Archive pour le Tag 'd’autorité'

Société-Violences: un manque d’autorité

Société-Violences: un manque d’autorité

Le rapport entre violences et déficit démocratique


Les phénomènes de violence sont pas nouveaux dans la société. Sur le long terme, le taux de violence a tendance à nettement se réduire avec l’élévation du niveau d’éducation. Toutefois, ces révolutions ne sont pas linéaires, elles subissent notamment des à-coups avec la montée de contradictions y compris dans les pays développés. C’est le cas depuis quelques décennies. En cause, la complexité et l’intensité de la crise dans les domaines économiques, sociaux et sociétaux dont les aspects systémiques sont mal appréciés voire ignorés. Pour parler simplement, la société est encore trop souvent abordée comme un saucisson par tranche dans l’ignorance ou le mépris des interactions entre les différents champs. La crise est aussi identitaire, une crise culturelle, politique et démocratique.

C’est la crise au sens de Gramsci dans la mesure où les anciens modèles sont condamnés à l’obsolescence alors que les nouveaux modèles n’ont pas encore émergé de manière significative. En matière de démocratie, il est clair que le modèle collectiviste , socialiste ou communiste est mort. Il n’est plus en application que dans les pays qui l’imposent par la dictature. De la même manière, l’ultralibéralisme qui répand partout la domination de la financiarisation mondialisée à toute la société va également droit dans le mur non seulement du fait qu’il met en cause les principes de justice mais aussi parce qu’il se heurte à la prise en compte de la problématique environnementale. En France depuis quelques années , les violences enregistrent une poussée de fièvre, violences physiques et verbales . Les exemples plus récents concernent les gilets jaunes, les banlieues ou encore certaines actions contre la réforme des retraites ou la violence quotidienne.

Selon l’OMS, la violence est l’utilisation intentionnelle de la force physique, de menaces à l’encontre des autres ou de soi-même, contre un groupe ou une communauté, qui entraîne ou risque fortement d’entraîner un traumatisme, des dommages psychologiques, des problèmes de développement ou un décès. Il y a bien sûr la violence interpersonnelle, violences contre les personnes, mais aussi les violences politiques et économiques. Elles peuvent être physiques, morales encore psychologiques .

La responsabilité peut être imputée à des groupes, à l’Etat ou à des individus. Certains grands penseurs comme Marx, Engels plus récemment Bourdieu et bien d’autres ont théorisé le contenu de la violence, ses causes et même parfois sa légitimité.

Reste que dans nos sociétés développées, la violence constitue un déni des règles démocratiques. Le problème est cependant de savoir quelles sont les causes de ce déni démocratique. En fait, de nombreux champs de la société ont évolué, l’économie, les technologies, la médecine, l’éducation. Par contre, la démocratie, elle , est restée au stade quasi néandertalien. En gros pour résumer elle se limite au dépôt d’un bulletin de vote dans l’urne une fois tous les cinq ans .

En outre, le choix des candidats est totalement préempté par des groupes de pressions notamment financiers. Pour le vérifier , il suffit de constater l’envolée du coût des campagnes électorales notamment de la principale à savoir l’élection présidentielle. Théoriquement pour cette élection l’enveloppe est limitée à 10 millions mais les candidats dépensent trois à quatre fois plus. Bref, le marketing politique à l’américaine a gagné la France et bien d’autres pays. La plus grande contradiction de la démocratie, c’est que le plus souvent les électeurs ne votent pas pour un candidat mais contre celui qu’ils ne souhaitent pas. Une sorte d’élection par défaut ; quand ce n’est pas le cas , ces sélections s’appuient sur des programmes démagogiques, populistes voire xénophobes.

Depuis plusieurs élections présidentielles, les présidents élus en France le sont par défaut du fait du rejet du Front national. Chaque président n’a représenté en son temps qu’une base électorale de 20 à 25 %. Ce qui provoque ensuite le rejet d’orientation qui n’ont nullement été approuvées politiquement lors du vote. Du coup, l’autorité politique- et même l’autorité de l’État -se trouve largement contestée avec des phénomènes de violence récurrents s’attaquant aussi bien aux bien publics, aux biens privés( le rituel d’incendie de voiture dans les banlieues et de bris de vitrines des commerçants)) qu’aux personnes.

Les partis politiques et syndicats d’extrême-gauche se sont engouffrés dans cette brèche de la violence depuis quelques années pour tenter de compenser le poids de leurs faiblesses politiques dans les urnes. Par ailleurs parfois, des exclus de la transformation économique plus ou moins manipulés par des leaders irresponsables se livrent aussi à certaines violences . Il y a des raisons objectives qui peuvent permettre comprendre ces violences sans pour autant les admettre. Car fondamentalement ce qui est en cause, c’est un fonctionnement démocratique qui ne permet pas de tendre vers un intérêt général prenant en compte tout autant le concept d’efficacité que de justice.

De ce point de vue, les tares constatées au plan national se produisent aussi au plan local où des petits barons confondent aussi trop souvent leur intérêt personnel et l’intérêt collectif. Enfin la démocratie est affectée par le fait que certains technocrates ont transformé le mandat électif en métier. Mais inversement des candidats venus de nulle part, dits de la société civile, n’ont pas fait la preuve de leur compétence et encore moins de leur légitimité politique. Et ce ne sont pas des pseudo conventions citoyennes de personnes choisies au hasard qui vont combler ce déficit et surmonter ces contradictions fondamentales. Bref, la France connaît une très grave crise de légitimité et d’autorité .

Violences: un manque d’autorité légitime

Violences: un manque d’autorité légitime

Un rapport entre violences et déficit démocratique


Les phénomènes de violence sont pas nouveaux dans la société. Sur le long terme, le taux de violence a tendance à nettement se réduire avec l’élévation du niveau d’éducation. Toutefois, ces révolutions ne sont pas linéaires, elles subissent notamment des à-coups avec la montée de contradictions y compris dans les pays développés. C’est le cas depuis quelques décennies. En cause, la complexité et l’intensité de la crise dans les domaines économiques, sociaux et sociétaux dont les aspects systémiques sont mal appréciés voire ignorés. Pour parler simplement, la société est encore trop souvent abordée comme un saucisson par tranche dans l’ignorance ou le mépris des interactions entre les différents champs. La crise est aussi identitaire, une crise culturelle, politique et démocratique.

