Archive pour le Tag 'délinquant'

Trump : un délinquant et un fou pour Biden

Trump :  un délinquant et un fou  pour Biden

«Pour la première fois dans l’histoire américaine, un ex-président qui est un délinquant condamné par la justice se présente à la présidence», a déclaré lors d’un événement de campagne dans le Connecticut Biden  le président démocrate, qui affrontera son prédécesseur à l’élection présidentielle le 5 novembre.

«Aussi perturbant que cela puisse être, son offensive tous azimuts sur le système judiciaire américain est encore plus néfaste», a ajouté Joe Biden, affirmant que la campagne était «entrée en terrain inconnu la semaine dernière». Pour le président démocrate, Donald Trump représenterait une menace encore plus grande pour la démocratie américaine s’il remportait à nouveau la Maison-Blanche en novembre. «Quelque chose s’est brisé dans ce gars-là pour de vrai» après sa défaite à la dernière présidentielle, a lancé Joe Biden. «Ça le rend littéralement fou», a-t-il ajouté.

« Il dit que s’il perd, il va y avoir un bain de sang en Amérique. Quel genre d’homme dit ça? »

Joe Biden

Joe Biden a également fustigé les déclarations de Donald Trump, affirmant dimanche qu’une condamnation à de la prison ferme pourrait être «un point de rupture» pour ses partisans. Ces propos ont une résonance particulière dans un pays encore marqué par l’attaque du Capitole le 6 janvier 2021, lorsque des partisans du républicain ont tenté d’empêcher la certification de la victoire à la présidentielle par Joe Biden. «Il dit que s’il perd, il va y avoir un bain de sang en Amérique. Quel genre d’homme dit ça?», a déclaré le démocrate lundi.

Le seul commentaire précédent de Joe Biden sur le verdict de culpabilité de Donald Trump était vendredi à la Maison-Blanche, quand il a déclaré que «nul n’est au-dessus des lois» - sans aller jusqu’à le qualifier de délinquant. L’équipe de campagne du démocrate joue depuis le début un numéro d’équilibriste autour des déboires judiciaires de Donald Trump – ne s’aventurant pas à l’attaquer frontalement sur ce sujet.

 

FÉMINICIDE EN MOSELLE: un réfugié politique délinquant responsable

FÉMINICIDE EN MOSELLE: un réfugié politique délinquant responsable

Le compagnon de la femme de 21 ans tuée de plusieurs coups de couteau en pleine rue lundi matin a été interpellé ce lundi à Hayange (Moselle), a-t-on appris cet après-midi par la police judiciaire dans un appartement de cette même ville, au domicile d’une de ses connaissances. Il s’agit d’un réfugiée politique kosovare.

L’homme a été placé en garde à vue pour « homicide par conjoint », et la personne qui l’hébergeait a aussi été placée en garde à vue pour « recel de malfaiteurs ». La police judicaire de Metz s’est saisie de l’enquête.

. L’homme de 23 ans est connu des services de police et avait été condamné en comparution immédiate à un an de prison ferme avec mandat de dépot le 26 novembre 2020 pour une somme de délits routiers graves (conduite sans permis, en état d’ivresse, excès de vitesse…).

Après une première demande d’aménagement de peine refusée par la justice, la fin de sa peine de prison avait finalement été aménagée, et il se trouvait donc sous bracelet électronique à domicile depuis le 12 mai dernier. Ce bracelet a été retrouvé coupé au domicile du couple.

Un délinquant tchétchène de Blois accusé d’ apologie du terrorisme

Un délinquant tchétchène de Blois accusé d’ apologie du terrorisme

Après la mort de Samuel Paty, un  homme d’origine tchétchène, né en Russie, et résidant à Blois a été identifié après des propos tenus sur un compte Twitter utilisant un pseudonyme. Il était déjà connu des services de la justice pour avoir été «condamné en 2017, lorsqu’il était mineur, pour des faits d’apologie d’actes terroristes, à la suite des attentats de Charlie Hebdo en janvier 2015»,.

