Archive pour le Tag 'Dati'

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Epinglée, Rachida Dati menace son camp

 

Comme souvent quand elle est attaquée Rachida Dati menace, cette fois son camp soupçonné d’avoir alimenté les critiques de la cour des comptes sur sa gestion au ministère de la justice. Rachida Dati pur produit des intrigues du système qui a fréquenté de près la gauche, la droite les grands patrons après un parcours universitaire et professionnel pour le moins chaotique a toujours entretenu des liens troubles avec l’argent et le pouvoir  . mais l’égérie qui beaucoup intrigué est elle-même victime de réglements de comptes au sens propre comme au sens figuré. Elle ne semble plus aussi soutenue comme autrefois et comme les anciens courtisans de l’ancien régime subit en faiat la versatilité des humeurs des princes qu’elle a servis.   »Je ne me laisserai pas faire. » Rachida Dati ne décolère pas. L’ancienne Garde des Sceaux s’est défendu jeudi sur BFMTV après les révélations du Point, concernant des dépenses indues quand elle était garde des Sceaux. Selon l’hebdomadaire, l’ex-ministre a été récemment épinglée par une décision de la Cour des comptes, datant du 22 janvier, pour près de 9.000 euros de dépenses indues, notamment de vêtements, et 180.000 euros de dépenses de communication pour la période allant de 2007 à 2010, lorsqu’elle était au ministre de la Justice. Dans cette décision consultable sur son site Internet, la Cour des comptes a refusé au total près de 190.000 euros de dépenses. Sur les 9.000 euros, une partie des sommes ont servi à acheter des foulards Hermès, assure Le Point. La décision fait état notamment de « factures d’achat de vêtements de luxe, de consommation de boissons ou de repas, d’achats de pâtisserie, de journaux, de produits de pharmacie », mentionné sous un bordereau « frais de réception et de représentation ». Les 180.000 autres euros ont servi à des dépenses de communication dans le cadre de contrats passés avec la société GiacomettiPéron. Cette société est impliquée dans une enquête du pôle financier sur les dépenses de sondages et de communication sous le gouvernement Fillon. Pierre Giacometti est un conseiller proche de Nicolas Sarkozy.

 

Rachida Dati : la diva coincée par la cour des comptes

Rachida Dati :   la diva coincée par la cour des comptes

 

 

Rachida Dati, c’est un peu comme Sarkozy, elle a un rapport maladif avec le luxe et l’argent . Après l’affaire des frais de téléphone, des amendes, du procès en paternité du patron de Barrière, c’est la gestion de son ancien ministère qui est en cause;   C’est en tout cas ce que démontre la cour des comptes  qui dénonce les dépenses somptuaires de Rachida Dati quand elle était ministre. Alors que Rachida Dati s’était faite remarquer pour ses tenues luxueuses lorsqu’elle était ministre, la Cour des Comptes a soigneusement épluché ses frais de représentation pendant son passage place Vendôme. Il apparait que plusieurs dépenses n’ont pas été suffisamment ou du tout justifiées. Dans une liste publiée en annexe de son arrêt, la Cour recense plus de 1500 euros de vêtements et accessoires, près de 1400 euros de « cadeau de luxe », plusieurs notes de restaurant ou de vins, et une myriade de factures de « pâtisserie » oscillant entre 4 et 312 euros. Le Point évoque l’achat d’un foulard Hermès aux frais de l’Etat sans que l’arrêt de la Cour des Comptes ne le mentionne. Mais le plus gros de la somme invalidée concerne toutefois un tout autre dossier. Le gendarme des finances de l’Etat a découvert que le ministère de la Justice avait passé en 2008 un contrat avec la société Giacometti-Péron et associés, également impliquée dans l’affaire des sondages de l’Élysée. Ce contrat a permis à la société de Pierre Giacometti, un proche de l’ancien président, de toucher 51.029,36 euros en 2008 et 127.573,40 euros en 2009. Problème: aucune des factures produites par l’entreprise ne justifiait les prestations exécutées.

