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Royaume-Uni : Des élections législatives avec une débâcle des conservateurs le 4 juillet

Royaume-Uni : Des élections législatives avec une débâcle des conservateurs le 4 juillet

On peut légitimement se demander ce qui est à pousser le premier ministre a provoqué de façon hâtive des élections législatives britanniques le 4 juillet. Peut-être la lassitude de l’intéressé mais surtout celle des électeurs qui constatent les dégâts du Brexit en même temps que tous les mensonges qui ont influencé le vote jugé catastrophique aujourd’hui.

Ce qui est certain c’est que les conservateurs vont enregistrer une défaite historique moins par pertinence et adhésion aux thèses des travaillistes et autres que par rejet d’une classe politique qui a uséstous ces responsables les conservateurs.

Les Britanniques se rendront donc aux urnes le 4 juillet pour des élections législatives , qui pourraient voir les travaillistes revenir à Downing Street après quatorze années de premiers ministres conservateurs. Voici les principaux protagonistes de ces élections :

  Les sondages Attribue au premier ministre l’un des plus bas taux de popularité des premiers ministres britannique qui n’a pas rétabli loin s’en faut la prospérité économique, a fait augmenter le nombre d’immigrés et n’a pas pu redresser le système de santé en déliquescence. Bref, aucune des promesses les conservateurs n’a pu être retenus et c’est le contraire qui s’est produits récents.

Côté Labour, Keir Starmer caracole en tête des sondages. Il est largement considéré comme celui qui deviendra le prochain premier ministre britannique. Depuis son arrivée à la tête des travaillistes en 2020, il a recentré le parti après les années Jeremy Corbyn, beaucoup plus à gauche, et s’est montré ferme face à l’antisémitisme.

Ses soutiens voient cet homme de 61 ans comme un pragmatique, fiable et armé pour redresser le pays. Ses détracteurs fustigent ses revirements politiques, une personnalité qui manque d’éclat et ses difficultés à dessiner une vision claire pour l’avenir du pays.

Né à Londres d’un père outilleur et d’une mère infirmière, tous les deux militants socialistes, son prénom peu courant rend hommage au premier président du Labour Keir Hardie. Ce supporter du club de foot londonien d’Arsenal a été fait chevalier par la reine Elizabeth II pour services rendus à la justice – même s’il utilise rarement le titre «Sir».

Elections européennes : Débâcle en vue pour la majorité

Elections  européennes : Débâcle en vue pour la majorité

D’après les derniers sondages, la majorité pourrait connaître une véritable débâcle avec à peine plus que la majorité du score du Front national. Avec 15 à 16 % on peut se demander en effet comment le pouvoir pourra continuer de diriger le pays. L’autre enseignement et l’inversion des rapports de force au sein de la gauche avec le Parti socialiste assez nettement en tête suivi des écolos et du parti de Mélenchon qui s’écroule.

 

Dans le dernier sondage Elabe - La Tribune Dimanche, la liste de la majorité présidentielle est en effet au plus bas, avec 16,5%. Elle reflue d’un demi-point par rapport au mois précédent. Surtout, la tenaille se resserre autour d’elle. D’un côté, l’écart s’accroît avec la liste RN menée par Jordan Bardella, qui avec 30% (+0,5% en un mois) atteint désormais un niveau spectaculaire. De l’autre, il se réduit avec la liste PS conduite par Raphaël Glucksmann, qui récolte 12% et bondit de 3,5 points par rapport à mars.

« La majorité paie le niveau d’impopularité très élevée d’Emmanuel Macron, analyse Bernard Sananès, le président d’Elabe. Plus les questions nationales sont au premier plan, plus la situation est défavorable pour elle. Or, Valérie Hayer avait été choisie pour rester sur une dimension européenne du scrutin. L’actualité fait que c’est impossible. »

« Je comprends qu’il y ait des déçus sur le plan national, mais sur le plan européen, Emmanuel Macron a un vrai bilan », veut se rassurer, lui, un pilier de la campagne. La majorité réussira-t-elle donc pour s’en sortir à européaniser la campagne ? La dernière semaine d’avril, le chef de l’État prononcera un grand discours sur l’Europe dans le droit fil de celui de la Sorbonne en 2017. « Il entend influer sur l’agenda de la future commission comme il a influé sur celui de la commission von der Leyen avec la Sorbonne », explique un de ses conseillers. Demain, une réunion se tiendra à l’Élysée pour arbitrer le projet défendu par Valérie Hayer ces prochaines semaines…

« Nous avons un équilibre à trouver, avance un des principaux responsables de la campagne. Il nous faut à la fois dérouler notre projet et dénoncer l’hypocrisie du RN. » Le premier objectif doit permettre à la majorité de déclencher un mécanisme de vote utile, le second de réduire le retard pris sur la liste Bardella. Dans le même but stratégique, Valérie Hayer débattra demain sur CNews face à Marion Maréchal. Ce duel vise à faire exister la tête de liste de Reconquête (dans l’enquête Elabe, elle engrange un point grâce au forfait de Nicolas Dupont-Aignan) étouffée par le Rassemblement national. « Je pensais qu’elle serait plus forte et irait chercher davantage d’électeurs chez Jordan Bardella et François-Xavier Bellamy », observe une eurodéputée Renaissance.