Une perquisition à domicile a aussi permis de découvrir de nombreuses armes et couteaux. Il a été placé en détention provisoire

Meurtrier du professeur décapité: Russe , tchéchène, délinquant, et manipulé

Meurtrier du  professeur décapité:  Russe , tchéchène, délinquant, et manipulé

 

Le meurtrier du professeur de collège coche toutes les cases qui définissent le portrait moyen du terroriste. Il s’agit d’abord d’un étranger russe , au statut trouble de réfugié tchétchène, un petit délinquant et surtout un gamin de 18 ans manipulé évidemment. Ce qui n’est pas très compliqué compte tenu de son niveau scolaire et de son quotient intellectuel.

 

Bref toujours à peu près le même profil, un abruti, un primaire, un ignorant du concept de démocratie, un manipulable.  En outre il ne s’agit sans doute pas d’un acte isolé mais préparé si l’on en juge par les pressions dont a été victime de manière scandaleuse le professeur de la part de certains parents.

 

Des parents qui confondent sans doute la laïcité et les principes religieux pour intervenir et protester contre des programmes scolaires;  des parents qui sans doute se sont trompés de pays, doivent retourner chez eux s’ils sont étrangers ou se plier aux lois républicaines. D’une certaine manière, l’intéressé n’a pas pu agir seul dans la mesure où il ne fréquentait pas l’établissement scolaire et où il a bénéficié d’appuis de complices pour accomplir son crime vis-à-vis d’un professeur dont il ignorait tout.

Neuf gardes à vue sont en cours, parmi lesquelles deux concernent un parent d’élève et un autre homme s’étant plaints “avec virulence”, dans des vidéos et auprès du collège, de la présentation par le professeur de deux caricatures de Mahomet lors d’un cours sur la liberté d’expression quelques jours plus tôt, dans le cadre d’un débat sur leur publication par Charlie Hebdo, a précisé le procureur.

La demi-sœur de ce parent d’élève a rejoint l’organisation Etat islamique en 2014 en Syrie et elle est recherchée par la justice antiterroriste tandis que le deuxième homme est connu des services de renseignement, contrairement à l’auteur des faits, a souligné Jean-François Ricard.

“Ce qui s’est passé a des racines. Ces racines, c’est la haine et c’est la haine de la République. Il y a clairement des ennemis de la République, contre la République et donc contre l’école parce que l’école c’est la colonne vertébrale de la République”, a dit le ministre de l’Education.

Face à ce constat, il a annoncé que, outre l’hommage national au professeur tué, “il y aura un cadrage national strict, puissant, fort pour le travail éducatif et pédagogique que nous devrons faire avec tous nos élèves” à partir de la rentrée, lors de laquelle une minute de silence devrait être observée en hommage à la victime.

Il s’agira de faire en sorte “que chaque enfant comprenne qu’il a de la chance d’être un enfant de France, la chance d’être à l’école de la République, la chance aussi de pouvoir vivre en démocratie et en République”.

S’adressant aux parents, Jean-Michel Blanquer a lancé un appel à “l’unité du monde adulte” pour la défense des valeurs de la République, notamment la “laïcité qui est synonyme de liberté, parce que c’est la laïcité qui est le socle de nos valeurs et qui nous permet de faire valoir l’ensemble des autres principes de liberté, d’égalité et de fraternité”.

