Archive pour le Tag 'defaut'

PSG: À défaut de coupe d’Europe, la coupe de France !

PSG: À défaut de coupe d’Europe, la coupe de France !

 

L’équipe la plus dotée du pays remporte la coupe nationale après avoir encore échoué au plan européen. Une sorte de lot de consolations. C’est la 15e coupe de France pour le PSG performant dans l’Hexagone mais toujours aussi fragile à l’échelle de l’Europe. Résultat 2-1 pour le PSG face à Lyon dominé mais qui n’a pas de démérité. Pour son dernier match , Mbappé n’a pas particulièrement brillé. Dans son prochain club européen il, devra montrer sans doute une constance plus en adéquation avec son potentiel. 

 

 

Attentat : à défaut d’arrêter les vrais auteurs, Moscou vise des boucs émissaires

Attentat : à défaut d’arrêter les vrais auteurs, Moscou vise des boucs émissaires

 

La plupart des états dans le monde ont reconnu la responsabilité directe de l’État islamique dans le terrible attentat de Moscou. Le paradoxe c’est que Poutine n’a même pas fait allusion à l’État islamique qui pourtant a revendiqué la tuerie. Sans doute pour cacher la grande défaillance du service de renseignement, le FSB, Moscou cherche des boucs émissaires qui auraient des liens avec l’Ukraine. Une manière de donner un peu plus de légitimité à la recrudescence des attaques contre l’Ukraine. La manœuvre est très grossière et elle est largement démentie dans la plupart des pays.

 
La vice-présidente américaine, Kamala Harri, a par exemple démenti dimanche lors d’un entretien télévisé, les propos de Vladimir Poutine, selon qui « les quatre auteurs » de l’attentat perpétré vendredi dans une salle de concerts à Moscou ont été arrêtés « alors qu’ils se dirigeaient vers l’Ukraine ».

Le président russe n’avait même pas mentionné la revendication de ce massacre, qui a fait au moins 137 morts, par le groupe jihadiste Etat islamique (EI).

En dénonçant un acte « terroriste barbare », Vladimir Poutine avait annoncé samedi lors d’une allocution télévisée que « les quatre auteurs » de l’attentat perpétré vendredi dans une salle de concerts à Moscou avaient été arrêtés « alors qu’ils se dirigeaient vers l’Ukraine ». Le président russe n’avait même pas mentionné la revendication de ce massacre, qui a fait au moins 137 morts, par le groupe jihadiste Etat islamique (EI).

 

COP 28: À défaut du pétrole, Macron demande l’arrêt du charbon !

COP 28: À défaut du pétrole, Macron demande l’arrêt du charbon !


Macron qui ne réussit guère à s’imposer au plan international sort de sa poche un slogan pour demander qu’on fixe une date pour l’arrêt du charbon. Évidemment ce n’est pas tellement l’objectif central mais c’est mieux que rien. À défaut de grives on mange des merles ! La France peut s’honorer d’utiliser très peu de charbon ( une seule centrale qui va fermer) par contre elle utilise comme d’autres beaucoup d’énergie fossile en particulier du pétrole dans le transport et beaucoup de gaz.

Du coup, M acron a polarisé son discours autour du charbon. Histoire aussi d’ennuyer l’Allemagne qui a supprimé son nucléaire et qui est contrainte maintenant de relancer des centrales à charbon (et au gaz.)

Le président de la République a plus ou moins exhorté les pays développés à suivre l’exemple de la France à l’occasion de la COP 28

« Les pays les plus émetteurs doivent entrer dans cette logique de planification écologique et de transparence. » Et « si le G7 a une responsabilité majeure », « la Chine, qui est désormais le deuxième pays émetteur historique », doit aussi prendre sa part, a estimé le chef de l’État.

Si elle se permet de donner des leçons, c’est que la France n’a « pas à rougir de son bilan et de la crédibilité de son action », défend-on dans l’entourage du président, en rappelant que la planification écologique présentée en septembre dernier « permet de déterminer de manière précise, année après année par secteur, comment on va réduire notre dépendance aux fossiles ». Et le projet contesté de forages pétroliers en Gironde, qui vient de recevoir un avis favorable à l’issue d’une enquête publique, n’est pas un contre-exemple, assure-t-on à l’Élysée. « Il s’inscrit dans le respect du cadre légal adopté en 2017 » qui interdit de prolonger les concessions existantes au-delà de 2040.