 

 

UMP : Dati privée de téléphone

UMP : Dati privée de téléphone

 

C’est l’austérité et Dati sera privée de téléphone. Une manière de faire des économie aussi de couper le sifflet à l’intrigante bavarde qui facturait 10 000 euros de frais téléphonique alors qu’elle ne payait même pas ses cotisations. L’UMP n’échappe donc  pas à la crise. « La situation est grave mais pas désespérée ». Voici comment le nouveau trésorier, Daniel Fasquelle, a jugé la situation économique du parti dans Le Monde. Nicolas Sarkozy s’est lancé un nouveau défi : redresser les comptes de l’Union et surtout assainir les finances en sabrant les dépenses superflues. Téléphone, fil AFP, voiture… Toutes les économies sont bonnes à prendre rue de Vaugirard. Une renégociation qui a permis à l’UMP d’abaisser sa facture de téléphone de 300.000 euros à « seulement » 70.000 euros par an.  Nadine Morano devra elle aussi se passer de son petit plaisir. Son abonnement aux dépêches AFP, qui lui permettent de suivre l’actualité, sera résilié. Les relations ne semblent plus au beau fixe entre elle et Nicolas Sarkozy alors qu’elle est montée au créneau ces dernières semaines pour dénoncer le nouvel organigramme de l’UMP. Personne n’échappe à la règle. Marc-Philippe Daubresse, ex-secrétaire général adjoint, a lui perdu son véhicule alors que le parc automobile pourrait être considérablement amoindri. Les salaires devraient aussi être coupés puisque l’UMP souhaite réduire le nombre de permanents et limiter les revenus à 6.000 euros par mois. L’UMP et Nicolas Sarkozy ont donc un but précis. Donner des gages aux quatre banques qui ont accepté de maintenir le parti à flot durant les trois prochaines années alors qu’il croulait sous les dettes après de nombreuses années de dépenses à tout va, après l’affaire Bygmalion et le système des fausses factures pour financer la campagne présidentielle de 2012.

 

Sarkozy à Rachida Dati : « Commence par payer tes cotisations ! »

Sarkozy à Rachida Dati : « Commence par payer tes cotisations ! »

 

 

Ça vole bas à l’UMP ;  gonflé Sarkozy de reprocher à Rachida Dati de ne par payer ses cotisations alors que lui vient juste de régler les pénalités de sa campagne à l’UMP (364 000 euros).Au lendemain de la sortie de son ancienne ministre de la Justice, qui mettait en garde Nicolas Sarkozy, « Le Figaro » raconte quelle a été la répartie du nouveau président de l’UMP. Depuis son retour dans l’arène politique, rien ne se passe comme aurait souhaité Nicolas Sarkozy. Après l’opposition et le bon score de Bruno Le Maire à l’élection de la présidence de l’UMP, voilà que ses plus fidèles soutiens sortent du rang.  La première a été Nadine Morano, déçue et indignée par la place que lui réservait le nouveau patron de la rue Vaugirard dans l’organigramme du parti. Puis Rachida Dati, qui a affirmé sa liberté de parole jeudi 11 décembre. L’ancienne garde des Sceaux a déclaré qu’elle ne souhaitait pas « vivre une campagne fondée sur les cantines halal et la burqa ». « J’attends de savoir la ligne », a-t-elle expliqué, avant de répondre à la proposition que lui aurait fait l’ancien chef de l’État.  La réponse de ce dernier ne s’est pas fait attendre. « Commence par payer tes cotisations », lui aurait lancé Nicolas Sarkozy, raconte Le Figaro La maire du VIIe arrondissement de Paris ne seraient en effet pas à jour, selon l’UMP, comme l’avait rappelé Bruno Le Maire en novembre dernier. Rachida Dati, fidèle soutien de Nicolas Sarkozy qu’elle a connu lorsqu’il était maire de Neuilly, a gravi les échelons à ses côtés. D’abord au ministère de l’Intérieur, avant d’être sa porte-parole lors de la campagne présidentielle de 2007. À cette époque, le principal conseiller du candidat s’appelle Henri Guaino. En 2012, le président sortant lui a trouvé un remplaçant, à la faveur de Patrick Buisson, partisan d’une ligne plus droitière. Depuis qu’il est revenu dans le grand bain politico-médiatique, l’ancien chef de l’État n’a pas vraiment clarifié sa ligne politique. Les nominations de Nathalie Kosciusko-Morizet et Laurent Wauquiez sont la parfaite illustration du grand écart tenté par le chef de l’UMP, entre les centristes et une frange plus conservatrice du parti.

