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Le prix Nobel de médecine pour la découverte des micro-ARN

Le prix Nobel de médecine pour la découverte des micro-ARN 

 

Le prix Nobel de médecine ou de physiologie 2024 a été attribué aux scientifiquesVictor Ambros (UMASS Chan Medical School, États-Unis) et Gary Ruvkun (Harvard Medical School, États-Unis). Les deux chercheurs ont été gratifiés de cette prestigieuse distinction pour leur découverte des micro-ARN, de minuscules molécules présentes dans nos cellules( dans The Conversation)

Les micro-ARN peuvent être considérés comme de minuscules régulateurs qui modifient le fonctionnement de nos cellules (les microscopiques briques qui constituent notre corps). Ils interviennent en particulier dans l’expression de l’ADN, notre matériel génétique, en déterminant quelles parties sont actives, et quelles parties sont silencieuses. Pour schématiser, les micro-ARN sont aux gènes ce qu’un bouton de volume est à une chaîne hi-fi : ils permettent de les faire fonctionner plus ou moins fort, selon les besoins.

Toutes nos cellules contiennent les mêmes molécules d’ADN, constituées du même nombre de lettres (environ 3 milliards !). Les micro-ARN contrôlent lesquelles de ces lettres sont activées ou désactivées. C’est ce processus crucial, appelé « régulation génique », qui explique pourquoi nos cellules ne sont pas toutes les mêmes : elles se différencient les unes des autres au cours du développement, car elles ne subissent pas toutes l’influence des mêmes micro-ARN.

Cela explique également pourquoi, même si toutes nos cellules contiennent le même ADN, les différentes parties de notre corps n’ont pas la même apparence, et possèdent des fonctions différentes.

Nous savons aujourd’hui qu’il existe des milliers de micro-ARN différents dans nos cellules. Ces molécules sont impliquées dans de très nombreux processus se déroulant tout au long de notre vie dans notre organisme.

Ils guident par exemple le développement, dès les premiers instants de la vie, permettant à la cellule unique qui résulte de l’union d’un spermatozoïde et d’un ovule de donner à terme un être humain constitué de différents tissus et organes.

À mesure que l’on grandit et que l’on vieillit, les micro-ARN continuent de nous maintenir en bonne santé, en ajustant finement l’activité de nos gènes selon les besoins. Au cœur même de notre unicité, ils sont donc aussi indispensables à notre santé. Malheureusement, il arrive qu’ils dysfonctionnent, ce qui peut avoir de graves conséquences.

On sait aujourd’hui que les micro-ARN sont impliqués dans diverses maladies, dont certaines sont particulièrement difficiles à soigner, voire pour lesquelles il n’existe pas encore de traitement. C’est par exemple le cas de certains cancers ou de maladies neurologiques telles que les maladies d’Alzheimer et de Parkinson. En étudiant le rôle joué par les micro-ARN dans ces affections, les scientifiques espèrent parvenir à développer de nouveaux traitements.

Mes équipes et moi-même avons consacré une grande partie de nos recherches à l’étude de ces molécules, et nos travaux ont démontré le rôle important qu’ils jouent dans le développement de nombreux typesdecancers. Nous sommes également parvenus à établir la façon dont les micro-ARN contrôlent divers processus cellulaires importants pour la croissance, la division, ou propagation des tumeurs, ce qui favorise la progression de la maladie. Enfin, nos recherches ont mis en évidence le rôle clé joué par les micro-ARN dans l’activation des cellules souches cancéreuses, des populations cellulaires rares, mais qui sont capables de générer de nouvelles tumeurs.

À l’heure actuelle, les scientifiques explorent des moyens d’utiliser les micro-ARN ou des molécules qui les ciblent en tant que traitements pour diverses maladies. Nous avons par exemple découvert que certains d’entre eux sont sont très efficaces pour désactiver les cellules cancéreuses, et pourraient même être s’avérer utiles en tant que traitements à part entière.

Il est intéressant de souligner que Victor Ambros et Gary Ruvkun ont découvert les microARN en étudiant un petit ver (le nématode Caenorhabditis elegans, un organisme modèle très utilisé en laboratoire, ndlr). Leurs travaux initiaux leur ont fait réaliser que ces molécules étaient capables d’en contrôler la croissance. Plus tard, d’autres scientifiques ont découvert que ces molécules étaient aussi présentes chez les êtres les humains et divers animaux.

Le fait que les micro-ARN sont retrouvés dans tant d’espèces suggère qu’ils ont joué un rôle important tout au long de l’évolution, et qu’ils sont cruciaux pour de nombreux processus biologiques. Mieux les connaître pourrait mener à la mise au point de nouvelles méthodes de diagnostic précoce pour certaines maladies. D’une manière générale, cela pourrait améliorer notre compréhension de la façon dont fonctionne notre corps.

