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Ukraine : Impact « grave » de la crise en Ukraine (BCE)

Ukraine : Impact « grave » de la crise en Ukraine (BCE)

Un impact grave de la crise Ukrainienne mais difficile à évaluer selon Draghi de la BCE. Pour le moment, l’impact économique des événements en Ukraine s’est fait sentir en Russie, en Ukraine et « pour certains pays limitrophes de cette zone », a dit M. Draghi, interrogé sur le sujet lors de sa conférence de presse mensuelle de politique monétaire à Francfort (ouest à l’Allemagne).   »L’impact sur l’économie russe est grave » mais il est impossible d’estimer au jour d’aujourd’hui quelles suites cela aura sur d’autres pays, par exemple par le biais du secteur énergétique, où la Russie est un acteur majeur.   »Nous n’avons pas assez d’informations pour faire une estimation à ce stade », a dit l’Italien, qui a précisé que le conseil des gouverneurs, qui s’est réuni plus tôt dans la journée, n’avait pas discuté de scénarios concernant l’Ukraine.   »Si nous examinons cela d’un point de vue purement technocratique et nous penchons sur les volumes d’échanges et les flux de capitaux, il faut dire que les interconnexions ne sont pas importantes au point de suggérer une importante contagion venant de cette région », a déclaré M. Draghi.   »Mais ce serait une manière trop limitée d’apprécier la situation », a-t-il ajouté. Le risque géopolitique qui émane des tensions très fortes entre la Russie et l’Ukraine « pourrait rapidement devenir important et générer des développements imprévisibles, avec des conséquences potentiellement immenses », selon lui.

 

Hollande : deuxième réunion du machin « conseil stratégique de la dépense »

 

 

Hollande : deuxième réunion du machin «  conseil stratégique de la dépense »

 

C’est la deuxième réunion du machin, la grande annonce de Hollande «  le conseil stratégique de la dépense ». En fait une réunion d’un conseil des ministres réduit !  Tous les mois, les membres du Conseil se réuniront ; outre Jean-Marc Ayrault, y participent ses ministres de l’Economie (Pierre Moscovici), du Budget (Bernard Cazeneuve), des Affaires sociales (Marisol Touraine), du Travail (Michel Sapin) et de la Réforme de l’Etat (Marylise Lebranchu). « D’autres ministres peuvent être appelés à siéger (ainsi que) des représentants des organismes ayant à connaître de la dépense publique (ou) toute personnalité qualifiée », précise le décret. Il n’était nul besoin de sortir un décret pour une réunion de ce conseil finalemenet très ordinaire mais qui cependant pose l’interrogation du rôle du ministre des fi,ances et de celui du budget. A noter aussi l’enflure sémantique « conseil stratégique de la dépense » sans doute pour compenser l’incapacité qu’il y aura à trouver 50 milliards d’ici 2017. Une trouvaille sémantique du même style que l’inversion du chômage et qui connaitra le même succès. Il est clair que l’annonce d’une réunion sur le budget médiatiquement serait moins sexy ! On rêve aussi d’un conseil stratégique de la recette dont visiblement on se préoccupe moins, or sans croissance pas de recettes : une équation encore mal maitrisée par Hollande.  Le président de la République réunit donc autour de lui ce samedi matin une partie de son gouvernement pour le deuxième conseil stratégique de la dépense. Objectif : trouver 50 milliards d’euros sur trois ans. Le Premier ministre, et les principaux ministres en charge des questions économiques seront présents : Pierre Moscovici, Bernard Cazeneuve, mais aussi Marisol Touraine, puisque son portefeuille des affaires sociales représente 60% de la dépense publique. Marylise Lebranchu sera présente pour la fonction publique, ainsi que Michel Sapin, le ministre du Travail.  Ce conseil est, comme son nom l’indique « stratégique ». Ce comité de pilotage est une nouvelle façon d’élaborer le budget, bien en amont et au sommet de l’État. Le président n’est plus l’ultime recours des ministres en quête d’un arbitrage favorable, puisque les directives sont discutées collégialement. Le ministre du Budget, lui, a déjà commencé à recevoir ses collègues, pour examiner avec eux les sources d’économie possibles dans leur domaine.  Et début avril, le Premier ministre adressera à chaque membre du gouvernement les lettres de cadrage individuelles, avec deux mois d’avance sur la pratique habituelle. Officiellement il n’y a pas d’ordre du jour ce samedi. Mais l’idée du gel provisoire de l’avancement des fonctionnaires, avancée ces derniers jours, n’est pas formellement écartée en haut lieu. C’est d’ailleurs l’une des pistes préconisées par la Cour des comptes dans son rapport de juin dernier.

