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Budget 2024: La France en dehors des clous d’après Bruxelles

Budget 2024: La France en dehors des clous d’après Bruxelles


Comme c’était prévisible, et contrairement aux affirmations du ministre de l’économie le budget de 2024 manque sérieusement de rigueur. La vérité, c’est que les dépenses continuent, que le déficit s’accroît et que la dette enfle à des niveaux incompatibles avec les objectifs de l’Europe.

vice-président de la Commission européenne, Valdis Dombrovskis, a déclaré que la France mais aussi la Belgique, la Croatie et la Finlande, « risquent de ne pas être en ligne avec les recommandations » budgétaires de l’Union européenne pour l’an prochain, en raison de dépenses publiques excessives. Autrement dit, ces quatre pays doivent « réduire les dépenses » pour respecter les limites européennes, lesquelles fixent deux plafonds à ne pas dépasser : celui du déficit public à 3% du produit intérieur brut (PIB) et celui de la dette publique à 60% du PIB.

Théoriquement d’après le ministre français de l’économie le déficit du budget sera limité à 4,4 % du produit intérieur brut après environ 5 % en 2023. L’objectif serait de le ramener à 3 % en 2027. L’endettement resterait stable à 109,7% du PIB en 2024, pour atteindre 108,1% en fin de quinquennat. Pour la première fois depuis 2015, les dépenses totales de l’Etat diminuent en 2024, de 4 milliards d’euros par rapport à 2023, à 491 milliards d’euros. Mais il s’agit d’une prévision et l’expérience démontre que les dépenses réelles ont toujours dépassé les objectifs

Outre les quatre pays épinglés mardi, Paolo Gentiloni a souligné que neuf autres Etats membres n’étaient « pas complètement en ligne » avec les recommandations, dont l’Allemagne qui est appelée, comme la France, à supprimer « dès que possible » les mesures d’aides adoptées pour réduire les factures énergétiques des ménages et entreprises.

Confronté à une dette qui a dépassé les 3.000 milliards d’euros et à un déficit largement hors des clous européens, le gouvernement a voulu donner des gages de sérieux en dévoilant fin septembre son projet de loi de finances pour 2024. Au moins 16 milliards d’euros économies sont prévus, résultant pour leur plus grande part de la fin de mesures exceptionnelles, comme le bouclier tarifaire pour l’électricité. Pour le budget 2025, le gouvernement prévoit 12 milliards d’euros d’économies supplémentaires. Sans doute une nouvelle promesse de coiffeur.

Budget et dettes: La France en dehors des clous d’après Bruxelles

Budget et dettes: La France en dehors des clous d’après Bruxelles


Comme c’était prévisible et contrairement aux affirmations du ministre de l’économie, le budget de 2024 manque sérieusement de rigueur. La vérité, c’est que les dépenses continuent, que le déficit s’accroît et que la dette enfle à des niveaux incompatibles avec les objectifs de l’Europe.

vice-président de la Commission européenne, Valdis Dombrovskis, a déclaré que la France mais aussi la Belgique, la Croatie et la Finlande, « risquent de ne pas être en ligne avec les recommandations » budgétaires de l’Union européenne pour l’an prochain, en raison de dépenses publiques excessives. Autrement dit, ces quatre pays doivent « réduire les dépenses » pour respecter les limites européennes, lesquelles fixent deux plafonds à ne pas dépasser : celui du déficit public à 3% du produit intérieur brut (PIB) et celui de la dette publique à 60% du PIB.

Théoriquement d’après le ministre français de l’économie le déficit du budget sera limité à 4,4 % du produit intérieur brut après environ 5 % en 2023. L’objectif serait de le ramener à 3 % en 2027. L’endettement resterait stable à 109,7% du PIB en 2024, pour atteindre 108,1% en fin de quinquennat. Pour la première fois depuis 2015, les dépenses totales de l’Etat diminuent en 2024, de 4 milliards d’euros par rapport à 2023, à 491 milliards d’euros. Mais il s’agit d’une prévision et l’expérience démontre que les dépenses réelles ont toujours dépassé les objectifs

Outre les quatre pays épinglés mardi, Paolo Gentiloni a souligné que neuf autres Etats membres n’étaient « pas complètement en ligne » avec les recommandations, dont l’Allemagne qui est appelée, comme la France, à supprimer « dès que possible » les mesures d’aides adoptées pour réduire les factures énergétiques des ménages et entreprises.

