Archive pour le Tag 'débile'

Une tour de plus d’un km de haut, de plus en plus débile

Une tour de plus d’un km de haut, de plus en plus débile

Coup d’envoi des travaux de construction de la tour de Dubaï Creek Harbor, au centre de la cité-Etat de Dubaï  «La structure sera la tour la plus haute du monde en 2020». La tour Burj Khalifa, inaugurée en janvier 2010, est déjà devenue l’un des joyaux de Dubaï, une destination touristique de plus en plus courue. Mais . Les travaux de construction de la Kingdom Tower, qui devrait détrôner l’immeuble Burj Khalifa de son titre de tour la plus haute du monde, ont débuté  à Djeddah au bord de la mer rouge, en Arabie saoudite. Haute, la Kingdom Tower dépassera de 173 mètres sa rivale des Emirats arabes unis, construite en 2010 et conçue par le même cabinet d’architecte, Adrian Smith + Gordon Gill Architecture. Alors que l’Empire State Building avait conservé le titre 41 ans et la Willis Tower de Chicago 24 ans, le règne de la Burj Khalifa ne devrait durer que huit ans, si les travaux de la Kingdom Tower s’achèvent comme prévu en 2018.  Laquelle sera encore dépassée par la tour de Dubaï Creek Harbor. La stupidité dépasse aussi toutes les limites car inévitablement un jour ou l’autre une catastrophe montrera la vanité dramatique de ces bâtiments dont la sécurité totale ne peut être assurée.

 

Sarkozy-immigration : un questionnaire débile pour des réponses débiles

Sarkozy-immigration : un questionnaire débile pour des réponses débiles

C’est en substance ce que pense André Lamassoure après le référendum interne organisé par Sarkozy. « Le questionnaire semble inspiré exclusivement par la peur, la crainte des étrangers, évoqués implicitement comme de possibles fraudeurs, voire des délinquants potentiels, en tout cas comme des intrus embarrassants », a-t-il jugé dans un communiqué. En réalité Sarkozy et moins préoccupée de la question de l’immigration que de cadenasser les deux autres candidats à la primaire de la droite. D’où ce questionnaire débile avec réponse débile dont il était inévitable qu’il soit soutenu par 90 % et plus des adhérents concernés. On peut évidemment multiplier ce type de référendum à l’infini en lui octroyant des vertus démocratiques qu’il n’a pas. C’est un peu comme si on demandait aux Français : êtes-vous pour de vrai changement dans le pays ? De ce point de vue Sarkozy ne parvient pas à se débarrasser de sa rhétorique de camelot populiste. Un « plébéien hargneux » à dit Fillon. Le questionnaire sur l’immigration soumis par Nicolas Sarkozy aux adhérents des Républicains « semble inspiré exclusivement par la peur », a estimé mardi Alain Lamassoure, ajoutant aux critiques internes contre l’initiative à plus d’un an de la primaire présidentielle de la droite et du centre. Au total, 53.000 adhérents se sont prononcés par vote électronique la semaine dernière sur douze questions, formulées comme autant de propositions allant de la refondation des accords de Schengen à la suppression de l’aide médicale d’Etat pour les étrangers en situation irrégulière. Elles ont recueilli des taux d’approbation de 91,41% à 97,43%. La méthode, contestée, a été débattue mardi lors du bureau politique des Républicains. Les principaux rivaux de Nicolas Sarkozy à la primaire de 2016, Alain Juppé, François Fillon, Bruno Le Maire, avaient déploré de ne pas avoir été consultés en amont sur le contenu de ce document appelé à compléter un « socle programmatique commun » pour les candidats. « ‘Oui’, ‘non’, on n’est pas dans une démocratie très évoluée », a estimé François Fillon au « Grand Journal » de Canal+. Le député de Paris n’était pas à la réunion en raison de cet engagement médiatique. Présent en revanche, Alain Juppé a demandé à Nicolas Sarkozy des clarifications sur le « socle commun » lors d’échanges « parfois tendus », ont rapporté des participants. Le président des Républicains a assuré l’ancien Premier ministre que ces propositions n’engageraient pas les candidats à la primaire, ont-ils précisé. Avant la réunion, l’eurodéputé Alain Lamassoure, ancien ministre d’Edouard Balladur et d’Alain Juppé et représentant de l’aile centriste et pro-européenne du parti, avait livré un sévère réquisitoire contre le « questionnaire Sarkozy ». André « Certes, c’est ce que ressentent beaucoup de nos électeurs, et ce que hurlent quotidiennement les réseaux sociaux », poursuit-il. « Mais le rôle d’un parti, qui se réclame du Général de Gaulle et de la démocratie chrétienne, consiste-t-il à justifier tous les préjugés xénophobes, ou à faire courageusement la pédagogie de nos valeurs? », s’interroge-t-il, rappelant que Nicolas Sarkozy est un « Français de deuxième génération ».

