Archive pour le Tag 'Défaite'

Rugby 15-Angleterre-Afrique du Sud : défaite du XV de la Rose

Rugby 15-Angleterre-Afrique du Sud : défaite du XV de la Rose 

Les Anglais encore battus cette fois par l’Afrique du Sud ; ils alignent trois défaites en autant de rencontres, face aux All Blacks (22-24), à l’Australie (37-42) et donc, l’Afrique du Sud. Pire, les joueurs de Steve Borthwick n’ont plus gagné depuis… le 22 janvier 2024. Le XV de la Rose n’est (pour l’instant) plus invité à la table des cadors du rugby mondial.

Ukraine : plan de la victoire ou de la défaite

Ukraine : plan de la victoire ou de la défaite

Zelensky fait actuellement la promotion de son plan de victoire mais qui pourrait se révéler un plan de défaite en cas d’accession au pouvoir de Trump prêt à brader l’Ukraine à Poutine

S’il est élu le 5 novembre, l’ex-président républicain voudra régler le conflit ukrainien à sa manière, directement avec Vladimir Poutine. C’est un défi majeur auquel l’Europe n’est pas préparée, alerte Sylvie Kauffmann, éditorialiste au « Monde »,

Ainsi, Donald Trump et Vladimir Poutine seraient de vieilles connaissances qui se parlent régulièrement au téléphone, jusqu’à sept fois depuis que le premier a quitté la Maison Blanche en 2021, y compris après l’invasion de l’Ukraine par la Russie, le 24 février 2022. Révélée par Bob Woodward, le célèbre journaliste américain, dans un livre qui vient de paraître aux Etats-Unis, War (« guerre », Simon & Schuster, 448 pages, non traduit), l’information n’a pas été formellement démentie par l’équipe Trump. Elle ne présage, en tout cas, rien de bon pour l’avenir de l’Ukraine, dont le sort est aujourd’hui largement lié au résultat de l’élection présidentielle aux Etats-Unis, le 5 novembre.

Le candidat républicain s’est vanté de pouvoir résoudre la crise ukrainienne en l’espace de vingt-quatre heures, s’il était élu. Personne ne croit sérieusement que cela soit possible, mais on sait suffisamment de choses sur sa vision de la Russie pour imaginer les contours de la solution envisagée. Colistier de Trump et candidat à la vice-présidence, J. D. Vance a d’ailleurs avancé un scénario qui impliquerait la neutralité de l’Ukraine – donc l’impossibilité pour Kiev de rejoindre l’alliance occidentale. C’est, rappelons-le, une des exigences de la Russie.
Il faut donc imaginer ce qu’une éventuelle victoire de Donald Trump, le soir du 5 novembre, parfaitement plausible à trois semaines du scrutin, signifierait pour l’Ukraine. Cette fois-ci, contrairement au soir du 3 novembre 2020, il est prêt. Il a un plan pour l’Ukraine. Logiquement, il demandera l’abandon de l’aide militaire américaine à Kiev. Elle ne s’arrêtera pas du jour au lendemain, mais une telle annonce bouleversera brutalement le paysage stratégique : les Européens ne sont pas en mesure de compenser la perte de l’aide américaine. L’armée ukrainienne aura de plus en plus de mal à résister à l’offensive russe.

Trump pourra alors proposer à Vladimir Poutine d’ouvrir des négociations, dans les termes que l’on devine sans peine, puisque les Ukrainiens se trouveraient en position de faiblesse. Ce serait, en réalité, pour l’Ukraine, les pourparlers de la défaite.

