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COP26 : la déception

COP26 : la déception

 

Les déçus de la Cop  26 sont nombreux y compris les institutionnels par exemple de l’ONU. Certes quelques avancées ont été observé dans les intentions mais la question centrale de la maîtrise du climat a plus 1,5 % est clairement au calendes grecques. En outre ,il y a beaucoup d’ambiguïté concernant les énergies fossiles qui ne peuvent pas être théoriquement encouragées à l’étranger mais qui peuvent être utilisées et exploitées au plan national. Sur le charbon trois gros consommateurs que sont la Chine, l’Inde et l’Australie se sont refusés à réguler sérieusement la production et l’utilisation.

Le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, n’a pas caché sa déception. « Malheureusement la volonté politique collective n’a pas été suffisante pour surmonter de profondes contradictions » entre pays, a-t-il déclaré. (Crédits : Reuters)

Pour Antonio Guterres,  « Malheureusement la volonté politique collective n’a pas été suffisante pour surmonter de profondes contradictions » entre pays, a-t-il déclaré. « Il est temps de passer en mode ‘urgence’ », a-t-il prévenu. A côté de quelques « pas en avant bienvenus », il a dressé la liste des objectifs, nombreux, qui n’ont pas été atteints, comme l’aide financière aux pays les plus pauvres ou encore « la fin des subventions aux énergies fossiles, la sortie du charbon, mettre un prix sur le carbone »« La catastrophe climatique frappe toujours à la porte », a-t-il renchéri.

Banlieue : la déception et la colère (Gilles Poux, maire de La Courneuve)

Banlieue : la déception  et la colère (Gilles Poux, maire de La Courneuve)

Déception et colère, la réaction de Gilles Poux, maire communiste de La Courneuve après la déclaration de Macron sur les banlieues (interview France info).

 

 

Franceinfo : Quel est votre sentiment après ce long discours d’Emmanuel Macron ?

Gilles Poux : Je suis déçu. Je ne m’attendais pas à grand chose, mais je suis quand même très déçu. Une nouvelle fois, on passe complètement à côté de la réalité de la situation dans les banlieues. Dans son rapport, Jean-Louis Borloo avait pourtant établi un diagnostic simple : ces territoires sont abandonnés par la République, sont mal dotées et n’ont pas un accès au même titre que les autres aux services publics, ce qui crée de graves inégalités.

Pour pallier tout cela, Borloo a remis des propositions concrètes. Mais le président n’en a pas tenu compte.

A l’inverse, on continue de demander aux collectivités territoriales de réduire leurs dépenses de fonctionnement. Donc de réduire l’accès des populations aux services publics de proximité. C’est le serpent qui se mord la queue.

En refusant d’annoncer un nouveau « plan banlieues », Emmanuel Macron a expliqué vouloir rompre avec des décennies de politique de la ville qui se sont avérées inefficaces…

D’abord, ce n’est pas tout à fait vrai. Les différents plans pour la banlieue ont tout de même permis de faire évoluer certaines choses sur nos territoires. Malgré le peu de moyens alloués pour les mettre en place, les précédents plans affirmaient au

Bien sûr, il y a des problèmes de sécurité de drogues et de radicalisation dans ces quartiers. Mais le véritable problème, c’est qu’il n’y a jamais eu de réels engagements sur les questions sociales. Je parle de l’école, de l’accès aux services publics, de l’emploi…

Sur ces questions, Emmanuel Macron a promis 30 000 stages pour les élèves de troisième de ces quartiers et la mise en place d’un « testing » anti-discrimination dans les entreprises. Ce n’est que de la poudre aux yeux ?

Je ne dis pas que cela sert à rien. Il faut accompagner les jeunes en troisième. Pour la discrimination à l’embauche, évidemment que cela existe. On le sait depuis très longtemps. Mais globalement, ce ne sont pas ces annonces qui vont inverser les logiques auxquelles nous sommes confrontés.

Je prend un exemple : au Pôle emploi de La Courneuve, il y a un conseiller pour 250 chômeurs ! En France, la moyenne c’est un conseiller pour moins de 100 chômeurs. C’est justement sur ce point qu’on l’attendait. Et encore une fois, cela ne changera pas.