Si, dans la majorité, beaucoup s’inquiètent de la menace exercée par Raphaël Glucksmann, celui-ci profite d’abord d’une redistribution des cartes au sein de la gauche (il capte 25% des électeurs de 2022 de Jean-Luc Mélenchon et 26% de ceux de Yannick Jadot) plutôt que d’une fuite des électeurs d’Emmanuel Macron à son profit (il récupère 11% de ses électeurs de 2022). « Il prend plus de déçus du mélenchonisme que du macronisme », conclut Bernard Sananès.

 

Sondage élections européennes : Débâcle en vue pour la majorité

Sondage élections européennes : Débâcle en vue pour la majorité

D’après les derniers sondages, la majorité pourrait connaître une véritable débâcle avec à peine plus que la majorité du score du Front national. Avec 15 à 16 % on peut se demander en effet comment le pouvoir pourra continuer de diriger le pays. L’autre enseignement et l’inversion des rapports de force au sein de la gauche avec l’EPS assez nettement en tête suivie des écolos et du parti de Mélenchon qui s’écroule.

 

Dans le dernier sondage Elabe - La Tribune Dimanche, la liste de la majorité présidentielle est en effet au plus bas, avec 16,5%. Elle reflue d’un demi-point par rapport au mois précédent. Surtout, la tenaille se resserre autour d’elle. D’un côté, l’écart s’accroît avec la liste RN menée par Jordan Bardella, qui avec 30% (+0,5% en un mois) atteint désormais un niveau spectaculaire. De l’autre, il se réduit avec la liste PS conduite par Raphaël Glucksmann, qui récolte 12% et bondit de 3,5 points par rapport à mars.

« La majorité paie le niveau d’impopularité très élevée d’Emmanuel Macron, analyse Bernard Sananès, le président d’Elabe. Plus les questions nationales sont au premier plan, plus la situation est défavorable pour elle. Or, Valérie Hayer avait été choisie pour rester sur une dimension européenne du scrutin. L’actualité fait que c’est impossible. »

« Je comprends qu’il y ait des déçus sur le plan national, mais sur le plan européen, Emmanuel Macron a un vrai bilan », veut se rassurer, lui, un pilier de la campagne. La majorité réussira-t-elle donc pour s’en sortir à européaniser la campagne ? La dernière semaine d’avril, le chef de l’État prononcera un grand discours sur l’Europe dans le droit fil de celui de la Sorbonne en 2017. « Il entend influer sur l’agenda de la future commission comme il a influé sur celui de la commission von der Leyen avec la Sorbonne », explique un de ses conseillers. Demain, une réunion se tiendra à l’Élysée pour arbitrer le projet défendu par Valérie Hayer ces prochaines semaines…

« Nous avons un équilibre à trouver, avance un des principaux responsables de la campagne. Il nous faut à la fois dérouler notre projet et dénoncer l’hypocrisie du RN. » Le premier objectif doit permettre à la majorité de déclencher un mécanisme de vote utile, le second de réduire le retard pris sur la liste Bardella. Dans le même but stratégique, Valérie Hayer débattra demain sur CNews face à Marion Maréchal. Ce duel vise à faire exister la tête de liste de Reconquête (dans l’enquête Elabe, elle engrange un point grâce au forfait de Nicolas Dupont-Aignan) étouffée par le Rassemblement national. « Je pensais qu’elle serait plus forte et irait chercher davantage d’électeurs chez Jordan Bardella et François-Xavier Bellamy », observe une eurodéputée Renaissance.

Si, dans la majorité, beaucoup s’inquiètent de la menace exercée par Raphaël Glucksmann, celui-ci profite d’abord d’une redistribution des cartes au sein de la gauche (il capte 25% des électeurs de 2022 de Jean-Luc Mélenchon et 26% de ceux de Yannick Jadot) plutôt que d’une fuite des électeurs d’Emmanuel Macron à son profit (il récupère 11% de ses électeurs de 2022). « Il prend plus de déçus du mélenchonisme que du macronisme », conclut Bernard Sananès.

 

Européennes : Débâcle en vue pour la majorité

Européennes : Débâcle en vue pour la majorité

D’après les derniers sondages, la majorité pourrait connaître une véritable débâcle avec à peine plus que la majorité du score du Front national. Avec 15 à 16 % on peut se demander en effet comment le pouvoir pourra continuer de diriger le pays. L’autre enseignement et l’inversion des rapports de force au sein de la gauche avec l’EPS assez nettement en tête suivie des écolos et du parti de Mélenchon qui s’écroule.

 

Dans le dernier sondage Elabe - La Tribune Dimanche, la liste de la majorité présidentielle est en effet au plus bas, avec 16,5%. Elle reflue d’un demi-point par rapport au mois précédent. Surtout, la tenaille se resserre autour d’elle. D’un côté, l’écart s’accroît avec la liste RN menée par Jordan Bardella, qui avec 30% (+0,5% en un mois) atteint désormais un niveau spectaculaire. De l’autre, il se réduit avec la liste PS conduite par Raphaël Glucksmann, qui récolte 12% et bondit de 3,5 points par rapport à mars.

