Archive pour le Tag 'd’Engie'

La position pro russe d’Engie pose problème

La position pro russe  d’Engie pose problème

 

 

Il y a déjà un moment que la stratégie d’Engie pose problème. Difficile de savoir si cette entreprise est résolument orientée vers la distribution d’énergie dé carbonée ou si  elle continue à la fois dans le nucléaire et dans le gaz russe sans parler des activités très accessoires.

On peut légitimement se demander ce que Engie fait dans la galère de Gazeprom  . Certes l’Allemagne défend ce projet car ce pays après avoir sabordé le nucléaire et constaté l’inutilité des énergies intermittentes ne peut se passer de gaz.

Il en va différemment pour Engie qui navigue entre des objectifs contradictoires. Pour preuve la responsable de l’entreprise pousse un cri d’alerte en cas d’interruption de la fourniture de gaz russe.

« Nous achetons du gaz russe , qui représente 20 % de nos ventes et consommation mondiales, dans le cadre de contrats de long terme. En ce qui concerne les livraisons de Gazprom, elles continuent à arriver normalement en France et en Europe actuellement. La progression q rapport au mois dernier n’est pas significative » .Et de proposer que l’État rationne l’énergie et où augmente les prix

Il serait temps que l’État impulse une réflexion sur le rôle d’énergie dans la politique énergétique car la concurrence instaurée par exemple vis-à-vis d’EDF n’a aucun sens.

Environnement- Electricité 100 % verte d’Engie: Une escroquerie

Environnement

Electricité 100 % verte d’Engie: Une escroquerie

A l’occasion du tournoi de tennis de Roland-Garros on voit resurgir le fameux slogan d’Engie qui promet une électricité 100 % verte. Observons que parallèlement EDF promet seulement 97 % d’électricité sans carbone. Pas seulement une promesse pour EDF mais une réalité car la plupart de l’électricité vient du nucléaire qui ne produit aucun carbone.

 

Engie  mais aussi bien d’autres fournisseurs promettent pourtant une électricité verte alors qu’en réalité ils utilisent tout le même réseau qui distribue exactement la même électricité pour les particuliers et même la plupart des entreprises. Pour donner une légitimité à la peinture verte d’Engie, cette dernière entreprise investit dans d’illusoires éoliennes dans la France profonde, soit directement, soit indirectement dans des sociétés écrans. Ce qui ne l’empêche pas d’être aussi présentes dans le nucléaire, dans le gaz y compris celui bientôt en provenance de Russie.

Le concept d’électricité verte accessible à tous constitue une fumisterie. Les énergies alternatives au nucléaire n’occupent qu’une part très marginale. Et la production par exemple de certaines éoliennes est purement et simplement inutilisée mais quand même grassement rémunérée par le contribuable. Une aubaine pour les profiteurs locaux et l’entourage de certains conseils municipaux bien arrosés par les promoteurs d’éoliennes. De la même manière l’hydrogène verte constitue la même escroquerie car la filière ne pourra se développer de manière significative qu’avec les réserves de production d’électricité du nucléaire actuellement n’en utilisées.

Electricité 100 % verte d’Engie: Une escroquerie

Electricité 100 % verte d’Engie: Une escroquerie

A l’occasion du tournoi de tennis de Roland-Garros on voit resurgir le fameux slogan d’Engie qui promet une électricité 100 % verte. Observons que parallèlement EDF promet seulement 97 % d’électricité sans carbone. Pas seulement une promesse pour EDF mais une réalité car la plupart de l’électricité vient du nucléaire qui ne produit aucun carbone.

 

Engie  mais aussi bien d’autres fournisseurs promettent pourtant une électricité verte alors qu’en réalité ils utilisent tout le même réseau qui distribue exactement la même électricité pour les particuliers et même la plupart des entreprises. Pour donner une légitimité à la peinture verte d’Engie, cette dernière entreprise investit dans d’illusoires éoliennes dans la France profonde, soit directement, soit indirectement dans des sociétés écrans. Ce qui ne l’empêche pas d’être aussi présentes dans le nucléaire, dans le gaz y compris celui bientôt en provenance de Russie.

Le concept d’électricité verte accessible à tous constitue une fumisterie. Les énergies alternatives au nucléaire n’occupent qu’une part très marginale. Et la production par exemple de certaines éoliennes est purement et simplement inutilisée mais quand même grassement rémunérée par le contribuable. Une aubaine pour les profiteurs locaux et l’entourage de certains conseils municipaux bien arrosés par les promoteurs d’éoliennes. De la même manière l’hydrogène verte constitue la même escroquerie car la filière ne pourra se développer de manière significative qu’avec les réserves de production d’électricité du nucléaire actuellement n’en utilisées.

