Archive pour le Tag 'déjà'

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Covid Brésil : déjà 450.000 morts

Covid Brésil : déjà 450.000 morts

.Au total, 452.031 décès ont été recensés depuis mars 2020, dont 2173 lors des dernières 24 heures, des chiffres officiels largement sous-évalués selon les spécialistes. En outre le pays est menacé par le variant indien.

Ce pays de 212 millions d’habitants, le deuxième le plus endeuillé au monde derrière les Etats-Unis, compte aussi 16 millions de cas confirmés de contaminations, dont plus de 73.000 en une seule journée. La moyenne de décès quotidiens sur sept jours, qui était supérieure à 3000 à la mi-avril, est passée sous les 2000 un mois plus tard, pour rester stable autour de 1900 depuis dix jours.

Mais ce qui préoccupe le plus les épidémiologistes est la hausse constante de la moyenne d’infections quotidiennes depuis le début du mois de mai avec son impact prévisible sur le nombre de morts dans les semaines à venir.  La responsabilité directe du Brésil est engagée du fait de l’ineptie de sa politique sanitaire.

Covid-19 : un vaccin Sanofi déjà dépassé pour la fin de l’année

Covid-19 : un vaccin Sanofi déjà dépassé pour la fin de l’année

Le laboratoire français allié au britannique GSK promet un vaccin pour la fin de l’année après plusieurs expérimentation. Le seul problème c’est qu’il ne sera pas forcément efficace contre tous les variants, ce qui témoigne du retard technologique du labo.

 

« C’est une de ses limites », pointe Frédéric Bizard, économiste de la santé, président-fondateur de l’Institut santé, interrogé par franceinfo. Ce vaccin a en effet été testé contre la souche d’origine et contre le variant identifié en Afrique du Sud, et non contre la souche dominante identifiée en Angleterre ou encore celle apparue en Inde.

 

« Là, on a un vaccin qui est un vaccin de première génération et qui va vraiment arriver avec un rôle complémentaire, qui risque d’avoir quand même un rôle assez secondaire sur le plan de la protection réelle des populations », poursuit Frédéric Bizard.

Covid: le variant indien déjà dans 17 pays au moins (OMS)

Covid: le variant indien déjà dans 17 pays au moins (OMS)

Le variant indien serait déjà dans 17 pays au mois dont la Belgique, la Suisse, la Grèce, l’ Italie (OMS). Le ministre de la santé français a assuré qu’il n’avait pas été encore constaté dans l’Hexagone.

 «le variant indien B.1.617 a un taux de croissance plus élevé que les autres variants en circulation en Inde, ce qui suggère une plus grande contagiosité». L’OMS a récemment classifié ce variant comme un «variant d’intérêt» et non pas «un variant préoccupant». Or, cette dernière appellation indiquerait que ce variant est plus dangereux (plus grande contagiosité, plus mortelle et capable d’échapper aux immunisations vaccinales).

 

L’Inde fait face à une explosion des cas, battant lundi un record mondial de 352.991 nouvelles contaminations et un record national de 2.812 décès, faisant par la même occasion grimper le nombre total de cas dans le monde à 147,7 millions. 

Régionales: prendre des assesseurs déjà vaccinés

Régionales: prendre des assesseurs déjà vaccinés

 

 

Alors que certains réclament un plan d’urgence de vaccination des futurs assesseurs pour les élections régionales, il serait sans doute plus pertinent non  pas de faire la liste des personnes à vacciner mais d’effectuer la liste de ceux qui le sont déjà. On doit facilement trouver des assesseurs parmi les 11 millions de personnes bénéficiaires déjà d’un vaccin. En outre en mai, on approchera des 15 millions de vaccinés. Dans son rapport sur l’organisation du scrutin publié fin mars, le Conseil scientifique écrit qu’il «est désormais recommandé de solliciter des personnes vaccinées (vaccination complète)» pour tenir les bureaux de vote. Faute de mieux, les auteurs évoquent le recours à «des tests antigéniques ou autotests»«Pour que les effets de la vaccination complète soient effectifs le jour du vote, il faudrait commencer à les vacciner d’ici deux ou trois semaines», considère certains membres de l’opposition. En France on a déjà multiplié les plans de vaccination selon les catégories et selon les tranches d’âge. Le seul problème c’est qu’on manque de dose et que tous ces plans sont contrariés par les réalités du terrain. Il y a sans doute d’autres priorités que de vaccinées les futures assesseurs. Il y a déjà un réservoir suffisant de personnes vaccinées. Si un nouveau plan est nécessaire il devrait concerner les personnes occupant des postes de seconde ligne ( enseignants, personnel médical ou social, caissière des grands magasins etc.)

