Archive pour le Tag 'Démission'

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Démission de Jouyet ?

Démission de Jouyet ?

La question se pose de plus en plus après les déclarations contradictoires du secrétaire général de l’Elysée. Première interrogation : Fillon a-t-il demandé ou non que l’Elysée intervienne pour accélérer les affaires de Sarkozy ? Seconde question, pourquoi Jouyet à-t-il cru bon des s’exprimer devant des journalistes ? Sur la première question on saura jamais la vérité car ce sont des propos que rapporte Jouyet, c’est donc parole contre parole (Fillon- Jouyet). Sur la seconde, il est difficile de comprendre la stratégie de l’Elysée qui visiblement a manqué son opération de com. Du coup Jouyet pourrait payer la note car cette affaire n’est pas prête de quitter les écrans radars médiatiques. Pour déstabiliser la droite Les appels à la démission du secrétaire général de l’Elysée, qui dit, après l’avoir nié, avoir évoqué avec François Fillon des affaires susceptibles de déstabiliser Nicolas Sarkozy, se multiplient à droite et même dans une partie de la majorité. Mais les services de la présidence de la République estiment que les affaires en question concernent la droite, même si les révélations du Monde sur cette conversation mettent autant François Hollande dans l’embarras que l’UMP. « Jean-Pierre Jouyet s’est exprimé, il a apporté les précisions qu’il voulait apporter », dit-on à l’Elysée. « Les affaires dont on parle, que ce soit l’affaire Bygmalion ou l’affaire des comptes de campagne, sont des histoires qui ne concernent pas l’exécutif mais qui concernent la droite. » Un proche de François Hollande qui a déjeuné lundi avec son Premier ministre Manuel Valls avant d’être rejoint au café par Jean-Pierre Jouyet, a abondé dans le même sens. « Je ne vois pas le président offrir le scalp de Jouyet sur un plateau d’argent », dit-il. « Je ne vois pas pourquoi il démissionnerait, s’il démissionne il blanchit Fillon », explique un autre de ses proches.  Dans le même registre, un porte-parole du Parti socialiste, Carlos da Silva, a déclaré lundi à Reuters que Jean-Pierre Jouyet, « ne démissionnera(it) pas » malgré ses déclarations contradictoires sur la teneur de ses conversations avec François Fillon. Ce proche du Premier ministre Manuel Valls estime que la droite fait porter la responsabilité « de ses difficultés de ses guerres intestines qui sont d’une violence inouïe à l’Elysée ». « Donc non, Monsieur Jouyet ne démissionnera pas. C’est un problème de la droite qui veut chercher à incriminer l’Elysée dans quelque chose qu’elle n’arrive pas à régler elle-même », a-t-il dit en précisant s’exprimer « en tant que membre de la direction nationale du Parti socialiste et porte-parole.

 

Burkina Faso: démission de Compaoré et maintenant l’armée ?

Burkina Faso: démission de Compaoré et maintenant l’armée ?

