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Augmentation de la CSG pour des retraités

Augmentation de la CSG pour des retraités

 

Le matraquage pour les couches moyennes continue. Les députés ont voté une modification du mode de calcul de la CSG des retraités et des chômeurs, qui créera certes 700.000 gagnants d’un côté, mais qui fera dans le même temps 460.000 perdants de l’autre. Les premiers appartiennent surtout aux catégories moyennes inférieures. Et les seconds davantage aux catégories moyennes supérieures et aisées. Leur perte moyenne «augmente avec le niveau de vie». Et s’élève en moyenne à 51 euros par mois et par personne tous déciles de revenus confondus, précise Gérard Bapt, le rapporteur PS du budget de la Sécu. L’opposition dénonce surtout la concentration de l’impôt. Cette année, les 8 milliards d’euros de hausses d’impôts causés par des mesures de 2013 et 2014, ont ainsi porté à 75% sur 20% des foyers, les plus riches, démontre Valérie Rabault, la rapporteure générale (PS) du Budget à l’Assemblée nationale, dans un rapport. Parallèlement, le geste fiscal de cette année, et la suppression de la première tranche de l’impôt sur le revenu en 2015, bénéficient à des ménages modestes et moyens. Le nouveau mécanisme vise principalement à compenser certains effets de la suppression de la première tranche de l’impôt sur le revenu. Le fait que, sur 2014 et 2015, quelque 3 millions de ménages sortent de l’impôt, parmi lesquels des retraités, et que 6 millions d’autres réduisent leur impôt, entraîne en effet un manque à gagner d’environ 500 millions sur la CSG.  Cette réforme vise aussi à corriger les défauts du système actuel, très complexe. Si le taux de CSG s’élève à 7,5% pour les salariés, il n’est que de 6,6% pour les pensions des retraités les plus aisés. Les bénéficiaires du minimum vieillesse sont épargnés par la CSG, de même que les retraités les plus modestes (dont le revenu ne dépasse pas 10.224 euros pour une personne seule). Mais les retraités dont les revenus sont supérieurs à ce niveau, avec un impôt qui passe sous le seuil d’exonération (61 euros), s’acquittent d’une CSG réduite à 3,8%. C’est le cas de certains retraités aisés, qui parviennent à diminuer au maximum leur impôt grâce à des niches fiscales. Conséquence, deux ménages de retraités aux revenus équivalents peuvent être soumis à des taux de CSG différents.  A cela, viennent s’ajouter des pertes de revenu brutales lorsque certains seuils sont franchis, une personne pouvant basculer à la fois dans la CSG et la taxe d’habitation. Et des effets de «yoyo», certains contribuables ne cessant d’entrer ou de sortir de la CSG, du fait qu’une partie de cette contribution est déductible de l’impôt sur le revenu. Le nouveau dispositif vise à atténuer ces effets en prenant pour seul critère le revenu fiscal de référence. Une personne devant s’acquitter de la taxe d’habitation ne paiera pas nécessairement la CSG. L’exemption de CSG s’appliquera aux revenus fiscaux de référence inférieurs à 10.633 euros pour un célibataire et le taux réduit à ceux inférieurs à 13.900 euros, soit une retraite mensuelle brute de 1456 euros.

 

Macron-Modernisation économique: des mesurettes

Docteur Macron : bon diagnostic de l’économie mais thérapie insuffisante

 

