Archive pour le Tag 'Depardieu'

Depardieu « philosophe » : des propos de bistrot !

Depardieu « philosophe » : des propos de bistrot !

 

Certes Depardieu est un grand comédien mais quand il lui prend l’envie de sortir de son texte et de philosopher comme dans son autobiographie » Innocent » on retombe forcément dans le propos de bistrot. Ses considérations sur la religion, la liberté, le pouvoir, la nature humaine  dégagent un sérieux parfum simplificateur très fortement anisé. Deux  hypothèses ou bien il était encore sous l’emprise de la vinasse quand il a écrit son bouquin ou bien il n’avait pas assez bu. Un livre en tout cas à commenter dans tous les cafés du commerce là où Depardieu a fait ses universités. Extraits qui valent leur poids de cacahuètes : De toute évidence l’ancien petit voyou n’a guère profité de sa notoriété pour se cultiver un peu.  « Le vrai danger, c’est quand l’homme avec toute son arrogance, sa perversité et son ignorance se met à interpréter les textes sacrés dans le seul  but, pas forcément conscient, de se mettre à la place de Dieu », estime-t-il dans ce texte écrit avant les attentats du 13 novembre.  »Là, commence la manipulation », ajoute l’acteur révélé en 1974 par le film Les Valseuses. Il rappelle qu’à son arrivée à Paris, en 1965, il s’est converti à l’islam. « J’ai fréquenté la mosquée pendant deux ans. Je faisais les cinq prières par jour ».   Or, « le vrai danger, ce n’est pas la foi, ça n’a jamais été la foi« , souligne-t-il dans son livre dont L’Express publie des extrais.  »Il y a, bien sûr, les idéaux français, qui ont fait le tour du monde. Mais si on les regarde de près… La liberté, il n’y en a plus », estime Gérard Depardieu. « On nous la prend. Les gens sont manipulés, fliqués, on sait tout d’eux ».  « L’égalité a toujours été une utopie. La fraternité, ça j’y crois encore un peu (…) parce que je crois que l’homme est foncièrement bon. Même si à cause de l’esprit politique, il devient chaque jour un peu plus con« , poursuit-il.  L’acteur justifie également dans ces pages une nouvelle fois sa relation avec le président russe.  »On me reproche de fréquenter Poutine, mais j’aurais trouvé beaucoup plus malsain de fréquenter les Kennedy et leur entourage », fait-il valoir.  »Poutine, c’est un ancien voyou, je l’ai entendu parler aux oligarques qui essayent de saigner le pays », poursuit-il. « C’est eux qui ont peur de lui et pas l’inverse comme dans tellement d’autres pays. Et je vois bien quand je parle aux gens là-bas combien ils lui sont reconnaissants d’avoir retrouvé face aux autres pays une certaine dignité ».  À propos de ses excès, Gérard Depardieu reconnaît que « quand l’ennui (le) prend, (il) boit énormément ou (il) mange énormément ».  »Dans ce mal-être, ni la drogue, ni l’alcool, ni la bouffe ne m’ont jamais rien apporté de bon« , concède-t-il.  »Il faut être très con finalement pour vouloir rester en permanence dans ses propres failles. Ou très narcissique. La vie est vraiment ailleurs », assure le comédien qui a écrit cet ouvrage dans « le souci de raconter ce que je vois, ce que je vis et ce que je ressens lorsque je voyage. De parler des gens que je rencontre. Je ne me considère pas comme quelqu’un d’important, mais je veux faire écho à ce que j’entends », confie-t-il à L’Express.

 

