Archive pour le Tag 'déclarée'

Covid- Martinique : une quatrième vague déclarée

Covid- Martinique : une quatrième vague déclarée

 

 

. Le 21 juillet, le taux d’incidence, c’est-à-dire le nombre de cas sur sept jours pour 100.000 habitants, était de 627 contre 86 pour le reste de la France. L’évolution est très rapide et suit une courbe exponentielle depuis le début du mois de juillet. Dans ses points hebdomadaires par région, Santé publique France remarque que la population des 15-44 ans est particulièrement touchée par cette vague. La progression est encore plus spectaculaire parmi les jeunes de 20 à 29 ans, pour lesquels le taux d’incidence s’élevait au chiffre astronomique de 2.029 nouveaux cas pour 100.000 habitants le 18 juillet.

Guerre déclarée entre Marion Maréchal Le Pen et Florian Philippot

Guerre déclarée entre Marion Maréchal Le Pen et Florian Philippot

 

 

 

 

Cette fois la guerre est bien déclarée entre Marion Maréchal Le Pen et Florian Philippot sur le terrain sociétal en particulier concernant l’avortement. Contrairement à ce qu’avait affirmé Florian Philippot, la nièce de Marine Le Pen considère qu’elle est loin d’être isolée dans le parti sur cette question et entend bien agir pour permettre un changement stratégique dans les instances du FN. Elle en profite pour dénoncer  Philippot à propos de l’agression dont il s’est rendu coupable à son égard. « Je ne vois pas ce qui pourrait me faire changer d’opinion. J’aurais aimé un peu plus de respect de la part de Florian Philippot. Il parle de moi dans les médias en disant « cette personne » ; je trouve cette appellation assez inadéquate. Il y a un minimum de bienséance et de respect mutuel à avoir. Rien ne pouvait justifier une telle agression. » Déclare-t-elle dans le JDD. Sur cette question comme sur d’autres deux lignes s’affrontent désormais au front national. Au-delà des orientations se joue aussi la question du leadership au sein du parti sans doute pas pour 2017 mais vraisemblablement pour 2022. Marion Maréchal Le Pen se met en position pour remplacer Marine. Ce qui explique évidemment que Marine tente de contrôler voire d’interdire à Marion Maréchal de trop s’exprimer dans les médias comme ce fut le cas le 10 novembre dernier. , la députée du Vaucluse Marion Maréchal-Le Pen devait être invitée de l’Émission politique sur France 2, et ainsi prendre la suite des présidentiables Alain Juppé, Nicolas Sarkozy, Bruno Le Maire et Arnaud Montebourg. La députée aurait ainsi été la première élue du parti à assurer cette émission en prime-time, prisée des politiques. Mais Marine Le Pen s’y est opposée, rapporte le journal L’Opinion, qui cite des sources internes chez France Télévisions. C’est bien la présidente du Front national qui devait à l’origine être l’invitée principale de l’émission. La rédaction de la chaîne de service public avait contacté Florian Philippot et Alain Vizier, en charge de la communication du parti, pour le leur proposer. Mais la fille de Jean-Marie Le Pen avait finalement décliné, pour des raisons «d’agenda». La direction du FN ne s’attendait probablement pas à ce que l’invitation soit reportée sur Marion Maréchal-Le Pen, qui a rapidement accepté. Mais coup de théâtre ce mercredi 26 octobre: Alain Vizier, responsable de la communication du parti, s’étonne auprès de France 2 de l’invitation faite à la députée. Quelques heures plus tard, l’élue du Vaucluse rappelle à son tour pour décliner. C’est bien Marine Le Pen qui aurait personnellement mis son veto et demandé à ses proches d’annuler cette émission. Officiellement, il n’est pas question de rivalité entre la tante et sa nièce, mais, en privé, l’entourage de cette dernière laisse entendre le contraire.