Ukraine : plan de la victoire ou de la défaite

Ukraine : plan de la victoire ou de la défaite

Zelensky Fait actuellement la promotion de son plan de victoire mais qui pourrait se révéler un plan de défaite en cas d’accession au pouvoir de Tran prêt à brader l’Ukraine à Poutine

S’il est élu le 5 novembre, l’ex-président républicain voudra régler le conflit ukrainien à sa manière, directement avec Vladimir Poutine. C’est un défi majeur auquel l’Europe n’est pas préparée, alerte Sylvie Kauffmann, éditorialiste au « Monde »,

Ainsi, Donald Trump et Vladimir Poutine seraient de vieilles connaissances qui se parlent régulièrement au téléphone, jusqu’à sept fois depuis que le premier a quitté la Maison Blanche en 2021, y compris après l’invasion de l’Ukraine par la Russie, le 24 février 2022. Révélée par Bob Woodward, le célèbre journaliste américain, dans un livre qui vient de paraître aux Etats-Unis, War (« guerre », Simon & Schuster, 448 pages, non traduit), l’information n’a pas été formellement démentie par l’équipe Trump. Elle ne présage, en tout cas, rien de bon pour l’avenir de l’Ukraine, dont le sort est aujourd’hui largement lié au résultat de l’élection présidentielle aux Etats-Unis, le 5 novembre.

Le candidat républicain s’est vanté de pouvoir résoudre la crise ukrainienne en l’espace de vingt-quatre heures, s’il était élu. Personne ne croit sérieusement que cela soit possible, mais on sait suffisamment de choses sur sa vision de la Russie pour imaginer les contours de la solution envisagée. Colistier de Trump et candidat à la vice-présidence, J. D. Vance a d’ailleurs avancé un scénario qui impliquerait la neutralité de l’Ukraine – donc l’impossibilité pour Kiev de rejoindre l’alliance occidentale. C’est, rappelons-le, une des exigences de la Russie.
Il faut donc imaginer ce qu’une éventuelle victoire de Donald Trump, le soir du 5 novembre, parfaitement plausible à trois semaines du scrutin, signifierait pour l’Ukraine. Cette fois-ci, contrairement au soir du 3 novembre 2020, il est prêt. Il a un plan pour l’Ukraine. Logiquement, il demandera l’abandon de l’aide militaire américaine à Kiev. Elle ne s’arrêtera pas du jour au lendemain, mais une telle annonce bouleversera brutalement le paysage stratégique : les Européens ne sont pas en mesure de compenser la perte de l’aide américaine. L’armée ukrainienne aura de plus en plus de mal à résister à l’offensive russe.

Trump pourra alors proposer à Vladimir Poutine d’ouvrir des négociations, dans les termes que l’on devine sans peine, puisque les Ukrainiens se trouveraient en position de faiblesse. Ce serait, en réalité, pour l’Ukraine, les pourparlers de la défaite.

 

PSG -Arsenal: une défaite attendue

 PSG -Arsenal: une défaite attendue

 

Une défaite 2-0 hélas attendue qui traduit surtout la différence d’engagement dans les deux championnats respectifs. Il aura fallu attendre une bonne mi-temps pour que le PSG se mette à niveau, en vain . Une défaite qui reflète la différence entre une équipe comme Arsenal qui joue sur le rythme européen tous les week-ends est une équipe du PSG qui joue à mi-temps comme depuis des années.

Foot ligue 1: première défaite de l’OM

Foot ligue 1: première défaite de l’OM

L’OM a concédé sa première défaite de la saison ce dimanche, en s’inclinant à Strasbourg (1-0). Les hommes de Roberto De Zerbi ont payé cher leur première période ratée et voient désormais le PSG et Monaco les devancer de trois points en tête du classement. 

Trump renonce à se présenter….. en 2028 , ouf !

Trump, 78 ans,  exclut de se représenter en 2028, en cas de défaite en novembre

 

Donald Trump a exclu lors d’une interview diffusée dimanche de se présenter à la présidentielle américaine de 2028, en cas de défaite à l’élection de novembre. En clair, l’intéressé n’exclut donc pas de se représenter en cas de victoire en 2024. En 2028 il aurait alors 82 ans. Justement le principal reproche fait à Biden : la question de l’âge !

 

Notons par ailleurs que conteste toujours par avance les résultats de l’élection de novembre !