Depardieu : « la France est triste », c’est vrai et lui est pathétique

Depardieu : « la France est triste », c’est vrai et lui est pathétique

Depardieu ne dit pas que des idioties mais quelle est sa légitimité ; son argument : on ne critique pas quelqu’un qui paye 87% d’impôts (à vérifier !) est un peu court. Si la crise existe c’est effectivement par incompétence des gouvernements mais aussi à cause de la financiarisation excessive de toute activité  économique y compris au cinéma où des comédiens gagnent 10 millions par an (tandis que la plupart doivent se contenter de moins de 1500 euros). Notons par ailleurs que le cinéma français est aussi financé par le contribuable spectateur et que Depardieu en a largement profité. Un discours finalemenet de nouveau riche qui a oublié sa condition initiale. Comme il fait l’impasse sur la nature du régime russe qu’il défend maintenant de manière pathétique.  « C’est surtout le manque d’énergie. La France est triste et je pense que les Français en ont marre. Le manque de conviction… J’ai l’impression que ces gens (le gouvernement) ne savent pas faire leur métier. Lui (François Hollande), c’est la première fois, il n’a jamais eu de portefeuille de ministre. Il a eu la Corrèze, qui est en déficit… », déclare le comédien français, interrogé sur la télévision locale belge Notélé . L’acteur, qui porte sur son blouson un aigle à deux têtes, symbole de la Russie, répond aux questions de manière décontractée durant une douzaine de minutes depuis la cuisine de l’ancienne douane de Néchin, petit village proche de la frontière française, où il s’est domicilié l’an dernier. On devine derrière lui un jambon sec en train de sécher et une baguette de pain encore emballée. Il affirme revenir de quelques courses dans le village. L’entretien, enregistré samedi matin. L’acteur évoque aussi d’autres raisons qui l’ont poussé à quitter la France, citant en premier lieu la proximité de l’aéroport de Roissy (distant de 200 kilomètres), ses amis dans le village ou encore les qualités de la boucherie et des bistrots locaux. Il assure que « ce n’est pas tout à fait vrai » qu’il a quitté la France « pour des raisons fiscales », car il paie « 50% d’impôts » en Belgique.  Mais il juge « un peu exagérée » la politique fiscale du gouvernement de gauche de François Hollande. « Je suis Français, j’aime les Français, mais j’ai un peu de peine pour eux car ils sont dans une situation délicate », affirme l’acteur, en répétant: « ce n’est pas pour des raisons fiscales ». « Un Premier ministre ou n’importe qui doit donner l’exemple », poursuit Depardieu, revenant sur le terme de « minable » employé à son égard par Jean-Marc Ayrault au plus fort de la polémique sur son « exil fiscal » fin 2012. « C’est comme la ministre de la Culture », Aurélie Filippetti, qui s’était déclarée « tout-à-fait scandalisée » par l’attitude de Gérard Depardieu. « On n’a pas à critiquer quelqu’un qui paie plus de 87% d’impôt », dit l’acteur. Gérard Depardieu évoque aussi ses projets cinématographiques –aux Etats-Unis ou en Russie–, confirme qu’il « a acheté une maison » en Belgique, qu’il revend celle qui lui appartient à Paris et qu’il espère pouvoir ouvrir un restaurant dans la région de Néchin, tout en répétant qu’il n’est pas venu en Belgique « pour faire de l’argent » et qu’il n’est « pas un arriviste ».

 

Le ministre russe Depardieu, devant la justice

Le ministre russe Depardieu, devant  la justice

Le comédien franco-belgo-russe de 64 ans est visé par une « comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité » (CRPC), formule simplifiée et alternative au procès souvent réservé aux auteurs d’infraction routière: le 29 novembre à Paris, victime d’un accident de scooter sans gravité, il avait été contrôlé avec un fort taux d’alcool dans le sang, 1,8 g par litre de sang alors que le taux autorisé en France est limité à 0,5 g.  Me Eric de Caumont, avocat spécialisé dans la défense des automobilistes, a indiqué à l’AFP que lui-même se rendrait au tribunal à 9h30 pour rencontrer, comme prévu, le représentant du parquet et lui réitérer sa demande de renvoi de la CRPC.  Mais la règle de cette procédure, également appelée « plaider coupable », est sans ambiguïté: « Soit Gérard Depardieu se présente demain et la CRPC a lieu, soit il ne se présente pas et il y aura un renvoi devant le tribunal correctionnel », rappelle-t-on au parquet.  Contrairement à un procès en correctionnel, la présence du prévenu est obligatoire aux deux moments qui composent la CRPC: tout d’abord un face à face dans le bureau d’un représentant du parquet qui propose une peine sanctionnant l’infraction, puis, si la peine est acceptée, une brève audience publique devant un juge chargé d’homologuer cette proposition de peine.  La conduite en état d’ivresse est passible de 4.500 euros d’amende et d’une peine pouvant aller jusqu’à deux ans de prison, en plus du retrait de 6 points sur le permis de conduire.

 

Depardieu, ministre de la Culture viticole en Russie ?

Depardieu, ministre de la Culture viticole en Russie ?

