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Les « Insoumis » demandent un référendum sur le budget !!!

Les Insoumis demandent un référendum sur le budget !!!

 

 

 

Sans doute en mal de proposition, le parti de Mélenchon réclame un référendum sur la coupe de 10 milliards du budget. D’abord un référendum sans doute inconstitutionnel; Ensuite surtout une pure démagogie; C’est un comme si on demandait aux Français s’ils  souhaitent payer moins d’impôts.!

 

 

D’un côté un gouvernement incompétent et qui manque de courage en matière de gestion budgétaire et de l’autre l’extrême-gauche complètement irresponsable qui veut un référendum à propos des 10 milliards de coupes envisagées pour un budget de 2024 déjà obsolète. Après 10 milliards de coupes dans les dépenses pour 2024, le ministre se ménagerait déjà une éventuelle issue de secours pour mettre en place d’autres mesures d’urgence dans les prochains mois. 
Quelle que soit leur nature, ces coupes soudaines dans un budget à peine adopté ne manqueront pas de faire crier les oppositions et de crisper les membres du gouvernement, priés – bien que dans des proportions différentes – de se serrer la ceinture. Le texte initialement adopté à grands coups de 49.3 était déjà le fruit d’un compromis difficile entre l’impératif de réduction des déficits, le mantra de la majorité de ne pas augmenter les impôts et la pression des ministères qui réclamaient du budget pour faire face à l’inflation. Ainsi, alors qu’en rentrant dans la séquence, Bercy n’avait de cesse de jurer que ce PLF serait celui du retour au sérieux budgétaire, le budget 2024 ne présentait pas d’économies structurelles d’ampleur en dehors de celles réalisées sur la fin du bouclier tarifaire (14 milliards de moins, tout de même, grâce à la fin de cette aide exceptionnelle).

Pour l’instant, Bercy et Matignon évitent un nouveau psychodrame en optant pour des mesures d’économies par décret, et pour cause puisque le gouvernement n’a pas de majorité.

De toute façon , le référendum demandé par les « Insoumis  » est exclu à la fois ridicule et irresponsable.

 

Fonction publique : les syndicats demandent des augmentations significatives et immédiates

Fonction publique : les syndicats demandent des augmentations significatives et immédiates

Les huit organisations représentatives de la fonction publique ont réclamé, mercredi 26 avril, des augmentations salariales « importantes » et applicables dès le jour de la Fête du travail.

Ces huit syndicats (CGT, FO, CFDT, Unsa, FSU, Solidaires, CFE-CGC et FA-FP) « exigent des mesures générales importantes, pour tous les fonctionnaires comme pour tous les non-titulaires », écrivent-ils dans un communiqué.

Une hausse des traitements des fonctionnaires « est d’autant plus urgente et indispensable dans le contexte actuel d’inflation galopante », argumentent-ils. Le taux d’inflation a atteint près de 6% sur un an en mars selon l’Insee. Malgré l’augmentation générale de 3,5% accordée à l’été 2022, après des années de gel des rémunérations, les 5,7 millions d’agents publics « subissent une situation extrêmement dégradée », s’inquiètent-ils.

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Réforme des retraites : les syndicats demandent de consulter les Français

Réforme des retraites : les syndicats demandent de consulter les Français

Les responsables syndicaux appellent Emmanuel Macron à consulter le peuple sur la réforme des retraites et dénoncent le refus du Président de les recevoir

C’est évidemment une sorte de bras d’honneur qu’ adresse Macron aux syndicats avec sa lettre particulièrement hypocrite qui détourne la demande d’audience vers la première ministre qui elle-même l’oriente vers le ministre du travail qui, lui, fait la sourde oreille.

« Puisqu’il est si sûr de lui, le président de la République, il n’a qu’à consulter le peuple. On verra la réponse du peuple », a appelé le secrétaire général de la CGT Philippe Martinez. « La détermination est là, on est passé même à un stade de grosse colère, avec ce qu’a fait le président de la République », vendredi, en rejetant la demande des syndicats de le rencontrer, a ajouté Philippe Martinez, qui va jusqu’à parler d’un « bras d’honneur » d’Emmanuel Macron. « Sans doute il faut aller vers une consultation citoyenne », a appuyé son homologue de la CFDT Laurent Berger.

