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Pouvoir d’achat : Baisse de la consommation en volume

Pouvoir d’achat : Baisse de la consommation en volume

En 2023, les dépenses de consommation ont diminué de 1,9% en volume, d’après la Fédération des acteurs du commerce dans les territoires (FACT). Une évolution conjoncturelle liée à l’envol de l’inflation mais également une évolution structurelle du faite de la modification du comportement des consommateurs en matière d’achat. Avec une tendance générale des ménages à descendre de gamme pour ne pas augmenter la facture. Aussi à réduire des dépenses jugées superflues.

Toujours du fait de la remontée des prix, les dépenses de consommation ont, logiquement, diminué de 1,9% en volume.

Les chiffres ne sont pas bons depuis le second semestre
Pourtant, même dans les centres commerciaux où le chiffre d’affaires a progressé de 3,3%, les chiffres ne sont pas bons, et ce, depuis le second semestre. Entre janvier et juillet 2023 inclus, la fréquentation a été plus forte que sur la même période en 2022, tandis qu’officiellement, elle « se stabilise » depuis août.

La fréquentation de petits centres comptant au moins 20 magasins a décliné de 0,1%, à l’inverse des grands centres (recensant 40 enseignes, +1,6%), des centres régionaux (comptant 80 magasins, +3,5%) et des centres super-régionaux (150 magasins, +4,5%).

« Plus le centre est grand, plus sa performance en trafic est élevée. Plus l’offre est diversifiée – loisirs, restauration… -, plus l’attractivité est grande », a décrypté Christophe Noël.

Baisse du pouvoir d’achat en 2023 mais 100 milliards de dividendes

Baisse du pouvoir d’achat en 2023 mais 100 milliards de dividendes

L’inflation aura constitué un extraordinaire antidistributif sur le dos des ménages. profitant de la tendance inflationniste nombre d’entreprises en ont profité pour ajouter des hausses tarifaires à l’évolution des prix déjà haussière. Ce sont quelques pour cent discrètement pris dans la poche des ménages qui ont perdu en moyenne presque 500 € de pouvoir d’achat en moyenne sur des indices pertinents d’évolution des prix. Presque l’équivalent des 100 milliards de dividendes réalisés par les seules entreprises du CAC 40.

Rappelons que le pouvoir au moment des pics de hausse avait envisagé une taxe sur les superprofits vite abandonnée depuis. Les actionnaires en 2023 ont encaissé environ 100 milliards au titre des dividendes. Dans le même temps des ménages qui ont perdu de de l’ordre de 5 à 10 % de pouvoir d’achat. La baisse du pouvoir d’achat combinée à l’inflation sur les produits essentiels notamment alimentaires a modifié les comportements. On a en particulier assisté à une baisse du volume des les achats alimentaires de l’ordre 10 à 15 %. L’inflation dans les grandes surfaces a contraint de nombreux Français à faire des arbitrages en achetant moins cher et surtout en achetant moins. Des achats en plus de pommes de terre, un produit qui vient compenser l’envol des prix d’autres légumes.

Ainsi sur les 313 catégories de produits de grandes consommations présentes en grande surface, 236 ont vu leurs volumes d’achats reculer entre octobre 2022 et octobre 2023, selon les données de Circana. Avec des baisses spectaculaires sur de nombreuses catégories: -29% sur le foie gras, -18% sur la champagne, -16% sur les huiles, -15% sur les jus de fruits frais ou encore -11% sur les désodorisants, -10% sur le savon, -8% sur les essuie-tout et -7% sur le gel douche.

Les produits de luxe ou ceux jugés moins essentiels sont ainsi passés à la trappe au sein de nombreux foyers. On abandonne par exemple le champagne pour des mousseux moins chers, on presse soi-même ses fruits plutôt que d’acheter du jus au supermarché, on fait durer le savon un peu plus longtemps pour en acheter moins.