C’est la crise au sens de Gramsci dans la mesure où les anciens modèles sont condamnés à l’obsolescence alors que les nouveaux modèles n’ont pas encore émergé de manière significative. En matière de démocratie, il est clair que le modèle collectiviste , socialiste ou communiste est mort. Il n’est plus en application que dans les pays qui l’imposent par la dictature. De la même manière, l’ultralibéralisme qui répand partout la domination de la financiarisation mondialisée à toute la société va également droit dans le mur non seulement du fait qu’il met en cause les principes de justice mais aussi parce qu’il se heurte à la prise en compte de la problématique environnementale. En France depuis quelques années , les violences enregistrent une poussée de fièvre, violences physiques et verbales . Les exemples plus récents concernent les gilets jaunes, les banlieues ou encore certaines actions contre la réforme des retraites ou la violence quotidienne.

Selon l’OMS, la violence est l’utilisation intentionnelle de la force physique, de menaces à l’encontre des autres ou de soi-même, contre un groupe ou une communauté, qui entraîne ou risque fortement d’entraîner un traumatisme, des dommages psychologiques, des problèmes de développement ou un décès. Il y a bien sûr la violence interpersonnelle, violences contre les personnes, mais aussi les violences politiques et économiques. Elles peuvent être physiques, morales encore psychologiques .

La responsabilité peut être imputée à des groupes, à l’Etat ou à des individus. Certains grands penseurs comme Marx, Engels plus récemment Bourdieu et bien d’autres ont théorisé le contenu de la violence, ses causes et même parfois sa légitimité.

Reste que dans nos sociétés développées, la violence constitue un déni des règles démocratiques. Le problème est cependant de savoir quelles sont les causes de ce déni démocratique. En fait, de nombreux champs de la société ont évolué, l’économie, les technologies, la médecine, l’éducation. Par contre, la démocratie, elle , est restée au stade quasi néandertalien. En gros pour résumer elle se limite au dépôt d’un bulletin de vote dans l’urne une fois tous les cinq ans .

En outre, le choix des candidats est totalement préempté par des groupes de pressions notamment financiers. Pour le vérifier , il suffit de constater l’envolée du coût des campagnes électorales notamment de la principale à savoir l’élection présidentielle. Théoriquement pour cette élection l’enveloppe est limitée à 10 millions mais les candidats dépensent trois à quatre fois plus. Bref, le marketing politique à l’américaine a gagné la France et bien d’autres pays. La plus grande contradiction de la démocratie, c’est que le plus souvent les électeurs ne votent pas pour un candidat mais contre celui qu’ils ne souhaitent pas. Une sorte d’élection par défaut ; quand ce n’est pas le cas , ces sélections s’appuient sur des programmes démagogiques, populistes voire xénophobes.

Depuis plusieurs élections présidentielles, les présidents élus en France le sont par défaut du fait du rejet du Front national. Chaque président n’a représenté en son temps qu’une base électorale de 20 à 25 %. Ce qui provoque ensuite le rejet d’orientation qui n’ont nullement été approuvées politiquement lors du vote. Du coup, l’autorité politique- et même l’autorité de l’État -se trouve largement contestée avec des phénomènes de violence récurrents s’attaquant aussi bien aux bien publics, aux biens privés( le rituel d’incendie de voiture dans les banlieues et de bris de vitrines des commerçants)) qu’aux personnes.

Les partis politiques et syndicats d’extrême-gauche se sont engouffrés dans cette brèche de la violence depuis quelques années pour tenter de compenser le poids de leurs faiblesses politiques dans les urnes. Par ailleurs parfois, des exclus de la transformation économique plus ou moins manipulés par des leaders irresponsables se livrent aussi à certaines violences . Il y a des raisons objectives qui peuvent permettre comprendre ces violences sans pour autant les admettre. Car fondamentalement ce qui est en cause, c’est un fonctionnement démocratique qui ne permet pas de tendre vers un intérêt général prenant en compte tout autant le concept d’efficacité que de justice.

De ce point de vue, les tares constatées au plan national se produisent aussi au plan local où des petits barons confondent aussi trop souvent leur intérêt personnel et l’intérêt collectif. Enfin la démocratie est affectée par le fait que certains technocrates ont transformé le mandat électif en métier. Mais inversement des candidats venus de nulle part, dits de la société civile, n’ont pas fait la preuve de leur compétence et encore moins de leur légitimité politique. Et ce ne sont pas des pseudo conventions citoyennes de personnes choisies au hasard qui vont combler ce déficit et surmonter ces contradictions fondamentales. Bref, la France connaît une très grave crise de légitimité et d’autorité .

Conflit police-justice: une grave crise d’autorité et de légitimité du politique

Conflit police-justice: une grave crise d’autorité et de légitimité du politique


Au-delà des faits particuliers qui font émerger des contradictions entre le pouvoir politique et la justice, ressurgit le vrai problème de la crise d’autorité et de légitimité du politique.

L’autorité républicaine est en effet en pleine déliquescence et cela depuis des années. Progressivement, on a autorisé des prises de distance avec les règles qui conditionnent la vie en société. Tout commence souvent à l’intérieur des familles incapables de transmettre les valeurs de base puis se prolonge à l’école ou le pédagogisme a triomphé non seulement des programmes mais aussi de la discipline. La lâche suppression du service militaire a terminé le travail de destruction des liens sociétaux. Par parenthèse ce qui a transformé l’armée française en armée échantillonnaire qui serait vite balayée dans le cadre d’un conflit comme celui entre la Russie et l’Ukraine. Pour preuve nos reculs successifs en Afrique face à des ennemis pourtant de moindre importance. L’ensemble de la société s’est finalement accommodé de cette prise de distance avec les règles qui permettent de concilier liberté individuelle et libertés collectives.

La police est mise en cause mais c’est l’État tout entier qui est sur la sellette en raison d’absence d’orientation claire, de moyens et de cohérence.

Le problème de fond, c’est que le politique n’a plus de légitimité. Pour preuve, plus de 50 % des électeurs refusent désormais de voter et nos élus à tous les niveaux sont souvent choisis avec un socle d’électeurs de l’ordre de 10 à 15 %. Et certains des élus se croient investis pour imposer leur idéologie alors qu’ils ne représentent qu’une minorité.

