Archive pour le Tag 'dépasser'

Transition écologique : dépasser les clivages

Transition écologique : dépasser les clivages

A l’occasion du Salon ChangeNOW, du 25 au 27 mars, 300 acteurs de l’impact et du monde économique appellent à placer l’écologie au coeur des projets d’avenir commun alors que 50 % de la population mondiale est appelée aux urnes en 2024. Réunis à l’initiative de ChangeNOW, plus de 300 acteurs de l’impact et du monde économique, français et internationaux, appellent à dépasser les clivages et à placer l’écologie et les limites planétaires comme des principes fondamentaux sur lesquels la société doit se construire et s’organiser, pour un avenir durable et plus humain.( dans les Echos)

Dans un monde en constante évolution, où les défis se multiplient et se complexifient, l’écologie est souvent perçue comme une contrainte supplémentaire, un luxe moral réservé à certains ou aux temps de prospérité. Pourtant, non seulement cette vision est réductrice, mais elle est aussi dangereuse. Elle oppose artificiellement l’écologie à d’autres domaines tels que l’agriculture, l’industrie ou l’économie. Comme si protéger notre environnement nous obligeait à sacrifier le reste.

Or, l’écologie, du grec « oikos » (maison) et « logos » (science), n’est autre que la science de notre maison commune, ce cadre dans lequel toute vie sur Terre est régie. Elle est intrinsèque à chaque aspect de notre existence : se nourrir, se déplacer, se vêtir, produire, tout est acte écologique, car nous opérons toujours dans les limites de notre monde.

Alors que plus de 50 % de la population mondiale est appelée aux urnes en 2024, il est crucial que les enjeux environnementaux ne soient ni éclipsés ni instrumentalisés. Au lieu d’utiliser l’écologie afin de créer du clivage et des désaccords, il faut prendre conscience qu’elle est le socle commun dont nous dépendons collectivement.

Ignorer les principes écologiques, c’est prendre le risque de devenir « hors-sol », de se déconnecter des réalités physiques qui encadrent notre existence et de creuser la fracture sociale liée aux conséquences du changement climatique. La science nous enseigne que toute action a ses effets. L’écologie applique ce principe au domaine du vivant et de notre interaction avec lui.

Il est ainsi impératif d’adopter les limites planétaires comme guide de notre développement. Non pas comme un frein, mais comme une nécessité pour bâtir un avenir durable et plus juste, ne laissant personne de côté.

C’est dans cet esprit que nous, entrepreneurs, dirigeants, investisseurs, membres d’ONG, activistes, experts, artistes, athlètes et citoyens de tous horizons, nous rassemblerons en nombre à ChangeNOW [auquel s'associe le groupe Les Echos-Le Parisien, NDLR], du 25 au 27 mars, à Paris, autour de solutions concrètes, pour transcender la confrontation stérile entre écologie et progrès et faire preuve d’un engagement commun pour construire un monde durable et plus humain.

Dans un monde qui pousse à nous polariser, à nous diviser, à menacer l’existence même de nos démocraties, deux éléments nous unissent tous : l’écologie et l’humanité. L’écologie, en tant que science de notre maison commune, car elle définit, telle une loi physique, le cadre dans lequel nous vivons. L’humanité, car elle définit, telle une loi morale, ce que nous sommes tous. Il est temps de considérer l’écologie non pas comme une contrainte, mais comme le fondement de notre avenir commun.

Ecologie : dépasser les clivages

Ecologie : dépasser les clivages

A l’occasion du Salon ChangeNOW, du 25 au 27 mars, 300 acteurs de l’impact et du monde économique appellent à placer l’écologie au coeur des projets d’avenir commun alors que 50 % de la population mondiale est appelée aux urnes en 2024. Réunis à l’initiative de ChangeNOW, plus de 300 acteurs de l’impact et du monde économique, français et internationaux, appellent à dépasser les clivages et à placer l’écologie et les limites planétaires comme des principes fondamentaux sur lesquels la société doit se construire et s’organiser, pour un avenir durable et plus humain.( dans les Echos)

Dans un monde en constante évolution, où les défis se multiplient et se complexifient, l’écologie est souvent perçue comme une contrainte supplémentaire, un luxe moral réservé à certains ou aux temps de prospérité. Pourtant, non seulement cette vision est réductrice, mais elle est aussi dangereuse. Elle oppose artificiellement l’écologie à d’autres domaines tels que l’agriculture, l’industrie ou l’économie. Comme si protéger notre environnement nous obligeait à sacrifier le reste.