Le président Compaoré, bousculé à la fois par la  rue et par l’armée a été contraint d’annoncer sa démission.  Après sa démission, le chef d’état-major, Honoré Traoré,  a déclaré qu’il prenait la tête de l’Etat. Le commandant adjoint du Régiment de sécurité présidentielle, Issac Zida a annoncé la suspension de la Constitution.  La question qui se pose est de savoir si ce sera maintenant une transition démocratique ou une nouvelle fois une prise de pouvoir par l’armée ; sans compter les contradictions internes à l’armé dont certains éléments ne reconnaissent pas la légitimité d’Isaac Traoré. Quelle transition, quelle durée, avec qui ? Des élections quand ? Autant de questions en suspens. L’armée pourrait être tentée de reprendre en main le pays comme c’est la tradition dans ce pays où Compaoré s’était emparé du pouvoir pendant 27 ans et envisageait de le conserver encore pendant 15 ans. Pas sûr que la société civile accepte une telle solution tellement elle est frustrée depuis longtemps à la fois de démocratie mais tout autant de progrès social. Il y a en effet peu de chances pour la jeunesse de s’épanouir socialement et économiquement au Burkina et la solution la plus courante consiste à quitter le pays pour rejoindre en particulier la Côte d’Ivoire où résident environ 3 millions de Burkinabés (pour une population totale de 17 millions). . La jeunesse a certes soif de démocratie mais tout autant de développement économique. Un développement dont les fruits sont comme souvent en Afrique accaparés  par une oligarchie qui tourne autour de présidence  de la république et d’autres institutions. Contrairement à l’idée reçue le Burkina n’est pas un pays aussi pauvre qu’on le dit ; l’agriculture (de l’ordre de 40% du PIB) est une ressource importante qui occupe 80% de la population. Le Burkina Faso est le premier exportateur africain de coton (dont les prix malheureusement chutent), mais aussi de haricots verts. Certes la question du développement est centrale mais auusi la redistribution des richesses. Or sans démocratie il sera difficile sinon impossible de remettre  en cause l’actuelle distribution de la richesse nationale.

Sondage : démission Hollande 62% pour

Sondage : démission Hollande 62% pour

Sondage sans équivoque de l’IFOP, Hollande doit partir pour 62 des Français qui sont autant à penser qu’il va s’accrocher à son poste jusqu’en 2017.  Deux autres options étaient proposées aux sondés: une dissolution de l’Assemblée nationale et un changement de Premier ministre. Mais les personnes interrogées n’avaient pas la possibilité de répondre: « aucune de ces trois solutions« .  54% souhaitent que François Hollande « procède à la dissolution de l’Assemblée nationale« , 41% qu’il « change de Premier ministre« , fonction assurée depuis cinq mois par Manuel Valls.  Les sympathisants socialistes ne sont que 22 ou 23% à souhaiter la réalisation de l’un ou l’autre de ces scénarios. Il existerait une majorité des proches du Front de gauche en faveur de la dissolution (51%) et surtout d’un changement de chef du gouvernement (63%).  Sans surprise, les sympathisants de l’UMP et ceux du FN sont en écrasante majorité favorables à un départ anticipé du président de la République (86% et 89% respectivement) et à une dissolution (74% et 85%).  Par contre, 61% des personnes interrogées (39% croient l’inverse) estiment que François Hollande restera en place jusqu’à la fin de son mandat en mai 2017. La proportion n’est toutefois que de 48% chez les sympathisants de l’UMP et 33% chez ceux du FN.  Si la chambre des députés était dissoute et que la droite remportait les législatives organisées dans la foulée, celle-ci devrait refuser de former un gouvernement pour 44% des personnes interrogées. Pour 39%, la droite devrait accepter de gouverner. 17% ne se prononcent pas. Sans surprise là encore, les sympathisants de l’UMP et du FN sont plus de deux sur trois à prôner une « grève du gouvernement » dans ce cas de figure, contre à peine plus d’un sur dix à gauche.  Enfin, en matière économique, la priorité des priorités pour les sondés est le pouvoir d’achat. 62% souhaitent que François Hollande « prenne davantage de mesures pour augmenter le pouvoir d’achat des Français« , 29% qu’il « amplifie les baisses de charges en direction des entreprises et la réduction des dépenses publiques« . 3% prônent le maintien de la politique actuelle, 6% n’ont pas d’avis. 