La découverte des micro-ARN est donc une découverte majeure, non seulement parce qu’elle a ouvert la voie à la mise au point de nouveaux outils nous permettant de rester en bonne santé – ou d’améliorer la situation face à certaines maladie, mais aussi parce qu’elle a mis en lumière un mécanisme biologique fondamental, améliorant par là même notablement notre compréhension du vivant. En récompensant les deux chercheurs à l’origine de ces travaux pionniers, le jury Nobel n’a pas manqué de confirmer leur importance majeure pour l’humanité.

Finances publiques: Découverte tardive et subite de la crise financière qui s’annonce !

Finances publiques: Découverte  tardive et subite de la crise financière qui s’annonce !

Finalement il y a à peine quelques jours que médias, institutions et politiques s’inquiètent publiquement de la dangereuse dérive des finances publiques du pays. D’un seul coup, on s’aperçoit que la France dès cette année va dépasser les 6 % de déficit par rapport à la règle  de 3 %. Pas simplement une règle européenne tout simplement un principe d’équilibre pour éviter d’alourdir les charges financières pour rembourser les emprunts en tout cas les intérêts. Ce sera rapidement le premier poste de budget de la France : les charges financières découlant des emprunts. Un alourdissement financier qui va peser évidemment sur la compétitivité des entreprises mais aussi sur l’inflation en France amputant en même temps le pouvoir d’achat des ménages donc également la consommation et phénomène pervers également les ressources fiscales à croissance égale.

Pourtant le phénomène n’est pas nouveau, la France a en effet enregistré une augmentation de sa dette de près de 1000 milliards depuis l’arrivée de Macron supposé être pourtant un spécialiste de la finance ( celle de Rothschild peut-être mais  pas forcément celle de l’intérêt général). Il n’est pas le seul responsable, la culpabilité est générale dans le pays qui a toujours pratiqué la fuite en avant en matière de dépenses publiques de sorte qu’il y a de 10 points par  exemple de différence avec le taux de dépenses publiques des  Allemands.( Soit presque 300 milliards par an !). Et pas pour privilégier l’investissement mais le fonctionnement !

En clair, pour éviter le matraquage des taux d’intérêt imposé à la France par des institutions financières il faudrait

La découverte tardive et subite de la crise financière qui s’annonce !

La découverte tardive et subite de la crise financière qui s’annonce !

Finalement il y a à peine quelques jours que médias, institutions et politiques s’inquiètent publiquement de la dangereuse dérive des finances publiques du pays. D’un seul coup, on s’aperçoit que la France dès cette année va dépasser les 6 % de déficit par rapport à la règle  de 3 %. Pas simplement une règle européenne tout simplement un principe d’équilibre pour éviter d’alourdir les charges financières pour rembourser les emprunts en tout cas les intérêts. Ce sera rapidement le premier poste de budget de la France : les charges financières découlant des emprunts. Un alourdissement financier qui va peser évidemment sur la compétitivité des entreprises mais aussi sur l’inflation en France amputant en même temps le pouvoir d’achat des ménages donc également la consommation et phénomène pervers également les ressources fiscales à croissance égale.

Pourtant le phénomène n’est pas nouveau, la France a en effet enregistré une augmentation de sa dette de près de 1000 milliards depuis l’arrivée de Macron supposé être pourtant un spécialiste de la finance ( celle de Rothschild peut-être mais  pas forcément celle de l’intérêt général). Il n’est pas le seul responsable, la culpabilité est générale dans le pays qui a toujours pratiqué la fuite en avant en matière de dépenses publiques de sorte qu’il y a de 10 points par  exemple de différence avec le taux de dépenses publiques des  Allemands.( Soit presque 300 milliards par an !). Et pas pour privilégier l’investissement mais le fonctionnement !

En clair, pour éviter le matraquage des taux d’intérêt imposé à la France par des institutions financières il faudrait un plan significatif et durable de redressement notamment en matière de dépenses.

La découverte subite de la crise financière qui s’annonce !

La découverte subite de la crise financière qui s’annonce !

Finalement il y a à peine quelques jours que médias, institutions et politiques s’inquiètent publiquement de la dangereuse dérive des finances publiques du pays. D’un seul coup, on s’aperçoit que la France dès cette année va dépasser les 6 % de déficit par rapport à la règle  de 3 %. Pas simplement une règle européenne tout simplement un principe d’équilibre pour éviter d’alourdir les charges financières pour rembourser les emprunts en tout cas les intérêts. Ce sera rapidement le premier poste de budget de la France : les charges financières découlant des emprunts. Un alourdissement financier qui va peser évidemment sur la compétitivité des entreprises mais aussi sur l’inflation en France amputant en même temps le pouvoir d’achat des ménages donc également la consommation et phénomène pervers également les ressources fiscales à croissance égale.

