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L’obligation d’activité pour le RSA pose problème !

  L’obligation d’activité pour le  RSA pose problème !  

Critiquant les propositions d’Emmanuel Macron et de Valérie Pécresse de conditionner de manière plus stricte le revenu de solidarité active, le président de l’Institut de l’engagement, à l’initiative du RSA en 2009, estime, dans une tribune au « Monde », que c’est plutôt aux pouvoirs publics qu’il revient d’améliorer leur accompagnement vers l’emploi.

 

Un article qui n’est pas sans intérêt avec des arguments pertinents mais qui toutefois donne aussi une légitimité au refus d’une insertion sociale contre le RSA via l’exigence d’assistanat NDLR

Tribune.

 

Nul doute qu’il est préférable de tirer l’essentiel de ses revenus de son travail que d’une allocation, qu’il est sain de considérer que les droits sociaux ont comme contrepartie des devoirs et qu’une société qui laisse durablement une grande fraction de ses membres en dehors du monde du travail est en échec. Nul doute aussi que, si vous demandez à un salarié qui gagne le smic s’il trouve normal que son voisin puisse en toucher la moitié sans travailler, il vous répondra non. Et cette question devient d’autant plus sensible quand il y a des difficultés à recruter dans certains secteurs, y compris pour des emplois peu qualifiés. Pour autant, l’obligation d’activité pour les allocataires du revenu de solidarité active (RSA) pose plus de problèmes qu’elle n’en résout.

Peu après la création du service civique, plusieurs responsables politiques avaient demandé qu’il devienne obligatoire. Or, il y avait à l’époque plus de jeunes volontaires que de missions proposées et financées. Il était paradoxal de vouloir obliger des jeunes à faire un service civique auquel on leur refusait l’accès ! Si obligation il devait y avoir, c’était celle, pour les pouvoirs publics, d’offrir une mission à chaque jeune volontaire plutôt que l’inverse. Mais cela imposait d’y mettre les moyens et la volonté.

La question de l’obligation d’activité pour les allocataires du RSA est un peu de la même eau. Il est plus facile de cibler les allocataires profiteurs que de reconnaître que les pouvoirs publics n’ont pas satisfait à leurs propres obligations et qu’ils n’appliquent pas celles déjà fixées.

A la création du revenu de solidarité active, j’ai fait inscrire, dans la loi du 1er décembre 2008, que les allocataires devaient être soumis aux mêmes obligations que les autres demandeurs d’emploi, avec la possibilité de réduire ou supprimer l’allocation en cas de refus de deux offres valables d’emploi, assortie de l’obligation pour Pôle emploi d’inscrire les allocataires du RSA. Cette obligation, cohérente avec une logique de droits et devoirs, a suscité une levée de boucliers de certains de mes collègues du gouvernement, à commencer par Laurent Wauquiez, alors secrétaire d’Etat à l’emploi. Celui-ci m’avait fait valoir qu’étant donné le critère de la baisse du nombre de chômeurs, mesuré par les inscriptions à Pôle emploi, il n’allait pas se tirer une balle dans le pied en laissant s’y inscrire des gens qui avaient moins de chances que les autres d’intégrer le marché du travail. Le même, quelque temps après, dénonçait le « cancer de l’assistanat ».

Santé : 95 % des Français manquent d’activité physique

Santé : 95 % des Français manquent d’activité physique

 

Pour résumer, les Français passent trop de temps devant les écrans et ou en position assise. D’où un manque d’activité physique est une menace sérieuse sur la santé.

 

. L’organisation de la vie de 95 % des adultes français (18-64 ans) les expose à une détérioration de leur santé d’après une étude de l’Agence Nationale Sécurité Sanitaire Alimentaire Nationale (Anses) .

