Archive pour le Tag 'démissionner'

Rugy : 11e ministre à démissionner dont 6 pour motif financier

Rugy : 11e ministre à démissionner dont 6 pour motif financier  

11 ministres ont été virés depuis le début du mandat de Macron. (Françoise Nyssen, Stéphane Travert, Jacques Mézard et Delphine Gény-Stephann, Richard Ferrand, François Bayrou, Sylvie Goulard, Marielle de Sarnez, Laura Flessel, François de Rugy.). C’est beaucoup surtout quand c’est  justifié pour des motifs de fraude financière. (Richard Ferrand, François Bayrou, Sylvie Goulard, Marielle de Sarnez, Laura Flessel, François de Rugy.). Le pire c’est sans doute Richard Ferrand, un des premiers soutiens de Macron impliqué dans une affaire où il a permis à sa compagne de réaliser un joli bonus de 800 000 € grâce à une belle magouille immobilière. L’affaire a d’abord été enterrée pour des questions de date ensuite dépaysée  dans un tribunal à Lille où elle dort sans doute dans un tiroir. L’affaire de Rugy est le dernier exemple en date du caractère très sulfureux de l’entourage de Macron. Un entourage constitué de novices, la plupart incompétents (sauf le ministre de l’éducation sans doute) et de vieux chevaux de retour comme Ferrand, Collomb, Bayrou  ou de Rugy. De Rugy qui a additionné les frasques et qui sans doute enivré par les parfums du pouvoir a un peu confondu monarchie et démocratie républicaine. On passe vite du statut de gauchiste  au statut de Prince sous les ors de la république. Surtout quand le président de la république donne lui-même l’exemple d’un faste par ailleurs ridicule. On se souvient notamment de cette interminable cérémonie d’investiture aux Louvres qui a donné la tonalité du quinquennat. La France croyait avoir élu un président de la république, elle a élu un monarque décide de tout, partout et tout le temps. En plus qui ne se gêne pas d’utiliser les moyens de la république faire une campagne électorale permanente. Par mimétisme certains ont été entraîné  sur la plante glissante qui fait confondre intérêt général et intérêt personnel le parcours de Macon est lui-même très sulfureux. En effet on ne sera jamais comment il a gagné ses millions chez Rothschild, sur quelle affaire. On ne sera jamais ce qu’il en a fait ensuite. On ne sera jamais comment il a financé sa campagne. L’affaire des cadeaux consentis pendant sa campagne vient d’être enterrée par le conseil constitutionnel l’affaire du financement par trop de gros donateurs (les grands patrons et les financiers) traîne dans les tiroirs de la justice. De ce point de vue, Rugy  est sans doute coupable mais aussi victime de s’être un peu trop inspiré des pratiques royales  de Macron.

 

 

Déchéance de nationalité: Duflot doit s’excuser ou démissionner .

Déchéance de nationalité: Duflot doit s’excuser ou démissionner

Non seulement Cécile Duflot a complètement pété les plombs en faisant référence à Vichy lors du débat concernant la déchéance de nationalité à l’Assemblée nationale mais ce dimanche elle récidive avec ce parallèle idiot, mensonger et insultant. Les propos tenus par Cécile Duflot vendredi à l’Assemblée nationale sur la déchéance de nationalité et le régime de Vichy ont suscité la controverse dimanche, les critiques émanant de l’ensemble de l’échiquier politique. Lors de la présentation vendredi aux députés du projet de loi controversé de révision constitutionnelle visant à lutter contre le terrorisme, la coprésidente du groupe écologiste à l’Assemblée nationale a déclaré que « le dernier régime à (…) avoir massivement utilisé (la déchéance de nationalité) fut le régime de Vichy », provoquant les protestations à la fois de la majorité et de l’opposition.  L’ex-ministre du Logement du gouvernement Ayrault a maintenu sa position dimanche.   »Non seulement mes mots sont le reflet exact de ma pensée, qui est une analyse historique ( !)  sur ce qu’est la déchéance, mais je les maintiens tous », a-t-elle affirmé au Grand Jury RTL-Le Figaro-LCI. Dans une démocratie il est normal que chacun exprime ses positions y compris sur un thème comme la déchéance de nationalité mais pas en utilisant des arguments aussi infamants que ceux de Cécile Duflot. Pas étonnant, l’intéressé est un oligarque qui vit de la politique depuis 15 ans complètement coupée des réalités économiques sociales et sociétales, engagée davantage chez les verts politisés pour défendre ses positions gauchistes que pour la prise en compte de l’environnement. Politiquement Cécile Duflot ne représente strictement rien, 3 % aujourd’hui dans les sondages relatifs à 2017, son parti (EELV) est complètement.  Grâce au marchandage du PS, Duflot a pu être élue députée, puis est devenue ministre. L’ancien responsable d’Europe écologie les Verts François de Ruby  a demandé à Cécile Duflot des ses excuses publiques. À défaut d’excuses publiques, il serait  légitime de demander à Cécile Duflot de démissionner de ses fonctions de députée pour avoir proféré des propos qui font honte à la représentation nationale et à la France.