 

 

Législatives: Victoire de la gauche ou défaite du RN

Législatives: Victoire de la gauche ou défaite du RN

Une nouvelle fois le résultat des législatives ( comme celle d’ailleurs des présidentielles) soulève une énorme ambiguïté. S’agit-il en effet d’une victoire–relative- de la gauche ou d’une défaite du Rassemblement national. 

Les Français depuis des décennies ont surtout pris l’habitude de voter d’abord contre des responsables plutôt que pour un candidat. En réalité, la victoire affichée de la gauche se nourrit surtout d’un rejet du rassemblement national. Pour preuve,  les énormes divergences idéologiques et politiques de ceux  qui ont surtout voulu manifester leur opposition à la perspective d’une arrivée au pouvoir du rassemblement national.

Idéologiquement les opposant au Rassemblement national vont des marxiste aux libéraux en passant par les sociaux-démocrates. Une alliance évidemment contre nature et surtout destinée à bloquer le camp d’en face. On retrouvera rapidement ces contradictions quand il faudra se situer face à la problématique de gestion et à ses contraintes.

Il y a au moins 45 ans que dure l’ambiguïté entre le vote pour et le vote contre. Ainsi par exemple Mitterrand a cru pouvoir appliquer son programme alors qu’en réalité c’est suite surtout Giscard d’Estaing qui a été victime d’un vote contre. Pour preuve à peine deux ans après Mitterrand a opéré un virage à 180°. Même chose souvent pour les présidents qui lui ont succédé. Macron en fait a été élu surtout grâce aux voix de gauche et s’est cru mandaté pour appliquer une politique de droite en plus très confuse et contradictoire.

Aucune conclusion n’a été intégrée par les partis politiques à propos de cette ambiguïté permanente. Pour preuve les cris de victoire chez les gagnants qui correspond surtout à la volonté de défaire le camp d’en face et non une adhésion à un projet par ailleurs souvent illusoire et démagogique.

Victoire de la gauche ou défaite du RN

 

Une nouvelle fois le résultat des législatives ( comme celle d’ailleurs des présidentielles) soulève une énorme ambiguïté. S’agit-il en effet d’une victoire–relative- de la gauche ou d’une défaite du Rassemblement national. 

Les Français depuis des décennies ont surtout pris l’habitude de voter d’abord contre des responsables plutôt que pour . En réalité, la victoire affichée de la gauche se nourrit surtout d’un rejet du rassemblement national. Pour preuve,  les énormes divergences idéologiques et politiques de ceux  qui ont surtout voulu manifester leur opposition à la perspective d’une arrivée au pouvoir du rassemblement national.

Idéologiquement les opposant au Rassemblement national vont des marxiste aux libéraux en passant par les sociaux-démocrates. Une alliance évidemment contre nature et surtout destinée à bloquer le camp d’en face. On retrouvera rapidement ces contradictions quand il faudra se situer face à la problématique de gestion et à ses contraintes.

 

Royaume-Uni : Défaite historique des conservateurs à prévoir

Royaume-Uni : Défaite historique des conservateurs à prévoir

Le parti conservateur devrait se contenter de seulement 140 sièges à la chambre des communes pour 422 aux travaillistes. Une défaite historique, d’une certaine manière largement imputable au Brexit

Le Parti conservateur, au pouvoir, est crédité de 140 sièges. La majorité absolue aux Communes est de 326 sièges.

Le Premier ministre, Rishi Sunak, a convoqué le 22 mai dernier des élections anticipées, soulignant que « le moment [était] venu pour la Grande-Bretagne de choisir son avenir ».

 

L’Occident a peur aussi bien d’une défaite russe (Zelensky)

L‘Occident a peur aussi bien d’une défaite russe (Zelensky)

Le président ukrainien adresse de reproches fondamentaux aux occidentaux à savoir la fourniture toujours en retard d’équipement militaire et en particulier de munitions mais aussi la peur des alliés en cas de défaite Russe qui déstabiliserait et le pays est peut-être la région. D’où les interdictions et les limites déterminées par les alliés quant à l’utilisation des armes visant le sol russe.

