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Loi santé : le gouvernement dans l’impasse ( la Presse)

Loi santé : le  gouvernement dans l’impasse ( la Presse)

Après le fiasco politique  de la loi Macron, ce pourraiat être celui de la loi santé. Un nouveau discrédit pour le gouvernement et surtout pour la psychorigide Marisol Touraine dont la tonalité mielleuse de l’ENA ne parvient pas à cacher le dogmatisme viscéral. La ministre s’est complètement embourbée dans ce dossier. Impressionnée par la mobilisation des médecins contre le projet de loi santé, notant la fermeté de la ministre Marisol Touraine, la presse de ce lundi évoque un « malaise profond » et s’inquiète d’un conflit dans l’impasse.  »Démonstration de force des médecins à Paris » (Le Figaro), « forte mobilisation des professionnels » (Les Echos), « Touraine ferme face aux médecins » (Le Parisien). La manifestation, qui a réuni ce dimanche entre 19.000 et 50.000 blouses blanches dans la capitale, est largement relatée ce lundi. La leçon tirée dans L’Opinion par Luc de Barochez est qu’ »aucune réforme ne pourra se faire contre les professionnels concernés, puisque ce sont eux qui seront chargés de l’appliquer ».  »En fuyant le dialogue, Marisol Touraine s’est discréditée », ajoute l’éditorialiste du titre libéral qui appelle les députés à « remettre la concertation et l’écoute au premier plan ». « La communauté médicale, sous pression depuis des années, espérait être associée au dialogue. Encore faut-il vouloir dialoguer », nuance cependant La Montagne/Centre France, sous la plume de Bernard Stephan. Alors que le rejet du tiers payant généralisé cristallise l’opposition des médecins, le secrétaire général de la CFDT prend dans Les Echos la défense du projet de loi. « Le tiers payant est une avancée. Les médecins doivent arrêter de faire croire qu’ils n’en veulent pas pour le bien-être de leurs patients », assène Laurent Berger.   »Dans l’ensemble, la démarche des professionnels de santé est soutenue par les électeurs de l’opposition. Alors qu’elle est majoritairement critiquée par ceux de la majorité, écolos compris », constate Philippe Waucampt dans Le Républicain lorrain. « On peut donc parier que les aménagements promis par Marisol Touraine se feront à la marge. Car son texte constitue l’un des rares éléments fédérateurs dans son camp. » Analyse partagée par Laurent Bodin dans L’Alsace : « Le projet de loi Santé, en effet, fait l’unanimité à gauche (…) C’est désormais si rare que c’en devient un événement politique ! Mais cela ne suffira pas à sortir de l’impasse. »  »Le gouvernement sans les toubibs n’y arrivera pas. Et vice-versa. Chacun tient l’autre par la barbichette, et si l’on peut être inquiet, c’est de ce petit jeu destructeur plus que de la capacité du pays à trouver une solution », s’alarme Didier Rose des Dernières Nouvelles d’Alsace. Pour Pierre Cavret de Ouest France, « la France paie là des décennies d’errance, d’erreurs politiques et de collages de rustines successifs ». Au-delà de la mobilisation contre le projet de loi santé, Sud Ouest décrit « un malaise plus profond ».  »Il ne faudrait pas que chez les généralistes, qui sont le premier niveau du fameux ‘parcours de santé’, la crainte des lourdeurs administratives décourage pour de bon les vocations », avertit Christophe Lucet dans le quotidien de Bordeaux. Les manifestants, rencontrés par Mathilde Golla pour Le Figaro, ne disent pas autre chose : « ‘J’étais généraliste’, indique une pancarte brandie par Agnès, installée à Lyon ».

 

L’économie russe dans le rouge

L’économie russe dans le rouge

 