Sur le tarmac de l’aéroport de Saransk, capitale de la région où vivent 300.000 personnes, des femmes en costumes traditionnels russes ont chanté pour célébrer son arrivée. Le gouverneur, Vladimir Volkov, était aussi présent et a offert à la star venue fêter le Noël orthodoxe, fêté le 7 janvier, un appartement ou une maison. Vladimir Volkov a proposé à Gérard Depardieu de choisir un appartement ou un endroit pour se construire une maison. Les autorités locales ont promis à l’acteur de lui « construire une maison au cœur des magnifiques forêts de Mordovie et au bord de l’Insar », une rivière locale. « Au bord des forêts de bouleaux, je m’y sens bien », écrivait le comédien dans sa lettre d’amour à la Russie, après avoir obtenu la citoyenneté. En Mordavie, « Gégé » sera servi. Mais la région est moins connue pour ses attraits touristiques que pour la vingtaine de camps de prisonniers qu’elle abrite et dont la création remonte à l’époque stalinienne. C’est d’ailleurs dans un camp de Mordovie que l’une des deux jeunes femmes du groupe Pussy Riot, condamnées à deux ans de camp pour une prière anti-Poutine, purge sa peine.  Avant de se voir offrir un logement, Gérard Depardieu a reçu samedi soir un passeport russe, sur décision du président Vladimir Poutine. Les chaînes russes ont diffusé des images montrant une accolade entre les deux hommes. « Est-ce que tu as vu mon film ? », entend-on l’acteur demander au président russe, qui le questionne à son tour : « Gérard, es-tu satisfait de ton travail ? ». Ce à quoi « Gégé » répond : « je suis vraiment très satisfait de tout ». D’après l’agence russe Ria Novosti, qui cite une source locale, Gérard Depardieu s’est même vu proposer le poste de ministre de la Culture de la république de Mordovie. « Si M. Depardieu le souhaite, nous pouvons lui proposer ce poste », a déclaré le gouverneur selon l’agence qui précise que l’acteur s’est dit flatté, mais a indiqué qu’il ne pourrait prendre une telle décision qu’après avoir découvert plus en détail la culture de la république de Mordovie. La visite de Gérard Depardieu en Russie ne devrait pas se prolonger trop longtemps : l’acteur est en effet convoqué mardi au palais de justice de Paris. Il a beau détenir un passeport russe, il n’en est en effet pas moins attendu par les juges français pour s’expliquer sur des faits de conduite en état d’ivresse. Gérard Depardieu a été contrôlé le 29 novembre dernier à Paris avec un fort taux d’alcool dans le sang, 1,8 g par litre de sang, bien au-dessus de la limite autorisée de 0,5 g. Sa présence est obligatoire au tribunal, où il fait l’objet d’une procédure de « plaider coupable ». Un représentant du parquet devrait lui proposer une peine sanctionnant son infraction, puis, si la peine est acceptée, Gérard Depardieu devrait participer à une brève audience publique.

 

Comme Depardieu, moi aussi je demande la nationalité russe !

Comme Depardieu, moi aussi je demande la nationalité russe !

 

Puisque tout le monde (le monde friqué) veut demander la nationalité russe ; moi aussi, je menace le gouvernement. Si ma femme continue de me gâter la vie, je pars en Russie (ou l’inverse je l’expédie en Sibérie) ; j’aime Poutine depuis toujours, j’aime sa tendresse, son sourire (ah ce sourire !), sa démocratie ; Quel homme, ce Poutine ! Généreux, distingué, fin. Ma femme est pas d’accord, elle dit qu’il a l’allure d’un judoka sortant d’un tatami, l’intelligence dans les yeux en moins. Encore un point de désaccord entre nous ! Poutine, j’aime ta démocratie, rapide, efficace, économe en campagne électorale. Alors qu’en France on a une quinzaine de candidats, en Russie, il y a Poutine avec un intermède Medvedev, Poutine, un nouvel intermède sans doute, Poutine encore. C’est clair, c’est simple. Des opposants, il y en a contrairement à ce que disent les détracteurs de ce merveilleux pays, mais en prison, c’est leur place (comme les chanteurs contestataires). Moi non plus, comme la distinguée BB, je ne supporte plus ce pays ; Si le temps pourri continue, je pars en Russie. Que fait le gouvernement ? Rien. Si Poivre d’Arvor, qui est à la littérature ce que MacDo est à la gastronomie, entre à l’académie française, je pars, si Harlem Désir et Copé restent à la tête de leur parti respectif, je pars aussi, avec Poutine au moins pas de langue de bois. Si Jean Pierre Pernault continue son journal télévisé rural, je pars aussi ; Si Hollande, garde ses costumes trop étriqués pour sa taille grassouillette, je pars, Si Ségolène redevient crédible politiquement, je pars, si le PSG ne gagne rien cette année, je pars. Si le chat du voisin continue de pisser surs sur mes pots de fleurs, je pars aussi, En fait, j’ai mille raison de partir, d’autres que moi  aussi, je sais. Alors partons tous, pas en Floride non c’est suranné et en plus il y a des cyclones, non dans cet eldorado russe à la température et à la démocratie si douce. A moins 40, dans un goulag dirigé  par les gentils animateurs  KGB,  quel pied !