Volodymyr Zelensky a estimé vendredi que l’Occident avait «peur» aussi bien d’une défaite russe que d’une défaite ukrainienne, une situation qu’il qualifie d’«absurde». «Nous nous trouvons dans une situation absurde où l’Occident a peur que la Russie perde la guerre. Et (en même temps) il ne veut pas que l’Ukraine la perde. Parce que la victoire finale de l’Ukraine mènera à la défaite de la Russie. Et la victoire finale de la Russie mènera à la défaite de l’Ukraine», a-t-il dit.

L’Ukraine n’a qu’un quart des systèmes de défense antiaérienne dont elle a besoin et a besoin de  120 à 130 avions de combat F-16 pour pouvoir prétendre mettre fin à la domination de la Russie dans les airs, a estimé vendredi le président ukrainien Volodymyr Zelensky. «Aujourd’hui, nous avons 25% de ce dont on a besoin pour défendre l’Ukraine, je parle de systèmes de défense aérienne» en particulier les puissants systèmes américains Patriots, a estimé Zelensky, ajoutant que son pays avait besoin de «120 à 130» avions de combat F-16 ou autres appareils modernes, «pour que la Russie n’ait pas la supériorité dans les airs». «Peut-on avoir trois milliards pour acquérir deux (Patriots) pour la région de Kharkiv (cible d’assauts continus), comme ça les bombes ne tomberont plus sur nos soldats?», a-t-il interrogé.

Le président ukrainien a reconnu que son pays manquait d’hommes et que cela affectait le moral des troupes, alors qu’une nouvelle loi sur la mobilisation entre en vigueur samedi pour regarnir les rangs de l’armée. «On doit remplir les réserves (…) Il y a un nombre important de brigades qui sont vides. On doit le faire pour que les gars (qui sont sur le front) puissent avoir des rotations normales. C’est comme ça que le moral s’améliorera», a-t-il dit.

Pour lui, la Russie veut attaquer la ville de Kharkiv, deuxième ville du pays, à seulement quelques dizaines de kilomètres du front. Moscou avait déjà échoué à la prendre en 2022 et Vladimir Poutine a affirmé vendredi ne pas avoir l’intention de l’attaquer «pour l’instant». Le président ukrainien a assuré que la bataille pour la cité, s’il y avait, serait rude pour l’armée russe. «Ils le veulent, ils veulent attaquer», a-t-il dit, mais «ils comprennent que c’est une bataille difficile. C’est une grande ville et ils comprennent qu’on a des forces et qu’elles combattront longtemps».

Il s’agit désormais pour l’Ukraine et ses alliés occidentaux de ne pas montrer de faiblesse, réclamant donc deux systèmes antiaériens Patriot pour défendre le ciel de la région et les soldats qui la défendent, a estimé le président. «Ils sont comme une bête (….) S’ils sentent une faiblesse dans cette direction, ils pousseront», a mis en garde Zelensky, mais si les troupes ukrainiennes arrivent à arrêter celles de la Russie, elle renoncera. «Ils ne vont pas mourir par millions, selon moi, pour avoir Kharkiv.»

La Russie n’a pas les moyens de lancer un nouvel assaut d’ampleur contre Kiev, a jugé vendredi le président ukrainien Volodymyr Zelensky, alors que Moscou est à l’offensive dans l’Est et le nord-est de l’Ukraine. «Ils n’ont pas les forces pour une offensive d’ampleur sur la capitale comme ils l’avaient fait au début de l’invasion», a estimé Zelensky, qui pense que le Donbass (est), et Kharkiv (nord-est) sont les cibles principales du Kremlin.