Le docteur Macron, ministre de l’économe a bien diagnostiqué certaines maladies françaises «  la défiance, la complexité et le corporatisme ».Pour autant ses orientations ressemblent à des mesurettes. En effet la complexité par exemple ne pourra être guérie sans une refonte complète d’un Etat tentaculaire, la diminution du nombre de politiques et de fonctionnaires. Des castes qui nourrissent auusi largement le corporatisme. Le thérapies proposée par le docteur Macron relève en fait de l’ inventaire à la Prévert sans doute davantage pour impressionner Bruxelles et réclamer sa clémence plutôt que dune volonté d’engager de réelle reformes structurelles. . Ainsi plusieurs secteurs sont concernés par les dispositions envisagées, qui vont de la libéralisation du transport par autocar, à l’assouplissement de la réglementation du travail dominical en passant par la simplification des conditions d’installation des professions juridiques et médicales. Emmanuel Macron en est resté toutefois aux grands principes d’un texte qui sera présenté en décembre en conseil des ministres. Il aura alors été complété par d’autres dispositions, notamment sur l’immobilier ou le code du Travail si les négociations qui viennent de débuter sur la modernisation du dialogue social débouchent sur du concret. Sa présentation a coïncidé avec la transmission par la France à la Commission européenne de son projet de budget 2015 controversé, qui entérine un dérapage des déficits publics par rapport aux engagements pris par Paris.  Dans ce contexte, beaucoup y voient une démonstration surtout destinée aux Européens pour prouver que, à défaut de maîtriser ses finances, la France est prête à engager des réformes sérieuses pour favoriser croissance et emploi. Le ministre de l’Economie s’est défendu de tout marchandage avec l’exécutif européen, pour le dissuader de retoquer le budget français avant même qu’il soit voté. « Il n’y a pas d’échange ‘pétrole contre nourriture’ avec Bruxelles », a-t-il assuré, « ces réformes, nous les faisons pour nous-mêmes ».

Rebsamen : de la ligue communiste révolutionnaire au libéralisme économique !

Rebsamen : de la ligue communiste révolutionnaire au libéralisme économique !

Nombre de responsables politiques du PS n’ont en fait aucune ossature idéologique, beaucoup sont passés sans difficulté du gauchisme  (le Premier secrétaire du parti y compris) au socialisme mou du PS, puis à la social démocratie avant de se rallier finalement au libéralisme. Ce que prouve une intreview de Rebsamen dont il a contredit la diffusion mais qui résumait bien sa pensée. Une pensée d’apparatchik (qui a fait toute sa carrière dans les cabinets avant d’accéder à se fonctions actuelles) qui en fait suit la direction du vent. C’est le véritable drame du PS qui n’a jamais été capable de définir une ligne politique un peu claire et qui du coup slalome entre la bureaucratie étatique et le social libéralisme. Le magazine bourguignon Le Miroir a dépublié une interview du ministre du Travail, François Rebsamen, à la demande du ministère. François Rebsamen y défend « une vision libérale de l’économie », propos qu’il dit ne pas avoir tenu. Mais durant les quelques heures de publication, l’interview s’est diffusée sur les réseaux sociaux.  Qui a dit qu’il se battait « depuis longtemps pour une vision libérale de l’économie » ? Qui estime qu’il faut adapter le système social français « en renforçant les contrôles, en assouplissant les seuils la législation sur les 35 heures, en autorisant le travail le dimanche » ? Qui regrette que le secrétariat national du PS refuse « toutes ces avancées » ? Pas François Rebsamen. Du moins selon… François Rebsamen.

Etats-Unis : forte hausse de la croissance

Etats-Unis : forte hausse de la croissance

 

Résultat notamment de la politique accommandante de la banque centrale américaine, la croissance se renforce (contrairement à ce qui se passe en Europe). Le produit intérieur brut (PIB) de la première économie mondiale a progressé de 4,6% en rythme annualisé sur la période avril-juin, un chiffre conforme au consensus des estimations d’économistes établi par Reuters. La précédente estimation, fin août, avait donné une croissance annualisée de 4,2%. Cette performance, la meilleure depuis le quatrième trimestre 2011, traduit entre autres une augmentation de l’investissement des entreprises et des exportations plus forte qu’estimé auparavant.  Cette révision à la hausse conforte logiquement les perspectives solides pour le troisième trimestre. Les indicateurs conjoncturels publiés jusqu’à présent sur l’activité manufacturière, le commerce extérieur et l’immobilier suggèrent que l’élan d’avril-juin s’est maintenu et les prévisions de croissance pour juillet-septembre vont jusqu’à 3,6%. Au premier trimestre, le PIB américain s’était contracté de 2,1%, toujours en rythme annualisé, en raison notamment de la rigueur exceptionnelle de l’hiver. Toutes les composantes du PIB ont été révisées à la hausse, à l’exception de la consommation des ménages, simplement confirmée en hausse de 2,5%. L’investissement des entreprises, lui, affiche un bond de 11,2% en rythme annualisé contre +10,7% dans la précédente estimation.  La demande intérieure a augmenté de 3,4% au lieu de +3,1% annoncé le mois dernier.  Les stocks des entreprises ont augmenté en valeur de 84,8 milliards de dollars au deuxième trimestre, légèrement plus qu’estimé en août (83,9 milliards). La reconstitution des stocks a contribué à la croissance du PIB à hauteur de 1,42 point.