Myriam El-Khomri doit démissionner (Eric Verhaeghe)

Myriam El-Khomri  doit démissionner (Eric Verhaeghe)

 

 Eric Verhaeghe a été président de l’APEC (Association pour l’emploi des cadres) entre 2004 et 2009.

 

« On s’étonnera de lire de-ci de-là un concert de soutien plus ou moins franc à la ministre, sur le mode du: ce n’est pas si grave que la ministre du Travail ne connaisse pas les principales règles applicables au contrat à durée déterminée. Après tout, attend-t-on d’une ministre de l’Éducation qu’elle sache en quoi consiste le baccalauréat, attend-on d’une ministre de la Culture qu’elle sache apprécier un roman, attend-on du ministre des Finances qu’il sache lire les comptes de l’Etat? Le renoncement d’un certain nombre de relais d’opinion face à la compétence minimale en politique est un étrange signal du déclin français. Des esprits éminents n’attendent même plus d’un ministre de la République qu’il connaisse les grands mécanismes qu’il doit conduire ou qu’il doit réformer.  C’est d’ailleurs l’argument de Myriam El-Khomri: je suis là pour réformer, pas pour savoir! Mais quelle intelligence de la réforme, si elle s’attaque à des sujets qui ne sont pas compris ni maîtrisés. Le plaidoyer en faveur de l’ignorance auquel la ministre s’est livré en sortant du Conseil du mercredi en dit long sur le poids de la technostructure en France: plus besoin de connaître les dossiers pour décider- les fonctionnaires sont là pour savoir à la place des élus.  Se satisfaire de cette décrépitude explique largement la défiance des Français vis-à-vis de leurs élus, et François Hollande enverrait, à l’approche des régionales, un signal positif en demandant à sa ministre de partir. Les cafouillages du gouvernement sur les mesures fiscales de 2016 en disent long sur l’approximation des ministres dans la maîtrise des dossiers, et sur le poids qu’ils laissent aux fonctionnaires dans la conduite des affaires. Se satisfaire de cette décrépitude explique largement la défiance des Français vis-à-vis de leurs élus, et François Hollande enverrait, à l’approche des régionales, un signal positif en demandant à sa ministre de partir. Il montrerait ainsi qu’il souhaite inverser la courbe du déclin démocratique en France – une courbe à laquelle il gagnerait à s’attaquer avant qu’il ne soit trop tard. La question du contrat à durée déterminée n’est pas, contrairement à ce que notre ignorante ministre soutient, une question secondaire. Si le CDD est bien minoritaire dans la masse des contrats salariaux, il constitue toutefois une cause majeure du chômage. Une inscription nouvelle à Pôle Emploi sur quatre est due à une fin de CDD. Si le CDD est bien minoritaire dans la masse des contrats salariaux, il constitue toutefois une cause majeure du chômage. Dire qu’il n’est pas essentiel de connaître les règles applicables à ce dispositif, c’est soutenir qu’il n’est pas intéressant de comprendre un quart du chômage en France. Quand on est ministre du travail, ce manque d’empathie ne peut qu’être interprété pour ce qu’il est vraiment: un désintérêt marqué confinant au mépris profond pour les personnes qui n’ont pas d’emploi.  Myriam El-Khomri aurait voulu signifier qu’elle se moque souverainement du sort des chômeurs en France, elle ne s’y serait pas prise autrement. C’est précisément ce mépris pour les gens qui tue ce pays. Qu’une ministre ne démissionne pas spontanément lorsqu’elle est prise en flagrant délit d’une telle ignorance sur ce qui touche à l’emploi et au chômage montre toute l’ampleur du mépris que ce gouvernement porte pour le monde du travail privé. Myriam El-Khomri aurait voulu signifier qu’elle se moque souverainement du sort des chômeurs en France, elle ne s’y serait pas prise autrement. Mais il est vrai que ce monde-là, la ministre n’y a jamais mis les pieds. Sur le fond, Myriam El-Khomri constitue la parfaite incarnation de la décadence qui pourrit le pouvoir en France et explique notre naufrage collectif.  Pour se régénérer, la gauche pourrait faire le choix de piocher des talents dans les milieux populaires, puis de les faire émerger. Mais de talent, elle ne veut point. Elle préfère des esprits soumis, malléables, vierges comme des tablettes de cire, qui obéissent aux moindres caprices des puissants.  Myriam El-Khomri est de ceux-là : dégottée par le parrain Bartolone pour exécuter des basses œuvres, la ministre appartient à ce lot de thuriféraires sans imagination qui répètent laborieusement leur leçon. Myriam El-Khomri est de ceux-là: dégottée par le parrain Bartolone pour exécuter des basses œuvres, la ministre appartient à ce lot de thuriféraires sans imagination qui répètent laborieusement leur leçon. Ils sont là pour servir leur maître et trouvent leur bonheur dans la fange de la soumission dont ils déshonorent la liberté de l’esprit. Quand elle dit: je ne suis pas là pour savoir mais pour faire une réforme, elle ne dit pas autre chose.  Cette classe d’apparatchiks tue, année après année, la chose publique et l’intérêt général. La ministre du Travail appartient à cette galaxie d’imposteurs choisis non pour leur mérite mais pour leur flagornerie, non pour leur compétence mais pour leur absence de conscience. Ces gens-là tuent la nation française à petits feux »