 

L’étude révèle des disparités dans la population. Ainsi, les femmes sont plus exposées à un manque d’activité physique. 70 % d’entre elles sont en deçà de tous les niveaux d’activité identifiés pour être en bonne santé, contre 42 % des hommes. En outre, l’insuffisance d’activité physique touche plus les habitants de l’agglomération parisienne que ceux des zones rurales.Concernant la sédentarité (qui correspond à un niveau d’activité très bas, comme lorsqu’on est devant la télévision, un jeu vidéo ou un ordinateur), les adultes à faible niveau d’études et les moins de 45 ans sont les plus touchés (42 % des 18-44 ans passent plus de 8 heures par jour devant un écran, contre 31 % des 45-64 ans). Là encore, les Franciliens sont plus exposés à la sédentarité, à raison de 2 heures supplémentaires par jour que les ruraux.

Pour les adultes à l’activité physique faible à modérée (37 % de la population adulte), l’augmentation de la mortalité, toutes causes confondues, s’élève de 5 à 10 %, contre 40 % chez les adultes les moins actifs (27 % de la population adulte).

Les risques pour la santé sont multiples : « Par exemple, ils [les populations à risque] sont davantage exposés aux maladies cardiovasculaires et à certains cancers. Ils sont également plus à risque d’hypertension ou d’obésité », explique le professeur Irène Margaritis, cheffe de l’Unité d’évaluation des risques liés à la nutrition à l’Anses.

« C’est l’organisation même de nos modes de vie qui est à revoir », insiste Irène Margaritis, « que ce soit dans l’espace public, en laissant davantage de place aux mobilités actives comme le vélo ou la marche, ou sur le lieu de travail, en favorisant la pratique sportive et en limitant les temps de sédentarité, ou encore dans le système scolaire en augmentant l’espace et le temps dédiés aux activités physiques et sportives », égrène-t-elle.

 

Travail ou concept d’activité

 

La sociologue Marie-Anne Dujarier montre, dans une tribune au « Monde », que l’association entre activité, utilité et revenu, socle de notre conception du travail, est aujourd’hui ébranlée. (extrait)

 

Tribune. 

 

Depuis les années 1970, des articles de gestion prescrivent la « mise au travail des consommateurs ». Ils suggèrent que cette « main-d’œuvre » motivée, impatiente, innombrable, disponible et surtout gratuite pourrait être avantageusement utilisée et « managée » par les entreprises. Dans les faits, on peut observer trois formes sociales dans lesquelles les clients déploient une activité bénévole productive, profitable pour les entreprises qui l’encadrent.

Premièrement, dans les supermarchés, les stations-service, les gares, les fast-foods ou à La Poste, par exemple, nous coproduisons régulièrement le service que nous achetons. Cette autoproduction dirigée est contrainte et permet de réduire le nombre d’employés de première ligne (guichetiers, caissières, serveuses…).

Le deuxième type est à l’inverse fondé sur le volontariat : la captation dans la foule (« crowdsourcing ») d’informations personnelles, articles, photos, vidéos, blogs, CV, notations, commentaires, likes, etc., offerts volontairement, est une source de profits pour les sites qui les accueillent.

Troisièmement, et plus indirectement, qu’il s’agisse d’acheter de manière éclairée ou de se désabonner d’un service, sortir de la contradiction dans laquelle nous plonge le marketing lorsqu’il nous déclare libre tout en cherchant à orienter nos comportements requiert, là encore, des compétences et des efforts importants.

Mais l’expression « travail du consommateur » fait surgir un doute : puisque ce dernier n’est pas salarié, d’une part, et qu’il n’a pas toujours le sentiment de travailler, d’autre part, peut-on parler de « travail » ? Une floraison d’expressions telles que « travail domestique », « travail du malade », « digital labor » ou « travail bénévole » remettent pareillement en question aujourd’hui la signification que nous attribuons au mot « travail ».

