Archive pour le Tag 'Démission'

F1- Alpine : démission du patron

F1- Alpine : démission du patron

En raison sans doute de résultats catastrophiques, le patron d’Alpine F1, le Britannique Oliver Oakes, a démissionné après moins d’un an à ce poste, a annoncé mardi soir l’écurie franco-britannique. «L’équipe a accepté sa démission avec effet immédiat», a écrit Alpine dans un communiqué, précisant que les fonctions d’Oakes seraient remplies par l’actuel conseiller exécutif Flavio Briatore.

« Mission Musk »: démission collective d’un tiers du personnel

« Mission  Musk »: démission collective d’un tiers du personnel

Une vingtaine de fonctionnaires américains intégrés aux effectifs pilotés par Elon Musk, missionnés pour sabrer dans les dépenses publiques et l’administration fédérale, ont présenté leur démission collective mardi 25 février dans un courrier adressé à la Maison-Blanche. Leur départ groupé représente une réduction de près d’un tiers du personnel du Doge, la désormais fameuse commission pour l’efficacité gouvernementale supervisée par le multimilliardaire devenu inséparable de Donald Trump, à laquelle le président républicain a donné corps dès le jour de son investiture, le 20 janvier.

Canada : la démission de Trudeau, premier ministre

Canada : la démission de Trudeau, premier ministre

 

Politique mais aussi économique, le premier ministre canadien a soudain démissionné. Deux facteurs explicatifs majeurs d’une part l’absence de majorité pour le premier ministre au Parlement, d’autre part des difficultés économiques qui vont s’amplifier notamment face aux États-Unis. Sans parler des propos irresponsables de Donald Trump qui prétend que le Canada devrait fusionner avec les États-Unis. Ou la philosophie Poutine qui contamine l’Occident !

 

 

Minoritaire au Parlement, Justin Trudeau souffre d’une faible cote de popularité, étant vu comme responsable de la forte inflation qui frappe le pays, tout comme de la crise du logement et des services publics. Et dans ce contexte tendu, les déclarations de Donald Trump après son élection sont venues mettre de l’huile sur le feu: le républicain a menacé d’imposer des droits de douane de 25% à ses voisins dès son retour au pouvoir en janvier.

Dans la foulée, la vice première ministre, Chrystia Freeland, a démissionné et affiché son désaccord avec Justin Trudeau sur la façon de gérer la guerre économique qui se profile avec les Etats-Unis. Cela a provoqué un large remaniement ministériel, qui n’aura pas suffi pour Justin Trudeau.

Le contexte de politique actuelle n’est guère favorable aux libéraux qui d’après les sondages accuseraient un retard de 20. Par rapport aux conservateurs alors que les prochaines élections législatives doivent se tenir au plus tard en octobre 2025.

 

Démission de Macron: autour de 60% pour

 Démission de Macron: autour de 60% pour

 59 % des Français souhaitent son départ, selon un sondage CSA pour CNews, Europe 1 et le JDD. En revanche, 40 % s’y opposent, tandis que 1 % ne se prononce pas. À titre de comparaison, fin novembre, avant le vote de la motion de censure, ce chiffre atteignait 62 %.

À droite, l’opinion est plus partagée : 46 % des sympathisants sont favorables à sa démission, contre 54 % qui s’y opposent. Chez Les Républicains, le score chute à 32 %. Enfin, chez les nationalistes, 85 % souhaitent la démission d’Emmanuel Macron, dont 84 % des partisans du RN.

Démission de Macron : 62 % pour

Démission de Macron : 62 % pour

Si le gouvernement Barnier est censuré , 62 % des Français seraient favorables à la démission de Macron selon un sondage CSA pour CNews, Europe 1 et le JDD.

Les 25-34 ans sont les plus unanimes sur la question, avec 67 % favorables à une démission d’Emmanuel Macron en cas de censure. Ce chiffre reste élevé chez les 35-49 ans (66 %) et les 18-24 ans (62 %). Les plus de 65 ans, en revanche, se distinguent par une opinion plus partagée : 54 % d’entre eux souhaitent qu’Emmanuel Macron reste en poste. Chez les 50-64 ans, ce taux de soutien diminue à 38 %, soit un basculement en faveur de la démission.

En examinant les résultats par catégories socioprofessionnelles, les CSP- (catégories socioprofessionnelles inférieures) apparaissent comme les plus déterminées : 78 % souhaitent qu’Emmanuel Macron quitte ses fonctions en cas de censure.