Pourtant le phénomène n’est pas nouveau, la France a en effet enregistré une augmentation de sa dette de près de 1000 milliards depuis l’arrivée de Macron supposé être pourtant un spécialiste de la finance ( celle de Rothschild peut-être mais  pas forcément celle de l’intérêt général). Il n’est pas le seul responsable, la culpabilité est générale dans le pays qui a toujours pratiqué la fuite en avant en matière de dépenses publiques de sorte qu’il y a de 10 points par  exemple de différence avec le taux de dépenses des  Allemands.( Soit presque 300 milliards par an !). Et pas pour privilégier l’investissement mais le fonctionnement !

En clair, pour éviter le matraquage des taux d’intérêt imposé à la France par des institutions financières il faudrait s’engager vers une réduction des dépenses publiques de l’ordre 100 milliards avec 20 ou 30 milliards dès cette année. À la place, on va sans doute afficher une nouvelle augmentation de la fiscalité qui renforcera encore la première place de la France dans ce domaine parmi les pays développés. De toute façon ,s’attaquer aux dépenses publiques constitue un travail gigantesque car il y a longtemps que le budget de l’État n’est plus piloté et qu’il résulte en fait de l’addition des corporatismes, contradictions et autres lourdeurs de la gestion administrative du pays. Une réforme dans ce domaine demanderait des années de cohérence et d’effort. Et autant de concertation préalable pour éviter les révoltes jacobines. En cause, le fait que la classe politique est essentiellement composée de ces anciens hauts fonctionnaires qui pantouflent entre responsabilité politique, administrative voir économique qui plombent le niveau des dépenses sans pour autant améliorer la qualité de l’intervention publique.

D’ici la fin de l’année les institutions financières auront l’occasion d’agiter le signal d’alarme pour faire comprendre l’ampleur de la crise financière qui s’annonce.Et en même temps l’ampleur des réformes à opérer !

Contre les poisons de l’idéologie : Favoriser la découverte

Contre les poisons de l’idéologie : Favoriser la découverte

Catherine Bréchignac, secrétaire perpétuelle honoraire de l’Académie des sciences, ambassadrice déléguée à la science, à la technologie et à l’innovation et présidente du comité scientifique de la Revue politique et parlementaire estime que la découverte peut être le contre-poison de l’idéologie et de l’intoxication intellectuelle (dans la Tribune)

 

Avec la pandémie qui s’est installée sur le monde, la science n’a jamais été aussi présente dans nos vies. Près de 8 Français sur 10 (79%) estiment que la science est porteuse d’espoir pour l’avenir, rapporte 3M, une entreprise internationale d’innovation. Mais la fraude, la théorie du complot, les faux experts mettent à mal l’intégrité scientifique. Pourquoi ce comportement ambivalent de la société vis-à-vis de la science ? Parce que les scientifiques sont sortis des murs de leurs laboratoires, et s’ils poursuivent toujours les débats entre spécialistes au sein de cénacles adaptés pour que progresse la connaissance, ces chercheurs, avec leurs qualités et leurs défauts, dans leur dialogue avec la société, enjolivent ou noircissent les enjeux de leur recherche. Leurs propos sont alors déformés par le tam-tam numérique, amplifiés par les médias, ils provoquent du trouble dans les esprits.

Pour progresser deux conditions sont nécessaires : la découverte, et la création. La création consiste à produire quelque chose de nouveau à partir de données préexistantes. L’homme seul ne crée pas ex nihilo l’impensable, il ne fait pas sortir du néant ce qui n’existe pas. Il transfère une idée d’un domaine à un autre, et pour ce faire, utilise son intuition qui balaye avec fulgurance les savoirs acquis. Dans le domaine de l’art, ce transfert d’idées surprend lorsqu’il n’a pas été mis en relation auparavant, il surprend, il dérange souvent par son caractère insolite, comme dans le mouvement surréaliste. Gilles Deleuze, lors d’une conférence sur qu’est-ce que l’acte de création ? explique devant les étudiants de la FEMIS que le créateur est celui qui sait agencer « une série de petits morceaux dont la connexion n’est pas prédéterminée ». C’est ce nouvel agencement qui crée l’œuvre, et cet agencement lorsqu’il est régit par la combinatoire peut engendrer une infinité d’œuvres. Tel est le cas de ce groupe français littéraire qui créa au début du XXème siècle l’Oulipo et la littérature combinatoire, qui permit à Raymond Queneau d’écrire Cent mille milliards de poèmes. Dans le domaine des sciences, le transfert de concept d’un domaine vers un autre est souvent très productif. C’est le cas du biomimétisme, un processus créatif entre la biologie et la technique, par le transfert de connaissances issues de modèles biologiques pour créer de nouveaux objets, ou de nouveaux procédés. Structuration, déstructuration pour permettre une reconstruction, l’homme, avec son intuition, son imagination, sa mémoire, ses connaissances, remodèle la substance matérielle ou intellectuelle pour engendrer une invention aux conséquences parfois dangereuses, avec ou sans préméditation, qui sont un terreau favorable pour infiltrer la peur.

