Débaptiser les rues pour lutter contre le séparatisme !
C’est l’idée même de Macron spécialiste des mesures sparadrap pour lutter contre le séparatisme. Il suffirait de changer le nom des rues pour que ceux qui refusent les valeurs de la république puissent y adhérer. Une folie évidemment et une fuite en avant servies par les approches genrées des gauchistes. Y compris de certains universitaires qui se comportent davantage en militant qu’en scientifique. Il suffit pour s’en persuader d’écouter l’historien Pascal Blanchard qui a fourni à Macron une liste de plus de 300 noms supposés représenter la diversité.
L’intéressé quand il parle parait d’abord sous l’effet d’une excitation peu compatible avec une tonalité scientifique. Ils ne parlent pas, il fait un sermon, vocifère, s’enivre de son propre propos au point d’avoir de la peine à respirer. Le type même du gauchiste qui prophétise en même temps qu’il terrorise. Le contraire du scientifique qui doit cultiver le doute et la mesure comme valeurs cardinales.
Pour l’intéressé, le changement de nom des rues va constituer un acte historique pour que les nouvelles générations se sentent légitimes !
On peut se demander sur quelle étude scientifique se fonde l’excité historien. Ainsi dans de nombreuses anciennes villes communistes figurent le nom de personnalités communistes étrangères qui n’ont strictement rien changé évidemment aux mentalités. Pire le plus souvent, les habitants excédés par cette référence trop permanente aux mythes communistes ont balayé les responsables pour les remplacer par des élus de droite.
Pourquoi pas aussi changer le nom de la république française et lui substituer le nom de république islamique afin que les nouvelles générations se sentent plus légitimes.
Notons aussi que dans cette liste de plus de 300 noms, l’agité historien a oublié nombre de femmes comme si les femmes n’avaient pas joué un rôle dans l’histoire. Bref la confusion et la contradiction de ces universitaires qui confondent l’approche académique et la démarche militante.
Et pour illustrer le propos quand l’intéressé est au bout d’arguments, il déclare tout bonnement que ceux qui sont contre son avis ne sont que des vieux cons dépassé par la société ! Ou la résurgence du terrorisme dialectique!