Archive pour le Tag 'demander'

Liban: Après l’Égypte, la France demande une réunion du conseil de sécurité

Liban: Après l’Égypte, la France demande une réunion du conseil de sécurité

Après l’Égypte la France a demandé une réunion urgente du conseil de sécurité concernant la guerre qui se développe entre Israël et le Liban. Le risque est en effet d’étendre le champ géographique du conflit à une grande partie du Moyen-Orient.

 

«La France appelle les parties et ceux qui les soutiennent à la désescalade et à éviter un embrasement régional qui serait dévastateur pour tous, à commencer par les populations civiles. C’est pourquoi j’ai demandé que se tienne une réunion d’urgence du Conseil de sécurité sur le Liban cette semaine», a ajouté le nouveau chef de la diplomatie française qui a pris ses fonctions lundi. «Au Liban comme ailleurs, la France restera pleinement mobilisée pour résoudre les crises majeures qui fracturent l’ordre international. Elle prendra des initiatives», a-t-il assuré.

Le seul problème c’est que politiquement la France pèse de moins en moins non seulement en raison de ses problèmes politiques internes mais surtout en raison de l’affaiblissement général du pays sur le plan économique

 

Retraités: des manifestations pour demander 10 % d’augmentation

Retraités: des manifestations pour demander 10 % d’augmentation

Hier mardi des manifestations ont été organisées un peu partout en France par des organisations de retraités à fin de demander une augmentation immédiate de 10 %.

«Depuis le 1er janvier 2017, les années du président Emmanuel Macron ont fait perdre 9,6% et l’équivalent de 2,4 mois de pension, et même, pour ceux qui ont subi l’augmentation de la CSG au 1er janvier 2018, 11,5 % et 3,6 mois de pension», poursuivent-elles dans le communiqué, expliquant que cette situation était due au refus du gouvernement «d’appliquer la loi (article L161-25 du Code de la Sécurité sociale) qui stipule que les pensions doivent être revalorisées au niveau de l’inflation».

Bien que le ministère de l’Économie ait annoncé, en septembre, que les pensions de retraite de base devraient être augmentées de 5,2 % au 1er janvier 2024, les syndicats réclament davantage. De concert ce mardi, ils souhaitent une revalorisation de 10% de toutes les pensions, estimant que les retraités avaient perdu 9,6% de pouvoir d’achat depuis 2017. En outre, ils ont lancé une pétition en ligne sur change.org dans laquelle ils répètent leur souhait d’obtenir 10 % d’augmentation immédiate de leurs pensions.

Plusieurs mobilisations sont organisées aujourd’hui un peu partout en France. Un rassemblement est notamment prévu au métro Varenne, à 14 heures, à l’appel des organisations syndicales de retraités. «À Paris, le rassemblement, au plus proche de Matignon, ira porter les cartes-pétitions à Elisabeth Borne», précise le communiqué.

Un referendum pour demander le départ de Macron

Un referendum pour demander le départ de macron


Macron va s’enorgueillir d’avoir réalisé la réforme des retraites lors de son passage comme président de la république. Il laissera cependant l’héritage d’un pays en plein déclin et en pleine anarchie démocratique. Pour en sortir il n’y a pas d’autres solutions que le retour aux urnes avec en priorité un référendum sur les retraites et chasser Macron.

Sur le plan économique, la gestion financière a été déplorable avec un déficit délirant qui conduit maintenant le pays a une dette d’environ 3000 milliards. Ce qui actuellement engendre une charge financière de 50 milliards par an. Et le budget continue de filer, comme la dette. Tous les grands équilibres sont dans le rouge, le système de retraite comme le reste en raison notamment des cadeaux fiscaux fait sans aucune compensation ni évaluation. 80 % des Français condamnent la politique économique et sociale du chef de l’État ( sondage Odoxa).

Certes les grands groupes affichent des bénéfices qui battent régulièrement des records mais c’est au prix d’un accroissement des inégalités et d’une répartition des richesses de plus en plus au profit des nantis. Jamais les profits n’ont été répartis autant en faveur des détenteurs du capital.