Démission de Macron: Une demande qui va monter

Démission de Macron: Une demande qui va monter

 

La France est enfoncée dans une crise grave dont on ne voit pas l’issue tellement les institutions et les responsables sont actuellement paralysés. En cause évidemment cette décision invraisemblable de dissoudre par anticipation l’Assemblée nationale. Résultat un gouvernement qui ne peut s’appuyer sur aucune majorité. On ne pourra donc éviter une motion de censure mais qui ne résoudra rien car le nouveau gouvernement « même technique » sautera lui aussi à la première occasion. La seule perspective crédible de sortie de crise serait de procéder à une élection présidentielle avec l’objectif de créer une majorité parlementaire stable.Pour l’instant la demande de démission de Macron ne recueille pas encore la majorité mais elle ne va cesser de progresser au point sans doute de devenir un jour incontournable et un dépit de l’ego démesuré de l’intéressé.

Plusieurs figures somment le président de la République de démissionner pour démêler le nœud de la crise. Après l’appel du député Liot Charles de Courson ce mercredi matin en ce sens, v le maire de Meaux (Seine-et-Marne) Jean-François Copé préconise la même solution. L’ancien patron de l’UMP, invité quelques heures plus tard sur BFMTV, a d’abord tempêté contre la dissolution «qui ne ressemble à rien et dont on paye tous les jours le prix.» Une référence à la tripolarisation de l’Assemblée, qui réduit les marges de manœuvre du gouvernement, entravé par une majorité de groupes d’opposition.

Face à ce casse-tête, «il n’y a plus qu’une solution, c’est une nouvelle élection présidentielle. Il faut qu’elle soit anticipée», a poursuivi l’ancien ministre du Budget, selon qui le chef de l’État «ne s’est pas rendu compte qu’il ne peut pas tenir jusqu’en 2027.» «C’est impossible», a-t-il martelé alors qu’une large majorité de Français (63%) estime, selon un sondage Elabe pour BFMTV, qu’Emmanuel Macron devrait mettre fin à son mandat si le gouvernement était renversé dans les prochains jours.

 

 

Un gouvernement technique : dernière carte….. avant la démission de Macron ?

Un gouvernement technique : dernière carte….. avant la démission de Macron ?

 

Benjamin Morel, constitutionnaliste : « En cas de censure, le gouvernement technique serait la dernière carte d’Emmanuel Macron ». Si le gouvernement Barnier venait à être censuré, il serait immédiatement démissionnaire. La configuration parlementaire actuelle ne laisserait alors plus beaucoup d’options au chef de l’Etat, estime le maître de conférences à l’université Paris-Panthéon-Assas dans un entretien au « Monde ».
Après les propos de Marine Le Pen indiquant que le Rassemblement national pourrait voter la motion de censure du NFP, en cas de recours à l’article 49.3 pour faire adopter le budget, le scénario de la chute du gouvernement Barnier prend de l’épaisseur. Pour le politiste et constitutionnaliste Benjamin Morel, maître de conférences à l’université Paris-Panthéon-Assas, l’avantage, en cas de nomination d’un gouvernement « technique », est que « chacun prendra date avec l’idée que cette fois-ci la dissolution n’est pas une option, mais bien une chose acquise ».
Que se passerait-il au lendemain d’une censure du gouvernement de Michel Barnier ?
Si jamais la motion de censure est votée, le gouvernement sera immédiatement réputé démissionnaire, ce qui est différent de la situation du mois de juillet, quand le gouvernement pouvait en droit être considéré comme démissionnaire une fois seulement la démission du premier ministre acceptée par le président de la République. Là, Emmanuel Macron ne pourra pas retarder le moment où le gouvernement ne pourra qu’expédier les affaires courantes.

 

Un gouvernement technique : dernière carte….. avant la démission de Macron ?

Un gouvernement technique : dernière carte avant la démission de Macron ?

