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Politique-Macron àla télé : de plus en plus hors-sol

Politique-Macron à la télé : de plus en plus hors-sol


Pour résumer nombres de réactions sont négatives après l’interminable interview de Macron à la télé. Un président qui s’est montré toujours aussi méprisant et à côté des réalités socio-économiques. Rien de nouveau dans la communication de Macron : de l’autosatisfaction, des promesses et du mépris pour tous les opposants avec une impasse totale sur le pouvoir d’achat. Pour résumer, encore un exercice de com massive avec une stratégie en direction de tous les médias.

« Les Français sont en attente de pouvoir d’achat. (…) Ils sont en attente de justice fiscale », a Estimé François Ruffin .
Même réaction du côté de Manuel Bompard, qui a déploré sur Twitter une interview qui sonne comme un « énième exercice d’autosatisfaction, de mépris et de mensonges ». Mathilde Panot a quant à elle jugé Emmanuel Macron « déconnecté comme jamais ». Du côté des socialistes, Olivier Faure a notamment réagi à cette phrase prononcée par le président: « Même quand il y a des contestations, on ne change pas. »

« Être impopulaire vaudrait brevet de courage. Plus qu’impopulaire Macron est minoritaire. Il méprise 9 actifs sur 10, tous les syndicats et l’Assemblée nationale », a tweeté le Premier secrétaire du PS.

Marine Tondelier a, elle, rebondi sur la réponse apportée par Emmanuel Macron aux Français qui l’estiment « méprisant ». Le chef de l’Etat a « récusé » ce terme, estimant « qu’on ne va pas au contact comme il va depuis qu’il est engagé dans la vie politique, quand on a du mépris pour les gens » et que « le vrai mépris, c’est de mentir aux gens ».

« Appauvrissement des classes moyennes, ensauvagement de la société, mépris pour la démocratie…Un autoportrait sévère mais juste! » a-t-elle tweeté, ajoutant que le Rassemblement national est « prêt pour réussir là où ils ont échoué ».
Citant l’objectif annoncé ce lundi d’Emmanuel Macron de baisser de deux milliards d’euros les impôts sur les ménages d’ici 2027, le député RN de la Somme Jean-Philippe Tanguy a déploré « encore une escroquerie macroniste ».

Louis Aliot a lui aussi dénoncé sur BFMTV un président « en déconnexion totale avec le pays ». « Il tente d’imposer des réformes même contre l’avis de son camp. Il se moque pas mal de ce qu’il se passe dans son pays » a ajouté le maire RN de Perpignan.

Le président des Républicains a de son côté qualifié l’interview du président de « très longue, trop longue ».

Coronavirus Royaume-Uni : record macabre de plus de 1800 morts en 24 heures

Coronavirus Royaume-Uni : record macabre de plus de 1800 morts en 24 heures

 

il se confirme que la pandémie est totalement hors de contrôle au royaume uni en dépit de la campagne de vaccination qui ne pourra produire réellement des effets avant des mois et des mois. L’épidémie de COVID-19 a fait 1.820 décès supplémentaires en 24 heures au Royaume-Uni, une hausse sensible par rapport aux 1.610 décès signalés la veille.

Ce bilan est le plus lourd recensé au Royaume-Uni depuis que l’épidémie s’est déclarée.

Les autorités sanitaires ont par ailleurs fait état de 38.905 nouvelles infections, contre 33.355 la veille.

Croissance allemande : une chute de plus de 31 % des exportations

Croissance allemande : une chute de plus de 31 % des exportations

. Les exportations de l’Allemagne se sont effondrées en avril, au plus fort de la pandémie de Covid-19, de 31,1 %.

L’Allemagne a ainsi vendu à l’étranger des biens pour «seulement» 75,7 milliards d’euros. Conséquence du ralentissement de l’activité, les importations ont elles aussi reculé de 16,5 %, à 72,2 milliards d’euros. L’Allemagne affiche donc toujours un excédent commercial mais celui-ci s’est réduit à 3,5 milliards d’euros, contre 17,4 milliards en mars.

Les exportations avec les pays de l’Union européenne ont baissé de 35 % sur un an, avec une chute prononcée pour la France (- 48,3 %) et l’Italie (- 40,1 %). Les ventes vers la Chine n’ont, elles, baissé que de 12,6 %. L’économie de l’empire du Milieu a redémarré alors que l’Europe était encore confinée.