 

Régionales : « Nadine Morano doit démissionner  » (Sarkozy)

Régionales :   »Nadine Morano doit démissionner  » (Sarkozy)

Sarkozy va saisir la Commission nationale d’Investiture « pour lui proposer de retirer l’investiture en Meurthe-et-Moselle à Nadine Morano.

« Ses derniers propos ne correspondent ni à la réalité de ce qu’est la France ni aux valeurs défendues par les Républicains. Que tous ceux qui cherchent par leur déclaration à s’assurer une publicité qui nuit à la crédibilité des Républicains comprennent que cela ne peut pas rester sans conséquence ».

Nadine Morano ne sera donc bientôt plus tête de liste en Meurthe-et-Moselle. Le patron a tranché. Un Nicolas Sarkozy d’autant plus mécontent peut-être qu’il était aujourd’hui sur tout autre chose : une grande interview au journal Les Echos mercredi matin pour expliquer son programme économique, une journée de travail de son parti pour relayer ses propositions en matière de droit du travail, et un vote des adhérents pour les adopter. Tout était prêt pour permettre au président des Républicains de peaufiner son profil de réformateur et de rééquilibrer son image, autoritaire, identitaire, sécuritaire véhiculée ces dernières semaines. Une séquence rééquilibrage qui vole en éclat sous les coups de boutoir de l’ex-groupie sarkozyste.   Sur France Info à la mi-journée, Philippe Richert a appuyé son propos en expliquant : « Nadine Morano essaie de s’organiser un créneau pour exister dans la campagne aux primaires du parti Les Républicains. C’est pas possible« . Et il indique avoir essayé de joindre l’intéressée à plusieurs reprises pour en discuter. Sans succès.