Moscovici : le sphinx, de la LCR au libéralisme « peut être moins de fiscalité sur les entreprises »

Moscovici : le sphinx, de la LCR au libéralisme «  peut être moins de fiscalité sur les entreprises »

 

 

Moscovici est sans doute l’archétype  du responsable du PS, très à gauche dans sa jeunesse, et progressivement happé par le libéralisme (il est passé de la ligue communiste révolutionnaire au PS, courant de droite), Enarque, le parti n’est pour lui, comme pour les autres qu’un tremplin pour une carrière. Pas très à l’aise dans le gouvernement de Hollande, il brigue un poste de commissaire européen où la il pourra se libérer de ses dernières convictions socialisantes et se délecter du libéralisme bruxellois. . Invité du Grand Jury RTL-LCI-Le Figaro ce dimanche 2 février, le ministre de l’Economie et des Finances est ainsi revenu à la fois sur la fiscalité des ménages et des entreprises mais comme d’habitude, il a plutôt joué au techno pour ne pas dévoiler des cartes qui sont exclusivement dans les mains de Hollande.  Il a également évoqué les contreparties du pacte de responsabilité.  « Nous avons un taux d’impôt sur les sociétés (IS, ndlr) qui n’est pas le plus performant au monde », a affirmé Pierre Moscovici, ajoutant que cet impôt est également handicapé par « une assiette limitée ». En conséquence, le ministre a déclaré vouloir « améliorer ce qui doit être amélioré ». « Je souhaite pour ma part que nous ayons des taux faciaux moins élevés avec une assiette moins mitée ».   Il a également reconnu qu’en terme de rendement « nous ne sommes pas les champions du monde » avec l’IS. Par ailleurs, Pierre Moscovici a confirmé que l’exécutif veut se pencher sur « les petites taxes sur les entreprises » dont « toutes ne sont pas utiles ». Enfin, il a indiqué que le gouvernement compte « établir une relation de confiance entre les entreprises et l’administration fiscale », avec une loi « le plus tôt possible, d’ici 2015″.

Visite de Hollande dans le château de la famille de Julie Gayet : seul un avion Falcon a été utilisé !

Visite de Hollande dans le château de la famille de Julie Gayet : seul un avion Falcon a été utilisé !

Matignon a répondu à la question d’un député UMP sur le coût d’une visite supposée de François Hollande à la famille de Julie Gayet dans le Gers, dans une réponse publiée mardi prochain au Journal officiel et dont l’AFP a pris connaissance vendredi. Le député UMP Claude de Ganay avait adressé mardi une question écrite au gouvernement sur le coût d’une visite qu’aurait effectuée François Hollande dans le Gers à la famille de l’actrice Julie Gayet, en marge d’un déplacement officiel. « Le président de la République a effectué un déplacement officiel en Dordogne et dans le Gers les 2 et 3 août sur les thèmes du développement rural et de la politique de la ville », rappelle Matignon dans sa réponse. « Le seul moyen aérien utilisé a été un Falcon-7X pour les trajets Paris-Périgueux et Périgueux-Auch le 2 août, et Auch-Paris au retour le 3″, rappelle Matignon.   »Aucun autre moyen aérien n’a été mis en œuvre« , assure-t-on de même source. « Il est rappelé que depuis mai 2012, des économies substantielles ont été réalisées sur les déplacements du chef de l’Etat », poursuivent les services du Premier ministre. « Ainsi, le budget déplacements de l’Elysée a baissé en 2013 de 16,7% par rapport à 2011″, souligne Matignon. « Quant aux préconisations de la Cour des comptes relatives aux déplacements privés du président de la République, elles ont toujours été strictement respectées depuis le début du quinquennat », concluent les services de Jean-Marc Ayrault. Le député UMP s’appuyait sur un article du Journal du dimanche du 18 janvier qui affirmait que le chef de l’Etat « aurait fait une halte en hélicoptère dans la jolie résidence secondaire de la famille Gayet, le château de Cadreil » le 3 août 2013, en marge de ce déplacement.