Baisse du pouvoir d’achat en 2023 mais 100 milliards de dividendes

Baisse du pouvoir d’achat en 2023 mais 100 milliards de dividendes


L’inflation aura constitué un extraordinaire antidistributif sur le dos des ménages. profitant de la tendance inflationniste nombre d’entreprises en ont profité pour ajouter des hausses tarifaires à l’évolution des prix déjà haussière. Ce sont quelques pour cent discrètement pris dans la poche des ménages qui ont perdu en moyenne presque 500 € de pouvoir d’achat en moyenne sur des indices pertinents d’évolution des prix. Presque l’équivalent des 100 milliards de dividendes réalisés par les seules entreprises du CAC 40.
Rappelons que le pouvoir au moment des pics de hausse avait envisagé une taxe sur les superprofits vite abandonnée depuis. Les actionnaires en 2023 ont encaissé environ 100 milliards au titre des dividendes. Dans le même temps des ménages qui ont perdu de de l’ordre de 5 à 10 % de pouvoir d’achat. La baisse du pouvoir d’achat combinée à l’inflation sur les produits essentiels notamment alimentaires a modifié les comportements. On a en particulier assisté à une baisse du volume des les achats alimentaires de l’ordre 10 à 15 %. L’inflation dans les grandes surfaces a contraint de nombreux Français à faire des arbitrages en achetant moins cher et surtout en achetant moins. Des achats en plus de pommes de terre, un produit qui vient compenser l’envol des prix d’autres légumes.

Ainsi sur les 313 catégories de produits de grandes consommations présentes en grande surface, 236 ont vu leurs volumes d’achats reculer entre octobre 2022 et octobre 2023, selon les données de Circana. Avec des baisses spectaculaires sur de nombreuses catégories: -29% sur le foie gras, -18% sur la champagne, -16% sur les huiles, -15% sur les jus de fruits frais ou encore -11% sur les désodorisants, -10% sur le savon, -8% sur les essuie-tout et -7% sur le gel douche.

Les produits de luxe ou ceux jugés moins essentiels sont ainsi passés à la trappe au sein de nombreux foyers. On abandonne par exemple le champagne pour des mousseux moins chers, on presse soi-même ses fruits plutôt que d’acheter du jus au supermarché, on fait durer le savon un peu plus longtemps pour en acheter moins.

Baisse du pouvoir d’achat et malbouffe
Publié le 17 décembre, 2023 dans social et société. 0 Commentaire
Tags : baisse, d’achat, du, et, malbouffe, pouvoir.
Baisse du pouvoir d’achat et malbouffe

La baisse du pouvoir d’achat combinée à l’inflation sur les produits essentiels notamment alimentaires a modifié les comportements. On a en particulier assisté à une baisse du volume des les achats alimentaires de l’ordre 10 à 15 %. L’inflation dans les grandes surfaces a contraint de nombreux Français à faire des arbitrages en achetant moins cher et surtout en achetant moins. Des achats en pls de pommes de terre, un produit qui vient compenser l’envol des prix d’autres légumes.

Ainsi sur les 313 catégories de produits de grandes consommations présentes en grande surface, 236 ont vu leurs volumes d’achats reculer entre octobre 2022 et octobre 2023, selon les données de Circana. Avec des baisses spectaculaires sur de nombreuses catégories: -29% sur le foie gras, -18% sur la champagne, -16% sur les huiles, -15% sur les jus de fruits frais ou encore -11% sur les désodorisants, -10% sur le savon, -8% sur les essuie-tout et -7% sur le gel douche.

Les produits de luxe ou ceux jugés moins essentiels sont ainsi passés à la trappe au sein de nombreux foyers. On abandonne par exemple le champagne pour des mousseux moins chers, on presse soi-même ses fruits plutôt que d’acheter du jus au supermarché, on fait durer le savon un peu plus longtemps pour en acheter moins.