Brésil : grosse manif pour démissionner Rousseff

Brésil : grosse manif pour démissionner Rousseff

La contestation ne cesse de monter au Brésil du faîte de la crise économique mais aussi des multiples affaires de corruption. En matière économique la croissance est dans le rouge et les mesures d’austérité sont particulièrement mal acceptées. D’autant que ne cessent d’émerger des affaires de corruption concernant les proches de Ruth œuf. Lulle, l’ancien président, ancien syndicaliste était parvenu à réaliser un redressement significatif du pays et améliorer la justice sociale. Celle qui lui a succédé par contre sans faire dans les problèmes économiques et la corruption. Elle pourrait même être impliquée dans le scandale de la compagnie pétrolière publique que la présidée. Plusieurs centaines de milliers de Brésiliens ont manifesté dimanche dans tout le pays pour réclamer le départ de la présidente Dilma Rousseff, qu’ils rendent responsable d’un vaste scandale de corruption et de la pire crise économique qu’ait subie le pays depuis un quart de siècle. Moins d’un an après sa réélection à la tête du pays, Dilma Rousseff a vu sa popularité tomber sous 10% dans de récents sondages et deux Brésiliens sur trois se prononcent en faveur de sa destitution. La journée d’action de dimanche, la troisième organisée depuis le début de l’année, s’est déroulée dans une ambiance festive aux cris de « Dehors Dilma ».  Environ 135.000 personnes se sont rassemblées dans le quartier des affaires de Sao Paulo, selon l’institut de sondage Datafolha, et 25.000 manifestants se sont réunis devant le Congrès à Brasilia, la capitale, selon la police. A Rio de Janeiro, la manifestation a débuté en milieu de journée sur la plage de Copacabana. Le mécontentement est largement répandu dans toutes les catégories sociales face à la montée du chômage et à l’inflation, qui font craindre la pire situation économique depuis les années 1980.  La politique d’austérité menée par le gouvernement, qui vise à contenir la hausse des prix et à éviter que la note souveraine du pays ne soit dégradée en catégorie spéculative (« junk »), a en outre découragé certains soutiens traditionnels du camp Rousseff et la présidente se heurte même à la résistance d’une partie des députés de la majorité.  La banque centrale brésilienne a annoncé fin juin s’attendre à une baisse de 1,1% du produit intérieur brut (PIB).   »On n’entend parler que de coupes budgétaires mais pour l’instant, cela ne pénalise que des gens comme moi », a déclaré dimanche Francisco Mosack, un retraité de la métallurgie qui vit dans le quartier modeste de Capao Redondo à Sao Paulo, expliquant que sa facture d’électricité a doublé en un an.  Une enquête de l’institut Datafolha publiée il y a quelques jours a montré que les Brésiliens les plus pauvres et les moins éduqués étaient les plus farouches partisans du départ de Dilma Rousseff, alors qu’ils avaient voté en masse pour elle lors de la présidentielle d’octobre dernier, qu’elle a remportée d’une courte tête. Parallèlement à la situation économique, la présidente doit faire face au scandale provoqué par l’enquête pour corruption et blanchiment d’argent visant la compagnie pétrolière publique Petrobras, qui éclabousse une bonne partie de la classe politique brésilienne.  L’affaire, le plus important dossier de corruption jamais révélé au Brésil, a déjà conduit en prison plusieurs des plus importants dirigeants d’entreprise du pays et certains suspects ont mis en cause des figures du Congrès et des membres de l’administration Rousseff.  Aucun élément du dossier n’a à ce jour directement incriminé la présidente mais de nombreux partisans de sa destitution estiment qu’elle est responsable de la gestion corrompue de Petrobras, dont elle a présidé le conseil d’administration de 2003 à 2010.

Hollande doit démissionner !

Hollande doit démissionner  !

 