« La majorité paie le niveau d’impopularité très élevée d’Emmanuel Macron, analyse Bernard Sananès, le président d’Elabe. Plus les questions nationales sont au premier plan, plus la situation est défavorable pour elle. Or, Valérie Hayer avait été choisie pour rester sur une dimension européenne du scrutin. L’actualité fait que c’est impossible. »

« Je comprends qu’il y ait des déçus sur le plan national, mais sur le plan européen, Emmanuel Macron a un vrai bilan », veut se rassurer, lui, un pilier de la campagne. La majorité réussira-t-elle donc pour s’en sortir à européaniser la campagne ? La dernière semaine d’avril, le chef de l’État prononcera un grand discours sur l’Europe dans le droit fil de celui de la Sorbonne en 2017. « Il entend influer sur l’agenda de la future commission comme il a influé sur celui de la commission von der Leyen avec la Sorbonne », explique un de ses conseillers. Demain, une réunion se tiendra à l’Élysée pour arbitrer le projet défendu par Valérie Hayer ces prochaines semaines…

« Nous avons un équilibre à trouver, avance un des principaux responsables de la campagne. Il nous faut à la fois dérouler notre projet et dénoncer l’hypocrisie du RN. » Le premier objectif doit permettre à la majorité de déclencher un mécanisme de vote utile, le second de réduire le retard pris sur la liste Bardella. Dans le même but stratégique, Valérie Hayer débattra demain sur CNews face à Marion Maréchal. Ce duel vise à faire exister la tête de liste de Reconquête (dans l’enquête Elabe, elle engrange un point grâce au forfait de Nicolas Dupont-Aignan) étouffée par le Rassemblement national. « Je pensais qu’elle serait plus forte et irait chercher davantage d’électeurs chez Jordan Bardella et François-Xavier Bellamy », observe une eurodéputée Renaissance.

Si, dans la majorité, beaucoup s’inquiètent de la menace exercée par Raphaël Glucksmann, celui-ci profite d’abord d’une redistribution des cartes au sein de la gauche (il capte 25% des électeurs de 2022 de Jean-Luc Mélenchon et 26% de ceux de Yannick Jadot) plutôt que d’une fuite des électeurs d’Emmanuel Macron à son profit (il récupère 11% de ses électeurs de 2022). « Il prend plus de déçus du mélenchonisme que du macronisme », conclut Bernard Sananès.

 

Élections européennes : la grande débâcle de Macron et de sa majorité

Élections européennes : la grande débâcle de Macron et de sa majorité

L’échéance des élections européennes du 9 juin pourrait se traduire par une véritable débâcle pour Macon et sa majorité. Une étude délabre pour la tribune montre en effet que cette majorité dégringole encore pour ne plus recueillir qu’un peu plus de 16 % au lieu de 18 il y a seulement un mois. Le Front National lui enregistre 27,5 % encore en hausse.

Un tel résultat assez vraisemblable pourrait créer les conditions pour une très grave crise économique, sociale et politique dès la rentrée 2024. Ce scrutin va encore confirmer le caractère ultra minoritaire d’un pouvoir qui aura échoué dans tous les domaines ( école, pouvoir d’achat, santé, sécurité, immigration, endettement). Un pouvoir qui laissera le pays dans un état catastrophique. Dès leur il y aura une légitimité politique a réclamé le départ de Macon et sa clique d’arrivistes incompétents et son courage.

Au Rassemblement national, malgré la perte de 1 point par rapport à janvier, la fidélité du socle joue à plein : dans ce sondage, 85 % des électeurs de Marine Le Pen disent vouloir voter pour la liste Bardella. Le RN récupérerait, au passage, près de la moitié (48 %) des Français qui ont soutenu Éric Zemmour à la dernière élection présidentielle.

À gauche, les rapports de force n’évoluent qu’à la marge. La liste La France insoumise conduite par Manon Aubry monte à 9 %, celle des écologistes à 9,5 %, quand la candidature de Raphaël Glucksmann, soutenue par les socialistes, se tasse légèrement pour s’établir à 9 %. Si on additionne les quatre principales listes de gauche, on arrive à 30 %, ce qui est à peu près le niveau des européennes de 2019. »

Débat Zemmour et Mélenchon : ré-émigration contre créolisation

Débat Zemmour et Mélenchon : ré-émigration contre créolisation

 

Le succès de l’audience de la confrontation entre Zemmour et Mélenchon témoigne quand même d’un certain intérêt des Français pour la confrontation politique. Certes beaucoup d’un côté comme de l’autre ont dû être confortés  dans leur opinion de départ mais d’autres, les plus nombreux, étaient curieux de voir s’affronter les deux extrêmes politiques.