À défaut du pétrole, Macron demande l’arrêt du charbon !

À défaut du pétrole, Macron demande l’arrêt du charbon !


Macron qui ne réussit guère à s’imposer au plan international sort de sa poche un slogan pour demander qu’on fixe une date pour l’arrêt du charbon. Évidemment ce n’est pas tellement l’objectif central mais c’est mieux que rien. À défaut de grives on mange des merles ! La France peut s’honorer d’utiliser très peu de charbon ( une seule centrale qui va fermer) par contre elle utilise comme d’autres beaucoup d’énergie fossile en particulier du pétrole dans le transport et beaucoup de gaz.

Du coup, M acron a polarisé son discours autour du charbon. Histoire aussi d’ennuyer l’Allemagne qui a supprimé son nucléaire et qui est contrainte maintenant de relancer des centrales à charbon (et au gaz.)

Le président de la République a plus ou moins exhorté les pays développés à suivre l’exemple de la France à l’occasion de la COP 28

« Les pays les plus émetteurs doivent entrer dans cette logique de planification écologique et de transparence. » Et « si le G7 a une responsabilité majeure », « la Chine, qui est désormais le deuxième pays émetteur historique », doit aussi prendre sa part, a estimé le chef de l’État.

Si elle se permet de donner des leçons, c’est que la France n’a « pas à rougir de son bilan et de la crédibilité de son action », défend-on dans l’entourage du président, en rappelant que la planification écologique présentée en septembre dernier « permet de déterminer de manière précise, année après année par secteur, comment on va réduire notre dépendance aux fossiles ». Et le projet contesté de forages pétroliers en Gironde, qui vient de recevoir un avis favorable à l’issue d’une enquête publique, n’est pas un contre-exemple, assure-t-on à l’Élysée. « Il s’inscrit dans le respect du cadre légal adopté en 2017 » qui interdit de prolonger les concessions existantes au-delà de 2040.

Politique-Argentine : encore un président élu par défaut

Politique-Argentine : encore un président élu par défaut

Comme dans d’autres pays, les électeurs en Argentine ont élu un président par défaut. Moins par adhésion aux orientations ultra libérale et anachronique du nouveau président que par rejet de son adversaire qui a contribué à plonger le pays dans une grave crise économique et sociale.

L’ultralibéral et « antisystème » Javier Milei a donc remporté ce dimanche l’élection présidentielle argentine, devançant le ministre de l’Économie Sergio Massa avec plus de 55% des voix.

Le ministre de l’Économie, Adversaire du président élu, a indiqué, devant ses partisans réunis à son QG de campagne à Buenos Aires, avoir appelé Javier Milei pour « le féliciter et lui souhaiter bonne chance ».

Cet économiste « anarcho-capitaliste » comme il se décrit, polémiste des plateaux TV, a surgi en politique il y a deux ans. Dégagiste contre la « caste parasite », il est résolu à « tronçonner » l’ »État-ennemi » et à dollariser l’économie. Pour lui, le changement climatique est un « cycle », non la responsabilité de l’homme. Bref une sorte de copie de Trump en plus compétent cependant mais tout aussi fou. Exemple :son projet de « déréglementer le marché des armes à feu »!

Dès lors, « ce qui joue désormais est moins l’adhésion que le rejet » de l’autre, estimait auprès de l’AFP Gabriel Vommaro, politologue de l’Université San Martin.

Argentine : encore un président élu par défaut

Argentine : encore un président élu par défaut

Comme dans d’autres pays, les électeurs en Argentine ont élu un président par défaut. Moins par adhésion aux orientations ultra libérale et anachronique du nouveau président que par rejet de son adversaire qui a contribué à plonger le pays dans une grave crise économique et sociale.

L’ultralibéral et « antisystème » Javier Milei a donc remporté ce dimanche l’élection présidentielle argentine, devançant le ministre de l’Économie Sergio Massa avec plus de 55% des voix.

Le ministre de l’Économie, Adversaire du président élu, a indiqué, devant ses partisans réunis à son QG de campagne à Buenos Aires, avoir appelé Javier Milei pour « le féliciter et lui souhaiter bonne chance ».

