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Destruction du MH17: La Russie responsable d’après l’ONU

Destruction du MH17: La Russie responsable d’après l’ONU

L’agence de l’ONU pour l’aviation civile a estimé lundi 12 mai que la Russie était responsable du crash du MH17 en 2014 au-dessus de l’Ukraine, suscitant aussitôt des appels à des «réparations» pour les familles des victimes.

Le 17 juillet 2014, le Boeing 777, qui reliait Amsterdam à Kuala Lumpur, a été abattu par un missile sol-air BUK de fabrication russe au-dessus du territoire aux mains des séparatistes prorusses, tuant 298 passagers et membres d’équipage. Parmi eux, 196 Néerlandais, 43 Malaisiens et 38 Australiens. Un tribunal néerlandais a condamné, par contumace, en 2022, trois hommes à la perpétuité pour meurtre et pour avoir joué un rôle dans la destruction de l’avion.

Mais la Russie a toujours nié toute implication dans l’incident.

L’équipe d’enquêteurs internationaux des Pays-Bas, d’Australie, de Malaisie, de Belgique et d’Ukraine avait conclu en 2023 qu’il existait de «fortes indications» selon lesquelles le président russe Vladimir Poutine avait approuvé la fourniture du missile qui a abattu l’avion.

Le patron de la Fed est un imbécile d’après Trump

Le patron de la Fed est un imbécile d’après Trump

Une nouvelle fois le président américain ne fait pas dans la dentelle pour critiquer le président de la banque fédérale des États-Unis ; il a déclaré: «Jerome Powell est un IMBÉCILE, qui n’a pas la moindre idée de ce qu’il se passe.»

Contrairement aux injonctions du président américain, la Réserve fédérale américaine (Fed)-Qui est indépendante– a décidé de prolonger le statu quo sur ses taux, se disant dans l’incapacité de prévoir où va l’économie américaine, face aux droits de douane imposés par Donald Trump. Il y a «tellement d’incertitudes» autour des répercussions de ces nouvelles taxes sur les importations que la Fed préfère ne pas bouger ses taux pour l’instant, a déclaré Jerome Powell en conférence de presse mercredi.

Les déclarations présidentielles «n’affectent pas du tout notre travail», a de son côté assuré Jerome Powell mercredi. «Nous considérons, a-t-il ajouté, toujours uniquement les données économiques, les perspectives, la balance des risques et c’est tout. Une manière aussi de renvoyer le président américain à ses contradictions et à son inconsistance.

Economie mondiale -Net ralentissement de la croissance d’après le FMI

Economie mondiale -Net ralentissement de la croissance d’après le FMI


Le fonds monétaire international prévoit un net ralentissement de la croissance au plan mondial. Le Fonds monétaire international (FMI) a abaissé sa prévision de croissance pour la France à 0,6 % cette année, en recul de 0,2 point par rapport aux dernières prévisions de janvier. L’institution s’attend à une croissance de 1% en 2026, en recul de 0,1 point par rapport à ses précédentes estimations.

Pour la zone euro, sa prévision est révisée à 0,8 % cette année, soit un recul de 0,2 point. Les principales économies de la zone euro voient leurs perspectives diminuées : le FMI anticipe une croissance nulle en Allemagne et de 0,4 % en Italie, en baisse de 0,2 à 0,3 point par rapport aux estimations de janvier.

L’économie des États-Unis devrait progresser de 1,8 % cette année, soit une baisse de 0,9 point par rapport à sa précédente estimation de janvier. Le Canada pourrait s’attendre à une croissance de 1,4 % (-0,6 point). Le Mexique, dont l’économie dépend fortement des importations vers son voisin américain, pourrait même se retrouver en récession, avec une contraction de 0,3 % (-1,7 point). Le FMI a également abaissé à 4 % sa prévision de croissance pour la Chine en 2025, s’éloignant de l’objectif officiel de 5 % fixé par Pékin et de la projection initiale du FMI de 4,6%.

Economie-Une désescalade possible des droits de douane d’après les États-Unis ?

Economie-Une désescalade possible des droits de douane d’après les États-Unis ?

C’est le secrétaire au trésor américain, M. Bessent, qui le dit les surtaxes douanières agissent comme un embargo commercial bloquant les échanges de biens entre la Chine et les États-Unis.

