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Un referendum pour demander le départ de Macron

Un referendum pour demander le départ de macron


Macron va s’enorgueillir d’avoir réalisé la réforme des retraites lors de son passage comme président de la république. Il laissera cependant l’héritage d’un pays en plein déclin et en pleine anarchie démocratique. Pour en sortir il n’y a pas d’autres solutions que le retour aux urnes avec en priorité un référendum sur les retraites et chasser Macron.

Sur le plan économique, la gestion financière a été déplorable avec un déficit délirant qui conduit maintenant le pays a une dette d’environ 3000 milliards. Ce qui actuellement engendre une charge financière de 50 milliards par an. Et le budget continue de filer, comme la dette. Tous les grands équilibres sont dans le rouge, le système de retraite comme le reste en raison notamment des cadeaux fiscaux fait sans aucune compensation ni évaluation. 80 % des Français condamnent la politique économique et sociale du chef de l’État ( sondage Odoxa).

Certes les grands groupes affichent des bénéfices qui battent régulièrement des records mais c’est au prix d’un accroissement des inégalités et d’une répartition des richesses de plus en plus au profit des nantis. Jamais les profits n’ont été répartis autant en faveur des détenteurs du capital.

Par ailleurs, le pouvoir d’achat a été complètement massacré du fait d’une politique énergétique complètement inconséquente. En même temps, Macron a contribué à liquider l’industrie.

Macon -avec Hollande- a sacrifié ce qui constituait notre atout, à savoir l’énergie nucléaire ; tout cela pour récupérer quelques voix écolo du type de celle de Nicolas Hulot ! Nombre d’entreprises, de commerçants d’artisans et agriculteurs vont couler sous le poids d’un prix de l’énergie multipliée par deux, par cinq ou par dix !

Les ménages de leur côté prennent une part de cette catastrophe de la politique énergétique et sous l’effet de l’inflation générale sont contraints de se serrer la ceinture. Aux effets néfastes de la politique énergétique, s’ajoute en effet la hausse également invraisemblable des produits alimentaires : 15 % jusqu’à maintenant auxquels il faudra encore ajouter 10 % après les négociations entre distributeurs et producteurs.

Macron laissera aussi un pays dans un état d’insécurité dramatique avec des banlieues complètement hors la république et un trafic de drogue fleurissant qui maintenant pénètre la plupart des couches de la société.

Il faudrait ajouter la situation déplorable dans nombre de services publics dont la santé mais aussi l’école, elle aussi en pleine décomposition si l’on en juge par les classements internationaux.

Bref Macron finira comme Louis XV haï par son peuple et le phénomène pourra commencer plus rapidement qu’on ne le pense. Il se pourrait même que Macron ne parvienne pas à terminer son mandat ou alors de manière très pitoyable

La question du départ de Macron va se poser

La question du départ de Macron va se poser

 

Avec sa raforme des retraites et un conjoncture explosive, Macron risque deplonger le pays dans une grave crise sociale , économique mais aussi politique. La question de son départ pourrait se poser.

Aujourd’hui, peu de voix s’élèvent pour dénoncer le bilan désastreux du président de la république responsable d’un véritable catastrophe dans nombre de champs d’intérêt collectif.

En matière économique, il y a évidemment l’écroulement industriel voulu par des technocrates qui ont préféré délocaliser les activités dans les pays pauvres et transformer ainsi une grande partie du territoire en désert. Il y a aussi et peut-être surtout la liquidation de la politique énergétique française. Macron, avec Hollande d’abord et seul ensuite, a torpillé l’un des points forts du pays qui consistait à disposer de l’énergie la moins chère d’Europe et même à en exporter. Or la crise nous oblige aujourd’hui à importer de l’électricité notamment d’Allemagne et fabriquée à partir du charbon voire du gaz russe !

Dans la plupart des filières , on a outrageusement amplifié la complexité des directives et règlements européens. En cause, les problèmes existentiels d’une superstructure surabondante de fonctionnaires qui justifient ainsi leur rôle. Témoin encore la question du nucléaire. Il faut 15 ans à la France pour construire une centrale quand il en faut cinq en Chine qui se limite au strict respect des réglementations internationales.

Le désastre à l’école constitue également la preuve de la chute culturelle du pays. La France ne manque pas de bac+3 ou 4 qui ne débouchent sur rien sinon sur des postes souvent inutiles de l’administration mais elle manque partout de techniciens et d’ouvriers qualifiés. Pour preuve, on a du faire venir des États-Unis des centaines et des centaines de soudeurs entretenir nos centrales nucléaires.

Concernant la santé, on peut se féliciter du niveau de couverture et de la qualité des soins. Pour autant, le système est totalement à revoir car globalement sous dimensionné par rapport aux besoins. L’hôpital, lui, est devenu une sorte d’énorme machinerie ingérable et incontrôlable. Là aussi en cause, le fait d’avoir mis des technocrates à la place des professionnels pour diriger les établissements.

La sécurité constitue aussi l’une des préoccupations des Français puisque à peu près toutes les villes sont désormais caractérisées par l’existence d’une zone de non-droit sortent de supermarché de la drogue interdit aux différentes fonctions des pouvoirs publics.