Par ailleurs on a tout fait pour affaiblir les organisations intermédiaires qui permettaient d’entretenir des liens entre le politique et les citoyens. On leur a substitué des organisations fictives composées de technocrates, de courtisans et d’arrivistes.

Du coup dans chacun des secteurs, dans chaque couche de sociétés, l’accumulation de problèmes non traités fait sauter le couvercle de la cocotte-minute un moment donné. Le pays devient le champion du monde des chienlits Un seul exemple, l’économie de la drogue qui pourrit de plus en plus le pays et alimente les actions criminelles désormais dans un peu près l’ensemble des villes françaises et même les villes moyennes. Or le politique est largement responsable de cette situation d’abord parce que non légitime ensuite discrédité par sa politique clientéliste autant que par son immobilisme.

La restauration de cette légitimité est donc de l’autorité qui doit l’accompagner passe nécessairement par un retour aux pratiques démocratiques quand le pouvoir est aujourd’hui aux mains d’aventuriers incompétents, d’idéologues et de courtisans. La crise n’est donc pas celle de la police ou même de la justice mais celle de la société tout entière en panne de repères et de démocratie. Mais certains objecteront peut-être que la France a actuellement les politiques qu’on mérite. Une manière d’acter le déclin global du pays.

Malaise police-justice: une grave crise d’autorité et de légitimité du politique

Malaise police-justice: une grave crise d d’autorité et de légitimité du politique


Au-delà des faits particuliers qui font émerger des contradictions entre le pouvoir politique et la justice, ressurgit le vrai problème de la crise d’autorité et de légitimité du politique.

L’autorité républicaine est en effet en pleine déliquescence et cela depuis des années. Progressivement, on a autorisé des prises de distance avec les règles qui conditionnent la vie en société. Tout commence souvent à l’intérieur des familles incapables de transmettre les valeurs de base puis se prolonge à l’école ou le pédagogisme a triomphé non seulement des programmes mais aussi de la discipline. La lâche suppression du service militaire a terminé le travail de destruction des liens sociétaux. Par parenthèse ce qui a transformé l’armée française en armée échantillonnaire qui serait vite balayée dans le cadre d’un conflit comme celui entre la Russie et l’Ukraine. Pour preuve nos reculs successifs en Afrique face à des ennemis pourtant de moindre importance. L’ensemble de la société s’est finalement accommodé de cette prise de distance avec les règles qui permettent de concilier liberté individuelle et libertés collectives.

La police est mise en cause mais c’est l’État tout entier qui est sur la sellette en raison d’absence d’orientation claire, de moyens et de cohérence.

Le problème de fond, c’est que le politique n’a plus de légitimité. Pour preuve, plus de 50 % des électeurs refusent désormais de voter et nos élus à tous les niveaux sont souvent choisis avec un socle d’électeurs de l’ordre de 10 à 15 %. Et certains des élus se croient investis pour imposer leur idéologie alors qu’ils ne représentent qu’une minorité.

Par ailleurs on a tout fait pour affaiblir les organisations intermédiaires qui permettaient d’entretenir des liens entre le politique et les citoyens. On leur a substitué des organisations fictives composées de technocrates, de courtisans et d’arrivistes.

Du coup dans chacun des secteurs, dans chaque couche de sociétés, l’accumulation de problèmes non traités fait sauter le couvercle de la cocotte-minute un moment donné. Le pays devient le champion du monde des chienlits Un seul exemple, l’économie de la drogue qui pourrit de plus en plus le pays et alimente les actions criminelles désormais dans un peu près l’ensemble des villes françaises et même les villes moyennes. Or le politique est largement responsable de cette situation d’abord parce que non légitime ensuite discrédité par sa politique clientéliste autant que par son immobilisme.

La restauration de cette légitimité est donc de l’autorité qui doit l’accompagner passe nécessairement par un retour aux pratiques démocratiques quand le pouvoir est aujourd’hui aux mains d’aventuriers incompétents, d’idéologues et de courtisans. La crise n’est donc pas celle de la police ou même de la justice mais celle de la société tout entière en panne de repères et de démocratie. Mais certains objecteront peut-être que la France a actuellement les politiques qu’on mérite. Une manière d’acter le déclin global du pays.

Malaise de la police: conséquence d’une grave crise de d’autorité et de légitimité du politique

Malaise de la police: conséquence d’une grave crise de d’autorité et de légitimité du politique


Au-delà des faits particuliers qui font émerger des contradictions entre le pouvoir politique et la justice, ressurgit le vrai problème de la crise d’autorité et de légitimité du politique.

L’autorité républicaine est en effet en pleine déliquescence et cela depuis des années. Progressivement, on a autorisé des prises de distance avec les règles qui conditionnent la vie en société. Tout commence souvent à l’intérieur des familles incapables de transmettre les valeurs de base puis se prolonge à l’école ou le pédagogisme a triomphé non seulement des programmes mais aussi de la discipline. La lâche suppression du service militaire a terminé le travail de destruction des liens sociétaux. Par parenthèse ce qui a transformé l’armée française en armée échantillonnaire qui serait vite balayée dans le cadre d’un conflit comme celui entre la Russie et l’Ukraine. Pour preuve nos reculs successifs en Afrique face à des ennemis pourtant de moindre importance. L’ensemble de la société s’est finalement accommodé de cette prise de distance avec les règles qui permettent de concilier liberté individuelle et libertés collectives.

La police est mise en cause mais c’est l’État tout entier qui est sur la sellette en raison d’absence d’orientation claire, de moyens et de cohérence.

Le problème de fond, c’est que le politique n’a plus de légitimité. Pour preuve, plus de 50 % des électeurs refusent désormais de voter et nos élus à tous les niveaux sont souvent choisis avec un socle d’électeurs de l’ordre de 10 à 15 %. Et certains des élus se croient investis pour imposer leur idéologie alors qu’ils ne représentent qu’une minorité.

Par ailleurs on a tout fait pour affaiblir les organisations intermédiaires qui permettaient d’entretenir des liens entre le politique et les citoyens. On leur a substitué des organisations fictives composées de technocrates, de courtisans et d’arrivistes.