Le secrétaire au Trésor a considéré que ces surtaxes agissaient comme un embargo commercial bloquant les échanges de biens de part et d’autre, a-t-on indiqué de même source. Dans ce contexte aux airs d’impasse, M. Bessent a estimé qu’il devrait prochainement y avoir une désescalade.

Quelques heures plus tard, la porte-parole de l’exécutif américain Karoline Leavitt a affirmé que les discussions pour trouver un accord commercial avec Pékin avançaient «très bien». «Toutes les parties souhaitent qu’un accord commercial soit conclu, et les choses vont dans le bon sens», a-t-elle déclaré.Une affirmation complètement démentie par la Chine !

Le président américain avait déjà déclaré la semaine dernière que des pourparlers étaient en cours avec la Chine. Le seul problème c’est que la Chine ne fait pas preuve du même optimisme et a même décidé d’engager un rapport de force pour lutter contre ces taxes douanières invraisemblables qui tuent les échanges et la croissance.

Economie-Net ralentissement de la croissance d’après le FMI

Economie-Net ralentissement de la croissance d’après le FMI


Le fonds monétaire international prévoit un net ralentissement de la croissance au plan mondial. Le Fonds monétaire international (FMI) a abaissé sa prévision de croissance pour la France à 0,6 % cette année, en recul de 0,2 point par rapport aux dernières prévisions de janvier. L’institution s’attend à une croissance de 1% en 2026, en recul de 0,1 point par rapport à ses précédentes estimations.

Pour la zone euro, sa prévision est révisée à 0,8 % cette année, soit un recul de 0,2 point. Les principales économies de la zone euro voient leurs perspectives diminuées : le FMI anticipe une croissance nulle en Allemagne et de 0,4 % en Italie, en baisse de 0,2 à 0,3 point par rapport aux estimations de janvier.

L’économie des États-Unis devrait progresser de 1,8 % cette année, soit une baisse de 0,9 point par rapport à sa précédente estimation de janvier. Le Canada pourrait s’attendre à une croissance de 1,4 % (-0,6 point). Le Mexique, dont l’économie dépend fortement des importations vers son voisin américain, pourrait même se retrouver en récession, avec une contraction de 0,3 % (-1,7 point). Le FMI a également abaissé à 4 % sa prévision de croissance pour la Chine en 2025, s’éloignant de l’objectif officiel de 5 % fixé par Pékin et de la projection initiale du FMI de 4,6%.

Net ralentissement de la croissance d’après le FMI

Net ralentissement de la croissance d’après le FMI


Le fonds monétaire international prévoit un net ralentissement de la croissance au plan mondial. Le Fonds monétaire international (FMI) a abaissé sa prévision de croissance pour la France à 0,6 % cette année, en recul de 0,2 point par rapport aux dernières prévisions de janvier. L’institution s’attend à une croissance de 1% en 2026, en recul de 0,1 point par rapport à ses précédentes estimations.

Pour la zone euro, sa prévision est révisée à 0,8 % cette année, soit un recul de 0,2 point. Les principales économies de la zone euro voient leurs perspectives diminuées : le FMI anticipe une croissance nulle en Allemagne et de 0,4 % en Italie, en baisse de 0,2 à 0,3 point par rapport aux estimations de janvier.

L’économie des États-Unis devrait progresser de 1,8 % cette année, soit une baisse de 0,9 point par rapport à sa précédente estimation de janvier. Le Canada pourrait s’attendre à une croissance de 1,4 % (-0,6 point). Le Mexique, dont l’économie dépend fortement des importations vers son voisin américain, pourrait même se retrouver en récession, avec une contraction de 0,3 % (-1,7 point). Le FMI a également abaissé à 4 % sa prévision de croissance pour la Chine en 2025, s’éloignant de l’objectif officiel de 5 % fixé par Pékin et de la projection initiale du FMI de 4,6%.

Une désescalade possible des droits de douane d’après les États-Unis ?

Une désescalade possible des droits de douane d’après les États-Unis ?

C’est le secrétaire au trésor américain, M. Bessent, qui le dit qui le dit les surtaxes douanières agissent comme un embargo commercial bloquant les échanges de biens entre la Chine et les États-Unis.

e secrétaire au Trésor a considéré que ces surtaxes agissaient comme un embargo commercial bloquant les échanges de biens de part et d’autre, a-t-on indiqué de même source. Dans ce contexte aux airs d’impasse, M. Bessent a estimé qu’il devrait prochainement y avoir une désescalade.