Besancenot : « Pour week-end de révolte de la gauche »

Besancenot :   »Pour week-end de révolte de la gauche »

« La proposition qu’on fait, c’est qu’il y ait un week-end de révolte de gauche contre le gouvernement, contre l’austérité », a expliqué, ce mercredi 29 janvier, le responsable trotskiste sur France Info. « Pas de semaine qui passe sans que le gouvernement ne nous invente une nouvelle formule qui nous désespère ». La « proposition unitaire » du NPA n’avançait pas, mais il y « a une première réunion ce soir et visiblement il y a peut-être une possibilité pour que ça se concrétise », a expliqué l’ex-candidat à l’Elysée. « Courant février, mars, peu importe la date », a-t-il ajouté, « avec Jean-Luc Mélenchon, avec Pierre Laurent, avec Lutte ouvrière… ». C’est le gouvernement qui signe finalement son arrêt de mort.Lionel Besancenot « C’est un appel à toutes les équipes militantes syndicales qui sont peut-être sans parti mais qui, au quotidien, résistent concrètement à la politique du gouvernement ». « Le pavé jusqu’à présent était occupé par le droite et l’extrême droite », a-t-il analysé, d’où sa proposition. « Sur la sécurité sociale, ce n’est pas une mince affaire », a souligné le responsable d’extrême gauche, en évoquant la suppression des cotisations familiales proposée aux entreprises par le président François Hollande. « La sécu est financée à 60% par les cotisations sociales et là, c’est le gouvernement qui signe finalement son arrêt de mort », a-t-il estimé.

PSA: division de la famille Peugeot pour l’ arrivée d’un chinois

PSA: division de la famille Peugeot pou arrivée d’un chinois  

Dans une lettre adressée à son cousin Robert, président de la holding familiale FFP, qui détient actuellement 25% de PSA, et dont les Echos daté du 30 janvier ont obtenu une copie,Thierry Peugeot , président du conseil de surveillance , de PSA  manifeste son hostilité à l’entrée du chinois Dongfeng et de l’Etat dans le capital du constructeur. Il y a deux semaines, le conseil de surveillance, dont Thierry Peugeot est d’ailleurs le président, a pourtant validé le schéma d’une augmentation de capital à laquelle prendrait part Dongfeng et l’Etat français. Cette option mettrait à peu près égalité ces derniers avec la famille Peugeot, chacun détenant autour de 14% du capital de la marque au Lion.  Au final la participation de la famille s’en trouverait donc diluée. Ce qui inquiète Thierry Peugeot. « Je considère que la famille Peugeot doit continuer à accompagner Peugeot SA et ne pas s’en désintéresser », écrit-il a son cousin, qui a lui soutenu le plan validé il y a deux semaines par le conseil de surveillance. « En outre, réduire autant que possible la dilution de la FFP au sein du capital de Peugeot SA est une mesure patrimonialement nécessaire pour bénéficier pleinement du redressement du Groupe qui sera amorcée par Carlos Tavares« , avance-t-il dans cette lettre datée du 27 janvier dernier. Thierry Peugeot assure, une nouvelle fois, que l’augmentation de capital que PSA peut se faire intégralement via le marché sans passer par les prises de participation de l’Etat et de Dongfeng. Et il affirme que « le marché a sanctionné lourdement lundi 20 janvier l’augmentation de capital réservée à la gouvernance à trois têtes qui en résulterait ». « Il est indispensable de tenir compte de ce signal sans remettre en cause notre relation industrielle et commerciale » avec Dongfeng, conclut-il.  Enfin, et non des moindres, ce document confirme que Carlos Tavares, actuellement numéro deux de PSA, pourrait prendre la place de Philippe Varin à la tête de la présidence du directoire, dès le 19 février, date à laquelle PSA publiera ses résultats annuels. Thierry Peugeot est, en effet « surpris » que Robert « a décidé de ne pas faire part de cette recommandation au Conseil de surveillance de PSA », alors qu’il a participé à une décision unanime en ce sens.

