon les données de 2022 du Crédoc. Plus on monte dans l’échelle sociale, plus on a de chances de s’échapper.

Production électrique : EDF dérape encore!

Production électrique : EDF dérape encore!


Le moins que l’on puisse dire, c’est que la situation n’aide pas EDF à promouvoir l’indispensable électricité nucléaire. Le constat est terrible 29 des 56 réacteurs nucléaires en France sont à l’arrêt. Des facteurs explicatifs externes à l’entreprise mais aussi des responsabilités internes.

Ainsi la production a été retardée après la nécessité de remettre aux normes la quasi-totalité des réacteurs. Une opération de grand carénage retardé par le Covid qui a neutralisé l’action des agents EDF et des sous-traitants. EDF n’a cependant rien fait pour développer une stratégie de rattrapage de cet entretien.

Récemment, il y a eu aussi une grève qui a paralysé les réacteurs en cours d’entretien. Il aura fallu attendre des semaines pour que syndicats et direction se mettent d’accord sur une revalorisation des salaires.

On ne peut s’empêcher de s’interroger sur les retards de production. Certains ont des raisons objectives mais certains pourraient constituer des formes de pression d’EDF pour obtenir de nouveaux financements en particulier concernant la construction EPR. Outre les questions techniques l’entreprise doit faire face à un management défaillant.Le groupe français a donc annoncé jeudi avoir abaissé sa prévision de production nucléaire en France pour 2022, en raison de l’impact des grèves sur la maintenance de ses réacteurs et l’allongement de la durée d’arrêt de 4 réacteurs nucléaires. . Résultat : la production nucléaire ne sera pas comprise entre 280-300 TWh (térawattheures) en 2022 comme l’énergéticien français l’envisageait jusqu’ici, mais devrait se situer dans une fourchette allant de 275 à 285 TWh (térawattheures).

Le groupe a confirmé ses estimations de la production nucléaire en France pour 2023 et 2024, soit respectivement 300-330 TWh et 315-345 TWh. Pour rappel, la capacité du parc français avoisine les 460 TW.

Cet environnement encore dégrader les résultats financiers du groupe. Par ailleurs se pose la question récurrente de la situation financière de l’entreprise qui traîne un lourd boulet d’endettement alors qu’elle doit aussi faire face au financement des nouveaux EPR.

Sous influence russe, le Mali dérape de plus en plus

Sous influence russe, le Mali dérape de plus en plus

 

Le Mali reprend désormais à son compte la phraséologie et la dialectique outrancière russe pour dénoncer presque chaque jour l’attitude de la France. Y compris avec des contrevérités de type KGB pour intoxiquer les populations. La vérité c’est que le Mali officiel se rétrécit comme une peau de chagrin depuis le départ imposé à la France et que les Russes et ce qui reste des forces maliennes sont maintenant opposés aux islamistes.

Et pour masquer leurs faiblesses la Russie et le Mali attaque la France à l’ONU. De quoi sourire si la situation n’était pas aussi dramatique pour une dictature malienne de plus en plus isolée en dépit du soutien russe et notamment des mercenaires de Wagner

Le gouvernement malien affirme être en mesure de démontrer où et quand la France aurait livré des armes à des groupes islamistes, est-il ajouté dans le courrier, sans toutefois qu’aucune preuve ne soit fournie.

« La France n’a évidemment jamais soutenu, directement ou indirectement, ces groupes terroristes, qui demeurent ses ennemis désignés sur l’ensemble de la planète », a indiqué l’ambassade de France au Mali sur Twitter, soulignant que 53 soldats français étaient morts au Mali au cours des 9 dernières années.

Ces accusations interviennent alors que la France a achevé lundi le retrait des soldats français de Barkhane, une opération militaire visant à lutter dans le Sahel contre les mouvements islamistes.

 

Législatives : la majorité de Macron dérape

Législatives : la majorité de Macron dérape

 

L’élément le plus significatif de ces législatives résident sans doute dans le dérapage de la majorité de Macon. Une majorité qui passe de 32 % obtenus aux Législatives de 2017 à 26 %, autant que Mélenchon.

Après une campagne atone et dans un contexte d’abstention record de 52,49 %, Ensemble (25,81 %) est même  légèrement devancé par la Nupes (26,10 %), selon les résultats du premier tour du scrutin.