A  droite mais aussi à gauche y compris dans les rangs du PS, on s’interroge sur la capacité de Hollande à tenir encore trois ans avec des résultats économiques auusi catastrophiques. De fait tout est dans le rouge, fiscalité, chômage, déficit, croissance. Seulement 6% des Français souhaitent que Hollande se représente en 2017. Par ailleurs le PS qui a obtenu 14% aux élections européennes n’a en fait été soutenu que par 5% des Français en tenant compte des abstentions. Un bilan pathétique et calamiteux. Sentant sans doute la menace Hollande a fait une intervention télévisée uniquement pour affirmer que la constitution l’autorisait à se maintenir jusqu’en 2017. Juridiquement, c’est exact mais il ne dispose plus d’aucun légitimité populaire, le discrédit est total tant en France qu’à l’étranger. Sa politique es t un échec dramatique, même les impôts ne rentrent plus, il manque 14 milliards d’après la Cour des comptes ; L’austérité a  tué  la croissance, l’emploi et même l’impôt. Hollande conduit le pays vers la catastrophe économique,  sociale et maintenant politique avec le score du FN. En outre il est incapable d’incarner la fonction présidentielle avec efficacité et dignité. Ses petits jeux de mots de café du commerce, ses discours inaudibles, ses visites sur le « terrain »  sont ridicules. Hollande doit partir de lui-même ou alors il faut le contraindre à démissionner. Il suffirait de redonner la parole aux électeurs via un référendum. et il faut faire vite car les Français ne supportent plus le personnage et sa politique suicidaire. Sinon c’est la grande braderie des entreprises françaises qui va continuer, la politique industrielle qui va complètement s’écrouler,  le chômage qui va encore se développer, la compétitivité qui va être davantage étouffée. La France n’en peut plus de ce président, de ce gouvernement de fonctionnaires, incompétents et méprisants qui ne cessent de masquer le vide de leur politique par des réformes sociétales uniquement destinées aux bobos. Hollande, en dépit de son embonpoint retrouvé, flotte dans un costume de président trop grand pour lui. Il n’a pas la dimension, la compétence, le charisme, le courage qu’il faudrait surtout en cette période de crise. Hollande a trop menti, il s’est  trop contredit, s’est trop compromis avec les lobbies financiers, il n’est plus crédible même parmi ses amis. Avec Hollande jusqu’en 2017, c’est l’agonie assurée pour lui mais surtout pour la France. La défiance générale qui s’installe mine le moral tant des ménages que des entreprises, empêche  tout redressement, hypothèque l’avenir. Partout dans le pays doivent s’élever des voix pour réclamer ce départ de Hollande qui est un préalable à tout changement profond dans les domaines économiques, sociaux  et politiques.

Sondage: Hollande doit démissionner

Hollande doit démissionner  !

 

A  droite mais aussi à gauche y compris dans les rangs du PS, on s’interroge sur la capacité de Hollande à tenir encore trois ans avec des résultats économiques auusi catastrophiques. De fait tout est dans le rouge, fiscalité, chômage, déficit, croissance. Seulement 6% des Français souhaitent que Hollande se représente en 2017. Par ailleurs le PS qui a obtenu 14% aux élections européennes n’a en fait été soutenu que par 5% des Français en tenant compte des abstentions. Un bilan pathétique et calamiteux. Sentant sans doute la menace Hollande a fait une intervention télévisée uniquement pour affirmer que la constitution l’autorisait à se maintenir jusqu’en 2017. Juridiquement, c’est exact mais il ne dispose plus d’aucun légitimité populaire, le discrédit est total tant en France qu’à l’étranger. Sa politique es t un échec dramatique, même les impôts ne rentrent plus, il manque 14 milliards d’après la Cour des comptes ; L’austérité a  tué  la croissance, l’emploi et même l’impôt. Hollande conduit le pays vers la catastrophe économique,  sociale et maintenant politique avec le score du FN. En outre il est incapable d’incarner la fonction présidentielle avec efficacité et dignité. Ses petits jeux de mots de café du commerce, ses discours inaudibles, ses visites sur le « terrain »  sont ridicules. Hollande doit partir de lui-même ou alors il faut le contraindre à démissionner. Il suffirait de redonner la parole aux électeurs via un référendum. et il faut faire vite car les Français ne supportent plus le personnage et sa politique suicidaire. Sinon c’est la grande braderie des entreprises françaises qui va continuer, la politique industrielle qui va complètement s’écrouler,  le chômage qui va encore se développer, la compétitivité qui va être davantage étouffée. La France n’en peut plus de ce président, de ce gouvernement de fonctionnaires, incompétents et méprisants qui ne cessent de masquer le vide de leur politique par des réformes sociétales uniquement destinées aux bobos. Hollande, en dépit de son embonpoint retrouvé, flotte dans un costume de président trop grand pour lui. Il n’a pas la dimension, la compétence, le charisme, le courage qu’il faudrait surtout en cette période de crise. Hollande a trop menti, il s’est  trop contredit, s’est trop compromis avec les lobbies financiers, il n’est plus crédible même parmi ses amis. Avec Hollande jusqu’en 2017, c’est l’agonie assurée pour lui mais surtout pour la France. La défiance générale qui s’installe mine le moral tant des ménages que des entreprises, empêche  tout redressement, hypothèque l’avenir. Partout dans le pays doivent s’élever des voix pour réclamer ce départ de Hollande qui est un préalable à tout changement profond dans les domaines économiques, sociaux  et politiques.