 

Rachida Dati : « Non à une campagne avec les cantines halal ou la burqa»

Rachida Dati : « Non à  une campagne avec les cantines halal ou la burqa»

 

«J’ai déjà donné.» déclare Rachida Dati qui régit sans doute au fait qu’elle n’est pas prévue actuellement dans l’organigramme de la direction de l’UMP (elle pourrait n’occuper qu’un poste assez secondaire, comme Morano°). Sur le fond elle pose cependant de vraies questions sur la cohérence de la ligne politique entre Vauquiez, le nouveau Besson et NKM la libérale.  En revanche, elle demande de se concentrer sur des aspects économiques et sur l’identité. «Regardez la polémique des crèches, la France a un problème avec son identité», estime-t-elle.  À l’UMP, «la ligne politique, aujourd’hui, elle n’est pas établie, insiste-t-elle. Mais on y travaille». Pour qu’elle s’engage très directement auprès du nouveau président, «il faudra qu’on ait les axes sur lesquels on va». «Il faut revaloriser notre identité française», réclame l’élue européenne. Et en tant que maire d’arrondissement, elle s’en prend également aux rythmes scolaires et demande une disparition de la carte scolaire. «C’est un facteur aggravant d’inégalités», considère-t-elle.  «Les collaborateurs soutiendront la ligne, … sinon, on n’accepte pas d’être collaborateur». Rachida Dati  Des conditions qu’elle fixait déjà au moment du retour de Nicolas Sarkozy dans l’arène politique, en septembre. Rachida Dati se disait prête à le soutenir, sous condition. Dans une tribune publiée par Le Figaro, titrée «Nicolas Sarkozy, oui, mais…», elle déclarait qu’il «y a eu des erreurs, notamment au moment de la campagne de 2012, où l’affirmation de notre identité a pu être perçue comme un facteur de divisions, ou interprétée comme une ‘droitisation’.» Elle demande également à ce que cessent les querelles entre ténors de l’UMP autour de Nicolas Sarkozy. En creux, elle critique la nouvelle vice-présidente du parti, Nathalie Kosciusko-Morizet, qui a fait savoir lors de sa nomination qu’elle avait une «totale liberté de parole». Pour Rachida Dati, «les collaborateurs soutiendront la ligne» de Nicolas Sarkozy. «Sinon, on n’accepte pas d’être collaborateur». Une version rue de Vaugirard du «un ministre, ça ferme sa gueule, si ça veut l’ouvrir, ça démissionne».

Factures téléphoniques UMP: Dati confirme mais dénonce

Factures téléphoniques UMP: Dati confirme mais dénonce

 