 

Démission du gouvernement : au mauvais moment, pour un mauvais motif

Démission du gouvernement : au mauvais moment, pour un mauvais motif

 

C’est le pire qui pouvait arriver à Hollande, la démission du gouvernement au moment précis où Valls et lui-même plongent dans les sondages. Un plongeon justifié par des résultats économiques catastrophiques. Or c’est précisément ce que Montebourg (et d’autres) reprochent au gouvernement : l’inefficacité de cette politique économique. Finalement Montebourg est puni pour la pertinence de son analyse ; Une analyse que partage la plupart des Français puisqu’ils  sont plus de 80% à condamner les orientations de Hollande dans ce domaine. Certes du point de vue du fonctionnement bureaucratique d’un gouvernement les déclarations de Montebourg et de Hamon font un peu désordre, un désordre qui s’ajoute aux autres confusions et contradictions. Valls a voulu faire triompher sa seule vertu son volontarisme d’opérette qui n’est qu’un autoritarisme de façade. Come ministre de l’intérieur, il a surtout fait de déclaration (comme Sarkozy en son temps) sans vraiment s’attaquer à, l’insécurité montante. La politique de Valls et sa stratégie se résume au coup de menton. Il veut montre qu’il sait décider, qu’il commande, que c’est lui le patron. Un fond de caractère qui n’est pas critiquable forcément quant il est mis au service d’objectifs concrets cohérents. Valls se conduit en fait en maitre décolle d’antan. Ce n’est pas en affirmant chaque «  j’ai de l’autorité, j’ai de l’autorité » qu’il parviendra à en persuader les français. L’autorité ne se déclame pas, elle se mérite et elle doit se concrétiser dans la pratique et sur des objets pertinents.

 

C’est le pire qui pouvait arriver à Hollande, la démission du gouvernement au moment précis où Valls et lui-même plongent dans les sondages. Un plongeon justifié par des résultats économiques catastrophiques. Or c’est précisément ce que Montebourg (et d’autres) reprochent au gouvernement : l’inefficacité de cette politique économique. Finalement Montebourg est puni pour la pertinence de son analyse ; Une analyse que partage la plupart des Français puisqu’ils  sont plus de 80% à condamner les orientations de Hollande dans ce domaine. Certes du point de vue du fonctionnement bureaucratique d’un gouvernement les déclarations de Montebourg et de Hamon font un peu désordre, un désordre qui s’ajoute aux autres confusions et contradictions. Valls a voulu faire triompher sa seule vertu son volontarisme d’opérette qui n’est qu’un autoritarisme de façade. Come ministre de l’intérieur, il a surtout fait de déclaration (comme Sarkozy en son temps) sans vraiment s’attaquer à, l’insécurité montante. La politique de Valls et sa stratégie se résume au coup de menton. Il veut montre qu’il sait décider, qu’il commande, que c’est lui le patron. Un fond de caractère qui n’est pas critiquable forcément quant il est mis au service d’objectifs concrets cohérents. Valls se conduit en fait en maitre décolle d’antan. Ce n’est pas en affirmant chaque «  j’ai de l’autorité, j’ai de l’autorité » qu’il parviendra à en persuader les français. L’autorité ne se déclame pas, elle se mérite et elle doit se concrétiser dans la pratique et sur des objets pertinents.

BNP: amende de 16 milliards et démission du président ?

BNP: amende  de 16 milliards et démission du président ?

Selon Reuters ce vendredi 6 juin ce n’est plus 10 mais 16 milliards de dollars que la justice américaine réclamerait à la banque pour avoir contourné un embargo américain sur plusieurs pays dont l’Iran. L’agence cite deux sources proches du dossier. Si ce chiffre venait réellement à être confirmé, BNP Paribas battrait largement l’amende record payée l’an dernier par JPMorgan sur le dossier des subprimes.  Au delà-des informations rapportée par Reuters ce vendredi, la justice américaine semble continuer d’augmenter la pression sur la banque française. Des rumeurs rapportées jeudi par la presse américaine ont fait état d’une possible démission de Baudouin Prot, le président de la banque, comme gage de bonne volonté auprès des autorités américaines. Ces rumeurs n’ont toutefois pas été étayées. Par ailleurs, l’agence américaine Bloomberg rapporte ce vendredi que Benjamin Lawsky, le chef de la régulation bancaire new-yorkaise demanderait désormais la démission du directeur général délégué de BNP Paribas, Georges Chodron de Courcel.  Dans le même temps, sur RTL, Laurent Fabius, le ministre des Affaires étrangères qui assistait hier soir au dîner entre François Hollande et Barack Obama, a, comme Michel Sapin la veille, affirmé que ce dossier pourrait avoir des conséquences négatives sur les négociations liées au traité transatlantique.