Imagination, intuition, création ne suffisent pas pour sortir des savoirs acquis. Seule la découverte provoque une rupture de pensée. Les grandes découvertes sont très rares. Elles provoquent des séismes dans la réflexion. La grande découverte du 20ème siècle fut celle de l’atome entrainant avec elle celle du monde quantique, au comportement souvent contre intuitif. Mais ces découvertes resteraient stériles si l’homme ne créaient pas des concepts pour les comprendre, c’est cet ensemble découvertes-créations qui nous permet de dialoguer avec le monde qui nous entoure comme le langage permet le dialogue entre les humains. La démarche scientifique devient alors l’outil indispensable qui permet de faire progresser la science au sens de la confrontation entre l’expérience ou l’observation et la théorie créée par l’homme. La démarche scientifique mise à jour pour la physique par Galilée a permis aussi à la chimie de devenir ce que nous appelons aujourd’hui une science exacte. C’est Lavoisier dans « Méthode de nomenclature chimique » publié en 1787 qui devant le nombre de substances connues qui ne cessaient d’être découvertes à l’époque, établit la première classification méthodique des éléments. Observer, accumuler des données, faire des synthèses, créer des langages et établir des lois pour expliquer les faits expérimentaux tout en cherchant s’il n’existe pas un contre-exemple qui contredit la loi, fut la méthode qui nous permit d’appréhender le monde qui nous entoure d’une manière conceptuelle et synthétique. Ceci présente en outre l’avantage de minimiser la place qu’occuperait la mémorisation d’un grand nombre d’observations dans notre cerveau.

Mais aujourd’hui, il semble que le chaos s’installe dans la pensée collective de nos sociétés. Quelques cohortes de personnes refusent cet équipage fécond entre découverte et création, revendiquant l’arrêt du progrès. Serait-ce le retour à l’obscurantisme, où l’émotionnel l’emporte sur le rationnel, où les peurs bondissent de l’ombre pour inhiber l’action, où l’esprit critique est étouffé, où les gourous surgissent d’on ne sait où pour donner des explications qui n’en sont pas. Idéologie, harcèlement intellectuel, sont les fléaux qui nous menacent aujourd’hui contre lesquels il faut raison garder.

Covid-19 : découverte d’un variant breton ?

Covid-19 : découverte d’un variant breton ?

D’une certaine manière les variants du covid évoluent chaque jour mais certains sont plus ou moins dangereux. Quand on a découvert ces variants , on a  considéré au départ qu’ils se propageaient beaucoup plus vite que le virus initial mais qu’ils étaient moins mortels. Depuis les scientifiques ont changé un peu d’appréciation avec les dégâts provoqués par le variant anglais, le variant sud-africain et le variant brésilien notamment. Cette fois il s’agit d’un variant détecter en Bretagne

 

Un nouveau variant aurait été détecté Il s’agit d’un cluster au centre hospitalier de Lannion (Côtes-d’Armor). Le 13 mars, 79 cas y ont été identifiés, dont 8 cas porteurs du variant, confirmé par séquençage. Des analyses réalisées par l’Institut Pasteur ont mis «en évidence un nouveau variant (…) porteur de neuf mutations dans la région codant pour la protéine S mais également dans d’autres régions virales», a précisé la DGS dans un message aux professionnels de santé.

L’apparition de variants du virus est un processus naturel puisque celui-ci virus acquiert des mutations au fil du temps

Coronavirus Allemagne : une nouvelle souche découverte

Coronavirus Allemagne : une nouvelle souche découverte

La nouvelle souche de coronavirus détectée au Royaume-Uni a pour la première fois été repérée en Allemagne, chez une femme arrivée par avion de Londres, ont annoncé les autorités sanitaires allemandes jeudi 24

«C’est le premier cas connu en Allemagne», a indiqué le ministère régional de la Santé du Bade-Wurtemberg dans un communiqué. Cette femme était arrivée à l’aéroport de Francfort le 20 décembre en provenance de l’aéroport Heathrow de Londres.

Elle a été ensuite emmenée en voiture par des proches à Freudenstadt, dans le Bade-Wurtemberg (sud-ouest), et s’est mise en quarantaine après avoir été testée positive au Covid-19 à sa descente d’avion.

Le lendemain, elle a commencé à développer des symptômes et un second test s’est avéré lui aussi positif. «Aujourd’hui la variante du virus B.1.1.7 a été détectée», a ajouté le ministère régional.