TFI- Macron : audience record mais déception record aussi

TFI- Macron : audience record mais déception record aussi

 

En choisissant une mission  particulièrement regardée notamment par la France périphérique, Macron a voulu frapper fort. Effectivement cette émission a enregistré une  audience record. (6.4 Millions de spectateurs) et des reprises partout dans les médias.  Malheureusement  l’intervention de Macron a fait un flop surtout chez les retraités. 72% des retraités pas convaincus à propos de la CSG selon un sondage Odoxa-Dentsu Consulting pour franceinfo et Le Figaro. Selon cette enquête parue vendredi, l’intervention dans le journal de 13-Heures de Jean-Pierre Pernaut a été un succès d’audience, avec 70% des Français interrogés exposés d’une manière ou d’une autre à la parole présidentielle.  Par ailleurs les Français n’ont pas été non plus convaincus par les explications présidentielles sur la baisse de la limitation de vitesse à 80 km/h sur les routes secondaires : 68% des sondés et 75% des ruraux, les plus concernés, sont dans ce cas. En ce qui concerne le conflit à la SNCF, 56% des Français soutiennent la réforme voulue par le gouvernement et 55% jugent “pas justifié” le mouvement de grève, qui en est à sa troisième période de deux jours. Interrogés sur les traits de personnalité d’Emmanuel Macron, les sondés l’ont jugé “pas humble” (75%, +3 points par rapport à décembre), “pas proche des gens” (70%, +8). Ils sont 65% (-2) à le considérer comme le “président des riches” alors qu’Emmanuel Macron se présente en “président de tous les Français”.

L’enquête a été réalisée les 12 et 13 avril auprès d’un échantillon de 1.011 Français interrogés via internet. Selon Mediamétrie, 6,4 millions de téléspectateurs ont regardé le président sur TF1, un record d’audience à cette heure, avec un pic à sept millions en début d’émission. Environ un million de personnes supplémentaires l’ont regardé en vidéo. Les sondés l’ont jugé “pas humble” (75%, +3 points par rapport à décembre), “pas proche des gens” (70%, +8). Ils sont 65% (-2) à le considérer comme le “président des riches” alors qu’Emmanuel Macron se présente en “président de tous les Français”.

 

Euro foot 2016 : espoir, déception mais aussi ennui

Euro foot 2016 : espoir, déception mais aussi ennui

Du fait notamment des résultats de l’équipe de France l’euro foot 2016 a suscité un grand enthousiasme populaire. La France avait de sérieux chances de l’emporter face au Portugal d’où l’immense déception après la défaite. Un manque de chance sans doute, aussi peut-être aussi en cause un physique atteint sauf pour un joueur, Sissoko qui a surnagé au cours de cette rencontre particulièrement stressante mais aussi ennuyeuse. À noter encore une fois l’excellente  prestation du gardien de but français. Cet euro foot 2016 ne restera sans doute pas dans les annales concernant la qualité du jeu. La plupart du temps les matchs ont été cadenassés par les défenses, de ce fait ce ne sont pas toujours ceux qui ont produit le meilleur jeu qui l’ont emporté. D’une certaine manière, c’est la caractéristique du foot moderne, les défenses prennent le pas sur les attaques. Bref hormis le suspense le spectacle est ennuyeux. Les tirs au but deviennent de plus en plus rares, les contre-attaques aussi et on passe la plupart du temps à transmettre la balle en arrière ou à faire circuler le ballon de manière latérale. Bref c’est le foot des défenses qui triomphent. La meilleure preuve c’est cette victoire du Portugal qui certes mérite d’avoir remporté la victoire finale mais dont le jeu insipide tout au long de cet euro foot témoigne de ce qu’est le plus souvent le foot moderne. Pour ce match France Portugal la France n’a pas suffisamment imposé sa vitesse et son engagement et s’est englué dans le faux rythme imposé par les Portugais. Reste cependant que cette équipe de France a quand même fait rêver le pays en dépit de son parcours souvent très accroché. Le bilan reste de positif car cette compétition européenne aura fait émerger une nouvelle génération de jeunes joueurs très talentueux.