Social-Baisse du pouvoir d’achat en 2023

Social-Baisse du pouvoir d’achat en 2023


Une bonne année pour les actionnaires en 2023 qui ont encaissé environ 100 milliards au titre des dividendes. Dans le même temps des ménages qui ont perdu de de l’ordre de 5 à 10 % de pouvoir d’achat. La baisse du pouvoir d’achat combinée à l’inflation sur les produits essentiels notamment alimentaires a modifié les comportements. On a en particulier assisté à une baisse du volume des achats alimentaires de l’ordre 10 à 15 %. L’inflation dans les grandes surfaces a contraint de nombreux Français à faire des arbitrages en achetant moins cher et surtout en achetant moins. Des achats en plus de pommes de terre, un produit qui vient compenser l’envol des prix d’autres légumes.

Ainsi sur les 313 catégories de produits de grandes consommations présentes en grande surface, 236 ont vu leurs volumes d’achats reculer entre octobre 2022 et octobre 2023, selon les données de Circana. Avec des baisses spectaculaires sur de nombreuses catégories: -29% sur le foie gras, -18% sur la champagne, -16% sur les huiles, -15% sur les jus de fruits frais ou encore -11% sur les désodorisants, -10% sur le savon, -8% sur les essuie-tout et -7% sur le gel douche.

Les produits de luxe ou ceux jugés moins essentiels sont ainsi passés à la trappe au sein de nombreux foyers. On abandonne par exemple le champagne pour des mousseux moins chers, on presse soi-même ses fruits plutôt que d’acheter du jus au supermarché, on fait durer le savon un peu plus longtemps pour en acheter moins.

Baisse du pouvoir d’achat et malbouffe
Publié le 17 décembre, 2023 dans social et société. 0 Commentaire
Tags : baisse, d’achat, du, et, malbouffe, pouvoir.
Baisse du pouvoir d’achat et malbouffe

La baisse du pouvoir d’achat combinée à l’inflation sur les produits essentiels notamment alimentaires a modifié les comportements. On a en particulier assisté à une baisse du volume des les achats alimentaires de l’ordre 10 à 15 %. L’inflation dans les grandes surfaces a contraint de nombreux Français à faire des arbitrages en achetant moins cher et surtout en achetant moins. Des achats en pls de pommes de terre, un produit qui vient compenser l’envol des prix d’autres légumes.

Ainsi sur les 313 catégories de produits de grandes consommations présentes en grande surface, 236 ont vu leurs volumes d’achats reculer entre octobre 2022 et octobre 2023, selon les données de Circana. Avec des baisses spectaculaires sur de nombreuses catégories: -29% sur le foie gras, -18% sur la champagne, -16% sur les huiles, -15% sur les jus de fruits frais ou encore -11% sur les désodorisants, -10% sur le savon, -8% sur les essuie-tout et -7% sur le gel douche.

Les produits de luxe ou ceux jugés moins essentiels sont ainsi passés à la trappe au sein de nombreux foyers. On abandonne par exemple le champagne pour des mousseux moins chers, on presse soi-même ses fruits plutôt que d’acheter du jus au supermarché, on fait durer le savon un peu plus longtemps pour en acheter moins.

Ménages-Baisse du pouvoir d’achat en 2023

Ménages-Baisse du pouvoir d’achat en 2023


Une bonne année pour les actionnaires en 2023 qui ont encaissé environ 100 milliards au titre des dividendes. Dans le même temps des ménages qui ont perdu de de l’ordre de 5 à 10 % de pouvoir d’achat. La baisse du pouvoir d’achat combinée à l’inflation sur les produits essentiels notamment alimentaires a modifié les comportements. On a en particulier assisté à une baisse du volume des les achats alimentaires de l’ordre 10 à 15 %. L’inflation dans les grandes surfaces a contraint de nombreux Français à faire des arbitrages en achetant moins cher et surtout en achetant moins. Des achats en plus de pommes de terre, un produit qui vient compenser l’envol des prix d’autres légumes.