Confronté à une dette qui a dépassé les 3.000 milliards d’euros et à un déficit largement hors des clous européens, le gouvernement a voulu donner des gages de sérieux en dévoilant fin septembre son projet de loi de finances pour 2024. Au moins 16 milliards d’euros économies sont prévus, résultant pour leur plus grande part de la fin de mesures exceptionnelles, comme le bouclier tarifaire pour l’électricité. Pour le budget 2025, le gouvernement prévoit 12 milliards d’euros d’économies supplémentaires. Sans doute une nouvelle promesse de coiffeur.

Déficit et dettes–: La France en dehors des clous d’après Bruxelles

Déficit et dettes–: La France en dehors des clous d’après Bruxelles


Comme c’était prévisible et contrairement aux affirmations du ministre de l’économie, le budget de 2024 manque sérieusement de rigueur. La vérité, c’est que les dépenses continuent, que le déficit s’accroît et que la dette enfle à des niveaux incompatibles avec les objectifs de l’Europe.

vice-président de la Commission européenne, Valdis Dombrovskis, a déclaré que la France mais aussi la Belgique, la Croatie et la Finlande, « risquent de ne pas être en ligne avec les recommandations » budgétaires de l’Union européenne pour l’an prochain, en raison de dépenses publiques excessives. Autrement dit, ces quatre pays doivent « réduire les dépenses » pour respecter les limites européennes, lesquelles fixent deux plafonds à ne pas dépasser : celui du déficit public à 3% du produit intérieur brut (PIB) et celui de la dette publique à 60% du PIB.

Théoriquement d’après le ministre français de l’économie le déficit du budget sera limité à 4,4 % du produit intérieur brut après environ 5 % en 2023. L’objectif serait de le ramener à 3 % en 2027. L’endettement resterait stable à 109,7% du PIB en 2024, pour atteindre 108,1% en fin de quinquennat. Pour la première fois depuis 2015, les dépenses totales de l’Etat diminuent en 2024, de 4 milliards d’euros par rapport à 2023, à 491 milliards d’euros. Mais il s’agit d’une prévision et l’expérience démontre que les dépenses réelles ont toujours dépassé les objectifs

Outre les quatre pays épinglés mardi, Paolo Gentiloni a souligné que neuf autres Etats membres n’étaient « pas complètement en ligne » avec les recommandations, dont l’Allemagne qui est appelée, comme la France, à supprimer « dès que possible » les mesures d’aides adoptées pour réduire les factures énergétiques des ménages et entreprises.

Confronté à une dette qui a dépassé les 3.000 milliards d’euros et à un déficit largement hors des clous européens, le gouvernement a voulu donner des gages de sérieux en dévoilant fin septembre son projet de loi de finances pour 2024. Au moins 16 milliards d’euros économies sont prévus, résultant pour leur plus grande part de la fin de mesures exceptionnelles, comme le bouclier tarifaire pour l’électricité. Pour le budget 2025, le gouvernement prévoit 12 milliards d’euros d’économies supplémentaires. Sans doute une nouvelle promesse de coiffeur.

Dette: La France en dehors des clous d’après Bruxelles

Dette: La France en dehors des clous d’après Bruxelles


Comme c’était prévisible, et contrairement aux affirmations du ministre de l’économie le budget de 2024 manque sérieusement de rigueur. La vérité, c’est que les dépenses continuent, que le déficit s’accroît et que la dette enfle à des niveaux incompatibles avec les objectifs de l’Europe.

vice-président de la Commission européenne, Valdis Dombrovskis, a déclaré que la France mais aussi la Belgique, la Croatie et la Finlande, « risquent de ne pas être en ligne avec les recommandations » budgétaires de l’Union européenne pour l’an prochain, en raison de dépenses publiques excessives. Autrement dit, ces quatre pays doivent « réduire les dépenses » pour respecter les limites européennes, lesquelles fixent deux plafonds à ne pas dépasser : celui du déficit public à 3% du produit intérieur brut (PIB) et celui de la dette publique à 60% du PIB.