Du coup dans chacun des secteurs, dans chaque couche de sociétés, l’accumulation de problèmes non traités fait sauter le couvercle de la cocotte-minute un moment donné. Le pays devient le champion du monde des chienlits Un seul exemple, l’économie de la drogue qui pourrit de plus en plus le pays et alimente les actions criminelles désormais dans un peu près l’ensemble des villes françaises et même les villes moyennes. Or le politique est largement responsable de cette situation d’abord parce que non légitime ensuite discrédité par sa politique clientéliste autant que par son immobilisme.

La restauration de cette légitimité est donc de l’autorité qui doit l’accompagner passe nécessairement par un retour aux pratiques démocratiques quand le pouvoir est aujourd’hui aux mains d’aventuriers incompétents, d’idéologues et de courtisans. La crise n’est donc pas celle de la police ou même de la justice mais celle de la société tout entière en panne de repères et de démocratie. Mais certains objecteront peut-être que la France a actuellement les politiques qu’on mérite. Une manière d’acter le déclin global du pays.

La révolte dans la police révèle une grave crise d’autorité et de légitimité du politique

La révolte dans la police révèle une grave crise d’autorité et de légitimité du politique


Au-delà des faits individuels qui font émerger des contradictions entre le pouvoir politique et la justice, ressurgit le vrai problème de la crise d’autorité et de légitimité du politique.

L’autorité républicaine est en effet en pleine déliquescence et cela depuis des années. Progressivement, on a autorisé des prises de distance avec les règles qui conditionnent la vie en société. Tout commence souvent à l’intérieur des familles incapables de transmettre les valeurs de base puis se prolonge à l’école ou le pédagogisme a triomphé non seulement des programmes mais aussi de la discipline. La lâche suppression du service militaire a terminé le travail de destruction des liens sociétaux. Par parenthèse ce qui a transformé l’armée française en armée échantillonnaire qui serait vite balayée dans le cadre d’un conflit comme celui entre la Russie et l’Ukraine. Pour preuve nos reculs successifs en Afrique face à des ennemis pourtant de moindre importance. L’ensemble de la société s’est finalement accommodé de cette prise de distance avec les règles qui permettent de concilier liberté individuelle et libertés collectives.

La police est mise en cause mais c’est l’État tout entier qui est sur la sellette en raison d’absence d’orientation claire, de moyens et de cohérence.

Le problème de fond, c’est que le politique n’a plus de légitimité. Pour preuve, plus de 50 % des électeurs refusent désormais de voter et nos élus à tous les niveaux sont souvent choisis avec un socle d’électeurs de l’ordre de 10 à 15 %. Et certains des élus se croient investis pour imposer leur idéologie alors qu’ils ne représentent qu’une minorité.

Par ailleurs on a tout fait pour affaiblir les organisations intermédiaires qui permettaient d’entretenir des liens entre le politique et les citoyens. On leur a substitué des organisations fictives composées de technocrates, de courtisans et d’arrivistes.

Du coup dans chacun des secteurs, dans chaque couche de sociétés, l’accumulation de problèmes non traités fait sauter le couvercle de la cocotte-minute un moment donné. Le pays devient le champion du monde des chienlits. Or le politique est largement responsable de cette situation d’abord parce que non légitime ensuite discrédité par sa politique clientéliste autant que par son immobilisme.

La restauration de cette légitimité est donc de l’autorité qui doit l’accompagner passe nécessairement par un retour aux pratiques démocratiques quand le pouvoir est aujourd’hui aux mains d’aventuriers incompétents, d’idéologues et de courtisans. La crise n’est donc pas celle de la police ou même de la justice mais celle de la société tout entière en panne de repères et de démocratie. Mais certains objecteront peut-être que la France a actuellement les politiques qu’on mérite. Une manière d’acter le déclin global du pays.

Violences -Politique de l’excuse ou politique d’autorité

Violences -Politique de l’excuse ou politique d’autorité

D’une certaine manière, les événements relatifs aux émeutes dans les quartiers ont largement été instrumentalisés à droite comme à gauche au point d’en être ridicule. Pour schématiser à outrance, la gauche trouve des excuses sociales à la violence tandis que la droite propose l’ordre et la répression comme réponse.

Des postures évidemment caricaturales qui visent dans les deux cas à renforcer l’image politique de chacun des deux camps.

Pourtant on ne saurait opposer la prise en compte des réalités sociales et sociétales à celle du respect des lois républicaines et de la culture française.

On ne peut en effet d’abord fermer les yeux sur la création de zones de non-droit avec des populations entassées désormais sous la domination culturelle des trafiquants de drogue, du communautarisme et d’une sorte de sous-culture. La gauche en négligeant ces aspects manque à son devoir premier de prendre en charge les réalités sociales. C’est d’ailleurs de cette manière qu’elle s’est peu à peu discréditée et qu’elle a ainsi favorisé le transfert vers le Front National.

D’un autre côté, la droite ne peut se satisfaire de répondre uniquement par le rétablissement de l’ordre et la répression. Elle doit aussi prendre en compte les aspects sociaux culturels et l’abandon de ces quartiers au misérabilisme social, éducatif et plus généralement sociétal.

Justement ce qu’avait pris en compte le rapport Borloo qui avait cerné la problématique globale et surtout élaborer l’analyse et les orientations avec les acteurs.

Précisément ce qui manque aujourd’hui au gouvernement actuel qui a prit l’habitude de marcher sur le ventre des organisations intermédiaires grâce à l’esprit d’efficacité de sa gouvernance ultra verticale. Le problème est que la composition sociologique de la majorité faite surtout de petits-bourgeois est encore plus incompétente que les majorités qui l’ont précédé.

Faire l’impasse sur des facteurs applicatifs qui interagissent entre n’est pas seulement une faute culturelle mais aussi une faute politique. Ainsi par exemple ne pas tenir compte des graves erreurs de la politique migratoire et des ratés complets d’intégration discrédite toute analyse pertinente.

D’une certaine manière, les événements relatifs aux émeutes dans les quartiers ont largement été instrumentalisés à droite comme à gauche au point d’en être ridicule. Pour schématiser à outrance, la gauche trouve des excuses sociales à la violence tandis que la droite propose l’ordre et la répression comme réponse.

