Archive pour le Tag 'dangereusement'

Politique- Ukraine, Pacifique, Israël etc : la guerre avance dangereusement

Ukraine, Pacifique, Israël etc : le champ international de la guerre avance dangereusement

La multiplication des conflits dans le monde inspirés souvent par l’Iran, la Syrie, la Russie et fait courir le risque d’une guerre plus générale vis-à-vis de l’Occident.

Pour l’instant d’une certaine manière les conflits sont délocalisés. Ainsi en Ukraine la Russie affronte les États-Unis et les alliés. L’Iran utilise les palestiniens pour régler leur compte aux régimes notamment sunnites en place dans les pays arabes.

Certes dans l’histoire, des guerres ont succédé aux guerres. Une différence toutefois , la puissance de feu des belligérants et l’ampleur et l’étendue des conséquences.

À noter aussi que nombre des acteurs à l’origine des conflits sont des organisations ou des pays théocratiques voir des dictatures qui grâce à la guerre font monter le sens nationaliste pour masquer leurs propres problèmes internes.

La Chine évite de se positionner avec bruit mais n’est pas sans influence et se réjouit évidemment de l’affaiblissent occidental.

Or la faiblesse et les difficultés internes de la Russie, de la Chine, de la Turquie, de l’Iran et d’autres peuvent inciter les dirigeants à pratiquer la fuite en avant pour externaliser le mécontentement national.

La France aurait sans doute intérêt à affiner sa stratégie de défense car les récents conflits ont montré l’importance des troupes au sol (y compris dans le lamentable recul au Mali, au Burkina Faso et au Niger). Ce n’est pas le micro service national anecdotique qui permettrait de fournir éventuellement les troupes nécessaires en cas de conflit.

Politique-Ukraine, Pacifique, Israël etc : le champ international de la guerre avance dangereusement

Politique-Ukraine, Pacifique, Israël etc : le champ international de la guerre avance dangereusement

La multiplication des conflits dans le monde inspirés souvent par l’Iran, et la Russie fait courir le risque d’une guerre plus générale vis-à-vis de l’Occident.

Pour l’instant d’une certaine manière, les conflits sont délocalisés. Ainsi en Ukraine la Russie affronte les États-Unis et les alliés. L’Iran utilise les palestiniens pour régler leur compte aux régimes notamment sunnites en place dans les pays arabes.

Certes dans l’histoire, des guerres ont succédé aux guerres. Une différence toutefois , la puissance de feu des belligérants et l’ampleur et l’étendue des conséquences.

À noter aussi que nombre des acteurs à l’origine des conflits sont des organisations ou des pays théocratiques voire des dictatures qui grâce à la guerre font monter le sens nationaliste pour masquer leurs propres problèmes internes.

La Chine évite de se positionner avec bruit mais n’est pas sans influence et se réjouit évidemment de l’affaiblissent occidental.

Or la faiblesse et les difficultés internes de la Russie, de la Chine, de la Turquie, de l’Iran et d’autres peut inciter les dirigeants à pratiquer la fuite en avant pour externaliser le mécontentement national.

La France aurait sans doute intérêt à affiner sa stratégie de défense car les récents conflits ont montré l’importance des troupes au sol notamment de l’infanterie (y compris dans le lamentable recul au Mali, au Burkina Faso et au Niger). Ce n’est pas le micro service national anecdotique qui permettrait de fournir éventuellement les troupes nécessaires en cas de conflit.

Face au climat de guerre qui se répand, une autre stratégie de défense s’impose car la France ne dispose en réalité que d’une micro armée certes performante mais sur des micros champs de bataille et encore.

La question de la redéfinition de la stratégie militaire se pose et notamment celle du rétablissement du service national. L’enjeu est évidemment de préparer à temps les éventuels futurs combattants et non d’attendre le dernier moment pour les jeter en pâture à l’ennemi.

Ukraine, Pacifique, Israël etc : le champ international de la guerre avance dangereusement

Ukraine, Pacifique, Israël etc : le champ international de la guerre avance dangereusement

La multiplication des conflits dans le monde inspirés souvent par l’Iran, la Syrie, la Russie et fait courir le risque d’une guerre plus générale vis-à-vis de l’Occident.

Pour l’instant d’une certaine manière les conflits sont délocalisés. Ainsi en Ukraine la Russie affronte les États-Unis et les alliés. L’Iran utilise les palestiniens pour régler leur compte aux régimes notamment sunnites en place dans les pays arabes.

Certes dans l’histoire, des guerres ont succédé aux guerres. Une différence toutefois , la puissance de feu des belligérants et l’ampleur et l’étendue des conséquences.

À noter aussi que nombre des acteurs à l’origine des conflits sont des organisations ou des pays théocratiques voir des dictatures qui grâce à la guerre font monter le sens nationaliste pour masquer leurs propres problèmes internes.

La Chine évite de se positionner avec bruit mais n’est pas sans influence et se réjouit évidemment de l’affaiblissent occidental.

