Archive pour le Tag 'davantage ?'

Recherche : pour une démarche davantage interdisciplinaire

Recherche : pour une démarche davantage interdisciplinaire

Les disciplines que sont les sciences du vivant, la sociologie et l’économie développent chacune leur savoir-faire et leur efficacité sur une facette du monde. Leurs liens sont souvent teintés d’indifférence, voire envenimés, dans les milieux universitaires, par une compétition pour les ressources. Il en résulte que notre société apprend à loucher : le monde qui nous entoure est unique, mais nous en construisons des visions indépendantes et porteuses de prédictions parfois contradictoires… donc en partie fallacieuses.
Les chercheurs Bernard Lahire, Arnaud Orain et Marc-André Selosse proposent, dans une tribune au « Monde »,de  rendre les formations plus interdisciplinaires. 

 

De nombreux auteurs ont observé que nos sociétés avaient oublié qu’elles faisaient partie intégrante du vivant, ce qui explique les crises environnementales et sanitaires qu’elles traversent. Or, l’interdisciplinarité entre économie, sociologie et sciences du vivant offrirait une image beaucoup plus nette de ce que nous sommes et de notre avenir.

Les biologistes découvrent que l’information génétique se transmet entre organismes qui coexistent. On pensait qu’elle se transmettait surtout des parents aux enfants : voilà qu’on démontre que des fragments d’ADN passent, par des mécanismes divers, d’un être vivant à l’autre, y compris d’espèces différentes. Mais, si les biologistes s’étaient intéressés à l’information culturelle, une autre information portée par le vivant, qui vient des parents et circule aussi entre individus, cela aurait-il été aussi inattendu ? La biologie doit prendre en main l’humanité comme source d’inspiration.

Les économistes mainstream intègrent l’environnement dans leurs modèles par le biais des prix et des services que rendrait la nature à la production de richesses et au climat. En s’intéressant aux sciences du vivant, ils apprendraient qu’il est impossible de dissocier un prétendu service rendu par telle ou telle entité non humaine, car de leurs interactions naissent des résultats supérieurs à la somme de ce qu’on leur attribue individuellement. Exemple, il est impossible de séparer les effets pollinisateurs des abeilles de l’action d’innombrables insectes, vers et autres micro-organismes des sols.

Il en va de même pour les forêts.

Prix Electricité : Barnier renonce à augmenter davantage les tarifs

Prix Electricité : Barnier renonce à augmenter davantage les tarifs

Il est bien difficile de s’y retrouver à travers les différentes déclarations des uns et des autres, celle du gouvernement, celle des oppositions et même celle des experts. Barnier déclare qu’il renonce à augmenter les tarifs de l’électricité. En réalité ces tarifs vont augmenter mais moins que prévu pour revenir au niveau d’avant Covid. 

« J’ai décidé de ne pas augmenter les taxes sur l’électricité dans le projet de loi de finances 2025″, « cela permettra une baisse des prix de l’électricité de 14%, qui ira donc bien au-delà de la baisse de 9% prévue initialement », affirme le Premier ministre dans un entretien au Figaro(Nouvelle fenêtre).

Concrètement, il s’agit d’un  »retour au tarif avant bouclier tarifaire », précise Matignon. Instaurée en octobre 2021 face à la flambée des prix liée à la crise du Covid, cette mesure devait prendre fin au 1er février. Mais le gouvernement souhaitait initialement aller au-delà, et relever la fiscalité sur l’électricité à un niveau supérieur, pour engranger au total 3,4 milliards d’euros. Mardi, Michel Barnier avait cependant ouvert la porte à des « concessions ».

Electricité : Barnier renonce à augmenter davantage les tarifs

Electricité : Barnier renonce à augmenter davantage les tarifs

Il est bien difficile de s’y retrouver à travers les différentes déclarations des uns et des autres, celle du gouvernement, celle des oppositions et même celle des experts. Barnier déclare qu’il renonce à augmenter les tarifs de l’électricité. En réalité ces tarifs vont augmenter mais moins que prévu pour revenir au niveau d’avant Covid. 

