Archive pour le Tag 'délire !'

Russie–Medvedev, l’alcoolique notoire, délire

Russie–Medvedev, l’alcoolique notoire,  délire

 

L’ancien président de la Russie Medvedev choisi par Poutine pour assurer pendant un court instant la présidence ( le temps que Poutine la reprenne), est un alcoolique notoire. En outre, un inconstant puisqu’il avait tenté un rapprochement entre l’Occident et la Russie. Ce que précisément Poutine lui reproche. Du coup l’intéressé le plus souvent sou l’emprise de l’alcool doit montrer sa radicalité à Poutine. Ainsi par exemple il menace régulièrement l’Occident de bombardements nucléaires. Sans parler des injures qui sentent la vodka.

« Macron s’apprête à se rendre à Kiev? Mais c’est un trouillard zoologique! », a écrit sur son compte X, anciennement Twitter, l’allié de Vladimir Poutine habitué des frasques cinglantes.

Les deux chefs d’État ont « convenu de rester en étroit contact, notamment concernant la visite du président de la République en Ukraine, qui devrait intervenir dans les prochaines semaines », selon un communiqué de la présidence française.
Dmitry Medvedev a alors donné des conseils au président français, avec des termes assez crus. « Quoi qu’il en soit: je recommande à son bureau de prendre plusieurs paires de caleçons! Ça sentira très fort… », a-t-il lancé.

Et d’ajouter: « J’ai écrit ça ce matin et je n’ai pas eu le temps de le publier! Et le soir il s’était déjà chié dessus. Pauvre France! »

 

Bref le langage des voyous de la mafia qui détienne aujourd’hui le pouvoir en Russie.

Délire: « Plus d’un Français sur deux part en vacances à Noël » d’après la sous-ministre Olivia Grégoire qui dérape<

Délire: « Plus d’un Français sur deux part en vacances à Noël » d’après la sous-ministre Olivia Grégoire qui dérape

.
La sous- ministre des PME Olivia Grégoire dérape complètement en affirmant que «55% des Français ont l’intention de partir en vacances fin décembre», lors d’un point de presse téléphonique. La soue ministre confond totalement les statistiques globales des vacances et celles spécifiques à Noël.

Environ «77% d’entre eux envisagent de rester en France pour les vacances de Noël», selon la ministre, ce qui profite à «tous les territoires français (…) pas uniquement les littoraux ou la montagne». «Selon les premières estimations, le budget moyen pour le séjour d’hiver serait de 371 euros par personne, ce qui est équivalent aux années précédentes».

la différence entre les chiffres de la ministre et la réalité est de taille. 20% des Français partent pour les vacances de Noël. C’est ce qu’affirme l’édition 2018 du Baromètre Mondial Assistance, dans un sondage représentatif*. C’est un chiffre équivalent à celui des cinq années précédentes, à l’exception d’un pic à 26% en 2013. En moyenne, leurs vacances durent sept jours, et un quart des vacanciers partent quelques jours de plus. Selon le sondage, les Français ont nettement réduit leur temps de vacances, comparé aux années précédentes.

ll y a 20 ans, 58 % des Français déclaraient partir en vacances selon le Crédoc. Le taux de départ en vacances a assez peu évolué depuis le début des années 2000, et il a diminué en 2020 en raison de la pandémie de Covid-19

Qui sont les chanceux qui font leurs valises chaque année ? Pour partir, il faut en avoir les moyens. Seuls 37 % des personnes aux revenus inférieurs à 1 285 euros mensuels ont quitté leur domicile, contre 72 % de celles qui disposent de plus de 2 755 euros (données de janvier 2022). Transport, hébergement, activités : les vacances coûtent cher et toute une partie des ménages n’ont pas de moyens suffisants pour partir. Les aides financières aux vacances sont insuffisantes. En outre, les plus aisés bénéficient plus souvent, du fait d’amis ou de leur famille, d’un hébergement gratuit.
Partir dépend aussi du milieu social. 65 % des cadres supérieurs et des professions intermédiaires partent en congé, contre 47 % des ouvriers, selon les données de 2022 du Crédoc. Plus on monte dans l’échelle sociale, plus on a de chances de s’échapper.

Macron et l’environnement: le délire verbal, l’incohérence et l’immobilisme

 Macron et  l’environnement: le délire verbal, l’incohérence et l’immobilisme

 

C’est sans doute en matière d’environnement que Macron présentera le bilan le plus contrasté. En effet le président de la république n’a pas été avare de mots et de prestations médiatiques. Chaque fois qu’il le peut , il  glisse un couplet intégrant la problématique environnementale. Le problème c’est que l’action suit difficilement.

 

En outre, elle comporte de nombreuses contradictions avec des mesures gadgets le plus souvent mais aussi des mesures contre-productives non seulement sur le plan environnemental mais aussi sur le plan économique.

 

Ne parlons pas de ses relations tendues avec la commission dite citoyenne de 150 zozos choisis au hasard et qui ont débouché sur un magnifique programme qui aurait pu être élaboré dans un bistrot après quatre tournées l’apéritif. Une vraie auberge espagnole où les participants ont été savamment manipulés par les lobbies et les experts très orientés.