Emmanuel Macron avait choisi la « stratégie du chloroforme », selon ses opposants, pour tenter d’amortir l’impact d’un scrutin que les stratèges de la majorité sortante abordaient la boule au ventre explique France Info

A l’exception d’un texte sur le pouvoir d’achat, promis pour le début de l’été, le chef de l’Etat s’est volontairement rendu immobile pendant les sept semaines qui ont séparé le second tour de la présidentielle du premier tour des législatives, esquivant les points clivants de son programme, à commencer par la réforme des retraites. Ce n’est que dans les derniers jours que Macron a sorti de son chapeau un nouveau gadget le « Conseil national de la rénovation ». Une proposition qui n’a guère enthousiasmé la classe politique et d’une façon plus générale la société. D’une certaine façon avec cette propositions Macron réinventait l’eau chaude. Une curieuse proposition faisant doublon avec le Parlement qui justement a pour rôle de décider des nouvelles orientations pour le pays. Cela n’a pas suffi à endiguer la dynamique de la Nouvelle Union populaire écologique et sociale (Nupes), qui dépasse, avec 26,10 % des voix au niveau national, les troupes macronistes d’Ensemble ! (25,81 %) selon les résultats définitifs.

 

Selon les projections d’Ipsos-Sopra Steria, la coalition présidentielle risque, avec 255 à 295 députés, de ne pas bénéficier de la majorité absolue à l’issue du second tour, le 19 juin, dont le seuil est fixé à 289 sièges.

Un dévissage précoce

La déconvenue est d’ores et déjà manifeste si l’on compare le score des macronistes aux 32,33 % qu’ils avaient obtenus au premier tour des législatives de 2017. Les candidats d’Ensemble ! ne parviennent même pas à égaler le résultat du chef de l’Etat au premier tour de la présidentielle, il y a moins de deux mois (27,85 %). Un dévissage précoce, qui envoie un signal d’alarme au locataire de l’Elysée sur la conduite des cinq années à venir. Symbole de cette mauvaise soirée, l’ancien ministre de l’éducation nationale, Jean-Michel Blanquer, est éliminé dans la 4e circonscription du Loiret, où il s’était parachuté.

Lire aussi : Article réservé à nos abonnés Elections législatives 2022 : le parachutage compliqué du candidat Blanquer dans le Loiret

Cette configuration est à mettre au crédit de Jean-Luc Mélenchon, qui est parvenu à allier autour de lui des forces de gauche jusque-là moribondes. Le troisième homme de la présidentielle, qui a uni le Parti socialiste, Europe Ecologie-Les Verts et le Parti communiste français à La France insoumise (LFI) autour du mot d’ordre « Mélenchon premier ministre », a créé une dynamique dans cette élection. La seule, en vérité, tant personne n’a semblé s’intéresser à ce scrutin pourtant déterminant dans l’équilibre politique du second quinquennat d’Emmanuel Macron.

Immigration : Montebourg dérape

Immigration : Montebourg dérape

Autant on peut adhérer à certaines analyses de Montebourg sur la maîtrise de l’immigration autant sa proposition de bloquer les transferts financiers vers les pays d’origine des immigrés paraît totalement iconoclaste. D’abord juridiquement évidemment , c’est impossible au regard des réglementations internationales et européennes. Politiquement, c’est également une erreur qui met dans chaque des immigrés coupables d’infraction en France et ceux qui travaillent et respectent les lois républicaines françaises. ( On imagine qu’elle serait les rétorsions politiques et financières vis-à-vis de la France). Comme d’habitude Montebourg fait souvent des analyses qu’on peut partager mais les solutions qu’il propose sente l’amateurisme technique et l’aventurisme politique

.Montebourg a largement raison de dénoncer le phénomène de désindustrialisation en France est de se prononcer pour des relocalisations. Par contre, Montebourg démontre une nouvelle fois son incompétence politique et technique.

 

Racialisme: Pulvar dérape encore

 

Racialisme: Pulvar dérape encore

Encore un dérapage d’Audrey Pulvar de plus en plus gauche bobo (elle est chargée de l’agriculture auprès d’Anne Hidalgo !) qui approuve la ligne racialiste qui exclut les blancs supposés tous coupables de discriminations genrées. Faute de programme, une partie de la gauche substitue la problématique raciale à la problématique plus générale du programme politique. Ou un repli sectaire en forme déjà d’acceptation de la marginalisation de la gauche minoritaire dans le pays se repliant sur l’extrémisme et les bobos;. .Selon l’écrivain et philosophe, les propos d’Audrey Pulvar sur les réunions «non-mixtes» entretiennent «un climat d’affrontement».Pascal BRUCKNER philosophe dénonce ce repli sectaire. dans LE FIGARO.

- Sur BFM-TV, Audrey Pulvar a jugé qu’on peut demander aux Blancs «de se taire» lors d’une réunion non-mixte. Selon vous, certaines discriminations se justifient-elles au nom de l’antiracisme?