« J’ai décidé de ne pas augmenter les taxes sur l’électricité dans le projet de loi de finances 2025″, « cela permettra une baisse des prix de l’électricité de 14%, qui ira donc bien au-delà de la baisse de 9% prévue initialement », affirme le Premier ministre dans un entretien au Figaro(Nouvelle fenêtre).

Concrètement, il s’agit d’un  »retour au tarif avant bouclier tarifaire », précise Matignon. Instaurée en octobre 2021 face à la flambée des prix liée à la crise du Covid, cette mesure devait prendre fin au 1er février. Mais le gouvernement souhaitait initialement aller au-delà, et relever la fiscalité sur l’électricité à un niveau supérieur, pour engranger au total 3,4 milliards d’euros. Mardi, Michel Barnier avait cependant ouvert la porte à des « concessions ».

Budget : davantage d’impôts mais surtout moins de dépenses

Budget : davantage d’impôts mais surtout moins de dépenses

 Comme la France détient déjà le record des prélèvements obligatoires parmi les pays développés il apparaît que l’équilibre du budget visera davantage la réduction des dépenses que l’augmentation des ressources fiscales même si les deux mesures peuvent s’articuler. Et de toute manière la perspective d’un retour à 3 % le budget devra être reportée dans le temps vers 2030 au lieu de 2027. L’objectif étantde ne pas tuer complètement la croissance ( et donc aussi les recettes fiscales). «  Nous allons faire des propositions fortes pour redresser les finances du pays », a annoncé le ministre des Comptes publics dans un discours À l’Assemblée nationale. Le premier levier sera avant tout « la réduction de la dépense publique », a insisté Laurent Saint Martin. « Nous allons vous proposer un budget de vérité et d’effort », a ajouté Antoine Armand.

 Laurent Saint Martin a déclaré que « le risque de dépassement de 6% de déficit est avéré »; En cause, « de moindres recettes fiscales et un écart de 16 milliards d’euros sur les dépenses publiques locales ».

La croissance, surtout portée par le commerce extérieur et moins par la consommation domestique a également engendré « un écart de TVA » par rapport à ce qui était espéré, a expliqué l’ancien patron de Business France.  « Il ne faut pas s’interdire de réfléchir sur des mesures ciblées sur les entreprises et les ménages qui ont des capacités contributives », a ajouté Antoine Armand. En clair Il faudra envisager d’augmenter la fiscalité .

 

Finances -Budget 2024: Encore davantage de déficit

Finances -Budget 2024: Encore davantage de déficit

La France éloigne encore un peu plus des critères de gestion européens.  Projeté à 5,1% du produit intérieur brut, le déficit 2024 pourrait finalement atteindre 5,6% cette année, selon les documents consultés par les élus de la Commission des finances de l’Assemblée nationale.. Après  5,5% du PIB en 2023, le déficit pourrait encore se dégrader à 5,6% cette année, si rien n’est fait. Un élément qui complique encore le casse-tête du budget. Bruno Le Maire préconise au prochain Premier ministre  de réaliser quelques 16 milliards d’euros d’économies immédiates sur le budget de l’année en cours.

En cause, le ralentissement de la croissance qui mécaniquement pèse évidemment sur les rentrées fiscales en plus de la surestimation au départ de la croissance et du produit des impôts. Sans parler évidemment des dépenses toujours de plus en plus mal contrôlées.

Ce qui n’empêchera sans doute nullement les oppositions au futur gouvernement de demander encore davantage de dépenses non financées.

La France éloigne de plus en plus de l’objectif de début de 3 % fixé en 2027. Elle sera donc sans doute sanctionné d’une part par l’Europe mais aussi et surtout par les institutions financières comme les agences de notation.

