Archive pour le Tag 'd’effectifs'

IA : Des réductions d’effectifs dans la moitié des entreprises

IA : Des réductions d’effectifs dans la moitié des entreprises

Selon une enquête publiée par le groupe suisse Adecco la moitié des entreprises pourrait dans un premier temps être amenée à effectuer des réductions d’effectifs suite au développement de l’intelligence artificielle. Selon cette enquête, 61% des dirigeants interrogés pensent que l’IA va changer la donne pour leur secteur, la proportion grimpant à 82% dans le secteur de la technologie contre 51% dans l’automobile, le transport et la logistique. Mais 57% avouent manquer de confiance dans les compétences et connaissances sur l’IA de leur propre équipe dirigeante. Et « si les décideurs ne comprennent pas les opportunités d’affaires de l’IA, alors ils ne peuvent pas définir la stratégie d’investissement », mettent en garde les auteurs de l’enquête.
Les entreprises manquent de connaissances en matière d’IA. Elles doivent mieux préparer leur personnel à ces technologies, affirme une enquête publiée par le groupe suisse Adecco. La majorité des chefs d’entreprise interrogés se sentent, en effet, mal équipés pour gérer ce bouleversement technologique.

« Les entreprises doivent en faire davantage pour former et redéployer leurs équipes afin d’obtenir le meilleur de ce bond technologique. » Voilà la mise en garde de Denis Machuel, le patron d’Adecco, servant de conclusion à l’enquête qu’a mené le géant de l’intérim sur les conséquences de l’IA dans les entreprises.

L’étude a ainsi démontré que les dirigeants d’entreprises n’étaient pas prêts à accueillir cette technologie.  Car si, il y a une dizaine d’années, la numérisation de l’économie avait elle-même suscité d’importantes craintes mais avait finalement créé « beaucoup d’emplois », a souligné le patron d’Adecco, les choses pourraient être différentes pour l’IA. Pour gérer ce nouveau saut technologique, il est « critique », selon lui, que les dirigeants d’entreprises comprennent eux-même l’IA pour pouvoir préparer leur personnel.

Selon une étude du Fonds monétaire international (FMI), l’IA pourrait changer les contours de 40% des emplois dans le monde, les risques étant plus élevés dans les économies développées. Si certains postes vont être remplacés, l’IA va dans d’autres cas compléter le travail des humains. Mais elle risque d’accroître les inégalités de revenus entre les travailleurs qui pourront tirer parti de l’IA et ceux qui ne parviendront pas à s’adapter, d’après cette étude du FMI.

« L’IA ce n’est pas une révolution, c’est un changement de civilisation qui va impacter en profondeur tous les secteurs, tous les métiers, toutes les fonctions. Une étude de McKinsey estimait qu’à terme 50 % des tâches de 70 % des salariés pourraient être accomplies par de l’IA », a aussi affirmé Philippe Corrot, le patron de la startup Mirakl, dans une interview aux Echos ce vendredi. Pour ce dernier, « La robotisation des usines a « commoditisé » la force manuelle. On va « commoditiser » la puissance intellectuelle, et l’on sait que d’ici peu l’IA ne sera pas simplement plus intelligente qu’Einstein mais 1.000 fois plus puissante. L’impact économique, social, sociétal va être colossal. Voilà pourquoi tous les chefs d’entreprise, les économistes, les politiques doivent faire de l’IA une priorité. »

 

Numérique : l’État très en retard en matière d’effectifs

Numérique : l’État très en retard en matière d’effectifs

Après avoir recruté «en deçà des besoins» ces dernières années, la filière numérique de l’État «va devoir faire face dans les cinq prochaines années à un effort de rattrapage considérable», souligne jeudi un rapport rédigé par les services du ministère de l’Économie. Communiqué à l’AFP en marge du salon VivaTech à Paris, le document plaide pour que l’État recrute 2500 experts du numérique chaque année, «soit 50% de plus qu’actuellement». C’est seulement à cette condition que la France «pourra conserver la maîtrise de son activité numérique», largement externalisée. À l’heure actuelle, l’État emploie 21.000 experts du numérique dans des emplois civils, le ministère des Armées comptant pour sa part 28.000 spécialistes.

