Archive pour le Tag 'dément'

Conflits Israël-Moyen-Orient–Macron, ce président dément !

Conflits Israël-Moyen-Orient–Macron, ce président dément !

On peut légitimement s’interroger pour savoir si Macron complètement discrédité en France pour avoir mené les politiques les plus contradictoires avec notamment pour conséquence l’une des plus grandes crises financières que le pays ait  connu ne va pas continuer  de manière aussi négative au plan international. Sa dernière déclaration concernant l’arrêt de fourniture d’armes à Israël pour se défendre relève en effet de l’irresponsabilité totale.

 

Première observation pourquoi avoir choisi précisément la veille du 7 octobre jour mondial de commémoration du massacre des juifs par le Hamas pour faire une telle proposition ? à moins D’être complètement hors sol vis à vis  des sensibilités de l’opinion.

Deuxièmement sur le fond,  cette proposition est inique d’abord parce que les circonstances actuelles ne conduisent pas c’est le moins seul moins qu’on puisse dire à un apaisement des affrontements guerriers mais plutôt à leur extension, deuxièmement parce que cette posture ne s’appuie pas non plus sur un débouché crédible et durable permettant de conduire et surtout de maintenir la paix. Bref Macron  ont fait du Macron  comme il en a fait avec Poutine, comme il en a fait en Afrique et même dans les territoires d’outre-mer comme en Nouvelle-Calédonie. Avec des zigzags invraisemblables qui ont contribué à discréditer la France en plus de son affaiblissement économique et financier.

Brexit : la France dément la mise à l’écart de Barnier ?

Brexit : la France dément la mise à l’écart de Barnier  ?

Le Royaume-Uni et notamment le Premier ministre, Boris Johnson, pratiquent l’intox  vis-à-vis du Brexit. Cela semble traduire l’incertitude du pays qui ne sait pas encore si il  veut vraiment une rupture totale avec l’union européenne ou un accord de dernière minute. L’hypothèse d’une mise à l’écart de Barnier mais aussi du négociateur britannique Lord (David) Frost a été avancé par le journal The Telegraph . Il faut évidemment se méfier des manœuvres d’intoxication du Royaume-Uni depuis que Boris Johnson a dit tout et le contraire à propos du Brexit. Reste que le Royaume-Uni prend sans doute la mesure de l’énorme dépression qui affecte son économie et qui n’est pas due seulement à la crise sanitaire.

De son côté l’Europe, évidemment elle aussi affectée par la baisse de son activité subira des conséquences néfastes de la séparation avec le Royaume Uni. Devant cette prise de conscience un peu tardive, il se pourrait bien que les deux parties recherchent des modalités de coopération nouvelle d’une part qui sauverait la face politiquement à tout le monde mais surtout qui permettrait de ne pas casser la dynamique des échanges réciproques. Cette position pourrait notamment être soutenue par l’Allemagne victime importante de la baisse du commerce international et qui entend se recentrer sur l’Europe d’où d’ailleurs les concessions allemandes vis-à-vis du plan de relance européen.

La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, ouvrirait la voie à une intervention directe des dirigeants européens dans les discussions lors de son discours annuel sur l’état de l’Union européenne le 16 septembre prochain, ajoute le journal citant un diplomate européen.

« Les dirigeants de l’UE espèrent qu’en s’impliquant pour relancer les discussions, ils contribueront à combler les profondes divisions entre les deux parties, permettant à M. Barnier et à son homologue britannique, Lord (David) Frost de s’accorder sur les détails », écrit le Telegraph.

Négociateurs et diplomates ont déclaré vendredi que l’espoir d’un accord sur les futures relations entre le Royaume-Uni et l’Union européenne s’amenuisait.

La question du Brexit pourrait dès lors être au coeur du sommet européen prévu en octobre.

La France a démenti cette rumeur évoquée vendredi soir par le quotidien britannique The Telegraph. Le journal britannique indiquait que les dirigeants des Vingt-Sept envisageaient de mettre à l’écart Michel Barnier pour tenter de débloquer les discussions avec Londres en prenant le contrôle direct du processus.