Les historiens et anthropologues montrent qu’il n’existe pas de définition universelle du travail ; il est vain en effet de chercher une substance derrière le substantif. Le mot est plutôt une catégorie de la pensée et de la pratique, construite par les sociétés et donc variable dans le temps. Ainsi, depuis le XIe siècle, la langue française désigne avec ce mot l’activité, cette peine que nous nous donnons pour faire quelque chose. Il est aussi utilisé depuis le XIVe siècle pour parler du résultat de l’activité : l’ouvrage réalisé, la production, progressivement réputée « utile ». Puis il a été associé à l’idée de gagne-pain, et finalement à l’emploi depuis l’époque contemporaine.

Covid -Restaurants : une baisse d’activité de 40 % !

Covid -Restaurants : une baisse d’activité de 40 % !

 

 Le Syndicat des indépendants et des TPE (SDI) a réalisé une enquête auprès de ses adhérents restaurateurs sur l’impact du passe sanitaire. Son secrétaire général Marc Sanchez en commente le résultat pour le JDD.(Extraits)

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Le Syndicat des indépendants et des TPE (SDI) a mené pendant huit jours, du 9 au 16 août. D’après cette enquête 87% d’entre eux ont observé une baisse de fréquentation – et donc de chiffre d’affaires – et sur ces 87%, 73% ont indiqué que cette baisse était de l’ordre de 40%. Marc Sanchez, secrétaire général du SDI, analyse pour le JDD les résultats de l’enquête et met en avant les revendications de ses adhérents.

Dans le détail de votre enquête, cette baisse de fréquentation constatée est-elle uniforme?
Les situations sont bien sûr variables en fonction des zones géographiques. Dans les stations touristiques des zones côtières, l’impact a été très important sur la première journée, le 9 août, avant que cela se normalise, avec un recours aux tests par la clientèle non vaccinée. En revanche, dans les grandes villes, à commencer par Paris, la baisse de fréquentation s’est accentuée au fil de la première semaine.

 

Comment vos adhérents ont-ils vécu la mise en place du passe sanitaire?
Ils reconnaissent que c’est un mal nécessaire. Mais cela s’ajoute à de nombreuses restrictions et ils n’arrivent pas à voir le bout du tunnel. De plus, certains secteurs ont subi, depuis le 1er juin, la dégressivité des aides au point de connaître des premières difficultés financières, et ce, alors même qu’ils n’ont pas encore eu à payer les charges sociales [à partir d'octobre, NDLR]. Un décret, publié mercredi, a permis d’actualiser le dispositif concernant les pertes d’exploitation, mais cela ne suffira pas et il y a encore beaucoup d’inquiétudes.

Les restaurateurs interrogés ont-ils rencontré des difficultés d’organisation sur la mise en place du passe?
Le contrôle en lui-même, ça peut se passer assez vite et sans trop de problèmes techniques. Mais ça a été plus compliqué dans les zones très fréquentées – les stations balnéaires par exemple – et pour ceux qui ont du volume. Quand vous avez une grande terrasse, il est parfois difficile de bien contrôler les clients, de vérifier qu’ils ont le passe alors qu’ils se sont déjà assis, de gérer les tensions avec les récalcitrants – même si elles restent minoritaires.

Vous demandez la suppression du passe sanitaire pour les terrasses des restaurants. La mesure a pourtant été déjà actée fin juillet et le gouvernement ne prévoit pas revenir dessus…
On se heurte à un certain illogisme. Les autorités, se basant sur des études scientifiques, nous ont assuré pendant des mois qu’être en terrasse, en extérieur et avec la distanciation minimale, n’entraînent pas de risques supplémentaires. Et là, d’un coup, il y a une stigmatisation sur les terrasses. Aujourd’hui, vous pouvez faire la queue devant un boulanger, acheter un sandwich et le manger devant la boutique sans contrainte, ni masque, ni passe.