Pascal BRUCKNER. - En tenant ces propos, Audrey Pulvar franchit la ligne rouge. Elle rejoint le camp des «fous de la race» et devient le symptôme d’un phénomène plus large, au terme duquel pourrait apparaître la justification de l’apartheid au nom de l’antiracisme. Au XXe siècle, les organisations antiracistes prônaient un idéal universaliste et combattaient toute forme de ségrégation, désormais de nouvelles associations ethniques ont pour principe de base de dénoncer les coupables: les hommes blancs et les femmes blanches. Dans cette optique, naître blanc, c’est naître avec un casier judiciaire plein et naître non-blanc c’est naître avec un passeport de victime éternelle. Dans

 

Richard (Orange) dérape encore en soutenant le chinois Huawei

 

 

Stéphane Richard, PDG d’Orange, qui s ‘est illustré comme directeur de cabinet de Christine Lagarde (quand elle était ministre des finances)  en accordant la modique somme de 400 millions à Tapie dérape à nouveau. Par parenthèse dans cette affaire tous les responsables de l’État ont tous  été innocentés démontrant ainsi la collusion entre la justice et les affaires politiques ou financières. Stéphane Richard défend la technologie chinoise de , qu’ils accusent de servir aux activités d’espionnage de la Chine, ce que le groupe chinois dément.“Je suis contre l’exclusion de Huawei qui pourtant menace la souveraineté et la démocratie.

Ce n’est sans doute pas un patron d’entreprise surtout à un ancien fonctionnaire  spécialiste du pantouflage d’influencer les choix nationaux et européens concernant une technologie qui menace la souveraineté. L’intéressé a un peu tendance à tout mélanger:  son intérêt personnel, l’intérêt de son entreprise et celui du pays. On objectera que le patron d’Orange a continué à contribuer à moderniser son entreprise,. en clair, à en faire une entreprise comme les autres c’est-à-dire qui n’a plus  avoir avec la moindre option du service public. Pour ‘en rendre compte, il  suffit de voir quelles sont les conditions de couverture du territoire qui comporte encore de nombreux trous voir une absence de couverture et surtout l’état de déliquescence du réseau cuivre. On sait que ce réseau cuivre sera encore longtemps indispensable aux zones peu denses dans la mesure où ni le câble ni la technologie G5 ne parviendra dans certaines régions.

Les Etats-Unis incitent les pays européens à se passer de la technologie de Huawei, qu’ils accusent de servir aux activités d’espionnage de la Chine, ce que le groupe chinois dément.“Je suis contre l’exclusion de Huawei”, a dit cependant Stéphane Richard lors de la présentation de ses voeux.

Thierry Breton, commissaire européen au Marché intérieur, a affirmé dimanche que le recours à des entreprises européennes ne retarderait pas le développement de la 5G en Europe, contrairement aux craintes formulées, en Allemagne notamment, sur les conséquences d’une mise à l’écart de Huawei.

Stéphane Richard s’est néanmoins prononcé jeudi pour la définition de règles claires au niveau européen sur le sujet.

“J’espère que ça ne va pas conduire à une exclusion de fait des Chinois et notamment de Huawei sur la scène européenne qui, je pense, serait contraire aux intérêts de l’Europe et par ailleurs poserait des problèmes importants à la plupart des opérateurs européens”, a toutefois dit le PDG d’Orange.

 

Déficit : la France dérape et record d’impôts (FMI)

Déficit : la France dérape et record d’impôts (FMI)

 

C’est le paradoxe, la France ne parvient pas à réduire de façon significative son endettement mais parallèlement détient le record de fiscalité. C’est le constat du FMI. Le Fonds monétaire international (FMI) «juge qu’un fort ajustement serait adéquat pour reconstituer des amortisseurs (en cas de crise) et ne pas mettre en retard l’atteinte des objectifs à moyen terme des règles budgétaires de l’UE».Ils s’alignent en cela sur les recommandations des équipes techniques du FMI. Celles-ci tablent sur un déficit à 2,3 % en 2020, là où le gouvernement promet un trou de seulement 2,1 %. Ces équipes du FMI conseillent surtout de viser un objectif plus ambitieux de déficit à 1,7 %. Le FMI appelle le gouvernement à «poursuivre son programme de réformes afin de s’attaquer aux défis structurels qui demeurent: une dette publique et privée élevée, un chômage structurel toujours élevé» ou encore une «croissance morose de la productivité».

«Les différents gouvernements s’étant succédé en France ont eu recours, pour contenir les déficits, à des hausses d’impôts, suivies par des périodes de baisses d’impôts, observe le FMI. Ce faisant, ils ont été incapables de diminuer la dépense publique, qui a augmenté de 10 points de PIB depuis les années 1980 et atteint un niveau record parmi les pays développés.