Or la faiblesse et les difficultés internes de la Russie, de la Chine, de la Turquie, de l’Iran et d’autres peut inciter les dirigeants à pratiquer la fuite en avant pour externaliser le mécontentement national.

La France aurait sans doute intérêt à affiner sa stratégie de défense car les récents conflits ont montré l’importance des troupes au sol (y compris dans le lamentable recul au Mali, au Burkina Faso et au Niger). Ce n’est pas le micro service national anecdotique qui permettrait de fournir éventuellement les troupes nécessaires en cas de conflit.

Covid: Macron politise dangereusement la crise sanitaire

Covid: Macron politise dangereusement la crise sanitaire

Le président de la République n’appréhende plus seulement le Covid-19 comme un fléau à combattre. Plus l’élection présidentielle approche, plus il l’utilise comme une arme à fragmentation, au risque d’essuyer un puissant tir de riposte estime Françoise Fressoz dans le Monde.

 

Chronique.

La fulgurante propagation du variant Omicron du SARS-CoV-2 a rallumé le spectre d’une élection présidentielle sous Covid-19. Il faut donc saluer l’initiative du premier ministre, Jean Castex, de réunir, mardi 11 janvier, les chefs des partis politiques ainsi que les candidats déclarés à la présidentielle pour tenter de définir des règles communes susceptibles de sauver la campagne.

Alors que le droit constitutionnel protège la liberté de réunion, certains candidats ont choisi d’annuler ou de reporter leurs meetings de janvier. D’autres préfèrent, au contraire, les maintenir en imposant des jauges, en distribuant des masques FFP2 ou en demandant à l’entrée le passe sanitaire. Une harmonisation est souhaitable, de même qu’un minimum d’entente autour de la façon dont va se dérouler l’élection des 10 et 24 avril sur laquelle plane le spectre de l’abstention après les records enregistrés aux élections municipales de 2020 et régionales de 2021.

Cette quête de rassemblement dans un nouveau moment difficile pour le pays ne doit cependant pas faire illusion. A quatre-vingt-dix jours du scrutin présidentiel, le verni de l’unité a définitivement volé en éclats et l’exécutif n’y est pas pour rien. Il agit désormais comme si le virus était devenu un objet politique à part entière. Il ne l’appréhende plus seulement comme le fléau à combattre en unissant les forces. Il l’utilise au contraire comme une arme à fragmentation, un levier pour refaçonner l’imaginaire politique et structurer un nouveau clivage susceptible de piéger ses adversaires.

Les déclarations fracassantes du président de la République, qui a assuré, mardi 4 janvier dans un entretien au Parisien, vouloir « emmerder » les non-vaccinés, ont fait entrer la lutte contre le Covid-19 dans une nouvelle dimension, beaucoup plus politique et polémique. C’est pourquoi il ne faut plus seulement évoquer les risques d’une campagne présidentielle sous Covid-19. Il faut aussi s’interroger sur les problèmes que soulève la gestion d’une épidémie sous emprise électorale.

Un gros danger menaçait l’exécutif en ce début d’année : que le quinquennat finissant devienne le symbole de l’impuissance à cause des facéties d’un virus qui ne cesse depuis deux ans de surgir, de disparaître puis de resurgir sous des formes toujours différentes et plus ou moins résistantes aux vaccins. Pour peu que l’accusation soit formulée, relayée puis ancrée dans les esprits, l’enlisement menaçait et, avec lui, le risque du coup de balai, sur fond de déprime collective.

Musk spécule dangereusement sur le bitcoin

Musk spécule dangereusement sur le bitcoin

Les annonces jours spectaculaires du provocateur patron de tesla, ont servi sans doute l’image de la société mais aussi la spéculation.  Les annonces ont consisté à informer que Tesla avait acheté pour 1,5 milliards de dollars de bitcoin. Le patron de Tesla a aussi manifesté son soutien total à la cryptomonnaie. Ensuite, il a indiqué qu’une voiture sortie de ses usines pourrait être payée par un bitcoin. Autant de déclarations qui relèvent purement et simplement de la spéculation et qui risque de faire perdre de l’argent à beaucoup de naïfs évidemment d’en faire gagner à d’autres.

Il est clair que les autorités de régulation boursière devraient sérieusement s’intéresser à ce type de manœuvre qui vise notamment à manipuler une cryptomonnaie qui joue au yo-yo et en même temps à s’attaquer au système monétaire.

Musk a bouleversé Wall Street au cours de l’année dernière et est brièvement devenu la personne la plus riche du monde alors que les actions de Tesla ont bondi de près de 500% pour devenir la cinquième société américaine la plus précieuse, laissant d’autres sociétés et investisseurs désireux de suivre son sillage.

«Si des mortels de moindre importance avaient pris la décision de mettre une partie de leur bilan en Bitcoin, je ne pense pas que cela aurait été pris au sérieux», a déclaré Thomas Hayes, membre directeur de Great Hill Capital LLC à New York. «Mais lorsque l’homme le plus riche du monde le fait, tout le monde doit y jeter un coup d’œil.»