Sur le plan démocratique, Macron a tout fait pour renforcer le caractère monarchique du système. Désormais, une majorité de citoyens refusent de participer à ce mauvais théâtre des élections où une très petite minorité vote surtout pour éliminer davantage un candidat que pour soutenir le futur vainqueur.

En outre, Macron a écrasé toutes les institutions représentatives- parlement y compris- il a méprisé les organisations intermédiaires et même créer des instances complètement bidon type « convention » qui ne reposent sur aucune compétence et aucune légitimité.

Les Français sont très majoritairement partagés entre la peur, l’inquiétude et la lassitude. Comme le démontre le récent sondage Elabe.

En ce début d’année 2023, les mots qui décrivent le mieux l’état d’esprit des Français sont très négatifs : lassitude (52%, +7/nov. 2022 et +21/oct. 2021), colère (42%, +11 et +18), tristesse (37%, +3 et +10), nostalgie (36%, -6 et -14) et peur (36%, +10 et +17).

En parallèle, les Français ressentent moins de confiance (21%, -8/nov. 2022 et -12/oct. 2021), de sérénité (19%, -9 et -14) et de satisfaction (16%, -11 et -18). Ainsi, ces évolutions s’inscrivent dans une dégradation globale et constante de l’état d’esprit des Français depuis octobre 2021.

Sur le plan sociétal on voit émerger des formes de corporatisme voire de violences inquiétantes. Faute de médiation, on assiste à une sorte de montée d’anarchie corporatiste qui parfois même bloque le pays.

Et c’est pourtant le moment choisi par le gouvernement pour privilégier une réforme des retraites injuste et inefficace.

La question du gouvernement se pose. Il est vraisemblable qu’il aura du mal à tenir jusqu’à l’été en dépit des efforts désespérés d’une première ministre visiblement pas à la hauteur politique.

Mais la question va aussi se poser vis-à-vis du maintien de Macron. Le pays ne pourra pas tenir avec un responsable aussi contradictoire et impuissant jusqu’en 2027. Juridiquement, Macron pourra demeurer président sauf mouvement populaire d’ampleur qui n’est pas exclure. Mais politiquement, il devra se limiter au rôle du président de la république sous la quatrième. En clair, déléguer ses pouvoirs un gouvernement disposant d’un peu de compétence, de cohérence et d’autorité.

ÂGE DE DÉPART À LA RETRAITE: trop brutal pour la CFDT

ÂGE DE DÉPART À LA RETRAITE: trop brutal pour la CFDT

La CFDT dit clairement non à la réforme et a dénoncé une mesure « brutale » et « injuste » concernant l’âge..

Pour la CFDT, c’est un non définitif: le premier syndicat français a assuré qu’il se mobiliserait en cas de report à 64 ou 65 ans de l’âge légal de départ à la retraite, tel qu’envisagé par le gouvernement dans sa réforme des retraites. Une telle mesure serait « brutale » et « injuste », a confirmé ce mardi soir sur BFM Business la secrétaire général adjointe de la CFDT, Marylise Léon. Élisabeth Borne recevait ce mardi les dirigeants des organisations syndicales à Matignon avant la présentation de la réforme prévue la semaine prochaine.

« On saisit toutes les occasions possibles pour argumenter et essayer de convaincre le gouvernement que ce n’est pas du tout une bonne idée », a souligné Marylise Léon.

Le principal scandale réside dans le fait que cette réforme ne sera pas applicable aux fonctionnaires et aux régimes spéciaux qui vont bénéficier de la clause grand-père. Seuls les nouveaux entrants seront donc concernés. La réforme sera donc étalée sur 40 ou 50 ans. Une différence avec le privé qui déjà doit atteindre au moins 65 ans pour une retraite pleine dès maintenant. En effet avec la réforme -dite Touraine- en vigueur, il faut aujourd’hui 43 sans de cotisations pour prétendre à une retraite entière. Comme l’âge moyen d’entrée sur le marché du travail est de 23 ans, cela conduit à 66 ans. Pir, le gouvernement envisage d’augmenter encore le nombre d’années de cotisation pour passer à 45 ans.

Cette réforme très conjoncturelle n’a aucun sens. En effet le report à 64 ou 65 ans n’aura aucun effet sur le marché du travail des seniors dont un tiers seulement travail encore. Il y a un report des économies du régime de retraite sur les dépenses d’une part du régime d’assurance chômage, d’autre part de l’assurance-maladie.

Le couperet d’un âge général pour tous n’a aucun sens ni économiquement et encore moins socialement. En effet dans certains métiers du tertiaire on peut sans dommage prolongé l’âge de la retraite jusqu’à presque 70 ans alors que dans certains métiers manuels très pénibles nombre de salariés sont déjà usés à 55 ans.

La CFDT serait-elle prête à accepter un recul de l’âge légal en contrepartie de mesures sur la pénibilité ou les carrières longues ? « Je vais être très claire: la réponse est non », a assuré la responsable syndicale, fermant la porte à tout inflexion de la CFDT sur le sujet. L’emploi des seniors ou la reconnaissance de la pénibilité sont des questions « extrêmement importantes » qui ne « peuvent pas être juste des ajustements que le gouvernement concéderait parce qu’il fait une mesure extrêmement brutale », a-t-elle souligné, martelant que le « cœur du sujet » restait l’âge légal.