Vacances d’été : déjà remises en cause

Vacances d’été : déjà remises en cause

Le ministre Clément Beaune prépare déjà le terrain en annonçant qu’il n’est pas du tout certain que les vacances d’été se déroulent normalement. Pourtant le gouvernement avait bien indiqué que les mesures restrictives seraient limitées à quatre semaines, qu’elles devaient donc se terminer avant fin mai.

La vérité sans doute ce qu’elles seront prolongées au moins d’un mois en juin puis a nouveau déclarées encore nécessaires au cours de l’été. Par exemple, le ministre a indiqué que les déplacements à l’étranger pourraient être strictement limités

Ce qu’a déclaré dimanche le secrétaire d’État chargé des Affaires européennes, Clément Beaune.

« Moi, aujourd’hui, je ne sais pas vous dire à partir de quand on pourra reprendre des voyages en Europe », a expliqué Clément Beaune sur RTL et LCI. « J’espère qu’on pourra le faire cet été. »

 

Clément Beaune a souligné qu’un éventuel assouplissement de ces mesures devait être coordonné à l’échelle européenne. « On est le premier pays touristique au monde, il faut qu’on puisse, le moment venu, ré-accueillir des gens mais on ne le fera pas si ça met en risque notre situation sanitaire », a-t-il dit. « On fait tout pour que les déplacements d’abord entre régions françaises, puis en Europe j’espère avant l’été, et puis plus largement au cours de l’été puissent reprendre, mais je ne peux pas vous donner aujourd’hui un calendrier précis ».

Stellantis supprime déjà une usine en France et transfère en Hongrie

Stellantis supprime déjà une usine en France et transfère en Hongrie

A peine créé, le nouveau conglomérat qui regroupe Peugeot (ex PSA) et Fiat décide de fermer l’usine Stellantis (ex-PSA) à Douvrin (Pas-de-Calais) . L’usine de la production d’un moteur essence sera délocalisée en Hongrie, le site français concerne 1500 salariés.

Selon les syndicats, l’usine risque de ne plus avoir de production d’ici à 2025, avec le probable arrêt du moteur diesel en 2023 et la délocalisation annoncée fin février de la production des moteurs essence EP génération 3 vers l’usine Opel de Szentgottard, en Hongrie, en 2023. « Sans cette production-là, on sera contraint de fermer l’usine. La délocalisation sonne la fin pour nous », prédit Joël Petit (CFDT). « PSA a fait subir des accords de compétitivité, et finalement à peine Stellantis créée, la direction annonce la délocalisation » du moteur EP, s’insurge Régis Scheenaerts, de la CGT, qui n’était « pas signataire ».

« Ce qui se dessine, c’est la mort programmée de la Française de mécanique » (ancien nom de l’usine). De l’usine sort actuellement un troisième moteur, celui à essence EB, également produit dans d’autres sites du groupe. En juin, la direction doit annoncer où sera produit sa nouvelle génération. « La production d’un nouveau moteur sur ce site est indispensable si nous voulons préserver les emplois : @StellantisFR doit s’y engager ! », a tweeté le président du conseil régional Xavier Bertrand (ex-LR), candidat à sa propre succession, mais aussi à la présidentielle.

Pas de taxe de l’épargne….C’est déjà fait

Pas de taxe de l’épargne….C’est déjà fait

 

 

Le ministre de l’économie a déclaré qu’il ne voulait pas taxer l’épargne. En fait , c’est déjà fait puisque le livret A par exemple ne rapporte que 0.5% quand l’inflation officielle est de 1%  % (en réalité entre 2 et 3% car l’indice des prix de l’INSEE est devenu complètement obsolète depuis la crise sanitaire).