CESSIONS D’ENGIE ET ADP

CESSIONS D’ENGIE ET ADP: le maire mange son chapeau « PROBABLEMENT PAS » AVANT LA FIN DU QUINQUENNAT, ANNONCE LE MAIRE

Pour cacher le fait qu’il mange son chapeau, le ministre de l’économie déclare qu’une éventuelle nationalisation d’ADP  et d’Engie ne se réalisera pas avant la fin du quinquennat. En fait, c’est clairement un renoncement La privatisation d’ADP comme la cession des parts de l’Etat dans Engie, n’interviendront « probablement pas » avant la fin du quinquennat, a dit le ministre de l’Economie Bruno Le Maire au Figaro jeudi.

Interrogé sur la possibilité que ces cessions soient réalisées avant cette date, le ministre a répondu qu’ »il est probable que non ».

Un nouveau DG d’Engie : pour quoi faire ?

Un  nouveau DG d’Engie : pour quoi faire ?

Il faut évidemment  un  nouveau directeur général d’Engie, en remplacement d’Isabelle Kocher partie en février, il sera choisi en septembre, selon Jean-Pierre Clamadieu, président du conseil d’administration de l’énergéticien français. La question de la personnalité de ce nouveau directeur général n’est pas indifférent et il est sans doute tout aussi important de savoir quelle est l’orientation stratégique d’Engie qui flotte entre un positionnement de concurrence vis-à-vis d’EDF, de support aux énergies nouvelles, de  gestion de l’eau et de la propreté en même temps que d’entreprise énergétique très classique. L’État aurait sûrement son mot à dire dans la mesure où il conserve encore à peu près un quart capital de ce regroupement assez hybride de l’ancien Suez et de l’ancien . GDF. C’est précisément pour des ambiguïtés de stratégie notamment celles évoquées ci-dessus qu’on a demandée à l’ancienne directrice générale Isabelle Kocher de partir

“Nous souhaitons que le poste soit pourvu d’ici à la fin de l’année, ce qui suppose de choisir le bon candidat en septembre. Et je ne sens pas d’impatience particulière de nos actionnaires”, déclare-t-il dans un entretien accordé au Journal du dimanche aux côtés de Claire Waysand, directrice générale d’Engie par intérim.

“L’enjeu, c’est de trouver le meilleur manager possible pour continuer la transformation d’un groupe qui a bien sûr de nombreux défis à relever. Nous regardons donc toutes les candidatures, internes comme externes”, ajoute Jean-Pierre Clamadieu.

La DG d’Engie, Isabelle Kocher , remerciée pour des raisons politiques

La  DG d’Engie,  Isabelle Kocher , remerciée pour des raisons politiques

Plusieurs raisons à l’éviction de la directrice générale mais la plus importante est politique. Le gouvernement n’a guère apprécié qu’Isabelle Kocher soit soutenue par des personnalités de gauche pas plus que paradoxalement,  il n’a apprécié le recentrage un peu écolo d’Engie. Un recentrage écolo pourtant pas évident pour une entreprise qui gère nombre de matières à forte émissions polluantes.  La directrice générale est aussi victime de ses relations détestables avec l’influent président du  conseil d’administration. On reproche aussi à l’intéressé de n’avoir pas su arroser suffisamment les actionnaires donc évidemment l’État. Enfin , le fait d’être une femme n’a pas avantagé la directrice générale dans un monde du CAC  40 exclusivement dirigé par des hommes.

Engie devait à l’origine se prononcer fin février sur la reconduction ou non de la dirigeante, en poste depuis 2016.Mais, selon plusieurs sources au fait du dossier, les relations entre Isabelle Kocher et Jean-Pierre Clamadieu se sont dégradées à un tel point ces dernières semaines que le groupe a décidé d’accélérer sa décision.

Des sources internes à Engie et des observateurs du groupe indiquent que l’Etat, qui peut se désengager du capital depuis le vote de la loi Pacte, reproche à Isabelle Kocher de s’être entourée d’une équipe dirigeante manquant d’envergure et d’avoir informé trop tardivement le conseil de certaines décisions et orientations stratégiques.

La progression du cours de Bourse de l’entreprise sous son mandat (+13% environ), jugée trop modeste, est elle aussi invoquée comme motif de son éviction. Alors que des rumeurs sur son éviction potentielle ont commencé à circuler fin 2019, des salariés du groupe ont publiquement pris position en faveur de son maintien et, plus récemment, des personnalités du monde politique et des affaires lui ont apporté leur soutien – dont Anne Hidalgo, Xavier Bertrand ou encore Cédric Villani et Aurore Bergé -, ce que la présidence d’Engie et l’Etat auraient très mal perçu.

Isabelle Kocher, après avoir déjà entretenu des relations tendues avec l’ancien président d’Engie Gérard Mestrallet, a régulièrement estimé ces dernières années qu’elle était la cible de critiques en raison du virage stratégique qu’elle a fait prendre au groupe.




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