Pour Marylise Léon, « il y aura beau avoir toutes les mesures d’adaptation pour faire en sorte que ceux qui commencent tôt à travailler puissent ne pas partir à 65 ans », le report de l’âge légal de départ est « d’abord une mesure extrêmement brutale ».

Ukraine :Prochain départ de la Russie de la centrale de Zaporijjia ?

Prochain départ de la Russie de la centrale de Zaporijjia ?

Comme à Kherson, la Russie pourrait bien décider de reculer pour ne pas subir une nouvelle défaite dans la zone de la centrale nucléaire de Zaporijjia . Elle pourrait même en confier la gestion à l’agence internationale de l’énergie atomique.

Il y a des signes annonciateurs d’un éventuel départ avec le pillage par les militaires de tout ce qu’ils peuvent emporter en zone russe.
« Ces dernières semaines, nous recevons effectivement des informations sur des signes indiquant qu’ils se préparent peut-être à quitter la (centrale) », a déclaré Petro Kotin, président d’Energoatom, à la télévision nationale.

« Tout d’abord, il y a un très grand nombre d’informations dans les médias russes selon lesquelles il vaudrait la peine de quitter la (centrale) et peut-être en remettre le contrôle à l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) », a-t-il ajouté, en référence à l’organisme de surveillance nucléaire des Nations unies.
« On a l’impression qu’ils font leurs valises et volent tout ce qu’ils peuvent. »

Depuis des mois, la Russie et l’Ukraine, qui a été le théâtre du pire accident nucléaire au monde à Tchernobyl en 1986, s’accusent mutuellement de bombarder la centrale de Zaporijjia, qui ne produit plus d’énergie.

Petro Kotin a précisé qu’il était trop tôt pour parler de départ : « Nous ne le voyons pas maintenant, mais ils se préparent (à partir) ». « Tout le personnel (ukrainien) a l’interdiction de passer les postes de contrôle et de se rendre en territoire ukrainien (contrôlé). »

Le chef de l’AIEA a rencontré une délégation russe à Istanbul le 23 novembre pour discuter de la mise en place d’une zone de protection autour de la centrale, la plus grande d’Europe, afin d’éviter une catastrophe nucléaire.

Zaporijjia fournissait environ un cinquième de l’électricité ukrainienne.

Airbus A 380 : nouveau départ ?

Airbus A 380 : nouveau départ ?


Le président d’Emirates , Tim Clark, a confirmé le retour en vol de tous les A380 de la compagnie de Dubaï d’ici à 2024. Soit 114 A380, sur une flotte totale, toutes compagnies confondues, de 239 appareils.

Quelque 67 des 114 A380 d’Emirates verront même leur cabine rénovée, avec l’installation de la nouvelle classe « premium economy », intermédiaire entre la classe affaires et l’économique. Le premier de ses A380 rénovés est sorti d’atelier le 1er novembre dernier. Le chantier devrait s’achever en mai 2024. Et l’un des principaux bénéficiaires de ce chantier à plusieurs centaines de millions d’euros n’est autre que le groupe français Safran , qui fournit les fauteuils des nouvelles cabines.

Ce projet ambitieux constitue un investissement de plusieurs milliards d’euros. Il entend renforcer la promesse “Fly Better” (« Voyager Mieux ») de la compagnie et garantir aux clients un service optimal dans les années à venir. Le programme de modernisation débutera officiellement en novembre 2022 et sera entièrement géré par les équipes d’ingénierie d’Emirates. L’ambition d’Emirates serait d’améliorer quatre de ses avions par mois, sans interruption pendant 4 mois. La compagnie souhaite dans un premier temps moderniser ses les 67 A380 et une fois que ceux-ci seront mis en service, ce sera au tour de 53 Boeing 777.

Près de 4 000 nouveaux sièges Économie Premium seront installés, 728 suites seront remis à neuf en Première Classe, et plus de 5 000 sièges profiteront d’un nouveau design en Classe Affaires d’ici la fin du projet en avril 2025. Les tapis et les escaliers seront aussi rénovés. Les panneaux intérieurs des cabines seront également modernisés grâce à de nouvelles tonalités et de nouveaux motifs tels que l’emblématique arbre ghaf, originaires des Émirats arabes unis.

Social-Réforme des retraites: non au report de l’âge de départ

Social-Réforme des retraites: non au report de l’âge de départ ! ( CFDT)

Laurent Berger, le secrétaire général du premier syndicat de France réitère sa position en disant non au report de l’âge de départ. Un positionnement qui ne facilitera pas la réforme des retraites tellement voulue par Macron comme symbole de sa politique.

Il faut rappeler que la CFDT a toujours été favorable à une véritable réforme des retraites avec un système universel plus juste. Mais la CFDT veut qu’on prenne surtout en compte la durée de cotisation et les inégalités des conditions de travail.

Macron, lui ,cherche surtout un totem sur l’âge qui puisse surtout satisfaire les  » Républicains », eux aussi complètement aveuglés par la seule mesure d’âge.

Le patron du premier syndicat de France ne veut donc pas d’une mesure d’âge pour réformer les retraites. Il juge le climat social ambiant très inquiétant.
Emmanuel Macron a proposé, mercredi dernier, aux partenaires sociaux de ne pas relever l’âge légal de départ en retraite à 65 ans, comme il l’a promis durant sa campagne, mais à 64 ans, en contrepartie d’une hausse de la durée de cotisation pour bénéficier d’une pension à taux plein. Une ouverture à laquelle, dans un entretien au Figaro, Laurent Berger, le secrétaire général de la CFDT, répond par la négative. Il explique pourquoi.