 

Budget 2024: Encore davantage de déficit

Budget 2024: Encore davantage de déficit

La France éloigne encore un peu plus des critères de gestion européens.  Projeté à 5,1% du produit intérieur brut, le déficit 2024 pourrait finalement atteindre 5,6% cette année, selon les documents consultés par les élus de la Commission des finances de l’Assemblée nationale.. Après  5,5% du PIB en 2023, le déficit pourrait encore se dégrader à 5,6% cette année, si rien n’est fait. Un élément qui complique encore le casse-tête du budget. Bruno Le Maire préconise au prochain Premier ministre  de réaliser quelque 16 milliards d’euros d’économies immédiates sur le budget de l’année en cours.

En cause, le ralentissement de la croissance qui mécaniquement pèse évidemment sur les rentrées fiscales en plus de la surestimation au départ de la croissance et du produit des impôts. Sans parler évidemment des dépenses toujours de plus en plus mal contrôlées.

Ce qui n’empêchera sans doute nullement les oppositions au futur gouvernement de demander encore davantage de dépenses non financées.

La France éloigne de plus en plus de l’objectif de début de 3 % fixé en 2027. Elle sera donc sans doute sanctionné d’une part par l’Europe mais aussi et surtout par les institutions financières comme les agences de notation.

 

Sport Foot- Départ de Mbappé : un championnat de France encore davantage insipide ?

Sport  Foot- Départ de  Mbappé : un championnat de France encore davantage insipide ?

 Kylian Mbappé a officialisé, vendredi 10 mai, son départ du Paris Saint-Germain à la fin de la saison. Il a disputé  son dernier match au Parc des Princes dimanche, contre Toulouse.  Et une nouvelle déception avec la défaite de Paris face à Toulouse. Un Paris-Saint-Germain toujours aussi insipide. La question de l’avenir du Paris-Saint-Germain , aussi  championnat de France pourrait se poser. En effet Mbappé -même de façon parfois irrégulière-  a largement illuminé le club parisien et le foot français pendant sept ans et d’une certaine manière contribué à l’intérêt du football professionnel en France. Un championnat pourtant bien insipide et qui pourrait le devenir encore davantage après ce départ. La sanction de ce faible niveau pourrait intervenir rapidement lors des compétitions européennes avec des éliminations encore plus rapides des clubs français y compris pour le PSG.

« C’est beaucoup d’émotions, a déclaré l’attaquant parisien dans une vidéo de quatre minutes. J’ai eu la chance et l’immense honneur de faire partie du plus grand club de France, l’un des meilleurs du monde, qui m’a permis de grandir comme joueur et en tant qu’homme ».

 

Kylian Mbappé a également fait une sorte de mea culpa, admettant qu’il n’était pas le joueur « le plus démonstratif » et qu’il n’avait pas toujours été « à la hauteur de l’amour » donné par les supporters du PSG. Sept années avec « des hauts et des bas », mais un constat : « Je ne regrette pas d’avoir signé dans ce club prestigieux. »

Concernant son avenir, il n’a donné qu’un maigre indice en glissant : « Je ne pensais pas que ce serait aussi dur de quitter mon pays. » Mais il n’a pas révélé le nom de son futur club. Kylian Mbappé est annoncé avec insistance, depuis des mois, au Real Madrid.

Sport Foot- Départ de Mbappé : un championnat de France encore davantage insipide ?

Sport  Foot- Départ de  Mbappé : un championnat de France encore davantage insipide ?

 Kylian Mbappé a officialisé, vendredi 10 mai, son départ du Paris Saint-Germain à la fin de la saison. Il disputera son dernier match au Parc des Princes dimanche, contre Toulouse.  La question de l’avenir du Paris-Saint-Germain , aussi  championnat de France pourrait se poser. En effet Mbappé -même de façon parfois irrégulière-  a largement illuminé le club parisien et le foot français pendant sept ans et d’une certaine manière contribué à l’intérêt du football professionnel en France. Un championnat pourtant bien insipide et qui pourrait le devenir encore davantage après ce départ. La sanction de ce faible niveau pourrait intervenir rapidement lors des compétitions européennes avec des éliminations encore plus rapides des clubs français y compris pour le PSG.