 

Benjamin Morel, constitutionnaliste : « En cas de censure, le gouvernement technique serait la dernière carte d’Emmanuel Macron ». Si le gouvernement Barnier venait à être censuré, il serait immédiatement démissionnaire. La configuration parlementaire actuelle ne laisserait alors plus beaucoup d’options au chef de l’Etat, estime le maître de conférences à l’université Paris-Panthéon-Assas dans un entretien au « Monde ».
Après les propos de Marine Le Pen indiquant que le Rassemblement national pourrait voter la motion de censure du NFP, en cas de recours à l’article 49.3 pour faire adopter le budget, le scénario de la chute du gouvernement Barnier prend de l’épaisseur. Pour le politiste et constitutionnaliste Benjamin Morel, maître de conférences à l’université Paris-Panthéon-Assas, l’avantage, en cas de nomination d’un gouvernement « technique », est que « chacun prendra date avec l’idée que cette fois-ci la dissolution n’est pas une option, mais bien une chose acquise ».
Que se passerait-il au lendemain d’une censure du gouvernement de Michel Barnier ?
Si jamais la motion de censure est votée, le gouvernement sera immédiatement réputé démissionnaire, ce qui est différent de la situation du mois de juillet, quand le gouvernement pouvait en droit être considéré comme démissionnaire une fois seulement la démission du premier ministre acceptée par le président de la République. Là, Emmanuel Macron ne pourra pas retarder le moment où le gouvernement ne pourra qu’expédier les affaires courantes.

 

Israël : Démission de Gantz

Israël :  Démission de Gantz 

Benny Gantz, membre du cabinet de guerre israélien et principal opposant de Benjamin Netanyahu, a annoncé dimanche sa démission du gouvernement. « Netanyahu nous empêche d’avancer vers une réelle victoire. C’est pourquoi nous quittons aujourd’hui le gouvernement d’urgence avec le cœur lourd mais sans regret », a déclaré lors d’une allocution à la télévision ce rival de Benjamin Netanyahu, appelant le chef du gouvernement à organiser des élections anticipées.

 

Ministre sans portefeuille dans le cadre d’un gouvernement élargi après l’attaque du Hamas le 7 octobre qui a déclenché la guerre en cours à Gaza, Benny Gantz, chef du parti de l’Union nationale (centre), avait lancé le 18 mai un ultimatum à Benjamin  Netanyahu. Il exigeait l’adoption par le cabinet de guerre d’un « plan d’action » sur la question de l’après-guerre dans la bande de Gaza, faute de quoi il se verrait « contraint de démissionner du gouvernement ».

 

Démission d’un proviseur du lycée Ravel de Paris : La faillite l’État !

Démission d’un proviseur du  lycée Ravel de Paris : La faillite  l’État !

Après les menaces de mort dont a été l’objet le proviseur du lycée Ravel à Paris, c’est  à une double démission à laquelle on assiste. La plus grave est d’abord celle de l’État incapable de faire prévaloir les valeurs de la république et la discipline dans les établissements dont il a la responsabilité. Le proviseur du lycée a décidé lui aussi de démissionner invoquant à juste titre des raisons de sécurité mais  considérées honteusement par le rectorat comme des « convenances personnelles ».

Le proviseur du lycée Maurice Ravel à Paris a quitté ses fonctions, a appris franceinfo mardi 26 mars. Depuis fin février, il était menacé de mort sur les réseaux sociaux, à la suite d’une altercation avec une élève pour lui avoir demandé d’enlever son voile. Dans un message transmis mardi aux parents d’élèves et aux personnels, son successeur évoque des « raisons de sécurité » pour justifier ce départ. Le rectorat de Paris parle quant à lui de « convenances personnelles ». Au lycée, la communauté éducative est sous le choc.

Selon une  enseignante, ce n’est pas le remplacement du proviseur qui apaisera ce climat délétère entre certains élèves et leurs professeurs :  »Qu’il faille, pour demander qu’une règle soit appliquée, rentrer dans un conflit qui ne devrait pas l’être… On se demande si on peut faire respecter la loi dans l’établissement ou si ça ne va se retourner contre nous avec des propos complètement inventés et complètement dingues. » Une référence à l’assassinat de Samuel Paty, en octobre 2020 : une collégienne de 13 ans avait alors accusé le professeur d’avoir fait sortir les musulmans du cours pour projeter les caricatures de Charlie Hebdo. Or, celle-ci n’était pas présente, ce jour-là, à l’établissement.

Et comme si cela ne suffisait pas, de nouvelles tensions sont apparues ces derniers jours après que plusieurs fausses alertes à la bombe ont visé le lycée Ravel.

 

Affaire du proviseur du lycée Ravel de Paris : La démission de l’État !

Affaire du proviseur du  lycée Ravel de Paris : La démission de l’État !