« Le bras d’honneur que nous fait le président de la République avec sa réponse, c’est prendre le risque que le mouvement social dégénère », a renchéri le secrétaire général de FO Frédéric Souillot. « FO va proposer qu’on ait trois journées, les 15-16-17, de grèves et de manifs », a-t-il affirmé.

De son côté, le président de la CFE-CGC, François Hommeril, veut croire à la « raison » revienne à l’exécutif. « On ne peut diriger, on ne peut pas emmener vers l’avant un pays comme la France en misant sur la résignation de sa population. C’est la chose la plus grave de ce moment », a-t-il regretté.

Alors que le recours à l’article 49.3 qui permettrait d’approuver le texte sans vote n’est pas exclu, le secrétaire général de la FSU Benoît Teste dénonce un potentiel « coup de force démocratique » qui redonnerait « du souffle à la mobilisation ».

Baisse des tarifs EDF : les syndicats demandent une compensation

Baisse des tarifs EDF : les syndicats demandent une compensation

Les représentants syndicaux des salariés au conseil d’administration d’EDF  réclament que l’Etat compense « intégralement » le coût des mesures de réduction de tarif pour le groupe.

« (…) nous demandons à l’Etat actionnaire de compenser intégralement le coût du soutien provisoire demandé à EDF » pour limiter la hausse des prix de l’électricité, ajoutent-ils, jugeant que « d’évidence, EDF vend à perte » sa production électrique nucléaire.

« Nous refusons que ce soit le Groupe EDF qui assume, seul, encore et toujours, les risques de marché alors que c’est aussi lui seul qui assume tous les risques industriels. »

À noter qu’aux difficultés financières d’EDF s’ajoutent des problèmes d’entretien qui paralyse plusieurs réacteurs Actuellement, sur les 56 réacteurs du parc nucléaire français, cinq sont ainsi à l’arrêt à cause de problèmes de corrosion identifiés ou soupçonnés sur un circuit de sécurité, plus autant à l’arrêt pour d’autres raisons.

Ces cinq réacteurs représentent à eux seuls environ 12% de la capacité nucléaire française. Cela a conduit EDF à revoir en baisse sa prévision de production nucléaire jeudi soir. Ces arrêts non prévus accroissent un peu plus la tension sur la sécurité d’approvisionnement électrique cet hiver en France, alors que la disponibilité du parc est déjà faible avec au total 10 réacteurs arrêtés.

À noter que plusieurs sont également liés au report d’entretien de certaines centrales du fait de la crise sanitaire.

Afghanistan : les talibans demandent l’aide internationale

Afghanistan : les talibans demandent  l’aide internationale

Le nouveau ministre des Affaires étrangères, Amir Khan Muttaqi, réclame  plus d’aides à la communauté internationale.

 

 

Si la victoire politique est indéniable pour les talibans par contre  sur le plan économique et les plus que douteuse. Cela en raison de 40 ans de guerre, aussi d’une certaine incapacité de gestion des talibansLes talibans réclament davantage d’argent au titre de la solidarité internationale. Les talibans ont salué, mardi 14 septembre, l’aide de 1,2 milliard de dollars (1 milliard d’euros) promise par la communauté internationale à l’Afghanistan et exhorté les Etats-Unis à faire preuve de davantage de générosité. « Nous remercions et saluons l’engagement du monde d’environ un milliard de dollars d’aide et leur demandons de poursuivre leur aide à l’Afghanistan », a déclaré Amir Khan Muttaqi, ministre en exercice des Affaires étrangères au sein du nouvel exécutif afghan.