Or, l’écologie, du grec « oikos » (maison) et « logos » (science), n’est autre que la science de notre maison commune, ce cadre dans lequel toute vie sur Terre est régie. Elle est intrinsèque à chaque aspect de notre existence : se nourrir, se déplacer, se vêtir, produire, tout est acte écologique, car nous opérons toujours dans les limites de notre monde.

Alors que plus de 50 % de la population mondiale est appelée aux urnes en 2024, il est crucial que les enjeux environnementaux ne soient ni éclipsés ni instrumentalisés. Au lieu d’utiliser l’écologie afin de créer du clivage et des désaccords, il faut prendre conscience qu’elle est le socle commun dont nous dépendons collectivement.

Ignorer les principes écologiques, c’est prendre le risque de devenir « hors-sol », de se déconnecter des réalités physiques qui encadrent notre existence et de creuser la fracture sociale liée aux conséquences du changement climatique. La science nous enseigne que toute action a ses effets. L’écologie applique ce principe au domaine du vivant et de notre interaction avec lui.

Il est ainsi impératif d’adopter les limites planétaires comme guide de notre développement. Non pas comme un frein, mais comme une nécessité pour bâtir un avenir durable et plus juste, ne laissant personne de côté.

C’est dans cet esprit que nous, entrepreneurs, dirigeants, investisseurs, membres d’ONG, activistes, experts, artistes, athlètes et citoyens de tous horizons, nous rassemblerons en nombre à ChangeNOW [auquel s'associe le groupe Les Echos-Le Parisien, NDLR], du 25 au 27 mars, à Paris, autour de solutions concrètes, pour transcender la confrontation stérile entre écologie et progrès et faire preuve d’un engagement commun pour construire un monde durable et plus humain.

Dans un monde qui pousse à nous polariser, à nous diviser, à menacer l’existence même de nos démocraties, deux éléments nous unissent tous : l’écologie et l’humanité. L’écologie, en tant que science de notre maison commune, car elle définit, telle une loi physique, le cadre dans lequel nous vivons. L’humanité, car elle définit, telle une loi morale, ce que nous sommes tous. Il est temps de considérer l’écologie non pas comme une contrainte, mais comme le fondement de notre avenir commun.

PMA « dépasser les diktats « 

PMA « dépasser les diktats « 

 

Le faible taux de réussite est le problème principal de la PMA, et les recherches visant à déterminer le potentiel de développement des embryons doivent être autorisées afin d’éviter cette situation, souligne René Frydman, pionnier de la médecine procréative.(Tribune dans le monde)

Quarante ans après ses débuts, quel est le problème principal de la procréation médicalement assistée (PMA) ? C’est le faible taux de réussite et les répétitions souvent inutiles qui en découlent puisque, in fine, 40 % des couples n’auront pas l’enfant désiré. Vouloir étendre les indications de la PMA est un problème de société, vouloir améliorer les taux de succès est une problématique médicale.

Selon l’Agence de biomédecine en 2016, 297 744 embryons ont été conçus après PMA in vitro. Seulement la moitié (49,2 %) ont été jugés aptes, en fonction de leur aspect morphologique, à être transférés ou congelés en vue d’un transfert ultérieur. Et, parmi les embryons transférés, seuls 16,5 % se sont développés jusqu’à la naissance. Ainsi, on estime qu’environ 60 % des embryons obtenus in vitro ne sont pas aptes à se développer, et ce pourcentage atteint 80 % chez les patientes âgées de 40 ans et plus.

Des recherches visant à déterminer le potentiel de développement des embryons doivent être autorisées afin d’éviter cette situation. N’est-ce pas faire violence aux femmes que de faire comme si cela n’existait pas ? L’analyse de l’aspect morphologique des embryons est aujourd’hui la base du choix du transfert ou non, mais cette approche est loin d’être fiable. C’est pourquoi il faut se tourner vers d’autres marqueurs. Par exemple, on pourrait étudier certains constituants du milieu de culture dans lequel l’embryon se développe, ou étudier les caractéristiques des petites cellules qui l’entourent.

Ce sont des perspectives intéressantes, mais on peut dès aujourd’hui réaliser le prélèvement d’une cellule embryonnaire, ou diagnostic préimplantatoire (pratiqué depuis 1991), à cette fin. Cette technique permet l’analyse des chromosomes et permettrait également des recherches sur le métabolisme intracellulaire ou sur l’équipement mitochondrial de l’embryon. Ces techniques de prélèvement cellulaire embryonnaire ne sont pas délétères, mais, à la différence de la plupart des pays européens, demeurent interdites en France pour ce type de recherche sur le potentiel de développement.