Quelques heures plus tard, la porte-parole de l’exécutif américain Karoline Leavitt a affirmé que les discussions pour trouver un accord commercial avec Pékin avançaient «très bien». «Toutes les parties souhaitent qu’un accord commercial soit conclu, et les choses vont dans le bon sens», a-t-elle déclaré. Le président américain avait déjà déclaré la semaine dernière que des pourparlers étaient en cours avec la Chine. Le seul problème c’est que la Chine ne fait pas preuve du même optimisme et a même décidé d’engager un rapport de force pour lutter contre ces taxes douanières invraisemblables qui tuent les échanges et la croissance.

Recul prévisible du commerce international d’après l’OMC

Recul prévisible du commerce international d’après l’OMC

Le recul du commerce mondial de marchandises pourrait atteindre jusqu’à 1,5% en volume en 2025, en fonction de la politique douanière de Donald Trump, selon les prévisions annuelles de l’Organisation mondiale du commerce.

«le volume du commerce mondial des marchandises devrait diminuer de 0,2% en 2025», avant d’afficher une «reprise modeste» de 2,5% en 2026, selon l’OMC. Mais l’organisation souligne qu’«il existe d’importants risques de détérioration, comme l’application de droits de douane réciproques et la propagation plus large de l’incertitude entourant les politiques, ce qui pourrait entraîner un recul du commerce mondial des marchandises encore plus marqué (de 1,5%) et nuire aux pays les moins avancés tournés vers l’exportation».

Le rapport contient pour la première fois une prévision concernant le commerce des services, qui devrait augmenter de 4,0% en 2025, soit environ 1 point de pourcentage de moins que prévu. En 2025, l’impact des récentes mesures tarifaires sur le commerce de marchandises devrait être très différent d’une région à l’autre.

Dans les conditions actuelles, «la baisse devrait être particulièrement marquée en Amérique du Nord, où les exportations devraient chuter de 12,6%», détaille l’OMC. Les importations de cette région devraient elles chuter de 9,6% cette année. L’Asie devrait afficher une croissance «modeste» des exportations et des importations cette année (1,6% pour les deux), de même que l’Europe (1,0% pour les exportations et 1,9 % pour les importations).

La SNCF remise en ordre de marche d’après le Figaro !

La SNCF remise en ordre de marche d’après le Figaro !
Le Figaro se limite à reprendre sans doute le dossier de presse de la SNCF relative au bilan du président qui termine son mandat. D’après le journal, la SNCF serait remise en ordre de marche. C’est sans doute oublier la complexité et l’ampleur des interrelations financières entre l’État et l’entreprise ferroviaire. C’est sans doute aussi oublier que le trafic se concentre de plus en plus sur les grands axes maintenant soumis à la concurrence ; pire que les trafics de trains complets d fret seront désormais transférés d’autorité à des sociétés privées. Autant dire qu’on va vers la mort du fret ferroviaire. Rien non plus sur l’état du réseau, son développement et sa modernisation. La situation économique et financière est loin d’être idyllique sans parler du climat social toujours caractérisé par le corporatisme.

Risque de vassalisation pour l’Europe d’après Macron

Risque de vassalisation pour l’Europe d’après Macron

En dépit d’une bonne relation personnelle avec Trump, Macron attire l’attention de l’Europe sur les risques de la vassalisation  par les États-Unis. Un  appel de sa part au renforcement de l’Europe sur le plan économique et de la défense aussi en faveur d’une attitude plus agressive.

En visite d’État pour deux jours au Portugal, Emmanuel Macron a appelé jeudi les Européens à se montrer «plus que jamais unis et forts » et à refuser la «vassalisation heureuse» vis-à-vis des États-Unis. «Je vois plein de gens dans notre Europe dire “on va devoir être gentil avec les Américains, ça va passer, il faut courber l’échine”», a-t-il déclaré en fin de journée lors d’une rencontre dans un incubateur de start-up sur le thème de l’innovation et de l’intelligence artificielle. Mais «la réponse n’est pas dans une soumission» et «je ne suis pas pour la vassalisation heureuse», a-t-il ajouté.
Au contraire, «les Européens peuvent être convaincus d’une chose: il leur faut plus que jamais être unis et forts», et pour cela «nous devons absolument faire des choix très profonds (…) en matière technologique, industrielle (et) de défense», avait-il affirmé un peu plus tôt depuis l’Assemblée de la République portugaise.