Pour Cohn-Bendit : Bardot et Depardieu « crétins finis » ? Pas tout à fait finis !

Pour Cohn-Bendit :  Bardot et Depardieu « crétins finis » ? Pas tout à fait finis !

« S’ils ont envie de dormir tous avec Poutine, qu’ils se mettent dans son lit et puis l’affaire est réglée », a lancé l’eurodéputé à propos de Gérard Depardieu et Brigitte Bardot.   Interrogé sur BFMTV à propos de la menace d’exil russe de Brigitte Bardot et de l’obtention d’un passeport pour Gérard Depardieu, le député européen EELV, Daniel Cohn-Bendit, s’est emporté.  Il dit-il tout haut ce que beaucoup pensent tout bas L’eurodéputé écologiste Daniel Cohn-Bendit a traité ce vendredi Gérard Depardieu et Brigitte Bardot de « crétins finis », après que le premier a obtenu la nationalité russe et que la seconde a menacé de s’exiler en Russie.  « S’ils ont envie de dormir tous avec Poutine, qu’ils se mettent dans son lit et puis l’affaire est réglée », a déclaré le coprésident du groupe Verts au Parlement européen, interrogé par BFMTV.  « L’autre fou qui déclare la Russie comme une grande démocratie, vraiment, il faut être complètement malade et complètement plein d’alcool ou de stéroïdes (…) pour dire des bêtises pareilles », s’est-il emporté à propos de Gérard Depardieu.  A propos de Brigitte Bardot, « si elle veut quitter la France, qu’elle aille en Russie, (…) en Sibérie, ça doit être formidable pour elle. Qu’elle passe tous ses hivers en Sibérie, dans les camps de concentration par exemple, ou les prisons… Vraiment, c’est d’une bêtise incroyable toute cette histoire », a ajouté Daniel Cohn-Bendit.  Brigitte Bardot a menacé vendredi de demander la nationalité russe si les autorités françaises décidaient d’euthanasier deux éléphantes malades à Lyon. De son côté, Gérard Depardieu a obtenu la citoyenneté russe par décret du président Vladimir Poutine

Prochain mariage de Bardot et Depardieu en Russie ?

Prochain mariage de Bardot et Depardieu en Russie ?

Brigitte Bardot russe ? La menace évoquée par « BB » si les 2 éléphantes d’un zoo lyonnais atteintes de turbercolose et menacées d’euthanasie ne sont pas sauvées fait évidemment déjà réagir. On parle dun éventuel mariage avec Depardieu; pour l’avenir de la race humaine, il faut espérer qu’il ne feront pas d’enfant  !  réctions auusi du gournemenet; Interrogés dans la cour de Matignon, deux membres du gouvernement ont répondu . « Elle pourrait demander Gérard Depardieu en mariage, ce serait formidable », a ironisé le ministre de l’Economie sociale et solidaire, Benoît Hamon.  Sa collègue déléguée aux Personnes âgées, a déclaré dans un sourire avoir « une longue liste de personnes que je voudrais voir en Russie, mais je ne la confierai que par l’intermédiaire d’un avocat ». « Je ne la connais pas personnellement et je l’avais pas mise en haut de la liste », a-t-elle ajouté à propos de Brigitte Bardot.  L’ex-ministre UMP Nora Berra se dit quant à elle dans un communiqué à la fois « heureuse » du combat menée par l’ancienne actrice pour défendre les éléphantes et « consternée » par « cette menace un peu ridicule et indigne qui foule au pied le grand honneur d’être français et fait de notre nationalité un objet de marchandage ou de menace ».