Ainsi sur les 313 catégories de produits de grandes consommations présentes en grande surface, 236 ont vu leurs volumes d’achats reculer entre octobre 2022 et octobre 2023, selon les données de Circana. Avec des baisses spectaculaires sur de nombreuses catégories: -29% sur le foie gras, -18% sur la champagne, -16% sur les huiles, -15% sur les jus de fruits frais ou encore -11% sur les désodorisants, -10% sur le savon, -8% sur les essuie-tout et -7% sur le gel douche.

Les produits de luxe ou ceux jugés moins essentiels sont ainsi passés à la trappe au sein de nombreux foyers. On abandonne par exemple le champagne pour des mousseux moins chers, on presse soi-même ses fruits plutôt que d’acheter du jus au supermarché, on fait durer le savon un peu plus longtemps pour en acheter moins.

Baisse du pouvoir d’achat et malbouffe
Publié le 17 décembre, 2023 dans social et société. 0 Commentaire
Tags : baisse, d’achat, du, et, malbouffe, pouvoir.
Baisse du pouvoir d’achat et malbouffe

La baisse du pouvoir d’achat combinée à l’inflation sur les produits essentiels notamment alimentaires a modifié les comportements. On a en particulier assisté à une baisse du volume des les achats alimentaires de l’ordre 10 à 15 %. L’inflation dans les grandes surfaces a contraint de nombreux Français à faire des arbitrages en achetant moins cher et surtout en achetant moins. Des achats en pls de pommes de terre, un produit qui vient compenser l’envol des prix d’autres légumes.

Ainsi sur les 313 catégories de produits de grandes consommations présentes en grande surface, 236 ont vu leurs volumes d’achats reculer entre octobre 2022 et octobre 2023, selon les données de Circana. Avec des baisses spectaculaires sur de nombreuses catégories: -29% sur le foie gras, -18% sur la champagne, -16% sur les huiles, -15% sur les jus de fruits frais ou encore -11% sur les désodorisants, -10% sur le savon, -8% sur les essuie-tout et -7% sur le gel douche.

Les produits de luxe ou ceux jugés moins essentiels sont ainsi passés à la trappe au sein de nombreux foyers. On abandonne par exemple le champagne pour des mousseux moins chers, on presse soi-même ses fruits plutôt que d’acheter du jus au supermarché, on fait durer le savon un peu plus longtemps pour en acheter moins.

Baisse du pouvoir d’achat en 2023

Baisse du pouvoir d’achat en 2023


Une bonne année pour les actionnaires en 2023 qui ont encaissé environ 100 milliards au titre des dividendes. Dans le même temps des ménages qui ont perdu de de l’ordre de 5 à 10 % de pouvoir d’achat. La baisse du pouvoir d’achat combinée à l’inflation sur les produits essentiels notamment alimentaires a modifié les comportements. On a en particulier assisté à une baisse du volume des les achats alimentaires de l’ordre 10 à 15 %. L’inflation dans les grandes surfaces a contraint de nombreux Français à faire des arbitrages en achetant moins cher et surtout en achetant moins. Des achats en plus de pommes de terre, un produit qui vient compenser l’envol des prix d’autres légumes.

Ainsi sur les 313 catégories de produits de grandes consommations présentes en grande surface, 236 ont vu leurs volumes d’achats reculer entre octobre 2022 et octobre 2023, selon les données de Circana. Avec des baisses spectaculaires sur de nombreuses catégories: -29% sur le foie gras, -18% sur la champagne, -16% sur les huiles, -15% sur les jus de fruits frais ou encore -11% sur les désodorisants, -10% sur le savon, -8% sur les essuie-tout et -7% sur le gel douche.

Les produits de luxe ou ceux jugés moins essentiels sont ainsi passés à la trappe au sein de nombreux foyers. On abandonne par exemple le champagne pour des mousseux moins chers, on presse soi-même ses fruits plutôt que d’acheter du jus au supermarché, on fait durer le savon un peu plus longtemps pour en acheter moins.