Des postures évidemment caricaturales qui visent dans les deux cas à renforcer l’image politique de chacun des deux camps.

Pourtant on ne saurait opposer la prise en compte des réalités sociales et sociétales à celle du respect des lois républicaines et de la culture française.

On ne peut en effet d’abord fermer les yeux sur la création de zones de non-droit avec des populations entassées désormais sous la domination culturelle des trafiquants de drogue, du communautarisme et d’une sorte de sous-culture. La gauche en négligeant ces aspects manque à son devoir premier de prendre en charge les réalités sociales. C’est d’ailleurs de cette manière qu’elle s’est peu à peu discréditée et qu’elle a ainsi favorisé le transfert vers le Front National.

D’un autre côté, la droite ne peut se satisfaire de répondre uniquement par le rétablissement de l’ordre et la répression. Elle doit aussi prendre en compte les aspects sociaux culturels et l’abandon de ces quartiers au misérabilisme social, éducatif et plus généralement sociétal.

Justement ce qu’avait pris en compte le rapport Borloo qui avait cerné la problématique globale et surtout élaborer l’analyse et les orientations avec les acteurs.

Précisément ce qui manque aujourd’hui au gouvernement actuel qui a prit l’habitude de marcher sur le ventre des organisations intermédiaires grâce à l’esprit d’efficacité de sa gouvernance ultra verticale. Le problème est que la composition sociologique de la majorité faite surtout de petits-bourgeois est encore plus incompétente que les majorités qui l’ont précédé.

Faire l’impasse sur des facteurs applicatifs qui interagissent entre n’est pas seulement une faute culturelle mais aussi une faute politique. Ainsi par exemple ne pas tenir compte des graves erreurs de la politique migratoire et des ratés complets d’intégration discrédite toute analyse pertinente.

Emeutes -Politique de l’excuse ou politique d’autorité

Emeutes -Politique de l’excuse ou politique d’autorité

D’une certaine manière, les événements relatifs aux émeutes dans les quartiers ont largement été instrumentalisés à droite comme à gauche au point d’en être ridicule. Pour schématiser à outrance, la gauche trouve des excuses sociales à la violence tandis que la droite propose l’ordre et la répression comme réponse.

Des postures évidemment caricaturales qui visent dans les deux cas à renforcer l’image politique de chacun des deux camps.

Pourtant on ne saurait opposer la prise en compte des réalités sociales et sociétales à celle du respect des lois républicaines et de la culture française.

On ne peut en effet d’abord fermer les yeux sur la création de zones de non-droit avec des populations entassées désormais sous la domination culturelle des trafiquants de drogue, du communautarisme et d’une sorte de sous-culture. La gauche en négligeant ces aspects manque à son devoir premier de prendre en charge les réalités sociales. C’est d’ailleurs de cette manière qu’elle s’est peu à peu discréditée et qu’elle a ainsi favorisé le transfert vers le Front National.

D’un autre côté, la droite ne peut se satisfaire de répondre uniquement par le rétablissement de l’ordre et la répression. Elle doit aussi prendre en compte les aspects sociaux culturels et l’abandon de ces quartiers au misérabilisme social, éducatif et plus généralement sociétal.

Justement ce qu’avait pris en compte le rapport Borloo qui avait cerné la problématique globale et surtout élaborer l’analyse et les orientations avec les acteurs.

Précisément ce qui manque aujourd’hui au gouvernement actuel qui a prit l’habitude de marcher sur le ventre des organisations intermédiaires grâce à l’esprit d’efficacité de sa gouvernance ultra verticale. Le problème est que la composition sociologique de la majorité faite surtout de petits-bourgeois est encore plus incompétente que les majorités qui l’ont précédé.

Faire l’impasse sur des facteurs applicatifs qui interagissent entre n’est pas seulement une faute culturelle mais aussi une faute politique. Ainsi par exemple ne pas tenir compte des graves erreurs de la politique migratoire et des ratés complets d’intégration discrédite toute analyse pertinente.

D’une certaine manière, les événements relatifs aux émeutes dans les quartiers ont largement été instrumentalisés à droite comme à gauche au point d’en être ridicule. Pour schématiser à outrance, la gauche trouve des excuses sociales à la violence tandis que la droite propose l’ordre et la répression comme réponse.

Des postures évidemment caricaturales qui visent dans les deux cas à renforcer l’image politique de chacun des deux camps.

Pourtant on ne saurait opposer la prise en compte des réalités sociales et sociétales à celle du respect des lois républicaines et de la culture française.

On ne peut en effet d’abord fermer les yeux sur la création de zones de non-droit avec des populations entassées désormais sous la domination culturelle des trafiquants de drogue, du communautarisme et d’une sorte de sous-culture. La gauche en négligeant ces aspects manque à son devoir premier de prendre en charge les réalités sociales. C’est d’ailleurs de cette manière qu’elle s’est peu à peu discréditée et qu’elle a ainsi favorisé le transfert vers le Front National.

D’un autre côté, la droite ne peut se satisfaire de répondre uniquement par le rétablissement de l’ordre et la répression. Elle doit aussi prendre en compte les aspects sociaux culturels et l’abandon de ces quartiers au misérabilisme social, éducatif et plus généralement sociétal.

Justement ce qu’avait pris en compte le rapport Borloo qui avait cerné la problématique globale et surtout élaborer l’analyse et les orientations avec les acteurs.

Précisément ce qui manque aujourd’hui au gouvernement actuel qui a prit l’habitude de marcher sur le ventre des organisations intermédiaires grâce à l’esprit d’efficacité de sa gouvernance ultra verticale. Le problème est que la composition sociologique de la majorité faite surtout de petits-bourgeois est encore plus incompétente que les majorités qui l’ont précédé.

Faire l’impasse sur des facteurs applicatifs qui interagissent entre n’est pas seulement une faute culturelle mais aussi une faute politique. Ainsi par exemple ne pas tenir compte des graves erreurs de la politique migratoire et des ratés complets d’intégration discrédite toute analyse pertinente.