Après les menaces de mort dont a été l’objet le proviseur du lycée Ravel à Paris, c’est  à une double démission à laquelle on assiste. La plus grave est d’abord celle de l’État incapable de faire prévaloir les valeurs de la république et la discipline dans les établissements dont il a la responsabilité. Le proviseur du lycée a décidé lui aussi de démissionner invoquant à juste titre des raisons de sécurité mais  considérées honteusement par le rectorat comme des « convenances personnelles ».

Le proviseur du lycée Maurice Ravel à Paris a quitté ses fonctions, a appris franceinfo mardi 26 mars. Depuis fin février, il était menacé de mort sur les réseaux sociaux, à la suite d’une altercation avec une élève pour lui avoir demandé d’enlever son voile. Dans un message transmis mardi aux parents d’élèves et aux personnels, son successeur évoque des « raisons de sécurité » pour justifier ce départ. Le rectorat de Paris parle quant à lui de « convenances personnelles ». Au lycée, la communauté éducative est sous le choc.

Selon une  enseignante, ce n’est pas le remplacement du proviseur qui apaisera ce climat délétère entre certains élèves et leurs professeurs :  »Qu’il faille, pour demander qu’une règle soit appliquée, rentrer dans un conflit qui ne devrait pas l’être… On se demande si on peut faire respecter la loi dans l’établissement ou si ça ne va se retourner contre nous avec des propos complètement inventés et complètement dingues. » Une référence à l’assassinat de Samuel Paty, en octobre 2020 : une collégienne de 13 ans avait alors accusé le professeur d’avoir fait sortir les musulmans du cours pour projeter les caricatures de Charlie Hebdo. Or, celle-ci n’était pas présente, ce jour-là, à l’établissement.

Et comme si cela ne suffisait pas, de nouvelles tensions sont apparues ces derniers jours après que plusieurs fausses alertes à la bombe ont visé le lycée Ravel.

 

Proviseur du du lycée Ravel de Paris : La démission de l’État !

Proviseur du du lycée Ravel de Paris : La démission de l’État !

Après les menaces de mort dont a été l’objet le proviseur du lycée Ravel à Paris, c’est  à une double démission à laquelle on assiste. La plus grave est d’abord celle de l’État incapable de faire prévaloir les valeurs de la république et la discipline dans les établissements dont il a la responsabilité. Le proviseur du lycée a décidé lui aussi de démissionner invoquant à juste titre des raisons de sécurité mais  considérées honteusement par le rectorat comme des « convenances personnelles ».

Le proviseur du lycée Maurice Ravel à Paris a quitté ses fonctions, a appris franceinfo mardi 26 mars. Depuis fin février, il était menacé de mort sur les réseaux sociaux, à la suite d’une altercation avec une élève pour lui avoir demandé d’enlever son voile. Dans un message transmis mardi aux parents d’élèves et aux personnels, son successeur évoque des « raisons de sécurité » pour justifier ce départ. Le rectorat de Paris parle quant à lui de « convenances personnelles ». Au lycée, la communauté éducative est sous le choc.

Selon une  enseignante, ce n’est pas le remplacement du proviseur qui apaisera ce climat délétère entre certains élèves et leurs professeurs :  »Qu’il faille, pour demander qu’une règle soit appliquée, rentrer dans un conflit qui ne devrait pas l’être… On se demande si on peut faire respecter la loi dans l’établissement ou si ça ne va se retourner contre nous avec des propos complètement inventés et complètement dingues. » Une référence à l’assassinat de Samuel Paty, en octobre 2020 : une collégienne de 13 ans avait alors accusé le professeur d’avoir fait sortir les musulmans du cours pour projeter les caricatures de Charlie Hebdo. Or, celle-ci n’était pas présente, ce jour-là, à l’établissement.

Et comme si cela ne suffisait pas, de nouvelles tensions sont apparues ces derniers jours après que plusieurs fausses alertes à la bombe ont visé le lycée Ravel.

 

Immigration :La fausse démission de la ministre Sylvie Retailleau

Immigration :La fausse démission de la ministre Sylvie Retailleau

Une drôle de démission en réalité que celle de Sylvie Retailleau, ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche. Elle a adressé officiellement sa lettre de démission mais la première ministre l’aurait refusé. Du coup elle reste ministre.

On croit savoir par contre que le ministre de la santé lui aussi démissionnaire n’a pas demandé l’autorisation de démissionner. Il est parti quand il a décidé.