 

Procès Pérol : débile !

Procès Pérol : débile !

 

Un procès complètement débile , il ne s’agit pas de dédouaner  François Pérol mais il n’a faiat que ce que font tous les conseillers politiques du gouvernement et de l’Elysée : profiter de sa fonction de conseiller pour se reclasser. Des centaines, des milliers de conseillers ministériels ont suivi la même démarche. Alors pourquoi Pérol seulement ? Un procès qui démontre s’il en était besoin combien la justice est à coté de ses baskets et trop souvent intéressée par le retour médiatique des affaires. Bref uen justice coupée du réel et incompétente. Reste qu’il faudra un jour réguler la fonction de conseiller ( et manière plus urgente encore le rapport entre statut de fonctionnaire et statut de politique)  mais ce n’est pas une  question à traiter judiciairement mais politiquement et démocratiquement..Pérol,  le patron de BPCE, qui encourt jusqu’à deux ans de prison et 30.000 euros d’amende pour prise illégale d’intérêts présumée, dans le cadre de sa nomination à la tête du groupe en 2009.On cherche à mesurer l’influence qu’a pu avoir François Pérol, lorsqu’il était secrétaire général adjoint de l’Elysée du temps de Nicolas Sarkozy, dans la fusion des Banques Populaires et des Caisses d’Epargne. Une fusion qui a débouché en 2009 sur la naissance de BPCE, le groupe que François Pérol préside depuis cette même année. Un poste qu’il ne serait pas en droit d’occuper s’il s’avérait qu’il a joué un rôle déterminant dans la création de BPCE, les hauts fonctionnaires devant observer un délai de carence de trois ans avant de rejoindre une entreprise privée qu’ils ont surveillée, contrôlée ou sur laquelle ils « ont émis des avis auprès des autorités compétentes » or c’est le rôle de tous les conseillers d’émettre des avis !

Régions : une réforme débile au Conseil des ministres

Régions : une réforme débile au Conseil des ministres

 

C’est évidemment une reforme à la fois débile et non démocratique ; Un découpage complètement arbitraire fondé sur des intérêts électoraux et auusi là pour montrer que Hollande sait réformer. En fait il ne réforme rien car les départements sont maintenus alors que l’urgence est de les supprimer. Ensuite parque plus de 14  régions c’est beaucoup trop. Si on se fonde sur l’analyse des flux de biens et de personnes qui rendent compte de la réalité économique et sociale,  les régions s’articule sur 8 ou 9 pôle tout au plus. Or cette réforme est là théoriquement d’une part pour faire des économies et redonner  un dynamisme économique ; c’est donc encore une fois une réforme uniquement administrative et politicienne. Il fallait auusi parallèlement retirer des compétences aux administrations centrales des ministères qui croulent sous les effectifs. Donc s’attaquer partout aux effectifs de fonctionnaires qui coûtent cher non seulement en  fonctionnement mais qui engagent dépenses et procédures qui tuent l’économie.   La réforme territoriale a donc été  présentée ce mercredi 18 juin en Conseil des ministres. Bien que court, ce texte fait énormément débat et continue de provoquer de nombreuses discussions. En cause, le redécoupage des régions présenté par François Hollande. Des aménagements étant apparemment possibles, il se dit que plusieurs régions devraient tenter de changer leur destin. Ainsi Poitou-Charente, Limousin et Centre pourraient-ils changer de partenaire. Le Limousin et le Poitou-Charente lorgneraient sur l’Aquitaine tandis que le Centre pourrait rejoindre les Pays de la Loire. Il se dit également que le Languedoc-Roussillon souhaiterait ne pas être liée à la région Midi-Pyrénées. Le gouvernement devrait toutefois tenir bon.  Une autre bataille se jouera également dans les semaines à venir : celle des départements. Si le texte ne fait état que d’un transfert de compétences mais pas d’une disparition. Des députés vont donc se battre pour garder le conseiller général au-delà de 2020, tout en lui donnant un autre nom. De toute manière le gouvernement et Hollande ne dispose plus d’aucune légitimité démocratique pour réaliser une reforme aujourd’hui contesté par près de 75% des français dans sa forme actuelle. (Alors qu’au départ les français étaient pour).

 




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