 

Fed : réduction de la politique accommodante avec la reprise

Fed : réduction de la politique accommodante avec la reprise

Comme anticipé par les investisseurs, la Fed a un peu plus diminué son soutien à l’économie américaine. L’institution a décidé de faire passer ses rachats d’actifs mensuels de 75 milliards de dollars à 65 milliards, selon un communiqué publié ce mercredi 29 janvier à l’issue de la dernière réunion présidée par Ben Bernanke, qui passera la semaine prochaine le témoin à Janet Yellen. Dans le détail, la Fed n’acquerra plus, chaque mois, que 30 milliards de dollars de titres de créances hypothécaires et 35 milliards de bons du Trésor américain.  Dans son communiqué, l’institution explique qu’elle s’attend « à ce que l’activité économique croît à un rythme modéré et que le taux de chômage chute au niveau que [son] comité de politique monétaire juge cohérent avec son mandat ». Déjà en repli avant le communiqué de la Fed, les marchés actions américains ont accéléré leur recul après la publication du communiqué. Vers 20h30, le Dow Jones cédait 1,04% et le Nasdaq 0,90%.  La Fed, comme en décembre dernier, affirme que la réduction de ce programme de rachat d’actif s’effectuera « par étapes mesurées au cours des prochaines réunions » si le marché de l’emploi continue de s’améliorer et si l’inflation se rapproche de son objectif de 2%. « La surprise est que le communiqué est nettement plus optimiste sur les perspectives économiques », souligne Paul Ashworth, économiste chez Capital Economics. Ainsi le comité de politique monétaire de la Fed note que la croissance « s’est accélérée au cours des récents trimestres » et que la consommation des ménages et l’investissement des entreprises « ont progressé plus rapidement ces récents mois ». Cette décision, bien que largement anticipée par les marchés, risque d’affaiblir un peu plus les devises des pays émergents qui depuis plus d’une semaine sont attaquées. Le rouble russe a notamment atteint, ce mercredi, son plus faible niveau face à l’euro. L’action de la Fed a, en effet, pour conséquence de précipiter des rapatriements de capitaux des pays émergents vers les économies matures, ce qui in fine provoque la chute du cours des devises de ces mêmes pays émergents. La banque centrale turque a tenté de réagir en faisant passer de 4,4% à plus de 10% son taux directeur, mardi soir, et la banque centrale sud-africaine a également relevé ses taux ce mercredi. Ce phénomène ne semble pas alarmé la Réserve fédérale puisque ce « problème n’a même pas été mentionné dans le communiqué », remarque Paul Ashworth.

Hollande : représentatif de la dégénérescence des élites françaises

Hollande : représentatif de la dégénérescence des élites françaises

 

Hollande est un pur produit de ce système élitiste qui accapare et le pouvoir partout sur le plan économique, administratif et économique. Un produit de ces grandes écoles (Polytechnique et ENA surtout) qui fabriquent le sommet de l’oligarchie qui paralyse le pays et le conduit dans le mur. Combien de grandes entreprises ne sont pas en réalité gérées par de vrais managers mais par d’anciens fonctionnaires, accédant à la direction de société via leur passage dans les cabinets ministériels ; Ce mode de reproduction à couté cher à la France (charbonnages, mines, sidérurgie, SNCF, EDF,  banques) et surtout conduit au déclin industriel et au chômage de masse. Ces élites sont en général (même s’il y a des exceptions) complètement incompétentes en matière de gestion et aussi il faut bien le dire étanches aux préoccupations sociales réelles. Hollande est archétype du modèle français d’émergence de responsables. En quelque sorte les produits de ces grandes écoles se comportement comme une mafia avec ses rites, sa hiérarchie et son dédain de l’état de droit. Un seul exemple combien d’anciens grands commis de l’Etat ont été inquiétés pour leur gestion de la crise financière ? Aucun sauf un ou deux lampistes. Comme kerviel. Les élites françaises sont en fait comme une sorte d’aristocratie en pleine dégénérescence qui s’attribue tous les droits, y compris celui de répudier des compagnes comme des courtisanes ; une aristocratie républicaine dans une monarchie républicaine, avec un monarque qui décide de tout, sur tout. Evidemment un système démocratique complètement obsolète, amis aussi injuste et inefficace. Avec en plus cette espèce de morgue qui se caractérise par un profond mépris à légard de tous ceux qui ne sortent  pas du cercle restreint des « élus » ; Hollande à cet égard est actuellement le plus représentatif de ces élites incompétentes et méprisantes qui n’ont en réalité aucune conviction, aucun projet, aucun référentiel de valeurs si ce n’est leur propre ascension dans la hiérarchie des pouvoirs.