 

Rythmes scolaires : démission chez Hamon

Rythmes scolaires : démission chez Hamon

Ce n’est pas encore l’enterrement des rythmes scolaires mais l’assouplissement a fait démissionner le principal collaborateur de Hamon. Jean-Paul Delahaye claque la porte du ministère de l’Éducation nationale. Directeur général de l’enseignement scolaire, le bras droit de Benoit Hamon avait un poste clé concernant l’élaboration et la mise en œuvre de la politique éducative.  Au lendemain du remaniement, il avait déjà annoncé son désir de vouloir quitter le ministère « avant juin ou juillet 2014″ et de partir en retraite anticipée, explique Le Figaro. Son départ précipité est un coup dur pour le ministre de l’Éducation.  Cet « homme de l’ombre » est le plus puissant du ministère. Officiellement numéro deux, rue de Grenelle, le directeur général de l’enseignement scolaire tenait toutes les manettes en coulisses. Il élabore la politique éducative et pédagogique et assure la mise en œuvre des programmes. Il est aussi le « patron » de tous les examens, à commencer par le Bac. Concrètement, il a la main sur tout ce qui concerne l’école, de la maternelle à la terminale. La démission de Jean-Paul Delahaye tombe mal. Il devait présider lundi 5 mai le conseil supérieur de l’Éducation dominé par le nouveau décret sur les rythmes scolaires. Jean Paul Delahaye avait élaboré avec Vincent Peillon la loi de la refondation et façonné la réforme des rythmes scolaires. Les assouplissements annoncés par Benoit Hamon n’avaient donc pas été choisis par son bras droit. Jean-Paul Delahaye a préféré s’en aller en prenant soin d’envoyer un mail d’adieu à ses collaborateurs. Depuis deux jours, Benoit Hamon est à la recherche d’un nouveau directeur général de l’enseignement scolaire. Officiellement, la nouvelle est accueillie calmement. « Il sera remplacé dans les jours qui viennent », dit-on au ministère. Mais en coulisses, le désespoir serait plutôt de mise, les hauts fonctionnaires maîtrisant les arcanes de l’école ne courent plus les rues. Le vivier commence à s’épuiser.

 

Corruption en Turquie : démission de la moitié du gouvernement et de 500 policiers

Corruption en Turquie : démission de la moitié du  la moitié du gouvernement et de 500 policiers