Valls: baisse de l’impôt pour les couches moyennes….en 2015 « 

Valls: baisse de l’impôt pour les couches moyennes….en 2015  »

C’est promis, il y aura des baisses dimpôts pour les classes moyennes mais en 2015 ; on y travaille, a déclaré Valls. On se demande pourquoi alors il les a augmentés en 2014 ? Un coup à droite, u coup à gauche, Valls est en train de se griller les ailes avec son slalom à la mode Hollande. La preuve sur les autres dossiers c’est auusi la « Valls » hésitation ? Intermittents, SNCF, Alstom, impôts: le Premier ministre s’est expliqué ce vendredi 20 juin sur France Inter. Il a en particulier annoncé des baisses d’impôts dans le budget  Après avoir annoncé, hier, un geste à l’égard des intermittents du spectacle, Manuel Valls s’est expliqué ce vendredi 20 juin. « Il fallait donner un signe », a estimé le Premier ministre ce vendredi 20 juin sur France Inter.    Il a rappelé qu’une concertation tripartite allait s’engager et qu’il y « aurait une réforme d’ici la fin de l’année ». Mais il a refusé de dire si l’Etat prendrait définitivement en charge une partie du régime chômage de ces derniers. Il a en revanche réaffirmé que les crédits culturels seraient maintenus.  Concernant le conflit à la SNCF, Manuel Valls a estimé qu’ »une grève doit avoir un sens ». Or, « depuis le début, je n’ai pas compris le sens de celle-ci ».   Il a une nouvelle fois demandé « qu’elle s’arrête ». D’autant que le projet de réforme ferroviaire en cours d’examen « garantit le statut des cheminots ».  Sur Alstom, le chef du gouvernement a défendu l’attitude de l’exécutif. « Sans l’action du président et du gouvernement, Alstom serait sans condition dans les mains de General Electric ». Il a aussi défendu une nouvelle fois le décret anti-OPA étrangères et a renouvelé sa confiance envers Arnaud Montebourg et le travail de celui-ci.  Manuel Valls a ensuite annoncé qu’il ferait des annonces dans quelques semaines sur une baisse de l’impôt sur le revenu des classes moyennes dans le budget 2015. « Nous y travaillons actuellement », a-t-il confié.

 

Mondial foot- Brésil Croatie : premier scandale de l’arbitrage

Mondial foot- Brésil Croatie : premier scandale de l’arbitrage

 

Arbitrage toujours auusi nul et partial au Mondial et qui permet au Brésil de s’imposer 3-1 face à la Croatie qui a réalisé un très bon match. Deux erreurs magistrales : un pénalty inexistant accordé au Brésil et le refus d’un but à la Croatie parfaitement valable. Des arbitres toujours auusi incompétents qui n’ont jamais joué au foot, mal formés et partiaux. Le Japonais Yuichi Nishimura, arbitre du match, a notamment sifflé un penalty plus que douteux suite à une faute peu évidente de Dejan Lovren sur Fred (71e) et ignoré une faute de Ramires sur le troisième but d’Oscar. À l’issue de la rencontre, le sélectionneur croate Niko Kovac était particulièrement remonté. « Si c’est comme ça qu’on commence la Coupe du Monde, nous ferions mieux de leur donner et de rentrer à la maison, a-t-il lâché. Nous parlons de respect. Ce n’est pas du respect, la Croatie n’en a pas eu. Si ça c’est un penalty, nous n’avons plus besoin de jouer au football. Jouons au basket à la place. C’est une honte !» Sur l’action litigieuse, l’attaquant brésilien Fred se laisse clairement tomber dans la surface. L’arbitre se laisse abuser et désigne le point de penalty. Dejan Lovren, le défenseur croate, est furieux. L’ancien Lyonnais reçoit un carton jaune. Ce pénalty «imaginaire» donnera l’avantage aux Brésiliens en seconde période. «Il n’y avait pas faute», déplore Jorge Reis, un supporteur Brésilien de 51 ans, maillot et perruque aux couleurs auriverde, qui a suivi le match dans la «fan fest» de Sao Paulo, où étaient réunies 30 à 40.000 personnes. Dejan Lovren, est furieux après le penalty imaginaire et reçoit un carton jaune .