Élections Turquie : large défaite pour Erdogan

Élections Turquie : large défaite pour Erdogan

 

Le principal parti de l’opposition, le CHP (social-démocrate), a infligé au parti de la justice et du développement (AKP, islamo-conservateur) du président turc Recep Tayyip Erdogan sa pire défaite électorale en deux décennies.

le CHP a revendiqué sa victoire à Istanbul et Ankara, les deux plus grandes villes de Turquie, et raflé de nombreuses autres, comme Bursa, grosse ville industrielle du nord-ouest acquise à l’AKP depuis 2004

Moins d’un an après sa défaite à la présidentielle de 2023, le parti d’opposition CHP a remporté les plus grandes villes du pays: Istanbul, Ankara, Izmir, ou encore Bursa, Antalya et Adana. «Avec cette élection, les Stambouliotes ont adressé un message au gouvernement: la tutelle d’un seul homme est terminée!», a lancé Ekrem Imamoglu dans la soirée de dimanche, devant une foule joyeuse massée devant la mairie d’Istanbul.

Même si les sondages le donnaient gagnant avec une légère avance sur son adversaire et ex-ministre de l’Urbanisation, Murat Kurum, il savait sa route minée par son véritable rival politique, le président Recep Tayyip Erdogan. Déterminé à reconquérir son fief d’Istanbul, où il se lança en politique à la fin des années 1990, ce dernier avait jeté toute sa stature de chef d’État dans la campagne, à renfort de meetings à travers le pays comme dans…

 

Sondage Élections Européennes : une potiche en tête chez Macron pour assumer la défaite

Sondage Élections Européennes : une potiche en tête chez Macron pour assumer la défaite

 

Sondage après sondage sondage après sondage, il se confirme que la majoritée va subir une grave défaite aux élections européennes. En moyenne les sondages donnent près de 30 % au rassemblement national et à peine 20 % pour la majorité. Les autres partis importants à savoir les insoumis, les écolos et le parti républicain pour de 8 % tandis que l’e PS approche les 12 %. La gauche retrouve particulièrement minoritaire dans le pays. Le pouvoir de son côté va recevoir une claque monumentale qui confirme le déclin inéluctable de Macron. Comme, c’était prévisible il y a bien peu de candidats pour prendre la tête de liste du camp macron aux élections européennes. En effet, la majorité s’apprête à prendre une belle déculottée avec un score qui pourrait être moitié moins important que celui du rassemblement national. Une véritable déroute en vérité d’autant que les élections européennes servent souvent de défoulement et enregistre par ailleurs des taux d’abstention record.
Du coup, on s’est rabattu sur une euro députée de 37 ans du groupe renew complètement inconnue très représentative de la sociologie politique macronienne. C’est en effet une vraie professionnelle ! Elle n’a pratiquement jamais travaillé dans l’économie réelle étant passée de poste d’assistant parlementaire à celui de responsable élu.

Bref quand la politique devient un métier et  quand les convictions se rangent derrière la carrière professionnelle.

La confirmation aussi que Macron aura été incapable au cours de ces deux mandats de faire émerger des responsables nationaux de haut niveau sauf quelques exceptions comme Attal.

Le résultat du règne sans partage du monarque républicain qui ne tolère pas la moindre contestation, la moindre concurrence.

Il faut voir par exemple en ce moment le pauvre ministre de l’agriculture ballottée entre les positions de l’Élysée et celle du Premier ministre. Un ministre de l’agriculture qui manque  de tout de compétence, de courage et de charisme.

La désignation de cette Marcheuse historique, issue du parti de centre droit UDI, doit être entérinée jeudi soir, lors d’un bureau exécutif du parti Renaissance.

Élections Européennes : une inconnue en tête chez Macron pour assumer la défaite

Élections Européennes : une inconnue en tête chez Macron pour assumer la défaite

 

Comme c’était prévisible il y a bien peu de candidats pour prendre la tête de liste du camp macron aux élections européennes. En effet, la majorité s’apprête à prendre une belle déculottée avec un score qui pourrait être moitié moins important que celui du rassemblement national. Une véritable déroute en vérité d’autant que les élections européennes servent souvent de défoulement et enregistre par ailleurs des taux d’abstention record.
Du coup, on s’est rabattu sur une euro députée de 37 ans du groupe renew complètement inconnue très représentative de la sociologie politique macronienne. C’est en effet une vraie professionnelle ! Elle n’a pratiquement jamais travaillé dans l’économie réelle étant passée de poste d’assistant parlementaire à celui de responsable élu.