 

Depardieu : la fable du dictateur, du rat et de l’andouille

Depardieu : la fable du dictateur, du rat et de l’andouille

 

Pantomime pathétique cette farce du dictateur Poutine, du rat Depardieu et de l’andouille Hollande. Poutine qui défend la démocratie et reçoit un brevet de vertu de la part de Depardieu, il  y aurait de quoi rire si ce n’était pathétique ; les russes en prison pour délit d’opinion ou les opposants syriens victimes  du soutien de Poutine à  Assad peuvent en témoigner. Le maître du Kremlin, débarrassé de la doctrine communiste peut désormais s’adonner complètement à l’idéologie du fric et du pouvoir (comme les nouveaux riches,  anciens apparatchiks de l’URSS); son expérience du KGB le met à l’abria des aléas de la démocratie. Il suffit de mettre en prison les opposants potentiels ( même les artistes) !. Depardieu dans le rôle du rat est évidemment pitoyable. Intellectuellement, moralement et même physiquement. Il fait davantage pitié qu’envie tellement ses propos sont grandiloquents et ridicules. Il recherche en vain une philosophie pour planquer son fric, après l’amour de la Belgique, c’est l’amour de la Russie comme ce pourrait être l’amour de la Corée du nord ou de la Chine. Quand  on aime (le fric), on ne compte pas ses amours mais les billets. Ces vedettes su show-biz finissent pas se prendre pour des intellos ; non seulement ils se gavent mais en plus ils parlent alors que d’ordinaire leur métier est de déclamer les mots des autres ; évidemment une vraie catastrophe quand ils deviennent auteurs. Dernier personnage, Hollande l’andouille qui se fait ridiculiser par Poutine, par Depardieu, par tous les exilés fiscaux et surtout par son incapacité à remettre à plat la fiscalité des pseudos exilés fiscaux. Et quelle idée (si cela est prouvé) d’avoir accepté de parler à Depardieu,-l’exilé fiscal,- au téléphone ! On croit rêver, non, on ne rêve pas. Les victimes de la crise ne sont pas les chômeurs ou les smicards mais ces sexagénaire riches qui cherchent à planquer leur magot à l’étranger ; une sorte d’inversion des thématiques dramaturgiques classiques ; bref une vraie farce, mais mauvaise.

Depardieu : pitoyable et pathétique mascarade russe

Depardieu :  pitoyable  et pathétique mascarade russe

Lettre dithyrambique et pathétique de Depardieu envers le régime russe après le     décret de Poutine accordant la citoyenneté russe à l’acteur.  Lee comédien  a confirmé avoir fait une demande de passeport et s’est dit ravi qu’elle ait été acceptée dans une lettre très élogieuse envers le régime russe et son président, diffusée par la chaîne de télévision Pervyi Kanal.   »J’en ai même parlé à mon Président, François Hollande. Je lui ai dit tout cela. Il sait que j’aime beaucoup votre Président Vladimir Poutine et que c’est réciproque », a-t-il écrit, ajoutant qu’il comptait apprendre le russe et que la Russie était un pays où il faisait « bon vivre « Et je lui ai dit que la Russie était une grande démocratie, et que ce n’était pas un pays où un premier ministre traitait un citoyen de minable », a-t-il poursuivi, dans une référence au Premier ministre français, Jean-Marc Ayrault.  Ce dernier avait qualifié l’exil fiscal de l’acteur, qui proteste contre les augmentations d’impôts visant les plus riches en France, d’ »assez minable ».  Cette décision, particulièrement rare en Russie, intervient alors que l’acteur français, interprète en 2011 du mystique Raspoutine dans une production franco-russe, a annoncé récemment vouloir renoncer à son passeport français, s’estimant « injurié » par les critiques de M. Ayrault.  La star de 64 ans avait pourtant auparavant déclaré qu’elle comptait s’installer dans un village de Belgique, où elle a acheté une propriété, et qu’elle envisageait de prendre la nationalité belge.  Réagissant à l’annonce du président russe, le président de la commission belge des naturalisations, M. Georges Dallemagne a d’ailleurs estimé qu’elle rendait « la situation plus complexe ».  Si l’acteur « acceptait la citoyenneté russe, il pourrait toujours faire une demande en Belgique, mais nous l’examinerions différemment. Il faudrait qu’il nous dise clairement quels sont ses projets, s’il entend résider et développer ses activités dans notre pays », a-t-il précisé.  En décembre, le président Poutine, soucieux de montrer que le régime fiscal en Russie, où l’impôt sur le revenu est de 13% pour tous, est intéressant pour le monde des affaires, avait déjà annoncé être prêt à accorder un passeport à Gérard Depardieu si celui-ci le souhaitait.   »Cette promesse était fondée sur l’importante contribution de Depardieu à la culture nationale et au cinéma », a expliqué jeudi le porte-parole du président russe, Dmitri Peskov, à l’agence Interfax.  Selon les médias russes, Gérard Depardieu serait soumis au régime des 13% d’impôts sur le revenu seulement s’il résidait au moins six mois par an en Russie.  L’impôt sur ses revenus, obtenus en Russie ou à l’étranger, s’élèverait cependant à 30% s’il passait plus de six mois en dehors du pays.  Très célèbre en Russie, Depardieu apparaît régulièrement dans diverses publicités, notamment pour la banque Sovietski et pour une marque de ketchup.  Fan autoproclamé de la culture russe, en particulier de l’oeuvre de l’écrivain Dostoïevski, il a été membre du jury du festival du film de Moscou et figurait dans le parterre de stars devant lequel Vladimir Poutine, alors Premier ministre, avait entonné l’air de Blueberry Hill lors d’un concert de bienfaisance à Saint-Pétersbourg en 2010.  Mais l’acteur, connu pour ses frasques, s’est également fait remarquer pour son implication dans des projets et événements controversés dans l’ex-URSS.  En octobre dernier, il a ainsi participé à des célébrations officielles à Grozny, capitale de la Tchétchénie, au cours desquelles il avait lancé : « Gloire à la Tchétchénie, gloire à Kadyrov », en s’affichant aux côtés de Ramzan Kadyrov, numéro un de cette république, accusé de multiples exactions par les ONG de défense des droits de l’homme.  Ce dernier s’est d’ailleurs dit prêt à accueillir Depardieu dans cette république instable du Caucase.  Récemment, Depardieu a également enregistré une chanson avec Gulnara Karimova, la fille aînée du président ouzbek Islam Karimov, au pouvoir depuis 1989 et très critiqué par les Occidentaux pour son bilan en matière de droits de l’homme.  Et l’acteur devrait de surcroît jouer dans une série ouzbèke qu’elle co-écrit.  Réagissant à cette annonce, l’ex-dissidente soviétique et militante russe Lioudmila Alexeeva a tenu à souligner que le président russe devrait user de son droit d’octroyer la citoyenneté dans d’autres cas aussi. « Ma propre petite-fille, qui est née à Moscou et a les papiers le prouvant, vit depuis déjà six ans à Moscou, mais n’arrive pas à obtenir la citoyenneté russe », a-t-elle déclaré à l’agence Ria Novosti.