LE FIGARO. – Emmanuel Macron propose de ne pas repousser l’âge légal jusqu’à 65 ans si vous acceptez de relever la durée de cotisation pour pouvoir bénéficier d’une retraite à taux plein. Que lui répondez-vous?
Laurent BERGER. – D’aucuns ont parlé d’une main tendue du président, mais ce n’en est pas une. En faisant cette proposition, il privilégie le compromis politique au compromis social, en s’adressant plus aux députés LR et centristes qu’aux partenaires sociaux. Avec cette proposition, Emm

Réforme des retraites: non au report de l’âge de départ ( CFDT)

Réforme des retraites: non au report de l’âge de départ ! ( CFDT)

Laurent Berger, le secrétaire général du premier syndicat de France réitère sa position en disant non au report de l’âge de départ. Un positionnement qui ne facilitera pas la réforme des retraites tellement voulue par Macron comme symbole de sa politique.

Il faut rappeler que la CFDT a toujours été favorable à une véritable réforme des retraites avec un système universel plus juste. Mais la CFDT veut qu’on prenne surtout en compte la durée de cotisation et les inégalités des conditions de travail.

Macron, lui ,cherche surtout un totem sur l’âge qui puisse surtout satisfaire les  » Républicains », eux aussi complètement aveuglés par la seule mesure d’âge.

Le patron du premier syndicat de France ne veut donc pas d’une mesure d’âge pour réformer les retraites. Il juge le climat social ambiant très inquiétant.
Emmanuel Macron a proposé, mercredi dernier, aux partenaires sociaux de ne pas relever l’âge légal de départ en retraite à 65 ans, comme il l’a promis durant sa campagne, mais à 64 ans, en contrepartie d’une hausse de la durée de cotisation pour bénéficier d’une pension à taux plein. Une ouverture à laquelle, dans un entretien au Figaro, Laurent Berger, le secrétaire général de la CFDT, répond par la négative. Il explique pourquoi.

LE FIGARO. – Emmanuel Macron propose de ne pas repousser l’âge légal jusqu’à 65 ans si vous acceptez de relever la durée de cotisation pour pouvoir bénéficier d’une retraite à taux plein. Que lui répondez-vous?
Laurent BERGER. – D’aucuns ont parlé d’une main tendue du président, mais ce n’en est pas une. En faisant cette proposition, il privilégie le compromis politique au compromis social, en s’adressant plus aux députés LR et centristes qu’aux partenaires sociaux. Avec cette proposition, Emmanuel Macron se préoccupe plus des conditions du vote de son futur projet…

Réforme de l ‘héritage : capital de départ pour tous et une autre fiscalité ?

Réforme de l ‘héritage :  capital de départ pour tous et une autre  fiscalité ?

 

L’héritage st sa fiscalité pourraient être modifiés de façon à ces fondamentale si l’on retient les propositions du Conseil d’analyse économique rattachée au Premier ministre. Il s’agirait en fait de raboter sérieusement le montant des gros héritages et permettre l’attribution notamment d’un capital à tous les Français afin de réduire les inégalités.

De quoi évidemment déclencher des réactions fortes en raison de l’aspect culturel et sociétal de l’héritage. La remise en question est toutefois sans doute nécessaire

En effet l’âge moyen au décès est passé d’à peine 60 ans à près de 80 ans au cours du 20e siècle, et l’âge moyen à l’héritage est passé de 30 ans à 50 ans. Il s’agit bien entendu de moyenne et dans de nombreux cas les verrouiller ont 60 ans voire davantage. L’héritage dans ce cas n’a à leur plus aucun sens social sociétal.

Dans une note très documentée dévoilée ce mardi 21 décembre après un long travail de plus de deux ans et demi, les économistes du conseil d’analyse économique (CAE) expliquent que l’héritage joue à nouveau un rôle prépondérant dans la montée des inégalités.

« En France, la part de la fortune héritée dans le patrimoine total représente désormais 60% contre 35% au début des années 1970″ soulignent les experts.  »L’héritage revient en force. Le patrimoine hérité a beaucoup augmenté dans le patrimoine total. L’héritage est beaucoup plus inégalement réparti que bien d’autres ressources. Il devient indispensable d’hériter pour accéder au sommet de la pyramide social du niveau de vie. Ce constat est partagé dans les pays de l’OCDE. Cela suscite un regain d’intérêt sur les politiques de redistribution. Il y a un vrai danger sur l’égalité des chances avec ce retour de l’héritage », a déclaré l’économiste et enseignant à la London School of Economics (LSE), Camille Landais, lors d’un point presse.

A cela s’ajoute la forte concentration du patrimoine au sein des plus aisés étayée par le récent rapport sur les inégalités mondiales codirigé par le spécialiste du sujet Thomas Piketty. « Il y a une énorme concentration sur le patrimoine hérité », a ajouté Camille Landais.

 

Héritage : un capital de départ pour tous et réforme de la fiscalité ?

Héritage : un capital de départ pour tous et réforme de la fiscalité ?