Rien ne va plus en Russie et la politique aventuriste de Poutine y est  pour beaucoup. Avant même les événements d’Ukraine la croissance n’était pas très dynamique. Depuis elle est négative. Il faut ajouter à cela la fuite des capitaux, de revenus du pétrole en baisse, l’inflation à 17% et la baisse du rouble. Du coup la Russie a choisi de soutenir la consommation en « ramenant » son taux à 14%.  La banque centrale de Russie a en effet abaissé vendredi son taux directeur pour la deuxième fois depuis le début de l’année, confirmant qu’elle fait passer le soutien à l’activité avant la lutte contre l’inflation. Le taux de prise en pension à une semaine revient de 15 à 14%, les autorités monétaires poursuivant le cycle d’assouplissement engagé en janvier avec une baisse inattendue de deux points.  Cette fois-ci, la majorité des économistes et analystes avaient dit anticiper une baisse de taux, le marché des changes ayant montré récemment des signes de stabilisation tandis que plusieurs indicateurs reflétaient une dégradation de la conjoncture. Le rouble a réduit ses pertes après l’annonce de la baisse de taux de vendredi, plus modeste qu’attendu par certains investisseurs. A la mi-journée, la devise russe se traitait à 61,30 pour un dollar, en baisse d’environ 0,1% alors qu’elle cédait autour de 0,5% avant la décision de la banque centrale.  L’indice Micex du marché actions russe, libellé en rouble, abandonnait 1,03% et le RTS, coté en dollar, perdait 1,14%.  Dans un communiqué, la banque centrale déclare que « la balance des risques va dans le sens d’un ralentissement marqué de l’économie » et que la baisse de son taux directeur devrait limiter ces risques sans pour autant menacer d’une accélération de l’inflation.  La hausse des prix en Russie a atteint 16,7% selon les dernières statistiques publiées mais la banque centrale estime que ce niveau prend en compte des facteurs de court terme qui devraient se dissiper d’ici la fin de l’année.  Elle prévoit un retour de l’inflation autour de 9% d’ici un an et assure qu’elle reste en bonne voie pour atteindre en 2017 son objectif à moyen terme de 4%. La faiblesse de l’activité économique devrait contribuer à limiter la progression des prix, poursuit-elle, précisant que le produit intérieur brut (PIB) russe devrait reculer de 3,5% à 4%.

 

RSI : les indépendants dans la rue

RSI : les indépendants dans la rue

Le RSI c’est d’abord un énorme bug d’Etat, un système  Créé en 2005, il devait faciliter les relations des artisans, des commerçants et des professions libérales avec leurs organismes de protection sociale. Toujours dans le but de simplifier la vie de ces indépendants, la réforme est montée en puissance en 2008 avec l’instauration d’un interlocuteur social unique. Depuis, rien ne va plus. Plusieurs motifs d’insatisfaction d’abord les bugs, aussi les déficience de la gestion du RSI ensuite le rapport cotisation prestations.   En raison de problèmes informatiques, les bugs se multiplient.  La Cour des comptes, en avait  dressé un bilan très noir. «A titre d’exemple, des assurés n’ont pas pu bénéficier du remboursement de leurs soins faute de carte Vitale, parfois sur des périodes longues de plusieurs mois», note la Cour qui explique que plus de 20.000 dossiers ont été immatriculés avec… deux ans de retard. Au-delà des tracas administratifs, tous ces bugs, qui se sont parfois même combinés, «ont plongé certains assurés dans des situations catastrophiques», affirmait  la Cour. Le Régime social des indépendants (RSI), qui concerne les artisans, les commerçants et les professions libérales, comptait 2,7 millions de cotisants Entre 30.000 et 50.000 personnes sont attendues ce lundi à Paris pour protester contre les dysfonctionnements du régime de protection sociale des indépendants (RSI). À l’appel de Sauvons nos entreprises et d’une trentaine d’associations, ils entendent demander un moratoire du RSI. Co-organisateur du rassemblement, Contribuables associés compte, lui, dénoncer le «matraquage fiscal». Ensemble, ils feront entendre leur voix dès 13 heures du Sénat jusqu’à l’Assemblée nationale.  «Cette manifestation va forcer les hommes politiques à se réveiller face aux dysfonctionnements d’un système qui n’a jamais marché, indique Pascal Geay, président de Sauvons nos entreprises, qui a rencontré de nombreux politiques ces dernières semaines dont Nicolas Sarkozy. Nous sommes d’accord pour payer des cotisations sociales en France mais pas à fonds perdus!». Le collectif Sauvons nos entreprises – qui se veut le porte-parole des quelque 6 millions de travailleurs indépendants – entend laisser à l’État un mois, jusqu’au 9 avril, avant d’occuper les centres du RSI si aucune mesure n’est prise.   «Arrêtons le massacre!, réplique Pascal Geay, qui dénonce aussi le manque de transparence dans la gestion du RSI. Nous assimilons aujourd’hui ce système à un racket. Il faut aujourd’hui ouvrir une enquête et remettre tout à plat, quitte à retomber sous le régime général». L’association accuse l’État d’avoir laissé la gestion des cotisations sociales des indépendants à des entreprises privées, mutuelles et compagnies d’assurance.