Attentat de Berlin : encore l’acte délinquant, d’un violent et d’un fou

Attentat de Berlin : encore l’acte délinquant, d’un violent et d’un fou

Des experts vont sans doute tenter de trouver des explications complexes pour comprendre l’attentat de Berlin. Pourtant les facteurs explicatifs sont simples. Comme la plupart du temps, l’auteur est un délinquant et un  violent qui grâce à l’idéologie fondamentaliste a trouvé une légitimité à ses actes fous. Le monde est rempli de ces marginaux mal dans leur peau qui ont à peu près tout raté dans leur vie et qui d’un coup ce convertissent  à l’islamisme radical sans d’ailleurs bien comprendre les fondements théologiques. Des individus souvent incultes, agressifs, des marginaux dans les crimes sont sublimés par une théorie religieuse démente.  Petit délinquant, le Tunisien se serait radicalisé en prison avant d’adhérer aux théories les plus fondamentalistes de l’Islam et de faire de l’Allemagne sa cible. Voici ce que l’on sait de cet homme à partir des éléments de portraits publiés dans la presse internationale ou dans les fils d’agences. Né en 1992 en Tunisie, il a grandi dans un milieu religieux conservateur, affirme Die Welt. Issu d’une famille modeste, il passe une partie de sa jeunesse à Oueslatia, ville de 8000 habitants dans le centre du pays. Elle est située à 60 km de Kairouan, quatrième ville sainte de l’Islam. Il aurait quitté l’école à 15 ans, avant d’enchaîner les petits boulots, toujours selon le quotidien allemand. Peu à peu, le jeune homme tombe dans la petite délinquance. En 2008, il est condamné une première fois à un an de prison pour consommation de cannabis, rapporte Le Monde. En 2010, alors qu’il a 18 ans, Anis Amri a de nouveau affaire à la justice. Cette fois-ci, il est condamné à quatre ans de prison pour vol et cambriolage. Mais en pleine «révolution du Jasmin», il profite du désordre ambiant pour quitter le pays, après la chute de Zine el-Abidine Ben Ali. Début 2011, le jeune homme embarque sur un bateau clandestin pour rejoindre la petite île italienne de Lampedusa, en Italie. Là, il ment sur son âge et se fait passer pour un mineur non accompagné avant d’être transféré en Sicile. Outre sa condamnation, «Anis est aussi parti pour fuir la misère. Il n’avait aucun avenir en Tunisie et il voulait améliorer la situation financière de notre famille», plaide l’un de ses frères Abdelkader, interrogé par l’AFP. Mais en Italie, il bascule de nouveau dans la délinquance. Il est arrêté et condamné pour des actes de violence, incendie criminel, agression et vol. Il écope de quatre ans de prison. C’est sans doute derrière les barreaux qu’il s’est radicalisé, selon la presse italienne. À sa sortie, les autorités italiennes cherchent à le renvoyer dans son pays d’origine. En vain. Faute de papiers, la Tunisie refuse de le reprendre. L’Italie lui ordonne quand même de quitter le territoire et celui-ci rejoint l’Allemagne en juillet 2015.

Fitch abaisse la note souveraine de la Belgique

« L’innocent » logeur des terroristes : un délinquant dangereux

« L’innocent »  logeur des terroristes : un délinquant dangereux

 

Le logeur des terroristes Jawad Bendaoud, qui affirme être complètement étranger aux attentats, s’être simplement borné « à rendre service » est en fait  un dangereux délinquant. Mercredi dernier, il avait déclaré juste avant son arrestation en direct sur BFMTV avoir simplement «rendu service» en mettant ce logement à disposition pour une durée de «trois jours». «J’ai dit qu’il n’y avait pas de matelas, ils m’ont dit “c’est pas grave”, ils voulaient juste de l’eau et faire la prière», expliquait cet étrange logeur, depuis abondamment brocardé sur Internet pour sa supposée naïveté. Dans son quartier, on le décrit surtout comme «un chef de rue» condamné en 2008 à huit ans de prison pour avoir tué à coups de hachoir un adolescent de 16 ans pour une obscure histoire de portable, déjà dans la rue du Corbillon, décidément mal famée. «Il est à la fois bête, violent et dangereux», explique-t-on à la mairie de Saint-Denis, où l’incroyable aplomb du malfrat devant la télévision a fait rire… jaune. Son palmarès judiciaire que nous nous sommes procurés est particulièrement chargé. A part ses années de prison pour coups mortels entre 2008 et 2013, il cumule 13 condamnations depuis 2010: stupéfiants, détention d’armes aggravée en réunion, faux et usage de faux, conduite en état d’ivresse et sous l’emprise de stupéfiants, violences conjugales, violences aggravées en réunion. Il a ainsi été condamné à six mois d’emprisonnement le 1er mars 2014 pour violence aggravée avec armes à Saint Denis. Puis en avril 2014 alors en détention, il est condamné pour détention de stupéfiants, appel anonyme, faux, et recel. Le 25 janvier 2015, il est condamné à 10 mois d’emprisonnement pour dégradation aggravée en réunion et détention d’armes aggravée en réunion à Aubervilliers. En août 2015, il a été condamné pour violences conjugales à une mesure alternative… Jawad Bendaoud aurait été l’objet de mains courantes déposées par des riverains excédés par ses menaces verbales. L’appartement appartient à trois frères, domiciliés au Raincy et au Blanc-Mesnil. «Marchands de sommeil» notoires, propriétaires de deux autres appartements dans l’immeuble et de dizaines d’autres en Seine-Saint-Denis, les I. avaient été signalés au procureur de la République de Bobigny en 2011 et 2013. Sans résultat selon la mairie. À sa sortie de prison, en septembre 2013, Jawad Bendaoud, vite devenu «le caïd» de la rue du Corbillon, est mêlé à ces multiples trafics, selon plusieurs riverains. Il est aussi «l’homme de main» des trois frères marchands de sommeil. Ces derniers le chargent de trouver des locataires «au noir» qui payent en liquide puisqu’ils n’ont plus l’autorisation de louer. À lui de sélectionner des sans-papiers, des personnes en détresse mais aussi des trafiquants ou consommateurs de drogue qui restent quelques jours ou quelques semaines. Il n’hésite pas à employer la manière forte pour les déloger lorsque ceux-ci ont un retard de loyer. Enfin, il aurait été l’objet de mains courantes déposées par des riverains excédés par ses menaces verbales.