Emeutes -Politique de l’excuse ou politique d’autorité : le clivage caricatural

Emeutes -Politique de l’excuse ou politique d’autorité : le clivage caricatural

D’une certaine manière, les événements relatifs aux émeutes dans les quartiers ont largement été instrumentalisés à droite comme à gauche au point d’en être ridicule. Pour schématiser à outrance, la gauche trouve des excuses sociales à la violence tandis que la droite propose l’ordre et la répression comme réponse.

Des postures évidemment caricaturales qui visent dans les deux cas à renforcer l’image politique de chacun des deux camps.

Pourtant on ne saurait opposer la prise en compte des réalités sociales et sociétales à celle du respect des lois républicaines et de la culture française.

On ne peut en effet d’abord fermer les yeux sur la création de zones de non-droit avec des populations entassées désormais sous la domination culturelle des trafiquants de drogue, du communautarisme et d’une sorte de sous-culture. La gauche en négligeant ces aspects manque à son devoir premier de prendre en charge les réalités sociales. C’est d’ailleurs de cette manière qu’elle s’est peu à peu discréditée et qu’elle a ainsi favorisé le transfert vers le Front National.

D’un autre côté, la droite ne peut se satisfaire de répondre uniquement par le rétablissement de l’ordre et la répression. Elle doit aussi prendre en compte les aspects sociaux culturels et l’abandon de ces quartiers au misérabilisme social, éducatif et plus généralement sociétal.

Justement ce qu’avait pris en compte le rapport Borloo qui avait cerné la problématique globale et surtout élaborer l’analyse et les orientations avec les acteurs.

Précisément ce qui manque aujourd’hui au gouvernement actuel qui a prit l’habitude de marcher sur le ventre des organisations intermédiaires grâce à l’esprit d’efficacité de sa gouvernance ultra verticale. Le problème est que la composition sociologique de la majorité faite surtout de petits-bourgeois est encore plus incompétente que les majorités qui l’ont précédé.

Faire l’impasse sur des facteurs applicatifs qui interagissent entre n’est pas seulement une faute culturelle mais aussi une faute politique. Ainsi par exemple ne pas tenir compte des graves erreurs de la politique migratoire et des ratés complets d’intégration discrédite toute analyse pertinente.

Société-Politique de l’excuse ou politique d’autorité : le clivage caricatural

Société-Politique de l’excuse ou politique d’autorité : le clivage caricatural

D’une certaine manière, les événements relatifs aux émeutes dans les quartiers ont largement été instrumentalisés à droite comme à gauche au point d’en être ridicule. Pour schématiser à outrance, la gauche trouve des excuses sociales à la violence tandis que la droite propose l’ordre et la répression comme réponse.

Des postures évidemment caricaturales qui visent dans les deux cas à renforcer l’image politique de chacun des deux camps.

Pourtant on ne saurait opposer la prise en compte des réalités sociales et sociétales à celle du respect des lois républicaines et de la culture française.

On ne peut en effet d’abord fermer les yeux sur la création de zones de non-droit avec des populations entassées désormais sous la domination culturelle des trafiquants de drogue, du communautarisme et d’une sorte de sous-culture. La gauche en négligeant ces aspects manque à son devoir premier de prendre en charge les réalités sociales. C’est d’ailleurs de cette manière qu’elle s’est peu à peu discréditée et qu’elle a ainsi favorisé le transfert vers le Front National.

D’un autre côté, la droite ne peut se satisfaire de répondre uniquement par le rétablissement de l’ordre et la répression. Elle doit aussi prendre en compte les aspects sociaux culturels et l’abandon de ces quartiers au misérabilisme social, éducatif et plus généralement sociétal.

Justement ce qu’avait pris en compte le rapport Borloo qui avait cerné la problématique globale et surtout élaborer l’analyse et les orientations avec les acteurs.

Précisément ce qui manque aujourd’hui au gouvernement actuel qui a prit l’habitude de marcher sur le ventre des organisations intermédiaires grâce à l’esprit d’efficacité de sa gouvernance ultra verticale. Le problème est que la composition sociologique de la majorité faite surtout de petits-bourgeois est encore plus incompétente que les majorités qui l’ont précédé.

Faire l’impasse sur des facteurs applicatifs qui interagissent entre n’est pas seulement une faute culturelle mais aussi une faute politique. Ainsi par exemple ne pas tenir compte des graves erreurs de la politique migratoire et des ratés complets d’intégration discrédite toute analyse pertinente.

Politique de l’excuse ou politique d’autorité : le clivage caricatural

Politique de l’excuse ou politique d’autorité : le clivage caricatural

D’une certaine manière, les événements relatifs aux émeutes dans les quartiers ont largement été instrumentalisés à droite comme à gauche au point d’en être ridicule. Pour schématiser à outrance, la gauche trouve des excuses sociales à la violence tandis que la droite propose l’ordre et la répression comme réponse.

Des postures évidemment caricaturales qui visent dans les deux cas à renforcer l’image politique de chacun des deux camps.

Pourtant on ne saurait opposer la prise en compte des réalités sociales et sociétales à celle du respect des lois républicaines et de la culture française.

On ne peut en effet d’abord fermer les yeux sur la création de zones de non-droit avec des populations entassées désormais sous la domination culturelle des trafiquants de drogue, du communautarisme et d’une sorte de sous-culture. La gauche en négligeant ces aspects manque à son devoir premier de prendre en charge les réalités sociales. C’est d’ailleurs de cette manière qu’elle s’est peu à peu discréditée et qu’elle a ainsi favorisé le transfert vers le Front National.

D’un autre côté, la droite ne peut se satisfaire de répondre uniquement par le rétablissement de l’ordre et la répression. Elle doit aussi prendre en compte les aspects sociaux culturels et l’abandon de ces quartiers au misérabilisme social, éducatif et plus généralement sociétal.

Justement ce qu’avait pris en compte le rapport Borloo qui avait cerné la problématique globale et surtout élaborer l’analyse et les orientations avec les acteurs.

Précisément ce qui manque aujourd’hui au gouvernement actuel qui a prit l’habitude de marcher sur le ventre des organisations intermédiaires grâce à l’esprit d’efficacité de sa gouvernance ultra verticale. Le problème est que la composition sociologique de la majorité faite surtout de petits-bourgeois est encore plus incompétente que les majorités qui l’ont précédé.