Les français souhaitent la dissolution de l’UMP

Les français souhaitent la dissolution de l’UMP

 

Plus de deux Français sur trois (65%) estiment « plutôt » ou « tout à fait » qu’il faudrait « dissoudre l’UMP pour créer un nouveau parti d’opposition »selon une enquête de OpinionWay pour Clai/metronews/LCI publiée ce vendredi 6 juin. Ils sont 40% à considérer qu’aucun des partis habituels ne  »s’oppose le mieux au gouvernement ».  Pour 34% des sondés, le Front national est la formation politique qui offre la meilleure opposition, loin devant l’UMP, citée par 14% des personnes interrogées. Par rapport à la dernière enquête, remontant à mai 2013, le FN progresse de 13 points et l’UMP chute de 7 points.  Après le FN et l’UMP viennent ensuite le Front de gauche (7%, -11), le MoDem (3%, +1), l’UDI, stable à 2%. Sondage réalisé auprès d’un échantillon de 1.004 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus et interrogé par téléphone à domicile du 2 au 4 juin. Méthode des quotas.

 

Européennes : trop de listes, c’est illisible

Européennes : trop de listes, c’est illisible

 

Il nest déjà pas facile de connaître exactement l’enjeu des lections européennes mais le mode de scrutin ( par grande zone géographuique) et l’inflation de listes rendent encore plus obscure c ette échéance. 24 listes par circonscription, cest évidemenet beaucoup trop, il aurait été nécessaire de définir au prélable des critères déligibilité pour resserer les listes à une dizaine au grand maximum. Si la campagne des Européennes peine à susciter l’intérêt des électeurs français, ce n’est donc pas faute de candidats. Trois jours après l’expiration du délai de dépôt des candidatures, le ministère de l’Intérieur a annoncé ce lundi 5 mai que 174 listes sollicitaient les suffrages des électeurs dans les sept circonscriptions métropolitaines et 19 dans la huitième, les territoires de l’outre-mer. C’est environ 17% de plus qu’en 2009, date du dernier scrutin. Cela équivaut à plus de 24 listes en moyenne par circonscription, contre 20 il y a cinq ans. Dans 40% des cas, les listes validées sont des listes « divers », sans étiquette politique et hors des grands partis. Si l’on y ajoute les divers droite et divers gauche, ce sont 60% des listes qui échappent aux principales formations politiques.

« La France le malade de l’Europe » (George Soros )

« La France le  malade de l’Europe » (George Soros )

(Interview les Echos)

Qui est aujourd’hui l’ «homme malade» («sick man») de l’Union européenne à vos yeux ?

Pour moi, c’est la France. Car le pays n’a pas le handicap d’avoir à payer une lourde prime de risque car sa perspective est liée à celle de l’Allemagne. Et néanmoins, même avec cette position privilégiée, ses performances sont à la traîne par rapport à l’Espagne ou l’Italie. L’Espagne a fait bien davantage que la France en matière de réformes structurelles. C’est en grande partie lié au manque de courage politique du gouvernement et au pouvoir excessif des syndicats.

Considérez-vous que le risque d’éclatement de la zone euro soit désormais écarté ?

Oui. Il y a une reconnaissance générale que l’euro est destiné à durer. Les autorités ont montré leur capacité à défendre l’euro. Mais à long terme, les risques politiques  restent élevés. L’insatisfaction de l’opinion pourrait encore augmenter et pousser les électeurs dans un sentiment anti-européen. Il faut que ce décalage soit corrigé

 

Que pensez-vous de la récente position du gouvernement français sur la nécessité de lutter contre le niveau trop élevé de l’euro fort en ayant une nouvelle approche monétaire ?