L’Allemagne a prolongé mardi et jusqu’au 6 janvier la suspension des vols en provenance du Royaume-Uni et d’Afrique du Sud après l’apparition d’une nouvelle souche jugée par les autorités britanniques plus contagieuse.

Découverte d’un traitement contre le Covid-19 :  » rester très prudent » ( infectiologue)

Découverte d’un traitement contre le Covid-19 :  » rester très prudent » ( infectiologue)

 

Un infectiologue affirme qu’il convient de rester relativement prudent vis-à-vis de l’éventuelle découverte d’un traitement par le CNRS. Ce n’est pas la première fois qu’on annonce en effet une découverte dans ce domaine. On a même assisté à un affrontement entre les partisans de tel ou tel labo qui financent aussi des experts qui s’expriment. Par ailleurs les institutions de recherche défendent aussi leur boutique avec leur soutien à tel ou tel traitement. « Il faut rester extrêmement humbles et très prudents, et avancer pas à pas », alerte donc lundi 31 août sur franceinfo le docteur Benjamin Davido, infectiologue à l’hôpital Raymond-Poincaré de Garches (Hauts-de-Seine), alors qu’une équipe de chercheurs français (CNRS) affirme avoir trouvé une solution efficace pour lutter contre le Covid-19 – un spray nasal ou encore des pastilles sous la langue.

« On est dans du traitement préventif, alors même qu’on ne sait pas bien quels individus cibler en traitement de prévention », fait-il valoir.

 

« On nous a lancé, depuis le début de l’épidémie, beaucoup de pistes sur des traitements curatifs, préventifs, mais pour l’instant aucun n’a vu le jour, indique l’infectiologue. Aujourd’hui, la bonne nouvelle pour les malades, c’est qu’on sait mieux soigner les gens car il n’y a plus d’afflux massif de malades à l’hôpital, et qu’on a beaucoup appris de la première vague », affirme Benjamin Davido.

Il estime que « ce serait bien si on arrivait à avoir un vaccin à l’été prochain, l’été 2021″ mais selon lui la difficulté tient dans les différents paramètres à prendre en compte simultanément tels que  »l’immunogénicité, savoir si on aura des anticorps qui vont durer dans le temps. On a vu que des individus jeunes n’avaient pas beaucoup d’immunité naturelle ». Se pose ainsi la question des rappels et du calendrier vaccinal.  »Il nous faut plus de temps pour avancer sur l’immunité », insiste Benjamin Davido.

 

Gaz en Turquie : une découverte historique ?

Gaz en Turquie : une découverte historique ?

Intox  ou réalité, en tous cas Erdogan annonce que la Turquie a découvert l’un des plus grands gisements de gaz en mer Noire. La Turquie consomme chaque année entre 45 et 50 milliards de mètres cubes de gaz naturel, presque entièrement importé. Cela représente environ 11 milliards d’euros, selon l’autorité régulatrice des marchés énergétiques (EPDK). La découverte annoncée vendredi «n’est pas mal du tout, mais cela ne change pas la donne non plus», a relativisé sur Twitter Ozgur Unluhisarcikli, directeur du bureau à Ankara de l’institut américain German Marshall Fund.

«Bien que relativement modeste par rapport à d’autres gisements de gaz naturel dans le monde, celui-ci va aider la Turquie à réduire sa facture énergétique», a souligné le cabinet Capital Economics dans une note. «Cela dit, il y a des raisons d’être prudent. Il faudra du temps pour installer les infrastructures nécessaires à l’extraction du gaz», a-t-il ajouté.

Le président Erdogan avait suscité l’attente en affirmant mercredi qu’il annoncerait vendredi une «grande nouvelle». Les marchés ont cependant semblé quelque peu déçus, certaines fuites dans la presse jeudi ayant mentionné un volume de gaz plus de deux fois supérieur à celui annoncé vendredi.

Découverte : L’homo sapiens n’était pas la seule espèce, ça ne change pas aujourd’hui !

Découverte : L’homo sapiens n’était pas la seule espèce, ça ne change pas aujourd’hui !