 

Taubira – Darmanin : la politique dans le caniveau

Taubira – Darmanin : la politique dans le caniveau

Darmanin (UMP) comme Taubira sosnt tombés dans le piège du caniveui en s’invectivant de manière grossière. Il est clair que Taubira pose un problème de politique pénale au gouvernement occupé tant bien que mal ( plutôt mal) à lutter contre la violence, le racisme et le terrorisme. Pas vraiment une raison pour que lLa Garde des Sceaux soit traitée par  le  député-maire UMP de Tourcoing Gérald Darmanin de « tract ambulant pour le FN ». Inversement Taubira n’avait pas à tomber dans le panneau de la vulgarité en traitant Darmanin de « déchet humain ». La démocratie ne se grandit pas quand ses élus nationaux députés ou ministres de la République s’invectivent comme des chiffonniers. Faute de contenu à leur  politique les responsables en sont réduits trop souvent à se distinguer sur la forme par l’insulte ou la polémique et à transformer les intitulions en cirque. Taubira comme Darmanin  en adoptant des postures militantes , partisanes, sectaires mêmes  salissent la fonction de représentant  de  nation. Et participent  d’uen certaine manière au discrédit du système politique.  On attend qu’on relève un peu le débat malheureusement Valls lui-même se complait dans la colère polémiste , plus ou moins feinte, pour affiner son personnage d’homme de l’autorité. Pour Christiane Taubira, les propos du député-maire UMP de Tourcoing sont donc « des déchets de la pensée humaine« . La ministre de la Justice a réagi à la sortie du Conseil des ministres, alors que Gérald Darmanin a réitéré mercredi matin ses propos sur France Info. Il considère que Christiane Taubira,  »par sa politique pénale, par son laxisme, fait monter bien évidemment le Front national« , il dit d’elle qu’elle est « un tract pour le FN, c’est un appel à voter« . En réponse, Christiane Taubira a répondu mercredi midi que « lorsqu’une personne est à ce point pauvre indigente moralement, politiquement, culturellement, lorsqu’une personne est à ce point indifférente aux dégâts considérables qu’il peut produire par ses paroles qui sont des insultes, qui sont surtout des déchets même de la pensée humaine, je n’en attends rien« .  « Je trouverais ça pitoyable, si j’avais de la pitié à gaspiller, ce n’est pas le cas pour ce monsieur ! » « Franchement, je trouverais pitoyable que malgré son jeune âge – peut-être même du fait de son jeune âge – sans doute à cause de la déliquescence de son parti, il en soit contraint à s’exprimer, à tenir des propos qui ne sont pas éclairés par l’idéal républicain qui a quand même été porté par sa famille politique pendant un temps« , a-t-elle dit. Christiane Taubira a dénoncé un propos « assombri au contraire par une espèce de trépidation envieuse vis-à-vis d’un parti politique qui de toutes façons est plus doué que le sien pour susciter et pour ramasser tous les mécontentements et toutes les fureurs« .

Hollande dans le Parisien : « les banalités du café du commerce »

Hollande dans le Parisien : «  les  banalités du café du commerce » 

Toute la presse reprend les propos tenus devant 8 lecteurs du journal « le parisien ». Résumons : sur le chômage » il n’ya pas de solution magique » ! comme aurait dit Mitterrand « on déjà tout essayé ». Dans le bistrot où je prend mon café un client déjà au petit blanc sec a commenté » pour le chômage , la solution c’est dec réer des emplois » ; sûrement un économiste , un énarque peut-être même un philosophe. Mais  mon  buveur de blanc sec n’a lu que le titre du propos de Hollande qui évidemment explicite son orientation :  « c’est dans les PME qui faut les  créer ces emplois en leur donnant davantage de souplesse ». On n’en saura pas davantage. Au moins on avance, les services de com. de l’Elysée ont dû s’apercevoir en lisant la rubrique économique de  «  modes et travaux » qu’li y a longtemps que les les PME créent des emplois . maintenant pour ce qui es de la souplesse , i faudra attendre la prochaine intervention fondamentale pour en savoir davantage. Peut être la souplesse fiscale ? bah ouii nouvelle découverte de Hollande   « Total la première entreprise de Franc devrait être le plus gros contribuable français ». Sans doute alors qu’il ne lest pas ? vérification faite toujours dans modes et travaux, effectivement Total pendant plusieurs années na’ pas payé un sou d’ impôt sur les bénéfices , ce qu’on nomme pudiquement l’optimisation fiscale. Dernière annonce importante les énarques qui vont gérer le service civique peut –être  même le service militaire facultatif réinventé. Le théâtre d’opération pourraiat être le désert après de Gao ( Mali) ou se trouve déjà Le Groupement tactique interarmes (GTIA désert) ; la crainte avec les compétences de gestion des énarques c’est qu’ils ne réclament avant un an ‘d’importer du sable. Intimité enfin , la président a présentée la chienne de l’Elysée Philae à ses interlocuteurs du parisien.