C’est parfaitement raisonnable. Je pense qu’un euro moins fort aiderait tout le monde, mais sans doute plus la France que l’Allemagne. La BCE elle-même commence à reconnaître le problème de la déflation et la nécessité de se pencher davantage sur les taux d’intérêt. Ce serait peut-être préférable pour la BCE d’intervenir sur les taux d’intérêt et d’acheter des dollars pour déprimer le niveau de l’euro plutôt que de s’engager dans une politique d’assouplissement monétaire. La BCE a déjà injecté beaucoup de liquidités dans le système bancaire. La difficulté est de transférer les liquidités des banques dans l’économie réelle. Et le «quantitative easing» n’aide pas sur ce point.

Etes-vous d’accord avec l’économiste Joe Stiglitz pour dire que l’euro a été une erreur, même si on ne peut plus faire marche arrière aujourd’hui ?

Avec le recul, je suis d’accord. A l’époque, je n’ai pas été plus intelligent que le marché ou les autorités. J’ai réalisé que l’euro était une monnaie incomplète mais je pensais qu’on pourrait y remédier avec le temps. Mais la volonté politique a manqué par la suite. A l’époque, je n’ai pas réalisé que les pays membres pourraient être confrontés au risque de faire défaut en créant une banque centrale européenne indépendante.

 

 

 

Pensez-vous toujours que la mise en place des «eurobonds» reste une priorité pour la zone euro ?

Politiquement, c’est impossible, car Angela Merkel s’est engagée à y opposer son veto. Ce n’est pas réaliste. D’ailleurs, la prime de risque  a pratiquement disparu : cela ne ferait plus une différence pratique notable. Ce qu’il faut aujourd’hui c’est une manière de stimuler la croissance. C’est le problème non résolu. L’Europe continue à poursuivre une fausse doctrine monétaire en défendant, pour la forme, un objectif d’équilibre budgétaire et de réduction des déficits, au détriment de la demande. Heureusement, sans le dire ouvertement, l’Allemagne l’a plus ou moins abandonné et les pays endettés ont obtenu un peu d’oxygène. C’est pourquoi l’économie est désormais stabilisée. Mais il y a toujours un fardeau excessif sur les pays lourdement endettés. Aujourd’hui, il serait préférable de donner la priorité à la croissance.

 

François Hollande : « Sortir de l’Europe, c’est sortir de l’Histoire »…. et sortir Hollande aussi ?

François Hollande : « Sortir de l’Europe, c’est sortir de l’Histoire »…. et sortir Hollande aussi ?

 Vraiment rien d’original dans la défense de l’Europe de la part de Hollande ; Et même un poncif : « sortir’ de l’Europe, c’est sortir de l’histoire » : Belle formule mais creuse, sans contenu. Certes l’Europe doit être maintenue pour maintenir la paix, c’est essentiel mais cela ne dispense pas d’une critique sévère à l’égard de la bureaucratie et de l’ inefficacité sur le plan économique et social. Ce que Hollande minimise car il ne pèse rien et ne connait rien. Question : sortir hollande, c’est auusi sortir de l’histoire ? Conscient que les élections européennes du 25 mai prochain ne passionnent pas les Français et qu’un fort sentiment eurosceptique semble gagner du terrain dans les esprits, François Hollande a donc écrit une tribune intitulée « L’Europe que je veux » publiée dans Le Monde. Le président de la République y vante les mérites de la construction européenne, démarrée au lendemain de la Seconde Guerre mondiale. « Le même continent, les mêmes peuples, les mêmes nations se sont relevés et connaissent depuis lors la plus longue période de paix jamais vue dans leur histoire (…) A qui devons-nous cette résurrection inouïe ? A l’Union », assure-t-il.   »L’Europe, c’est la paix », martèle le chef de l’État, qui cite François Mitterrand en affirmant que « le nationalisme, c’est la guerre ». Face au risque de voir un Front national en tête au soir du 25 mai, le Président assure que l’Union européenne représente toujours une solution d’avenir. « Des forces cherchent à la défaire en spéculant sur la déception (…)  Ces manœuvres pernicieuses prospèrent sur un terreau fertile », déplore-t-il. Lucide sur une union qui « déçoit », François Hollande refuse toutefois de l’abandonner. « Certains veulent abandonner l’euro (…) D’autres veulent tout simplement déconstruire l’Europe (…) Sortir de l’Europe, c’est sortir de l’Histoire », prévient le président de la République.