La «star» Yannick Jadot : encore un écolo politique qui dérape

La «star» Yannick Jadot : encore un écolo politique qui dérape

Jadot, comme nombre de ses prédécesseurs écolos et politiques est tombé dans le piège de la personnalisation et même de la starisation. Il ne manque pas d’écolo qui, sous Hollande, se sont pris les pieds dans le tapis du star système politique. La plupart ont d’ailleurs disparu du paysage pour se reconvertir notamment dans le business. Ils ont souvent échangé leurs convictions écolos contre un portefeuille ministériel ou une place d’élus. Cohn-Bendit lui-même, leader historique des écolos est passé avec l’âge chez Macron. La vieillesse est vraiment un naufrage quand on voit cet autre leader gauchiste de 68, Romain Goupil, adhérer   aussi à l’ultra libéralisme de Macron).  . (La vieillesse est vraimenet un naufrage quand o voit cet autre leader gauchiste Romain Goupil a adhéré au macronisme)).  Jadot lui aussi veut sa part de reconnaissance médiatique. Son premier geste d’ailleurs après score honorable des élections européennes a été de se faire prendre en photo avec son épouse pour figurer sur la couverture de Paris-Match ! «Je suis devenu une star parce que j’ai fait ce score-là….. », s’est-il félicité. Les réactions n’ont pas tardé, notamment sur Twitter où de nombreux internautes ont moqué le manque de modestie de l’élu. Mais Jadot vise maintenant les élections présidentielles, moins peut -être pour les gagner que pour un éventuel poste (notons qu’il n’a pas affirmé très clairement être de gauche et que les combinaisons sont possibles ! Ce qu’il dit d’ailleurs à propos des municipales. ). Les dérapages de Jadot ont déjà été sanctionnés car les écolos de base n’aiment pas la starisation. D’après le baromètre mensuel Elabe pour Les Échos et Radio Classique, Yannick Jadot perd dix places au classement des personnalités politiques en juillet, et rassemble davantage d’opinions négatives (36%, contre 21% de sondés ayant de lui une image positive). Chez les sympathisants de gauche, sa popularité dégringole également de huit points.

Le mouvement des gilets jaunes dérape

Le mouvement des gilets jaunes dérape

Le soutien aux manifs des gilets jaunes bascule en raison des dérives de certains leaders : Dérives extrémistes, dérives politiques et dérives personnelles sans parler des violences qui ternissent le mouvement. Certes un majorité soutient encore les gilets jaunes mais la même majorité condamnent les manifestations.  Deux principaux leaders radicaux des gilets jaunes en particulier sont en train de tuer le mouvement : Maxime Nicolle et Eric Drouet  ( sans parler de Christophe Chalençon qui parle de prise de pouvoir par des para-mimitaires !). Huerisement d’autres leaders plus réalistes considèrent les dérives politiques comme irresponsables.  Finalement,certains leaders auto-proclamés n’ont pu résister au parfum médiatique très éphémère qui peut donner l’impression à un individu d’atteindre la notoriété éternelle et de prétendre au rôle de leader majeur dans la société. Malheureusement, ils sont tombés dans le piège du système qu’ils dénoncent eux-mêmes, celui de la personnalisation, de la médiatisation et du star-system. Ils ont d’abord largement dénaturé la nature et l’objet du mouvement fondé sur une revendication de justice sociale et de justice fiscale. Cela pour y substituer des revendications plus politiques notamment l’illusoire référendum d’initiative citoyenne qui se substituerait est au fonctionnement démocratique actuel. Certes un fonctionnement très critiquable mais qui appelle des transformations autrement plus élaborées que le seul recours à un référendum. Ces deux leaders autoproclamés ont certes des soutiens nombreux mais ce sont essentiellement les plus radicaux. Plus la mobilisation s’affaiblit et plus le mouvement se radicalise, ce  qui du coup découragent les plus modérés. Tout cela se termine en général par des actions  qui ne reposent plus que sur les plus extrémistes. Un phénomène bien connu dans le mouvement social : plus l’action devient minoritaire et plus on propose des formes d’action dure et cela jusqu’à l’extinction des forces. Bref le contraire d’une gestion responsable d’une action collective. En plus du caractère extrémiste et d’une  idéologie sulfureuse anarcho légèrement de droite des deux leaders évoqués,  il faut noter  leur grande insuffisance en matière de connaissances économiques sociales voir sociétales. Leur expression est particulièrement confuse et contradictoire. Bref, le costume de leader politique est un peu grand pour eux. Aujourd’hui l’opinion publique n’approuve plus les manifestations répétées chaque week-end non seulement en raison des violences mais aussi du manque total de perspective de ce mouvement conduit de manière totalement anarchique et irresponsable. Finalement la très grande majorité des gilets jaunes avait bien raison de se méfier de tous les leaders autoproclamés et de leur dérive. Le mouvement des gilets jaunes méritait mieux.

 

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