 

L’héritage st sa fiscalité pourraient être modifiés de façon à ces fondamentale si l’on retient les propositions du Conseil d’analyse économique rattachée au Premier ministre. Il s’agirait en fait de raboter sérieusement le montant des gros héritages et permettre l’attribution notamment d’un capital à tous les Français afin de réduire les inégalités.

De quoi évidemment déclencher des réactions fortes en raison de l’aspect culturel et sociétal de l’héritage. La remise en question est toutefois sans doute nécessaire

En effet l’âge moyen au décès est passé d’à peine 60 ans à près de 80 ans au cours du 20e siècle, et l’âge moyen à l’héritage est passé de 30 ans à 50 ans. Il s’agit bien entendu de moyenne et dans de nombreux cas les verrouiller ont 60 ans voire davantage. L’héritage dans ce cas n’a à leur plus aucun sens social sociétal.

Dans une note très documentée dévoilée ce mardi 21 décembre après un long travail de plus de deux ans et demi, les économistes du conseil d’analyse économique (CAE) expliquent que l’héritage joue à nouveau un rôle prépondérant dans la montée des inégalités.

« En France, la part de la fortune héritée dans le patrimoine total représente désormais 60% contre 35% au début des années 1970″ soulignent les experts.  »L’héritage revient en force. Le patrimoine hérité a beaucoup augmenté dans le patrimoine total. L’héritage est beaucoup plus inégalement réparti que bien d’autres ressources. Il devient indispensable d’hériter pour accéder au sommet de la pyramide social du niveau de vie. Ce constat est partagé dans les pays de l’OCDE. Cela suscite un regain d’intérêt sur les politiques de redistribution. Il y a un vrai danger sur l’égalité des chances avec ce retour de l’héritage », a déclaré l’économiste et enseignant à la London School of Economics (LSE), Camille Landais, lors d’un point presse.

A cela s’ajoute la forte concentration du patrimoine au sein des plus aisés étayée par le récent rapport sur les inégalités mondiales codirigé par le spécialiste du sujet Thomas Piketty. « Il y a une énorme concentration sur le patrimoine hérité », a ajouté Camille Landais.

 

Le recul de la France au Sahel n’est pas un départ ! ( Florence parly)

 

La ministre des armées, Florence Parly  qui sans doute n’entretien U4UN rapport assez ésotérique avec la défense affirme que le recul de la France au Sahel n’est pas un départ. Pourtant ilY AURA  seulement à peine 3000 hommes à la place de 5000 et un replis géographique généralisé.

On peut s’inquiéter de la politique de la France notamment quand elle est en plus dirigéE par une énarque qui n’a jamais effectué le moindre service militaire ! Une nouveauté sous la Ve République.

INTERVIEWDans le JDD

 

– En annulant son déplacement de Noël au Mali, Emmanuel Macron ne pourra pas discuter avec la junte du défi posé par la société de mercenaires russes Wagner. La responsable en charge d’anticiper les menaces et les conflits détaille l’accélération de l’équipement des forces dans les domaines cyber et spatial.

 

Florence Parly, ministre des Armées, à l’Hôtel de Brienne. (Eric Dessons/JDD)

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En poste depuis juin 2017, Florence Parly, ministre régalienne venue de la gauche, est sur tous les fronts des « nouvelles conflictualités ». Du Sahel au Levant et de l’Ukraine à l’Indopacifique en passant par les jeux d’influence et d’ingérences, elle dit veiller à ce que les armées françaises puissent continuer de s’adapter pour mieux défendre la souveraineté nationale et celle de l’Union européenne.

S’il avait pu se rendre à Bamako, quel message aurait délivré le chef de l’Etat? N’est-il pas exact que la rencontre prévue avec le chef de la junte s’annonçait difficile?
Le Président de la République souhaitait passer Noël avec nos militaires déployés au Sahel, comme cela est la tradition. Leur engagement est exemplaire et nous inspire toutes et tous, c’est toujours un moment très important. Malheureusement ce déplacement est annulé en raison de contraintes sanitaires. Des entretiens politiques étaient prévus avec les autorités de transition malienne. Les messages que nous portons sont totalement alignés avec les exigences portées par la CEDEAO et tous les partenaires du Mali.

L’état-major évoque aujourd’hui un ralentissement du redéploiement des troupes françaises avec un horizon de 3.000 hommes sur place, non plus à l’été 2022 mais à l’été 2023. Pourquoi?
Le redéploiement de Barkhane se passe comme prévu et selon le calendrier concernant les effectifs. Nous avons passé le relais à la MINUSMA à Kidal, puis remis nos emprises aux forces armées maliennes (FAMa) à Tessalit puis ces derniers jours à Tombouctou. Quant à la force Takuba, elle continue de monter en puissance en s’européanisant davantage. C’est d’ailleurs un officier suédois qui vient d’en prendre le commandement en remplacement d’un général français. Ce désengagement partiel ne nous a pas empêché de mener avec succès notre combat antiterroriste. Nous avons désorganisé depuis 2020 les chaines de commandement des groupes terroristes d’al-Qaida et de l’Etat islamique au grand Sahara (EIGS) dont nous avons éliminé ses trois premiers dirigeants. Dans ce contexte, notre planification reste souple mais cela ne change pas la philosophie du processus : les armées françaises vont rester présentes, prétendre que la France quitte le Sahel n’est pas exact.