 

 

Enjeux et risques des cryptomonnaies d’après la direction du Trésor

 

Enjeux et risques des cryptomonnaies d’après la direction du Trésor

Les crypto-actifs désignent une multitude d’actifs hétérogènes, qui, s’ils servent assez peu de moyens de paiement, constituent une classe d’actifs de plus en plus répandue, soutenus par le développement d’un écosystème financier ainsi que l’émergence de la finance décentralisée. Pourtant, ils présentent différentes limites et risques pour les investisseurs, soulignés par les épisodes violents de correction engagés depuis un an, justifiant l’instauration d’un cadre réglementaire adapté.

 

d’après un note de la Direction du Trésor 

 

Les crypto-actifs, communément définis comme l’ensemble des actifs numériques reposant sur la technologie de la blockchain, se sont largement développés depuis plusieurs années, et désignent désormais une multitude d’actifs hétérogènes, dont le fonctionnement et les enjeux sont extrêmement divers. Au-delà des crypto-actifs issus des blockchains historiques, tels que le bitcoin et l’ether, une multitude de jetons (tokens), émis en général par l’intermédiaire d’applications plus ou moins décentralisées, contribuent au développement de l’écosystème. Par ailleurs, les stablecoins, dont la valeur est supposément adossée à d’autres actifs, se sont fortement développés et jouent un rôle pivot au sein du secteur en offrant des passerelles vers le secteur financier traditionnel.S’ils ne servent qu’assez marginalement de moyen de paiement, les crypto-actifs constituent une classe d’actifs pouvant offrir du rendement et de la diversification, au risque d’une forte volatilité. Ils sont également utilisés comme véhicules de transferts de fonds, notamment pour les transactions internationales. Un écosystème financier important s’est développé, favorisant l’arrivée des investisseurs institutionnels sur ce marché, en complément des investisseurs particuliers. Les crypto-actifs sont également au cœur du projet de finance décentralisée qui permettrait, selon ses promoteurs, de réduire les frictions liées à l’intermédiation.

Pour autant, le marché des crypto-actifs, qui a connu plusieurs épisodes de contraction depuis mai 2021, et dont la taille de marché a été divisée par trois depuis novembre 2021, est confronté à des limites persistantes – frais élevés et lenteur des transactions, coût énergétique, sécurité défaillante – qui entrave son développement. Par ailleurs, l’écosystème présente des vulnérabilités, liées à sa forte concentration, à des risques de liquidité élevés, et à une forte exposition au risque de marché, faisant peser des risques sur la stabilité financière, bien que la taille du marché reste modeste en comparaison des principales autres classes d’actifs (environ 800 Md$ en juin 2022 contre environ 25 000 Md$ pour la seule bourse de New-York ou 11 000 Md$ pour le marché de l’or).

L’encadrement du secteur, tel qu’engagé via la loi Pacte au niveau national, le règlement Mica en cours de finalisation au niveau européen, et différentes réglementations prudentielles, est indispensable pour offrir un cadre propice aux développements du secteur et des technologies liées, tout en protégeant les investisseurs et la stabilité financière, et en luttant contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme.

 

Afghanistan : c’est pire qu’avant d’après l’ONU

Afghanistan : c’est pire qu’avant d’après l’ONU
Le Rapporteur spécial sur la situation des droits de l’Homme en Afghanistan, Richard Bennett, a dénoncé ce mercredi 21 août un «pas en arrière» après avoir été interdit d’entrée dans le pays par les talibans au pouvoir. «L’annonce publique par les talibans qu’ils ne me laisseront plus entrer en Afghanistan constitue un pas en arrière et envoie un signal préoccupant sur leur engagement auprès des Nations unies et de la communauté internationale en matière de droits de l’Homme», a déclaré Richard Bennett dans un communiqué. Il assure qu’il continuera toutefois à enquêter sur la situation des droits humains dans le pays.

 

«Malgré cette annonce, qui m’avait déjà été communiquée, je continuerai à dialoguer avec le peuple afghan, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur du pays, ainsi qu’avec toutes les parties concernées par ce dossier», a-t-il ajouté, en précisant qu’il «n’avait pas pu se rendre en Afghanistan depuis plus d’un an».