Parmi les pistes évoquées pour inciter les Français à libérer leur épargne, le ministre de l’Economie a préconisé une fiscalité nulle pour les donations de « quelques milliers d’euros » afin de « permettre à des grands-parents de soutenir leurs petits-enfants ».

« Donner quelques milliers d’euros à son petit-fils ou sa petite-fille, pour moi ce n’est pas une politique pour les riches, c’est une politique de justice pour les classes moyennes, pour la solidarité entre générations », a déclaré Bruno Le Maire.

« Ce sera un plafond réduit », a-t-il ajouté. « Zéro taxe, zéro impôt pour quelques milliers d’euros, pas plus. Il ne s’agit pas de faire sauter les plafonds, de faire une politique qui bénéficierait uniquement aux catégories les plus aisées de la population française. »

La mesure sera arbitrée dans les jours qui viennent, a-t-il précisé.

Covid-19 : des Français déjà contaminés en novembre 2019

Covid-19 : des Français déjà contaminés en novembre 2019 

Ils étaient porteurs du virus dès novembre 2019 sans le savoir. Treize Français ont été testés positifs a posteriori par des chercheurs de l’Inserm. Ils ont trouvé des anticorps dans des prélèvements sanguins effectués dès novembre 2019. mais les contaminés  été avisé qu’en septembre 2020. certains ont présenté les symptômes du Covid, d’autres étaient assymtomatiques.  Témoignages exclusifs de ces nouveaux patients zéro recueillis par la cellule investigation de Radio France.

Quand on leur a fait un prélèvement de sang en novembre et décembre 2019, ils étaient loin de se douter qu’ils étaient porteurs du SARS-CoV-2, et qu’ils deviendraient les premiers Français contaminés bien avant le déclenchement de l’épidémie. C’est en effet près d’un an plus tard, en septembre 2020, qu’ils ont appris qu’ils avaient été infectés. Le professeur Fabrice Carrat, directeur de l’Institut Pierre-Louis d’épidémiologie et de santé publique (Inserm, Sorbonne Université), a eu l’idée d’analyser 9 000 échantillons de sang prélevés sur des participants de la cohorte Constances*. « Depuis 2018, on propose à des volontaires de participer à la mise en place d’une biobanque, explique Marie Zins, la directrice scientifique de ce projet. Ils acceptent que des échantillons de leur sang et de leurs urines soient congelés dans des grandes cuves d’azote pour des recherches ultérieures. Avec le professeur Carrat, nous nous sommes dit que ce serait intéressant de retrouver des traces du virus, c’est-à-dire la présence d’anticorps entre le mois de novembre 2019 et le mois de mars 2020. »

Les 9 000 échantillons de sang des participants ont donc été testés, ce qui a permis d’identifier 176 cas positifs. Un second test, réputé fiable et plus spécifique, a ensuite permis d’éliminer les faux positifs pour n’en retenir plus que treize, dont une dizaine qui avaient été prélevés en novembre et décembre 2019 (voir ici le rapport de l’étude publiée le 6 février 2021). Puis, les personnes ont répondu à des questionnaires qui ont permis d’en savoir plus sur les circonstances de leur infection.

 

Ces cas  appellent plusieurs questions :

1 – Le virus circulait-il en Chine ailleurs qu’à Wuhan avant le début de l’épidémie ? C’est possible, puisque le voyageur français qui a été contaminé dans ce pays ne s’est pas rendu à Wuhan. Il peut cependant avoir été contaminé, par exemple, par une personne qui, elle, venait bien de Wuhan. Néanmoins, le professeur Carrat de l’Inserm « ne pense pas que tout soit né à Wuhan. »

« Ce qui est né à Wuhan, c’est le virus qu’on connaît en France et qui a donné cette pandémie. Ça ne veut pas dire que le virus n’était pas là avant. Il circulait. »