 

Origine Covid : 31 scientifiques internationaux demandent une véritable enquête

Origine Covid  : 31 scientifiques internationaux demandent une véritable enquête

 

31 scientifiques internationaux demandent que soit engagée une véritable enquête approfondie sur l’origine du virus en Chine. Après beaucoup de réticences, l’organisation mondiale de la santé avait réussi à faire accepter une petite enquête sur place relativement favorable d’ailleurs à la Chine. Rien d’étonnant à cela puisque la Chine tient en laisse l’organisation mondiale de la santé. Très critiquée l’organisation mondiale de la santé avaient dû alors réagir.

Le 12 juin 2021, le directeur général de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, a déclaré que les familles des millions de personnes qui sont mortes du COVID-19 «méritent de savoir quelle est l’origine de ce virus, afin que nous puissions éviter que cela ne se reproduise». En accord avec ce souhait, les dirigeants du G7 ont publié le lendemain une déclaration commune appelant à «une étude de phase 2 sur les origines de la COVID-19, qui soit transparente, établie dans un délai raisonnable, dirigée par des experts, fondée sur la science, convoquée par l’OMS et également menée, comme le recommande le rapport des experts, en Chine».

Islamo-gauchisme et universités : les députés républicains demandent une enquête parlementaire

Islamo-gauchisme et universités : les députés républicains demandent une enquête parlementaire

Les députés Les Républicains demandent officiellement une enquête parlementaire sur le phénomène islamo- gauchistes et les universités

 

 

Aujourd’hui, « Frédérique Vidal, ministre de l’Enseignement supérieur, dont le seul crime est d’avoir constaté que l’université n’est pas imperméable à la société, et par conséquent pas imperméable à l’islamo-gauchisme, et d’avoir demandé une enquête au CNRS, est au coeur d’une violente campagne de lynchage avec de nombreux appels à la démission », constatent-ils. Dès lors, « il ne nous semble plus possible de refuser une telle mission d’information […] Le caractère prioritaire de ce sujet n’est plus à contester ».

Aux yeux de la droite, « seul un examen attentif de cette question permettra d’établir la réalité de la présence de l’islamo-gauchisme dans le milieu universitaire ». Au moment où l’Assemblée nationale vient d’adopter le projet de loi visant à conforter les principes républicains, « le fait que nous laissions prospérer dans nos universités des idéologies contraires à ces mêmes principes, serait un signal désastreux », soulignent par ailleurs les élus LR.