Baisse de la mortalité sur les routes

Baisse de la mortalité sur les routes

Baisse importante des accidents mais pas totalement expliquée. En partie due surtout à la lutte contre la vitesse et l’ alcool mais aussi à une relative baisse de circulation,   au temps et aux progrès techniques des véhicules. Le nombre de morts sur les routes a baissé de 11% en France en 2013 par rapport à l’année précédente, le niveau le plus bas depuis 1948, a annoncé lundi le ministre de l’Intérieur Manuel Valls. En 2013, 3.250 personnes ont été tuées sur les routes, soit 400 de moins qu’en 2012, a ajouté le ministre. « Les résultats obtenus en 2013 sont fragiles », a-t-il toutefois souligné lors d’une conférence de presse. La vitesse reste la cause principale des accidents mortels sur les routes françaises, devant la consommation d’alcool ou de stupéfiants, a-t-il dit, précisant que toutes les catégories de la population étaient concernées. La mortalité des jeunes est en baisse de 10% mais les conducteurs de 18 à 24 ayant consommé de l’alcool sont impliqués dans un accident sur deux survenant la nuit et le week-end. Le ministre, qui a jugé indispensable une meilleure compréhension des risques par les automobilistes, a souligné le rôle des dispositifs de sanctions et de contrôles pour améliorer la sécurité des routes françaises. En 2012, la France avait déjà enregistré une baisse de 8% du nombre de tués sur les routes.

 

Dexia: 3 dirigeants de la banque en cours de démantèlement augmentés de 30%

Dexia: 3 dirigeants de la banque en cours de démantèlement augmentés de 30%

 

Le triple scandale le Dexia est loin d’être apuré puisqu’on vient de procéder à l’augmentation de dirigeants ; Un scandale d’abord sur la gestion avec des spéculations aventureuse, des augmentations salariales cependant outrancières  de dirigeants, et des emprunts toxiques pour les collectivités locales ; le tout a déjà couté presque 7 milliards au contribuable. Et aucun dirigeant n’a été inquiété par la justice ! L’aventure continue puisqu’on a été contraint de démanteler Dexia suite à l’incapacité de redresser  la banque publique. En prime, on augmente les dirigeants en charge du démantèlement. Un bel exemple de la gestion publique et de la mafia des dirigeants sans scrupule. Nommés mi-décembre au comité de direction de la banque, le directeur financier Pierre Vergnes, le responsable des risques Marc Brugière et le secrétaire général Johan Bohets ont vu leur rémunération passer de 340.000 euros à 450.000 euros, précise le JDD sans citer ses sources.  Ces salaires sont comparables à ceux des dirigeants du Crédit Agricole ou des Caisses d’épargne.  Pierre Vergne et Marc Brugière remplacent Philippe Rucheton, qui était payé 500.000 euros, et Claude Piret, qui était payé 480.000 euros, indique le JDD.   »Dans le contexte particulier de Dexia, la gestion en extinction est un métier complexe qui demande des compétences pointues et des professionnels expérimentés », a fait valoir une porte-parole de Dexia auprès de l’AFP.   »Les décisions prises par le conseil d’administration et annoncées le 13 décembre 2013 sont en ligne avec les pratiques de marché et conformes aux législations en vigueur », a-t-elle ajouté.  Dexia est détenue à 44% par la France et à 50% par la Belgique, où les salaires de dirigeants d’entreprise publique sont respectivement plafonnés à 450.000 et 290.000 euros par an, rappelle le journal. Sauvé de la faillite par les Etats belge et français à l’automne 2008, le groupe Dexia a été durement frappé par la crise de la dette, ce qui a rendu nécessaire un second sauvetage en octobre 2011.  Selon la Cour des comptes, les déboires de la banque ont coûté 6,6 milliards d’euros à la France. Un petit rappel car l’affaire  Dexia est révélatrice des dérives bancaires ; D’un certain point de vue, c’est une caricature ; Pour autant la crise de cette banque présente bien des points communs avec d’autres établissements bancaires. En 2011  il a fallu éviter le pire, c’est la fin de ce qu’il faut bien considérer comme une aventure malheureuse. A cet égard la plupart des banques européennes et même françaises ont suivi le même chemin. C’est-à-dire qu’elles n’ont tiré aucun enseignement de la crise de 2008 et ont continué, elles aussi à investir dans des placements à risques mal mesurés pour lesquels alors que ce n’est pas leur mission première et qu’elles n’ont en réalité que peu de compétence dans ces domaines. En clair on joue avec l’argent des dépôts et des épargnants pour tenter d’accroitre les profits et satisfaire et les actionnaires et les égos (et les rémunérations)  des dirigeants. Notons que la rémunération de M. Mariani, dirigeant de Dexia était de l’ordre de 2 millions d’euros en 2010  (salaires et bonus), c’est évidemment mieux que son ancien salaire de fonctionnaire inférieur à 100 000 euros. ; En fait M. Mariani est représentatif des dirigeants de banques français, hauts  fonctionnaires, qui ne doivent leur promotion qu’à leur passage dans les cabinets ministériels ; ce qui explique une grande partie de leur incompétence et de leur irresponsabilité. Et pourtant M. Mariani était considéré comme l’un des meilleurs, ce qui en dit long sur la qualité des autres. Fondamentalement les banques de déports la plupart dirigées par d’anciens fonctionnaires ne sont compétentes pour intervenir sur les placements à risque.