A partir du 30 août, les salariés des entreprises recevant du public devront avoir un passe sanitaire. Les restaurateurs redoutent-ils cette échéance? 
Nos adhérents observent que la majorité de leurs salariés sont ou seront vaccinés à cette date. Beaucoup sont en revanche inquiets de la gestion des quelques personnes récalcitrantes ou pas encore vaccinées. La question se pose surtout pour les entreprises de moins de 5 ou 10 salariés. En effet, l’absence de passe sanitaire entraîne la suspension du contrat du salarié concerné. Mais on ne sait pas quand cet employé va réintégrer l’entreprise. Voilà pourquoi nous avons proposé, dans un courrier transmis au gouvernement le 9 août dernier, que la suspension ferme du contrat soit d’une durée fixe d’un mois. D’un côté, le salarié a un mois pour se faire vacciner. Et de l’autre côté, l’employeur peut embaucher une personne par intérim pour un mois ou réorganiser le planning de ses autres salariés en leur proposant des heures supplémentaires – que nous souhaitons défiscalisées.

Ces embauches provisoires ne risquent-elles pas d’être compliquées alors que le marché de l’emploi est tendu dans le secteur de la restauration?
C’est pourquoi nous proposons aussi la création d’une task force au sein de Pôle Emploi, dédiée à l’accompagnement des dirigeants en recherche de personnels qualifiés. Parmi nos autres demandes, nous souhaitons la continuité du Fonds de solidarité sans dégressivité pour les secteurs les plus impactés par la crise, mais aussi la réactivation de ce Fonds pour les autres entreprises en difficulté économiques avérées, où nous avons des baisses d’activité entre -20% et -40% sur toute l’année.

 

Les aides de l’Etat pour de nouveaux secteurs d’activité

Les aides de l’Etat pour de nouveaux secteurs d’activité

Le ministre de l’Economie Bruno Le Maire a annoncé lundi que de nouveaux secteurs d’activité bénéficieraient d’exonération de charges et de chômage partiel.

« Nous allons élargir les bénéfices des dispositifs prévus pour le tourisme à un certain nombre de secteurs, je pense en particulier aux magasins de souvenirs et de piété », a déclaré le ministre lors d’un déplacement à Lourdes, lieu traditionnel de pèlerinages religieux, pratiquement à l’arrêt en raison des mesures sanitaires.

Les magasins de souvenirs et de piété, les boutiques des galeries marchandes, les boutiques des aéroports, les traducteurs-interprètes, les métiers d’art, les services auxiliaires de transport par eau, les paris sportifs, les labels sont concernés par la mesure.

Ils pourront accéder au dispositif d’activité partielle jusqu’à la fin de l’année, au fonds de solidarité jusqu’à la fin de l’année, et à l’exonération des cotisations sociales pendant 4 mois à compter de la publication du décret. De plus, ceux dont le chiffre d’affaires a baissé d’au moins 50% depuis 2019, pourront percevoir une aide de 1.500 euros par mois.

 

Flins Renault: «réduction d’activité mais maintien

Flins Renault: «réduction d’activité mais maintien

 

Il paraissait difficile politiquement que le gouvernement accepte la fermeture de ce site par contre d’autres sites plus secondaires seront sans doute fermés et beaucoup connaîtront des plans de licenciement. Le gouvernement a d’ailleurs annoncé qu’il  ne s’y opposerait pas. Renault peut-être encore plus que d’autre constructeurs est affronté à une double crise une crise de l’offre bien sûr puisque les usines ont été paralysées pendant une période mais aussi une crise de la demande. Certes le Coronavirus a fait diminuer cette demande de près de 80 %, elle devrait remonter dans les mois à venir mais au total pour l’année 2020 la baisse pourrait tourner de 15 % au plan mondial. En cause, les problèmes spécifiques à l’industrie automobile qui d’ailleurs étaient antérieurs à la crise sanitaire mais aussi les évolutions du volume et des modes de mobilité sans parler des interrogations sur le véhicule du futur le plus pertinent et où le plus accessible .