 

Ukraine : un otage de l’OSCE libéré

Ukraine : un otage de l’OSCE libéré

« Tant que la Russie suivra la voie des provocations plutôt que d’essayer de résoudre cette question par des moyens pacifiques et [de favoriser] une désescalade, il y aura des conséquences et ces conséquences iront crescendo », a indiqué Obama . Dans le même temps, les négociations se poursuivent dans l’espoir de libérer les observateurs de l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE), détenus depuis trois jours à Slaviank, le bastion des séparatistes pro-russes dans l’est de l’Ukraine. Les sanctions de Washington cibleront surtout l’industrie de la défense russe, ainsi que des personnes et des sociétés proches du président Vladimir Poutine. Du côté des européens, les ambassadeurs des 28 pays de l’UE se retrouveront ce lundi à Bruxelles pour établir de nouvelles sanctions. L’ex-magnat russe et opposant au Kremlin, Mikhaïl Khodorkovski, présent ce dimanche à Donetsk, dans l’est de l’Ukraine, s’est déclaré sceptique sur leur efficacité. Selon lui, ces sanctions « ne vont avoir aucun effet à court terme sur la Russie ». « Cela dégradera sa situation économique, mais cela ne deviendra pas critique avant au moins trois ou quatre ans ». Sur place, les séparatistes pro-russes ont libéré ce dimanche soir l’un des huit observateurs militaires de l’OSCE, un Suédois qui souffre de diabète. Le responsable en exercice de l’OSCE, le ministre suisse des Affaires étrangères Didier Burkhalter, a qualifié ce dimanche soir la situation d’ « inacceptable ». Il a également appelé à la garantie de la sécurité des observateurs internationaux.

 

Alstom : la grande braderie de l’industrie continue (la Presse)

Alstom : la grande braderie de l’industrie continue (la Presse)

La presse voit ce lundi dans la vente annoncée d’Alstom les prémices d’une « grande braderie » des fleurons de l’économie française. L’intervention de l’exécutif dans ce dossier industriel, qui voit le groupe Alstom convoité à la fois par l’Américain General Electric et l’Allemand Siemens, est plutôt saluée par les quotidiens. Pour Le Figaro, sous la plume de Gaëtan de Capèle, l’Etat « exerce, à bon droit, son devoir de surveillance lorsque les intérêts supérieurs du pays – secteur protégé, technologie sensible, emploi… – sont en cause ». Maud Vergnol insiste dans L’Humanité sur la nécessité pour le Premier ministre Manuel Valls de « prendre ses responsabilités et priver les patrons d’Alstom de leur droit divin ».  »Car l’OPA du géant américain sonne comme le début d’une grande braderie », ajoute l’éditorialiste du journal communiste. « Après Péchiney, Arcelor, et plus récemment Publicis ou Lafarge, la France peut-elle laisser partir à l’étranger un nouveau fleuron de son industrie nationale ? » demande Bruno Dive dans Sud Ouest. L’appel lancé par le ministre de l’Economie Arnaud Montebourg à « la vigilance patriotique » « dit bien l’urgence du dossier Alstom dont il s’empare », écrit Monique Raux dans L’Est républicain. Pour Patrice Chabanet du Journal de la Haute-Marne, « on observe une nouvelle fois que l’industrie française poursuit sa lente descente aux enfers, en jouant le rôle peu enviable de proie ».