 

Euro: la guerre est déclarée entre la BCE et l’Allemagne

Euro: la guerre est déclarée entre la BCE et l’Allemagne

 

D’une manière presque unanime la presse allemande a condamné avec vigueur les mesures de politique monétaire accommodante décidée par Mario Draghi. L’argument majeur développé par l’Allemagne c’est que cette politique porte atteinte aux épargnants et aux retraités, en outre cette politique contribue à l’affaiblissement de l’euro alors que l’Allemagne s’est toujours battue pour une monnaie forte. Par principe, l’Allemagne et donc contre toutes orientations visant une dévaluation compétitive. Après l’annonce par la BCE jeudi de nouvelles largesses, que beaucoup dans le plus grand pays d’Europe prennent comme une attaque contre leur économie, la guerre est ouvertement déclarée. Un montage-photo avec M. Draghi, président de l’institution monétaire, s’étale vendredi en Une du quotidien des affaires Handelsblatt, cigare aux lèvres allumé par un billet de 100 euros qui flambe. Le tabloïd Bild parle d’un «choc», le président de la fédération des exportateurs de décisions «catastrophiques» et de «dépossession des épargnants». Jeudi, la BCE a annoncé une nouvelle batterie de mesures de politique monétaire destinées à faire repartir les prix en zone euro. Au menu, encore plus de liquidités injectées dans l’économie, et une nouvelle baisse des taux d’intérêt. Le principal taux directeur passe à zéro, une première. Objectif: stimuler les crédits aux ménages et aux entreprises – pour lesquels les taux d’intérêt baissent -, pour les faire consommer et investir. Mais cela signifie aussi que placer son argent à la banque ne rapporte plus rien. Or en Allemagne, plus qu’ailleurs, thésauriser tient du sport national. «Pendant des années on a dit aux gens qu’il fallait mettre des sous de côté pour la retraite», rappelle pour l’AFP Carsten Klude, économiste de la banque M.M.Warburg. Dans un pays vieillissant, où le système public de retraite tiendra difficilement le choc, les pouvoirs publics ont mis en place de fortes incitations à investir dans des plans d’épargne-retraite. S’ajoute à cela le fait que les comptes bancaires allemands sont traditionnellement rémunérés. «Et maintenant les gens voient que cela ne rapporte plus rien, ils se sentent floués», poursuit M. Klude. «On peut comprendre la position des Allemands», qui ne date d’ailleurs pas d’hier, avance Sylvain Broyer, économiste de Natixis. Selon lui le pays, pour faire marcher à bon rythme son économie, «aurait besoin d’un taux (directeur de la BCE) à 2%» au lieu de zéro.

2017 : la guerre Valls Aubry est déclarée

2017 : la guerre Valls Aubry est déclarée

La candidature de François Hollande paraissant de plus en plus hypothéquée pour les élections présidentielles de 2017, Valls et Aubry se lance dans une guerre sans merci. Pour Valls, il s’agit de s’affirmer comme le leader incontesté du courant réformiste, pour Aubry au contraire il s’agit d’être le porte drapeau de la gauche socialiste traditionnelle. Ce sont deux conceptions idéologiques qui s’affrontent mais aussi deux personnalités. Manuel Valls, lui ,veut incarner le changement et le dynamisme. Pour cela il n’ hésite même pas à reprendre intégralement les propositions de la droite et du patronat sans même les rééquilibrer par des préoccupations sociales. En plus il adopte les positions bonapartistes de la droite en mettant sous le boisseau les corps intermédiaires y compris le Parlement. Martine Aubry, elle, se veut la garante des dogmes du PS mais aussi sur ses contradictions. Depuis la SFIO en passant par Mitterrand et jusqu’à Hollande, le discours du PS a toujours été marxisant mais la pratique approximative et même ambiguë. Martine Aubry de ce point de vue n’échappe pas à ces contradictions. Pour amplifier le clivage avec Valls Martine Aubry et ses amis ont décidé de quitter la direction du parti socialiste considérant que ce dernier ne sert plus à rien puisque tout se décide autour de Valls. « Nous allons sortir du PS, nous souhaitons en discuter avec Jean-Christophe Cambadélis », le premier secrétaire du parti, déclare celle qui fut à la tête du parti entre 2008 et 2012. « On ne demande le départ de personne, on ne demande rien d’ailleurs », ajoute-t-elle. « Ceux de mes amis qui ont été sollicités ont refusé d’entrer au gouvernement. On ne veut aucun poste. On veut simplement que ce pour quoi on s’est battus toute notre vie soit préservé ». La maire de Lille figure parmi les signataires d’une tribune publiée cette semaine dans Le Monde, intitulée « Trop c’est trop » et qui dresse les « reculs » imputés au gouvernement, du pacte de responsabilité au projet de réforme du Code du travail en passant par le « désolant débat sur la déchéance de nationalité ». « Nous pensons que le président de la République doit prendre en compte ce que le parti propose. Or, là, le PS ne sert à rien. Il est mis de côté », estime-t-il. « On a l’impression que tout se décide dans un cénacle autour du Premier ministre. Dès lors, pourquoi rester à la direction ? »