On vient d’apprendre que l’homo sapiens n’était pas la seule espèce humaine. Une équipe pluridisciplinaire internationale a découvert une nouvelle espèce humaine, baptisée Homo luzonensis, lors de fouilles effectuées dans la grotte de Callao, située sur l’île de Luçon, dans le nord des Philippines. Plusieurs espèces humaines ont donc cohabité. C’est encore le cas aujourd’hui, les descendants de l’homo sapiens ont également des concurrents. Pour schématiser à outrance,  on pourrait considérer qu’il y a ceux qui réfléchissent et ceux qui récitent. La première catégorie de l’espèce humaine actuelle tente de réfléchir, s’interroge, doute, évolue dans son jugement. L’autre catégorie se contente de répéter les chansons à la mode. Or comme le disait Coco Chanel la mode par définition est destinée à devenir démodée. Ce qui se passe aussi dans les champs sociaux économiques où les théories les plus supportées sont parfois remises en cause. Ainsi par exemple on explique maintenant que le tout petit regain de croissance de la France en 2019 provient des mesures prises en faveur des gilets jaunes et plus généralement de la consommation. De quoi remettre en cause les théories qui condamnent par avance le devenir économique du pays si on lâche sur le pouvoir d’achat. En vérité, la question est toujours plus complexe que les apparentes convictions théoriques car tout dépend de qui bénéficie de ce pouvoir d’achat et de la manière dont il utilise. Autre exemple la fameuse théorie de la taxe carbone qui constituerait un signal prix pour dissuader l’utilisateur de l’automobile de prendre  son véhicule. Une vieille théorie des économistes qui ont récupéré l’écologie pour la monétariser. On pourrait bien mettre le litre  de carburant à deux euros que ça n’empêchera pas les automobilistes de zones délaissées par les transports en commun d’utiliser leur voiture. C’est à travers l’offre technique et les normes qu’on peut changer la situation et non avec une taxe idiote qui au surplus ne va pas en direction des investissements destinés à protéger l’environnement. On pourrait multiplier les exemples de ces théories fumeuses qui naissent chez de pseudos experts et sont reprises bêtement par les technocrates et les politiques. La Métropolisation  à outrance pour lutter contre la concurrence internationale est aussi une de ces théories tordues. Résultat on a à la fois une crise immobilière qui va exploser, parallèlement une désertification du territoire. Pour peu qu’on ajoute deux ou trois expressions anglaises pour justifier la pertinence d’une théorie, alors on touche le Graal de la catégorie concurrente de l’Homo sapiens. Exemple faire de la France une START nation ! Une expression qui ne signifie strictement rien mais tellement moderne !

 

La TVA augmente les inégalités : une découverte de l’INSEE !

La TVA augmente les inégalités : une découverte de l’INSEE !

 

Les  économistes de l’Insee viennent de faire une grande découverte : l’augmentation de la TVA augmenterait les inégalités. On espère qu’ils n’ont pas trop mobilisé d’énergie publique -payée par l’État-  pour découvrir une telle évidence. On sait en effet depuis longtemps que dans les catégories à bas revenus, on utilise la totalité des salaires et autres allocations qui du coup sont à peu près entièrement soumis à la TVA, donc immédiatement imposés à hauteur de 20 % (sauf pour quelques produits et autres prestations). À l’inverse comme les revenus ne sont que partiellement utilisés par les ménages plus aisés, seule la partie consommée subit la TVA. Du coup proportionnellement les moins favorisés sont proportionnellement davantage taxés par la TVA que les autres. Notons que cette découverte méthodologique vaut aussi pour l’indice des prix de la consommation. Un indice forcément obsolète et pour les mêmes raisons. En effet la structure de consommation entre les ménages défavorisés et les ménages aisés et très différentes et une hausse moyenne des prix n’a pas la même influence selon qu’on gagne par exemple SMIC ou 10 000 € par mois. En outre la structure de consommation ne cesse de se déformer. En août. Les dépenses contraintes ne cessent d’augmenter et prennent une part de plus en plus importante chez les plus défavorisés tandis que les dépenses ajustables, elles,  diminuent (voir la confirmation dans le faible dynamisme constaté dans la grande distribution). L’INSEE a mesuré, à moyen terme, l’effet sur les inégalités d’une hausse de trois points de la TVA, prélèvement fiscal payé par l’ensemble de la population. L’étude des économistes de l’INSEE ne constitue donc pas une grande découverte scientifique mais une simple confirmation.

 L’INSEE constate en effet que, l’ensemble des contribuables s’acquitte de la TVA, qui représente 16% de l’ensemble des prélèvements obligatoires, contre 7% pour l’impôt sur le revenu, acquitté par 45 % des foyers fiscaux. Une hausse de la TVA, touchant la majorité des produits, a donc pour effet direct à court terme d’augmenter les inégalités, le poids de la TVA étant proportionnellement à leur revenu disponible beaucoup plus lourd pour. Les plus défavorisés que pour les ménages aisés.