Affaire Morelle and Co : Les cireurs de pompes de l’Elysée

Affaire Morelle and Co : Les cireurs de pompes de l’Elysée

 

Morelle accusé de conflits d’intérêt a été viré sans ménagement par Hollande. Du coup Morelle a traité Hollande de salaud ; Il a raison d’ê ter vexé Morelle, c’est lui l’ auteur du célèbre discours du Bourget de Hollande sur la morale républicaine, l’ennemi c’est la finances etc. Le monarque républicain est ingrat. Cerise sur le Gâteau, Morelle est auusi accusé d’avoir eu recours à un cireur de chaussures pour entretenir sa trentaine de paires de chaussures de luxe. Vraiment pas de quoi fouetter un chat ; les conseiller de l’Elysée ou des cabinets ministériels ont pour objet social essentiel le cirage de pompes de leurs ministres ou de Hollande. De leur dire qu’ils sont grands, beaux, géniaux. Une sorte de cour républicaine où les plus flatteurs espèrent de leur maître en récompense une petite place dans une grande entreprise ou une grande société publique  (dernier exemple aujourd’hui l’ancien directeur du trésor, ancien conseiller politique lui-auusi vient d’être nommé directeur financier chez Orange, bonjour les dégâts sur la gestion de l’opérateur télécom. ! ) . Morelle n’a rien fait de plus que les autres, il a flatté. (Avec en plus peut –être une petit business au noir quand il était haut fonctionnaire). Les conseillers ne sont pas là pour faire œuvre de créativité ou montrer une quelconque compétence, ils sont là pour conforter leur patrons dans leurs pires délires. Dernier en date :  le gel des pensions alors que des millions de pensionnés touchent moins de 1000 euros (en moyenne 1250 euros environ). la suppresion de l’APL auusi. Hier c’était l’ennemi, c’était  la finance maintenant c’est le français moyen très moyen même et même en dessous de la moyenne. Aucun de ces conseillers n’osera dire à Hollande et aux ministres que c’est économiquement et socialement dément, injuste, contreproductif pour la consommation, la croissance et l’emploi. C’est tout juste si le nouveau «  machin » le haut conseil aux finances publiques  aborde le sujet avec timidité. Bah oui il se pourrait que la fameux plan de 50 milliards (toujours très fumeux sauf pour les couches moyennes et populaires) risque de plomber une peu plus l’activité. De toute manière les petits marquis cireurs de pompes n’ont pas d’Etat d’âme, d’ailleurs ils n’y connaissent rien. Elevés au lait de l’administration, ils ignorent tout des réalités économiques et sociales et sont prêts à soutenir n’importe quelle idée délirante de leurs maîtres. Résulat nos dirigeants sont dans le cirage !

La France prix Nobel de l’ingénierie fiscale avec La TVA (et le reste)

La France prix Nobel de l’ingénierie financière avec La TVA (et le reste)