Marseille- Ayrault : la guerre contre Valls est déclarée

Marseille- Ayrault : la guerre contre Valls est déclarée

 

Officiellement c’est pour lutter contre la violence que 6 ministres dont le Premier se sont déplacés à Marseille. En réalité à Marseille c’est surtout la guerre contre Valls qui a été déclenchée ; Au dernier moment quand l’Elysée a appris le déplacement de Valls à Marseille, Hollande a exigé qu’Ayrault lui mette une muselière. Du coup Valls privé de paroles n’a pu exposer ce qu’il avait promis le matin sur RTL. C’est Ayrault qui s’est exprimé. En cause évidemment les prises de positions récente de Valls sur la justice et l’immigration ; Mia surtout en cause la montée inexorable de Valls dans les sondages qui énervent Hollande. Valls de loin le plus populaire ministre tandis que Hollande et Ayrault sont embourbés entre 25 et 30% d’opinions favorables selon les sondages. La guerre est donc déclarée et les seconds couteaux montent aussi au créneau, Harlem Désir  (qui ne fait comme d’habitude ne répéter que ce qu’on lui dit), aussi Duflot, la gauche du PS, les caciques. Il est vrai que Valls a tout fait pour agacer, pas un jour de vacances et au mois une déclaration par jour durant l’été et sur presque tous les sujets, ce que lui reproche aussi Hollande.  Le Premier ministre Jean-Marc Ayrault a déclaré donc mardi à Marseille que son gouvernement était « engagé avec détermination pour faire reculer la violence, la délinquance et le crime à Marseille ». Le Premier ministre Jean-Marc Ayrault, accompagné de cinq de ses ministres, dont Manuel Valls, est arrivé ce mardi après-midi à l’hôpital de la Conception où un infirmier a été blessé dimanche. Suivi d’une nuée de journalistes, il s’est entretenu à huis clos avec l’équipe des urgences, très choquée par l’incident de ce week-end. L’infirmier, qui a reçu un coup de couteau, est en arrêt maladie pour 10 jours et ne sera pas présent, selon l’Assistance publique des hôpitaux de Marseille.   Le Premier ministre a déclaré à sa sortie de l’hôpital que son gouvernement était « engagé avec détermination pour faire reculer la violence, la délinquance et le crime à Marseille ».  « Ce que je voudrais rappeler, c’est que le gouvernement est engagé avec détermination pour faire reculer la violence, la délinquance et le crime à Marseille et dans la région », a déclaré Jean-Marc Ayrault devant la presse.  Jean-Marc Ayrault et cinq de ses ministres se sont ensuite rendus à la préfecture où le Premier ministre doit tenir une série de réunions avec le corps préfectoral et les responsables des services de sécurité ainsi qu’avec les parlementaires et les maires des arrondissements de Marseille.  Outre le ministre de l’Intérieur, premier à annoncer son déplacement, avant que ne soit connu celui d’Ayrault, le chef de gouvernement avait autour de lui la garde des Sceaux, Christiane Taubira,Marisol Touraine (Affaires sociales), Cécile Duflot (Logement), et la Marseillaise Marie-Arlette Carlotti (Handicap et exclusion).  Leurs venues à Marseille interviennent au lendemain d’un nouveau règlement de comptes mortel à Marseille, le 13e depuis le début 2013. Un homme de 25 ans a été criblé de balles dans sa voiture dans le quartier de l’Estaque, avant de s’effondrer sur le trottoir en tentant de prendre la fuite. 

 




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