Baisse du pouvoir d’achat et malbouffe
Publié le 17 décembre, 2023 dans social et société. 0 Commentaire
Tags : baisse, d’achat, du, et, malbouffe, pouvoir.
Baisse du pouvoir d’achat et malbouffe

La baisse du pouvoir d’achat combinée à l’inflation sur les produits essentiels notamment alimentaires a modifié les comportements. On a en particulier assisté à une baisse du volume des les achats alimentaires de l’ordre 10 à 15 %. L’inflation dans les grandes surfaces a contraint de nombreux Français à faire des arbitrages en achetant moins cher et surtout en achetant moins. Des achats en pls de pommes de terre, un produit qui vient compenser l’envol des prix d’autres légumes.

Ainsi sur les 313 catégories de produits de grandes consommations présentes en grande surface, 236 ont vu leurs volumes d’achats reculer entre octobre 2022 et octobre 2023, selon les données de Circana. Avec des baisses spectaculaires sur de nombreuses catégories: -29% sur le foie gras, -18% sur la champagne, -16% sur les huiles, -15% sur les jus de fruits frais ou encore -11% sur les désodorisants, -10% sur le savon, -8% sur les essuie-tout et -7% sur le gel douche.

Les produits de luxe ou ceux jugés moins essentiels sont ainsi passés à la trappe au sein de nombreux foyers. On abandonne par exemple le champagne pour des mousseux moins chers, on presse soi-même ses fruits plutôt que d’acheter du jus au supermarché, on fait durer le savon un peu plus longtemps pour en acheter moins.

Baisse du pouvoir d’achat et malbouffe

Baisse du pouvoir d’achat et malbouffe

Une bonne année pour les actionnaires en 2023 qui ont encaissé environ 100 milliards au titre des dividendes. Dans le même temps des ménages qui ont perdu de de l’ordre de 5 à 10 % de pouvoir d’achat. La baisse du pouvoir d’achat combinée à l’inflation sur les produits essentiels notamment alimentaires a modifié les comportements. On a en particulier assisté à une baisse du volume des les achats alimentaires de l’ordre 10 à 15 %. L’inflation dans les grandes surfaces a contraint de nombreux Français à faire des arbitrages en achetant moins cher et surtout en achetant moins. Des achats en plus de pommes de terre, un produit qui vient compenser l’envol des prix d’autres légumes.

Ainsi sur les 313 catégories de produits de grandes consommations présentes en grande surface, 236 ont vu leurs volumes d’achats reculer entre octobre 2022 et octobre 2023, selon les données de Circana. Avec des baisses spectaculaires sur de nombreuses catégories: -29% sur le foie gras, -18% sur la champagne, -16% sur les huiles, -15% sur les jus de fruits frais ou encore -11% sur les désodorisants, -10% sur le savon, -8% sur les essuie-tout et -7% sur le gel douche.

Les produits de luxe ou ceux jugés moins essentiels sont ainsi passés à la trappe au sein de nombreux foyers. On abandonne par exemple le champagne pour des mousseux moins chers, on presse soi-même ses fruits plutôt que d’acheter du jus au supermarché, on fait durer le savon un peu plus longtemps pour en acheter moins.

Baisse du pouvoir d’achat et malbouffe
Publié le 17 décembre, 2023 dans social et société. 0 Commentaire
Tags : baisse, d’achat, du, et, malbouffe, pouvoir.
Baisse du pouvoir d’achat et malbouffe

La baisse du pouvoir d’achat combinée à l’inflation sur les produits essentiels notamment alimentaires a modifié les comportements. On a en particulier assisté à une baisse du volume des les achats alimentaires de l’ordre 10 à 15 %. L’inflation dans les grandes surfaces a contraint de nombreux Français à faire des arbitrages en achetant moins cher et surtout en achetant moins. Des achats en pls de pommes de terre, un produit qui vient compenser l’envol des prix d’autres légumes.