Pollution automobiles : BMW dément

Pollution automobiles : BMW dément

 

Le magazine Der Spiegel avait rapporté vendredi que BMW, Volkswagen, Audi et Porsche s’étaient peut-être entendus pour fixer les prix des systèmes de traitement des émissions de moteurs diesel. « Les voitures du groupe BMW n’ont pas été manipulées et sont conformes aux dispositions légales réglementaires », déclare le constructeur dans un communiqué. La Commission européenne a annoncé samedi que les autorités de la concurrence européennes enquêtaient sur ces allégations. De leur côté, les autorités allemandes ont appelé à la transparence et à des sanctions si les faits étaient avérés. Un porte-parole de BMW s’est refusé à tout commentaire. « Nous ne sommes pas au courant d’une enquête contre nous », a-t-il dit. Plusieurs constructeurs automobiles sont soupçonnés d’avoir triché sur les rejets polluants, depuis que Volkswagen a reconnu en 2015 avoir installé un logiciel truqueur sur ses véhicules aux Etats-Unis. BMW a rejeté les accusations selon lesquelles le système de traitement des émissions de ses diesels à la norme Euro 6 était inadéquat parce que les réservoirs d’AdBlue de ses véhicules – un additif qui permet de réduire les rejets polluants – étaient trop petits. Le constructeur bavarois a assuré que sa technologie pour les réservoirs Adblue, associée aux pots catalytiques, répondait à toutes les réglementations, ajoutant qu’aucun rappel ni mise à jour des logiciels pour les moteurs Euro 6 n’étaient nécessaires.

 

Cabinet noir : Hollande dément Fillon

Cabinet noir : Hollande dément Fillon

 

Acculé dans les sondages et vraisemblablement d’ores et déjà condamné lors du premier tour des présidentielles, Fillon a sorti la grosse artillerie en accusant Hollande de faire remonter les écoutes judiciaires jusqu’à l’Élysée. Certes,  il serait sans doute naïf de considérer que l’Élysée de cherche pas à peser sur la campagne en soutenant des candidats qui lui sont proches. De là à penser que l’Élysée est directement branché sur les écoutes judiciaires des affaires de Fillon il y a un pas que n’hésite pas à franchir l’ancien premier ministre de Sarkozy. Bien entendu comme tous les présidents de la république, Hollande n’hésite pas à utiliser politiquement les investigations de la police, à les instrumentaliser. Mais c’est autre chose que d’écouter le contenu des procédures judiciaires et d’y intervenir directement. Pour résumer, Fillon reprend la même argumentation que Marine Le Pen, c’est-à-dire la contestation de l’État de droit pour les responsables politiques en cause. François Hollande a donc  condamné jeudi « avec la plus grande fermeté » les « allégations mensongères » de François Fillon, accusé par ses dires de provoquer un « trouble insupportable » dans la campagne présidentielle. La même Sur France 2, le candidat de la droite à l’élection présidentielle d’avril-mai a accusé le chef de l’Etat d’être derrière les fuites ayant alimenté les affaires le concernant sur lesquelles enquête la justice. « Le Président de la République condamne avec la plus grande fermeté les allégations mensongères de François Fillon ce soir sur France 2″, a fait savoir l’entourage de François Hollande. « Depuis 2012, et c’est un fait établi, l’exécutif n’est jamais intervenu dans aucune procédure judiciaire et a toujours respecté strictement l’indépendance de la magistrature », ajoute-t-on dans un communiqué. François Fillon a réclamé une « enquête » sur le contenu d’un livre écrit par deux journalistes du Canard enchaîné qui, a-t-il dit pour en avoir lu des extraits, « explique comment François Hollande fait remonter toutes les écoutes judiciaires qui l’intéressent à son bureau, ce qui est une illégalité totale ». Ce à quoi l’Elysée réplique : « Sur les affaires particulièrement graves concernant M. Fillon, parce qu’elles touchent à l’intégrité et à l’exemplarité, le président de la République n’en a été informé que par la presse. » « Le seul scandale ne concerne pas l’Etat, mais une personne qui aura à en répondre devant la justice », ajoute l’Elysée. Pour le président, « les propos de M. Fillon, qui s’ajoutent aux révélations des dernières semaines, n’ont donc aucun fondement et provoquent un trouble insupportable à la campagne présidentielle qui appelle dignité, sérénité et responsabilité ».

Gel avancement des fonctionnaires : Ayrault joue au pompier et dément

Gel avancement des fonctionnaires : Ayrault joue au pompier et dément

 