Théoriquement d’après le ministre français de l’économie le déficit du budget sera limité à 4,4 % du produit intérieur brut après environ 5 % en 2023. L’objectif serait de le ramener à 3 % en 2027. L’endettement resterait stable à 109,7% du PIB en 2024, pour atteindre 108,1% en fin de quinquennat. Pour la première fois depuis 2015, les dépenses totales de l’Etat diminuent en 2024, de 4 milliards d’euros par rapport à 2023, à 491 milliards d’euros. Mais il s’agit d’une prévision et l’expérience démontre que les dépenses réelles ont toujours dépassé les objectifs

Outre les quatre pays épinglés mardi, Paolo Gentiloni a souligné que neuf autres Etats membres n’étaient « pas complètement en ligne » avec les recommandations, dont l’Allemagne qui est appelée, comme la France, à supprimer « dès que possible » les mesures d’aides adoptées pour réduire les factures énergétiques des ménages et entreprises.

Confronté à une dette qui a dépassé les 3.000 milliards d’euros et à un déficit largement hors des clous européens, le gouvernement a voulu donner des gages de sérieux en dévoilant fin septembre son projet de loi de finances pour 2024. Au moins 16 milliards d’euros économies sont prévus, résultant pour leur plus grande part de la fin de mesures exceptionnelles, comme le bouclier tarifaire pour l’électricité. Pour le budget 2025, le gouvernement prévoit 12 milliards d’euros d’économies supplémentaires. Sans doute une nouvelle promesse de coiffeur.

Elections législatives 2022 : Une campagne en dehors du sujet

Elections législatives 2022 : Une campagne en dehors du sujet

 

Atone avant le premier tour, le débat politique tourne, depuis, à la caricature. Plutôt que de débattre des graves enjeux du moment, la majorité s’applique à présenter la gauche en menace pour la République et les candidats de la Nupes prétendent dévoiler l’« agenda caché » du président. ( papier du Monde)

 

Entamée sur de lourds non-dits, la campagne des élections législatives qui prend fin vendredi 17 juin menace de se terminer dans la caricature. Chaque jour, le ton monte un peu plus entre Emmanuel Macron et Jean-Luc Mélenchon, comme si l’on était encore dans le prolongement du match présidentiel, alors qu’il s’agit d’élire 572 députés (cinq l’ayant déjà été au premier tour) pour un travail primordial d’élaboration de la loi et de contrôle de l’exécutif. L’excessive présidentialisation du régime se lit à travers l’impossibilité d’exister pour les autres acteurs, à commencer par la première ministre, Elisabeth Borne, qui échoue à imprimer sa marque en ce début de quinquennat.

La feinte dont use depuis des mois le camp présidentiel face au retournement de la conjoncture et à l’impopularité de son projet de retraite à 65 ans est en passe de se retourner contre lui. En en disant le moins possible, le président de la République espérait anesthésier le débat et éviter la cristallisation d’un camp contre lui. En parvenant à réaliser l’union des gauches derrière sa personne, l’« insoumis », qui n’était arrivé qu’en troisième position lors du premier tour de la présidentielle, a déjoué le piège. Il s’est mis en situation de pouvoir priver le président de la République d’une majorité, dimanche 19 juin, si un nombre suffisant d’abstentionnistes le rallient.

Depuis, l’Elysée peine à reprendre la main, alternant silence et déclarations dramatiques, comme celle prononcée sur le tarmac de l’aéroport d’Orly, mardi 14 juin. Avant de s’envoler pour la Roumanie, le président de la République a solennellement exhorté les Français à donner « une majorité solide au pays », en soulignant le risque d’ajouter « un désordre français au désordre du monde ».