« C’est beaucoup d’émotions, a déclaré l’attaquant parisien dans une vidéo de quatre minutes. J’ai eu la chance et l’immense honneur de faire partie du plus grand club de France, l’un des meilleurs du monde, qui m’a permis de grandir comme joueur et en tant qu’homme ».

 

Kylian Mbappé a également fait une sorte de mea culpa, admettant qu’il n’était pas le joueur « le plus démonstratif » et qu’il n’avait pas toujours été « à la hauteur de l’amour » donné par les supporters du PSG. Sept années avec « des hauts et des bas », mais un constat : « Je ne regrette pas d’avoir signé dans ce club prestigieux. »

Concernant son avenir, il n’a donné qu’un maigre indice en glissant : « Je ne pensais pas que ce serait aussi dur de quitter mon pays. » Mais il n’a pas révélé le nom de son futur club. Kylian Mbappé est annoncé avec insistance, depuis des mois, au Real Madrid.

Foot- Départ de Mbappé : un championnat de France encore davantage insipide ?

Foot- Départ de  Mbappé : un championnat de France encore davantage insipide ?

 Kylian Mbappé a officialisé, vendredi 10 mai, son départ du Paris Saint-Germain à la fin de la saison. Il disputera son dernier match au Parc des Princes dimanche, contre Toulouse.  La question de l’avenir du Paris-Saint-Germain , aussi  championnat de France pourrait se poser. En effet Mbappé -même de façon parfois irrégulière-  a largement illuminé le club parisien et le foot français pendant sept ans et d’une certaine manière contribué à l’intérêt du football professionnel en France. Un championnat pourtant bien insipide et qui pourrait le devenir encore davantage après ce départ. La sanction de ce faible niveau pourrait intervenir rapidement lors des compétitions européennes avec des éliminations encore plus rapides des clubs français y compris pour le PSG.

« C’est beaucoup d’émotions, a déclaré l’attaquant parisien dans une vidéo de quatre minutes. J’ai eu la chance et l’immense honneur de faire partie du plus grand club de France, l’un des meilleurs du monde, qui m’a permis de grandir comme joueur et en tant qu’homme ».

 

Kylian Mbappé a également fait une sorte de mea culpa, admettant qu’il n’était pas le joueur « le plus démonstratif » et qu’il n’avait pas toujours été « à la hauteur de l’amour » donné par les supporters du PSG. Sept années avec « des hauts et des bas », mais un constat : « Je ne regrette pas d’avoir signé dans ce club prestigieux. »

Concernant son avenir, il n’a donné qu’un maigre indice en glissant : « Je ne pensais pas que ce serait aussi dur de quitter mon pays. » Mais il n’a pas révélé le nom de son futur club. Kylian Mbappé est annoncé avec insistance, depuis des mois, au Real Madrid.

Maladie : davantage du jours de carence ?

Maladie : davantage du jours de carence ?

 Selon La Tribune, l’exécutif envisagerait d’augmenter le nombre de jours de carence des salariés du privé afin de réduire les dépenses de la Sécurité sociale et d’économiser un milliard d’euros par an. Actuellement, l’assurance-maladie prévoit trois jours de carence pour un salarié du privé auquel un médecin a prescrit un arrêt. Concrètement, cela signifie que la Sécurité sociale ne commence à verser des indemnités qu’à partir du quatrième jour.
 Relever le nombre de jours de carence tout en luttant contre les « arrêts de complaisance » permettrait donc à la Sécu de faire d’importantes économies sachant que les arrêts maladie lui ont coûté 16 milliards d’euros en 2022, soit 5 milliards de plus qu’en 2010. La caisse nationale d’assurance maladie est aussi la deuxième la plus déficitaire (-8,4 milliards d’euros) après la caisse en charge de l’assurance vieillesse. Et ce déficit devrait légèrement se creuser cette année avant de se stabiliser aux alentours de 8,5 milliards d’euros jusqu’en 2027, d’après le Haut Conseil au financement de la protection sociale.