 

D’un côté, Mélenchon partisan d’un projet de société de créolisation et de l’autre un partisan de re–émigration. Il n’est pas certain pour autant que cela ait  fait beaucoup basculer les opinions mais peut-être ce débat a-t-il sorti le contexte électoral de sa situation de relatif ennui avec des leaders assez peu charismatiques et finalement peu porteurs de projets mobilisateurs.Mais de leurs côtés, Mélenchon et Zemmour ont fait preuve d’une très grande faiblesse en matière économique et de politique internationale. L’économie en particulier semble une matière assez étrangère à Mélenchon autant qu’à Zemmour.

 

Certes Zemmour et Mélenchon n’ont sans doute pas convaincu une majorité de Français de la pertinence de leurs projets radicaux au demeurant encore assez imprécis dans leurs modalités de mise en œuvre par ailleurs souvent assez caricaturaux même s’il faut reconnaître que des Français peuvent se retrouver dans certains constats mais pas forcément sur la totalité des perspectives avancées.

 

Toujours est-il que le débat Zemmour Mélenchon sur BFM a enfoncé le débat qui se tenait sur la chaîne publique qui auditionné Valérie Pécresse.  Le débat entre les deux extrêmes politiques a réuni 3,8 millions de Français. Soit 19 % du public. Un pic d’audience à 4,3 millions de téléspectateurs a même été observé à 21 h 39.

Ces 3,8 millions de téléspectateurs, c’est près de quatre fois plus que France 2 ! En face, le navire amiral de France Télévisions fait grise mine. «Élysée 2022», la nouvelle émission politique du service public, n’a guère attiré les foules. Présenté par Léa Salamé et Thomas Sotto, le programme qui était diffusé à la même heure, accueillait Valérie Pécresse. La candidate à l’investiture de la droite et du centre a notamment débattu avec Gérald Darmanin. Résultat: un très faible score, 1,05 million à peine de téléspectateurs en moyenne et 5,1 % de part d’audience.

Primaire EELV: le triomphe du « Wokisme » et une débâcle électorale annoncée ?

Primaire EELV: le triomphe du « Wokisme » et une débâcle électorale annoncée ?

 

Comme souvent les militants d’Europe écologie les Verts risquent de choisir le candidat le moins pertinent et le moins populaire. Yannick Jadot , le modéré est en effet affronté Sandrine Rousseau  dont la radicalité dans tous les domaines est essentiellement ce qui la caractérise. Bref une sorte de wokisme franchouillard qui condamnerait les hommes, le progrès, le nucléaire et qui favorise les approches essentialistes qui divisent contre l’universalisme. Une reprise des thèses universitaires américaines.

Finalement Sandrine Rousseau parle très peu d’écologie mais beaucoup de sociéts. Rien ou à peu près sur l’économie alors qu’elle est parait-il diplômé d’économie industrielle. ( Il est vrai qu’en France on distribue les diplômes d’économiste – comme ceux de sociologue ou encore de politiste–un peu comme des petits pains)

Jusque-là il ne semble pas que Sandrine Rousseau produit d’analyse économique très pertinente et très connue sur le plan national. Ainsi condamne-t-elle EPR sans autre analyse. En tant qu’ancienne fonctionnaire elle est évidemment pour la décroissance. Une position confortable quand on est assuré de recevoir son salaire de l’État. Un mal récurrent chez les écolos.

Rousseau appartient clairement à ce courant Islamogauchiste et wokiste qui risque de renvoyer une nouvelle fois le parti Vert un rôle marginal. Les sondages ne donnent à l’intéressée pour les présidentielles que de l’ordre de 2 % ! Le pire c’est que l’appareil d’Europe écologie les Verts va sans doute continuer de soutenir Sandrine Rousseau contre Yannick Jadot. Un vrai suicide collectif !

Primaire des écologistes: le triomphe du « Wokisme » et une débâcle électorale annoncée ?

Primaire des écologistes: le triomphe du « Wokisme » et une débâcle électorale annoncée ?

 

Comme souvent les militants d’Europe écologie les Verts risquent de choisir le candidat le moins pertinent et le moins populaire. Yannick Jadot , le modéré est en effet affronté Sandrine Rousseau  dont la radicalité dans tous les domaines est essentiellement ce qui la caractérise. Bref une sorte de wokisme franchouillard qui condamnerait les hommes, le progrès, le nucléaire et qui favorise les approches essentialistes qui divisent contre l’universalisme. Une reprise des thèses universitaires américaines.

Finalement Sandrine Rousseau parle très peu d’écologie mais beaucoup de sociéts. Rien ou à peu près sur l’économie alors qu’elle est parait-il diplômé d’économie industrielle. ( Il est vrai qu’en France on distribue les diplômes d’économiste – comme ceux de sociologue ou encore de politiste–un peu comme des petits pains)

Jusque-là il ne semble pas que Sandrine Rousseau produit d’analyse économique très pertinente et très connue sur le plan national. Ainsi condamne-t-elle EPR sans autre analyse. En tant qu’ancienne fonctionnaire elle est évidemment pour la décroissance. Une position confortable quand on est assuré de recevoir son salaire de l’État. Un mal récurrent chez les écolos.