Il est normal qu’un chef d’Etat fraîchement réélu demande à son peuple de lui donner les moyens de présider. Mais la dramatisation excessive du ton, alors que la campagne s’est déroulée sous anesthésie, comme à distance du chaos du monde, a surpris. Si la France vit, comme le dit Emmanuel Macron, « un moment historique », il eût été nécessaire que les citoyens y soient associés de près.

Faute de l’avoir fait, le chef de l’Etat en est réduit à pratiquer ce qu’il a longtemps dénoncé : la politique politicienne. Pour tenter de réveiller les électeurs du centre et de la droite, il s’emploie à rejeter Jean-Luc Mélenchon dans le camp de ceux qui menacent la République. Ce faisant, il renvoie dos à dos l’extrême droite et une partie de la gauche, rompt avec la logique du front républicain qui prévalait depuis 2002, suscite le malaise au sein même de ses troupes, pour un résultat aléatoire. A gauche, la dynamique repose sur la fierté d’avoir retrouvé le chemin de l’union, si bien que, à ce stade, les sorties de route de son porte-drapeau comptent relativement peu, de même que l’incohérence programmatique de la coalition qu’il a fait naître.

Se trouvent ainsi réunies les conditions d’une fin de campagne à côté des vrais sujets : plus l’environnement international s’obscurcit, plus les effets du réchauffement climatique deviennent tangibles, plus la France se rétrécit dans des querelles qui n’ont pas lieu d’être. Le camp de la Nupes y prend toute sa part. Depuis dimanche, son propos n’est pas de tenter de crédibiliser un coûteux projet de rupture qui promet la retraite à 60 ans ou le smic à 1 500 euros net, mais de révéler de prétendues hausses d’impôts cachées du projet Macron. La ficelle a beau être grosse, elle est complaisamment relayée, achevant de donner à cette campagne le caractère qu’elle ne devrait pas avoir : celui de ne pas être sérieuse, en des temps d’une extrême gravité.

« Dedans avec les miens, dehors en citoyen »: le slogan nul !

« Dedans avec les miens, dehors en citoyen »: le slogan nul !

 

Vraiment difficile de faire plus nul avec un tel slogan pour compenser le vide de Jean Castex qui a présenté lundi soir à ses ministres la nouvelle campagne de communication gouvernementale pour lutter contre l’épidémie de Covid. »

Vraiment difficile de faire plus nul avec le slogan : « dedans avec les miens, dehors en citoyen ». On suppose qu’ils se sont mis à plusieurs pour accoucher de cette sorte de message publicitaire à moins qu’il n’ait sollicité encore les deux bureaux d’études qui se gavent de la pandémie en faisant semblant d’éclairer le gouvernement sur la meilleure stratégie.

 

En fait il s’agit d’une réponse au grand vide à nouveau laissé par la conférence de presse tenue par Castex à laquelle personne n’a rien compris. L’interrogation demeure : la France a-t-elle décidé un reconduit reconfinement  non ? Le pire c’est que l’Élysée a interdit à Matignon et au ministre de la santé d’employer le mot de reconfinement. Un mot détesté par un Macron branché en permanence sur les sondages et sur les états d’âme des Français vis-à-vis de sa popularité actuellement en berne.

 

Dedans avec les miens? C’est-à-dire «Je ne reçois pas chez moi», «Je ne me rends pas chez les autres», «Je télétravaille sauf impossibilité», «J’aère régulièrement mon logement» et «Je ne sors plus après 19h00, sauf pour mon travail ou une urgence, et avec une attestation», est-il énuméré dans ce premier pilier. Dehors en citoyen? Soit «Je peux sortir jusqu’à 19h00 pour des motifs autorisés: travailler, me promener, faire des courses, accompagner mes enfants à l’école, sortir mon animal de compagnie ou aller chez le médecin».