Le pacte de responsabilité de Hollande enterre la réforme de la fiscalité

Le pacte de responsabilité de Hollande enterre la réforme de la fiscalité

 

Ayrault avait réussi à sauver son poste en sortant du chapeau sa fameuse remise à plat de la fiscalité (notamment avec fusion CSG et impôt sur le revenu). Une annonce sans vraiment de concertation avec Hollande et encore moins avec Moscovici et Bercy. De quoi en outre déstabiliser un peu plus l’environnement fiscal. Du coup Hollande n’en pas parlé un instant lors de sa conférence de presse. Cela d’autant plus qu’Ayrault sera sûrement remercié après la défaite des municipales et européennes ; A la pace Hollande, lui, a inventé le pacte de responsabilité qui pourrait bien se révéler aussi un fiasco tellement sont d’une part floues les économies annoncées (qui posent la question du financement des cotisations familiales) et les abaissements réels des charges ( sans parler de la nouvelle  cathédrale administrative)  ; Gattaz pourrait bien être le dindon de la farce (surtout les entreprises).  Grande absente du discours du chef de l’Etat lors de sa conférence de presse mardi, qu’est donc devenue la « remise à plat fiscale » qui devait assurer à Jean-Marc Ayrault une prolongation de bail à Matignon ?   »La remise à plat de la fiscalité, je l’ai annoncée, elle est engagée », a déclaré jeudi le Premier ministre, en référence à une première série d’entretiens avec partenaires sociaux et parlementaires qu’il avait organisée fin novembre.  Il a précisé qu’il installerait les Assises de la fiscalité des entreprises et celle des ménages dans le courant de la dernière semaine de janvier. « Ce ne sera pas facile de tout mener de front mais si on trouve une bonne méthode et qu’on s’y prend bien, on peut réussir », assure une source gouvernementale à l’AFP.  La vaste réflexion fiscale « aura lieu, dans toutes ses composantes », promet vendredi le ministre de l’Economie Pierre Moscovici dans un entretien au Monde. « Il n’y a pas de recul sur la remise à plat de la fiscalité, mais elle s’inscrit désormais dans une démarche plus large et plus ambitieuse », ajoute-t-il néanmoins.  Engloutie dans une réforme plus grosse qu’elle, la remise à plat de la fiscalité, un chantier salué et très attendu par la gauche pourrait donc laisser pas mal de plumes à la faveur de ce pacte de responsabilité qui prévoit des baisses de cotisations pour les employeurs en échange de créations d’emplois.  Fusion de l’impôt sur le revenu et de la CSG, individualisation, prélèvement à la source mais aussi refonte de la fiscalité locale, élargissement de l’assiette de l’impôt sur les sociétés, lutte contre l’optimisation, suppression de dizaines de taxes qui coûtent plus cher à collecter qu’elles ne rapportent… « Tout sera sur la table », a promis le Premier ministre jeudi.  En réalité, personne ne cache à Bercy que certains éléments seront laissés de côté pour éviter de nouveaux transferts d’impôts au profit de certains et au détriment d’autres. Ainsi, une plus grande progressivité ne serait pas retenue quand le prélèvement à la source, une question de simple forme, pourrait l’être.   »La crainte est réelle de voir se profiler dans le cadre des futures Assises de la fiscalité des entreprises de nouveaux allègements fiscaux au bénéfice des entreprises mais au détriment de la justice fiscale et des comptes publics », relève Vincent Drezet, secrétaire général de Solidaires Finances publiques, majoritaire aux Impôts.