 

La pire hypocrisie consiste sans doute à continuer l’incontournable politique énergétique nucléaire mais  à la masquer avec d’inutiles éoliennes complètement improductives et qui engraissent  certains propriétaires de terrains souvent copains des responsables locaux qui aménagent en conséquence les plans locaux d’urbanisme et autre Scot.

 

Greenpeace juge «catastrophique» le bilan du chef de l’État, écrivant même : «Comment s’y prend-il pour toujours faire le contraire de ce qu’il dit ?» «Personne n’a fait autant que nous depuis trois ans ! Moi, je n’ai pas pris des lois pour dans dix ans», avait rétorqué le chef de l’État. Avant l’examen en mars du projet de loi climat, qu’a fait Emmanuel Macron pour l’environnement ?

 

 Il y a eu quand même quelques avancées avec la suppression des pailles en plastique, des cuillères en plastique et des coton-tige en plastique ! Mais rien évidemment sur le problème fondamental du scandaleux business de l’eau en bouteille plastique qui pollue toute la planète. «D’ici à 2022, nous avons pour objectif de doubler la capacité en éolien et en solaire photovoltaïque», avait annoncé Emmanuel Macron. Le parc solaire photovoltaïque affichait une capacité de 7660 MW en 2017, et de 10.072 MW en 2020. Pour tenir la promesse, elle devra s’élever à plus de 15.000 MW en 2022. Concernant le parc éolien, il affichait une puissance de 12.121 MW en mars 2017 et de 16.897 MW en mars 2020. Une capacité doublée signifierait plus de 24.000 MW en 2022. «Je m’engage à tenir l’objectif de 32% en termes d’énergies renouvelables» d’ici 2030, en faite on est tout juste à 17 18 %. Et la perspective c’est évidemment ce qui a toujours été prévu à savoir la construction de six réacteurs nucléaires EPR « la perspective d’une réduction de l’énergie nucléaire à 50 % en 2025 constitue une véritable escroquerie.

Bilan Macron sur l’environnement: le délire verbal, l’incohérence et l’immobilisme

Bilan Macron sur l’environnement: le délire verbal, l’incohérence et l’immobilisme

 

C’est sans doute en matière d’environnement que Macron présentera le bilan le plus contrasté. En effet le président de la république n’a pas été avare de mots et de prestations médiatiques. Chaque fois qu’il le peut , il  glisse un couplet intégrant la problématique environnementale. Le problème c’est que l’action suit difficilement.

 

En outre, elle comporte de nombreuses contradictions avec des mesures gadgets le plus souvent mais aussi des mesures contre-productives non seulement sur le plan environnemental mais aussi sur le plan économique.

 

Ne parlons pas de ses relations tendues avec la commission dite citoyenne de 150 zozos choisis au hasard et qui ont débouché sur un magnifique programme qui aurait pu être élaboré dans un bistrot après quatre tournées l’apéritif. Une vraie auberge espagnole où les participants ont été savamment manipulés par les lobbies et les experts très orientés.

 

La pire hypocrisie consiste sans doute à continuer l’incontournable politique énergétique nucléaire mais  à la masquer avec d’inutiles éoliennes complètement improductives et qui engraissent  certains propriétaires de terrains souvent copains des responsables locaux qui aménagent en conséquence les plans locaux d’urbanisme et autre Scot.

 

Greenpeace juge «catastrophique» le bilan du chef de l’État, écrivant même : «Comment s’y prend-il pour toujours faire le contraire de ce qu’il dit ?» «Personne n’a fait autant que nous depuis trois ans ! Moi, je n’ai pas pris des lois pour dans dix ans», avait rétorqué le chef de l’État. Avant l’examen en mars du projet de loi climat, qu’a fait Emmanuel Macron pour l’environnement ?

 

 Il y a eu quand même quelques avancées avec la suppression des pailles en plastique, des cuillères en plastique et des coton-tige en plastique ! Mais rien évidemment sur le problème fondamental du scandaleux business de l’eau en bouteille plastique qui pollue toute la planète. «D’ici à 2022, nous avons pour objectif de doubler la capacité en éolien et en solaire photovoltaïque», avait annoncé Emmanuel Macron. Le parc solaire photovoltaïque affichait une capacité de 7660 MW en 2017, et de 10.072 MW en 2020. Pour tenir la promesse, elle devra s’élever à plus de 15.000 MW en 2022. Concernant le parc éolien, il affichait une puissance de 12.121 MW en mars 2017 et de 16.897 MW en mars 2020. Une capacité doublée signifierait plus de 24.000 MW en 2022. «Je m’engage à tenir l’objectif de 32% en termes d’énergies renouvelables» d’ici 2030, en faite on est tout juste à 17 18 %. Et la perspective c’est évidemment ce qui a toujours été prévu à savoir la construction de six réacteurs nucléaires EPR « la perspective d’une réduction de l’énergie nucléaire à 50 % en 2025 constitue une véritable escroquerie.