En faitt implicitement Dati confirme qu’elle a bien faiat payer des frais téléphoniques à L’UMP mais elle dénonce les délateurs. Elle vise en particulier Fillon et Juppé les concurrents de Sarkozy, ce dernier  qu’elle soutient.  L’UMP rembourserait 10.000 euros de factures téléphoniques par an à Rachida Dati, selon « Le Canard Enchaîné ». L’eurodéputée dénonce des « pseudos révélations-calomnieuses » et s’en prend à François Fillon et à Alain Juppé. L’audit financier de l’UMP a été dévoilé ce mardi 8 juillet. Le parti a accumulé une dette de 74,5 millions d’euros à la fin 2013. Et parmi les dépenses, il y aurait d’importantes factures téléphoniques de Rachida Dati. « Les montants annoncés par la presse, je les découvre et les ignore », a affirme l’eurodéputé dans un sms envoyé à l’AFP. Selon Le Canard Enchaîné, qui a pu se procurer les annexes de l’audit, l’UMP payerait 10.000 euros par an pour deux téléphones mobiles de l’ancienne ministre de la Justice. Sur Twitter, Rachida Dati affirme cependant que ce ne sont pas des dépenses personnelles. « L’UMP a pris en charge une ligne de téléphone et un abonnement au ‘fil AFP’, en ma qualité de responsable de l’UMP », écrit-elle. Autre révélation du Canard Enchaîné : une des collaboratrices de Rachida Dati serait rémunérée par le parti à hauteur de 7.000 euros par mois. L’eurodéputée dément également : Rachida Dati attaque de front ces informations du Canard Enchaîné, qu’elle juge calomnieuses. Selon l’ancienne ministre de Nicolas Sarkozy, « tout ce qui sort, qui est distillé minutieusement dans la presse, ça ne vient pas de la gauche ». Elle trouve même « curieux » que « les boules puantes ne visent qu’un seul ‘camp’ : Hortefeux, Bertrand, Raffarin, Daubresse, Copé… ». Ce serait donc, selon elle, les partisans déclarés de Nicolas Sarkozy qui seraient la cible de ces attaques. L’eurodéputée interpelle directement Alain Juppé et François Fillon, membres du triumvirat à la tête de l’UMP et considérés comme des adversaires de l’ancien président. « Je leur demande si leurs frais ont été pris ou sont pris en charge par l’UMP : leurs montants et leurs natures (sic) », martèle-t-elle dans un tweet. Elle demande « la transparence sur le financement de leur think-tank, leur club ou micro-parti ».

 

Rachida Dati : 10 000 euros de factures de téléphones payées par l’UMP

Rachida Dati : 10 000 euros de factures de téléphones payées par l’UMP

 

 

Rachida Dati aime l’argent, le luxe c’est évident  ( elle aurait bien voulu que sa fille soit reconnue par le grand patron Barrière), au point que ses indemnités d’élue ne lui suffisent plus. Elle a fait payer 10 000 euros de téléphone par l’UMP d’après le Canard enchainé. L’eurodéputée dénonce des « pseudos révélations-calomnieuses » et s’en prend à François Fillon et à Alain Juppé. L’audit financier de l’UMP a été dévoilé ce mardi 8 juillet. Le parti a accumulé une dette de 74,5 millions d’euros à la fin 2013. Et parmi les dépenses, il y aurait d’importantes factures téléphoniques de Rachida Dati. « Les montants annoncés par la presse, je les découvre et les ignore », a affirme l’eurodéputé dans un sms envoyé à l’AFP. Selon Le Canard Enchaîné, qui a pu se procurer les annexes de l’audit, l’UMP payerait 10.000 euros par an pour deux téléphones mobiles de l’ancienne ministre de la Justice. Sur Twitter, Rachida Dati affirme cependant que ce ne sont pas des dépenses personnelles. « L’UMP a pris en charge une ligne de téléphone et un abonnement au ‘fil AFP’, en ma qualité de responsable de l’UMP », écrit-elle.  Autre révélation du Canard Enchaîné : une des collaboratrices de Rachida Dati serait rémunérée par le parti à hauteur de 7.000 euros par mois. L’eurodéputée dément également :

 

FN-Brignoles : un avertissement pour la droite (Dati)

FN-Brignoles : un avertissement pour la droite (Dati)