Mais, rappelle la campagne, «Au-delà de 10 km, je dois avoir une attestation justifiant le motif de mon déplacement» et «Je ne quitte pas la région ou mon département sauf motif impérieux ou professionnel, justifié par attestation». «Je porte le masque et je rappelle les distances» et si «Je peux retrouver des amis dehors», c’est «à six maximum en respectant les gestes barrière», met en garde le gouvernement. Et «si je ne suis pas seul ou si je ne suis pas avec les personnes de mon foyer», attention: «J’évite de manger ou de boire».

Pavlenski : «Qu’on le foute dehors!» ( élu LREM )

 Pavlenski : «Qu’on le foute dehors!» ( élu LREM )

 

Pavlenski , » l’artiste »  soviétique dissident, évidemment n’est guère apprécié dans la classe politique et notamment au sein de la république en marche. Cela au motif qu’il n’a aucune légitimité démocratique pour critiquer la France. Peut-être pensent certains, est-il  aussi manœuvré tout  en bénéficiant du commerce d’informations sulfureuses. En tout cas pour un député de la république en marche il » faut qu’on le foute dehors » Il assume son «coup de gueule». Le député (La République en marche, LREM) Bruno Questel s’en est pris, vendredi, au statut de réfugié politique de Piotr Pavlenski. Ce artiste contestataire de 35 ans, placé en garde à vue avec sa compagne ce week-end pour «atteinte à l’intimité de la vie privée», revendique la diffusion sur le web d’images intimes privées de Benjamin Griveaux, à l’origine de son retrait de la campagne municipale à Paris.

Le Russe devrait être renvoyé manu militari, selon l’élu de l’Eure. «Qu’on foute ce mec dehors!», s’est-il emporté vendredi, sur le plateau de LCP-Assemblée nationale. «Il est réfugié politique, il est venu demander l’asile. Il se comporte comme un salopard et n’a aucune notion de ce que peut être un comportement adapté dans une société éclairée».

Réfugié politique en France depuis 2017, Piotr Pavlenski a été condamné en 2019 pour avoir incendié deux ans plus tôt une succursale de la Banque de France à Paris, au cours d’une «performance artistique». «Rien ne justifierait» son maintien en France, «une fois la justice passée», explique Bruno Questel au Figaro.

«Si l’on en croit ses motivations, la diffusion des vidéos serait le premier épisode d’actes de nature à déstabiliser le chef de l’État et les institutions», avance l’élu, convaincu que ces attaques «ignobles» de la vie privée s’apparentent «aux débuts d’un régime totalitaire». Le président des députés LREM, Gilles Le Gendre, s’est montré plus nuancé. «Ce n’est pas à nous de décider» d’un renvoi dans son pays de l’artiste russe, a-t-il estimé sur le plateau du «Grand Jury RTL-Le Figaro -LCI», préférant attendre «que la justice fasse son travail».