 

FMI : accélération de la croissance et déflation !

FMI : accélération de la croissance et déflation

Le FMI ne pourra pas se tromper cette fois puisqu’il prévoit à la fois une petite accélération de la reprise et en même temps des risques déflation. Le Fonds monétaire international (FMI) s’attend en effet à une poursuite de l’accélération de la croissance cette année, tout en ajoutant qu’elle devrait rester en retrait par rapport à son potentiel d’environ 4%, a déclaré mercredi sa directrice générale. Mais Christine Lagarde a également averti de l’existence de « risques croissants » de déflation, la hausse des prix restant inférieure à l’objectif de nombreuses banques centrales. « Nous voyons des risques croissants de déflation, qui pourrait s’avérer désastreuse pour la reprise », a-t-elle dit selon le texte d’un discours préparé pour le National Press Club à Washington. « Globalement, la direction est positive, mais la croissance mondiale est trop faible, trop fragile et trop irrégulière », a-t-elle poursuivi. Elle a ajouté que le ralentissement du rythme des achats d’actifs de la Réserve fédérale s’était fait dans le calme jusqu’à présent, mais pourrait provoquer des remous à l’avenir. Mais elle a précisé que cette réduction des achats, qui a commencé modestement en décembre, ne devrait pas perturber gravement les marchés du moment qu’elle se fera progressivement. « Nous n’anticipons pas des conséquences massives, lourdes et graves », a précisé Christine Lagarde concernant le ralentissement du rythme des achats massifs d’actifs par la Fed qui visent à soutenir la croissance de l’économie américaine.

 

Hollande : pour un statut mobile de la première Dame

Hollande : pour un statut mobile de la première Dame

 

On avait déjà des doutes sur le statut de la Première Dame qui réside à l’Elysée, son rôle son utilité ; encore davantage avec Trierweiler qui n’est que la compagne de Hollande. Avec cette affaire de la liaison de Hollande avec une comédienne, il faudra sérieusement revoir le statut. Peut être un statut mobile, une sorte de poste intérimaire ou de CDD. En tout cas ce ne sera pas un pacte de stabilité conjugale. Hollande qui ne s’est jamais marié (c’est son droit) n’en veut pas. Ou alors peut-être un collectif à la place d’une seule Première Dame avec Royal, Trierweiler, Julie gayet, d’autres. Et pourquoi pas pour en décider, créer une commission, une sorte de concertation à la mode Hollandaise. Hollande pourrait demander aux syndicats den débattre. A moins qu’on nomme un expert, un grand commis de l’Etat  sérieux évidemment comme gallois ou moins sérieux comme DSK. On pourrait rechercher   Une sorte de synthèse chère à Hollande. La situation du couple que forment François Hollande et Valérie Trierweiler sera clarifiée par l’Élysée avant la grande conférence de presse du président de la République, mardi 14 janvier. Selon les  informations de RTL, « la situation du couple présidentiel sera clarifiée par l’Élysée avant la conférence de presse très attendue que doit tenir François Hollande, mardi 14 janvier. Le statuquo actuel n’est pas tenable et le président veut préserver cet événement où 500 journalistes se presseront. Au vu des dossiers politiques en cours, ce vaudeville doit être évacué pour ne pas brouiller le message présidentiel. Cela signifie-t-il qu’une séparation sera annoncée ? Et par qui ? François Hollande, Valérie Trierweiler ou les deux, la question n’est pas encore arrêtée. ». Hollande n’est nullement condamnable et le Conseil d’Etat n’aura pas à se prononcer en urgence ; Hollande  avait seulement promis une république exemplaire pas une président exemplaire. Dommage cela risque de jeter une ombre sur sa conférence de presse du 15 janvier, il devait parler de l’inversion du chômage, il devra s’expliquer sur l’aversion au mariage et à la fidélité. Pas quoi cependant s’indigner, cela relève de la vie privée ; plutôt se réjouir de l’état de santé de notre président. Aux Etats-Unis, le puritanisme ambiant contraint les présidents à se mortifier voire à démissionner pour  ces motifs, pas en France, heureusement.  La vitalité de notre président justifierait même une petite remontée dans les sondages afin de démentir ceux qui le jugent trop mou.