Faire l’impasse sur des facteurs applicatifs qui interagissent entre n’est pas seulement une faute culturelle mais aussi une faute politique. Ainsi par exemple ne pas tenir compte des graves erreurs de la politique migratoire et des ratés complets d’intégration discrédite toute analyse pertinente.

Macron en panne d’autorité et de vision

Politique: Macron en panne d’autorité et de vision

Dans de nombreux champs régaliens, le gouvernement est en panne complète d’autorité. En cause, la complexité de l’environnement sur le plan économique, géopolitique, environnemental et sociétal.En outre, la voix du président est de plus en plus floue et inaudible

À cela s’ajoute une panne de vision et le président de la république est contraint de slalomer entre des problèmes conjoncturels. Ainsi par exemple s’exprime-t-il sur les questions de pouvoir d’achat qui normalement doive relever du premier ministre ou du ministre des finances mais surtout des entreprises. Le rôle d’un président n’est pas de s’immiscer dans cette problématique de négociation.

Il doit se situer au-dessus de la mêlée et orienter le débat sur la question du partage de la valeur dans les entreprises entre investissements, actionnaires et salariés. En renvoyant ce problème dans le cadre du conseil national de la Refondation ( Donc par parenthèse plus personne ne parle), Macron enterre de cette problématique essentielle. On pourrait multiplier les exemples de l’attentisme du président par exemple encore sur les questions de sécurité, d’immigration ou d’enseignement ( ou le ministre en cause choisit de strictement ne rien faire pour ne pas créer de réactions) alors que le pays souffre d’une dramatique baisse du niveau scolaire et d’un manque de qualification.

Par exemple concernant la discussion sur le budget 2023, brusquement la discussion s’est interrompue avec l’utilisation du 49–3. Il est vrai que le débat était en train de s’engluer dans un nombre incalculable d’amendements plus ou moins contradictoires et même discutés au sein même de la majorité.De toute manière ce budget soit rapidement caduque en raison des perspectives de quasi récession, des difficultés croissantes des entreprises faces aux coûts de l’énergie et donc d’une nouvelle dérive des dépenses

Du coup concernant la sécurité sociale, le couperet est tombé immédiatement pour mettre fin au bavardage considéré comme inutile avec un nouveau recours aux 49 -3. Ce budget ne fixe pas d’orientation très précise concernant la maîtrise de l’inflation problème numéro un qui affecte gravement le pouvoir d’achat des consommateurs. Or c’est la question économique centrale avec un recul du pouvoir d’achat d’au moins 3 % en 2023, la consommation des ménages va diminuer et la France sans doute retomber en récession. Une récession qui sera en plus accompagnée d’une inflation structurelle qui va donc s’installer dans le temps. Sur le plan économique, la pire des situations.

Les ménages sont particulièrement mécontents de la gestion de cette crise inflationniste par le gouvernement à hauteur de 80 % des sondés. Mais d’autres éléments sont à prendre en compte comme la crise d’autorité également et de clarté concernant la prise en charge des problèmes de sécurité, de santé , d’enseignement, d’immigration un peu partout. Pour résumer la ligne du gouvernement c’est surtout une forme de tolérance qui confine au laxisme.

Le sentiment général dans la population est que ce gouvernement n’a pas de ligne directrice, de vision claire pour l’avenir et qu’il navigue à vue en fonction des événements. On a eu confirmation de ce sentiment lors de la gestion de la crise de l’énergie gérée avec plus de 15 jours de retard et beaucoup d’hésitations.

De la même manière, le pouvoir dans l’éducation hésite à engager un train de réformes alors que le pays souffre cruellement d’un abaissement dramatique du niveau des élèves et d’un manque de qualification ; d’où la crise de recrutement de personnel qualifié dans les entreprises. On pourrait multiplier les exemples dans d’autres champs régaliens. Macron semble actuellement un peu perdu et les sondages témoignent de sa baisse de popularité. La première ministre n’a jamais réussi vraiment à s’imposer ; elle parvient à se maintenir avec un discours aussi modéré que flou. Elle incarne pas en tout cas l’autorité et la crédibilité qui serait nécessaire en cette période de crise.

Politique: Macron en panne d’autorité

Politique: Macron en panne d’autorité

Dans de nombreux champs régaliens, le gouvernement est en panne complète d’autorité. En cause, la complexité de l’environnement sur le plan économique, géopolitique, environnemental et sociétal.En outre, la voix du président est de plus en plus floue et inaudible

Par exemple concernant la discussion sur le budget 2023, brusquement la discussion s’est interrompue avec l’utilisation du 49–3. Il est vrai que le débat était en train de s’engluer dans un nombre incalculable d’amendements plus ou moins contradictoires et même discutés au sein même de la majorité.De toute manière ce budget soit rapidement caduque en raison des perspectives de quasi récession, des difficultés croissantes des entreprises faces aux coûts de l’énergie et donc d’une nouvelle dérive des dépenses

Du coup concernant la sécurité sociale, le couperet est tombé immédiatement pour mettre fin au bavardage considéré comme inutile avec un nouveau recours aux 49 -3. Ce budget ne fixe pas d’orientation très précise concernant la maîtrise de l’inflation problème numéro un qui affecte gravement le pouvoir d’achat des consommateurs. Or c’est la question économique centrale avec un recul du pouvoir d’achat d’au moins 3 % en 2023, la consommation des ménages va diminuer et la France sans doute retomber en récession. Une récession qui sera en plus accompagnée d’une inflation structurelle qui va donc s’installer dans le temps. Sur le plan économique, la pire des situations.

Les ménages sont particulièrement mécontents de la gestion de cette crise inflationniste par le gouvernement à hauteur de 80 % des sondés. Mais d’autres éléments sont à prendre en compte comme la crise d’autorité également et de clarté concernant la prise en charge des problèmes de sécurité, de santé , d’enseignement, d’immigration un peu partout. Pour résumer la ligne du gouvernement c’est surtout une forme de tolérance qui confine au laxisme.

Le sentiment général dans la population est que ce gouvernement n’a pas de ligne directrice, de vision claire pour l’avenir et qu’il navigue à vue en fonction des événements. On a eu confirmation de ce sentiment lors de la gestion de la crise de l’énergie gérée avec plus de 15 jours de retard et beaucoup d’hésitations.