Par ailleurs, le pouvoir d’achat a été complètement massacré du fait d’une politique énergétique complètement inconséquente. En même temps, Macron a contribué à liquider l’industrie.

Macon -avec Hollande- a sacrifié ce qui constituait notre atout, à savoir l’énergie nucléaire ; tout cela pour récupérer quelques voix écolo du type de celle de Nicolas Hulot ! Nombre d’entreprises, de commerçants d’artisans et agriculteurs vont couler sous le poids d’un prix de l’énergie multipliée par deux, par cinq ou par dix !

Les ménages de leur côté prennent une part de cette catastrophe de la politique énergétique et sous l’effet de l’inflation générale sont contraints de se serrer la ceinture. Aux effets néfastes de la politique énergétique, s’ajoute en effet la hausse également invraisemblable des produits alimentaires : 15 % jusqu’à maintenant auxquels il faudra encore ajouter 10 % après les négociations entre distributeurs et producteurs.

Macron laissera aussi un pays dans un état d’insécurité dramatique avec des banlieues complètement hors la république et un trafic de drogue fleurissant qui maintenant pénètre la plupart des couches de la société.

Il faudrait ajouter la situation déplorable dans nombre de services publics dont la santé mais aussi l’école, elle aussi en pleine décomposition si l’on en juge par les classements internationaux.

Bref Macron finira comme Louis XV haï par son peuple et le phénomène pourra commencer plus rapidement qu’on ne le pense. Il se pourrait même que Macron ne parvienne pas à terminer son mandat ou alors de manière très pitoyable

Le Mali pourrait demander l’aide militaire russe

Le Mali pourrait demander l’aide militaire russe

 

 

De façon très elliptique, les militaires putschistes indiquent qu’il faudra bien combler les vides laissés par la présence de la force Barkhane et recourir à des forces extérieures, comprendre y compris des mercenaires russes.  »

De sources diplomatiques, Paris craint notamment que l’arrivée de mercenaires russes au Mali déstabilise davantage la région et compromette la lutte antiterroriste au Sahel au moment où la France cherche à transformer l’opération Barkhane en coalition internationale impliquant davantage ses alliés européens.

La France va demander l’arrêt des conflits pendant un an et demi son seul porte-avions est en réparation !

La France va demander l’arrêt des conflits pendant un an et demi son seul porte-avions est en réparation !

 

 