Professeur Carrat (Inserm)  à franceinfo

2 – Si le virus était présent dans d’autres régions en octobre ou novembre 2019, comment expliquer que l’épidémie ait démarré à Wuhan ? Fabrice Carrat émet l’hypothèse que si le virus circulait dans d’autres endroits en Chine, c’est bien à Wuhan qu’il aurait muté pour devenir plus contagieux : « Le virus qui a infecté le couple de voyageurs français en Chine était peut-être un variant qui se transmettait moins bien que celui qui est arrivé le 8 décembre à Wuhan. Et surtout, c’est sans doute un variant qui donnait un peu moins de formes graves« , explique-t-il. Mais pour le professeur, il s’agissait bien du même virus : « Ce n’était pas un coronavirus saisonnier comme ceux qu’on a l’habitude de détecter dans les épidémies hivernales. C’était vraiment le SARS-CoV-2, mais c’était peut-être un variant précurseur à celui qui a donné l’épidémie mondiale. »

3 – Si le virus est arrivé dès le mois de novembre ou d’octobre, pourquoi l’épidémie n’a-t-elle pas démarré plus tôt ? Pour Florence Débarre, qui fait de la modélisation en biologie évolutive au CNRS, les cas n’étaient peut-être pas suffisamment nombreux pour faire démarrer une épidémie. « Si les cas révélés par les travaux du professeur Carrat sont de vrais positifs, il est possible qu’il y ait eu quelques cas, mais que cela se soit arrêté par l’effet du hasard. On a dit qu’une personne en affecte trois en moyenne. Mais c’est une moyenne. Certaines n’infectent personne, alors que d’autres en infectent beaucoup. Donc la probabilité qu’un premier cas donne naissance à une épidémie est relativement faible. »

4 – Enfin, si le virus circulait en France plusieurs mois avant le début de la pandémie, est-il possible que ce virus ne soit pas venu de Chine ? « L’hypothèse la plus probable est que le berceau de la naissance du SARS-CoV-2 soit bien la Chine, explique le professeur Jean-Claude Desenclos, épidémiologiste et ancien directeur scientifique à Santé publique France. L’ancêtre du SARS-CoV-2 le plus proche a déjà été identifié en 2013 en Chine. Donc, tout cela fait un faisceau d’arguments qui rend cette hypothèse la plus vraisemblable. »

*La cohorte Constances est la plus grande cohorte épidémiologique suivie actuellement en France avec 220 000 individus suivis sur le long terme. Elle a été lancée en 2012 et financée par le programme d’investissements d’avenir de l’État. L’objectif est de comprendre quels sont les facteurs qui augmentent les risques de maladie des participants – tous volontaires – comme l’environnement ou le travail.

 

Vaccinations États-Unis : déjà 100 millions réalisées

Vaccinations États-Unis : déjà 100 millions réalisées 

les États-Unis ont été l’un des pays les plus touchés, ils ont aussi connu l’un des plus forts taux de mortalité. Mais depuis l’arrivée de Biden et de son plan massive de vaccination, la situation s’est nettement améliorée. Biden avait annoncé 100 millions de vaccinations en 100 jours. Cet objectif est d’ores et déjà dépassé en particulier grâce à la production sur place des doses nécessaires. Au total environ 20 % de la population est déjà protégée contre 6 à 7 % en France et en Allemagne.

L’objectif aux États-Unis et d’autoriser la vaccination de tous les Américains d’ici début mai. En Europe et en France en particulier on est loin du compte en dépit des promesses car le volontarisme des discours est handicapé par les retards de livraison des doses nécessaires.

Vote par anticipation: déjà mort

Vote par anticipation: déjà mort

 

À peine évoqué le projet de vote par anticipation a été rejeté par le Sénat. En cause, une proposition du gouvernement surprise et mal ficelée. Surtout le fait que cette question n’a pas réellement fait l’objet d’un débat démocratique suffisant. Il pourrait y avoir aussi des obstacles juridiques avec notamment un rejet du conseil d’État et du conseil constitutionnel. En effet les votants pourraient n’être pas dans les mêmes conditions démocratiques si par hasard se produisait un événement important entre le début autorisé du vote par anticipation et la date du vote général. En outre les facteurs explicatifs de cette proposition n’ont pas été clairement miss en lumière. Subsiste en outre une grande confusion entre le vote par correspondance, par voie numérique et le vote par anticipation.

