Archive pour le Tag 'd’artifice'

Allemagne : Des feux d’artifice font cinq morts

Allemagne : Des feux d’artifice font cinq morts

 

Cinq personnes sont décédées accidentellement lors de la nuit du Nouvel An dans plusieurs régions d’Allemagne en allumant des feux d’artifice puissants, et un policier a été grièvement blessé en étant visé par un de ces engins à Berlin, ont indiqué ce mercredi 1er janvier les autorités. 

Dans la capitale allemande, où les forces de l’ordre avaient mobilisé un important dispositif dans la crainte de débordements, quelque 330 personnes ont été interpellées, a précisé la police. Au total, 13 agents des forces de l’ordre ont été blessés, dont un grièvement, qui a dû être opéré.

Les Allemands célèbrent traditionnellement le Nouvel An par un recours particulièrement intense aux feux d’artifice, qui nourrit régulièrement un débat sur l’interdiction des engins pyrotechniques les plus puissants, en raison chaque année d’un nombre élevé de décès et blessures, mais aussi de la pollution et des nuisances sonores qu’ils provoquent.

Sécurité- Interdire les feux d’artifice du 14 juillet ?

Sécurité- Interdire les feux d’artifice du 14 juillet ?

La première ministre promet d’assurer la sécurité des Français les 13 et 14 juillet. De son côté Macron propose d’attendre les festivités du 14 juillet pour vérifier si on constate réellement une accalmie durable dans les quartiers. Le problème c’est qu’il risque d’être trop tard car un certain nombre de voyous risquent de profiter des feux d’artifice pour à nouveau détruire des biens publics ou privés et pour piller. Du coup, quelques villes pour l’instant ont décidé d’annuler ces feux d’artifice. Les pouvoirs publics seraient bien avisés de généraliser cette annulation d’un feu d’artifice qui risque en plus d’augmenter encore de manière sensible les centaines de voitures brûlées habituellement.

Le gouvernement est « très mobilisé pour assurer la sécurité des 13 et 14 juillet », et se montre particulièrement vigilant sur la question des mortiers d’artifice, a notamment promis Élisabeth Borne. Déjà ce mardi, le président Emmanuel Macron appelait à ne pas crier victoire trop vite, après la baisse des interpellations.

« On verra ce que donneront déjà les 13 et 14 juillet prochains et encore les mois qui viennent », disait-il lors d’un déplacement dans le 17e arrondissement de Paris.
Le chef de l’État pointait là aussi du doigt la date de la fête nationale comme moment à risque pour l’exécutif et les forces de l’ordre.

Dans plusieurs villes, les festivités habituelles du 13 et du 14 juillet ont ainsi été annulées, notamment à Strasbourg, Nîmes, Perpignan, ou encore à Montargis, dans le Loiret. Une décision qualifiée de plus « raisonnable » par le maire LR de cette dernière ville, Benoît Digeon, invité ce vendredi de BFMTV.

Plutôt que de renoncer aux festivités, des villes comme Toulouse ou Lyon, ont choisi de suivre les instructions du ministre de l’Intérieur et mettre en place un dispositif de sécurité avec des mesures telles que l’interdiction de transporter des armes, du carburant, des produits inflammables ou de l’alcool sur la voie publique.

Interdire les feux d’artifice du 14 juillet ?

Interdire les feux d’artifice du 14 juillet ?

Macron propose d’attendre les festivités du 14 juillet pour vérifier si on constate réellement une accalmie durable dans les quartiers. Le problème c’est qu’il risque d’être trop tard car un certain nombre de voyous risquent de profiter des feux d’artifice pour à nouveau détruire des biens publics ou privés et pour piller. Du coup, quelques villes pour l’instant ont décidé d’annuler ces feux d’artifice. Les pouvoirs publics seraient bien avisés de généraliser cette annulation d’un feu d’artifice qui risque en plus d’augmenter encore de manière sensible les centaines de voitures brûlées habituellement.

Le gouvernement est « très mobilisé pour assurer la sécurité des 13 et 14 juillet », et se montre particulièrement vigilant sur la question des mortiers d’artifice, a notamment promis Élisabeth Borne. Déjà ce mardi, le président Emmanuel Macron appelait à ne pas crier victoire trop vite, après la baisse des interpellations.

« On verra ce que donneront déjà les 13 et 14 juillet prochains et encore les mois qui viennent », disait-il lors d’un déplacement dans le 17e arrondissement de Paris.
Le chef de l’État pointait là aussi du doigt la date de la fête nationale comme moment à risque pour l’exécutif et les forces de l’ordre.

Dans plusieurs villes, les festivités habituelles du 13 et du 14 juillet ont ainsi été annulées, notamment à Strasbourg, Nîmes, Perpignan, ou encore à Montargis, dans le Loiret. Une décision qualifiée de plus « raisonnable » par le maire LR de cette dernière ville, Benoît Digeon, invité ce vendredi de BFMTV.

Plutôt que de renoncer aux festivités, des villes comme Toulouse ou Lyon, ont choisi de suivre les instructions du ministre de l’Intérieur et mettre en place un dispositif de sécurité avec des mesures telles que l’interdiction de transporter des armes, du carburant, des produits inflammables ou de l’alcool sur la voie publique.

Feu d’artifice 14 juillet : pour l’annulation à l’exemple du Bas-Rhin

Feu d’artifice 14 juillet : pour l’annulation à l’exemple du Bas-Rhin

La sécheresse dans nombre de régions militerait pour l’annulation des feux d’artifice du 14 juillet; plus encore les récentes émeutes pourraient renaître à l’occasion de la fête nationale. Sans parler du rituel des incendies de voitures qui chaque année bat des records. Dans le Bas-Rhin les maires sont incités à annuler les spectacles pyrotechniques, en raison du risque de feux de forêt. Dans le Haut-Rhin, un arrêté interdit les feux d’artifice jusqu’au 10 juillet.