 

 «Il n’est pas question de fermer Flins. Il n’y aura pas de fermeture mais une évolution de l’activité», a déclaré à l’AFP Franck Daoût, délégué syndical central CFDT, après un entretien avec Jean-Dominique Senard, président de Renault, et Clotilde Delbos, directrice générale par intérim. Pendant cette réunion, la direction «n’a rien voulu annoncer» de son plan d’économies qu’elle doit présenter en fin de semaine, a ajouté Franck Daoût. La CFDT a plaidé pour «un renforcement de l’outil industriel en France» et «une optimisation des sites», a-t-il dit. «On nous a certifié que c’était la démarche» retenue, avec «un maintien de la capacité de production», a-t-il poursuivi, en craignant «des risques de disparition de postes dans l’ingénierie».

Pour les sites de Dieppe (modèle sportif Alpine), Choisy-le-Roi (réparation de pièces) et Caudan (Fonderie de Bretagne), que Le Canard enchaîné disait la semaine dernière destinés à la fermeture, «c’est la grosse inquiétude», en particulier pour le site breton, a estimé Franck Daoût, en espérant des «projets alternatifs» pour les deux autres. Ce seront seulement «les grandes lignes» du plan d’économies qui seront présentées à la fin de la semaine, avant une négociation en détail avec les syndicats, «mais est-ce qu’on aura la possibilité de faire des propositions alternatives?», s’est demandé le délégué CFDT qui sera reçu mardi à Bercy.

Lundi, plusieurs dizaines de salariés ont bloqué l’accès à la Fonderie de Bretagne, à Caudan (Morbihan), pour protester contre la possible fermeture de cette usine où travaillent quelque 370 personnes.

 

Prime d’activité jeunes : Hollande dans le flou

Prime d’activité jeunes : Hollande dans le flou

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Du flou pour la prime d’activité dont on ne sait pas si elle sera appliquée pour les étudiants et les apprentis. Cette mesure étendue à la va vite par Hollande ( comme souvent chez lui ) pour les besoins de l’émission de télé sur Canal+.  a créé la surprise au sien même du gouvernement. Par parenthèse on se demande pourquoi cette prime serait financée par le budget de l’Etat et non par l’Assedic puisqu’il s’agit bien de chômage (partiel). Le président de la République avait, en effet, affirmé la veille son intention d’étendre le dispositif pour que « toutes les personnes qui sont dans les petits boulots, l’intérim, le temps partiel » puissent en bénéficier. Une déclaration qui semblait expressément viser les étudiants et les apprentis via l’utilisation du terme « petits boulots ». Mais lundi après-midi, une source proche du ministère du Travail a semblé écarter cette hypothèse.  « A ce stade, la prime d’activité sera ouverte à tous les actifs, dont les jeunes de 18 à 25 ans », mais « les étudiants ou les apprentis n’y seront pas éligibles », expliquait-elle, précisant bien au passage que les étudiants effectuant des petits boulots ne seront pas concernés.  Sauf que quelques heures plus tard, sur BFMTV, le ministre des Finances Michel Sapin a de nouveau tenu des propos qui ont continué d’entretenir le flou autour de la mesure. « Le jeune qui est étudiant, il n’a pas une dissuasion à prendre un travail, il étudie. Mais il y a aussi des jeunes qui ne peuvent pas faire autrement que de travailler y compris pour pouvoir continuer leurs études », a-t-il d’abord déclaré.  Avant d’ajouter: « ceux-là, lorsqu’ils travaillent vraiment, je ne parle pas d’un petit boulot pendant les vacances, mais quand ils travaillent vraiment, il est légitime qu’ils puissent aussi bénéficier de ce dispositif, qui leur permettra d’ailleurs, le jour où ayant terminé leurs études, mais ayant acquis aussi une formation, une expérience professionnelle, de rentrer pleinement et complètement sur le marché du travail ». De plus, François Hollande « a mûrement réfléchi sa décision (…) et il compte bien l’imposer à ses ministres et leurs conseillers rétifs », rapportent les Echos qui évoquent 100.000 étudiants salariés et 300.000 apprentis qui rentreraient dans le périmètre du dispositif.  Le débat devrait définitivement être tranché mercredi à l’occasion de la présentation du projet de loi du ministre du Travail François Rebsamen, qui contient cette mesure, en Conseil des ministres.




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