Selon l’IGF et le Conseil général de l’économie, de l’industrie, de l’énergie et des technologies, coauteurs du rapport, «l’ensemble des achats de l’État de prestations dans le domaine +informatique et télécom+ représente 3,2 milliards d’euros en 2021». «Au cours des quatre dernières années, ces achats ont augmenté au rythme moyen de 12% par an», indique encore Bercy. Si «le recours par l’État à des prestations intellectuelles informatiques n’est pas en soi une pratique anormale», les auteurs du rapport déplorent l’absence de doctrine «précise et opérationnelle» des pouvoirs publics en matière d’externalisation. Or «la mission estime qu’en moyenne, recourir à un prestataire est plus coûteux d’au moins 20% pour l’État que le recrutement d’un agent disposant des mêmes compétences». D’où son appel à réinternaliser les compétences, bien que l’État y soit «mal préparé» avec son image «peu avantageuse» d’employeur numérique et ses pratiques de fidélisation des agents accusant «un fort retard par rapport au privé».

Santé-Hôpital: Un manque structurel d’effectifs

Santé-Hôpital: Un manque structurel d’effectifs

Sur la récente période les effectifs du secteur hospitalier ont progressé cependant il faut tenir compte d’un double phénomène structurel l’évolution de la démographie qui a tendance à peser sur le nombre de patients, d’autre part l’évolution constante de la médecine qui prend en charge aujourd’hui de plus en plus de pathologies nouvelles. Il faut cependant aussi tenir compte de la prise en charge croissante de malades par le secteur privé. Les effectifs salariés du secteur hospitalier ont pourtant progressé de 13 % entre 2003 et 2019, selon la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DRESS). Entre 2015 et 2020, le nombre d’équivalents temps plein dans les hôpitaux a augmenté de 6 % pour les médecins, et de 1 % pour le personnel non médical des services de soins, infirmiers et aides-soignants inclus. Mais là encore, il existe de fortes disparités selon les départements. Sur la même période, la Haute-Garonne a par exemple perdu plus de 6.800 équivalents temps plein au sein de son personnel des services de soin.

« L’hôpital de 2022 n’est plus celui de 2019 », écrivait, en mars, un collectif de soignants dans une tribune publiée par « Le Monde », et selon laquelle les directions doivent désormais « courir après des soignants en désamour hospitalier ». Les infirmiers sont par exemple de plus en plus nombreux à bouder l’hôpital pour se tourner vers le libéral ou vers d’autres employeurs, comme les établissements scolaires, les maisons de retraite, ou la médecine du travail.

Mais le désamour hospitalier n’explique pas tout : le manque de soignants auquel se heurte aujourd’hui la France ne s’arrête pas aux portes de l’hôpital. Tous modes d’exercices confondus, l’Hexagone comptabilise en moyenne 336,5 soignants pour 10.000 habitants, selon une étude parue dans la revue « The Lancet » au mois de mai. A titre de comparaison, la moyenne de l’Europe de l’Ouest est de 407 soignants pour 10.000 habitants.

Par rapport à ses voisins européens, la France fait figure de mauvaise élève quant à la densité d’infirmiers (87,7 pour 10.000 habitants) et de médecins (24,8 pour 10.000 habitants). Loin devant, la Norvège et l’Allemagne affichent par exemple respectivement 211 et 176 infirmiers pour 10.000 habitants.

 

 

Société-EHPAD : un manque d’effectifs…et de financement

Société-EHPAD : un manque d’effectifs…et de financement

 

 

Les EHPAD souffrent de deux problèmes liés à savoir, un manque d’effectifs qui affecte parfois la qualité et un manque de financement qui se trouve à l’origine du problème.

Pour résumer à outrance, la Cour des Comptes a mis en évidence l’insuffisance des moyens mis en œuvre pour le maintien le plus longtemps possible à domicile. En effet d’après la Cour des Comptes, ce maintien coûterait moitié moins cher que dans les EHPAD. En gros le maintien à domicile génère globalement un cout mensuel  de 1000 € par mois (pour 2000 € en moyenne dans les EHPAD).