La Ville de Strasbourg a annoncé dans la soirée du 5 juillet, « prendre acte de la recommandation préfectorale » et a décidé d’annuler le feu d’artifice prévu place de l’Etoile. « La Fête nationale, moment de cohésion et d’unité nationale, sera célébrée à Strasbourg », précise la municipalité, sans donner pour le moment plus de détails quant aux événements organisés.

Dans le Haut-Rhin, l’arrêté interdisant les feux d’artifice est applicable jusqu’au 10 juillet 2023. Les services de l’État indiquent examiner, en lien avec les acteurs de la prévention des feux de forêt, la possibilité d’en publier une version moins restrictive. Cela permettrait aux manifestations prévues les 8 et 9 juillet de se tenir dans certaines conditions.

Pour mémoire, l’an passé, le feu d’artifice de Ribeauvillé dans le Haut-Rhin avait provoqué une dizaine de départs d’incendies dans les vignes en raison de la sécheresse.

Feu d’artifice : Tête arrachée par un mortier

Feu d’artifice : Tête arrachée par un mortier

 «Un jeune homme de 25 ans est décédé à la suite de la manipulation d’un mortier» de feu d’artifice à Boofzheim à l’occasion du réveillon du Jour de l’An, a indiqué la préfecture. Cette dernière avait évoqué dans un premier temps «un arrêt cardiaque». Un homme de 24 ans, qui l’accompagnait, a eu lui «le visage abîmé» et est hospitalisé. «Ils étaient dans la rue en train de manipuler» le mortier quand l’accident s’est produit, a-t-on appris auprès de la gendarmerie. Trois autres personnes ont été blessées à la main dans d’autres communes du Bas-Rhin.

La préfecture du Bas-Rhin, comme celle du Haut-Rhin, avait interdit la vente et l’achat de feux d’artifice pendant tout le mois de décembre. Néanmoins, à minuit, pétards et mortiers ont résonné dans toute l’agglomération de Strasbourg. Des habitants les tiraient de chez eux, le couvre-feu interdisant de sortir depuis 20 heures.

14 Juillet: feux d’artifice, violences urbaines et voitures brûlées dans toute la France

14 Juillet: feux d’artifice, violences urbaines et voitures brûlées dans toute la France

 

 

Traditionnellement on a assisté–parfois d’un peu plus loin– aux feux d’artifice des 13 et 14 juillet. Des moments de convivialité, de joie mais aussi un prétexte pour la violence. En effet encore davantage cette année des débordements, des mises en danger d’autrui et des destructions de matériel ont été signalées. Des biens publics mais aussi des biens privés en ont été les victimes. Celà concerne bien sûr des quartiers sensibles notamment de banlieue et aussi même des centres-villes avec aussi une volonté d’affronter les forces de l’ordre.

Notons d’ailleurs que depuis 2019, le ministère de l’intérieur pour étouffer ce phénomène a décidé de ne plus établir le moindre bilan de ces violences du 14 juillet. Ainsi par exemple on a décidé qu’on ne signalerait plus le nombre de voitures brûlées, un chiffre qui tournait autour de 800 en 2018 et qui sans doute doit aujourd’hui être proche de 1000.

Un phénomène devenu tellement banal que plus personne n’en parle. Un phénomène tellement habituel puisqu’en  moyenne ,pour un jour normal ,une centaine de voitures au moins sont brûlées en France. La presse locale, les élus et autres institutionnels s’entendent largement pour mettre un voile pudique sur un phénomène de société dont ils sont en partie responsable pour leur collusion plus ou moins tacite avec les auteurs de ces délits.

 

Un peu partout en France, les témoignages abondent d’occupants d’appartements ayant essuyé de tels tirs. Une menace d’autant plus présente que les jeunes délinquants ont pris l’habitude de commencer leurs «activités» plusieurs jours avant la fête nationale, à la grande exaspération de beaucoup d’habitants de leurs quartiers.

Les banlieues des grandes villes, en l’occurrence les régions parisienne, lyonnaise et lilloise, ont été les plus touchées. Des voitures ont ainsi été brûlées à Roubaix (Nord). Des feux d’artifice sauvages ont été observés dans plusieurs arrondissements lyonnais. Des feux, incendies de voitures et tirs de mortiers ont eu lieu à Villeurbanne, Vaulx-en-Velin et Vénissieux. À Rillieux-la-Pape, des groupes de jeunes se sont opposés aux forces de l’ordre avec jets de projectiles et ripostes de gaz lacrymogènes.

Mais c’est comme toujours en région parisienne que l’on a déploré le plus grand nombre de faits. Avec, outre le gymnase, un bus incendié à Nanterre dans la cité Pablo-Picasso, connue pour son trafic de drogue. Selon la préfecture des Hauts-de-Seine, «un ou plusieurs individus ont fait sortir un chauffeur de son bus avant de mettre le feu au véhicule». Toujours dans les Hauts-de-Seine, Suresnes et Villeneuve-la-Garenne, marquées par des violences urbaines pendant le confinement, ont notamment été touchées. Comme Saint-Denis, Villetaneuse, Aubervilliers ou Bobigny en Seine-Saint-Denis ou encore les 12e, 14e, 15e, 18e, 19e et 20e arrondissements de Paris.

 




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