 

 Extrait du Parisien

EXCLUSIF. C’est à une rencontre exceptionnelle que s’est prêté François Hollande, recevant lundi à l’Elysée huit lecteurs du «Parisien» - «Aujourd’hui en France» pour répondre à leurs questions. Huit Français inquiets face à la crise et au chômage, curieux des réformes que peut encore proposer le chef de l’Etat, attentifs aux réponses à apporter dans le climat lourd et tendu de notre société après les attentats du mois de janvier. Un brin intimidés, aussi, de se retrouver en ces lieux pour y questionner en toute liberté le président.

Sur l’emploi, sur ses projets pour la jeunesse et l’école, mais aussi sur les impôts, Sarkozy, le FN ou… son avenir, François Hollande s’est expliqué, a dévoilé des nouvelles mesures, livré quelques confidences et pris des engagements. Et s’il s’est dérobé aux questions sur sa vie privée, il a cependant tenu à présenter aux lecteurs sa chienne Philae.

A quelques semaines des élections départementales, c’est un président voulant encore croire à l’esprit du 11 janvier qui s’est ainsi confié.

Voici quelques-unes de ses déclarations

Sur l’emploi : «Sur le chômage, il n’y a pas de solution magique.» Le président a notamment «demandé d’ouvrir un chantier pour encourager les embauches dans les PME afin de leur donner plus de souplesse»

Sur la fiscalité des entreprises : «Total, qui est la plus grande entreprise française, devrait à ce titre être le plus gros contribuable français»

Sur les impôts : «Je veux être très clair : il n’y aura pas d’augmentation d’impôts pour les années 2015, 2016 et 2017»

Sur le service civique : «Les élèves de l’ENA seront chargés de l’administration du service civique». François Hollande veut par ailleurs «expérimenter en métropole un service militaire adapté. C’est un encadrement militaire de huit mois, qui débouche sur une qualification ou sur un emploi».

Sur Nicolas Sarkozy : «Chaque fois que Nicolas Sarkozy, ou tout autre, apporte des propositions, la démocratie est gagnante»

Sur le Front national : «Les propositions du FN sont autant de reculs pour notre pays». «La seule attitude à avoir, c’est d’aller chercher les électeurs du FN, les arracher même pour leur parler et les convaincre»

 

Si c’est pas de l’info !

 

Coupes financières dans le budget des hôpitaux

Coupes financières dans le budget des hôpitaux

De coupes à prévoir dans les hôpitaux notamment sur la masse salariale. Il faut dire qu’i y a de la marge surtout dans les services logistiques et les services administratifs là où directeurs et sous  directeurs sont parfois plus nombreux que les chirurgiens. Les tarifs hospitaliers, normalement publiés le 1er mars, n’ont jours pas été officialisés, ce dimanche. Or ils représentent une part importante du budget des hôpitaux. En effet, de ces tarifs dépendent le montant des remboursements par l’Assurance maladie des actes effectués par les établissements hospitaliers. L’arrêté, normalement rédigé par les services de la ministre de la Santé, Marisol Touraine, se fait désirer. Un report inhabituel, alors même que les tensions enflent dans le monde de la santé. Hôpitaux publics et privés craignent en effet que ce retard soit le signe que le ministère s’apprête à adopter une politique de rigueur plus stricte dans le milieu hospitalier. La réduction des budgets des hôpitaux deviendraient ainsi un des moyens d’obtenir les économies supplémentaires réclamées par Bruxelles à la France.  Outre ces tarifs, le ministère préparerait des coupes douloureuses dans le budget des hôpitaux, selon la presse. Challenges détaillait ainsi vendredi soir ses prévisions d’économies, dont une large partie porte sur la masse salariale. Selon le site de l’hebdomadaire, le « gouvernement dispose pourtant du plan détaillé des 10 milliards d’économies sur les dépenses de santé annoncé il y a presqu’un an ». Le gouvernement miserait ainsi su la mutualisation des achats des hôpitaux et la baisse des tarifs des fournisseurs pour dégager des économies. Mais aussi sur la baisse des prix des médicaments et des dispositifs médicaux les plus coûteux, sur les synergies entre hôpitaux voisins et le développement de la chirurgie « ambulatoire », sans nuit passée à l’hôpital.

 

Syrie : « La diplomatie, c’est pas dans les salons » Jacques Myard

Syrie : « La diplomatie, c’est pas dans les salons » Jacques Myard

L parlementaire persiste et signe. Il est d’autant plus ferme dans es convictions que les plus hautes autorités de l’Etat étaient informés de ce voyage. Mieux qu’elle l’ont suscité. Le dérapage c’est la médiatisation. Mais dans tous les conflits des émissaires prennent contact avec les protagonistes y compris ceux qui sont nos ennemis. C’est la diplomatie classique. (exemple lors des enlèvements de Français). D’une  certaine manière c’est l’opposition entre la diplomatie du réel et la diplomatie du virtuel ; Il y a donc beaucoup ‘hypocrisie de la part des grands leaders politiques dans cette affaire. ( interview JDD)

 

Avez-vous des regrets?
Ah non! S’il fallait refaire ce voyage, je le referais. La diplomatie, cela ne se fait pas dans les salons, mais sur le terrain. Les cris d’orfraie d’un certain nombre de « salonnards » m’indiffèrent complètement.