L’Allemagne pourrait voir son PIB se contracter de 10 % au deuxième trimestre, du jamais vu depuis cinquante ans.

Quant aux importations de l’Allemagne, elles ont progressé de 10 % en provenance de la Chine, et de 2,4 % pour les États-Unis, alors qu’elles se sont tassées de 37,3 % venant de France.

Les données du mois de mai devraient être meilleures pour la locomotive européenne, très dépendante de ses échanges extérieurs. Le ministère de l’Économie estimait dernièrement que le creux de la récession avait été atteint en avril. L’assouplissement progressif des mesures de confinement et la reprise de la production dans l’industrie automobile ont depuis favorisé un début de reprise économique.

L’Allemagne pourrait voir son PIB se contracter de 10 % au deuxième trimestre, du jamais vu depuis cinquante ans, selon les principaux instituts économiques allemands.

 

Les Français travaillent ou résident de plus en plus loin ?

Les Français travaillent ou résident de plus en plus loin

D’après une étude de l’INSEE les Français travaillent de plus en plus loin. On pourrait cependant inverser la problématique et se demander si ce ne sont pas les Français qui résident de plus en plus loin par rapport au lieu de travail. En cause évidemment la crise qui restructure les lieux de production mais aussi la sururbanisation qui étale l’habitat dans les grandes agglomérations, aussi la désertification de certains territoires. Paradoxalement les habitants de zones très denses passent au moins autant de temps pour leurs déplacements que les habitants en zone rurale qui se déplace en général sur des distances plus longues. Selon une étude de l’Insee parue ce jeudi, de plus en plus de Français quittent leur commune pour aller travailler. La moité d’entre eux parcourent plus de 15 kilomètres. et parcourent des distances croissantes pour rejoindre leur travail, relève une étude de l’Insee parue ce jeudi. En 2013, deux personnes sur trois en emploi ne travaillaient pas là où elles habitent, contre 58% seulement en 1999. Quasiment tout le territoire est concerné par cette évolution, même si les «navetteurs» sont particulièrement concentrés dans le Nord-Pas-de-Calais-Picardie et en Ile-de-France, deux régions très urbaines. Signe que les différences entre territoires se creusent, ce sont dans les régions peu denses comme la Bretagne, où le nombre de Français contraints de prendre la route chaque jour était déjà parmi le plus important, que la progression est la plus forte. Aux côtés de territoires qui abritent de plus en plus d’emplois, coexistent ainsi des espaces qui perdent au contraire en dynamisme. Les distances parcourues par les Français sont ainsi de plus en plus grandes. Désormais, la moitié de ceux qui travaillent parcourent plus de 15 kilomètres pour rejoindre leur employeur, soit deux kilomètres de plus qu’il y a 14 ans. Les trajets de moins de 10 kilomètres ont diminué au profit des trajets plus longs, de 20 à 50 kilomètres. La région Ile-de-France, à ce titre, est un cas particulier: alors que la distance parcourue par jour progresse dans toute la France métropolitaine, elle stagne dans et autour de la capitale. C’est que les Franciliens… ne peuvent simplement pas se déplacer davantage, du fait de la congestion du trafic! Paradoxalement, les Français qui habitent dans des régions très denses ont aussi des temps de trajet plus longs que ceux qui vivent dans des zones rurales, où la circulation est plus fluide. La capacité à se déplacer est en effet un levier essentiel pour trouver et conserver un emploi. Selon une étude réalisée par Auxilia l’année dernière, une personne sur deux a déjà refusé un emploi parce qu’elle ne pouvait pas effectuer chaque jour le trajet de son domicile vers ce travail. Les catégories sociales les plus défavorisées, notamment, sont à ce titre doublement pénalisées: elles habitent loin des zones d’emploi les plus dynamiques parce que le logement y est moins cher, et manquent de moyens pour acheter et entretenir une voiture. Si les Français sont plus mobiles, ils dépensent de ce fait davantage pour aller travailler. Selon le professeur d’aménagement à l’institut d’urbanisme de Paris, Jean-Pierre Orfeuil, un déplacement quotidien domicile-travail de 20 kilomètres représente en effet un coût équivalent à 25% du smic.