Loi Travail: grosse déception de la CGPME

Loi Travail: grosse déception de la CGPME

Premier motif d’insatisfaction : l’article plafonnant les indemnités prud’homales pour licenciement abusif  qui a été retiré du projet de loi réformant le Code du travail.  La version initiale du texte instaurait un barème contraignant, de trois mois de salaire maximum pour moins de deux ans d’ancienneté à 15 mois à partir de 20 ans d’ancienneté. Face à l’opposition des syndicats, le Premier ministre, Manuel Valls, a annoncé lundi qu’il n’y aurait plus qu’un barème indicatif. Cet article 30 est donc supprimé. Selon le ministère du Travail, le barème indicatif sera mis en place par un décret d’application de la loi sur la croissance et l’activité du ministre de l’Economie, Emmanuel Macron. Cette loi d’août 2015 prévoit que le juge des prud’hommes « peut prendre en compte un référentiel indicatif établi (…) selon les modalités prévues par décret en Conseil d’Etat ». La loi Macron précise également que si les parties en font conjointement la demande, l’indemnité prud’homale est fixée « par la seule application de ce référentiel ». Conformément aux annonces de Manuel Valls, ces corrections ne touchent pas aux motifs de licenciement économique définis dans la version précédente et à leur périmètre d’appréciation. Mais il est précisé que « les difficultés économiques créées artificiellement pour procéder à des suppressions d’emplois » ne sauraient constituer une cause « réelle et sérieuse ». Un alinéa visant notamment les groupes internationaux. Le gouvernement renonce à faire des 61 « principes essentiels du droit du travail » définis à sa demande par l’ancien Garde des Sceaux Robert Badinter le préambule du Code du travail. Le Medef craignait que ce préambule ouvre la voie à des interprétations contradictoires avec l’esprit du reste du projet de loi, dont l’objectif est notamment de renforcer le rôle des accords d’entreprises dans l’organisation du travail. La nouvelle mouture prévoit seulement que ces principes serviront de « base » à la réécriture du Code. Elle introduit par ailleurs un article 14 bis visant à renforcer les négociations de branche pour « définir des garanties s’appliquant aux salariés d’un même secteur » et « réguler » la concurrence entre ses entreprises. Pas de quoi consoler la CGPME, qui juge les petites entreprises d’autant plus laissées pour compte que la nouvelle version laisse tomber des dispositions permettant à l’employeur de fixer certaines règles en l’absence d’accord collectif. C’est notamment le cas pour les forfaits en jours ou en heures de travail dans les entreprises de moins de 50 salariés. Autre disposition ajoutée et susceptible d’irriter les petits patrons : la possibilité pour les syndicats de désigner, là où il n’y a pas de délégué syndical, un « salarié mandaté » pour négocier avec l’employeur. La nouvelle mouture revient aussi sur le calcul de la durée de travail hebdomadaire maximale en cas d’accord collectif : la limite reste à 46 heures mais sur 12 semaines de suite, comme c’est le cas aujourd’hui, et non sur 16 semaines consécutives. La CGPME a annoncé mercredi qu’elle ne signerait pas la position commune sur le compte personnel d’activité (CPA) sur laquelle la majorité des organisations patronales et syndicales se sont entendues le 8 février dernier. Dans un communiqué, elle redoute de « voir adopter des mesures sources de complexité et de coûts supplémentaires ». Dans un geste à destination des jeunes, Manuel Valls a annoncé lundi un renforcement du CPA censé réunir tous les droits liés au travail de chaque actif pendant sa carrière. La nouvelle mouture prévoit de valoriser l’engagement comme réserviste, responsable associatif ou maître d’apprentissage, et porte à 400 heures au lieu de 150 la formation dont pourront bénéficier les salariés sans diplômes et sous-qualifiés. Un nouvel article généralise à compter du 1er janvier 2017 la « garantie jeunes », aide à l’acquisition de l’autonomie expérimentée depuis 2013 pour les moins de 25 ans sans emploi, ni formation, ni soutien financier parental et non étudiants. L’article prévoyant que les apprentis de moins de 18 ans pourront travailler jusqu’à 10 heures par jour et 40 heures par semaine « à titre exceptionnel » après information de l’inspecteur du travail est en revanche retiré. Ce qu’a regretté Emmanuel Macron. « Je suis très attaché à des mesures qui n’ont pas été retenues dans ce texte », a confié à Europe 1 le ministre de l’Economie, qui a souhaité que le débat parlementaire permette d’ »enrichir » le projet de loi.

(Reuters)

FOOT-PSG : encore la déception

PSG : encore la déception

Quand le PSG joue mal –au regard de son potentiel-, il perd, ne gagne pas ou par un petit but d’écart comme en ligue 1. Quand le PSG joue bien, il ne parvient pas à faire la différence face aux grandes équipes. En cause des maladresses incroyables de ses attaquants qui vendangent (surtout Cavani)  devant la cage. Ibra de son coté n’a plus le coup de rein même s’il conserve sa technique et sa vision du jeu. Les autres attaquants jouent les intermittents du spectacle. Il y a auusi de toute évidence un vrai problème de management de cette équipe de super stars. Et de ce point de vue Laurent  Blanc ne parvient pas à imposer sa ligne et sa personnalité. Plusieurs solutions : prendre un entraineur de classe mondiale, recruter un véritable avant centre ou alors élargir la surface des buts en faisant élire Platini à la FIFA. Pourtant le PSG a dominé mais perdu. Beaucoup plus incisifs que les Espagnols, les Parisiens ont véritablement assiégé la surface de Keylor Navas, multipliant les situations dangereuses à l’image du coup-franc d’Ibrahimovic, passé juste à côté du poteau madrilène.  Malgré une domination de tous les instants, le PSG, incapable de concrétiser, a concédé l’ouverture du score après une bévue de Kevin Trapp. Peu inspiré, le gardien allemand s’est jeté à l’abordage d’un ballon aérien pour le bonheur de Nacho (rentré à la place de Marcelo suite à une blessure musculaire du Brésilien), précis sur une reprise du plat du pied victorieuse (1-0, 35e).  Juste avant la pause, les visiteurs auraient pu rééquilibrer la balance si Cavani, seul face à Navas, ne s’était pas totalement trompé en tentant le mauvais geste, comme souvent.