Sondage Présidentielle 2017 : Hollande dehors

Sondage Présidentielle 2017 : Hollande dehors

 
D’après tous les sondages, notamment le dernier celui de TNT Sofres, Hollande sera battu dans tous les cas en 2017. Il ne parviendra même pas à se qualifier pour le second tour. Hollande est coincé autour de 20 % des voix dans toutes les hypothèses. Marine Le Pen pourrait, elle, figurer en tête du premier tour mais serait de toute façon balayée au second par un candidat de droite. Saufs événements exceptionnels difficilement prévisibles, Hollande n’a donc aucune chance pour 2017. Dès lors  si la gauche voulait concourir avec quelques chances de succès et lui faudrait par exemple soutenir quelqu’un comme Valls ou un autre. N’importe quel autre candidat de la gauche ferait mieux que Hollande qui de toute façon n’en a cure, ne croit qu’en sa bonne étoile et s’assoit totalement sur l’intérêt général fut-il réduit aux dimensions de son courant politique.  Interrogés les 14 et 15 décembre, soit au lendemain du second tour des régionales, par TNS Sofres, les Français ne veulent toujours pas de François Hollande comme prochain président de la République. Dans le cas où Nicolas Sarkozy serait désigné par la primaire comme le candidat de la droite, il recueillerait 24 % d’intentions de vote si François Bayrou (10,5 %) se présentait. Dans ce cas, François Hollande ne recueillerait que 19 % quand Marine Le Pen, elle, en engrangerait 26 %. Au second tour, les Républicains remporteraient l’élection. La présidente du FN serait dans l’incapacité de remporter l’élection. Face à elle, Nicolas Sarkozy recueillerait 64 % des voix. De son côté, Alain Juppé atteint les 70 % avec des reports de voix impressionnants de 100 % des électeurs UDI et Modem au premier tour, de 94 % du Front de gauche et de 95 % du PS… mais seulement 86 % de la part des électeurs Républicains. «Il est clair qu’Alain Juppé possède la capacité de captation la plus large en étant le seul à devancer Marine Le Pen. Autre enseignement de ce sondage, l’échec du Front national et singulièrement celui de Marine Le Pen au second tour des régionales, n’est pas perçu comme un élément déstabilisateur dans la mobilisation du vote FN. «Les électeurs frontistes sont toujours les plus déterminés et sûrs de leur choix, note Emmanuel Rivière. 96 % des sympathisants FN voteraient Le Pen quand 80 % des sympathisants LR choisiraient Sarkozy et seulement 72 % Juppé». La surprise, à gauche vient du Front de gauche où, même au lendemain des élections régionales désastreuses pour Jean-Luc Mélenchon, ce dernier recueillerait entre 10,5 et 12 % des intentions de vote. Cécile Duflot, si elle était candidate ne capterait pas plus de 3 %. 

Immobilier : la région Pays de Loire, zone sinistrée en dehors de Nantes

Immobilier : la région pays de Loire, zone sinistrée en dehors de Nantes

Le Figaro rapporte aujourd’hui les  éléments d’une étude du crédit foncier qui constate que le prix de l’immobilier est environ 30 % moins chers dans la région des Pays de la Loire. Un constat en contradiction avec une situation économique considérée comme dynamique par rapport au reste de la France. 4e PIB par habitant de France, taux de chômage le plus faible, et 3e croissance démographique sur l’ensemble des 13 régions. Effectivement le prix de l’immobilier est nettement en baisse depuis quelques années. Des prix qui dans l’ancien se négocient en moyenne autour de un peu plus de 2000 € le mètre carré. Mais il s’agit d’une moyenne et plus on s’éloigne de Nantes  vers l’est et plus les prix ne diminuent. En cause notamment la fermeture d’innombrables entreprises dans les villes moyennes et petites de la région. La région ce caractérise en effet par de très grande disparité sociale et économique. Certaines petites villes comme Saumur par exemple perdant même de la population. Dans le nord saumurois il est même possible acquérir un bien pour 100 000 € voir 80 000. La  région se concentre de plus en plus autour de Nantes et la désertification s’installe quand on s’en éloigne. La population des Pays de la Loire a augmenté de 18% entre 1990 et 2014, contre 13% au niveau national. Si l’on fait les comptes sur une année, la région gagne environ 30.000 habitants par an. Où s’installent en majorité ces nouveaux arrivants? C’est toute l’aire urbaine nantaise qui est la grande gagnante.  Avec près de 300.000 habitants dans sa commune et 900.000 dans son aire urbaine, Nantes constitue la sixième ville de France et la première de l’Ouest du pays. Les villes d’Angers et du Mans sont relativement peu dynamiques comparées à la région.  La région Pays de la Loire compte environ 1,9 million de logements, ce qui représente 6% du parc de logements. À noter que la région rassemble également 6% de la population nationale. De quoi est composé ce parc de logements ligériens? Aux trois quarts (73%) de maisons, selon le Crédit Foncier, soit quasiment 20 points de plus que la moyenne nationale, qui est de 56%. Les appartements ne représentent que 27% des logements, et ce, malgré la présence d’une grande métropole comme Nantes. Sur l’ensemble de la région, la proportion propriétaires/locataires est similaire à la tendance observée en France: 65% de propriétaires, contre 35% de locataires.  Les  prix de l’immobilier dans cette région sont inférieurs à la moyenne nationale, dans l’ancien comme dans le neuf. Le prix au mètre carré d’un logement ancien se monnaie à 2223 euros, quasiment 1000 euros moins cher dans cette région que dans le reste de la France. Pour le marché du neuf, cette tendance se vérifie, mais elle est moins accentuée. Le mètre carré se vend 3007 euros, contre 3655 euros pour l’ensemble du pays.