Lucidité aussi pour Dati (comme pour Sapin), Brignoles constitue un véritable avertissement. « Cette victoire est d’abord une défaite de la gauche et du gouvernement », écrit Rachida Dati dans un communiqué à propos de la victoire du FN à la cantonale de Brignoles (Var). « Si les électeurs se tournent vers le FN, c’est qu’ils sont désespérés de cette gauche qui remet en cause, une par une, les valeurs fondamentales de notre pacte républicain et fissure notre identité ».Mais l’ex-ministre UMP juge aussi que cette victoire sonne comme un avertissement à la droite. « Nous avons aussi une part de responsabilité », écrit-elle. « Nous devons nous poser la question : pourquoi n’avons-nous pas été capables d’apparaître comme la seule alternative crédible à la gauche? », selon la maire du VIIème arrondissement. »Le front républicain est un leurre et une provocation faite aux Français qui souffrent et qui désespèrent de ne pas être considérés par une élite politique toujours autant intéressée par ses ambitions personnelles à leurs dépens ! Ces divisions et ces attaques internes fratricides affaiblissent et rendent inaudibles le travail que nous menons à l’UMP pour rassembler et convaincre les Français de nous faire à nouveau confiance », avertit l’ex-Garde des Sceaux. « Aux yeux des Français, nous risquons d’être réduit à un parti de la division et de notables déconnectés ! Même s’il s’agit d’une élection cantonale partielle, entendons l’avertissement de Brignoles ! », demande Rachida Dati. « Arrêtons de parler de 2017 et stop à la valse des egos : les municipales, c’est demain !  »

 

FN : Dati contre « le front républicain »

FN : Dati contre   »le front républicain »

Rachida Dati, l’un des vice-présidentes de l’UMP, refuse le front républicain pour juguler la montée du Front national, cette alliance entre la droite et la gauche qui est à ses yeux « un déni de démocratie ». Alors que l’UMP et le FN s’affronteront dimanche au second tour d’une élection législative partielle dans le Lot-et-Garonne (le candidat PS ayant été éliminé au premier tour), Mme Dati s’interroge, lundi dans un communiqué, sur les raisons d’un score « aussi fort » du candidat FN. « Le FN ne serait rien si la droite renouait avec le peuple, avec ses préoccupations, si elle offrait un projet de société alternatif crédible comme nous l’avions fait lors de la campagne de 2007″, affirme la vice-présidente de l’UMP. Selon Rachida Dati, également maire du VIIe arrondissement de Paris et députée européenne, « il faut nous remettre au travail pour incarner au niveau des idées, mais aussi au niveau des personnes et des comportements, un renouveau, réincarner un vrai mouvement populaire ». « Et cessons de brandir ‘le front républicain’ qui n’a plus d’autre sens aux yeux des Français qu’un déni de démocratie qui depuis 30 ans ne permet pas de juguler les souffrances », ajoute-t-elle. Elle estime que « le front républicain est devenu pour le PS un moyen de dire que le peuple a tort. Ce n’est ni un programme, ni une ambition pour La France ! Les Français le savent et ont le sentiment que cet appel au +front républicain+ n’est qu’un moyen pour la classe politique de masquer ses échecs et défendre ses seuls intérêts ». « Cette trêve du débat entre la droite et la gauche face au FN n’a pas de sens. Aider la démocratie et la République supposerait pour la gauche de reconnaître son échec politique et sociologique », estime Rachida Dati.

 

Dati déboutée de sa demande d’interdiction de publication d’une BD sur la recherche du père de sa fille

Dati déboutée de sa demande d’interdiction de publication d’une BD sur la recherche du père de sa fille

 

 

 

L’ex-garde des Sceaux Rachida Dati, qui réclamait l’interdiction de publication d’une bande dessinée, à paraître jeudi, la mettant en scène ainsi que sa fille Zohra, 4 ans, a été déboutée mercredi de l’ensemble de ses demandes, selon une décision consultée par l’AFP. Le juge des référés de Versailles (Yvelines) a débouté la députée européenne (UMP) et maire du VIIe arrondissement de Paris « pour elle-même et es qualité de représentante légale de sa fille mineure, de ses demandes d’interdiction de la publication, d’encart et de demandes d’indemnité ». Le juge a estimé que la BD intitulée « Aux noms des pères » et éditée chez 12 bis « ne dépasse pas les lois de la satire politique ».

 

Bernard Debré : Dati est candidate à tout ! Elle tire sur tout ce qui bouge !

Bernard Debré : Dati est candidate à tout ! Elle tire sur tout ce qui bouge !