Cet économiste « anarcho-capitaliste » comme il se décrit, polémiste des plateaux TV, a surgi en politique il y a deux ans. Dégagiste contre la « caste parasite », il est résolu à « tronçonner » l’ »État-ennemi » et à dollariser l’économie. Pour lui, le changement climatique est un « cycle », non la responsabilité de l’homme. Bref une sorte de copie de Trump en plus compétent cependant mais tout aussi fou. Exemple :son projet de « déréglementer le marché des armes à feu »!

Dès lors, « ce qui joue désormais est moins l’adhésion que le rejet » de l’autre, estimait auprès de l’AFP Gabriel Vommaro, politologue de l’Université San Martin.

À défaut d’immigration, l’IVG dans la constitution !

À défaut d’immigration, l’IVG dans la constitution

Il est clair que Macron veut tout prix un référendum, histoire d’essayer de se réconcilier avec une population qui le déteste à hauteur d’au moins 70 %. Il avait envisagé le thème de l’immigration mais il vient de l’abandonner après l’échec retentissant de la rencontre avec les partis politiques; rencontre dite de Saint-Denis.

Sur les sujets sociétaux la constitution actuelle ne permet pas l’organisation de référendums. Il faut donc préalablement organiser une modification de la constitution. Cette fois macron propose d’inscrire l’IVG dans la constitution. Un sujet qui ne pose pourtant aucun problème puisque la quasi-totalité des mouvements politiques et sociaux approuve l’IVG pratiquée dans les conditions actuelles. C’est en quelque sorte un non sujet mais justement choisi par Macron pour essayer de récupérer enfin une majorité à une élection.

Le texte sera présenté le 13 décembre en Conseil des ministres, avant une possible réunion du Congrès en mars.

Le texte devrait être examiné au Parlement au premier trimestre 2024, avant que les députés et sénateurs se réunissent en Congrès.

Trois questions sur l’inscription de l’IVG dans la Constitution annoncée par Emmanuel Macron
Ce texte devrait être examiné au Parlement au premier trimestre 2024. Il faudra ensuite que 3/5e des députés et sénateurs, réunis lors du Congrès, avalisent la formulation, qui vise à faire de l’IVG un droit « irréversible », selon la promesse d’Emmanuel Macron.

À défaut de politique Écologique, « un conseil de planification » !

À défaut de politique Écologique, « un conseil de planification » !

En amont du budget, devrait se réunir le fantomatique conseil de planification écologique. Encore un curieux objet politique dans le président de la république a le secret pour se substituer au ministère du plan où Bayrou, le paresseux, ne sert à rien. En fait de conseil de planification, il s’agit d’un machin sorte de comité interministériel élargi qui devrait se contenter de reprendre les mesures anecdotiques décidées par le gouvernement.
Par contre, il n’indiquera sans doute pas par exemples le calendrier et les moyens de financement pour les centrales nucléaires si indispensables pour l’indépendance énergétique et pour le pouvoir d’achat des Français.

Pas l’avantage qu’il indiquera comment trouver les 100 milliards destinés au financement du ferroviaire théoriquement destiné à remplacer une partie de la mobilité automobile.

Bien entendu il ne sera pas question de la contradiction entre l’écologie et la fausse impulsion du gouvernement pour faire baisser les prix du carburant. Bref la contradiction entre fin du monde et fin de mois.

Le chef de l’Etat va « fixer le cap » de la France avec l’objectif de 55% de réduction des émissions de gaz à effet de serre à l’horizon 2030. Un objectif qui ne mange pas de pain surtout quand les moyens ne sont pas à la hauteur.

Le choix de ce format risque de surprendre ceux qui s’attendaient à un grand rendez-vous dans un lieu emblématique, comme la Cité des Sciences à Paris, dont le nom avait circulé dans la presse. « Le Conseil de planification écologique est un moment important et solennel (…) pour endosser ce plan et ouvrir une nouvelle page du quinquennat », a répliqué un conseiller présidentiel.

Ce format semblait aussi plus « approprié » après la présentation des grands enjeux de la planification écologique par la Première ministre aux chefs de partis le 18 septembre, a-t-il ajouté.

Sujet de crispation, la question de l’articulation entre écologie et pouvoir d’achat s’est alors invitée dans la réunion au moment où les prix de l’énergie et du carburant flambent.