FIFA : « Blatter dehors » ( Platini )

FIFA : « Blatter dehors »  (  Platini )

 

Platini a demandé la démission de Blatter mais ce dernier n’en tient pas compte car il est assuré d’être réélu. Réélu précisément par ces dirigeants dont beaucoup profitent de la corruption de la FIFA. En particulier les dirigeants du football africains ( les votants les plus nombreux) qui en matière de corruption sont des experts, ce dont se plaignent les joueurs eux-mêmes. Pas étonnant qu’aucun pays d’Afrique n’ait approché de près les phases finales car les joueurs africains souvent parmi les plus talentueux mettent la pédale douce lors de la coupe du monde en particulier du faiat de cette corruption. Il y a des années que Blatter a acheté les voix des pays pauvres pour se faire élire. Il a en outre bénéficié du soutien des sponsors en échangée quelques avantages et services. Platini se désolidarise de Blatter mais il aurait dû le faire beaucoup, plus tôt. De son coté président de la Fédération internationale de football, Sepp Blatter, a plaidé sa bonne foi jeudi en ouverture du 65e congrès d’une Fifa prise dans la tourmente et a rejeté les appels à sa démission au lendemain de l’arrestation de sept de ses dirigeants pour une affaire de corruption.  Le patron du football mondial, qui est âgé de 79 ans et est en poste depuis 1998, a reconnu que son sport était frappé par la honte et l’humiliation mais il a exclu de démissionner comme le lui a demandé avec insistance le président de l’Union européenne de football (UEFA), Michel Platini, dans un appel solennel. « Les événements d’hier font peser une ombre sur le football et sur ce congrès », a-t-il lancé aux délégués de toutes les fédérations nationales dont il attend qu’ils lui confient vendredi un cinquième mandat consécutif. Essayant de prendre ses distances avec les arrestations menées mercredi par la police suisse dans le cadre d’une procédure lancée par la justice américaine, Sepp Blatter a mis en avant sa probité et sa bonne foi. « Je sais que certains me tiennent au bout du compte pour responsable mais je ne peux pas contrôler tout le monde tout le temps », a-t-il dit. « Il ne peut pas y avoir de place pour la corruption quelle qu’elle soit », a-t-il ajouté. Sepp Blatter, qui s’était montré discret depuis le début de l’affaire, a prôné des réformes afin que la « réputation de la Fifa ne soit pas traînée dans la boue plus longtemps ». Les appels, notamment de l’UEFA, en faveur d’un report du congrès et de l’élection du président sont restés lettre morte et le dirigeant semble conserver de bonnes chances de l’emporter face à son seul adversaire, le prince jordanien Ali ben Hussein. Son opposant le plus farouche dans cette affaire reste Michel Platini qui s’est dit « écoeuré » par les derniers événements et a tenté de mobiliser les fédérations pour provoquer la défaite de Sepp Blatter vendredi. »Je peux vous dire que demain, à l’élection du président, une très très très grande majorité des associations nationales européennes va voter pour le prince Ali », a déclaré Michel Platini lors d’une conférence de presse.

La Grande Bretagne en dehors de l’union européenne ?

La Grande Bretagne en dehors de l’union européenne ?

