Archive pour le Tag 'décide'

Page 2 sur 2

Foot -montée descente ligue 1: statu quo décidé par le conseil d’Etat mais le conflit persiste

Foot : montée descente : statu quo décidé par le conseil d’Etat mais le conflit persiste

Il n’y aura pas de changement pour les montées en première division pro cette année suite à la décision du conseil d’État. Pour autant le conflit persiste entre la ligue de football professionnel et la fédération. L’enjeu n’est pas seulement le problème de la montée et de la descente en ligue 1(  2 ou 3 clubs) mais d’une manière plus générale de  la volonté qu’ont les grands clubs professionnels de tenir une place plus importante dans l’organisation du football du pays. Il s’agit en particulier d’obtenir une meilleure répartition à leur profit des moyens financiers notamment des droits de télévision. Les clubs pros de première division souhaitent un renforcement de leurs moyens financiers et une stabilité de ceux-ci pour mieux garantir l’avenir de leurs investissements. Il faut bien reconnaître que les meilleurs joueurs français désertent le championnat pour partir à l’étranger essentiellement pour des motifs financiers. Pour rééquilibrer leur trésorerie les clubs n’ont d’autre solution que de vendre chaque année leurs meilleurs éléments. Du coup le niveau de la ligue 1 ne cesse de s’affaiblir en comparaison des autres pays. On peut considérer à juste titre que les joueurs professionnels sont beaucoup trop payés mais c’est l’environnement européen, voire au-delà,  qui tire les salaires et provoque le déséquilibre financier des clubs professionnels français. Enfin la mauvaise image de la ligue 1 attire peu les investisseurs français ou étrangers. Le juge des référés du Conseil d’Etat a donc rejeté la requête pour «défaut d’urgence». Cette décision en référé n’est qu’une première étape de la bataille judiciaire qui s’est engagée entre LFP et FFF. Si aucune partie ne se désiste, un jugement sur le fond devra intervenir dans trois à cinq mois, soit entre novembre 2015 et janvier 2016. «Jusqu’à ce que le Conseil d’Etat se prononce sur le fond de l’affaire, la décision de la Fédération s’applique», note le Conseil d’Etat. : Frédéric Thiriez, soutenu par dix-huit clubs de Ligue 1, dont le PSG, n’a pas l’intention de stopper son combat. «Le Conseil d’Etat n’a pas voulu statuer en urgence. C’est dommage car l’incertitude demeure, mais c’est ainsi. L’affaire sera donc jugée plus tard sur le fond. Ce n’est que partie remise», prévient le président de la LFP dans un communiqué.

Ukraine : comme prévu l’OTAN ne décide pas grand-chose

Ukraine : comme prévu l’OTAN ne décide pas grand-chose

 

Il fallait s’y attendre, l’OTAN ne décide pas grand-chose concernant l’Ukraine se contentant de renforcer sa ligne de défense autour du pays en conflit. Pourtant on sait que l’Ukraine est un candidat potentiel à la fois à l’Union Européenne et à l’OTAN. En clair l’OTAN ne revient pas sur l’annexion de la Crimée par Poutine et serait vraisemblablement à accepter un compromis batard pour les régions de l’Est tenues par les rebelles et les forces russes.   Les chefs d’Etat et de gouvernement des pays membres de l’Otan ont seulement  donné vendredi leur feu vert au renforcement du dispositif militaire de l’organisation en Europe de l’Est en réponse à l’intervention russe en Ukraine, a annoncé le secrétaire général de l’Alliance, Anders Fogh Rasmussen.  Le plan, adopté à l’occasion du sommet de Newport, au Pays de Galles, prévoit la mise sur pied d’une force de réaction rapide dite « fer de lance » et le prépositionnement de matériel. Il s’agit de rassurer les anciens membres du bloc soviétique ayant adhéré à l’Otan, en particulier la Pologne et les pays baltes. Les Alliés ont aussi accepté de rattacher la cyberdéfense à la mission principale de l’organisation, ce qui signifie qu’une cyberattaque contre un Etat membre – comme celle qui avait visé l’Estonie en 2007 – pourrait en théorie engendrer une réponse militaire de l’Otan. Déjà soupçonné en Estonie, le Kremlin a plus récemment été accusé d’avoir orchestré des cyberattaques contre des institutions ukrainiennes, ce qu’il a constamment nié. Les 28 membres de l’Alliance ont enfin décidé que leur prochain sommet aurait lieu en Pologne en 2016, a ajouté Anders Fogh Rasmussen, soulignant la portée symbolique de cette décision. Bien que la création d’une force d’intervention rapide ne réponde pas totalement aux attentes des pays de l’Est, qui souhaitaient l’établissement de bases permanentes de l’Otan, ses promoteurs espèrent qu’elle jouera un rôle dissuasif. « Cette décision envoie un message clair: l’Otan protège ses alliés, en tous temps. Et elle envoie un message clair à tout agresseur potentiel: si vous osez attaquer un allié, vous devrez faire face à toute l’Alliance », a déclaré Anders Fogh Rasmussen.

La BCE décide enfin….un peu !

La BCE décide enfin….un peu !

 

Pas de rachats d’actifs mais des mesures plus accomodantes. La BCE a en effet baissé ses taux directeurs à de nouveaux plus bas historiques afin de prévenir tout risque de déflation au sein de la zone euro et d’affaiblir le taux de change de l’euro. Le taux de refinancement a été abaissé de 0,10 point à 0,15% tout comme le taux de la facilité de dépôt qui passe ainsi en territoire négatif, à -0,10%. Le taux de prêt marginal a été abaissé de 0,35 point, à 0,40%. La BCE est ainsi la première des grandes banques centrales à se lancer dans l’aventure de taux négatifs, qui reviennent pratiquement à faire payer aux banques le fait de déposer une partie de leurs liquidités auprès de l’institut d’émission. En revanche, elle n’est pas allée jusqu’à mettre en oeuvre un programme d’achats massifs d’actifs à l’instar de ceux déployés par la Réserve fédérale américaine, la Banque d’Angleterre ou la Banque du Japon. Son président Mario Draghi n’a toutefois pas exclu de nouvelles mesures d’assouplissement si nécessaire. Il a présenté un programme de refinancement ciblé de 400 milliards d’euros sur quatre ans afin d’inciter les banques à développer le crédit au secteur privé non financier de la zone euro. « Nous sommes maintenant dans un monde totalement différent », a déclaré Draghi lors de la conférence de presse qui a suivi la réunion de politique monétaire de l’institution. Il a évoqué un environnement « d’inflation basse, de reprise fragile et de faible dynamisme de la monnaie et du crédit. » Les mesures, adoptées à l’unanimité par les membres du conseil des gouverneurs de la BCE, sont destinées à accroître les prêts à « l’économie réelle », a-t-il dit. Elles comprennent aussi une prolongation au moins jusqu’à la fin 2016 des opérations de refinancement à taux fixes pour des montants illimités et l’injection d’environ 170 milliards de liquidités supplémentaires du fait de l’arrêt de la stérilisation des achats d’obligations souveraines effectués dans le cadre du Programme pour le marché de titres. Draghi a de plus annoncé que la BCE menait des travaux préparatoires pour des achats discrétionnaires de titres adossés à des actifs (ABS) afin de soutenir les prêts aux petites et moyennes entreprises.

12



L'actu écologique |
bessay |
Mr. Sandro's Blog |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | astucesquotidiennes
| MIEUX-ETRE
| louis crusol