Toujours de plus en plus de fonctionnaires

Toujours de plus en plus de fonctionnaires

La France championne du monde en matière de fiscalité et championne du monde pour le nombre de fonctionnaires qui continue d’augmenter. Une corrélation incontournable responsable du déclin du pays. En cause, l’armée d’énarques (et autres diplômés) qui justifie la création de postes de directeur, directeur adjoint, sous directeur, chef de service, chef de bureau etc. Une question quasi existentielle. Pour exister,  cette armée a besoin de structures,  de bureaux, d’effectifs, de budget et de procédures. Même dans les hôpitaux où les effectifs de soin sont souvent  insuffisants (auusi mal organisés) se cachent auusi une armée d’administratifs et d’agents d’entretien. Parfois  davantage de directeurs, sous directeurs que de chirurgiens !   C’est évidemment le drame du pays, cela vaut à l’échelle de l’Etat t comme des collectivités locales. Dans ces collectivités aussi, la décentralisation a abouti à des gaspillages monstrueux (bureaux, effectifs, fonctionnement, investissements, bureaucratie). En 2013 Les  effectifs ont progressé dans les trois versants de la fonction publique, avec une hausse de 0,1% dans la fonction publique d’Etat (2,3 millions de personnes), de 0,9% dans la Territoriale (1,8 million) et de 1,4% dans l’Hospitalière (1,1 million), selon la note provisoire de l’Institut national de la statistique. Ainsi, le secteur public embauchait plus de 5,4 millions de personnes au 31 décembre 2013, d’après les chiffres de l’Insee publiés jeudi 18 décembre. Cela représente une augmentation globale de 0,7%. En tenant compte des quelque 180.000 contrats aidés, dont le nombre a augmenté de 36% (soit +48.000), la progression grimpe à 1,5% entre 2012 et 2013. En 2012, les effectifs (hors contrats aidés) avaient augmenté plus modérément de 0,3% (avec une baisse de 1,1% du nombre d’agents à l’Etat et une hausse dans les deux autres versants). En hausse continue depuis les années 1980, les effectifs de la fonction publique, soit environ 20% de l’emploi total en France, s’étaient stabilisés pour la première fois en 2008. Après une hausse de 0,4% en 2009, les chiffres pour 2010 et 2011 en légère baisse, avaient également confirmé cette tendance, aujourd’hui légèrement inversée. Pendant le quinquennat de Nicolas Sarkozy, quelque 150.000 postes ont été supprimés, notamment via la Révision générale des politiques publiques (RGPP) lancée en 2007, et dont la mesure phare était le non-remplacement d’un départ à la retraite sur deux dans la fonction publique d’Etat. Depuis l’arrivée de François Hollande, le gouvernement a mis fin à la RGPP et entend maintenir les effectifs stables au cours du quinquennat, les créations de postes dans les ministères « prioritaires ».

 

Fruits et légumes : de plus en plus fadasses…et dangereux

Fruits et légumes : de plus en plus fadasses…et dangereux

 

Dans une excellente émission sur M6, l’accent a été mis sur le faiat que les fruits et légumes ont de moins en moins de goût. 60% des français estiment en effet que fruits et légumes surtout achetés en supermarché sont sans saveur. Pas étonnant d’abord avec industrialisation de la production qui sélectionne  seulement quelques variétés très productives mais sans grande qualité gustative. Un seul exemple 5 variétés de tomates sont surtout cultivées alors qu’il existe de l’ordre de 10 000 variétés !  Des produits ensuite gonflés d’engrais et de pesticides qui ne sont pas cueillis à maturité. L’enjeu les conserver dans la chaine de froid afin qu’il ne se détériore pas dans les rayons des grandes surface qui commercialisent 80% de la filière. Or d’après les spécialistes,  pour les fruits les saveurs se dégagent surtout dans les 4 jours environ qui précédent la maturité. Précisément l’industrie agroalimentaire cueille les fruits verts pour qu’ils puissent supporter, stockage, transport ( souvent sur des milliers de kms) et distribution. Les légumes, les fruits surtout ont le goût de l’eau, ils sont durs, fade et sans saveur. La faute auusi au consommateur qui choisit des fruits et légumes bien calibrés, sans tache, au look séducteur mais qui délaissent les produits moins sexys mais plus gouteux. Des produits de plus en plus dangereux car de plus en plus cultivés à l’étranger (Espagne, Maroc etc.) pays qui prennent les plus grandes libertés avec les produits chimiques (engrais, pesticides°) mais la France n’est pas exempte de reproches puisque par exemple les pommes ou les raisins peuvent subir au moins 25 traitements. Même si scientifiquement ce n’est pas encore totalement prouvé (il faudrait des études épidémiologiques sur des dizaines d’années), il ne faut peut-être pas s’étonner du développement de  certaines maladies. paradoxe les tomates de jardin sont trop sucrées alors que les tomates de supermarchés en plein  été sont toujours dures et ont le gout de l’eau.