Bref quand la politique devient un métier et  quand les convictions se rangent derrière la carrière professionnelle.

La confirmation aussi que Macron aura été incapable au cours de ces deux mandats de faire émerger des responsables nationaux de haut niveau sauf quelques exceptions comme Attal.

Le résultat du règne sans partage du monarque républicain qui ne tolère pas la moindre contestation, la moindre concurrence.

Il faut voir par exemple en ce moment le pauvre ministre de l’agriculture ballottée entre les positions de l’Élysée et celle du Premier ministre. Un ministre de l’agriculture qui manque  de tout de compétence, de courage et de charisme.

La désignation de cette Marcheuse historique, issue du parti de centre droit UDI, doit être entérinée jeudi soir, lors d’un bureau exécutif du parti Renaissance.

Listes Européennes : une inconnue en tête chez Macron pour assumer la défaite

Listes Européennes : une inconnue en tête chez Macron pour assumer la défaite

 

Comme c’était prévisible il y a bien peu de candidats pour prendre la tête de liste du camp macron aux élections européennes. En effet, la majorité s’apprête à prendre une belle déculottée avec un score qui pourrait être moitié moins important que celui du rassemblement national. Une véritable déroute en vérité d’autant que les élections européennes servent souvent de défoulement et enregistre par ailleurs des taux d’abstention record.

 
Du coup, on s’est rabattu sur une euro députée de 37 ans du groupe renew complètement inconnue très représentative de la sociologie politique macronienne. C’est en effet une vraie professionnelle ! Elle n’a pratiquement jamais travaillé dans l’économie réelle étant passée de poste d’assistant parlementaire à celui de responsable élu.

Bref quand la politique devient un métier et  quand les convictions se rangent derrière la carrière professionnelle.

La confirmation aussi que Macron aura été incapable au cours de ces deux mandats de faire émerger des responsables nationaux de haut niveau sauf quelques exceptions comme Attal.

Le résultat du règne sans partage du monarque républicain qui ne tolère pas la moindre contestation, la moindre concurrence.

Il faut voir par exemple en ce moment le pauvre ministre de l’agriculture ballottée entre les positions de l’Élysée et celle du Premier ministre. Un ministre de l’agriculture qui manque  de tout de compétence, de courage et de charisme.

La désignation de cette Marcheuse historique, issue du parti de centre droit UDI, doit être entérinée jeudi soir, lors d’un bureau exécutif du parti Renaissance.

Européennes : François-Xavier Bellamy Pour pour le chapeau de la défaite des « républicains »

Européennes : François-Xavier Bellamy pour porter le chapeau de la défaite des « Républicains »

François-Xavier Bellamy a été désigné tête de liste des Républicains (LR) pour les élections européennes prévues le 9 juin, a annoncé lundi le parti politique sur son compte X, anciennement Twitter. Il est clair qu’aucun Grand responsable républicain n’a voulu être désigné pour porter le chapeau de la future défaite. En effet c’est tout juste les sondages donne 10 % au parti des républicains.

À l’issue d’ailleurs de ce scrutin des européennes en fonction de l’ampleur de la défaite on pourrait assister à un nouveau tsunami au sein d’un parti qui progressivement éclate sous l’attraction de Macron mais aussi de ses contradictions. Sans parler de l’insignifiance de sa direction actuelle.

« Le Président des Républicains, Eric Ciotti, vient de l’annoncer : François-Xavier Bellamy conduira la liste des Républicains aux élections européennes ! La droite est de retour ! Rendez-vous le dimanche 9 juin prochain ! », a annoncé LR sur son compte X.

Dans une interview publiée sur le site du Figaro dans la foulée de l’annonce des Républicains, François-Xavier Bellamy a déclaré vouloir « reconstruire une Europe qui donne à nos démocraties les moyens de maîtriser leur destin » lors d’un vote qui a « aussi pour enjeu la reconstruction de notre vie démocratique en France.

(Reportage par Zhifan Liu)

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