Quel était le sens de votre démarche?
Depuis longtemps, députés de droite comme de gauche, nous sommes un certain nombre à nous interroger sur la justesse de notre politique étrangère. Nous disons qu’il ne faut pas se tromper d‘ennemi. Cela ne signifie pas que le régime de Damas est sans responsabilités. Il a vraisemblablement du sang sur les mains. Cela dit, non seulement on a fait une énorme erreur en répétant que Bachar allait tomber « dans les quinze jours », mais force est de constater que s’il a des ennemis, il a aussi des soutiens, et qu’il contrôle 60% du territoire syrien. Et puis l’ennemi, on sait qui c’est : ce sont le terroristes de Daech.

Quelles leçons tirez-vous de votre séjour à Damas?
La première, c’est qu’il faut sortir de cette guerre – ou plutôt de cette guérilla urbaine, qui ressemblerait par moments à la bataille d’Alger – mais qu’il n’y a pas de solution militaire. Et que toute solution passe aujourd’hui par Bachar El Assad. Il est urgent que la France retrouve une politique étrangère indépendante, sans se laisser dicter notre conduite par qui que ce soit. Au regard de la défense de nos intérêts, du rôle de la Syrie et des liens historiques de la France et de la Syrie, j’ai parfois le sentiment qu’on se tire aujourd’hui une balle dans la tête. Par exemple quand je constate que le lycée français de Damas – le lycée Charles-de-Gaulle- n’a plus droit depuis deux ans à aucune subvention. Pour le reste, je réserve mes conclusions aux plus hautes autorités de l’Etat pour qui j’ai rédigé, comme c’est normal, un complet-rendu complet de notre déplacement.

 

Arnaud Montebourg blessé en se regardant dans un miroir

Arnaud Montebourg blessé en se regardant dans un miroir

 

Ça devait arriver un jour, Montebourg à force de se regarder dans un miroir a fait tomber l’objet et s’est blessé. On sait que Montebourg aimait s’écouter parler mais il adore aussi se mirer et s’admirer. Fatigué , le miroir a lâché Pas de chance en ce moment pour le truculent ministre. L’ancien ministre de l’Economie Arnaud Montebourg a été donc hospitalisé après avoir été blessé par la chute d’un miroir dans un restaurant de New York, révèle Paris Match. Sa compagne Aurélie Filippetti était à ses côtés.  L’accident a eu lieu au Balthazar, un célèbre restaurant de Soho, à New York. Selon les informations de Paris Match, l’ancien ministre de l’Economie a été blessé par la chute d’un lourd miroir du restaurant. L’ex-ministre a été hospitalisé à l’hôpital Bellevue dans le quartier de Manhattan. Une minerve lui aurait été posée et il a été transporté en brancard. Une mauvaise passe pour Montebourg qui veut se recycler dans les affaires . juste avant le vote de l’assemblée, il avait d’abord tenu à rappeler «  la loi Macron, c’est moi » sans doute pour en partager le triomphe , il n’avait pas prévu que la loi serait blackboulée. En même temps il a annoncé le lancement de son entreprise «  made in France ». Là encore un joli plantage. En effet les trois semaines de formation à la gestion d’entreprise ne lui auront pas suffi pour se rendre compte de l’erreur sémantique. Le made in France n’a en effet aucun sens, ce titre est simplement attribué aux produits sur la base de la valeur ajoutée en France. Exemple,  il suffit d’acheter une chemise un euro en Chine, d’y ajouter un bouton en France et de la vendre 20 euros pour qu’elle puisse jouir du fameux label qui n’en est pas un. C’est » produit  fabriqué en France »  le vrai label et non « le prix triplé en France ». Plutôt que de se perdre en politique ou dans les affaires, Montebourg aurait mieux faat de demeurer les prétoires ‘( comme bien d’autres) où le verbiage approximatif et théâtral  est reconnu comme langue officielle.  Aux dernières nouvelle la santé de Montebourg ne serait pas en cause mais son image en a pris un coup.