Sans doute la ministre de l’enseignement supérieur voulait-t-elle protester contre la loi immigration qui notamment prévoit une forme de caution financière pour les étudiants étrangers. Élisabeth Bornes a pourtant
torpillé la disposition en indiquant que la caution serait de l’art de 10 €. Une somme évidemment ridicule destinée en fait à tuer la disposition avant même que le conseil constitutionnel ne le fasse.

Emmanuel Macron et Élisabeth Borne empêche donc un nouveau départ du gouvernement.

Matignon indique au Figaro jeudi que cette démission a été refusée et que la ministre reste à la tête de son ministère. Reçue la veille par le chef de l’État et la chef du gouvernement, Sylvie Retailleau a obtenu des garanties contre la caution étudiante qui figure dans la loi immigration définitivement votée mardi par le Parlement malgré les divisions importantes qu’elle suscite au sein de la majorité.

Loi immigration :La fausse démission de la ministre Sylvie Retailleau

Loi immigration :La fausse démission de la ministre Sylvie Retailleau

Une drôle de démission en réalité que celle de Sylvie Retailleau, ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche. Elle a adressé officiellement sa lettre de démission mais la première ministre l’aurait refusé. Du coup elle reste ministre.

On croit savoir par contre que le ministre de la santé lui aussi démissionnaire n’a pas demandé l’autorisation de démissionner. Il est parti quand il a décidé.

Sans doute la ministre de l’enseignement supérieur voulait-t-elle protester contre la loi immigration qui notamment prévoit une forme de caution financière pour les étudiants étrangers. Élisabeth Bornes a pourtant
torpillé la disposition en indiquant que la caution serait de l’art de 10 €. Une somme évidemment ridicule destinée en fait à tuer la disposition avant même que le conseil constitutionnel ne le fasse.

Emmanuel Macron et Élisabeth Borne empêche donc un nouveau départ du gouvernement.

Matignon indique au Figaro jeudi que cette démission a été refusée et que la ministre reste à la tête de son ministère. Reçue la veille par le chef de l’État et la chef du gouvernement, Sylvie Retailleau a obtenu des garanties contre la caution étudiante qui figure dans la loi immigration définitivement votée mardi par le Parlement malgré les divisions importantes qu’elle suscite au sein de la majorité.

La loi immigration provoque la démission du ministre de la santé

La loi immigration provoque la démission du ministre de la santé

La démission du ministre de la santé a été confirmé par l’intéressé après le vote de la loi immigration. Ce n’est pas le seul responsable qui a mis en balance sa démission en tout cas sa distance avec le gouvernement. En clair, une crise politique s’installe au sein même de la majorité et même du gouvernement. D’une certaine manière, c’est aussi la fin du macronisme, philosophie fumeuse et confuse d’un président immature, contradictoire et surtout inefficace. La crise politique est telle qu’on a maintenant du mal à distinguer ce qui est majorité et opposition. En clair va se poser dans les semaines à venir la question de la dissolution de l’assemblée où le président n’a jamais disposé de majorité et qui est maintenant même contredit dans son propre camp.

Une heure après l’annonce du vote par l’Assemblée nationale du projet de loi immigration ce mardi 19 décembre en fin de soirée, le ministre de la Santé Aurélien Rousseau, a présenté sa démission. Une lettre a été envoyée à la Première ministre Elisabeth Borne, a appris l’AFP, confirmant une information de du Figaro.

Elisabeth Borne n’a pas encore indiqué si elle accepte ou non la démission d’Aurélien Rousseau. Elle doit s’exprimer ce mercredi matin sur France Inter.

Opposé au durcissement du texte
Son ancien directeur de cabinet, en poste depuis l’été dernier au ministère de la Santé, avait fait savoir son opposition à la version du texte considérablement durcie par la droite et finalement adoptée mardi soir au Parlement.

Le projet de loi comporte en effet plusieurs mesures qui vont changer profondément l’accès à la nationalité française ou aux allocations familiales. Certaines d’entre elles sont même « clairement contre la Constitution », a reconnu au Sénat le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin.

Par la voix d’Elisabeth Borne, l’exécutif s’est aussi engagé auprès de la droite d’organiser début 2024 un débat sur l’Aide médicale d’État. En novembre, le gouvernement ne s’était pas opposé à la fin de l’AME, au grand agacement d’Aurélien Rousseau. Il avait dénoncé « une faute » et une « profonde erreur » sur TMC.

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