En amont du projet de budget 2024, qui sera présenté mercredi en Conseil des ministres, l’exécutif doit expliquer comment il entend répartir les 7 milliards d’euros supplémentaires promis pour la transition écologique.

Le gouvernement pourrait notamment financer une hausse du bonus écologique pour l’achat de véhicules électriques.

Il promet aussi des réponses sur le financement des RER métropolitains dans une dizaine de villes, objet d’une proposition de loi en cours d’examen au Parlement.

Des mesures sont également attendues pour des rénovations énergétiques de logements plus « performantes ».

États-Unis : «compromis» avec les Républicains pour éviter un défaut

États-Unis : «compromis» avec les Républicains pour éviter un défaut »


Comme souvent, un accord de dernière minute a été trouvé aux États-Unis pour trouver un accord entre les forces politiques afin de relever le plafond de la dette. Théoriquement cet accord a été conclu avec les républicains sous réserve de réduction des dépenses publiques.

Finalement les États-Unis se sont une nouvelle fois fait fait peur pour rien et les bourses devraient en profiter ses prochains jours pour enregistrer des hausses

«Nous sommes parvenus à un accord budgétaire bipartisan que nous sommes prêts à soumettre à l’ensemble du Congrès», a déclaré Joe Biden lors d’une brève apparition devant les médias dimanche soir à la Maison Blanche. «L’accord permet d’éviter la pire crise possible: un défaut de paiement pour la première fois dans l’histoire de notre pays, une récession économique, des comptes épargne retraite dévastés, des millions d’emplois perdus», a poursuivi le président. «Cet accord part maintenant à la Chambre des représentants et au Sénat. J’invite fermement les deux chambres à l’adopter», a-t-il ajouté.

Sans relèvement de cette limite, la première puissance mondiale risquait de se trouver en défaut de paiement le 5 juin, incapable d’honorer ses engagements financiers : salaires, retraites ou remboursements à ses créanciers. Comme toutes les grandes économies ou presque, les États-Unis vivent à crédit. Mais contrairement aux autres pays développés, l’Amérique bute régulièrement sur une contrainte juridique : le plafond de la dette, le montant maximal d’endettement des États-Unis, qui doit être formellement relevé par le Congrès.

L’accord de principe trouvé samedi soir donne un peu d’air aux marchés financiers, qui n’ont jamais réellement paniqué mais que cette paralysie commençait à impatienter. Il est de fait très courant que des compromis de dernière minute soient conclus sur ce type de dossier.

Finances États-Unis : un risque de défaut dommageable pour l’économie mondiale

Finances États-Unis : un risque de défaut dommageable pour l’économie mondiale

« L’économie mondiale, déjà confrontée à une si forte incertitude, aurait pu se passer d’un risque de défaut des États-Unis, a déploré Kristalina Georgieva qui espère toutefois- comme d’habitude- une « solution de dernière minute ».

La première puissance mondiale ne peut dépasser un certain montant d’endettement, fixé actuellement à 31.400 milliards de dollars. Ce plafond, mis en place en 1917, avait initialement pour but de permettre au Trésor américain, en temps de guerre, d’obtenir des marges de manœuvre budgétaires sans solliciter en permanence les parlementaires. Ces derniers pouvaient conserver un droit de regard à travers cette limitation de la dette. Une fois que le plafond est atteint, comme c’est le cas depuis fin janvier, il appartient au Congrès américain de voter un relèvement de ce plafond.

Afin d’éviter un défaut de paiement, Joe Biden doit donc au plus vite trouver un accord avec les républicains. Ces derniers, majoritaires à la Chambre des représentants, conditionnent le relèvement du plafond de la dette à une réduction des dépenses fédérales. Ils souhaiteraient les ramener au niveau de 2022, ce qui reviendrait à couper 130 milliards de dollars de fonds publics.

Hausse des taux : Autour de 50 pays proche du défaut de paiement

Hausse des taux : Autour de 50 pays proche du défaut de paiement

A ce jour, « 52 pays sont soit surendettés, soit au bord du surendettement et potentiellement en défaut de paiement », selon les Nations Unies. Or, la hausse des taux d’intérêt alourdit encore plus la charge de leur dette souveraine. De quoi les empêcher durablement – en plus de l’aggravation des troubles sociaux – d’opérer toute transition alors que le contexte de guerre en Ukraine a augmenté l’importance de l’indépendance énergétique, souligne l’ONU.