Antisémitisme- « Dumas : de la merde dans un bas de soie » (BHL )

Antisémitisme-  « Dumas : de la merde dans un bas de soie » (BHL )

BHL a trouvé la formule pour le sulfureux  et gâteux Roland Dumas qui a déclaré que Valls était sous influence juive. Cette formule employée par Napoléon à l’égard de Talleyrand convient pour celui qui s’est toujours caractérisé par des paroles et des actes indignes de la république. Sa dernière saillie concernait la certification ( par lui-même alors qu’il était président du conseil constitutionnel) des comptes de campagne de Chirac «  faux mais certifiés pour sauver la république » ! . On attribue une bonne définition de Dumas par  Mitterrand «  pour le droit , j’ai Badinter, pour le tordu, j’ai Dumas ». Effectivement impliqué ( et condamné ) dans des affaires tordues, Dumas persiste et signe avec cette provocation ignoble. Il faut dire que les propos de Dumas ont été largement sollicités par Bourdin, le journaliste de RTL dont le populisme caricatural ne sert pas la cause de la démocratie. Bourdin est un peu au journalisme ce que le FN est à la politique, un provocateur,  un diffuseur de vulgarité  et un défonceur de portes ouvertes qui aime patauger dans les eaux troubles du caniveau.  Certes Valls n’est pas sans défaut, il se nourrit davantage de propos martiaux que d’action pour autant le procès qui lui est fait par Dumas est scandaleux.  Le CSA se saisit de l’affaire. Ce lundi, le Conseil supérieur de l’audiovisuel annonce qu’il « instruit un dossier » sur les propos tenus par Roland Dumas sur Manuel Valls. Dans la matinée, l’ancien ministre des Affaires étrangères avait estimé sur BFM-TV et RMC que le Premier ministre « était probablement » sous influence juive. Le porte-parole du CSA n’a pas précisé ce qui était visé dans cette enquête, à savoir la chaîne où le journaliste qui a eu cet échange controversé, Jean-Jacques Bourdin. Jean-Jacques Bourdin l’a relancé plusieurs fois sur le fait que Manuel Valls était marié avec une juive. « Qu’est ce que vous voulez dire Roland Dumas? », l’a relancé Jean-Jacques Bourdin avant de lui demander: « Il est sous influence juive ?« . Sur Twitter, Jean-Jacques Bourdin s’est défendu. « J’aime mon métier. Faire dire à mes interlocuteurs ce qu’ils pensent vraiment. Recherche de la vérité contre toutes les langues de bois ». Un belle profession de foi, en apparence honorable mais la méthode Bourdin relève davantage du cirque médiatique que du journalisme. A l’évidence Bourdin s’intéresse  peu au fond, c’est d’obtenir la petite scandaleuse qui fera le buzz.  Manuel Valls a dénoncé ces propos qui « ne font pas honneur à la République« , selon lui. « Aucun mot, aucun acte » à caractère antisémite « ne peut être accepté par un responsable politique, associatif (…), l’antisémitisme n’est pas une opinion, ce n’est pas une petite plaisanterie », a dit le Premier ministre devant des élus du Conseil régional d’Ile-de-France Le CSA annonce ce lundi qu’il « instruit un dossier » sur les propos de Roland Dumas. Sur BFM-TV et RMC, l’ancien ministre avait déclaré que Manuel Valls était « probablement » sous influence juive.  Le CSA se saisit de l’affaire. Ce lundi, le Conseil supérieur de l’audiovisuel annonce qu’il « instruit un dossier » sur les propos tenus par Roland Dumas sur Manuel Valls. Dans la matinée, l’ancien ministre des Affaires étrangères avait estimé sur BFM-TV et RMC que le Premier ministre « était probablement » sous influence juive. Le porte-parole du CSA n’a pas précisé ce qui était visé dans cette enquête, à savoir la chaîne où le journaliste qui a eu cet échange controversé, Jean-Jacques Bourdin.

La PUB élargie dans tous stades ( Touret, fils de pub)

La PUB élargie dans tous stades ( Touret, fils de pub)

Alain Touret a réussi à étendre le champ de la PUB dans tous les stades. Une vraie victoire idéologique de gauche à défaut  de victoire sur le chômage. Amendement voté à l’unanimité de l’assemblée ! il a raison Touret il faut de la PUB et partout, même contraindre les spectateurs à offrir leur corps aux dieus de la PUB  pour vanter les mérites des marques. Partout où c’este’ possible il faut de la pub, sur les maillots bien sû,r mais sur toute la pelouse, dans les gradins, dans le ciel même . et pourquoi pas des spots comme à la télé à chaque interruption de l’arbitre avec annonce  «  le coup franc vous est offert par le crédit Lyonnais » , «  le penalty par le yaourt allégé Yoplait ». Pour permettre aux stades en question de bénéficier au moment de l’Euro 2016 -une compétition dont les Allemands et les Bleus seront, au départ, les favoris- de ressources supplémentaires, le gouvernement, avec l’aval de Ségolène Royal  et dans le cadre du débat sur la loi Macron, avait accepté l’idée que les publicités supérieures à 12m2 n’y seraient plus interdites. Pour l’Euro et, précision importante, pour la suite. Alain Tourret, menant une active campagne auprès de ses collègues élus des grosses villes de province (y compris celles où ce n’est pas le football qui est roi mais le rugby), s’est alors insurgé contre un privilège qui serait octroyé, dit-il, à ceux des clubs qui occupent déjà le dessus du panier, aux dépens des… petits. Aux dépens aussi des clubs de rugby. Argument de gauche, c’est pour les petits clubs aussi. Dans mon village de 500 habitants, l’épicerie a aussitôt réservé un emplacement sur la porte des WC du stade, c’est 20 euros dans la caisse du club. C’est pas uen réforme économique structurelle ça ?