Ainsi sur les 313 catégories de produits de grandes consommations présentes en grande surface, 236 ont vu leurs volumes d’achats reculer entre octobre 2022 et octobre 2023, selon les données de Circana. Avec des baisses spectaculaires sur de nombreuses catégories: -29% sur le foie gras, -18% sur la champagne, -16% sur les huiles, -15% sur les jus de fruits frais ou encore -11% sur les désodorisants, -10% sur le savon, -8% sur les essuie-tout et -7% sur le gel douche.

Les produits de luxe ou ceux jugés moins essentiels sont ainsi passés à la trappe au sein de nombreux foyers. On abandonne par exemple le champagne pour des mousseux moins chers, on presse soi-même ses fruits plutôt que d’acheter du jus au supermarché, on fait durer le savon un peu plus longtemps pour en acheter moins.

Social et santé-Baisse du pouvoir d’achat et malbouffe

Social et santé-Baisse du pouvoir d’achat et malbouffe

La baisse du pouvoir d’achat combinée à l’inflation sur les produits essentiels notamment alimentaires a modifié les comportements. On a en particulier assisté à une baisse du volume des les achats alimentaires de l’ordre 10 à 15 %. L’inflation dans les grandes surfaces a contraint de nombreux Français à faire des arbitrages en achetant moins cher et surtout en achetant moins. Des achats en pls de pommes de terre, un produit qui vient compenser l’envol des prix d’autres légumes.

Ainsi sur les 313 catégories de produits de grandes consommations présentes en grande surface, 236 ont vu leurs volumes d’achats reculer entre octobre 2022 et octobre 2023, selon les données de Circana. Avec des baisses spectaculaires sur de nombreuses catégories: -29% sur le foie gras, -18% sur la champagne, -16% sur les huiles, -15% sur les jus de fruits frais ou encore -11% sur les désodorisants, -10% sur le savon, -8% sur les essuie-tout et -7% sur le gel douche.

Les produits de luxe ou ceux jugés moins essentiels sont ainsi passés à la trappe au sein de nombreux foyers. On abandonne par exemple le champagne pour des mousseux moins chers, on presse soi-même ses fruits plutôt que d’acheter du jus au supermarché, on fait durer le savon un peu plus longtemps pour en acheter moins.

Baisse du pouvoir d’achat et malbouffe

Baisse du pouvoir d’achat et malbouffe

La baisse du pouvoir d’achat combinée à l’inflation sur les produits essentiels notamment alimentaires a modifié les comportements. On a en particulier assisté à une baisse du volume des les achats alimentaires de l’ordre 10 à 15 %. L’inflation dans les grandes surfaces a contraint de nombreux Français à faire des arbitrages en achetant moins cher et surtout en achetant moins. Des achats en pls de pommes de terre, un produit qui vient compenser l’envol des prix d’autres légumes.

Ainsi sur les 313 catégories de produits de grandes consommations présentes en grande surface, 236 ont vu leurs volumes d’achats reculer entre octobre 2022 et octobre 2023, selon les données de Circana. Avec des baisses spectaculaires sur de nombreuses catégories: -29% sur le foie gras, -18% sur la champagne, -16% sur les huiles, -15% sur les jus de fruits frais ou encore -11% sur les désodorisants, -10% sur le savon, -8% sur les essuie-tout et -7% sur le gel douche.

Les produits de luxe ou ceux jugés moins essentiels sont ainsi passés à la trappe au sein de nombreux foyers. On abandonne par exemple le champagne pour des mousseux moins chers, on presse soi-même ses fruits plutôt que d’acheter du jus au supermarché, on fait durer le savon un peu plus longtemps pour en acheter moins.

Société-La baisse du pouvoir d’achat favorise aussi la mal bouffe

Société-La baisse du pouvoir d’achat favorise aussi la mal bouffe

La baisse du pouvoir d’achat combinée à l’inflation sur les produits essentiels notamment alimentaires a modifié les comportements. On a en particulier assisté à une baisse du volume des les achats alimentaires de l’ordre 10 à 15 %. L’inflation dans les grandes surfaces a contraint de nombreux Français à faire des arbitrages en achetant moins cher et surtout en achetant moins. Des achats en pls de pommes de terre, un produit qui vient compenser l’envol des prix d’autres légumes.