Le délire fiscal du gouvernement

Le délire fiscal du gouvernement

La pathologie est grave, elle se traduit par un délire fiscal (on avait déjà le record du monde de  prélèvement obligatoire). Les français n’ont encore pas digéré les augmentations de 2014 (IR, CSG, TVA etc.), autour de 11 milliards, une bricole ! Ce qui n’empêche pas Martin le ministre de l’écologie d’annoncer la renaissance de la taxe carbone. Ce gouvernement est atteint d’un vrai délire qui tue la consommation, la croissance et l’emploi. Normal la plupart n’ont jamais travaillé dans le privé, des fonctionnaires qui n’avaient qu’à se préoccuper des dépenses en ignorant les recettes ; Les écolos y compris. En tout cas ceux des appareils car sur le terrain de vrais écolos tentent courageusement de s’agiter dans un environnement complètement pollué. Du coup la sanction risque d’être sévère aux municipales et surtout aux européennes. Car le gouvernement est bien entendu rejeté par les sensibilités de droite qui condamnent l’étatisation de la société mais aussi par l’extrême gauche qui constate que la facture est payée par les plus démunis et les couches moyennes. Ces gens là sont fous de toute évidence, incompétents sur le plan économique mais également injustes sur le plan social. Du coup même au PS on régit (faiblement).   Depuis La Rochelle, où se tient l’université d’été du Parti socialiste, la « contribution climat énergie » annoncée par le ministre de l’Ecologie fait réagir les éléphants du parti. En premier lieu, le ministre de l’Economie, Pierre Moscovici, qui assure que ce nouveau prélèvement, dont les contours ne sont pas encore connus, n’est pas destiné à « frapper les Français », mais à « modifier les comportements ». « Il ne s’agit pas d’une nouvelle taxe, mais l’idée [est] de verdir les taxes existantes pour modifier les comportements, avec une montée en puissance qui devra être définie dans le temps », a commenté Pierre Moscovici. Il reprenait ainsi les mots de Bruno Le Roux, le patron des députés socialistes, et ceux de la porte-parole du gouvernement Najat Vallaud-Belkacem prononcés un peu plus tôt ce vendredi 23 août.  Des déclarations qui visent à rassurer les contribuables qui pourraient voir cette « taxe carbone remixée » comme un nouvel impôt, alors même que le gouvernement s’est engagé à ne pas augmenter les prélèvements obligatoires. Bernard Cazeneuve lui a emboîté le pas. Dans un entretien à l’AFP, le ministre délégué au Budget a affirmé que la contribution climat énergie « n’est pas une fiscalité de plus » qui viendrait « rajouter de la pression fiscale ». « Il s’agit de faire évoluer la fiscalité existante de manière à susciter des comportements vertueux », ajoute-t-il, reprenant peu ou prou le discours de son ministre de tutelle.

Internet : Montebourg délire !

Internet : Montebourg délire !

 

Faute de pouvoir sauver les usines, Montebourg s’égare à propos d’internet. Certes les géants ne payent pas d’impôts en France ou très peu mais c’est le prix à payer aux règles des contrats commerciaux internationaux (y compris européens) ; Montebourg ne va pas au bout de son raisonnement car il serait en contradiction avec le gouvernement. Il veut en quelque sorte « nationaliser » internet. Encore un effort et i va défendre le minitel ! Arnaud Montebourg a décidé d’appliquer son concept de « démondialisation » à un nouveau domaine: les données personnelles, ces données que les internautes fournissent aux sites web en utilisant des applications comme Facebook, ou juste en navigant sur internet.  « Nos données personnelles sont surexploitées par des géants de l’Internet qui sont localisés de l’autre côté de l’Atlantique. C’est une captation de valeur qu’il faut récupérer au nom de la souveraineté économique et numérique des Européens« , dénonce le ministre du redressement productif.  Dans une interview à 20 Minutes, ce 28 février, le ministre énonce « un principe simple : »toute donnée collectée en Europe doit être stockée et traitée en Europe. L’idée est de faire en sorte que l’exploitation des données ait lieu sur le territoire où habitent les personnes dont les données sont exploitées. Il faut mettre en place une stratégie de localisation des data centers, des emplois rattachés à l’exploitation des données personnelles, sur le territoire européen et particulièrement français. Ce que l’on veut, c’est que la valeur associée à ces données soit d’abord exploitée en France ou en Europe. On va juste demander [aux géants américains] d’investir et de payer des impôts en France« .On se demande vraiment ce qu’il attend !  Au passage, le trublion du gouvernement critique le projet de réglement européen sur le sujet. « Ce projet propose un nivellement par le bas en matière de protection des données personnelles. Nous voulons stopper cette dérive. Le règlement doit affirmer que le droit applicable aux citoyens est celui du lieu de leur résidence, et que les données doivent appartenir à chaque individu« .  Le ministre reprend ainsi l’analyse du rapport Colin et Collin sur la fiscalité du numérique. Toutefois, il ne va pas jusqu’à proposer de taxer les données personnelles, ce qui était la recommandation de ce rapport. Le gouvernement a promis de légiférer sur la fiscalité du numérique dans le budget 2014.

 




L'actu écologique |
bessay |
Mr. Sandro's Blog |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | astucesquotidiennes
| MIEUX-ETRE
| louis crusol