Bernard Debré n’est pas  tendre avec Rachida Dati, prétendante à la mairie de Paris. « Rachida Dati est candidate à tout. Elle a déjà assez fait de mal en tapant sur tout ce qui bouge. Tout ce qui bouge. Elle a fait un mal fou. Vous allez voir les noms d’oiseaux qu’elle va utiliser vis-à-vis de Nathalie Kosciusko-Morizet. Qu’elle arrête de faire des petites phrases. Elle a un égo tellement surdimensionné que ça en devient un petit peu fatigant », a déclaré le député UMP de Paris.Dans une interview au Figaro, vendredi, la maire du VIIe arrondissement avait affirmé que la très probable candidature de NKM à la mairie de Paris « concernera aussi les habitants de Longjumeau dont elle est maire, ceux de l’Essonne qui l’ont élue députée et les militants UMP qui ont fait sa campagne ». Bernard Debré, de son côté, défend cette candidature venant de « quelqu’un (…) de l’extérieur pour pacifier les divisions internes de l’UMP Paris ». Rachida Dati s’est déclaré favorable à des primaires « le plus tôt » possible pour désigner le candidat UMP à la mairie de Paris : « Je serai candidate à des primaires ouvertes et transparentes : sur le mode d’élection, sur la sélection des candidats ainsi que sur les résultats… Pas question de primaires fermées ni même d’un vote électronique qui ne garantirait pas la transparence. Des primaires fermées re­viendraient à une cooptation dont je vous laisse deviner le résultat. L’UMP ferait un bond en arrière. »Contrairement à Nathalie Kosciusko-Morizet, Bernard Debré ne souhaite pas primaires ouvertes : « Je suis opposé à des primaires ouvertes. Qui va s’y intéresser, qui va aller voter au mois de mai ou juin à plusieurs mois des municipales ? Impossible ! Et avec quel argent ? Il n’y a plus d’argent. Et puis à l’UMP on a montré qu’on n’était pas capable d’ organiser ce type de scrutin. »

 

Dati recherche un mari et la mairie de Paris

Dati recherche un mari et la mairie de Paris

Dati ne doute de rien, surtout pas d’elle-même. Archétype des carriéristes politiques sans scrupule et  sans conviction, elle recherche en même temps un mari, plus exactement un père pour sa fille (un milliardaire, le patron du groupe Barrière auquel elle intente un procès en reconnaissance de paternité ! voir article) et en même temps annonce sa candidature à la Mairie de Paris. Chic et choc, l’incompétence, la mauvaise foi et la veulerie en même temps. Dati dont l’élégance n’est qu’apparente en profite pour insulter Fillon.  La guerre Dati-Fillon n’est pas prête d’être enterrée. Dans Le Parisien Magazine de vendredi, la maire du VIIe arrondissement de Paris a annoncé qu’elle sollicitera l’investiture du premier parti d’opposition pour les municipales à Paris en 2014, et a taclé l’ancien premier ministre. « Oui », Rachida Dati sera candidate quoi qu’il advienne aux primaires de l’UMP pour la mairie de Paris en 2014, « je suis maire du VIIe arrondissement, conseillère de Paris, impliquée dans les grands dossiers parisiens », a-t-elle justifié. En septembre dernier, elle affirmait déjà au JDD qu’elle serait « sans doute candidate à des primaires ouvertes ». A propos de François Fillon, qui lui avait ravi l’investiture lors des élections législatives en juin, et qui n’a pas écarté lui aussi être candidat à la mairie, elle a expliqué que « les militants, et les Français plus globalement, le voient maintenant tel qu’il est, susceptible et orgueilleux ». Pour l’ancienne ministre, la rivalité Copé-Fillon illustre « deux générations et deux conceptions de l’UMP qui s’affrontent », dit-elle au Parisien Magazine. « Est-ce qu’on veut un parti replié sur lui-même ou ouvert aux adhérents? Fait-on le choix d’un parti de notables ou de militants? », a-t-elle résumé. Au secours, on croît rêver !

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