Rousseau appartient clairement à ce courant Islamogauchiste et wokiste qui risque de renvoyer une nouvelle fois le parti Vert un rôle marginal. Les sondages ne donnent à l’intéressée pour les présidentielles que de l’ordre de 2 % ! Le pire c’est que l’appareil d’Europe écologie les Verts va sans doute continuer de soutenir Sandrine Rousseau contre Yannick Jadot. Un vrai suicide collectif !

Après la débâcle en Afghanistan, quel bouclier américain ?

Après la débâcle en Afghanistan, quel bouclier américain ?

 

Après la débâcle en Afghanistan, la présence américaine amène des pays notamment  d’Asie à s’interroger sur leur dépendance vis-à-vis des Etats-Unis.

(Article du monde, extrait)

 


L’onde de choc de la débâcle américaine amène pourtant des pays notamment d’Asie à s’interroger sur leur dépendance envers les Etats-Unis, qui s’avère une garantie de sécurité insuffisante s’ils ne disposent pas eux-mêmes de capacités pour se défendre et, surtout, s’ils ne se ménagent pas d’autres options que le suivisme. C’est moins la fiabilité de l’engagement américain que les décisions unilatérales de Washington qui inquiètent Séoul et Tokyo.

Des raisons durables à la présence américaine en Corée du Sud et au Japon écartent l’hypothèse d’un retrait : la guerre de Corée, suspendue à un simple armistice en 1953 – ce qui en fait le plus long conflit où sont impliqués les Etats-Unis –, et la menace nucléaire du Nord, qui dispose désormais de capacités intercontinentales. Le Japon, lui, reste la « clé du Pacifique » pour contenir la Chine, comme au moment de la guerre froide.

Vu de Séoul et de Tokyo, le retour des talibans à Kaboul ne suscite pas les mêmes inquiétudes qu’aux Etats-Unis et en Europe sur la résurgence d’un foyer terroriste : « Contrairement aux puissances occidentales, la Corée du Sud n’a pas d’intérêt stratégique en Afghanistan », estime Ku Mi-seon, de l’université de l’Ohio (Etats-Unis). Pour Masayuki Tadokoro, de l’université Keio, à Tokyo, « le Japon n’ayant jamais été une cible du terrorisme islamiste, le retour au pouvoir des talibans n’a pas d’implications géopolitiques pour Tokyo, sinon par son effet sur les relations entre la Chine et les Etats-Unis ».

Au lendemain d’une autre défaite des Etats-Unis – la chute de Saigon, en 1975, au terme de la guerre du Vietnam –, la Corée du Sud et le Japon, qui avaient été les bases arrière de l’offensive américaine, avaient cherché à rebattre les cartes. Le président sud-coréen, Park Chung-hee, avait lancé un programme clandestin d’armement nucléaire – auquel Washington mit le holà – et le Japon avait ouvert le spectre de sa diplomatie en signant, en 1978, un traité de paix et d’amitié avec la Chine, après avoir normalisé les relations entre les deux pays en 1972.

Afghanistan: après la débâcle qu’elle approche européenne commune ? (Manfred Weber)

Afghanistan: après la débâcle qu’elle approche européenne commune ? (Manfred Weber)

 Pour  Manfred Weber député allemand au Parlement européen, président du groupe Parti populaire européen (PPE),  face au flux migratoire prévisible, « il est fondamental que les Etats membres s’accordent sur une approche commune », plaide notamment le président du groupe PPE au Parlement européen(Tribune dans l’Opinion)

Débâcle. Chaos. Désastre absolu. Tragédie. Les mots manquent pour décrire les événements qui se trament en Afghanistan depuis que, au cœur de l’été, nous avons appris, ébahis, la prise de Kaboul, en à peine dix jours, par les Talibans.

Alors que le délai accordé pour les évacuations touche à sa fin, et que grâce au courage de nos forces présentes sur le terrain, les personnes devant être évacuées ont, pour la plupart, pu être mises à l’abri, des questions importantes devront être posées très prochainement, à nos amis américains notamment : comment est-il possible qu’après les milliards d’euros investis, l’envoi de tant de nos soldats et de personnel civil, l’Afghanistan se soit effondré si rapidement ? Comment une armée de 300 000 hommes, financée par la première puissance mondiale, a-t-elle pu se rendre sans combattre ? Comment se fait-il que nous ayons été, à ce point, pris de court ?

Par ailleurs, nous devons, de toute urgence, mener une réflexion approfondie sur les conséquences, pour l’Europe, de la situation en Afghanistan, et sur les actions à prendre. Celle-ci devra s’articuler autour de trois axes.

Tout d’abord, la débâcle occidentale en Afghanistan a mis en lumière de manière crue la très grande dépendance des Européens vis-à-vis des Etats-Unis. La situation créée par le retrait des troupes américaines et la mise au pied du mur des Européens par leurs alliés montrent bien que l’Europe ne peut plus compter sur les Etats-Unis pour jouer le rôle de gendarme du monde. Il est temps pour l’Europe de prendre son destin en main et d’assurer sa sécurité par elle-même. C’est pourquoi nous devons de toute urgence renforcer notre défense européenne commune.