Coulibaly : portrait d’un délinquant « ordinaire »

Coulibaly : portrait d’un délinquant «  ordinaire »

Due certaine manière Coulibaly est assez représentatif de ces djihadistes de banlieue qui sont essentiellement des délinquants puis se radicalisent avec la religion pour donner une légitimité à leur mal être et à leur violence. Des marginaux, souvent incultes,  qui n’acceptent en fait aucune règle  et découvrent les vertus du fondamentalisme qui justifie tout,  même l’horreur. Coulibaly a vécu dans  cité HLM fondée il y a cinquante ans, séparée du reste de Grigny par le passage de l’autoroute A6. La Grande Borne, qui héberge quelque 13.000 habitants, a vu grandir Amédy Coulibaly, le preneur d’otage du magasin casher de la Porte de Vincennes. C’est là que Le Parisien est allé à la rencontre de ses proches. Loin  de l’image du terroriste que l’on a de lui aujourd’hui, le jeune Amédy Coulibaly avait tout de l’enfant « normal ». Au début des années 90, à la grande époque de Jackie Chan, il se prend de passion pour la boxe thaïe. il fréquente même un club fondé par un champion birman de la discipline. Mais l’aventure ne dure qu’un temps : « trop de règles, trop de rigueur pour lui. Ceux qui sont restés ont tous filé droit », se remémore un de ses anciens camarades de boxe. A la place, Amedy traîne dans les rues. Elève moyen, il sèche souvent les cours du collège Olivier-de-Serres. Bientôt, il se lance dans les braquages. En mai 2000, rapporte Le Parisien, il dévalise avec deux autres personnes un magasin de sport. Mais les policiers les attendent à la sortie, et la course-poursuite prend fin quand la voiture des braqueurs effectue une sortie de route au beau milieu d’un pont et finit sa chute cinq mètres plus bas. Bientôt, il est arrêté par la police et envoyé en prison. A sa sortie, loin de revenir sur le droit chemin, il reprend ses activités de braqueur. Selon les enquêteurs, c’est à cette époque-là qu’il se radicalise. Sans en parler autour de lui : « Si on m’avait dit ‘Tiens, il y a Amedy qui est en train de faire la Banque de France’, je n’aurais pas été surpris. Mais quand j’ai vu qu’il tuait des gens qui faisaient leurs courses, ça a été l’incompréhension », raconte un de ses proches. Que fait Coulibaly de l’argent de ses braquages? mystère. « Il n’a jamais eu la dernière paire de pompes à la mode ou une voiture flamboyante. Je me demande bien ce qu’il a fait de l’argent, à part payer ses avocats », s’interroge un de ses voisins. Un temps, pourtant, il semble vouloir se réinsérer. En 2008, il est décroche chez Coca-Cola un contrat de qualification. Un poste qui lui vaudra même, à l’été 2009, d’être invité à l’Elysée, en même temps que 499 autres jeunes. Mais l’affaire tourne court : en 2010, il est renvoyé en prison, pour avoir participé au projet d’évasion d’un des auteurs des attentats de 1995. Il n’en sortira qu’en 2014.

 




L'actu écologique |
bessay |
Mr. Sandro's Blog |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | astucesquotidiennes
| MIEUX-ETRE
| louis crusol