De la même manière, le pouvoir dans l’éducation hésite à engager un train de réformes alors que le pays souffre cruellement d’un abaissement dramatique du niveau des élèves et d’un manque de qualification ; d’où la crise de recrutement de personnel qualifié dans les entreprises. On pourrait multiplier les exemples dans d’autres champs régaliens. Macron semble actuellement un peu perdu et les sondages témoignent de sa baisse de popularité. La première ministre n’a jamais réussi vraiment à s’imposer ; elle parvient à se maintenir avec un discours aussi modéré que flou. Elle incarne pas en tout cas l’autorité et la crédibilité qui serait nécessaire en cette période de crise.

Macron en panne d’autorité

Macron en panne d’autorité

Dans de nombreux champs régaliens, le gouvernement est en panne complète d’autorité. En cause, la complexité de l’environnement sur le plan économique, géopolitique, environnemental et sociétal.En outre, la voix du président est de plus en plus floue et inaudible

Par exemple concernant la discussion sur le budget 2023, brusquement la discussion s’est interrompue avec l’utilisation du 49–3. Il est vrai que le débat était en train de s’engluer dans un nombre incalculable d’amendements plus ou moins contradictoires et même discutés au sein même de la majorité.De toute manière ce budget soit rapidement caduque en raison des perspectives de quasi récession, des difficultés croissantes des entreprises faces aux coûts de l’énergie et donc d’une nouvelle dérive des dépenses

Du coup concernant la sécurité sociale, le couperet est tombé immédiatement pour mettre fin au bavardage considéré comme inutile avec un nouveau recours aux 49 -3. Ce budget ne fixe pas d’orientation très précise concernant la maîtrise de l’inflation problème numéro un qui affecte gravement le pouvoir d’achat des consommateurs. Or c’est la question économique centrale avec un recul du pouvoir d’achat d’au moins 3 % en 2023, la consommation des ménages va diminuer et la France sans doute retomber en récession. Une récession qui sera en plus accompagnée d’une inflation structurelle qui va donc s’installer dans le temps. Sur le plan économique, la pire des situations.

Les ménages sont particulièrement mécontents de la gestion de cette crise inflationniste par le gouvernement à hauteur de 80 % des sondés. Mais d’autres éléments sont à prendre en compte comme la crise d’autorité également et de clarté concernant la prise en charge des problèmes de sécurité, de santé , d’enseignement, d’immigration un peu partout. Pour résumer la ligne du gouvernement c’est surtout une forme de tolérance qui confine au laxisme.

Le sentiment général dans la population est que ce gouvernement n’a pas de ligne directrice, de vision claire pour l’avenir et qu’il navigue à vue en fonction des événements. On a eu confirmation de ce sentiment lors de la gestion de la crise de l’énergie gérée avec plus de 15 jours de retard et beaucoup d’hésitations.

De la même manière, le pouvoir dans l’éducation hésite à engager un train de réformes alors que le pays souffre cruellement d’un abaissement dramatique du niveau des élèves et d’un manque de qualification ; d’où la crise de recrutement de personnel qualifié dans les entreprises. On pourrait multiplier les exemples dans d’autres champs régaliens. Macron semble actuellement un peu perdu et les sondages témoignent de sa baisse de popularité. La première ministre n’a jamais réussi vraiment à s’imposer ; elle parvient à se maintenir avec un discours aussi modéré que flou. Elle incarne pas en tout cas l’autorité et la crédibilité qui serait nécessaire en cette période de crise.

Un gouvernement en panne d’autorité

Un gouvernement en panne d’autorité

Dans de nombreux champs régaliens, le gouvernement est en panne complète d’autorité. En cause, la complexité de l’environnement sur le plan économique, géopolitique, environnemental et sociétal.

Par exemple concernant la discussion sur le budget 2023, brusquement la discussion s’est interrompue avec l’utilisation du 49–3. Il est vrai que le débat était en train de s’engluer dans un nombre incalculable d’amendements plus ou moins contradictoires et même discutés au sein même de la majorité.De toute manière ce budget soit rapidement caduque en raison des perspectives de quasi récession, des difficultés croissantes des entreprises faces aux coûts de l’énergie et donc d’une nouvelle dérive des dépenses

Du coup concernant la sécurité sociale, le couperet est tombé immédiatement pour mettre fin au bavardage considéré comme inutile avec un nouveau recours aux 49 -3. Ce budget ne fixe pas d’orientation très précise concernant la maîtrise de l’inflation problème numéro un qui affecte gravement le pouvoir d’achat des consommateurs. Or c’est la question économique centrale avec un recul du pouvoir d’achat d’au moins 3 % en 2023, la consommation des ménages va diminuer et la France sans doute retomber en récession. Une récession qui sera en plus accompagnée d’une inflation structurelle qui va donc s’installer dans le temps. Sur le plan économique, la pire des situations.

Les ménages sont particulièrement mécontents de la gestion de cette crise inflationniste par le gouvernement à hauteur de 80 % des sondés. Mais d’autres éléments sont à prendre en compte comme la crise d’autorité également et de clarté concernant la prise en charge des problèmes de sécurité, de santé , d’enseignement, d’immigration un peu partout. Pour résumer la ligne du gouvernement c’est surtout une forme de tolérance qui confine au laxisme.

Le sentiment général dans la population est que ce gouvernement n’a pas de ligne directrice, de vision claire pour l’avenir et qu’il navigue à vue en fonction des événements. On a eu confirmation de ce sentiment lors de la gestion de la crise de l’énergie gérée avec plus de 15 jours de retard et beaucoup d’hésitations.

De la même manière, le pouvoir dans l’éducation hésite à engager un train de réformes alors que le pays souffre cruellement d’un abaissement dramatique du niveau des élèves et d’un manque de qualification ; d’où la crise de recrutement de personnel qualifié dans les entreprises. On pourrait multiplier les exemples dans d’autres champs régaliens. Macron semble actuellement un peu perdu et les sondages témoignent de sa baisse de popularité. La première ministre n’a jamais réussi vraiment à s’imposer ; elle parvient à se maintenir avec un discours aussi modéré que flou. Elle incarne pas en tout cas l’autorité et la crédibilité qui serait nécessaire en cette période de crise.

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