Transactions courantes dans le rouge en décembre

Transactions courantes dans le rouge en décembre

Moins d’investissement français à l’étranger et moins d’investissements étrangers en France ont pesé sur les mauvais résultats de décembre ; En octobre 2014, le déficit était de 0,4 milliard d’euros. Mais les transactions   ont enregistré un déficit de 1.9 milliards en décembre.   La balance des transactions courantes est un bon indicateur de la situation d’une économie par rapport au reste du monde, car elle va au-delà des seuls échanges de biens, déficitaires depuis une dizaine d’années en France. Elle prend en compte ceux, croissants, de services ainsi que les revenus des investissements et ceux du travail versés entre agents économiques en France et à l’étranger. Les données mensuelles des transactions courantes sont corrigées des variations saisonnières et du nombre de jours ouvrables (cvs-cjo).  Les transactions courantes forment l’un des trois grands ensembles de la balance des paiements. Les deux autres composantes sont le compte de capital (remise de dette, achat de brevets, de terrains…), et le compte financier qui répertorie entre autres les investissements directs et de portefeuille et l’évolution des réserves en devises et en or. Au sein du compte financier (données non cvs), les opérations d’investissement direct se sont soldées par des désinvestissements français à l’étranger (-2,8 milliards) et étrangers en France (-2,3 milliards), selon la BdF.

 

 

Croissance France : dans le rouge en janvier ( Markit)

Croissance France : dans le rouge en janvier (  Markit)

 

Un premier chiffre qui augure mal de la croissance en 2015, celui de l ‘activité dans le secteur privé français qui  s’est contractée en janvier pour le neuvième mois consécutif, les services retombant dans le rouge après avoir légèrement progressé en décembre, selon les résultats définitifs de l’enquête PMI publiés mercredi par Markit. En fait cet indice s’inscrit dans le tassement mondial de la croissance et surtout dans  l’atonie européenne. Sur la tendance on aura du mal à atteindre les 1% de croissance en 2015 en France.  L’indice composite, qui combine des éléments de l’indice de l’industrie manufacturière publié lundi et de celui des services, est ressorti à 49,3 contre 49,7 en décembre. Il est légèrement inférieur au niveau publié en première estimation « flash » (49,5) et reste sous la barre de 50 qui sépare contraction et croissance de l’activité. L’indice du secteur des services est lui ressorti à 49,4 contre 50,6 en décembre et 49,5 en première estimation. Le chiffre de décembre constituait le premier retour de l’indice en zone d’expansion depuis août. « Le secteur des services, secteur dominant de l’économie française, s’affaiblit en début d’année 2015″, a déclaré Jack Kennedy, économiste chez Markit. « Ce retour à la baisse de l’activité reflète un ralentissement de la croissance des nouvelles commandes qui pâtissent de la morosité de la demande et de la conjoncture économique en général », ajoute-t-il. Jack Kennedy souligne cependant une amélioration des perspectives d’activité dans les services, le taux de confiance atteignant son plus haut niveau depuis mars dernier.

 

Législative Doubs : l’UMP tombe dans le piège du « ni-ni » contre l’avis de Sarkozy

Législative Doubs : l’UMP tombe dans le piège du   »ni-ni » contre l’avis de Sarkozy

 