Un joli cafouillage au gouvernement à propos du gel de l’avancement des fonctionnaires et Ayrault qui joue encore au pompier en démentant.  « Ce n’est pas vrai… Pourquoi annoncer de fausses nouvelles? (…) On n’est pas dans le concours Lépine des économies », a lancé le Premier ministre, alors que tout le monde se demande où le gouvernement va trouver quelque 50 milliards d’euros d’économies en trois ans.  Il avait déjà assuré fin janvier que ces économies ne se feraient « pas sur le dos » des quelque 5 millions d’agents (Etat, Territoriale et Hospitalière), dont les salaires sont gelés depuis 2010.  Mais tant que les pistes n’auront pas été officiellement dévoilées, les fonctionnaires sont sur leurs gardes.  Dans la soirée, les syndicats de la fonction publique (CFDT, CFTC, CGC, CGT, FAFPT, FSU, Solidaires, Unsa et FO) ont publié un communiqué commun réclamant un engagement écrit du Premier ministre « affirmant que le gouvernement n’envisage pas le gel des avancements et des primes des agents ».  Ils ont subordonné à la réception de ce courrier la poursuite des discussions avec la ministre de la Fonction publique Marylise Lebranchu en vue de négociations qui doivent démarrer en mai sur les « parcours professionnels, carrières et rémunérations » des agents.  Un gel des primes et avancements permettrait d’économiser 1,2 milliard d’euros par an, une goutte d’eau au regard des économies visées et un risque politique, à l’approche des municipales, vis-à-vis d’un corps électoral traditionnellement favorable à la gauche.  Cette piste explosive a d’abord surgi la semaine dernière, lorsque la presse a rapporté des propos que le ministre de l’Education Vincent Peillon aurait formulés devant quelques journalistes, mais que l’intéressé avait aussitôt démenti avoir tenus.  Face à la polémique, le ministre délégué au Budget Bernard Cazeneuve avait alors déclaré à l’AFP que les fonctionnaires avaient « déjà fait beaucoup d’économies », via le gel du point d’indice (qui sert de base au calcul de leurs salaires et est bloqué depuis 2010) et la stabilisation des effectifs. Des économies qui ont notamment engendré une baisse de la masse salariale de 200 millions d’euros en 2013 par rapport à 2012 dans la fonction publique d’Etat, une maîtrise des dépenses « très exceptionnelle », selon M. Cazeneuve.  Mais mercredi, alors que la majorité est déjà divisée sur le pacte de responsabilité qui prévoit une baisse de 30 milliards des cotisations patronales, c’est le président du groupe PS à l’Assemblée Bruno Le Roux qui a relancé le débat.  Il a affirmé que l’hypothèse d’un gel était bien « sur la table », avant de corriger un peu plus tard ses propos.  Sur les radios, au moment où M. Ayrault s’exprimait jeudi, ses ministres avaient visiblement aussi reçu la consigne d’apaisement. « Rien n’est encore sur la table. Un processus est engagé », a dit la ministre de la Santé Marisol Touraine. Le ministre de l’Agriculture Stéphane Le Foll a évoqué un effort « extrêmement fort » des fonctionnaires et invité « tous ceux qui se sont exprimés à garder un peu plus de temps à bien réfléchir ».  Pour les syndicats, en tout cas, c’est tout vu: alors qu’ils réclament depuis des mois un dégel du point d’indice, l’idée qu’on puisse y ajouter un gel de l’avancement et des promotions est tout simplement « hors de question », a affirmé en début de semaine le secrétaire général de la CFDT Laurent Berger.  Pour Jean-Claude Mailly, secrétaire général de FO, premier syndicat chez les agents de l’Etat, ce serait même un « casus belli », son syndicat dénonçant le « yoyo » du gouvernement sur le sujet et l’intervention du « pompier » Ayrault pour déminer des propos issus de son propre camp.  De son côté, l’ancien Premier ministre François Fillon (UMP) a affirmé qu’il ne serait « pas étonné » que le gouvernement soit contraint de geler les primes et l’avancement des fonctionnaires, faute d’avoir agi plus tôt, selon lui, pour réduire les déficits.

 