Age noir. Deuxièmement, on peut désormais craindre un afflux massif de migrants (500 000 en 2021, selon l’ONU). Si nous, Occidentaux, avons le devoir moral de protéger et accorder l’asile aux ressortissants afghans qui ont travaillé pour nous, une chose est également très claire : l’Europe n’a pas vocation à accueillir toutes les personnes qui cherchent à fuir le régime des Talibans. Nous devons tout faire pour éviter une nouvelle vague migratoire similaire à celle que nous avons connue en 2015. Il nous faudra pour cela travailler en partenariat étroit avec les pays du voisinage de l’Afghanistan, afin que des solutions puissent être trouvées pour les réfugiés. Il est fondamental que les Etats membres s’accordent sur une approche commune.

Enfin, alors que l’ère de deux décennies d’expérience démocratique en Afghanistan touche hélas à sa fin, la responsabilité de la communauté internationale est de tenter de préserver les progrès majeurs qu’ont représenté les vingt dernières années en matière de droits des femmes et d’accès des filles à l’éducation dans le pays. Nous devons faire tout ce qui est en notre pouvoir et faire pression sur le nouveau régime pour éviter aux femmes afghanes un retour à l’âge noir du premier règne des talibans.

Manfred Weber est député allemand au Parlement européen, président du groupe Parti populaire européen (PPE). Retrouvez sa chronique chaque semaine sur lopinion.fr en alternance avec celle de Dacian Ciolos, président du groupe Renew Europe.

 

 

Afghanistan : la grande débâcle occidentale

Afghanistan : la grande débâcle occidentale

Gérard Chaliand,spécialiste des conflits et qui connaît bien l’Afghanistan livre son analyse des responsabilités dans une interview à l’Opinion .

 

Spécialiste des conflits, auteur de nombreux ouvrages sur la stratégie, Gérard Chaliand connaît bien l’Afghanistan. Il fut l’un des premiers Occidentaux à s’y rendre après l’invasion soviétique de 1979. De 2004 à 2011, il y a passé près d’un an au total, enseignant à Kaboul et parcourant le pays. « Dès 2008, j’ai affirmé que la guerre (américaine, N.D.L.R.) était perdue », dit-il.

Comment réagissez-vous à ce qui se passe en Afghanistan et aux polémiques en France sur l’accueil des réfugiés ?

Il y a quelque chose d’obscène dans notre façon provinciale de voir la réalité du monde. On nous parle d’une pression migratoire extraordinaire ou de menace terroriste. On vend de l’angoisse avant le moindre signe de quelque chose de concret ! Ce que l’on voit à l’aéroport de Kaboul, c’est qu’il n’est possible de sortir d’Afghanistan que si les talibans y consentent. Ils contrôlent les rares routes qui permettent de quitter le pays. Or, ils n’ont pas la volonté de laisser partir la population, parce qu’ils ont à la fois des comptes à régler et le besoin de personnels qualifiés.

Mais êtes-vous surpris par les images de l’aéroport de Kaboul ?

C’est une débâcle américaine, un effondrement. On pouvait estimer normal que les Américains partent, mais pas dans ces conditions confondantes de médiocrité.

L’Afghanistan est plongé dans une guerre civile depuis 1978. Celle-ci a pris des formes différentes, mais sans jamais cesser. Comment expliquez-vous cela ?

Les études sérieuses insistent sur la disparité régionale, tribale, religieuse du pays, renforcée par son caractère montagneux. Il est très difficile de tenir ensemble une telle mosaïque et l’Etat n’a jamais su imposer son pouvoir, sauf par la coercition. C’est une société de type anarchique, avec des montagnards têtus et isolés qui s’affrontent. Au risque de déplaire et sans a priori idéologique, je dirais que, depuis 1978, il y a eu un moment où les choses semblaient aller dans le bon sens. Lorsque les Soviétiques sont partis en février 1989 – en bon ordre, eux – ils ont laissé derrière eux le régime de Najibullah. Ancien communiste, celui-ci avait abandonné le marxisme-léninisme et tentait quelque chose d’ouvert, en se préoccupant des déshérités. Il contrôlait la quasi-totalité des villes et une grande part des campagnes. Mais les Pakistanais et les Américains se sont acharnés contre lui, puis la disparition de l’URSS l’a privé de son principal soutien et le régime est tombé en avril 1992. J’étais surpris de voir la photo de Najibullah chez les Afghans et lorsque je les interrogeais, ils me disaient : « Ce n’était pas un régime corrompu… »

 

Comment expliquez-vous également la résilience des talibans ?

Par le Pakistan, qui est le vainqueur absolu des événements récents ! Certes, les talibans bénéficient toujours d’une base sociale chez les Pachtounes (le premier groupe ethnique du pays, N.D.L.R.). Après 2001, les talibans ont été repris en main par les services secrets pakistanais (ISI), qui ont formé une nouvelle génération de militants, dans les madrasas (écoles religieuses) de la tendance déobandie, une forme froide du sunnisme. Les Pakistanais considèrent l’Afghanistan comme leur « arrière stratégique » face à leur ennemi, l’Inde. Ils ont joué double jeu avec les Américains et le masque est tombé en 2011, lorsque l’on a découvert que Ben Laden était réfugié au Pakistan.