La conséquence des difficultés de financement conduisent à une entrée de plus en plus tardive en EHPAD, vers 85 ans au lieu de 75 ans il y a une vingtaine d’années. Du coup les résidents sont beaucoup plus dépendants et exigent  un accompagnement beaucoup plus conséquent donc aussi plus coûteux.

Le problème c’est que en dépit du vieillissement de la population le financement de la dépendance des personnes âgées n’a jamais encore été traité de manière approfondie. On devait en faire un thème majeur mais la question a été mis sous le tapis.

Il est clair que pour sortir du cercle vicieux, manque de moyens, insuffisance de qualité, ressources insuffisantes, il faudra trouver un financement pérenne engageant la solidarité nationale

Globalement en France il y a environ 600 000 personnes en EHPAD ce qui mobilise 400 000 salariés. En vérité un chiffre d’encadrements très insuffisants dans la plupart des cas car faut-il le rappeler la surveillance et les soins doivent être maintenus 24 heures sur 24 ,dimanches et jours fériés, vacances inclus.

Or pour tenir un poste il faut cinq à six salariés ( qui tourne en 3.8 ou équivalents). En moyenne, il faudrait donc un salarié pour un résident. Cela d’autant plus que la très grosse majorité des résidents souffrent de pathologies graves et rentrent de plus en plus tard en EHPAD, le plus souvent pour des raisons financières mais aussi pour des raisons personnelles.

Se pose la question de l’équilibre économique des ces établissements accueillant des personnes dépendantes. Un équilibre qui se fait via des prix déjà importants de pension puisque le prix médian est de leur de 2000 € par mois. La rentabilité passe parfois par une réduction du personnel. Pour preuve puisqu’il y a 600 000 résidents en EHPAD et qu’il faudrait 200 000 salariés supplémentaires.

Justement grâce à cette politique d’ajustement à l’extrême du personnel les s’investissements dans les maisons de retraite constituent souvent des placements juteux.

Du coup ,il ne faut pas s’étonner que de telles rentabilité puissent être parfois obtenues par une qualité d’encadrement et de soins déficiente.

EHPAD : un manque d’effectifs…et de financement

 EHPAD : un manque d’effectifs…et de financement

 

 

Les EHPAD souffrent de deux problèmes liés à savoir, un manque d’effectifs qui affecte parfois la qualité et un manque de financement qui se trouve à l’origine du problème.

Pour résumer à outrance, la Cour des Comptes a mis en évidence l’insuffisance des moyens mis en œuvre pour le maintien le plus longtemps possible à domicile. En effet d’après la Cour des Comptes, ce maintien coûterait moitié moins cher que dans les EHPAD. En gros le maintien à domicile génère globalement un cout mensuel  de 1000 € par mois (pour 2000 € en moyenne dans les EHPAD).

La conséquence des difficultés de financement conduisent à une entrée de plus en plus tardive en EHPAD, vers 85 ans au lieu de 75 ans il y a une vingtaine d’années. Du coup les résidents sont beaucoup plus dépendants et exigent  un accompagnement beaucoup plus conséquent donc aussi plus coûteux.

Le problème c’est que en dépit du vieillissement de la population le financement de la dépendance des personnes âgées n’a jamais encore été traité de manière approfondie. On devait en faire un thème majeur mais la question a été mis sous le tapis.

Il est clair que pour sortir du cercle vicieux, manque de moyens, insuffisance de qualité, ressources insuffisantes, il faudra trouver un financement pérenne engageant la solidarité nationale

Globalement en France il y a environ 600 000 personnes en EHPAD ce qui mobilise 400 000 salariés. En vérité un chiffre d’encadrements très insuffisants dans la plupart des cas car faut-il le rappeler la surveillance et les soins doivent être maintenus 24 heures sur 24 ,dimanches et jours fériés, vacances inclus.