 

L’écroulement de la croissance : la découverte des médias

L’écroulement de la croissance : la découverte des médias

 

 

Depuis quelques jours seulement les grands médias découvrent brutalement que la croissance s’écroule en France non seulement pour l’année en cours mais aussi pour 2019 voir au-delà. Même les instituts économiques de l’État ont mis du temps pour s’apercevoir du net tassement économique de la France en 2018. Pourtant sur ce site et sur d’autres, il y a longtemps qu’on attire l’attention depuis des semaines et des mois sur la tendance baissière de l’activité générale. Ce n’est qu’il y a quelques jours que la Banque de France a enfin convenu que l’objectif de 1,7 % d’augmentation du PIB en 2018 était illusoire. De même que les objectifs de 2019. La perspective de 2018 comme de 2019 est ramenée à 1,5 % officiellement. En fait en 2019 la croissance du PIB pourrait se limiter à 1,3 %. La fin de l’année annonce la tendance puisque le PIB ne devrait croître que de 0,2 % au lieu de 0,4. Et par un calcul de coin de table, on attribue une perte de 0,1 % aux gilets jaunes. Certes,  le mouvement gilet jaune à généré quelques pertes d’activité mais les quantifier aujourd’hui relève de la méthodologie au doigt mouillé.  De toute manière le pari est perdu pour Macron concernant la croissance. Les experts attendaient en début d’année autour de 2,3 % pour la croissance du PIB. Le gouvernement avait retenu 2 % puis a revu à la baisse ses prévisions avec une perspective de 1,7 %. En réalité,  on parviendra péniblement à un niveau de croissance de 1,5 %. Un niveau qui fait redémarrer la hausse du chômage et menace les équilibres financiers déjà fragiles. La croissance accélère en effet moins que prévu au 3e trimestre. Le produit intérieur brut de la période a augmenté de 0,4%, un rythme deux fois plus élevé que celui de 0,2% enregistré au premier comme au deuxième trimestre, qui constituait un point bas depuis l’été 2016. la croissance a été un peu plus soutenue au troisième trimestre par la demande intérieure, avec une consommation des ménages qui s’est redressée de 0,5% – après une rare baisse de 0,1% au 2e trimestre – et un investissement des entreprises qui continue de croître de plus de 4% en glissement annuel. Stéphane Colliac, économiste de l’assureur crédit Euler Hermes, pointe de son côté la prudence des ménages, alors que le débat sur leur pouvoir d’achat continue de faire rage. “On a un juste retour à la normale de la consommation mais pas de rattrapage des retards accumulés depuis le dernier trimestre 2017””, souligne-t-il, “une hausse de 0,5% c’est bien le moins qu’on puisse avoir après la chute des dépenses dans les transports au deuxième trimestre”. Il fait valoir en outre que l’investissement des ménages, pour l’essentiel les achats de logements neufs, recule de 0,2% sur le trimestre et stagne depuis le début de l’année après son bond de 5,6% en 2017. “C’est un atterrissage brutal”, dit l’économiste. Ce tassement de la croissance ne peut s’expliquer à lui seul par un environnement international plus morose. En effet la France fait moins bien que la moyenne de l’union européenne. La vérité c’est que Macron s’est trompé de stratégie en assommant la consommation des ménages par une hausse de fiscalité alors que parallèlement et le lâcher plus nanti et aux entreprises des cadeaux fiscaux sans la moindre contrainte. On se demande bien comment l’INSEE peut conclure qu’il y aura une amélioration dans le domaine du chômage. Pour l’INSEE, l’investissement des entreprises se maintiendrait aussi à un rythme honorable, avec + 0,6 % aux deux trimestres. Dans ces conditions, le chômage poursuivrait sa lente décrue. Les créations d’emploi dépassant les entrées sur le marché du travail, il s’établirait fin juin 2019 à 9 %, contre 9,1 % un an plus tôt. Selon l’Insee, la transformation du crédit d’impôt compétitivité emploi (CICE) en baisse de cotisations sociales au 1er janvier 2019 créerait environ 50.000 emplois en moyenne en 2019-2021. La progression est toujours bonne à prendre mais elle est tellement marginale (un progrès de 01 % sur le taux de chômage alors qu’il y a 7 à 8 millions de personnes sans d’emploi) qu’on peut douter de la pertinence des chiffres. En conclusion, Macron a complètement échoué sur les deux objectifs centraux que constituent l’activité économique et l’emploi.

 

