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Présidentielle : Fin du PS…..Delanoë pour Macron

Présidentielle : Fin du PS…..Delanoë pour  Macron

 

 

Le PS  n’en finit pas de mourir avec les ralliements successifs d’anciens responsables qui vont manger dans la gamelle de Macron par intérêt et surtout par manque total de conviction. La plupart de ces responsables partageaient en commun une sorte d’idéologie molle comme les montres de Dali se contentant de faire de l’objectif du pouvoir la seule doctrine. Et une fois au pouvoir en reproduisant à peu près ce que la droite pratiquait. Bref le même destin que Guy Mollet avec le PS de Mitterrand.

 

En cause le faite de la confiscation du pouvoir socialiste par une petite bande d’oligarques et d’arrivistes qui n’ont jamais été représentatifs des couches populaires voir même moyennes.  L’ancien maire de Paris votera pour Emmanuel Macron . La manière dont le chef de l’État gère les dossiers européens et la guerre en Ukraine a conforté Bertrand Delanoë dans son choix. En petit comité, il résume : « J’ai voté pour lui en 2017 en espérant qu’il soit un bon président, je vote pour lui en 2022 en sachant qu’il sera un bon président. »

Le choix de Bertrand Delanoë de soutenir le président sortant plutôt que son ancienne protégée, Anne Hidalgo , n’est plus vraiment une surprise. L’ancien édile avait déjà annoncé en 2017 , un mois et demi avant le scrutin, son soutien à Emmanuel Macron, qu’il voyait comme le « candidat qui pourra battre Marine Le Pen ». A l’époque, le positionnement à gauche du candidat PS, Benoît Hamon, ne lui convenait guère.

Delanoë pour Macron

Delanoë pour  Macron

Macron continue d’engranger les ralliements, cette fois il s’agit d’une  très grosse prise :   l’ancien maire de paris qui en même temps rompt avec les options gauchistes d’Anne Hidalgo.  l’ancien maire PS de Paris appelle  à «donner le maximum de force au premier tour au candidat qui peut battre Mme Le Pen». «Le candidat qui se rapproche le plus de mes convictions de socialiste, réformiste, européen, réaliste, c’est Emmanuel Macron», a-t-il ajouté. «Je n’appartiens pas à En Marche!, je n’appartiens pas à l’équipe d’Emmanuel Macron, je l’aiderai dans la liberté», a précisé l’ex-édile socialiste, en se défendant fermement de briguer un poste par ce ralliement. Il a ensuite détaillé les raisons qui l’avaient poussé à faire ce choix: «L’avantage du programme d’Emmanuel Macron, c’est qu’il est sérieux et crédible sur le plan économique et donc il rend possible des progrès sociaux (…) que ce soit sur la protection des chômeurs, sur les minimas sociaux, sur la protection des plus faibles». Interrogé sur le programme du candidat PS Benoît Hamon, il l’a au contraire jugé «dangereux parce qu’il ne rassemble pas la gauche et parce qu’il est philosophiquement, dans le rapport au travail, dans le rapport à l’Europe (…), pas en mesure de produire du progrès social». Il s’est toutefois empressé de préciser qu’il «ne (dirait) jamais de mal de la personne de Benoît Hamon». «Je suis ami avec lui depuis bien plus longtemps que je ne connais Emmanuel Macron», a-t-il encore tenu à souligner. Avec ce soutien à Emmanuel Macron, Bertrand Delanoë marque une rupture claire avec Anne Hidalgo, qui soutient Benoît Hamon et a croisé le fer à de très nombreuses reprises avec l’ancien ministre de l’Économie. «Ce n’est pas un candidat de gauche», dit-elle de lui, l’accusant d’avoir un programme «très proche de celui de François Fillon sur beaucoup d’aspects». Assurant rester «solidaire de ce que fait la maire de Paris aujourd’hui», son prédécesseur a toutefois assumé sa divergence avec «une femme libre».

Delanoë veut un pôle métropolitain parisien ; pourquoi pas national ? Ou la griserie du toujours plus grand !

Delanoë veut un pôle métropolitain parisien ; pourquoi pas national ? Ou la griserie du toujours plus grand !

 

 

Regrouper toutes les communes autour de Paris, un grand Paris ; une métropole de 12 millions d’habitants, le rêve pour un gouvernant local ; en faiat qui ne gouverne rien mais qui le croît ; Le gigantisme, il n’y a que cela de vrai (même si ça existe à l’étranger, ce n’est pas une raison pour y tomber) ; Alors raisonnons, pour quoi une métropole de plus de 60 millions d’habitants qui couvrirait toute le territoire national ? D’énormes économies à attendre, suppression des 36 000 communes, des cantons, du département, des régions et même du gouvernement et du parlement. A  titre personnel, je suis pour car j’en ai marre de me faire traiter de bouseux parce que j’habite une petite commune en province ; moi aussi je veux être parisien, faire partie des bobos ; teins même prêt à fumer un jour un pétard dépénalisé pour être dans le coup.  Finalemenet, il a raison Delanoë, il faut concentrer. Bertrand Delanoë  milite depuis plus de dix ans pour une nouvelle gouvernance qui engloberait la région, Paris et les départements peuvent désormais compter sur un gouvernement « plus favorable » à son projet. Jusqu’à présent, contrairement à d’autres métropoles, Paris, à cause de son statut particulier, ne peut se regrouper avec d’autres villes. Bertrand Delanoë espère donc profiter de l’acte III pour mettre fin à ce particularisme. « J’ai toujours dit que j’étais favorable à la création d’un pôle métropolitain parisien sur le modèle de ce qui existe en province », a insisté Bertrand Delanoë. Paris Métropole, créée il y a trois ans en réaction au Grand Paris, et qui regroupe 202 collectivités franciliennes, sert de tremplin au projet métropolitain. C’est sous son égide que seront organisés une vingtaine de débats publics jusqu’à fin novembre, qui permettront d’élaborer un Livre blanc en vue du projet de loi sur la décentralisation.  « On espère que la quinzaine de communes qui ne sont pas présentes dans Paris Métropole adhéreront au pôle », déclare Pierre Mansat, adjoint chargé de Paris Métropole. Cette future structure métropolitaine, qu’il voit représenter 12 millions d’habitants, serait dotée des compétences du logement, du Samu social, et de la péréquation financière. Certains verraient bien Bertrand Delanoë, qui sera libre en 2014 à la fin de son mandat municipal, prendre la présidence de ce pôle.  Reste à déterminer comment se partageront les rôles de cette nouvelle structure avec Paris, les départements et surtout le conseil régional. Depuis trois ans, Bertrand Delanoë et le patron (PS) de la région, Jean-Paul Huchon, ont mis leurs divergences de côté pour être davantage audibles dans le débat du Grand Paris. Et ils y sont parvenus.  Aujourd’hui, la région est du côté du gouvernement. Ce dernier a une opportunité unique d’ancrer le Grand Paris à gauche. Son prédécesseur avait renoncé à la réforme, en partie parce que cette structure aurait été dominée par une majorité socialiste.

 

 




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