C’était le piège, ils sont tombés les deux pieds dedans à LMP. Contre l’avis de Sarkozy, ils ont choisi le ni Ps, ni FN. Avec comme arrière pensée de ne pas décevoir les lecteurs du FN. Du coup ils vont décevoir les électeurs de gauche pour les second tours des prochaines élections notamment celles de 2017. Sarkozy souhaitait une position plus ambiguë qui ménage la chèvre et le chou mais il a été battu lors du bureau politique. De ce fait l’élection du Doubs risque d’être très serrée et dépendra en fait de l’évolution de l’abstention. Il est probable que les clivages qui se sont manifestés au bureau politique de l’UMP vont amener Sarkozy à accélérer la transformation de son parti toujours englué dans les contradictions des caciques. De quoi vraiment l’encourager à faire une vraie cure de rajeunissement. Le Bureau politique de l’UMP a donc opté mardi soir de justesse pour le ni-ni (ni PS, ni FN) à la législative partielle du Doubs, contre l’avis de Nicolas Sarkozy qui plaidait pour un texte appelant à faire barrage au FN, selon des participants à la réunion.  L’UMP a appelé mardi ses électeurs à voter blanc ou à s’abstenir lors du second tour de l’élection législative partielle du Doubs, qui opposera le PS et le Front national, une stratégie du « ni-ni » qui ne fait pas l’unanimité au sein du principal parti de droite. Le FN doit être combattu « avec la plus grande fermeté » et la présidence de François Hollande a conduit la France « dans une impasse économique, sociale et politique aux effets catastrophiques« , peut-on lire dans la déclaration adoptée par le bureau politique de l’UMP.  « En conséquence, confirmant sa position constante, l’UMP appelle tous ceux qui se reconnaissent dans ses valeurs à exprimer leur double opposition en votant blanc ou en s’abstenant. » La position majoritaire du « ni-ni » est notamment soutenue par Valérie Debord.  Un peu plus tôt dans la journée, Nicolas Sarkozy avait déclaré devant son groupe parlementaire à l’Assemblée qu’il refuserait d’appeler à voter pour le candidat PS, qui affrontera dimanche prochain une candidate Front national. L’élimination du candidat UMP Charles Demouge au premier tour de cette législative partielle dans la 4e circonscription du Doubs a plongé dans l’embarras le parti de Nicolas Sarkozy. L’ancien Premier ministre Alain Juppé a appelé à « faire barrage » au FN, la candidate d’extrême-droite Sophie Montel, étant selon lui raciste. Alain Juppé, qui est soutenu par la vice-présidente de l’UMP, Nathalie Kosciusko-Morizet, n’entend pas pour autant s’engager « dans un front républicain qui scellerait une alliance avec le PS« . L’ancien ex-Premier ministre UMP, François Fillon, a pris l’exact contre-pied en exprimant son refus d’appeler à voter pour un candidat PS, tout en disant vouloir combattre le FN. Le sénateur Bruno Retailleau, président du groupe UMP au Sénat, a ainsi déclaré à Sud Radio que ce qu’il souhaitait entendre de Nicolas Sarkozy, « c’est la liberté de choix« .

Valls dans le noir

Valls dans le noir

 

Pas de chance pour Valls dont le meeting politique dans le Doubs (élection du remplaçant  de Moscovici comme député) a été perturbé par une panne de courant d’une heure  et ensuite chahuté par les notaires. Une élection qui si  elle est perdu pourrait par ailleurs – ce qui est probable- priver le PS d’une majorité à l’assemblée. ‘ Manuel Valls venait d’engager un point de presse quand la salle a été plongée dans le noir. Le Premier ministre participait mardi soir à Audincourt à un meeting de soutien au candidat socialiste à la législative partielle dans la quatrième circonscription du Doubs, Frédéric Barbier. Un scrutin, dont le premier tour a lieu dimanche, à fort enjeu puisque le siège laissé par Pierre Moscovici pourrait être gagné par l’opposition. Mais le rendez-vous a été perturbé par une panne de secteur revendiquée par la CGT-Mines-énergie. Sans son, Manuel Valls a pris son mal en patience, échangeant avec Frédéric Barbier et le sénateur-maire PS de Montbéliard, Martial Bourquin. Les centaines de personnes présentes, elles, ont attendu dans une vaste salle. Ce n’est qu’au bout d’une heure environ que le courant a été rétabli. Dans un communiqué, la CGT a indiqué que la « Fédération Nationale des Mines Energie (FNME) CGT et ses syndicats (présents à Audincourt) soutiennent la coupure d’électricité réalisée par les électriciens et gaziers ». « Cette action vise à rappeler que cette loi de transition énergétique est une bonne idée, mais avec de très mauvaises solutions », ajoute le communiqué. Cette loi, poursuit notamment le document, « achèverait le processus de casse du service public de l’électricité». Après le rétablissement du courant, les ennuis n’ont pas été terminés pour Manuel Valls puisque quelques perturbateurs, identifiés selon les journalistes sur place par des défenseurs des notaires hostiles à la loi Macron, ont à leur tour perturbé le discours du Premier ministre en brandissant des pancartes. Ces personnes ont alors été fermement invitées à quitter la salle. « Jamais je ne me laisserai impressionner par des manifestations », a alors lancé le Premier ministre, ajoutant que « rien n’empêchera la tenue d’un meeting ».

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