Les députés signataires du courrier adressé à Richard Ferrand

Damien Abad, député de l’Ain ; Emmanuelle Anthoine, députée de la Drôme 4e ; Julien Aubert, député de Vaucluse 5e ; Edith Audibert, députée du Var 3e ; Thibault Bazin, député de Meurthe-et-Moselle 4e ; Valérie Bazin-Malgras, députée de l’Aube 2e ; Valérie Beauvais, députée de la Marne 1re ; Philippe Benassaya, député des Yvelines 11e ; Anne-Laure Blin, députée du Maine-et-Loire 3e ; Sandra Boëlle, députée de Paris 14e ; Émilie Bonnivard, députée de Savoie 3e ; Jean-Yves Bony, député du Cantal 2e ; Ian Boucard, député du Territoire de Belfort 1re ; Jean-Claude Bouchet, député de Vaucluse 2e ; Bernard Bouley, député de l’Essonne 2e ; Marine Brenier, député des Alpes-Maritimes 5e ; Xavier Breton, député de l’Ain 1re, Bernard Brochand, député des Alpes-Maritimes 8e, Jacques Cattin, député du Haut-Rhin 2e ; Gérard Cherpion, député des Vosges 2e ; Dino Cinieri, député de la Loire 4e, Eric Ciotti, député des Alpes-Maritimes 1re, Josiane Corneloup, députée de Saône-et-Loire 2e, Marie-Christine Dalloz, députée du Jura 2e ; Olivier Dassault, député de l’Oise 1re ; Bernard Deflesselles, député des Bouches-du-Rhône 9e ; Rémi Delatte, député de la Côte-d’Or 2e ; Fabien Di Filippo, député de l’Ain Moselle 4e ; Julien Dive, député de l’Aisne 2e ; Jean-Pierre Door, député du Loiret 4e ; Marianne Dubois, députée du Loiret 5e ; Virginie Duby-Muller, députée de Haute-Savoie 4e ; Pierre-Henri Dumont, député du Pas-de-Calais 7e ; Jean-Jacques Ferrara, député de Corse-du-Sud 1re ; Nicolas Forissier, député de l’Indre 2e ; Claude de Ganay, député du Loiret 3e ; Jean-Jacques Gaultier, député des Vosges 4e ; Annie Genevard, députée du Doubs 5e ; Philippe Gosselin, député de la Manche 1re ; Yves Hemedinger, député du Haut-Rhin 1re ; Michel Herbillon, député du Val-de-Marne 8e ; Patrick Hetzel, député du Bas-Rhin 7e ; Sébastien Huyghe, député du Nord 5e ; Christian Jacob, député de Seine-et-Marne 4e ; Mansour Kamardine, député de Mayotte 2e ; Brigitte Kuster, députée de Paris 4e ; Guillaume Larrivé, député de de l’Yonne 1re ; Marc Le Fur, député des Côtes-d’Armor 3e, Constance Le Grip, députée des Hauts-de-Seine 6e ; Geneviève Levy, députée du Var 1re ; David Lorion, député de la Réunion 4e ; Véronique Louwagie, députée de l’Orne 2e ; Emmanuel Maquet, député de la Somme 3e ; Olivier Marleix, député de l’Eure-et-Loir 2e ; Gérard Menuel, député de l’Aube 3e ; Frédérique Meunier, députée de Corrèze 2e ; Philippe Meyer, député du Bas-Rhin 6e ; Maxime Minot, député de l’Oise 7e ; Jérôme Nury, député de l’Orne 3e ; Jean-François Parigi, député de Seine-et-Marne 6e ; Eric Pauget, député des Alpes-Maritimes 7e ; Guillaume Peltier, député du Loir-et-Cher 2e ; Bernard Perrut, député du Rhône 9e ; Bérengère Poletti, députée des Ardennes 1re ; Nathalie Porte, députée du Calvados 3e ; Aurélien Pradié, député du Lot 1re ; Didier Quentin, député de Charente-Maritime 5e ; Alain Ramadier, député de Seine-Saint-Denis 10e ; Julien Ravier, député des Bouches-du-Rhône 1re ; Robin Reda, député de l’Essonne 7e ; Frédéric Reiss, député du Bas-Rhin 8e ; Jean-Luc Reitzer, député du Haut-Rhin 3e ; Bernard Reynès, député des Bouches-du-Rhône 15e ; Vincent Rolland, député de Savoie 2e ; Martial Saddier, député de Haute-Savoie 3e ; Antoine Savignat, député du Val-d’Oise 1re ; Raphaël Schellenberger, député du Haut-Rhin 4e ; Jean-Marie Sermier, député du Jura 3e ; Michèle Tabarot, députée des Alpes-Maritimes 9e ; Guy Teissier, député des Bouches-du-Rhône 6e ; Robert Therry, député du Pas-de-Calais 4e ; Jean-Louis Thiériot, député de Seine-et-Marne 3e ; Laurence Trastour-Isnart, députée des Alpes-Maritimes 6e ; Isabelle Valentin, députée de Haute-Loire 1re ; Pierre Vatin, député de l’Oise 5e ; Charles de la Verpillière, député de l’Ain ; Arnaud Viala, député de l’Aveyron 3e ; Michel Vialay, député des Yvelines 8e ; Jean-Pierre Vigier, député de Haute-Loire 2e ; Stéphane Viry, député des Vosges 1re ; Eric Woerth, député de l’Oise 4e ; Jean-Luc Bourgeaux, député d’Ille-et-Vilaine 7e ; Pierre Cordier, député des Ardennes 2e ; Jean-Carles Grelier, député de la Sarthe 5e ; Claire Guion-Firmin, députée de Saint-Barthélemy et Saint-Martin 1re ; Jean-Luc Poudroux, député de la Réunion 7e ; Nadia Ramassamy, députée de la Réunion 6e ; Nathalie Serre, députée du Rhône 8e