Intox : « les salaires ont progressé davantage que l’inflation »

Intox : « les salaires ont progressé davantage que l’inflation »

Les Échos, journal sérieux mais forcément proche des intérêts patronaux reprend à son compte des affirmations mensongères émanant du ministère du travail. Ce dernier affirme que les salaires ont progressé plus vite que l’inflation en moyenne en 2023 en France.

La première critique fondamentale c’est que le ministère du travail se fonde sur l’indice des prix à la consommation pour mesurer l’évaluation des salaires. Un indice complètement obsolète compte tenu de la déformation de la nature des achats des ménages et plus généralement des charges mais aussi compte tenu du changement ( parfois forcé) du comportement des consommateurs. La vérité c’est que la hausse des prix en 2023 a été plus proche de 10 % que de 3,6 % comme l’affirme l’INSEE.

Les calculs du ministère du travail relèvent du bricolage politique et méthodologique. Ainsi d’après le ministère du travail, le salaire horaire de base des ouvriers et employés aurait gagné 0,5 % de pouvoir d’achat l’an dernier, contre 0,2 % pour le salaire mensuel de base, selon les données provisoires publiées par le ministère du Travail ce vendredi. Les cadres ont, eux, continué à perdre du pouvoir d’achat sur leur salaire de base.

Toujours d’après le ministère du travail, ces évolutions doivent être mises en regard de l’inflation : les prix à la consommation pour l’ensemble des ménages et hors tabac ont augmenté de 3,6 % entre fin décembre 2022 et fin décembre 2023. Cela représente un gain de pouvoir d’achat sur un an de 0,5 % pour le SHBOE et de 0,2 % pour le SMB.

Notons aussi la supercherie méthodologique qui consiste à utiliser deux fois les augmentations obtenues en 2023 : d’une part pour calculer l’évolution du pouvoir d’achat de l’an passé mais qu’on reprend aussi pour indiquer l’augmentation du pouvoir d’achat en 2024 !

Le raisonnement global repris sans état d’âme par les Échos avait déjà été effectué de la même manière par le Figaro. Objectif commun évidemment : décourager la revendication salariale.

Moins de ministres mais davantage de secrétaires d’État

Moins de ministres mais davantage de secrétaires d’État

Très provisoirement, le président de la république a limité sa liste de ministres à 14. Du coup, il a dû étendre le champ du portefeuille de beaucoup. Justement des champs d’intervention beaucoup trop larges pour être gouvernés de manière sérieuse comme par exemple l’éducation nationale, la santé, le travail sans parler du logement en pleine crise et complètement oublié.

Et pour bien faire comprendre aux Français sa volonté de resserrement ministériel, Macron a a réuni ses ministres la première fois dans un tout petit salon où les ministres étaient serrés comme des sardines.
Mais il est clair que dans les jours qui viennent on va nommer une armée de secrétaires d’État pour réellement mieux se partager les responsabilités et suivre les nombreux dossiers chauds en cours. Les secrétaires d’État seront au moins aussi nombreux et même davantage que les ministres. Peu importe, le symbole du resserrement aura été affiché pendant quelques jours !

L’opinion publique évidemment ne peut pas être dupe de ce petit jeu de construction politique.

Pourtant l’Élysée insiste lourdement auprès des gogos qui n’auraient pas compris le geste historique du resserrement:
« L’endroit est beaucoup plus exigu, et la table présente des dimensions bien moins grandes que celle autour de laquelle les ministres se retrouvent habituellement. Il s’agit d’une première en salon vert qui est rendue possible par la composition historiquement resserrée de ce gouvernement », communique la présidence de la République.

De quoi se demander si véritablement Macron n’est pas complètement hors sol. Peu de Français auront en effet observé cette révolution du « salon vert ».

Commerce extérieur : les voitures électriques font plonger davantage le déficit

Commerce extérieur : les voitures électriques font plonger davantage le déficit

Les voitures électriques plombent la balance commerciale hexagonale. Au total, le solde des voitures 100% électriques a baissé de 3,2 milliards d’euros, sur une moyenne générale en baisse de 3 milliards entre 2017 et 2023. C’est donc bien cette nouvelle motorisation qui tire la balance commerciale vers le bas. À l’inverse, le solde des voitures thermiques augmente globalement de 2,7 milliards d’euros.