Copé : »1.300 chômeurs de plus par jour» ; Non 952.pour Hollande et 560 pour Sarkozy

Copé : »1.300 chômeurs de plus par jour» ; Non  952.pour Hollande et 560 pour Sarkozy

 

Pour parvenir à ce résultat, France-Info prend les données de Pôle Emploi et sur le nombre de demandeurs d’emploi de catégorie A (les personnes qui n’ont pas du tout travaillé, NDLR).François Hollande étant arrivé au pouvoir en mai 2012, nous sommes partis de ce mois-là en notant le nombre de demandeurs d’emploi à cette époque (2.927.600). Ensuite, nous avons noté le dernier chiffre disponible, celui de février 2013 (3.187.700). Puis, nous avons fait la différence entre ces deux chiffres : 3.187.700 – 2.927.600 =  260.100 demandeurs d’emploi supplémentaires.  Enfin, nous avons divisé ce chiffre par le nombre de jours écoulés entre fin mai 2012 et fin février (273 jours).  260.100 chômeurs divisés par 273 jours = 952 chômeurs supplémentaires par jour.  Jean-François Copé a exagéré le bilan de ces neuf mois.   On peut se demander à présent quelle était la progression du nombre de demandeurs d’emploi sur les neuf mois qui ont précédé l’arrivée de François Hollande à l’Elysée, de septembre 2011 à mai 2012.  Le même calcul nous conduit à trouver qu’il y avait 560 demandeurs supplémentaires par jour sur cette période de la fin du mandat de Nicolas Sarkozy. Ce qui représente une progression moindre que celle que nous connaissons actuellement.  

1000 chômeurs de plus par jour avec la gauche : comme avant !

1000 chômeurs de plus par jour avec la gauche : comme avant !

 

Mardi matin, Jean-François Copé, invité d’Europe 1, a voulu prouver que la gauche au pouvoir était inefficace : « il y a aujourd’hui, depuis que François Hollande est président de la République, 1.000 chômeurs de plus par jour, et cette semaine nous allons débattre de la réforme du mode scrutin pour arranger les socialistes et avant, c’était le mariage homosexuel, quel décalage ! » . Pour vérifier, le calcul est simple : en recensant les nouveaux inscrits à Pole emploi entre mai 2012 et décembre 2012 – ce sont les derniers chiffres à disposition –, on arrive à une hausse de 244.100 demandeurs d’emplois sur les huit premiers mois de la présidence Hollande. En divisant ensuite ce nombre total par le nombre de jours écoulés durant cette période, le chiffre est bien de 1.000 chômeurs de plus quotidiennement.. A titre de comparaison, sur les quatre derniers mois de l’année 2011, donc sous la présidence de Nicolas Sarkozy, 991 personnes s’inscrivait à Pôle emploi, contre 1.007 par jour sur les quatre derniers mois de l’année 21012, époque Hollande. Un chiffre quasiment similaire donc.  Le 23 avril 2011, au micro d’Europe 1, Ségolène Royal avait tenu des propos identiques, au mot près : « depuis que Sarkozy est au pouvoir, il y a 1.000 chômeurs de plus chaque jour ».

 

Nouveau :- site chansons-poèmes de  g.bessay:

Budget: 2 milliards de plus pour le chômage ou l’emploi ?

Budget: 2 milliards de plus pour le chômage ou l’emploi ?