Enième affaire de corruption dans le milieu politique, cette fois en Turquie ou la moitié du gouvernement et 500 policiers ont été démissionnés. Le Premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan a annoncé mercredi soir le remplacement de dix des vingt ministres de son gouvernement, après la démission de trois d’entre eux dans le cadre d’une enquête sur des soupçons de corruption. Les ministres de l’Intérieur, de l’Economie et de l’Environnement avaient démissionné dans la journée après l’arrestation chacun de leur fils dans une affaire qui tourne à l’épreuve de force entre le chef du gouvernement et la justice. Parmi les ministres remplacés figure celui des Affaires européennes, Egemen Bagis, dont le nom a été mentionné dans le dossier de corruption présumée, mais qui n’avait pas démissionné. Immédiatement après l’annonce de sa démission, Erdogan Bayraktar, ministre de l’Environnement, a conseillé à Recep Tayyip Erdogan de quitter lui aussi ses fonctions, ce qui marque une contestation inédite du Premier ministre dans son propre camp. « Pour le bien de cette nation et de ce pays, je crois que le Premier ministre devrait démissionner », a dit sur une chaîne de télévision Erdogan Bayraktar, dont le fils a brièvement été arrêté le 17 décembre, au début de l’enquête publique. Ses collègues de l’Intérieur et de l’Economie, Muammer Guler et Zafer Caglayan, comptent eux aussi un fils chacun parmi les 24 personnes interpellées ce jour-là. Ils affirment l’un comme l’autre que leurs proches sont innocents. Idris Naim Sahim, actuel député et prédécesseur de Muammer Guler au ministère de l’Intérieur a par ailleurs, annoncé mercredi son départ du Parti pour la justice et du développement (AKP), la formation islamiste et conservatrice de Recep Tayyip Erdogan. L’enquête, qui implique en premier lieu le directeur général de la banque publique Halkbank, a fragilisé Recep Tayyip Erdogan. De nombreux observateurs lient l’agitation en cours à la rivalité entre le Premier ministre et un ancien allié, l’influent prédicateur Fethullah Gülen, exilé aux Etats-Unis. Le Premier ministre a répliqué à la vague d’arrestations en limogeant plusieurs responsables de la police nationale, dont ceux de plusieurs services de la police d’Istanbul, où se trouve le siège d’Halkbank. Selon le journal Hürriyet, au moins 550 policiers, dont de hauts gradés, ont été limogés la semaine dernière à travers le pays, par Muammer Guler. Le gouvernement présente l’affaire comme une campagne orchestrée depuis l’étranger dans le but de semer la discorde en Turquie. Lors d’un meeting de l’AKP, Recep Tayyip Erdogan a juré mercredi que la formation islamiste « ne sous-estime ou ne tolère pas la corruption », mais n’a pas réagi aux démissions. « Si l’opposition rend un verdict dès le deuxième jour de l’enquête, à quoi bon avoir des juges? », a-t-il demandé. « Si les médias prennent la décision, à quoi bon avoir de longues procédures de justice? » « Comment savoir à quoi est employé cet argent? », a-t-il aussi dit en référence à des images, diffusées par des chaînes de télévision, de boîtes à chaussures remplies de billets et supposément saisies au domicile de suspects. Aux yeux des analystes politiques, l’enquête anti-corruption en cours et ses développements politiques pourraient nuire au soutien populaire dont bénéficie l’AKP, mais ne devrait pas menacer pour autant le gouvernement dans l’immédiat. Ces affaires pourraient toutefois affecter les résultats des élections locales de mars. Les prochaines législatives doivent elles avoir lieu en 2015. « J’ai démissionné de mon poste de ministre de l’Economie pour aider à la manifestation de la vérité et pour permettre de faire échouer cet horrible complot, qui a touché entre autres mon enfant et certains de mes plus proches collègues de travail », a expliqué Zafer Caglayan dans un communiqué. Dans un communiqué distinct, Muammer Guler a qualifié l’affaire en cours de « montage sordide visant notre gouvernement, notre parti et notre pays ». Même si bon nombre d’investisseurs internationaux étant absents en ce jour de Noël, le principal indice de la Bourse turque a perdu plus de 2% après les déclarations du ministre de l’Environnement en faveur de la démission de Recep Tayyip Erdogan. La livre, tombée vendredi à un plus bas historique de 2,0983 pour un dollar, restait à un bas niveau.

 