Or pour tenir un poste il faut cinq à six salariés ( qui tourne en 3.8 ou équivalents). En moyenne, il faudrait donc un salarié pour un résident. Cela d’autant plus que la très grosse majorité des résidents souffrent de pathologies graves et rentrent de plus en plus tard en EHPAD, le plus souvent pour des raisons financières mais aussi pour des raisons personnelles.

Se pose la question de l’équilibre économique des ces établissements accueillant des personnes dépendantes. Un équilibre qui se fait via des prix déjà importants de pension puisque le prix médian est de leur de 2000 € par mois. La rentabilité passe parfois par une réduction du personnel. Pour preuve puisqu’il y a 600 000 résidents en EHPAD et qu’il faudrait 200 000 salariés supplémentaires.

Justement grâce à cette politique d’ajustement à l’extrême du personnel les s’investissements dans les maisons de retraite constituent souvent des placements juteux.

Du coup ,il ne faut pas s’étonner que de telles rentabilité puissent être parfois obtenues par une qualité d’encadrements et de soins déficientes.

La question des EHPAD : un manque d’effectifs

La question des EHPAD : un manque d’effectifs

 

 

Récemment, la Cour des Comptes a procédé à une évaluation de la politique de maintien à domicile des personnes âgées. D’après la Cour des Comptes ce maintientcoûterait moitié moins cher que dans les EHPAD.

Globalement en France il y a environ 600 000 personnes en EHPAD ce qui mobilise 400 000 salariés. En vérité un chiffre d’encadrements très insuffisants dans la plupart des cas car faut-il le rappeler la surveillance et les soins doivent être maintenus 24 heures sur 24 ,dimanches et jours fériés, vacances inclus.

Or pour tenir un poste il faut cinq à six salariés ( qui tourne en 3.8 ou équivalents). En moyenne, il faudrait donc un salarié pour un résident. Cela d’autant plus que la très grosse majorité des résidents souffrent de pathologies graves et rentrent de plus en plus tard en EHPAD, le plus souvent pour des raisons financières mais aussi pour des raisons personnelles.

Se pose la question de l’équilibre économique des ces établissements accueillant des personnes dépendantes. Un équilibre qui se fait via des prix déjà importants de pension puisque le prix médian est de leur de 2000 € par mois. La rentabilité passe parfois par une réduction du personnel. Pour preuve puisqu’il y a 600 000 résidents en EHPAD et qu’il faudrait 200 000 salariés supplémentaires.

Justement grâce à cette politique d’ajustement à l’extrême du personnel les s’investissements dans les maisons de retraite constituent souvent des placements juteux.

Du cou,p il ne faut pas s’étonner que de telles rentabilité puisse être parfois obtenue par une qualité d’encadrements et de soins déficientes.

Banques françaises : des réductions d’effectifs à prévoir

Banques françaises : des réductions d’effectifs à prévoir

Croissance atone et nécessité de répondre à de nouveaux critères de solvabilité de la BCE  vont contraindre les banques à annoncer de nouveaux plans stratégiques et notamment pour réduire les couts, il y aura notamment des réductions d’effectifs. Coup d’envoi des résultats des banques françaises ce mercredi 12 février avec Société Générale, qui annonce des revenus et un résultat net part en croissance de 76% par rapport à 2012, à 928 millions d’euros. Jeudi, ce sera au tour de BNP Paribas de dévoiler ses performances sur l’année écoulée. Ses bénéfices sont également attendus en hausse. Une page se tourne après les années de crise. Tous ces établissements s’apprêtent à présenter leurs plans stratégiques. Avec à la clé, un sacré défi à relever: aller chercher de la croissance. C’est tout le dilemme des banques françaises. Elles ont atteint l’objectif de s’aligner sur les nouvelles contraintes imposées par les régulateurs. Ce pari relevé, elles sont prêtes à repartir à l’offensive.  Tout le problème, c’est que les relais de croissance sont rares et leurs marges de manœuvre limitées. Ces matelas de sécurité, imposés par les régulateurs, brident leur capacité de financement et la conjoncture reste extrêmement molle. Dans ce contexte, chacune y va de sa stratégie. BNP Paribas va aller chercher la croissance en en Asie ou aux Etats-Unis, quand le Crédit-Agricole se recentre au contraire sur ses marchés historiques. Toutes vont en parallèle pousser les feux sur le numérique et rationnaliser leurs réseaux de banques de détails. Toutes poursuivent le même but: réduire les coûts au maximum. Le seul véritable moyen de retrouver de la rentabilité dans l’immédiat.