Alstom: Montebourg doit sauver Alstom ou démissionner

Alstom: Montebourg doit  sauver Alstom ou démissionner

 

Cette fois Montebourg ne peut plus s’en tirer avec sa superbe incompétence ; il doit sauver Alstom ou démissionner. S’il échoue sur ce dossier stratégique il sera définitivement déconsidéré. Un dossier stratégique tant pour la partie électrique (centrales) que pou le transport (TGV notamment). Le patron d’Alstom, lui, est pressé de vendre aux américains. Il oublie que essentiel des commandes vient de l’Etat pour la France. Que souvent ses produits sont peu compétitifs et que l’Etat pourrait se tourner vers d’autres fournisseurs, européennes par exemple. Avec GE, il y aurait certes une complémentarité car GE gère des activités assez différentes d’Alstom toutefois aucune assurance quant à l’avenir des productions en France, la maîtrise des technologies  et des lieux de décision. Montebourg tente donc de réagir en essayant de proposer une solution non américaine.  Devancé par General Electric dans le rachat d’Alstom, Siemens tente d’inverser la tendance. Selon les infos de BFMBusiness, il donnerait des moyens aux activités « énergies » et « trains » d’Alstom. Le gouvernement pourrait soutenir cette offre et menace de mettre son veto à une reprise des activités nucléaires d’Alstom par GE.  Sur le sort d’Alstom, Siemens tente d’inverser le sort d’un deal qui paraissait gagné il y a quelques heures encore pour General Electric. Le groupe allemand le fait en donnant, selon les informations de BFM Business, des moyens aux deux grandes entités qui composent aujourd’hui Alstom: l’énergie et les trains. L’Allemand s’engagerait par ailleurs à maintenir l’intégralité des emplois. Pour l’énergie, Siemens s’aligne sur ce que l’on sait de l’offre de GE, entre 10 et 11 milliards d’euros. Mais Siemens ajoute à son offre des contreparties extra-financières très importantes: d’abord le groupe allemand garantit de garder l’intégralité des emplois, de loger en France le siège des activités « centrales à vapeur » et d’isoler, si besoin, dans une structure particulière, la division nucléaire. Cette division, qui fabrique les cycles dits « conventionnels » des centrales nucléaires est considérée comme stratégique par le gouvernement français. Siemens ne voit aucun inconvénient à lui donner un droit de regard particulier, d’autant que le gouvernement allemand a fait, lui, le choix de sortir du nucléaire.  Pour l’activité ferroviaire, Siemens a sorti une arme que ne possédait pas GE : il propose d’apporter ses propres activités transport à un « nouvel Alstom » concentré sur cette seule activité des trains, mais avec une taille bien plus importante. Cela comporte l’ensemble de sa technologie grande vitesse, qui s’appelle « ICE » chez Siemens, et son activité de construction de locomotive. Siemens révèle enfin avoir déjà fait une offre comparable le 11 février dernier: « elle n’a même pas été soumise au conseil d’administration », indique une source proche du dossier. Siemens sait qu’il peut compter sur le soutien du gouvernement  français. Car, avant même de voir Arnaud Montebourg dans les prochains jours, les dirigeants de GE ont reçu une lettre dans laquelle le ministre dénonce une politique de « fait accompli » et juge ce comportement « inacceptable » au regard de l’implication de l’Etat dans le sauvetage d’Alstom il y a dix ans.  Surtout, dans cette lettre, le gouvernement dit clairement que les activités nucléaires d’Alstom sont considérées comme stratégiques et qu’il estime disposer d’un droit de veto « comparable à celui dont disposerait le comité pour les investissements étrangers aux Etats-Unis ». « Mais ce n’est pas parce que notre offre est meilleure que nous allons l’emporter », soupire amer un responsable allemand, « Patrick Kron a choisi l’Amérique et son conseil lui est totalement soumis ». D’où l’idée de rendre publics les termes d’une offre qui donne un avenir à l’ensemble du groupe