Démission de Noël Mamère des Verts ; Cohn Bendit comprend

Démission de Noël Mamère des Verts ; Cohn Bendit comprend

La décision de Noël Mamère de claquer la porte du parti écologiste ne va pas manquer de susciter des réactions politiques. L’eurodéputé écologiste Daniel Cohn-Bendit a, le premier, dit mercredi comprendre la décision de Noël Mamère de quitter EELV , officialisée ce mercredi par le député, car ce parti est en proie au «clanisme».  «Je comprends la décision de Noël Mamère», s’est exclamé sur Europe 1 le co-président du groupe Verts au parlement européen. «Je partage le ras le bol sur le fonctionnement, le clanisme, les couples terrifiants qui règnent sur EELV.» «Noël Mamère est un radical écologiste après avoir été un journaliste engagé, radical, c’est un humaniste. Et puis, en fait, il représente toute la contradiction de l’écologie politique : c’est un maire réformiste, qui, à petits pas, essaie de changer, réformer, faire avancer sa ville de Bègles et, en même temps, c’est un parlementaire ‘jusqu’auboutiste, un haut-parleur de l’humanisme radical écologiste.» «Sur le contenu on peut discuter, mais sur le fonctionnement il s’est dit, avec le départ ou la mise à l’écart de Pascal Durand , trop c’est trop», a poursuivi M. Cohn-Bendit, alors que le secrétaire national de Europe Écologie Les Verts doit jeter le gant et renoncer à briguer un second mandat au Congrès du parti en novembre à Caen. L’écologie politique «doit se réformer», a-t-il conclu.

 

Sarkozy : comptes de campagne invalidés et démission du conseil constitutionnel

Sarkozy : comptes de campagne invalidés et démission du conseil constitutionnel

 

Après l’invalidation de ses comptes de campagnes de la présidentielle 2012 par les « sages », Nicolas Sarkozy annonce qu’il démissionne du Conseil Constitutionnel. Il souhaite « retrouver sa liberté de parole ».  Nicolas Sarkozy quitte le Conseil constitutionnel. Effet « immédiat ». L’ancien président de la République a annoncé qu’il démissionnait « immédiatement » du Conseil des « sages » dont il était membre de droit. Il veut « retrouver sa liberté de parole« . « Après la décision du Conseil constitutionnel et devant la gravité de la situation et les conséquences qui en résultent pour l’opposition et pour la démocratie, Nicolas Sarkozy démissionne immédiatement du Conseil constitutionnel afin de retrouver sa liberté de parole« , indique Nicolas Sarkozy dans un communiqué. Cette annonce intervient deux heures après la décision du Conseil constitutionnel de rejeter les comptes de campagnes du candidat Sarkozy en 2012. Ce rejet prive l’UMP du remboursement par l’Etat de 11 millions d’euros de frais, alors que le parti a quelques difficultés financières.

 

Tapie : Montebourg se contredit et affirme n’avoir pas demandé la démission du PDG d’Orange

Tapie : Montebourg se contredit  et affirme n’avoir pas demandé la démission du PDG d’Orange

De toute manière c’est un faux débat concernant la démission du PDG d’Orange, il sera bien obligé de démissionner s’il est mis en examen.  Mais ce n’est pas la première fois que Montebourg se contredit ; il a démenti jeudi avoir tenu des propos au Monde selon lesquels Stéphane Richard, PDG d’Orange, devrait démissionner s’il était mis en examen dans l’affaire Tapie. « Arnaud Montebourg tient à préciser qu’il n’a pas fait de déclaration au Monde sur l’affaire Tapie-Lagarde », indique le ministre dans un communiqué. « A ce jour, personne n’est mis en examen. L’Etat, en qualité d’actionnaire, se prononcera, s’il y a lieu, le moment venu sur un dossier qui est en cours », ajoute-t-il. Selon Le Monde, le sort du PDG d’Orange, dont l’Etat contrôle 27% du capital, fait l’objet d’une bataille politique, alors que l’ex-directeur de cabinet de Christine Lagarde, ministre de l’Economie au moment de l’arbitrage, paraît fragilisé. Le quotidien cite des propos d’Arnaud Montebourg suggérant que Stéphane Richard devrait être remplacé à la tête d’Orange s’il était mis en examen, à la suite du placement de Christine Lagarde sous le statut de témoin assisté. « Si Stéphane Richard est mis en examen, il lui sera difficile de rester », aurait dit le ministre, selon des propos cités par Le Monde.