La nouvelle a déclenché de lourds échanges de crypto-monnaies et a provoqué des échanges comme Coinbase, Gemini, Binance à rencontrer des problèmes techniques, selon Coindesk ici .

Cela a également généré des discussions sur Reddit. Alors que les discussions sur les cryptomonnaies sont interdites dans la communauté WallStreetBets qui a alimenté la frénésie commerciale de GameStop Corp, les utilisateurs d’autres sous-titres ont posté «sur la lune», s’attendant à ce que davantage d’entreprises emboîtent le pas après Tesla.

Les experts ont déclaré qu’ils ne seraient pas surpris par un examen plus attentif des régulateurs étant donné le passé boursier chaotique  de Musk .

Veolia joue dangereusement les pompiers pyromanes du secteur

Veolia joue dangereusement  les pompiers pyromanes du secteur

Le patron de Veolia réitère sa volonté de prendre le contrôle de Suez en lançant une OPA sur son concurrent. Pour faire semblant de satisfaire le gouvernement qui incite à la concertation entre les deux groupes, le patron de Veolia propose tout simplement d’absorber Suez. Pire il justifie sa stratégie en considérant que Suez fait obstacle à cette OPA. Ce que demande en fait le patron de Veolia c’est le suicide de Suez, une curieuse manière de coopérer.

Le problème c’est que Veolia ne cesse de jeter de lui sur le feu dans ce secteur, de créer le doute chez les clients des deux opérateurs de services publics. Pour  l’eau comme d’ailleurs pour d’autres services,  on ne sait pas exactement ce que pourrait être le champ d’activité de Veolia comme de Suez. Certaines collectivités françaises mais aussi étrangères pourraient alors être tentées de recourir à d’autres opérateurs. On voit mal par exemple des collectivités locales se sentir très rassurées par le transfert de l’activité de l’eau par exemple à un fonds d’investissement qui n’a aucune compétence technique et dont l’objet est surtout de tirer rapidement des profits de ses investissements alors que l’engagement et la gestion de ce secteur doit s’inscrire sur le long terme.

D’une certaine manière Veolia joue donc les pompiers pyromanes et l’incendie provoquée chez Suez pourrait bien contaminer Veolia surtout à un moment ou des collectivités locales du fait de la crise sanitaire et économique devront tenir compte de la réduction de leurs ressources pour financer les services publics.

Les « péripéties » qui semblent s’opposer à son projet d’acquisition de Suez n’affectent donc en rien la détermination de Veolia. Le leader mondial du traitement de l’eau et des déchets veut au contraire accélérer son offensive sur son rival, en accroissant sa pression sur Suez sur plusieurs fronts, a annoncé son PDG Antoine Frérot mardi.

Pour faire plier Suez, dont le conseil d’administration et le conseil social et économique (CSE) s’opposent farouchement à la fusion, considérée comme « funeste », Veolia renforce sa pression sur les actionnaires de sa cible.

Le groupe s’engage désormais  »à déposer une offre publique d’acquisition au prix de 18 euros par action (coupon attaché) pour l’ensemble du capital de Suez dès que le conseil d’administration de Suez aura émis un avis favorable sur ce projet et aura désactivé le dispositif visant à organiser l’inaliénabilité de l’activité de l’eau en France », a-t-il déclaré  par communiqué.

 

Une telle décision du conseil d’administration est donc désormais « la seule chose qui s’oppose à une OPA », sécurisant l’offre comme son prix, a souligné maître Pierre-Yves Chabert, avocat de Veolia. Il a ajouté que cette décision devra être matérialisée par la conclusion d’un « accord de rapprochement » contenant des engagements précis, incluant la non cession d’actifs stratégiques.

 

Hollande joue dangereusement avec les sujets de société (Raffarin)

Hollande joue dangereusement avec  les sujets de société (Raffarin)

« Je suis inquiet pour l’état de la société [...]. Je suis inquiet de la gouvernance socialiste », a déclaré Jean-Pierre Raffarin, dimanche 26 janvier lors du Grand Jury RTL.  À son sens, François Hollande doit opérer « un volte-face », en particulier sur le terrain économique, sans quoi « nous allons vers une situation d’extrême crise », a-t-il estimé. « Hollande n’a pas de majorité. Au Sénat, les Verts, les communistes et les radicaux ne votent jamais. S’il est conscient de cette situation, et il l’est, je crains qu’il ne soit tenté de compenser par des mesures sociétales le désaccord » qui existe dans la société quant à sa politique.  « Je crains l’orientation économique qu’il fait payer à la société par des compensations sociétales, qui est au fond la façon par laquelle il arrive à fédérer sa majorité », a-t-il encore lancé, prenant le récent exemple du projet de loi sur l’IVG. « Il est très dangereux de jouer avec les sujets de société. Il ne faut pas monter les Français les uns contre les autres », a-t-il affirmé.




L'actu écologique |
bessay |
Mr. Sandro's Blog |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | astucesquotidiennes
| MIEUX-ETRE
| louis crusol