Sans doute la France va-t-elle demander à l’ONU de se prononcer sur une motion pour l’arrêt des conflits pendant un an et demi. C’est-à-dire le temps nécessaire pour réparer son seul porte-avions  le d Charles-de-Gaulle. La situation est évidemment ubuesque. Ou bien la France renonce à tout porte-avion ou décide  d’en disposer d’ au moins deux. Une problématique posée un peu naïvement le ministre de la défense. «  Peut-être qu’il serait souhaitable d’avoir un deuxième porte-avions », soulignait en novembre le ministre français de la Défense Jean-Yves Le Drian. « Peut-être que la question se posera quand on élaborera la loi de programmation militaire qui commencera en 2020. » Loin d’être nouvelle, l’idée d’un second porte-avions a émergé dès le début des années 2000. Face aux contraintes budgétaires, la France propose à la Grande-Bretagne de coopérer sur un projet qui prévoit la construction de trois porte-avions, dont un pour la Marine française. Un accord est signé en 2006 mais le programme est suspendu en 2008 avant d’être définitivement abandonné en 2013. Dans un rapport publié en 2014, la Cour des comptes épinglera un projet dans lequel « des sommes importantes » ont été engagées « alors que l’impasse de la coopération était très largement prévisible ». Depuis, le chantier est au point mort. Lors d’une conférence de presse consacrée aux questions de défense le 6 janvier, Benoît Hamon a estimé que la mise à l’arrêt du Charles-de-Gaulle posait la question. « S’il n’y a pas deux porte-avions, il n’y a pas de permanence à la mer », a dit le candidat socialiste. « La question qui nous sera posée c’est : est-ce qu’on fait deux porte-avions, l’un pour succéder au Charles-de-Gaulle et un autre à côté, ou est-ce qu’on en fait un seul mais avec le même problème qui se posera plus tard ? », a-t-il demandé. « Mais il est incontestable que vu le prix d’un deuxième PA, cette question doit être appréciée au regard des efforts que nous pouvons consentir sur le plan budgétaire. Je ne l’écarte pas mais je ne la retiens pas non plus ». François Fillon, candidat de la droite et du centre, s’est lui montré plus catégorique. « Le porte-avions, accompagné du groupe aéronaval, est un instrument de projection de forces et de puissance », soulignait l’ancien Premier ministre dans un entretien à Valeurs Actuelles en novembre dernier. « Cependant, il faut être lucide : nous n’avons pas les moyens d’en construire un deuxième », ajoutait-il. « Il nous faudra en revanche lancer dès le début des années 2020 les études pour construire le successeur du Charles-de-Gaulle, qui devra le remplacer à partir des années 2035. » La France ne peut toutefois pas faire pendant 18 mois sans porte-avions comme si elle en avait un, a souligné le chef d’état-major de la Marine, l’amiral Christophe Prazuck, devant le Sénat, le 16 novembre dernier. « Aujourd’hui, on voit bien que les choses changent : les Chinois veulent construire quatre porte-avions, les Indiens veulent en construire trois, les Anglais sont en train d’en construire deux », a souligné l’amiral Prazuck. « Il existe donc un intérêt largement partagé pour cet outil ».

Affaire Tapie : Lagarde va demander un sursis à statuer pour faire enterrer l’affaire par la droite

Affaire Tapie : Lagarde va demander un sursis à statuer pour faire enterrer l’affaire par la droite

 

Pour Tapie comme pour Christine Lagarde, c’est la même stratégie utilisée : abuser  de démarches procédurières pour retarder un procès.  Les intéressés espèrent en effet que la droite enterrera une affaire dans laquelle elle est impliquée du fait des liens entre Sarkozy, Tapie et Lagarde. (Une affaire qui par ailleurs risque de faire perdre la direction du FMI à la France).  Difficile sinon de comprendre la défense de Lagarde actuellement en congé du fonds monétaire international et qui demande donc encore un délai pour que la justice puisse statuer. Une justice par ailleurs d’exception en général relativement clémente avec les anciens ministres puisque la cour de justice de la république comprend des élus. Une curieuse exception juridique qui d’une certaine manière nie  légalité des droits.  Il est donc vraisemblable que cette affaire va traîner encore des mois voire des années et  qu’elle se perdra dans les méandres du système politique ou judiciaire ! Dossier invraisemblable qui ne grandit ni la justice ni le système politique. Des arguties particulièrement lamentables de la défense de Lagarde qui considère que la reconnaissance du caractère indu de l’indemnisation de tapie reconnue par la justice ne saurait être assimilée à un détournement ! Peut-être alors s’agit-il d’un don de l’Etat donc du contribuable? La directrice générale du FMI Christine Lagarde, jugée à partir du 12 décembre à Paris pour son rôle dans l’arbitrage Tapie, va cependant  demander à la Cour de justice de la République (CJR) de suspendre son procès tant que l’enquête principale sur cet arbitrage est en cours, apprend-on mardi auprès de son avocat.  Sa défense va déposer une demande de sursis à statuer, a précisé Me Patrick Maisonneuve. L’ex-ministre de l’Economie et des Finances de Nicolas Sarkozy doit comparaître du 12 au 20 décembre pour négligence d’une personne dépositaire de l’autorité publique ayant mené au détournement par un tiers de fonds publics. « Madame Lagarde est renvoyée devant la CJR pour des négligences graves ayant permis un détournement de fonds publics par un tiers », explique Me Patrick Maisonneuve. « Mais l’existence même du détournement de fonds publics n’est pas établie », ajoute-t-il. « Ce n’est pas la CJR qui peut arbitrer l’existence d’un détournement de fonds publics, alors que c’est l’objet de l’instruction en cours » dans le volet non-ministériel de l’affaire, poursuit-il. « Nous faisons une demande de sursis à statuer », dit-il. « Il faut attendre qu’il y ait une décision ayant l’autorité de la chose jugée sur cette question. » Pour la commission d’instruction de la CJR, qui a renvoyé Christine Lagarde en procès, l’enquête en cours a « mis en évidence le caractère indu de l’octroi par le tribunal arbitral » des 403 millions d’euros. Elle juge donc acquise « la réalité » du détournement de fonds publics, rapporte une source judiciaire. Une analyse que ne partage pas l’avocat de Christine Lagarde. « Le caractère indu ne signifie pas détournement de fonds publics », estime-t-il. Dans un récent entretien à L’Obs, la patronne du FMI se disait convaincue que ses avocats trouveraient « les moyens juridiques de faire face à cette situation étrange ». La commission d’instruction de la CJR lui reproche d’avoir choisi la voie de l’arbitrage et de ne pas avoir engagé de recours contre la sentence une fois celle-ci prononcée, exposant l’Etat « au paiement de sommes indues ».