Si l’on s’intéresse au « Grand Jeu » des puissances autour de l’Afghanistan, que peut-on dire, à part la victoire du Pakistan ?

Pour l’Inde, qui avait beaucoup investi en Afghanistan, c’est un grave échec de voir gagner son ennemi pakistanais. L’autre grand vainqueur est la Chine. C’est un succès considérable, qui ne lui coûte rien. En termes d’images, elle tire bénéfice du chaos provoqué par l’incapacité des Etats-Unis d’organiser un retrait en bon ordre. La Chine n’a rien contre le régime taliban : elle veut simplement qu’ils empêchent les militants ouïgours d’agir à partir de l’Afghanistan. Elle souhaite aussi exploiter les richesses notamment en minerais. Comme la Chine, la Russie veut un Afghanistan aussi peu agressif que possible en Asie centrale. D’ailleurs, les Russes appuient les talibans depuis quatre ou cinq ans, à la fois pour gêner les Américains et combattre des groupes islamistes radicaux, comme Daech. Vu d’Iran, il y aura la préoccupation du sort de la minorité hazara, de confession chiite. Et toujours le trafic de drogue, qui va continuer. Quant à la Turquie, elle se méfie surtout d’un afflux de réfugiés.

Et pour les Etats-Unis ? Les conséquences d’une telle affaire dépassent forcément l’Afghanistan ?

On a le sentiment, à tort ou à raison, que l’hégémonie américaine vient de prendre un coup sérieux. Comme au Vietnam, le plus fort vient de subir une humiliation par le plus faible… Toutefois, le théâtre principal est désormais l’Indopacifique, face à la Chine. A Taïwan, ou ailleurs, on peut s’inquiéter du manque de sérieux des Américains.

Et l’Europe ?

Elle n’a aucun poids et ne compte plus. En Afghanistan, nous avons été les alliés secondaires des Etats-Unis. En France, nous nous racontons des histoires sur notre importance, alors que notre déclassement se prolonge et se creuse.

Afghanistan : les raisons de la débâcle

« La défaite de l’OTAN en Afghanistan est le résultat d’une stratégie erronée et d’une vision du monde biaisée »

TRIBUNE

Adam Baczko

 

Les chercheurs Adam Baczko et Gilles Dorronsoro détaillent, dans une tribune au « Monde », les raisons qui ont conduit au retrait des troupes occidentales et qui expliquent l’échec des Etats-Unis et de leurs alliés dans la région.

Tribune

 

 

Si la victoire des talibans dans les prochains mois n’est que probable, notre défaite a été actée par la déclaration de Joe Biden annonçant le retrait total des troupes américaines pour le 11 septembre. Malgré un discours convenu sur la « victoire » américaine, aucun des objectifs fixés il y a vingt ans n’a été rempli : des centaines de militants d’Al-Qaida sont présents sur le sol afghan, l’organisation Etat islamique s’est implantée en 2014, les élections ont été depuis longtemps discréditées par des fraudes massives, les élites afghanes sont corrompues au-delà de toute description, la principale ressource de l’économie est la drogue, etc.

Les rares avancées − droit des femmes, liberté des médias − sont menacées depuis plusieurs années et disparaîtront rapidement avec le retrait définitif des forces occidentales. Comment la première alliance militaire du monde, l’OTAN, a-t-elle pu perdre cette guerre malgré un investissement de plus de 2 000 milliards de dollars, plus de 3 000 soldats tués et des dizaines de milliers blessés ? Le débat public est maigre, car cette défaite, dont nous subirons les conséquences dans les mois et les années à venir, ne passionne guère les opinions publiques.

Demande d’Etat

Il est alors facile de renvoyer notre échec à une exceptionnalité afghane. Après tout, l’Afghanistan n’est-il pas le « cimetière des empires » ? A l’inverse de ces poncifs, nous pensons que cette défaite, comme la débâcle en Syrie, en Irak et en Libye, est le résultat d’une stratégie erronée, d’une vision du monde biaisée et de mécanismes d’intervention inefficaces. Cinq éléments paraissent ici essentiels.

D’abord, le prêt-à-penser de la coalition a fait de l’Afghanistan un pays tribal, localiste dans ses intérêts, fondamentalement apolitique et allergique à l’Etat. D’un pays traversé par des courants révolutionnaires, soumis à une transformation sociale très rapide – multiplication des déplacés internes et des réfugiés, urbanisation rapide, naissance d’une classe moyenne urbaine –, les Occidentaux n’ont retenu que l’image d’un Afghanistan « traditionnel » et rétif à toute autorité étatique. Or ce qui nous a frappés est, au contraire, la demande d’Etat qui s’exprime en Afghanistan, en particulier la justice et la police, que la coalition n’a malheureusement jamais considérées comme une priorité.