 

Depardieu devient russe !

Depardieu devient russe !

 

Après avoir annoncé en décembre son intention de rendre son passeport français, Gérard Depardieu avait affirmé que « Poutine (lui avait) déjà envoyé un passeport ». Le président russe lui a donc accordé par décret la nationalité russe. L’acteur avait expliqué son intention d’abandonner la nationalité française après les déclarations de Jean-Marc Ayrault jugeant « minable » son exil fiscal en Belgique.

 

Johnny Hallyday : « Depardieu pisse sur Hollande » Humour !

Johnny Hallyday : « Depardieu pisse sur Hollande » Humour !

 

Un humour à la hauteur du coefficient intelectuel.et du comportement social  de l’intéressé, Halliday l’autre exilé fiscal (5 millions de revenus en 2011)  en Suisse  a diffusé un montage où Depardieu pisse sur Hollande. Le monde du show-biz n’en finit plus de prendre parti sur l’affaire Depardieu. Après Gad Elmaleh ou encore Catherine Deneuve, qui avaient vertement critiqué le sociétaire de la comédie française Philippe Torreton pour sa tribune contre la star, c’est au tour de Johnny Hallyday d’apporter sa réflexion. Dans un message posté depuis son compte Twitter, le chanteur a envoyé un photo-montage de Gérard Depardieu urinant en chœur avec le Manneken-Pis sur le président de la République, François Hollande. Sur le réseau social, de nombreuses personnes réagissaient, certains s’offusquant de ce tweet, d’autres se félicitant d’un nouveau soutien pour Gérard Depardieu. Dans un échange avec un internaute, le chanteur a tenu à préciser que c’était de « l’humour ».

Valérie Debord, ex égérie de l’UMP et ex députée choisit aussi Depardieu

 

Valérie Debord, ex égérie de l’UMP et ex députée choisit aussi Depardieu

 

Qui se ressemble s’assemble ; l’ex égérie de l’UMP soutient Depardieu avec des propos pour le moins contestables. Sous prétexte de liberté, les artistes seraient intouchables fiscalement ? C’et ça ? Valérie Debord, ex-députée UMP, est revenue pour Europe 1 sur l’étrange tweet de soutien de Johnny Hallyday pour Gérard Depardieu : « quand on vous prend trois quart de ce que vous gagnez, il faut aussi comprendre qu’à un moment les gens s’en vont, se révoltent. Quand on s’attaque aux artistes, on ne maîtrise rien car ce sont des gens libres, iconoclastes. A titre personnel, je n’aurais évidemment jamais fait ça », a-t-elle déclaré. Et si Nicolas Sarkozy avait été la place de François Hollande sur la photo du tweet de Johnny Hallyday, aurait-elle réagi de la même façon ? « Oui, Sarkozy a été la cible de caricatures largement plus odieuses que celle là et on a toujours dit qu’il fallait laisser à chacun la possibilité de s’exprimer », a-t-elle assuré.