Une nouvelle espèce de dinosaure découverte en Argentine…… et en France

Une nouvelle espèce de dinosaure découverte en Argentine…… et en France

En argentine, ce sont les restes d’une nouvelle espèce de dinosaure, Lavocatisaurus agrioensis,  ayant vécu voici 110 millions d’années qui ont été découverts. En France, l’espèce de dinosaure est toujours vivante, il s’agit des dinosaures politiques. De ceux qui entrés en politique peu après 20 ans y demeurent et espèrent même encore un avenir. C’est ainsi que récemment sont réapparus plusieurs dinosaures de familles politiques  différentes mais finalement de même souche oligarchique Marie Noëlle Lienemann à plus de 70 ans ambitionne de rejoindre la liste de Mélenchon pour les européennes, au nom des saintes valeurs de la gauche évidemment. Autre résurrection, celle de Ségolène Royal qui vient de sortir un livre pour dire tout le mal qu’elle pense de François Hollande, du parti socialiste et des autres. Elle aussi réfléchit et ne serait pas opposée à prendre la tête de liste écolo socialiste aux européennes. L’ex-mari, lui, François Hollande veut toujours  peser de façon significative sur les orientations et l’organisation de la gauche. Depuis qu’il a cessé ses fonctions de président, il n’a jamais été aussi prolifique sur les propositions à mettre en œuvre sauver le pays. Dernier dinosaure emblématique, Nicolas Sarkozy qui vient de sortir une très longue interview au Point pour se remettre en selle aussi sans doute solliciter la bienveillance de Macron ( qu’ils ménagent beaucoup) vis-à-vis des poursuites judiciaires dont il est l’objet. En réalité, il y a en France des centaines voire des milliers de dinosaures de ce type ;  certains de dimension nationale d’autres de dimension locale qui finalement entre les différentes fonctions politiques, entre les différents courants, entre les différents partis auront réussi à passer toute leur vie professionnelle dans la politique. Une particularité assez française quand que dans la plupart des autres grandes démocraties les responsables une fois battus quitte définitivement leurs fonctions d’élus et de dirigeants.

Lynchage Banlieue : la découverte de la violence par les élites

Lynchage Banlieue : la découverte de la violence par les élites

67 point de suture après le lynchage d’un jeune de 17 ans mercredi 26 septembre, suite à un des règlements de compte entre bandes à Garches les Gonesses. Et l’occasion pour les élites

de découvrir la violence des banlieues et de s’en offusquer à droite comme à gauche. Comme si le phénomène était nouveau. En fait le terme banlieue sensible est même inapproprié car le phénomène touche presque tous les quartiers des grandes villes. Officiellement on compte près de 800 quartiers sensibles en France ;  en fait,  il y en a bien davantage et chaque ville (même les plus petites de 10 000 à 30 000 habitants) est affectée. Ce qui caractérise ces zones c’est d’abord leur état juridique de non-droit : les services officiels hésitent à s’y rendre. C’est surtout le marché généralisé de la drogue avec souvent des échoppes sur le bord des trottoirs au vu de tous. On vient y faire son marché. Ensuite la violence précisément entre bandes pour se partager le gâteau. Le chômage est un mal endémique avec 25 à 30 % de jeunes sans emploi dont beaucoup ont abandonné l’école avant 12 ans. Avec aussi en toile de fond un communautarisme qui refoule les valeurs et les usages de la république aux frontières du quartier. Dans ces zones, à partir d’une certaine heure dans la soirée il ne fait pas bon de se promener à pied. Régulièrement des violences sont signalées : violence verbale, violence physique avec la distraction préférée qui consiste à brûler des voitures. Les municipalités locales, les services officiels et la presse sont relativement complices et font tout pour qu’on évite de parler de ces différents débordements. Encore une fois, il ne s’agit pas seulement des quartiers des grandes villes type Paris, Marseille ou Lyon mais de toutes les villes moyennes et même petites. Des sortes de zones hors la république que les services officiels finalement tolèrent en considérant qu’ainsi on arrive à circonscrire le mal géographiquement. Un aveuglement, une hypocrisie et un manque de courage qui fait honte à la république et menace évidemment la cohésion de la société. Comment nous élites pourrait-il d’ailleurs connaître cette réalité puisque pour la quasi-totalité il n’habite pas dans ces zones et ne fréquentent pas les habitants qui y résident.

Canicule : la découverte du concept ICU !

Canicule : la découverte du concept ICU !

 

. Il aura fallu du temps aux chercheurs pour découvrir le nouveau concept ICU, , îlot de chaleur urbains , qui agit comme une sorte de radiateur du faîte que la ville est surtout composée de bitume, de ciment et de fer à béton. Dans les périodes de très forte chaleur, la différence de température entre les zones rurales et les grandes villes peut atteindre autour de 10° car la nuit la ville restitue la chaleur accumulée le jour à l’inverse des zones rurales où la végétation restitue la fraîcheur. L’idée géniale des urbanistes et de végétaliser la ville. En clair de mettre ici ou là quelques pots de fleurs comme si c’était la solution à long terme. Le vrai problème c’est celui de cette vision urbanistique délirante qui concentre de plus en plus de populations dans les grandes villes devenues de plus en plus ingérables, invivables sans parler des problèmes sanitaires et de sécurité notamment. La vraie solution c’est de concevoir un autre aménagement du territoire avec une autre répartition des activités humaines. Au lieu de cela on concentre 80 % des populations dans les métropoles et autres grandes villes. Les petites villes dépérissent et les territoires ruraux deviennent  de véritables déserts économiques et humains. La canicule aura eu au moins le mérite de poser cette problématique fondamentale de l’aménagement du territoire et de la politique urbanistique. À ce rythme, certains experts pensent qu’une ville de Lyon connaîtra d’ici 2101 un climat comparable à celui d’Alger !

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