Croissance Allemagne : nouvelle déception

Croissance Allemagne : nouvelle déception

 

C’est la confirmation que l’économie mondiale fait du yo-yo et enregistre un tassement pour le second trimestre ( Chine, Allemagne notamment). La progression de l’activité du secteur privé allemand a ralenti en mai pour le deuxième mois consécutif, signe que la croissance de la première économie d’Europe pourrait avoir atteint un plateau. L’indice PMI « flash » composite, qui regroupe le secteur manufacturier et celui des services, a reculé à 52,8 contre 54,1 en avril. S’il reste pour le 25e mois d’affilée au-dessus de la barre de 50 séparant croissance et contraction, il s’agit du chiffre le plus faible enregistré depuis le début de l’année par l’enquête Markit. Le PMI manufacturier est revenu à 51,4 contre 52,1 alors que les économistes interrogés par Reuters prévoyaient en moyenne un chiffre en hausse à 52,3. Celui des services est passé de 54,0 à 52,9, ratant lui aussi le consensus, qui le donnait à 53,9. Pour Chris Williamson, chef économiste de Markit, ces chiffres suggèrent une croissance de 0,3% ou 0,4% de l’économie allemande au deuxième trimestre, après 0,3% au premier. 

 

 » Déception à l’égard du gouvernement » Delphine Batho (sur RTL) : Mais non !!

 » Déception à l’égard du gouvernement » Delphine Batho (sur RTL) : Mais non !!

Batho découvre la lucidité en constatant qu’il y a une déception à l’égard du gouvernement. C’est un progrès, par contre toujours la même manque de clairvoyance sur l’impératif de changer les automobiles anciennes ; encore faudrait-il que le pouvoir d’achat ne soit pas entamé pas la fiscalité et que la confiance revienne. Bref encore des progrès à faire pour une ministre qui ne sert à rien. La ministre de l’Écologie, du Développement durable et de l’Énergie croit à la transition énergétique malgré la baisse attendue du budget de son ministère. 7% de moins l’an prochain pour le budget du ministère de l’Écologie. « Un mauvais budget » concède Delphine Batho qui « préfère dire la vérité », et ne perd pas de vue son objectif. « Nous serons la Nation de l’excellence environnementale, la transition énergétique n’est pas une variable d’ajustement », dit-elle. Même si elle précise que la baisse annoncée de son budget est aussi liée à une baisse de celui des transports. « Certes il y a des coupes, mais il y a d’autres moyens qui vont être mobilisés comme la fiscalité écologique », ajoute-t-elle. Une fiscalité que la ministre veut diriger vers le renouvellement du parc automobile, diesel en particulier :  »Je veux inciter les gens à acheter une voiture non polluante. » Car oui, « il y a un problème de pollution, surtout avec les vieux véhicules« , précise Delphine Batho.  Déterminée, la ministre veut continuer à travailler sur la « transition écologique » de la France : « Je suis une combattante, il y a une situation budgétaire qui est extrêmement difficile. »  Elle concède que « l’affichage n’est pas bon », quant aux objectifs environnementaux du gouvernement. Mais Delphine Batho dit ne pas perdre de vue sa mission : « Ce qui est important, c’est de répondre à l’envie de changement qu’il y a dans le pays, que nous devons concrétiser. » D’autant que « quand tout va mal, les Français ont besoin d’espoir ».  Accusée par Ségolène Royal de ne pas avoir acheté de voiture électrique – elle est arrivée dans les locaux de RTL en voiture électrique, elle se défend et indique que la présidente de la région Poitou-Charentes « souffre après un certain nombre d’échecs difficiles ». Delphine Batho évacue le sujet en indiquant qu’on « ne réussit pas en tirant contre son camp ».

 




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