Bardot : non à la chasse au Depardieu !

Bardot : non à la chasse au Depardieu !

 

Bardot défend les animaux y compris Depardieu, l’animal sauvage qui veut quitter sa cage France pour la Belgique ou même la Russie. En cause, le » ronron fiscal », pas à son gout. Bardot le défend « Je soutiens Gérard Depardieu, victime d’un acharnement extrêmement injuste.». Bardot demande l’arrêt de la chasse au Depardieu, une chasse qui pourrait conduire à l’extinction de comédiens aussi talentueux que vulgaires et veules. Qui veut la peau de Depardieu ?  Une honte quand des peaux synthétiques peuvent facilement remplacer le pelage fatigué de l’acteur. Le clivage sur cette question de la chasse au  Depardieu dépasse la gauche et la droite ;  Lucchini par exemple défend Depardieu au nom de la filmographie comme si cette filmographie pouvait donner une réponse à une problématique fiscale. Le vrai clivage entre les pros et anti chasse, c’est le fric .  Ceux qui trustent les cachets à 1 Million (et davantage) par film sont contre la chasse, d’autres moins chanceux (surtout moins rémunérés) sont pour. Ce n’est plus la chasse mais la guerre comme vient de le déclarer Parisot la porte parole du CAC 40 ; une guerre civile a-t-elle ajouté, comme en 1789 a surenchéri Afflelou qui devrait bien de changer de lunettes pour poux voir les réalités sociales et sociétales. A force d’être médiatisé, les comédiens (et autres représentants du showbiz)  finissent pas se prendre pour des intellos et parlent de tout et surtout de rien, de la fiscalité par exemple ou  d’autres problèmes de société. Ils ont le droit bien sûr mais la pertinence de leur propos ne repose que sur l’audimat de leur prestation de saltimbanque. Quel est la légitimité de Bardot hormis la beauté passée d’un magnifique séant, On raisonne en fait avec ce qui a fait sa célébrité.

Depardieu : la filmographie pour excuse, un argument de riches faux cul !

Depardieu : la filmographie pour excuse, un  argument de riches faux cul !

 

Curieux argumentaires de quelques grands noms du spectacle (et de la droite) pour défendre Depardieu : sa filmographie. La notoriété artistique (au demeurant souvent bien dérisoire  au regard de l’histoire de l’art) serait donc à labri de la critique fiscale et de la nécessité d’une plus grande solidarité. Comme beaucoup de  politiques, trop d’ artistes reconnus marchent sur la tête et sont coupées des réalités économiques, sociales et mêmes sociétales.  Témoin d’ailleurs parfois des comportements complètement enfantins et ahurissants. Première observation, le talent n’est pas le génie ; il ya une grande différence mais beaucoup  procèdent  à l’amalgame tellement ils  ont la enflée par l’artificielle reconnaissance médiatique. Nombre d’artistes, avec le même talent,  n’ont pas eu la chance d’autres ; la très grande majorité vit très chichement parfois misérablement. Quelques dizaines visées par les mesures fiscales concernant les plus riches quand des dizaines de milliers parviennent juste à boucler les fins de mois. En fait,  un véritable scandale de la redistribution dans le métier artistique. Finalemenet le même scandale que dans l’ensemble de l’économie. Où les grands patrons s’octroient sans remord environ 5 millions de salaires (plus les stocks options et retraites chapeau) quand le salaire net de leurs employés les moins payés est de l’ordre de 1000 euros par mois. Non la filmographie n’est pas un argument pour apprécier le degré de citoyenneté d’un comédien. Personne ne peut être à labri de la critique. Ou alors il faut aussi admettre qu’un footballeur qui marque beaucoup de buts justifie les 20 millions annuels qu’il touche. On peut aimer le sport (en faire aussi c’est mieux) et être scandalisé par ces salaires irresponsables (finalemenet qui seront payés par les contribuables car presque tous les grands clubs européens sont en déficit). A force de pommade médiatique, nombre d’acteurs finissent par se prendre pour des intellectuels et se prononcent sur des sujets dont ils ignorent tout. Dernière en date, Brigitte bardot qui juge que Depardieu est victime d’acharnement injuste. Encore une intellectuelle qui sait ce qu’est la justice !