Dupont-Aignan: Les maires de l’agglomération demandent sa démission

Dupont-Aignan: Les maires de l’agglomération demandent sa démission

: Les maires des huit communes qui composent, avec Yerres, la communauté d’agglomération Val d’Yerres Val de Seine, ont décidé de demander la démission de Nicolas Dupont-Aignan de ses fonctions de président de l’agglomération. « Nous étions tous là, à l’exception » de Nicolas Dupont-Aignan, explique au Parisien Georges Tron, maire de Draveil et vice-président de la communauté d’agglomération. Les maires (un socialiste, sept de droite) ainsi que le président du conseil départemental de l’Essonne François Durovray (premier vice-président de l’agglomération) ont rédigé une lettre à l’ex-candidat de Debout la France dans laquelle ils lui ont demandé « de remettre son mandat à la communauté d’agglomération », a expliqué George Tron. Pour lui, c’est « un problème de valeurs. Cette décision de se rattacher à l’extrême droite sans même nous prévenir, est à mon sens indéfendable. » Dans le courrier qui sera envoyé au député-maire « dès le début de la semaine », publié par le Parisien, les signataires écrivent : « Votre choix de ralliement à Marine Le Pen, candidate de l’extrême droite, parce qu’il heurte violemment les valeurs qui nous rassemblent et qui fondent justement le pacte républicain, ne vous permet plus de créer les conditions de la confiance et de la concorde dans notre assemblée et donc d’exercer vos fonctions de Président. » Les manifestants qui se sont réunis nombreux dimanche pour protester contre Dupont Aignan  ont eux lancé un nouvel appel au rassemblement, lundi à 15h.

 

 

 

 

Air France : des salariés de KLM demandent l’arrêt des grèves

Air France : des salariés de KLM demandent l’arrêt des grèves

 

De toute évidence il n’y a pas la même culture du dialogue social en France et en Hollande. Le responsable du syndicat néerlandais CNV se dit ,lui ,prèts à faire de nouveaux sacrifices pour améliorer la compétitivité de KLM ( filiale de Air France) et alors que l’entreprise a déjà mis en œuvre de plan de restructuration. Du coup des salariés néerlandais du groupe Air France-KLM ont lancé mercredi une pétition pour demander à leurs collègues français de ne pas déclencher de nouvelles grèves dans le groupe.  La pétition, qui réunit déjà plus d’un millier de signatures, illustre le mécontentement de la branche néerlandaise du groupe de transport aérien face à la montée des tensions sociales au sein de la branche française.  Joost Ruempol, porte-parole de KLM, a déclaré que la pétition des personnels de cabine de la compagnie n’était pas encouragée par l’entreprise et qu’elle appelait les salariés d’Air France à s’engager dans un dialogue « constructif » avec la direction plutôt que de s’aliéner l’opinion publique.   »Dégrader davantage notre situation de trésorerie n’est pas une solution et ne fera qu’accroître les difficultés », dit le texte de la pétition.  Dolf Polders, représentant des personnels de cabine et des personnels au sol de KLM au sein du syndicat CNV, a déclaré que la compagnie néerlandaise, qui a déjà subi un plan de restructuration ces deux dernières années, était prête à « faire de nouveaux sacrifices ». « Mais alors que le personnel de KLM se conduit de manière responsable, des salariés d’Air France se comportent comme des enfants gâtés », a-t-il ajouté à propos des incidents de lundi à Roissy, lors desquels deux cadres de la compagnie française ont été agressés.  Si KLM et Air France appartiennent au même groupe depuis 2004, chacune des deux compagnies a conservé sa propre structure et son identité nationale.  L’an dernier, après une grève des pilotes français qui avaient amputé de 330 millions d’euros le bénéfice d’exploitation d’Air France, les dirigeants de la branche néerlandaise avaient sèchement refusé de renflouer la trésorerie de la branche française.