Et pour cause, la France a importé beaucoup moins de voitures thermiques, en particulier les diesels, qu’elles n’en a exporté, et ce, à cause de la réglementation européenne. Celle-ci interdit la vente de véhicules neufs thermiques d’ici 2035. En outre, le solde extérieur de la France en voitures, excédentaire au début des années 2000, n’a cessé de se dégrader et devient déficitaire en 2007 jusqu’à atteindre -9,4 Milliards d’euros au 1er semestre 2023.

Commerce extérieur : les voitures électriques font plonger davantage le déficit

Commerce extérieur : les voitures électriques font plonger davantage le déficit

Les voitures électriques plombent la balance commerciale hexagonale. Au total, le solde des voitures 100% électriques a baissé de 3,2 milliards d’euros, sur une moyenne générale en baisse de 3 milliards entre 2017 et 2023. C’est donc bien cette nouvelle motorisation qui tire la balance commerciale vers le bas. À l’inverse, le solde des voitures thermiques augmente globalement de 2,7 milliards d’euros.

Et pour cause, la France a importé beaucoup moins de voitures thermiques, en particulier les diesels, qu’elles n’en a exporté, et ce, à cause de la réglementation européenne. Celle-ci interdit la vente de véhicules neufs thermiques d’ici 2035. En outre, le solde extérieur de la France en voitures, excédentaire au début des années 2000, n’a cessé de se dégrader et devient déficitaire en 2007 jusqu’à atteindre -9,4 Milliards d’euros au 1er semestre 2023.

Zones à faibles émissions (ZFE) :Les pauvres encore davantage exclus à Lyon, Grenoble et Strasbourg

Zones à faibles émissions (ZFE) :Les pauvres encore davantage exclus à Lyon, Grenoble et Strasbourg


D’une certaine manière c’est la double punition pour les moins favorisés qui ne peuvent pas se payer un logement dans le cœur des villes content tenu des prix exorbitants et donc contraints d’habiter mais dans les banlieues mais qui possèdent souvent de vieux véhicules qui progressivement sont interdits d’accès au cœur des métropoles et autres villes.

Des villes de Lyon Grenoble et Strasbourg, dirigée par les écolos, vont donc rendre les conditions d’accès de la ville encore plus difficile pour les pauvres qui possèdent des véhicules anciens comme ceux identifiés comme Crit’Air 4. Après les Crit’Air 5, les Crit’Air 4 seront donc partiellement ou totalement interdites de circuler .

A ce jour, onze métropoles ont commencé à déployer des ZFE, chacune avec son propre calendrier.

Leurs créations résultent de la loi d’orientation des mobilités (LOM) de 2019. Une généralisation en France de ces zones est prévue par la loi d’ici à 2025 dans les 43 agglomérations de plus de 150.000 habitants.

« Chaque année, la pollution de l’air génère environ 40.000 décès prématurés, selon Santé publique France (2021) (et) provoque également quantité d’affections et de maladies chroniques (maladies cardio-vasculaires, asthme…) », rappelle notamment le site de la métropole de Lyon.

Des associations prônent également le soutien au développement des mobilités douces, mais aussi des véhicules intermédiaires, c’est-à-dire ceux en dessous de 600 kilos comme les voitures sans permis type Ami de Citroën. propre.

cette mesure écologique n’est pas populaire. Une vaste consultation en ligne effectuée par le Sénat à ce sujet en juin dernier montre que 86 % des particuliers et 79 % des professionnels sont contre le déploiement de ces zones, évoquant une mesure « discriminante », « injuste » et « excluante ». Et même les associations se rangent du côté des contestataires pour permettre de laisser plus de temps pour « préparer le marché du véhicule d’occasion électrique », justifie Tony Renucci, directeur général de l’association Respire.

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