Morano doit demander pardon (Sarkozy)

Morano doit demander pardon (Sarkozy)

En réalité Sarkozy veut mettre Morano à genoux en la contraignant à écrire une lettre d’excuses suite à ses propos racistes relatifs à la race blanche. Pas sûr cependant que l’intéressé consente à revenir en arrière. Moins pour des considérations philosophiques et idéologiques qui lui échappent largement que pour l’occasion extraordinaire qu’elle a de sortir de l’ombre et d’occuper ainsi une place médiatique exceptionnelle pour elle. Ses explications sont en effet pathétiques, elle ne cesse de s’enfoncer dans son argumentaire fumeux et contradictoire. Mais là n’est pas l’essentiel, Morano à l’occasion d’exister grâce à l’outrance de ses propos ! Nadine Morano, condamnée par Nicolas Sarkozy pour avoir parlé de la France comme d’un pays « de race blanche », devrait selon toute vraisemblance être évincée mercredi de la campagne des Républicains pour les élections régionales, une sanction qui ne fait pas l’unanimité au sein de la formation d’opposition. L’élue européenne, qui dénonce « une cabale politique et médiatique » pour « une évidence de bon sens », a refusé mardi de présenter les excuses réclamées par le président de LR lors d’une réunion houleuse du bureau politique, où Jean-François Copé, ex-président de l’UMP, a pris sa défense, ont rapporté des participants. Nicolas Sarkozy a donné jusqu’à mercredi à l’élue pour retirer ses propos dans une lettre, a-t-on précisé. Mais l’inflexibilité de l’ancienne ministre, qui répète ne pas avoir commis de faute, risque de sceller son sort. Mercredi après-midi, la Commission nationale d’investiture (CNI) du parti devrait lui retirer la tête de liste en Meurthe-et-Moselle pour les élections régionales des 6 et 13 décembre. Nadine Morano, qui est vice-présidente de la CNI, a annoncé sur France 2 qu’elle serait mercredi à Strasbourg pour les interventions d’Angela Merkel et François Hollande devant le Parlement européen. « J’ai dit ‘La France est un pays de race blanche’, je n’ai pas dit ‘Les Français sont de race blanche’. Je sais que la communauté nationale est composée de tous ses habitants, quelle que soit leur couleur de peau, leur origine, leur histoire, leur croyance ou leur non croyance d’ailleurs », a-t-elle plaidé. « L’affaire Morano », embarrassante pour Nicolas Sarkozy, qui se prévaut d’avoir ramené l’unité au sein du parti d’opposition, est loin d’être close: des élus dénoncent en privé un « acharnement » contre ce bon soldat de la Sarkozy et s’inquiètent des effets de sa mise à l’écart sur un électorat prompt à défendre « Nadine ».




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