 

La Redoute: des salariés demandent le soutien des Français contre l’avis des syndicats

La Redoute: des salariés demandent le soutien des Français contre l’avis des syndicats

 

Les salariés de la Redoute ne veulent pas voir leur entreprise disparaître. Plusieurs centaines d’entre-eux viennent de créer le collectif « Signez pour la Redoute », favorable à la signature du protocole d’accord sur le plan social. Ils appellent au soutien des Français.   Une « lettre ouverte aux Français qui se sentent concernés par La Redoute » a été publiée samedi 22 mars sur le compte Twitter @AvenirLaRedoute, pour recevoir des témoignages de soutien. « Aujourd’hui l’existence de La Redoute est menacée », explique le collectif, qui affirme représenter « la majorité des salariés de La Redoute tous statuts confondus, sites de Roubaix, Tourcoing et Wattrelos, en faveur d’une signature en l’état ».  Vendredi « a été une journée émouvante pour tout le monde. On a été vraiment sous le choc à la constatation qu’à 14H00 la signature n’avait pas eu lieu », explique un porte-parole. La direction de La Redoute a remis vendredi le sort de l’entreprise entre les mains du tribunal de commerce après un nouveau refus de la CGT, de SUD et de la CFDT de signer le protocole d’accord sur le plan social. Selon le collectif, le tribunal de commerce informé devrait réagir d’ici lundi soir. D’ici là, les salariés sont mobilisés. « On va essayer d’actionner un maximum de leviers pour dire que ce n’est pas possible, d’essayer de comprendre pourquoi il n’y a pas eu de signature et pourquoi il y a 3.400 personnes qui sont sans doute, même s’il reste un infime espoir, sur le carreau », a ajouté ce salarié. La décision divise les salariés. Depuis plusieurs semaines, des manifestations de soutien aux syndicats contre la signature du protocole ont réuni plusieurs centaines de personnes. Le groupe Kering (ex-PPR) a engagé la cession de La Redoute à Nathalie Balla et Eric Courteille, respectivement PDG de La Redoute et secrétaire général de sa maison mère Redcats, pour se recentrer sur le luxe. Ces derniers ont annoncé le 9 janvier la suppression de 1.178 des 3.437 postes de La Redoute.

 

Libéralisation contrôle aérien : la France et l’Allemagne demandent la suspension du projet

Libéralisation contrôle aérien : la France et l’Allemagne demandent  la suspension du projet

La France a demandé  à la Commission européenne, en accord avec Berlin, «de surseoir à son projet de libéralisation» du contrôle aérien, qui a provoqué un mouvement de grève des aiguilleurs du ciel en France. Ce mouvement – qui va sérieusement perturber le trafic aérien pendant trois jours – fait consensus, à la fois du côté des syndicats, mais aussi à la Direction générale de l’aviation civile (DGAC), ainsi qu’au ministère des Transports. «Avec mon homologue allemand, Peter Ramsauer, nous avons remis un mémorandum au commissaire (Siim) Kallas pour lui demander de surseoir à ce type de libéralisation», a déclaré le ministre sur RTL. «Il y a un projet de la Commission de séparation des fonctions de régulation et de contrôle (…) qui est de nature à remettre en cause ce qui fait notre particularisme et notre efficacité, et qui est vivement contesté par les syndicats», a-t-il poursuivi, en ajoutant que «la France ne soutient pas cette nouvelle initiative de la Commission européenne.»  La proposition de modification du règlement ciel unique, dit «ciel unique 2+», initié par la Commission européenne, a déclenché la colère des syndicats des contrôleurs aériens qui ont entamé mardi une grève prévue jusqu’à jeudi. Le projet de la Commission européenne conduit à éclater les fonctions qui sont assurées en France par la Direction générale de l’aviation civile (fonctions de régulation, de surveillance et de prestations de service navigation aérienne) et à mettre en concurrence les fonctions support du contrôle aérien. Le ministre souligne que l’aviation civile est seulement en train d’appliquer un règlement européen datant de 2009 créant un ciel unique et une coordination entre les différents services d’aviation civile «qui n’a pas encore porté tous ses fruits en terme d’efficacité du système pour les usagers.» La Direction générale de l’aviation civile (DGAC) a indiqué que 1800 vols avaient été annulés en France mardi.

 




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