Cahuzac : démission du mandat de député

Cahuzac : démission du mandat de député

 

L’ancien ministre du Budget Jérôme Cahuzac annoncer sa démission de son mandat de député, mardi à 18H00 sur la chaîne de télévision BFM-TV, a indiqué le quotidien La Dépêche du Midi.  Interrogé par le journal, le député de la 3e circonscription du Lot-et-Garonne « n’a pas précisé s’il se présenterait à la législative partielle qui suivra sa démission », ajoute sur son site internet le journal, qui a indiqué à l’AFP que l’ancien ministre annoncerait sa décision sur BFM-TV. Contacté par l’AFP, M. Cahuzac n’a pas donné suite.  Il a jusqu’à vendredi à minuit pour préciser ses intentions concernant son siège à l’Assemblée nationale.  Jérôme Cahuzac a quitté le gouvernement le 19 mars et avoué le 2 avril qu’il avait détenu un compte bancaire en Suisse, transféré depuis à Singapour.  Un de ses proches, le député PS Dominique Lefebvre, avait déclaré vendredi à i-Télé que Jérôme Cahuzac allait démissionner de son mandat de député, sans préciser la date.  Mardi à 15H45, le président de l’Assemblée nationale, Claude Bartolone (PS), n’avait pas été informé par Jérôme Cahuzac de sa décision, selon l’entourage de M. Bartolone. « Il va lâcher » affirmait toutefois, sous couvert d’anonymat, un député socialiste.  Jean-Claude Gouget, suppléant de Jérôme Cahuzac, a remplacé de dernier au poste de député de la 3e circonscription de Lot-et-Garonne lorsqu’il avait été nommé ministre du Budget. Mais il ne pourra pas se maintenir dans le cas où M. Cahuzac démissionne, et une élection partielle devra être organisée.  Dans le contexte actuel défavorable aux socialistes, le scrutin à Villeneuve-sur-Lot, ville dont Jérôme Cahuzac fut le maire de 2001 à 2008, comporte un risque pour le PS. L’ancien ministre, élu une première fois en 1997, avait perdu son siège en 2002, avant de le regagner en 2007, puis d’être confortablement réélu en juin dernier avec plus de 61% des voix au second tour.

 