Tradition de la Saint Sylvestre : plus de 1000 véhicules brulés !

Tradition de la  Saint Sylvestre : plus de 1000 véhicules brulés !

 

C’est maintenant une tradition bien française, la célébration de la nouvelle année avec l’incendie de véhicules. Une tradition qui ne mérite désormais que quelques lignes dans les médias.  De quoi  peut-être relancer un marché automobile au plus bas depuis 15 ans !  Avec un total de 1.067 véhicules incendiés pendant la nuit de la Saint-Sylvestre, le ministre de l’Intérieur Manuel Valls a annoncé mercredi soir un chiffre en baisse par rapport à l’an dernier.  Manuel Valls n’a pas échappé à la traditionnelle conférence de presse du Nouvel an sur le bilan sécuritaire de la nuit de la Saint-Sylvestre. Le ministre de l’Intérieur a énuméré les statistiques, en amélioration par rapport au 31 décembre 2012. En effet, un total de 1.067 véhicules ont été incendiés en France dans la nuit de mardi à mercredi, soit un chiffre en baisse de 10,6% par rapport à l’an dernier. Plus généralement, au cours des onze premiers mois de l’année, ce chiffre est en recul de plus de 6% par rapport à la même période de l’année précédente pour parvenir au chiffre le plus bas depuis six ans, a-t-il dit. Le département de France métropolitaine le plus touché a été la Seine-Saint-Denis avec 80 véhicules incendiés. Autre donnée, les forces de l’ordre ont procédé à 322 interpellations dont 217 ont donné lieu à une garde à vue, des chiffres comparables à ceux de l’an dernier.

Pacte responsabilité de Hollande : la CGPME veut surtout de la stabilité réglementaire et fiscale

Pacte  responsabilité de Hollande : la CGPME veut surtout de la stabilité réglementaire et fiscale

 

La CGPME demeure très prudente vis-à-vis de la dernière invention de Hollande : le pacte de responsabilité. Elle réclame surtout davantage de lisibilité sur la stabilité fiscale et réglementaire et constate que les marges des entreprisses n’ont jamais été aussi basses depuis 30 ans. « Ce qu’on demande, ce sont des actes ». Jean-Eudes du Mesnil du Buisson, le secrétaire général de la CGPME, était l’invité de BFM Business ce vendredi 3 janvier. Il est revenu notamment sur le pacte de responsabilité proposé par François Hollande. Annoncé lors des vœux le 31 décembre, ce pacte « est fondé sur un principe simple: moins de charges sur le travail, moins de contraintes sur leurs activités et, en même temps, une contrepartie: plus d’embauches et plus de dialogue social », avait déclaré le président. « Nous sommes prudents, a prévenu Jean-Eudes du Mesnil du Buisson. La réalité ce sont les difficultés qu’ont les entreprises, l’investissement qui recule depuis plus de 2 ans, des marges qui n’ont jamais été aussi basses depuis 1985. Ce sont des mesures urgentes et rapides que nous voulons et pas simplement des promesses à horizon 2017″. Néanmoins, le secrétaire général de la CGPME ne rejette pas tout en bloc. « Les chefs d’entreprises sont des gens responsables. S’ils ont capacité de créer des emplois, ils le font, ils ne demandent que de conquérir de nouveaux marchés, d’avoir de la croissance. Si le pacte débouche sur des mesures concrètes, pourquoi pas. Ce que nous voulons c’est que cela soit inscrit dans le temps et dans la durée ». Selon lui, la réelle difficulté pour les entreprises aujourd’hui est une fiscalité, une législation qui « change à longueur de temps ».  Jean-Eudes du Mesnil est revenu également sur le temps partiel. Depuis le 1er janvier, la durée minimale des temps partiels est passée à 24 heures par semaine. « Nous avons signé cet accord dans le cadre d’un accord global avec un certain nombre d’avancées pour les entreprises. Ce qui est dans la loi aujourd’hui ne correspond pas à ce que nous signés ». Il a rappelé que l’accord que la CGPME a signé était assorti de dérogations, notamment pour des motifs économiques. « En 2016, cela va s’appliquer à tous les contrats en cours. Donc, les entreprises ne pourront pas payer leurs salariés au-delà de 24heures et seront obligées de licencier ». Jean-Eudes du Mesnil espère que ce texte va évoluer avant de bloquer l’embauche.

 

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