 

L’exécutif aurait voulu que cette initiative ne voie jamais le jour qu’il ne s’y serait pas pris autrement. Mardi, à la surprise générale, un amendement du gouvernement permettant le vote par anticipation a été déposé au Sénat, où le projet de loi organique relatif à l’élection présidentielle est examiné. Et ce après avoir écarté, depuis plusieurs mois, toutes les propositions des parlementaires destinées à simplifier ou à adapter les modalités de vote au contexte sanitaire. Le MoDem avait par exemple proposé dès le second tour des élections municipales d’ouvrir la voie au vote par correspondance, et a relancé le sujet à la fin de l’année. Le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, avait sèchement fermé la porte.

Coronavirus : envisager déjà une quatrième vague ?

Coronavirus : envisager déjà une quatrième vague ? 

 

Un collectif de médecins et d’aidants détaille, dans une tribune au « Monde », les mesures pratiques qui permettraient, si elles étaient prises dès à présent, d’éviter que la situation de « stop and go » vécue en France se perpétue. Il reproche aux pouvoirs publics trop de verticalité et pas assez d’appui sur la société civile.

La troisième vague est là. Le gouvernement temporise, espérant éviter la déferlante. Faute d’indicateurs pouvant faire changer la décision, celle-ci suscite l’inquiétude. Le président « a pris son risque », selon son expression. Il faudrait qu’il le gagne car « son risque » est celui des malades et des soignants.

 

De multiples instances expertes s’empilent et prodiguent leurs avis. La décision gouvernementale s’impose, entre santé publique, sondages d’opinion et risques sociaux ou économiques. La population adhère plus ou moins aux injonctions et les exécute plus ou moins. Mais, hors régime dictatorial, il est impossible de contrôler le comportement de 66 millions d’habitants. Pourtant, il est aisé de comprendre qu’il faut l’adhésion de la population aux décisions pour espérer qu’elles soient mises en œuvre au mieux.

Modifications comportementales et collectives

Les polémiques sur le Covid-19, sa prévention, son dépistage et son traitement se multiplient depuis un an, rendant plus difficiles les nécessaires modifications comportementales collectives et la tolérance à des décisions verticales ou infantilisantes.

Les chaînes d’information en continu apportent leur pierre à l’édifice de la confusion, se faisant chambres d’écho d’affrontements, et parfois de rumeurs, à longueur d’antenne. Tous les experts conviennent néanmoins qu’il faut tester, identifier, remonter les contacts (tracer) puis isoler. Même si des communicants ont opté pour le terme « protéger », il s’agit bien d’isoler les personnes infectées pour interrompre les chaînes de contamination.

« L’adhésion aux tests est bonne mais le “traçage” et l’isolement semblent très imparfaits, voire inexistants »

L’adhésion aux tests est bonne mais le « traçage » et l’isolement semblent très imparfaits, voire inexistants. Le professeur Renaud Piarroux, épidémiologiste à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière, avait mis sur pied des équipes mobiles se déplaçant aux domiciles des personnes identifiées porteuses du SARS-CoV-2. Elles ont rapidement été renommées « brigades ». Le glissement sémantique est significatif…

Arctique : le combat déjà perdu ?

Arctique  : le combat déjà perdu ?

 

Dans le cas de la conférence annuelle Arctic Frontiers se posera à nouveau le devenir environnemental bien sûr mais aussi économique et militaire du bonheur. Sur le plan écologique, une dernière publication scientifique de l’université de Leeds affirme que 28.000 milliards de tonnes de glace ont fondu entre 1994 et 2017.

Sur le plan militaire les Russes ont profité des errements de trame. Mais l’héritage sécuritaire de l’ère Trump ne risque pas d’être remis radicalement en question. « Avec Trump, les Américains ont réussi à amplifier leurs capacités militaires face aux ogres russe et chinois, poursuit Mikaa Mered. Et ce n’est pas quelque chose que Joe Biden va modifier. » De fait, la Russie a bien remilitarisé l’Arctique en y construisant 14 nouvelles bases depuis dix ans. Et la Chine, qui aujourd’hui n’a pas de porte-avions nucléaire, est bien partie pour mettre à l’eau en priorité son premier brise-glace nucléaire. Enfin sur le plan économique les forages de produits pétroliers notamment vont continuer.