Là où nos soldats sont présents, la population comprend qu’il s’agit de forces de protection et de réassurance car c’est elle qui est la première cible des terroristes

Un convoi logistique de l’armée française a été stoppé à trois reprises dans trois des cinq pays du Sahel par des manifestations dont certaines ont dégénéré. Est-ce le signe d’un sentiment anti-français grandissant dans la région?
Ce qui est certain, c’est que les combats que mènent la France au Sahel se vivent aussi dans des champs de plus en plus immatériels comme la désinformation et la manipulation. Il y a un discours anti-français dans la région qui est instrumentalisé par des acteurs politiques dans leur propre intérêt ou sous influence extérieure, notamment par le biais de réseaux sociaux aux influenceurs parfaitement identifiés. Mais là où nos soldats sont présents, la population comprend qu’il s’agit de forces de protection et de réassurance car c’est elle qui est la première cible des terroristes.

Comment réagissez-vous à la demande du président nigérien d’enquêter sur les violences commises lors de ces incidents?
Il y a eu une enquête interne, qui a montré que face à des manifestations d’une grande violence, nos soldats ont fait preuve de la maîtrise nécessaire et ont eu la réaction adéquate. Je rappelle que des conducteurs civils du convoi en question ont été blessés par des manifestants. Nous continuons à échanger avec les autorités nigériennes pour comprendre ce qui s’est passé avant, pendant et après ces heurts. Nous avons un dialogue d’une très grande qualité avec les Nigériens qui, je l’espère, contribuera à prévenir tout nouvel événement de ce type.

Le Département d’Etat a dénoncé cette semaine la société russe de mercenaires Wagner qui pourrait signer un contrat avec le gouvernement malien pour 10 millions de dollars par mois. S’il est conclu, la France se retirera-t-elle du Mali?
La population malienne fait face à des autorités issues de deux coups d’Etat. Il s’agit d’autorités de transition qui doivent rétrocéder le pouvoir à des autorités civiles élues selon un calendrier qui est connu de tous. Ce que vous signalez avec la société Wagner est une conséquence de cet échéancier. Nous, nous en appelons au respect pur et simple de cet engagement d’organiser des élections en février 2022.

Si ces mercenaires russes venaient à travailler à la protection du gouvernement malien, peut-on imaginer l’armée française rester dans le même pays avec une répartition des rôles entre la Russie et la France?
Il y a de nombreuses hypothèses. S’agirait-il pour ces mercenaires d’apporter seulement une protection rapprochée à la junte? D’un déploiement discret ou massif? De s’engager aussi dans des opérations de contreterrorisme, ce qui les placerait en concurrence, en quelque sorte, avec les forces françaises? Nous n’avons pas de certitude absolue à ce sujet.

Il est possible d’isoler politiquement la Russie et de lui faire payer un coût élevé pour son agression si elle venait à passer à l’acte

Les Occidentaux menacent la Russie de « conséquences massives et stratégiques » au cas où ses forces envahiraient l’Ukraine. De quoi parle-t-on puisque les Etats-Unis, l’OTAN et les pays de l’UE n’envisagent aucune riposte militaire?
La Russie est déjà sous sanctions. Il est possible de les renforcer. Il est aussi possible d’isoler politiquement la Russie et de lui faire payer un coût élevé pour son agression si elle venait à passer à l’acte. Ce que nous essayons de lui faire comprendre, c’est l’ampleur des conséquences si elle faisait le choix d’aller plus loin. Notre objectif, partagé avec nos partenaires européens et américain, est de décourager les autorités russes de franchir une étape qui provoquerait un enchainement dramatique. Mais nous ne voulons pas d’un retour à la guerre froide. Pour l’éviter, il ne faut pas céder à l’escalade et garder la tête froide. Nous souhaitons dans le même temps maintenir un dialogue avec la Russie, comme le Président de la République l’a initié en 2019. C’est d’ailleurs dans le cadre d’une rencontre le mois dernier à Paris entre ministres russes et français de la défense et des affaires étrangères que nous avons utilisé cette expression de « conséquences massives et stratégiques ». Nous avons avec les Russes un dialogue franc et direct car on doit pouvoir se dire les choses.

 

La France va présider l’UE ces dix prochains mois. Comment en profiter pour renforcer l’Europe de la défense à laquelle vous tenez?
Il y a cinq ans, l’Europe de la défense en était à ses premiers frémissements. Depuis, on n’a jamais autant progressé. Nous avons réussi, de façon pragmatique, à avancer avec ceux de nos partenaires européens qui sont à la fois volontaires et capables. C’est l’évidence avec la force Takuba au Sahel qui regroupe des forces spéciales de plus de dix pays européens. Sur le plan industriel, le Fonds européen de défense monte également en puissance pour que l’Europe développe son autonomie technologique dans le domaine de la sécurité. Avec cette présidence française qui arrive, il faut maintenant capitaliser sur ce que nous avons appris et fixer un niveau d’ambition pour les dix prochaines années. La « boussole stratégique » de l’UE que nous adopterons au printemps a conduit les Européens à analyser les menaces et les risques qui pèsent sur l’UE. A nous de nous accorder pour relever ces défis dans un univers plus contraint, plus brutal et où les champs de conflictualité se multiplient. Et réduire notre dépendance vis-à-vis de puissances extérieures, comme par exemple à l’égard des Etats-Unis, dans le transport stratégique ou les drones.