 

C’est en tout cas le scénario qu’étudie la banque d’Angleterre suite aux déclarations de Cameron. Cameron qui veut renégocier les conditions de son adhésion à l’union économique, en clair payer mois, recevoir plus et être moins contraint par Bruxelles ! Mieux vaudrait sans doute mettre la grande Bretagne en dehors de l’Europe car les avantages exorbitants que réclament Cameron risquent de faire tâche huile ( en gros accès libre au marché mais sans contrainte, le contraire de la philosophie européenne). La montée des nationalismes dans tous les pays risquent de favoriser le repli sur eux de nombre de pays et faire perdre des années à l’union européenne certes loin d’être parfaite mais qui ne saurait se résumer à un espace de libre échange comme le souhaite depuis toujours la Grande Bretagne.  La Banque d’Angleterre (BoE) a dit qu’elle comptait faire le point des répercussions d’une éventuelle sortie de la Grande-Bretagne de l’Union européenne (UE), confirmant ainsi un courriel envoyé par inadvertance au Guardian et concernant ce projet de recherche censé être confidentiel. Le quotidien britannique écrit qu’un assistant d’un responsable de la banque centrale écrit dans le courriel que le projet doit rester inconnu de la plus grande partie du personnel et qu’il faut répondre aux journalistes s’en préoccupant que l’institut d’émission examine un grand nombre de questions économiques européennes. Le courriel a été écrit par le secrétaire privé de Jon Cunliffe, un vice-gouverneur chargé d’évaluer les risques économiques émanant du secteur bancaire et financier. Le courriel a été envoyé par erreur au Guardian par quelqu’un du service de presse de la BoE.  Le Premier ministre David Cameron, réélu le 7 mai dernier, entend refondre les liens de la Grande-Bretagne avec l’UE avant d’organiser un référendum sur l’appartenance à l’Union d’ici la fin de 2017.  Comme ce fut le cas pour le référendum sur l’indépendance de l’Ecosse l’an passé, la BoE ne veut pas qu’on puisse dire qu’elle s’est invitée dans un débat politique. « Il n’y a rien d’étonnant à ce que la Banque entreprenne un tel examen au sujet d’une prise de position publique du gouvernement », explique la BoE dans un communiqué. « Il y a toute une variété de questions économiques et financières qui surgissent dans le contexte de la renégociation et du référendum national. C’est l’une des responsabilités de la Banque d’examiner celles liées à ses prérogatives ».  Beaucoup de chefs d’entreprise britanniques craignent de ne plus avoir accès à leurs grands marchés à l’exportation et les répercussions sur le secteur financier britannique font également souci dans le cas d’un « Brexit ».

 

Sondage FN : Jean Marie Lepen dehors pour 91% des Français

 

 

91% des Français  et 87% des sympathisants du Front national estiment que Jean-Marie Le Pen doit partir et se retirer de la vie politique, selon un sondage Odoxa pour Le Parisien et iTELE publié samedi.  Seuls 8% des Français et 13% des sympathisants du parti d’extrême droite sont d’un avis contraire, précise cette étude. Jean-Marie Le Pen a rejeté vendredi les appels de sa fille Marine en ce sens, après la publication d’un entretien à l’hebdomadaire d’extrême droite Rivarol qui a fait polémique. Il l’a accusée de « dynamiter » le Front national, et n’a pas exclu de se présenter aux élections régionales même sans l’investiture du parti. Plus de la moitié des sympathisants FN (56%) interrogés par l’institut de sondage disent que l’exclusion du patriarche améliorerait l’image qu’ils ont du parti, tandis qu’elle ne changerait rien pour 40% d’entre eux. Seuls 4% disent au contraire que son exclusion détériorerait leur image du FN.  Dans l’ensemble de la population, 31% des sondés disent qu’une exclusion de Jean-Marie Le Pen améliorerait leur image du parti. Elle ne changerait rien pour 65% d’entre eux.  Parmi les personnes interrogées, 28% des sympathisants du Front national ont une bonne opinion du président d’honneur du mouvement, moitié moins qu’il y a cinq mois, écrit Le Parisien.  Ce sondage a été réalisé sur internet les 9 et 10 avril auprès d’un échantillon de 1.007 personnes représentatives de la population française âgée de 18 ans et plus.

 




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