Selon le PNUD, environ 15% des pays à faible revenu sont en situation de « surendettement », selon le FMI. Un nombre record de 349 millions de personnes dans 79 pays sont ainsi confrontées à une « insécurité alimentaire aiguë », a écrit l’institution basée à Washington.
Or, certains pays dépensent déjà 20% de leur budget pour rembourser les intérêts de leur dette, selon l’ONU.

Le chef du Programme des Nations unies pour le développement (PNUD), Achim Steiner, a expliqué que la hausse chronique des taux d’intérêt épuisait les finances de pays déjà accablés par la crise du Covid-19, les conséquences de la guerre en Ukraine et leurs difficultés structurelles. La situation pour eux « en termes de dette souveraine est vraiment très sérieuse », a-t-il expliqué dans une interview à l’AFP à Doha, en marge d’un sommet des Pays les moins avancés (PMA).

Selon une étude du PNUD parue le mois dernier, « 52 pays sont soit surendettés, soit au bord du surendettement et potentiellement en défaut de paiement », a-t-il indiqué.

Et 25 de ces 52 pays utilisent « un cinquième du budget de leur gouvernement pour payer les intérêts de leur dette », a-t-il ajouté. « Ce n’est pas tenable ».

À défaut de relèvement des salaires, la prime Macron

À défaut de relèvement des salaires, la prime Macron 

À défaut d’un mécanisme incitant les entreprises à relever les rémunérations, les salariés devront se contenter d’une prime forcément aléatoire.

Si on se réfère au montant de la dernière prime Macron, le montant du mécanisme adopté par l’assemblée nationale devrait permettre aux salariés de toucher autour de 500 € en moyenne. Or  en intégrant les augmentations de salaires, les pertes de revenus des salariés en moyenne devraient atteindre près de 2000 € pour l’année.

De ce point de vue, le cadeau accordé par l’Assemblée nationale peut laisser sceptique.

Ainsi les employeurs pourront verser jusqu’au 31 décembre 2023 une prime exceptionnelle d’un montant maximal de 3.000 euros (ou 6.000 euros en cas d’accord d’intéressement), exonérée d’impôt sur le revenu et de cotisations et contributions sociales, pour les salariés dont le revenu équivaut à moins de trois fois la valeur du Smic.

Il s’agit du prolongement de la « prime Macron », instaurée en 2019 lors de la crise des gilets jaunes, mais avec un triplement du plafond de cette prime. D’après l’étude d’impact faite par le gouvernement, plus de 15 millions de personnes ont bénéficié de cette prime entre 2019 et 2022, pour un montant moyen de la prime s’élevant à 542 euros.

Le montant maximal de la prime et le niveau maximal de rémunération pouvant y donner accès devront faire l’objet d’un accord d’entreprise ou de groupe ou, à défaut, d’une décision unilatérale de l’employeur.

Pouvoir d’achat et Inflation : des chèques à défaut de réformes structurelles

Pouvoir d’achat et Inflation : des chèques à défaut de réformes structurelles

À défaut de réformes structurelles concernant les conditions de fonctionnement du marché, le gouvernement va s’en remettre à des expédients comme l’envoi de chèque aux plus démunis. Des chèques d’un montant évidemment insuffisant pour faire face à la montée des dépenses contraintes des plus défavorisés mais évidemment des chèques provisoires.

Il est clair que la réforme de certains marchés comme par exemple celui de l’énergie, du logement aurait exigé des transformations autrement plus significatives.
Bref, pour résumer il faut s’attendre à la distribution d’un chèque de 100 € environ qui ne couvriront qu’à peine 50 % des dépenses supplémentaires causées par l’inflation pour les ménages les plus modestes. Et encore une fois une aide temporaire

Le « chèque alimentaire » ciblera  les ménages modestes soit près de 9 millions de foyers.

 

Le nouveau chèque visera plus large, mais son montant moyen par ménage sera un peu moins élevé. Selon nos informations, y auront droit les foyers allocataires du revenu de solidarité active (RSA), de l’allocation adultes handicapés (AAH), du minimum vieillesse (ASPA) ou de l’aide personnalisée au logement (APL). Ils recevront 100 euros par foyer, plus 50 euros par enfant à charge.