Les labos réduiront des livraisons déjà très insuffisantes

Les labos réduiront des livraisons déjà très insuffisantes

 

L’union européenne qui avait déjà fortement sous-estimé les besoins en vaccins formulés cet été a été informée par plusieurs laboratoires dont AstraZeneca  que les livraisons seront encore inférieures aux prévisions.

En cause, le fait que la demande mondiale ne cesse d’augmenter sous l’effet de la nouvelle remontée de la pandémie et que les prévisions européennes ont été formulées à un moment où on espérait la sortie du tunnel vers septembre. Au lieu de cela , le Coronavirus a repris de la force notamment sous l’effet de la percée des variants britanniques, sud-africains et brésiliens.

Il y a une double inadéquation de l’offre à la demande notamment en France où nombre de centres de vaccination ne servent strictement à rien et ont d’ailleurs arrêté les inscriptions pour demande de rendez-vous.

“Les volumes initiaux seront inférieurs à ceux qui étaient prévus en raison d’une baisse des rendements sur un site de production au sein de notre chaîne d’approvisionnement en Europe”, a expliqué un porte-parole du laboratoire anglo-suédois dans une déclaration écrite, confirmant une information donnée par le journal allemand Bild.

“Nous fournirons des dizaines de millions de doses à l’Union européenne en février et mars car nous continuons à augmenter les volumes de production”, a-t-il ajouté. Le vaccin d’AstraZeneca n’a pas encore été approuvé dans l’UE. L’Agence européenne des médicaments (EMA) doit se prononcer vendredi prochain.

ISRAËL : déjà 30 % des plus de 60 ans vaccinés

ISRAËL : déjà 30 % des plus de 60 ans vaccinés

Un million de personnes vaccinées depuis le 19 décembre;  Israël se présente comme le premier pays du monde, non pas en nombre de doses distribuées, mais en proportion de la population ayant reçu une injection. Les autorités se félicitent que 30% des plus de 60 ans – le public prioritaire, soit 11,55% de la population – aient déjà été vaccinés et espèrent atteindre l’immunité collective d’ici le printemps.

 

Évoquant une campagne « sans précédent dans le mo

nde », le Premier ministre israélien a estimé samedi 26 décembre qu’un quart des neuf millions d’habitants du pays pourraient être vaccinés en un mois, avec un rythme de 150.000 personnes par jour.

 

« Dès que ce sera réalisé, nous pourrons, en trente jours sortir du coronavirus et rouvrir l’économie », a affirmé Benjamin Netanyahu qui s’est fait vacciner dès le premier jour, afin de « donner l’exemple » et d’ »encourager » la population à faire de même.

Coronavirus : circulait déjà en Italie en septembre 2019

Coronavirus : circulait déjà en Italie en septembre 2019

 

Il paraît de plus en plus évident que l’un des facteurs de développement de la pandémie a été l’incapacité à identifier la présence du virus à temps. Les  mesures un peu rigoureuse ont été décidées  au cours du premier trimestre 2020 alors que le virus circulait déjà en Europe depuis presque six mois. Selon une étude menée par l’Institut national du cancer (INT) de Milan, le virus  commençait à se répandre dès septembre 2019 en Italie.

Les résultats de l’étude italienne, publiée par le magazine scientifique Tumori Journal de l’INT, montrent que 11,6% des 959 volontaires sains enregistrés dans le cadre d’un test de dépistage du cancer du poumon entre septembre 2019 et mars 2020 avaient développé des anticorps spécifiques au nouveau coronavirus bien avant février.

Un autre test sur des anticorps contre le SARS-CoV-2 a été réalisé par l’Université de Sienne dans le cadre de la même étude intitulée “Détection inattendue des anticorps anti-SARS-CoV-2 dans la période pré-pandémique en Italie”.

Il montre que quatre cas, remontant à la première semaine d’octobre 2019, étaient porteurs d’anticorps, explique à Reuters Giovanni Apolone, co-auteur de l’étude. Pour lui, cela signifie que les personnes en question avaient été infectées en septembre 2019.

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