Des données internationales récentes, parues dans la revue ­Fertility and Sterility en 2019, montrent que pour 661 patientes randomisées (c’est-à-dire bénéficiant de l’examen chromosomique embryonnaire ou non), cet examen n’apporte aucun bénéfice pour une population standard de moins de 35 ans. Par contre, chez les femmes âgées de plus de 35 ans, cette technique devient très pertinente. Ces données démontrent la nécessité d’autres recherches sur des situations telles que les échecs répétés d’implantation, ou les fausses couches à répétition. Comme toute donnée scientifique, celles-ci doivent être vérifiées. »

Dépasser les clivages droite-gauche (Edouard Philippe)

Dépasser les clivages droite-gauche (Edouard Philippe)

Le nouveau Premier Ministre  juge « passionnant » de tenter avec Emmanuel Macron le dépassement des clivages politiques traditionnels. « Cela suscite un espoir et un enthousiasme manifeste qui nous obligent », dit-il. « Je dis à tous : n’ayez pas peur. Nous avons l’occasion de dépasser quelque chose qui est bloqué (…) C’était inextricable. Le président a tranché le nœud gordien. » Il regrette que les dirigeants de LR aient choisi, à l’instar de François Baroin et à quelques exceptions près, de s’engager dans une autre voie pour tenter d’imposer en juin une cohabitation à Emmanuel Macron. « Au sein de ce parti, certains souhaitent que le président et le gouvernement réussissent, pour que la France aille mieux dans cinq ans qu’aujourd’hui », dit-il. « D’autres ont choisi une opposition radicale et stérile. C’est leur choix. » « Mon objectif est de donner une majorité au chef de l’Etat. Je ferai donc campagne pour les candidats qui partagent cet objectif », ajoute le Premier ministre. Edouard Philippe annonce par ailleurs qu’il présentera au prochain conseil des ministres une méthode de travail pour le gouvernement, dont les membres devront faire montre d’une « parfaite loyauté » une fois passé le temps de la discussion. Il assume aussi la volonté de verrouiller la communication gouvernementale montrée par Emmanuel Macron et ses ministres. « Il y a une volonté de maîtriser la communication, de ne pas nourrir un bavardage permanent », explique-t-il. « Dans la phase préparatoire d’un projet, personne n’a vocation à exposer sur la place publique des positions qui ne sont pas arbitrées. » Un changement net de politique de communication par rapport aux contradictions des membres du gouvernement de François Hollande.

Nouveaux pays émergents qui pourraient dépasser les BRICS

Nouveaux  pays émergents qui pourraient dépasser les BRICS

Une dizaine de pays émergents pourraient prendre le relais des BRICS, au moins partiellement. Et parmi ces dix, l’assureur-crédit Coface en identifie, cinq dotés d’un fort potentiel, dans un rapport paru ce mardi 25 mars. Et comme il se doit, ils sont dotés d’un acronyme: « PPICS », pour Pérou, Philippines, Indonésie, Colombie et Sri Lanka. Pour procéder à la sélection, l’assureur crédit a procédé en trois grandes étapes. La première : il faut avoir affiché une croissance supérieure en 2010-2011 à celle de 1999-2008, et avoir tenu le choc durant la récession mondiale de 2009. Ensuite, la croissance potentielle doit dépasser les 4%, avec une part des exportations de matières premières dans le PIB qui ne dépasse pas les 40%, ce qui montre une économie capable de se diversifier.  Deuxième étape: la preuve d’un taux d’épargne qui dépasse les 10%. Ce qui signifie que pour financer les investissements, le pays ne dépend pas excessivement des importations de capitaux. Il faut aussi disposer de banques qui gèrent le crédit. Ce qui exclut, par exemple, le Vietnam, dont le système financier serait, selon Coface, « hors contrôle ».  Troisième critère de la sélection: l’environnement des affaires doit être à peu près convenable. La qualité des paiements et des remboursements doit s’avérer correcte et l’accès à l’information des entreprises, possible. Le Kenya, par exemple, qui a franchi les seuils précédents, n’y parvient pas cette fois. Donc, passé au travers des tamis, c’est une Colombie, ne se résumant plus aux paramilitaires et à la cocaïne, qui arrive en tête des « PPICS ». L’Indonésie, le Pérou, les Philippines et le Sri Lanka suivent de près.

 




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