 

Bruno Le Maire : Hollande doit démissionner…

Bruno Le Maire : Hollande doit démissionner…

Le député UMP Bruno Le Maire a demandé mercredi que le président François Hollande remette sa démission… de la fonction publique. Pour l’ex-ministre, si le président démissionnait de son corps d’origine, la Cour des Comptes, « en matière de geste démocratique, de refondation démocratique, ça, ça aurait de la gueule! ».
Invité de « Questions d’Info » LCP/FranceInfo/LeMonde/AFP, Bruno Le Maire, qui prône « de limiter le nombre de mandats nationaux à trois », a fait valoir qu’il n ‘y avait « pas de temps à perdre » pour interdire le non cumul des mandats. « Vous êtes maire à 100%, vous êtes député à 100% », a-t-il dit, avant d’ajouter une autre interdiction de cumul: « on est soit fonctionnaire, soit élu. On n’est pas les deux à la fois ». Bruno le Maire a démissionné de la fonction publique une fois élu à l’Assemblée nationale en juin dernier. « On démissionne à la fonction publique, on renonce à tous les avantages qui vont avec et on fait un choix partisan. Moi, j’appelle François Hollande, qui est aussi fonctionnaire, à remettre sa démission de la fonction publique », a-t-il dit. « On ne peut pas être élu et rester fonctionnaire », a insisté Bruno le Maire. Le chef de l’État a annoncé dans le cadre de son plan de moralisation de la vie publique l’interdiction de cumuler un mandat de parlementaire avec l’exercice de certaines professions. Il a prévu en outre que les fonctionnaires élus à l’Assemblée nationale ou au Sénat soient mis en disponibilité et non plus placés en détachement.

 

Florange : Montebourg menace de démissionner

Florange : Montebourg menace de démissionner

Montebourg est évidemment le grand perdant du pseudo accord avec Mittal (et avec lui les salariés et les sous-traitants) ; Il a donc bien menacé de démissionner mais Hollande préfère pour l’instant le garder au chaud, même discrédité, au gouvernement, c’est moins dangereux que de le laisser s’agiter à l’extérieur. Selon Libération, le ministre du Redressement productif, désavoué par Jean-Marc Ayrault, a menacé François Hollande de quitter le gouvernement. Journée houleuse samedi à l’Elysée. Désavoué la veille au soir sur le dossier des hauts-fourneaux Florange, Arnaud Montebourg a menacé de démissionner du gouvernement, lors d’une rencontre avec François Hollande. Le ministre du Redressement productif a eu du mal à digérer les propos de Jean-Marc Ayrault, qui avait écarté sans ménagement sa proposition de nationalisation du site mosellan d’Arcelor Mittal. «J’ai dit [à François Hollande] que si rien n’était fait avant ce soir (samedi, ndlr) pour réparer les dégâts sur cette question de nationalisation, je ne resterai pas au gouvernement, et la dislocation va commencer. Il m’a demandé de n’en rien faire», a déclaré Arnaud Montebourg à Libération . Selon le quotidien, la colère du ministre éclate samedi matin, lorsqu’il prend conscience du désaveu qu’il vient subir de la part du premier ministre. Dans son allocution télévisée, vendredi soir, Jean-Marc Ayrault avait assuré, contrairement à Arnaud Montebourg, qu’il n’y avait pas de «repreneur sérieux» et balayé d’un revers de la main «la menace de nationalisation». Dans le bureau de François Hollande, Arnaud Montebourg exige que «le repreneur» et le principe de nationalisation soient réhabilités. «Ce n’était pas une question personnelle. Derrière ce dossier, il y a des gens», explique le ministre à Libération.

 




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