Nous voulons approfondir notre partenariat stratégique avec l’Inde sur le plan politique, militaire et dans le domaine des armements

Qu’attendez-vous de votre nouvelle collègue allemande, la social-démocrate Christine Lambrecht?
Je ne l’ai pas encore rencontrée et je ne peux pas préjuger de ce que nous nous dirons. Mais il est clair que les projets franco-allemands dans le domaine de l’industrie de défense sont déterminants pour la crédibilité européenne. Nous venons de signer fin août avec l’Allemagne et l’Espagne le passage à la nouvelle étape du système de combat aérien du futur (SCAF) pour être au rendez-vous du démonstrateur de vol en 2027. La France et l’Allemagne sont attendues pour définir de nouvelles ambitions car les Européens sont de plus en plus convaincus désormais que leurs intérêts ne s’arrêtent pas uniquement à leurs frontières.

Est-ce pour cette raison que vous vous êtes rendue une nouvelle fois en Inde jeudi? 
Oui, la France puis l’UE ont défini leur stratégie indopacifique. Nous voulons approfondir notre partenariat stratégique avec l’Inde sur le plan politique, militaire et dans le domaine des armements, notamment dans le domaine naval ou aérien. Le contexte (celui du pacte AUKUS avec les Etats-Unis, l’Australie et le Royaume-Uni, NDLR) ne vous aura pas échappé.

Le chef d’état-major des armées a fixé comme feuille de route aux forces françaises de « gagner la guerre avant la guerre ». De quoi parle-t-on?
Le général Burkhard veut tirer les armées vers le haut pour les préparer à une conflictualité de haute intensité, mais également à faire face dans les nouveaux champs de conflictualité, où nos adversaires cherchent à nous affaiblir en restant délibérément sous le seuil de la conflictualité armée. En 2017, le Président de la République a fixé un double objectif : réparer notre outil militaire grâce à un budget en hausse continue depuis cinq ans, ce qui est historique, et investir afin de renforcer nos capacités pour affronter les nouvelles menaces décrites dans la revue stratégique. Cette double ambition a été rendue possible grâce à la loi de programmation militaire 2019-2025. C’est elle qui nous a permis par exemple, dans le respect des objectifs budgétaires fixés, d’accélérer dans le domaine du cyber. En 2021, nous avons décidé de recruter 5.000 cyber-combattants, au lieu de 4.000 initialement prévus en début de quinquennat. Mais aussi dans le domaine du renseignement et du spatial avec 4,3 milliards d’euros sur la période de la LPM 19-25, ce qui inclue un effort additionnel de 700 millions d’euros que j’ai décidé en 2019 pour tenir compte de l’observation du contexte géopolitique. Nous sommes en effet dans une course de vitesse.

Ce n’est pas parce que d’autres Etats pourraient un jour utiliser des robots tueurs que nous nous devrions nous aligner sur le moins disant éthique

Une nouvelle conférence internationale s’est ouverte cette semaine à Genève sous l’égide des Nations Unies pour réguler l’usage des armes létales autonomes. La France est-elle contre les robots tueurs?
Nous avons installé l’an dernier un Comité d’éthique au ministère des armées pour réfléchir à une nouvelle stratégie d’usage de l’intelligence artificielle dans la défense. Cette technologie nous offre des opportunités extraordinaires mais elle peut aussi nous emmener sur des pentes très glissantes. Ce comité m’a rendu son rapport et j’ai indiqué que je ne souhaitais pas entrer dans un monde où l’homme serait sorti de la boucle de décision. C’est le même raisonnement qui m’avait conduit à armer nos drones mais à condition qu’ils soient pilotés exactement comme des avions de chasse et que l’arme soit engagée selon les mêmes règles. Ce n’est pas parce que d’autres Etats pourraient un jour utiliser des robots tueurs que nous nous devrions nous aligner sur le moins disant éthique. Cela vaut aussi pour le domaine spatial lorsque la Russie tire au missile sur l’un de ses propres satellites désactivés, entrainant la projection de milliers de débris dans l’espace. Nous récusons ce genre de comportement irresponsable et dangereux.

Foot Real de Madrid : le départ de Zinedine Zidane

Foot Real de Madrid : le départ de Zinedine Zidane

 

Zidane devrait quitter le Real de Madrid après 20 ans de service exceptionnel tant comme entraîneur que comme joueur. Arrivé à Madrid il y a 20 ans comme joueur, Zinedine Zidane a remporté la Ligue des champions à trois reprises en tant qu’entraîneur du Real (2016-18). Il a repris les commandes du club castillan en mars 2019, après un premier passage qui s’est étendu de janvier 2016 à mai 2018.

Suez : nouveau départ et nouvel actionnariat ?

Suez : nouveau départ et nouvel actionnariat ?

 

C’est évidemment un Suez plus réduit après l’absorption d’une partie par Veolia qui réfléchit à son développement ainsi que son actionnariat..

 

L’accord entre Veolia et Suez prévoit le maintien d’un Suez indépendant représentant près de 7 milliards d’euros de chiffre d’affaires, soit moins de la moitié du groupe actuel, avec des activités surtout concentrées sur la France.