Ainsi sur les 313 catégories de produits de grandes consommations présentes en grande surface, 236 ont vu leurs volumes d’achats reculer entre octobre 2022 et octobre 2023, selon les données de Circana. Avec des baisses spectaculaires sur de nombreuses catégories: -29% sur le foie gras, -18% sur la champagne, -16% sur les huiles, -15% sur les jus de fruits frais ou encore -11% sur les désodorisants, -10% sur le savon, -8% sur les essuie-tout et -7% sur le gel douche.

Les produits de luxe ou ceux jugés moins essentiels sont ainsi passés à la trappe au sein de nombreux foyers. On abandonne par exemple le champagne pour des mousseux moins chers, on presse soi-même ses fruits plutôt que d’acheter du jus au supermarché, on fait durer le savon un peu plus longtemps pour en acheter moins.

La baisse du pouvoir d’achat favorise aussi la mal bouffe

La baisse du pouvoir d’achat favorise aussi la mal bouffe

La baisse du pouvoir d’achat combinée à l’inflation sur les produits essentiels notamment alimentaires a modifié les comportements. On a en particulier assisté à une baisse du volume des les achats alimentaires de l’ordre 10 à 15 %. L’inflation dans les grandes surfaces a contraint de nombreux Français à faire des arbitrages en achetant moins cher et surtout en achetant moins. Des achats en pls de pommes de terre, un produit qui vient compenser l’envol des prix d’autres légumes.

Ainsi sur les 313 catégories de produits de grandes consommations présentes en grande surface, 236 ont vu leurs volumes d’achats reculer entre octobre 2022 et octobre 2023, selon les données de Circana. Avec des baisses spectaculaires sur de nombreuses catégories: -29% sur le foie gras, -18% sur la champagne, -16% sur les huiles, -15% sur les jus de fruits frais ou encore -11% sur les désodorisants, -10% sur le savon, -8% sur les essuie-tout et -7% sur le gel douche.

Les produits de luxe ou ceux jugés moins essentiels sont ainsi passés à la trappe au sein de nombreux foyers. On abandonne par exemple le champagne pour des mousseux moins chers, on presse soi-même ses fruits plutôt que d’acheter du jus au supermarché, on fait durer le savon un peu plus longtemps pour en acheter moins.

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Pouvoir d’achat : de plus en plus en berne

Pouvoir d’achat : de plus en plus en berne

Les experts se réveillent enfin pour tenter d’expliquer pourquoi la crise du pouvoir d’achat demeure dans les ménages. Certes l’inflation a commencé à ralentir mais elle continue cependant d’augmenter. Conséquence, les prix suivent cette tendance haussière.

Contrairement à ce qu’avait annoncé le ministre de l’économie pour le début de l’été aucune baisse n’a été observé pour les produits de grande consommation.

À dessein ou par incompétence, experts et politiques ont cru voir dans la baisse de l’inflation une baisse des prix. La vérité, c’est que l’inflation s’ajoute aux inflations précédentes et que les prix ne peuvent donc mécaniquement baisser sauf cas très isolés.

C’est donc une manipulation politique et méthodologique que d’annoncer une baisse des prix avec une inflation sur une tendance toujours haussière. Ainsi aujourd’hui par exemple en moyenne les prix des consommations les plus courantes dans la grande distribution ont augmenté de 20 à 25 % sur deux ans. Et ce niveau continu d’être maintenu.

L’inflation continue de plomber le pouvoir d’achat des salariés français, s’alarment les économistes.
L’inflation a certes ralenti ces derniers mois mais des économistes sonnent l’alerte sur les bas salaires. Plusieurs branches professionnelles affichent encore des minima inférieurs au SMIC, ont alerté des économistes lors d’un séminaire organisé par Bercy et le ministère du Travail. Plusieurs experts ont incité les entreprises à donner du poids aux négociations annuelles obligatoires (NAO).