 

SNCF : baisse d’effectifs en 2014

SNCF : baisse d’effectifs en 2014

 

Le trafic SNCF ne progresse pas en raison de la crise, du coup les équilibres financiers deviennent plus fragiles. Les ajustements se feront notamment (mais pas seulement) par de réduction de postes : environ 1400 en 2014. D’une certaine manière ces résultats remettent aussi en cause la promesse de Guillaume Pepy concernant les économies à attendre de  la reforme SNCF ( qui doit en principe être votée par le parlement en 2014)  La SNCF qui s’attend à la poursuite de la baisse de sa rentabilité en 2014 prévoit donc de supprimer 1432 postes l’an prochain, écrivent dimanche Les Echos.fr. Selon le site internet du quotidien, le projet de budget 2014 de l’entreprise, qui a été examiné la semaine dernière en conseil d’administration, « est placé sous le signe des réductions de coûts ». L’établissement public devrait donc supprimer 1.432 postes, soit environ 1% des effectifs, par le biais de départs en retraite non remplacés. « La direction table sur une croissance du chiffre d’affaires du groupe de 2,5%, objectif ambitieux au vu de la conjoncture », précisent Les Echos. L’activité serait notamment tirée par la branche SNCF Infra, qui profite de l’augmentation des travaux de rénovation sur le réseau, ainsi que par Keolis, la filiale dédiée au transport de proximité, dont le chiffre d’affaires devrait progresser de 6%. Les quatre autres branches devraient voir leur marge opérationnelle baisser, le climat étant particulièrement morose pour SNCF Voyages, dont l’essentiel du chiffre d’affaires provient des TGV. Selon Les Echos, le nombre de passagers TGV en France devrait à nouveau reculer de 0,3% l’an prochain mais la bonne tenue des liaisons vers l’international devrait permettre au groupe d’afficher une progression de 0,7% de l’ensemble des passagers TGV.

BNP : croissance et plans réduction d’effectifs d’ici 2016

BNP : croissance et plans réduction d’effectifs d’ici 2016

 

BNP, fera come la société générale, une réorganisation de ses services et une réduction d’effectifs. BNP Paribas entend travailler cette année à un programme de développement sur la période 2014-2016 avec l’Asie comme tête de pont, et veut poursuivre ses économies pour résister à un environnement toujours jugé difficile en Europe. La première banque de la zone euro a fait état jeudi de résultats en baisse au titre du quatrième trimestre 2012, touchée comme ses concurrentes par des charges exceptionnelles, mais sa performance annuelle dépasse de très loin celle de sa grande rivale française Société générale. « Nous estimons qu’une mise œuvre réussie des annonces pourrait améliorer les résultats avant provisions de 14% par rapport à ceux de 2012″, écrit Goldman Sachs dans une note de recherche. BNP Paribas, dans un communiqué, souligne que « le groupe préparera en 2013 un plan de développement 2014-2016 (…) avec un objectif de présentation d’ensemble début 2014″. La banque entend mettre en place un nouveau programme d’économies baptisé « simple and efficient » et déployer parallèlement des plans de croissance par métier et par zone géographique, l’Asie-Pacifique étant la première région concernée. Le programme « simple and efficient » prévoit des investissements de 1,5 milliard d’euros sur trois ans à compter de 2013, notamment dans l’informatique, pour simplifier les opérations de la BNP. La banque espère que ces dépenses permettront de dégager en retour des économies structurelles de deux milliards d’euros par an à partir de 2015.  

 

Nouveau :- site chansons-poèmes de  g.bessay:

http://chansontroisiemeage.unblog.fr/




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