Des acteurs à plus d’un million par film soutiennent Depardieu; Normal, la solidarité du fric

Des acteurs à plus d’un million par film soutiennent Depardie;  Normal, la solidarité du fric

 

Après Catherine Deneuve et Fabrice Lucchini, Gad Elmaleh , ce sera sans doute le tout d’autres qui Gangnet aussi 1 million par film.  Avec  en plus le soutien de Tapie, un modèle de morale financière et philosophe en plus « ‘ arrêtez de dire que la pauvreté c’’st la faute de riches ». L’argument des défenseurs de Depardieu n’est ni fiscal, ni économique mais seulement filmographique. La filmographie pour excuse. Drôle d’argument, on ne pourrait alors pas s’exprimer sur la politique par exemple parce qu’on n’est pas un responsable reconnu d’un parti. Un argument de faux-cul évidemment qui discrédite certains comédiens dont la veulerie est une honte en ces périodes de crise. Une sorte de révolte des nantis complètement coupées des réalités économiques et sociales ; On objectera que ces salaires de comédiens existent aussi à étranger et alors, la misère existe aussi à l’étranger ; est-ce une raison pour la tolérer ? Dans l’affaire Depardieu, chacun choisit son camp. La classe politique, dans son immense majorité, a choisi de critiquer l’acteur pour son choix de s’exiler en Belgique. Le milieu du show-business, de son côté, s’est montré plus prudent depuis le début de la polémique. Seul l’acteur Philippe Torreton a jeté un pavé dans la mare médiatique en publiant, mardi, une violente tribune dans Libération.  Dans un texte titré « Alors Gérard, t’as les boules ?« , Philippe Torreton s’étonnait que l’acteur des Valseuses ait pris « la mouche pour un petit mot » – le « minable » du Premier ministre Jean-Marc Ayrault – et « en appelle au respect, comme le fayot dans la cour de récré ». « Mais Gérard, tu pensais qu’on allait approuver ? (…) Tu pensais que des pétitions de soutien de Français au RSA allaient fleurir un peu partout sur la Toile ? » écrivait le comédien, césar du meilleur acteur en 1997 pour Capitaine Conan. « Le problème, Gérard, c’est que tes sorties de route vont toujours dans le même fossé : celui du je pense qu’à ma gueule, celui du fric, des copains dictateurs, du pet foireux et de la miction aérienne, celui des saillies ultralibérales… », accusait l’ancien conseiller de Paris, qui s’était engagé auprès de Bertrand Delanoë (PS). Une diatribe qui avait valu à Philippe Torreton une sèche réplique de Fabrice Luchini, le lendemain. « Depardieu, c’est un ami et je ne juge pas mes amis. Par contre, ceux qui jugent Depardieu, surtout s’ils sont acteurs, ils devraient juger aussi leur filmographie. Quand on attaque Depardieu, il faut avoir une filmographie solide », avait lancé l’acteur lors d’un tchat avec les lecteurs de Sud-Ouest. Avant d’enfoncer le clou : « Moi, je ne fais pas des leçons de morale, chacun dit ce qu’il veut. C’est suicidaire de se confronter à un monument du cinéma », estimait Fabrice Luchini. Vendredi, c’est un autre monument du cinéma, Catherine Deneuve, qui est sorti de son silence pour s’indigner des critiques de Philippe Torreton. « Ma colère est née de vos jugements à l’emporte-pièce. (…) Et de cette mesquinerie ordinaire qui vous agite tant », écrivait l’actrice dans une tribune titrée « Monsieur Torreton… ». « Ce n’est pas tant Gérard Depardieu que je viens défendre, mais plutôt vous que je voudrais interroger. Vous en prendre à son physique ! À son talent ! Ce gâchis dont vous parlez… De quel droit, de quel souci démocratique semblez-vous animer votre vindicte salissante ? », ajoutait-elle. « Quant à la parole officielle déchéance, minable, elle n’est pas digne d’hommes d’État », tranchait l’actrice. Et de conclure sa missive par ces mots : « Avec ma sincère déception. » Samedi matin, Gérard Depardieu s’est trouvé un nouvel avocat en la personne de… Gad Elmaleh. L’humoriste a fait court. Il a publié un message sec sur Twitter à l’attention de Philippe Torreton : « Ce n’est pas en tapant sur les grands qu’on rentre dans leur cour. Je comprends ton mal de notoriété. Mais tu es si petit. » Même belge, Gérard Depardieu garde beaucoup d’amis en France, les amis du fric !

 

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