La France exporte peu ou en tout cas pas assez pour équilibrer sa balance commerciale ((environ 60 milliards de déficit) mais elle exporte bien son système fiscal notamment la TVA désormais en application dans de nombreux pays. Normal, la France est championne du monde des prélèvements obligatoires. La preuve que le « made in France » ça marche comme dirait Montebourg. . La TVA, cette invention française, fête en effet ses 60 ans, ce jeudi 10 avril. La taxe sur la valeur ajoutée est un impôt général sur la consommation directement facturé aux clients sur les biens qu’ils consomment ou les services qu’ils utilisent.  Maurice Lauré, 37 ans à l’époque et haut fonctionnaire du ministère des finances, veut simplifier les différents impôts sectoriels sur la consommation. En effet, jusqu’alors, sous-traitants, grossistes ou encore consommateurs devaient payer une taxe spécifique, une taxe sur le prix de vente pour le consommateur ou sur le chiffre d’affaires pour les entreprises. Un système d’imposition « en cascade » qui nuisait à la fluidité du marché. Celui qui sera ensuite président de la Société générale publie en 1952 un livre, « La taxe sur la valeur ajoutée ». Il y propose un impôt indirect sur la consommation simple de gestion et difficile à frauder. Le 29 mars 1954, le président du Conseil, Joseph Laniel, et le ministre des finances, Edgar Faure, font voter un projet de loi portant réforme fiscale. Le 8 avril 1954, le Sénat adopte le texte. Le président de la commission des finances de l’Assemblée nationale, Pierre Mendès France, soutient la création de cette taxe. La loi est adoptée le 10 avril 1954. Le taux normal à 16,8% et le taux réduit sur les produits de première nécessité à 7,5%. Seules les grandes entreprises s’acquittent de la TVA. Le 6 janvier 1966, Valéry Giscard d’Estaing, ministre des Finances étend le champ d’application à l’ensemble de l’économie.  Facile à mettre en place et à collecter, la TVA a été adoptée dans le monde entier. Sur 183 pays reconnus par l’ONU, 153 possèdent une taxe inspirée de la TVA. L’Afghanistan ou encore les Bahamas et la Barbade ont mis en place une taxe sur la valeur ajoutée. En revanche, un pays n’a jamais cédé: les Etats-Unis. Le pays possède une taxe sur les ventes dans chaque état avec des taux différents. Au Japon, la TVA a augmenté le 1er avril. Une hausse de trois points (de 5% à 8%) qui devrait rapporter en année pleine à l’Etat 8.000 milliards de yens (soit 57 milliards d’euros) supplémentaires. Mais surtout, qui inquiète les Japonais.  En France, la TVA a rapporté en 2013 141,2 milliards d’euros à l’Etat. Ce qui représente soit près de la moitié de ses recettes fiscales. En 2014, selon les prévisions de Bercy, elle doit rapporter 139,4 milliards. Rapportée au PIB, la TVA est passée de 9,26% en 1982 à 9,42% en 2013. En comparaison, l’impôt sur le revenu ne doit rapporter que 74 milliards, et celui sur les sociétés 39 milliards.  Au 1er janvier 2014, le taux de TVA est passé de 19,6% à 20%. Le taux intermédiaire est passé, lui, de 7% à 10%, le taux réduit restant finalement  à 5,5%. A titre de comparaison dans l’Union européenne, le taux normal est de 27% en Hongrie et de 18% à Malte. Au sein de l’Union, il existe une « véritable fraude à la TVA », selon le député Nicolas Dupont-Aignan, coauteur d’un rapport de l’Assemblée. Des mécanismes de dissimulation de TVA communautaire grâce à des sociétés écrans auraient été mis en place. Cette fraude engendrait une perte de 32 milliards par an en France.

 

Déficit France : avertissement de l’Europe

Déficit France : avertissement  de  l’Europe

C’est un avertissement avant le carton jaune sur les déficits. L’Europe sent que Hollande affaibli par les municipales commence à mollir sur les 50 milliards d’économies (au demeurant très flous), du coup c’est un rappel à l’ordre vis à vis des objectifs affichés par la France elle-même. . La négociation s’annonce serrée. Ce mardi 1er avril, le chef de file de l’Eurogroup, le Néerlandais Jeroen Dijsselbloem a assuré que Paris n’a pas demandé un nouveau report pour ramener son déficit public sous les 3% du PIB. Mais le ministre des Finances des Pays-Bas en a profité pour souligner la nécessité pour Paris de ne pas relâcher ses efforts. « La France est consciente de ses engagements, elle a déjà obtenu du temps et doit fournir davantage d’efforts », a-t-il affirmé. Ces propos font écho à ceux prononcés, quasiment en même temps, par le commissaire européen aux Affaires économiques et monétaires, Olli Rehn. Ce dernier a affirmé qu’il « est important que la France procède aux ajustements structurels nécessaires », c’est-à-dire qu’elle dégage des économies de long terme.  Ces déclarations sonnent comme autant de rappel à l’ordre alors que la veille, l’Insee a indiqué que le déficit public a dérapé plus fortement que prévu en 2013, s’élevant à 4,3% du PIB, contre un chiffre de 4,1% prévu par le gouvernement. Surtout, les propos de Jeroen Dijsselbloem et Olli Rehn succèdent à l’allocution télévisée de François Hollande. Le président français y a affirmé, concernant les 50 milliards d’économies promis par l’exécutif tricolore, qu’ »il ne s’agit pas de faire des économies pour faire des économies ». « Il ne peut être question de fragiliser la croissance qui repart », a-t-il poursuivi, expliquant que « le gouvernement aura aussi à convaincre l’Europe ».

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