«J’ai toujours cherché à dialoguer de manière transparente avec les autorités de facto, en proposant une évaluation critique de la situation des droits de l’Homme en Afghanistan, comme le prévoit mon mandat, en formulant des recommandations concrètes et pratiques en vue d’une amélioration et en proposant une assistance technique», a poursuivi M. Bennett. «J’exhorte les talibans à revenir sur leur décision et je réitère ma volonté et ma disponibilité pour me rendre en Afghanistan», conclut le texte.

Les rapporteurs spéciaux comme M. Bennett sont des experts indépendants nommés pour des missions spéciales par le Conseil des droits de l’Homme de l’ONU, basé à Genève.

Assomption : lieux de culte chrétiens menacés d’après Darmanin

Assomption :  lieux de culte chrétien menacés d’après  Darmanin

 Gérald Darmanin demande à renforcer la sécurité des lieux de culte chrétien, à l’approche de la fête de l’Assomption. En cause, «le niveau très élevé de la menace terroriste», et «  de vives tensions au plan international».

Ainsi, les autorités sont invitées à porter une «attention» particulière aux «offices, rassemblements, processions et pèlerinages»«notamment dans les sanctuaires mariaux». Les forces de l’ordre devront ainsi être en contact constant avec les responsables des sites religieux.

Des forces de l’opération Sentinelle sont susceptibles d’être déployées en plus grand nombre à leurs abords, tandis qu’une «présence (policière) statique visible aux heures d’arrivée et de départ des fidèles, lors des rassemblements et offices», devra être mise en place.

Des « cloportes » à l’Élysée d’après Bruno Le Maire

Des « cloportes » à l’Élysée d’après Bruno Le Maire

Invité de TV5 Monde jeudi, Bruno Le Maire a qualifié certains conseillers de l’ombre de «cloportes», ces petits crustacés terrestres d’une dizaine de millimètres,( nuisibles au figuré) dont regorgeraient les «parquets des ministères» et les «palais de la République». «Il y en a toujours eu, ça fait partie de la vie politique française, et il est très difficile de s’en débarrasser»,  a Lâché le ministre de l’économie très en colère contre la décision de dissolution de l’Assemblée nationale.

 

 

Le ministre de l’économie est très remonté contre la décision de Macron de dissoudre l’assemblée nationale d’autant qu’il n’a jamais été consulté et pas davantage le premier ministre. Il met en cause l’entourage de l’Élysée notamment. Ces conseillers qui en fait  sont souvent des courtisans qui ne font que renvoyer l’image que le monarque souhaite de lui-même. Ce monde que l’on rencontre à l’Élysée mais aussi à Matignon et dans les ministères. Des conseillers plus préoccupés de leur carrière professionnelle que de l’intérêt général le plus souvent. Le passage discret dans des ministères constituant un accélérateur de carrière

Programme Front populaire: un coût de 200 milliards d’après Mélenchon

Programme Front populaire: un coût  de 200 milliards d’après Mélenchon

 

Selon les calculs de coin de table de Mélenchon et de son parti, le programme du nouveau Front populaire provoquerait 200 milliards d’euros de dépenses sur cinq ans qui théoriquement doivent être équilibrés par 230 milliards de recettes nouvelles liées à la croissance. Des recettes évidemment très hypothétiques car si la France perd en compétitivité, il faudra s’attendre à une détérioration de l’activité générale et donc des recettes fiscales.

Notons cependant que Mélenchon n’est pas le seul à faire dans la fuite en avant des dépenses et des déficits. Pour le programme du Front National on envisage un cout des annonces surtout sociales de l’ordre 200 milliards et pour Gabriel Attal de 25 à 50. On objectera juste titre qu’il s’agit de calculs approximatifs d’autant que les promesses de campagne sont ensuite rarement suivies des effets annoncés

« Selon les calculs de notre parti, à horizon cinq ans, il y aura un total de 200 milliards d’euros de dépenses publiques et 230 milliards de recettes pour l’État. Comment? Par un coup de fouet à l’activité. La dépense sociale crée du bien-être, lequel permet la consommation, qui, elle, produit de l’emploi et des recettes fiscales », estime le fondateur de LFI.

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