2 milliards en plus : à priori, c’est bien mais pour le chômage ou l’emploi ? Cahuzac, qui a augmenté la réserve budgétaire,  ne répond pas vraiment à la question ; s’agit-il de dépenses en plus pour le chômage comme c’est probable ou d’aide à la création d’emplois durables. C’est toute l’ambigüité de la politique du gouvernement qui confond chômage et emploi. La preuve quand on claironne qu’on veut faire baisser la courbe du chômage alors qu’il conviendrait de dire qu’il faut faire progresser la courbes des emplois. Un seul exemple, nombre d’allocataires du RSA ne figurent pas sur les listes de chômeurs mais pourtant demeurent sans emploi. Emploi ou chômage,  une nuance de taille. «Il y a de cela quelques jours, le président de la République et le premier ministre ont décidé de majorer cette réserve de précaution de 2 milliards de plus, a détaillé Jérôme Cahuzac lors du «Grand Rendez-Vous Europe 1/Le Parisien/i-Télé». Nous pensons, notamment pour la politique de l’emploi, qu’il va nous falloir davantage de crédits.»  Ces 2 milliards d’euros ne viendront pas creuser le déficit, ils seront prélevés sur les budgets des autres ministères. Pour cela, il existe, a expliqué le ministre, «une taxation interministérielle, c’est-à-dire qu’on demande à chaque ministre, en proportion du budget qui lui a été alloué, de céder une partie des crédits votés précisément pour financer ce que nous estimons désormais être prioritaire». Vu le mauvais temps économique prévu pour 2013, nul doute que l’exécutif devra puiser dans cette réserve pour améliorer ses chances de stabiliser les destructions d’emplois. «Toutes nos forces seront tendues vers un seul but: inverser la courbe du chômage d’ici à un an. Nous devrons y parvenir coûte que coûte», avait ainsi déclaré François Hollande lors de ses vœux aux Français le 31 décembre dernier. Pour l’instant, l’Insee prévoit une saignée de 75.000 emplois durant la seule première moitié de l’année et table à cet horizon sur un taux de chômage de 10,9%, contre 10% actuellement.  La manne de 2 milliards d’euros permettrait de renforcer le plan gouvernemental en trois volets contre le chômage. Outre la réforme sur la sécurisation de l’emploi, actuellement négociée par les partenaires sociaux et dont les effets se feront plutôt sentir à long terme, l’exécutif a lancé les contrats de génération qui ne tourneront pas à plein dès cette année. À court terme, il compte donc surtout sur les emplois d’avenir. Ce dispositif, qui vise à créer 150.000 postes sur deux ans en faveur des jeunes sans formation, coûte 1,5 milliard d’euros. Les fonds débloqués par le ministre du Budget permettraient donc, par exemple, de plus que doubler la taille de ce programme.

 

UE: 2 ans de plus à Athènes pour réduire son déficit ; du pipeau, on peut accorder 20 ans !

UE: 2 ans de plus à Athènes pour réduire son déficit ; du pipeau, on peut accorder 20 ans !

 

L’union européenne faiat encore semblant se croire aux perspectives de rééquilibrage budgétaire en Grèce. Elle accorder 2 ans de plus là où elle aurait pu accorder 20 ans. De toute manière, la Grèce ne s’en sortira pas ; les saignées imposées tuent sa croissance et ses rentrées fiscales. Responsables, ceux qui ont fait entrer la Grèce dans l’Euro: Draghi en premier en tripatouillant les comptes (avec Goldman Sachs), l’Allemagne contente de vendre ses produits, les autres pays, la Grèce elle-même. Tout cela finira soit par une faillite, soit par une annulation de la dette ( qu’envisage maintenant Merkel). « Les ministres ont approuvé les mesures donnant à la Grèce deux ans de plus pour corriger son déficit excessif, suite à un accord entre le gouvernement grec et la troïka des créanciers », ont-ils indiqué dans un communiqué.  Athènes aura donc jusqu’en 2016, et non plus 2014, pour ramener son déficit budgétaire sous la barre des 3% du PIB, soit dans les clous européens.  Les ministres ont fondé leur décision sur les efforts entrepris par la Grèce en termes de réformes et d’ajustement budgétaire. Le pays a adopté un programme musclé comprenant des économies de 18 milliards d’ici 2016, et un budget pour 2013 imposant 9 milliards d’euros d’économies.  Conscients de ces efforts, la zone euro, le FMI et la BCE avaient décidé le 12 novembre d’accorder deux ans de plus à la Grèce pour ramener ses finances publiques à l’équilibre. Mais ce délai avait un coût d’environ 32 milliards d’euros. Une solution pour le financer a finalement été trouvée la semaine dernière.  La zone euro et le FMI se sont mis d’accord la semaine dernière sur les moyens de réduire nettement la dette grecque, avec l’objectif de la ramener à 124% du PIB d’ici 2020.  Parmi ces mesures, figurent en premier lieu une très complexe opération de rachat de la dette grecque par Athènes, une réduction significative des taux d’intérêt des prêts bilatéraux déjà consentis à la Grèce, un allongement de la durée de remboursement des prêts et un report pour le paiement des intérêts.

 




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