Inflation : des chèques à défaut de réformes structurelles

Inflation : des chèques à défaut de réformes structurelles

 

À défaut de réformes structurelles concernant les conditions de fonctionnement du marché, le gouvernement va s’en remettre à des expédients comme l’envoi de chèque aux plus démunis. Des chèques d’un montant évidemment insuffisant pour faire face à la montée des dépenses contraintes des plus défavorisés mais évidemment des chèques provisoires.

Il est clair que la réforme de certains marchés comme par exemple celui de l’énergie, du logement aurait exigé des transformations autrement plus significatives.
Bref, pour résumer il faut s’attendre à la distribution d’un chèque de 100 € environ qui ne couvriront qu’à peine 50 % des dépenses supplémentaires causées par l’inflation pour les ménages les plus modestes. Et encore une fois une aide temporaire

Le « chèque alimentaire » ciblera  les ménages modestes soit près de 9 millions de foyers.

 

Le nouveau chèque visera plus large, mais son montant moyen par ménage sera un peu moins élevé. Selon nos informations, y auront droit les foyers allocataires du revenu de solidarité active (RSA), de l’allocation adultes handicapés (AAH), du minimum vieillesse (ASPA) ou de l’aide personnalisée au logement (APL). Ils recevront 100 euros par foyer, plus 50 euros par enfant à charge.

Macron : une réélection par défaut

Macron : une réélection par défaut

 

Le président engagera son second mandat lesté de deux hypothèques : une conjoncture économique mondiale dégradée et, surtout, une majorité de Français qui l’attendent avec des piques et des fourches, explique, dans sa chronique, Jean-Michel Bezat, journaliste au « Monde ».

 

La France a évité le pire : Marine Le Pen, candidate du Rassemblement national (RN), n’entrera pas à l’Elysée. Le pire ? Il se déclinait de multiples façons : déception rapide des classes populaires flouées, incertitude des chefs d’entreprise et des investisseurs, fuite en avant budgétaire, repli protectionniste et mort programmée de l’Union européenne, sécession nationaliste et mise au ban internationale… Sans oublier d’inévitables tensions communautaires sur le port du voile dans l’espace public ou l’attribution des logements sociaux. Ce cocktail explosif, l’économie française en aura justement fait l’économie.

Le pays a-t-il pour autant opté pour le meilleur ? Emmanuel Macron engagera son second mandat lesté de deux lourdes hypothèques, sur lesquelles il a peu de prise : une conjoncture économique mondiale plus dégradée qu’il y a cinq ans ; et, surtout, une majorité de Français – partisans de Marine Le Pen et de Jean-Luc Mélenchon ou abstentionnistes – qui l’attendent avec des piques et des fourches, et d’abord sur le pouvoir d’achat. Comme si les fins de mois relevaient des seuls pouvoirs d’un président thaumaturge.

Dans son rapport « Perspectives 2022 » publié mardi 19 avril, le Fonds monétaire international (FMI) brosse une sombre toile de fond : envolée des prix de l’énergie, de l’alimentation et des biens manufacturés, croissance mondiale ramenée de 4,4 % à 3,6 % (2,9 % en France) sous l’effet de la guerre en Ukraine et des confinements chinois pour endiguer la pandémie de Covid-19, « forte probabilité » d’un relèvement des taux d’intérêt, évoqué par la présidente de la Banque centrale européenne, Christine Lagarde, et déjà engagé aux Etats-Unis.

Le FMI s’alarme de « la fracture des relations internationales, qui pourrait saper la confiance et la coopération essentielles pour relever les défis de long terme, notamment le changement climatique ». Son économiste en chef, Pierre-Olivier Gourinchas, note que « les risques sont comparables à la situation du début de pandémie », en mars 2020, où la visibilité des conjoncturistes était très limitée.

Malgré l’horizon qui s’assombrit (ou à cause de lui), M. Macron ne bénéficiera d’aucun état de grâce pour mener ses réformes économiques et sociales. Qui a d’ailleurs vraiment connu cette parenthèse bienveillante que l’on accorde au président fraîchement élu, à l’exception de François Mitterrand en 1981, porteur de tous les espoirs d’un « peuple de gauche » frustré du pouvoir depuis si longtemps ? En 2017, il n’avait fallu que quelques semaines pour que la défiance s’installe entre le président élu et les Français.

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