Chypre: démission du ministre des Finances et enquête pour fraude

Chypre: démission du ministre des Finances et enquête pour fraude

Le gouvernement a mis en place mardi une commission chargée d’enquêter sur la façon dont l’île a été poussée au bord de la faillite, au point de devoir accepter un plan de sauvetage européen assorti de mesures draconiennes.  M. Sarris a indiqué à des journalistes avoir décidé de quitter son poste car l’enquête doit se pencher sur la période pendant laquelle il dirigeait en 2012 la deuxième banque du pays, Laïki, mise en faillite dans le cadre du plan de sauvetage.  Haris Georgiades, actuellement ministre du Travail, doit être investi en tant que nouveau ministre des Finances mercredi.  Le président Nicos Anastasiades a remercié M. Sarris pour sa participation au gouvernement, mis en place il y a à peine plus d’un mois, soulignant que « la décision de M. Sarris de donner sa démission (…) pour faciliter le travail de la commission d’enquête, constitue un phénomène culturel nouveau dans la vie politique chypriote ».  M. Sarris avait été nommé à la tête de la Laïki début 2012, avant de démissionner en août 2012, sur demande du gouverneur de la Banque centrale.  Le président Anastasiades a appelé les trois juges formant la commission d’enquête, qui ont trois mois pour rendre leurs conclusions, à se pencher « en priorité » sur sa propre personne et sur sa famille.  Les médias chypriotes bruissent ces derniers jours de rumeurs sur des transferts financiers effectués par des proches de M. Anastasiades, de son prédécesseur communiste, Demetris Christofias, ou d’autres personnalités politiques. Outre des accusations de transferts douteux, la commission doit aussi enquêter sur une liste de personnalités politiques et leurs proches qui auraient bénéficé d’effacements de dettes ces cinq dernières années auprès de banques chypriotes.  Le gouvernement chypriote et ses créanciers internationaux sont parvenus mardi à un protocole d’entente qui donne à Chypre jusqu’à 2018, soit deux années de plus qu’initialement prévu, pour atteindre les objectifs exigés en contrepartie du prêt de 10 milliards d’euros.  Le plan de sauvetage européen a été assoupli, en donnant notamment un peu plus de temps à l’île pour réduire son déficit, afin de « réduire la pression sur l’économie » chypriote, a indiqué le porte-parole du gouvernement, Christos Stylianides.  Chypre a désormais cinq ans pour atteindre un excédent primaire (hors service de le dette) de 4% du PIB.  Au bord de la faillite, Chypre a obtenu le 25 mars un plan de sauvetage international de 10 milliards d’euros, au prix d’une restructuration drastique de son système bancaire qui va mettre largement à contribution les gros clients des deux plus grandes banques de l’île.  Les comptes dépassant 100.000 euros sont gelés à la Laïki et la Bank of Cyprus. La première doit être liquidée, et les gros comptes de la seconde doivent subir une ponction qui pourrait aller jusqu’à 60%.  Les petits comptes de la Laïki ainsi que tous les prêts vont être transférés à la Bank of Cyprus où ils fonctionneront normalement.  Un cadre de la banque centrale chypriote, Yiangos Demetriou, a indiqué à la radio nationale que les clients de la Bank of Cyprus pourraient avoir accès à 10% de leurs dépôts au-delà de 100.000 euros, le reste restant immobilisé le temps que soit déterminée l’ampleur de la ponction nécessaire pour remplir les conditions du plan de sauvetage. Il est déjà acquis qu’au moins 37,5% de leurs fonds seront transformés en actions.  Parallèlement, la banque centrale continue d’assouplir peu à peu les restrictions sur les mouvements de fonds. Pour les entreprises, les transferts sont libres jusqu’à 25.000 euros, au lieu de 5.000 jusque là, et il est désormais possible d’émettre des chèques allant jusqu’à 9.000 euros. Pour les particuliers, les retraits sont limités à 300 euros par jour et par personne. Les virements bancaires restent impossibles vers l’étranger et limités vers Chypre même.  En attendant, la solidarité s’organise avec les victimes de la crise économique. Lundi soir une foule immense a assisté à Nicosie à un concert d’artistes grecs et chypriotes à l’initiative d’associations caritatives afin de collecter des denrées alimentaires.

 

Démission de Cahuzac?

Démission de  Cahuzac?

 

Jérôme Cahuzac a-t-il eu un compte en Suisse ? La question était jusque-là polémique, elle est à présent judicaire. Le parquet de Paris a ouvert mardi une enquête préliminaire pour blanchiment de fraude fiscale, qui doit déterminer si le ministre du Budget a oui ou non détenu un compte en Suisse afin de dissimuler des revenus au fisc. L’information avait été révélée par le site Mediapart, qui affirme que le ministre a clos ce compte bancaire qu’il avait chez UBS en 2010 pour transférer les fonds sur un compte à Singapour. Dans un communiqué, Jérôme Cahuzac – qui nie en bloc les informations de Mediapart – a salué l’ouverture de cette enquête, sûr d’en sortir blanchi. Une enquête préliminaire ne constitue pas une poursuite mais vise à déterminer si les éléments portés à la connaissance de la justice sont suffisants pour déclencher une information judiciaire ou provoquer un procès directement. Mais ce dossier judiciaire pourrait mettre Jérôme Cahuzac en difficulté, dans la mesure où il est lui-même susceptible d’être interrogé ou visé par des perquisitions ou diverses investigations, un ministre ne jouissant d’aucune immunité. Le président de la République comme le Premier ministre lui ont apporté leur soutien, mais à droite, des voix s’élèvent pour qu’il démissionne.

 

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