La solution GIP-Meridiam-CDC reste « la base de travail » pour constituer l’actionnariat du futur Suez, alors que l’allemand Remondis s’est dit également intéressé, a indiqué jeudi le directeur général de Suez Bertrand Camus.

«  »Cela confirme qu’il n’y avait aucun souci pour trouver des investisseurs pour accompagner Suez, au niveau global ou sur les différents actifs de Suez », a relevé le dirigeant. Précédemment « beaucoup d’investisseurs se sont retirés de par le côté inamical (de l’OPA lancée par Veolia, ndlr). A partir du moment où il y a accord entre les parties, à conclure, et que cet accord prévoit l’émergence d’une nouvelle entité, sur la base du périmètre négocié le week-end du 11 avril, énormément d’investisseurs remanifestent leur intérêt, et Remondis en fait partie », a-t-il observé,

Chantiers de l’Atlantique-Fincantieri: projet inutile au départ et encore davantage aujourd’hui

  • Chantiers de l’Atlantique-Fincantieri: projet inutile au départ et encore davantage aujourd’hui
  • Le projet d’absorption de chantier de l’Atlantique par l’italien Fincantieri  au départ inutile l’est encore davantage aujourd’hui compte tenu de l’environnement conjoncturel. En effet ,pendant plusieurs années la demande de croisières va être affectée par la situation sanitaire même si les investissements dans ce domaine ne se décident pas du jour au lendemain et s’inscrivent dans le temps.
  • Il n’y avait aucune nécessité d’envisager ce regroupement à moins de donner des gages politiques à l’Italie pour permettre à d’autres opérateurs français de prendre des participations voire d’absorber certaines entreprises italiennes. Les chantiers de l’Atlantique disposent  de deux atouts actes assez considérables d’abord des atouts  technologiques indiscutables et une bonne productivité. Enfin le carnet de commandes des chantiers de l’Atlantique était bien garni et permettait d’espérer une bonne activité et un maintien de l’emploi.
  • Il paraît évident que la crise sanitaire va affecter pendant assez longtemps le secteur du tourisme de loisirs par bateau de croisière. Il faudra en effet des années pour que le virus disparaisse complètement notamment dans les pays un peu exotiques visités par les bateaux de croisière. Aujourd’hui ni la France ni même l’Italie insiste beaucoup sur ce projet qui risque de s’enterrer de lui-même.

Croissance France : très mauvais départ en 2021

Croissance France : très mauvais départ en 2021

 

Alors que la France espérait  une certaine dynamique avec une perspective d’augmentation du PIB  de 6 % en 2020, les premières tendances indiquent plutôt un recul pour le début de l’année 2021. Certaines institutions internationales ne prévoient d’ailleurs plus que quatre à 5 % de croissance de l’activité en France. Une révision en baisse notamment justifiée  par le recul de l’indice flash composite publié par le cabinet Markit ce vendredi 22 janvier a reculé à 47 en janvier contre 49,5 en décembre.

L’activité du secteur privé est en recul lorsque cet indicateur se situe en deçà de 50 et marque une expansion au dessus de ce seuil. Le durcissement des mesures de confinement depuis quelques semaines avec la généralisation du couvre feu à l’ensemble des départements, la multiplication des variants et les problèmes à répétition sur la chaîne de logistique des vaccins ont douché les espoirs d’une reprise rapide. L’arrivée du vaccin avait laissé entrevoir une sortie de crise mais la persistance du virus et les hospitalisations toujours élevées obligent l’exécutif à renforcer ces mesures pour endiguer la propagation de cette maladie virulente. Au plan européen on craint d’ailleurs un renoncement aux perspectives du redressement économique en 2021.

Chantiers de l’Atlantique : retour à la case départ ?

Chantiers de l’Atlantique : retour à la case départ ?

 

On sait que beaucoup contestent la perspective d’un rachat des chantiers de l’Atlantique par l’Italien Fincantieri . Pourtant cette opération était approuvée autant par les autorités politiques italiennes que françaises officiellement pour créer un grand opérateur européen.

Le problème c’est que cette fusion ne peut se produire sans l’accord des autorités européennes qui pour l’instant ne semblent pas favorables au regroupement. Notons que les chantiers de l’Atlantique n’étaient nullement déficitaires, qu’ils possédaient un solide carnet de commandes et surtout un savoir-faire technologique précieux.

L’accord des autorités françaises pour cette opération pourrait constituer une sorte de compensation vis à vis  prises de participation de plus en plus nombreuses des Français en Italie dans la banque et les télécoms par exemple.

L’opération en effet n’a toujours pas obtenu le feu vert de la Commission européenne qui redoute une réduction de la concurrence sur le marché mondial.

L’exécutif européen a dit au mois de juin avoir besoin de temps pour examiner l’opération qui se heurte parallèlement à l’hostilité d’une partie de la classe politique locale préoccupée par le risque de pertes d’emplois et par celui des transferts de technologie vers la Chine.

Le contexte est également défavorable, la demande pour les paquebots de croisière étant pénalisée par une crise sanitaire qui a asséché les finances des grands croisiéristes.

Basés à Saint-Nazaire (Loire-Atlantique), les Chantiers de l’Atlantique, ex-STX France, sont les seuls chantiers navals français capables de produire des navires de fort tonnage, comme des porte-avions et d’autres bâtiments militaires, ce qui en fait en plus un actif national stratégique.

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