 

Ensuite, la coalition n’a jamais fait l’effort de comprendre l’insurrection. Les qualificatifs qui lui étaient appliqués − « tribale », « ethnique », « archaïque », « moyenâgeuse » − par la plupart des experts et des militaires signalaient une méconnaissance tragique de la réalité de ce mouvement. En particulier, l’organisation d’un système judiciaire alternatif, la rotation des cadres entre les régions, l’efficacité de la propagande à destination de la population afghane auraient dû alerter les responsables militaires et politiques du potentiel de l’insurrection dès 2003.

France commerce extérieur : la débâcle

France commerce extérieur : la débâcle

 

Structurellement la balance commerciale française est catastrophique. Le déficit tourne entre 50 et 60 milliards par an en moyenne ( quand l’Allemagne dégage en moyenne un excédent de 200 milliards). Mais avec le virus, la situation s’est encore aggravée. On atteint maintenant un déficit de plus de 65 milliards d’euros.

Avec notamment l’écroulement de l’exportation de matériel aéronautique, les exportations françaises ont plongé de 15,9% après une hausse de 3,5% en 2019. Dans le même temps, les importations ont également diminué de 13% contre une hausse de 2,2% l’année précédente. Le déficit commercial a atteint ainsi 65,2 milliards d’euros contre 57,9 milliards en 2019, soit un creusement de 7,3 milliards d’euros. Il s’agit du pire résultat depuis 2012.

Le tableau fourni par l’administration brosse le portrait d’une économie exportatrice au bord du précipice. La très grande majorité des produits ont enregistré un recul des ventes. En 2020, le commerce extérieur a amputé la croissance du produit brut de 1,5 point d’après une récente note de l’Insee.

« La crise a eu un impact important sur les échanges commerciaux mondiaux d’environ 9,6% selon le FMI. Dans ce contexte, la France a connu un repli des exportations du même ordre que la crise de 2009 [...] Nous sommes mieux qu’au point bas de 2011. Ce qui explique notre dégradation est avant tout l’aéronautique et le tourisme pour les services », a déclaré le ministre en charge du commerce extérieur et de l’attractivité Franck Riester lors d’un point presse.

Débâcle Trump: Le secrétaire à la Santé, démissionne aussi

Débâcle Trump:  Le secrétaire à la Santé, démissionne aussi

Officiellement le secrétaire d’État à la santé à démissionné du gouvernement TRUMP en raison des événements antidémocratiques du Capitole. Un motif qui s’ajoute à la situation catastrophique en matière sanitaire totalement hors contrôle.

 

Les Etats-Unis ont enregistré jeudi plus de 230 000 nouvelles contaminations et 4 069 morts. Dans l’espoir d’enrayer les contagions, les autorités fédérales ont décidé que tous les voyageurs souhaitant se rendre aux Etats-Unis par avion devront désormais présenter, à partir du 26 janvier, un test négatif au Covid-19 afin d’être autorisés à voyager, ont annoncé mardi les autorités sanitaires américaines. Ce test devra être réalisé dans les trois jours précédant le départ pour les Etats-Unis. Les compagnies aériennes seront chargées de vérifier qu’un test a bien été réalisé avant l’embarquement.

Le comité d’urgence de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) doit émettre vendredi des recommandations face à l’apparition de variants plus contagieux du coronavirus, susceptibles de provoquer une nouvelle explosion de la pandémie vient de dépasser 2 millions de victimes

Le secrétaire américain à la Santé et aux Services sociaux, Alex Azar, a démissionné, invoquant l’attaque de la semaine dernière contre le Capitole, a rapporté CNN vendredi.

Sondage popularité : Hollande et Valls payent la débâcle aux départementales

Sondage popularité : Hollande et Valls payent la débâcle aux départementales

 

Encore une  nouvelle chute pour Hollande et Valls. Qui payent la débâcle du PS aux départementales. A noter  surtout le souhait d’une  majorité de Français pour un  remaniement et même pour  le changement de Premier Ministre ( 42% pour et 30% contre). Il s’agit là d’un renversement significatif concernant Valls. La cote de popularité de François Hollande recule d’un point en avril, à 20%, et celle de Manuel Valls de trois, tombant à  29%, selon un sondage YouGov réalisé entre les deux tours des élections départementales et publié jeudi 2 avril.  D’après cette étude pour Le Huffington Post et iTélé, 74% des personnes interrogées (+2), soit trois sur quatre, portent un jugement « défavorable » sur l’action de François Hollande. 6% n’ont pas d’avis. Jugements négatifs également en hausse de deux points pour Manuel Valls, à 62%. 9% ne se prononcent pas. 20% (-2) ont un avis favorable sur l’action du gouvernement, et 75% (+3) un avis défavorable. 6% n’ont pas d’opinion.  Par ailleurs, 42% des sondés se disent pour un changement de Premier ministre, 30% contre, tandis que 28% « ne savent pas ». 51% sont favorables à un remaniement ministériel, 22% opposés, 27% « ne savent pas ». Sondage réalisé en ligne entre le 25 et le 26 mars, auprès d’un échantillon de 1007 personnes, représentatif de la population française. 

 

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