La banque Reyl dément

La banque Reyl dément  

Le document cité par la radio française Europe 1 dans le cadre de l’enquête en France sur la banque suisse Reyl est un faux, a annoncé dimanche à l’AFP l’établissement genevois, disposé à fournir des preuves aux autorités judiciaires. « A la suite de l’évocation par Europe 1 sur son antenne le vendredi 14 juin et de sa publication sur son site internet d’un document qui émanerait de notre Groupe et étayerait les affirmations de M. Pierre Condamin-Gerbier nous concernant, nous avons procédé à une vérification approfondie de nos archives », explique la banque Reyl dans un communiqué.   »Il en ressort sans l’ombre d’un doute que le document (…) a été grossièrement falsifié, dans le but d’en altérer le contenu et la signification », assure-t-elle.  La banque genevoise assure avoir « les moyens de démontrer cette falsification et tient les éléments de preuves à la disposition des autorités judiciaires qui pourraient les lui demander, sans préjudice des actions qu’elle pourrait elle-même intenter ».  Fin mai, le parquet de Paris a ouvert une information judiciaire contre X visant les activités de la banque Reyl.  Confiée aux juges Renaud van Ruymbeke et Roger Le Loire, l’enquête pour « blanchiment de fraude fiscale » fait suite aux déclarations, le 18 avril devant les juges, d’un ancien cadre de la banque, Pierre Condamin-Gerbier, interrogé comme témoin dans l’affaire Cahuzac.  Sans citer de nom, M. Condamin-Gerbier, ancien cadre de la banque Reyl et responsable de l’UMP (Union pour un mouvement populaire) en Suisse jusqu’en 2009, avait indiqué que d’autres contribuables français avaient des avoirs dans cette banque.  M. Condamin-Gerbier a encore affirmé jeudi, lors d’une audition à huis clos devant des députés travaillant sur le projet de loi contre la fraude fiscale, disposer d’une liste « d’une quinzaine » de noms d’ex-ministres ou d’actuels ministres détenteurs d’un compte en Suisse et a estimé que l’ex-ministre du Budget Jérôme Cahuzac, mis en examen pour blanchiment de fraude fiscale, n’était qu’un « fusible ».  Il a aussi déclaré que ses documents, « des éléments de preuve », avaient été remis à une tierce partie.  A la suite de quoi, vendredi, Europe 1 a fait état d’un document à en-tête de la banque suisse, exposant les modalités d’une transaction entre un homme politique français et un homme d’affaires.

 

Fabius « dément » la « rumeur » de Libération sur un compte en Suisse

Fabius « dément » la « rumeur » de Libération sur un compte en Suisse

Le ministre des Affaires étrangères, Laurent Fabius, a « démenti formellement » dimanche auprès de l’AFP une « rumeur, relayée par Libération » dans son édition datée de lundi lui « attribuant un compte en Suisse », ajoutant qu’il engageait des poursuites judiciaires.   »Je démens formellement la rumeur, relayée par Libération dans son édition du lundi 8 avril, m’attribuant un compte en Suisse. Elle ne repose sur aucun élément matériel et est dénuée de tout fondement » écrit M. Fabius dans un communiqué, en annonçant avoir mandaté son avocat « pour qu’il engage les procédures juridiques permettant de le démontrer et de faire cesser la diffusion de ces informations fausses et calomnieuses ».  En Une, le quotidien titre: « Affaire Cahuzac, le cauchemar continue », et écrit que Laurent Fabius a démenti auprès de lui « détenir un compte en Suisse ».  Libé en fait son « évènement » sous le titre: « une possible affaire Fabius tétanise l’Elysée ». S’en suit un long article qui ne produit aucun élément donnant à penser que le ministre des Affaires étrangères détiendrait un tel compte non déclaré, soulignant simplement que Mediapart « explore (cette) piste ».   »Il n’existe à Mediapart que ce qui est publié sur notre site », prend soin de souligner à Libération le journaliste du site d’information Fabrice Arfi.

 

L’Argentine dément le défaut de paiement

L’Argentine dément  le défaut de paiement

« L’Argentine ne peut pas et ne va pas entrer en défaut de paiement », a assuré le ministre de l’Economie Hernan Lorenzino  dans des déclarations citées par le journal Pagina 12. L’Argentine s’était déclarée en décembre 2001 en défaut de paiement, le plus important de l’histoire, sur un montant record de 100 milliards de dollars.  L’agence de notation financière Standard and Poor’s (SP) avait abaissé fin octobre la note de la dette souveraine argentine de « B » à « B- », en raison des « risques croissants » financiers que traverse le pays. Sa concurrente Fitch Ratings a placé la note argentine (« B ») « sous surveillance négative ».  Une cour d’appel américaine avait rejeté le 26 octobre un recours déposé par Buenos Aires contre une première décision de justice rendue le 23 février, appelant l’Argentine à rembourser tous les porteurs privés, dont le fonds spéculatif NML.  Le gouvernement argentin a déclaré à plusieurs reprises que le pays refusait de payer le montant total de sa dette que lui réclament des fonds spéculatifs « récalcitrants » qui n’ont pas participé aux échanges de dette.  Hernan Lorenzino a accusé les agences de notation d’agiter le spectre d’un défaut de paiement de l’Argentine afin d’en tirer des gains financiers.  Des spéculateurs « parient beaucoup d’argent sur la possibilité qu’une agence de notation dise que l’Argentine a manqué à ses obligations », espérant pouvoir déclencher le paiement des CDS (« Credit Default Swap »), des contrats d’assurance contre le risque de non-remboursement d’un pays.  Le fonds spéculatif NML, qui a son siège aux îles Caïman, a obtenu la saisie du navire-école argentin Libertad au Ghana, où il est retenu depuis le 2 octobre.

 




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