« Le pouvoir d’achat est la préoccupation numéro un des Français ». Lors de la conférence sociale organisée au Palais d’Iena le 16 octobre dernier, la secrétaire de la CFDT Marylise Léon sonnait l’alerte devant la Première ministre Elisabeth Borne entourée d’un parterre de ministres et syndicalistes. « Enfin, on parle salaire. Il était temps ! », poursuivait Sophie Binet, secrétaire générale de la CGT avant une journée d’âpres négociations. A l’issue de ces échanges marathon, la cheffe du gouvernement avait mis la pression aux patrons pour revaloriser les bas salaires. Mais les tensions sont loin d’être retombées.
L’inflation a certes marqué le pas en Europe et en France. Mais les prix dans l’alimentaire et l’énergie continuent de frapper de plein fouet un grand nombre de Français. Et le conflit au Proche-Orient entre le Hamas et Israël pourrait maintenir les prix du pétrole à un niveau élevé. Dans ce contexte, des économistes réunis dans les locaux de France Stratégie lors d’un séminaire ce mardi 21 novembre ont tiré la sonnette d’alarme. « A l’international, les salaires réels baissent (en tenant compte de l’inflation), malgré la croissance des salaires nominaux. La baisse des salaires réels concerne tous les pays de l’OCDE avec en moyenne un recul de 3,8% pour le premier trimestre 2023 », a déclaré Sandrine Cazes, économiste à l’OCDE. « En France, la baisse des salaires réels a été relativement modeste au deuxième trimestre en raison du bouclier tarifaire et de l’inflation relativement contenue [...] L’inflation affecte particulièrement les salariés au bas de l’échelle car ils ont peu de réserves d’épargne ».

La question cruciale des branches non conformes
Ces derniers mois, de nombreuses branches ont affiché des minima inférieurs au SMIC en France. Etant donné que le Smic augmente plus vite (avec l’inflation, sur laquelle il est indexé) que le reste des salaires, certains minima de branches sont rattrapés, générant un « tassement » des salaires. « Le SMIC fixe un salaire plancher national et sa revalorisation est indexée sur l’inflation. Lorsque le SMIC se retrouve au dessus de plusieurs minimas de branche, on parle de non conformité des branches », a rappelé Erwan Gautier, économiste à la Banque de France.

Constatant que « la non conformité avait globalement diminué au cours des années 2010 en partie sous l’effet d’un SMIC moins dynamique », l’économiste a pointé « l’absence de négociations pendant la période Covid » et « des revalorisations très fréquentes du SMIC sous l’effet de l’inflation». Résultat, beaucoup de travailleurs dans certains secteurs comme la coiffure se sont retrouvés avec des salaires inférieurs au salaire minimum. « La hausse rapide du SMIC et la non conformité de certaines branches ont débouché sur des tassements des grilles de branches », a résumé l’économiste. Mises sous pression par le gouvernement, les branches non conformes doivent rapidement présenter un plan d’action sous peine de ne plus pouvoir profiter de certaines exonérations sociales, a prévenu Elisabeth Borne.

Partage de la valeur : « pas une solution magique »
Face à l’envolée des prix, le gouvernement a toujours exclu l’indexation des salaires sur l’inflation, au grand dam des syndicats comme la CGT. En revanche, l’exécutif a toujours promis les dispositifs de partage de valeur (prime, intéressement, participation, actionnariat salarié). Dans un vote solennel prévu ce mercredi 22 novembre, l’Assemblée nationale doit voter le texte législatif retranscrivant l’accord national interprofessionnel signé en février dernier par la plupart des syndicats, sauf la CGT en raison « du refus du gouvernement et du patronat de ne pas traiter de la question des salaires ».

Pouvoir d’achat: le CESE se réveille

Pouvoir d’achat: le CESE se réveille


Le conseil économique, social et environnemental se réveille enfin pour alerter sur la situation sociale et sociétale. Il faut dire qu’il a été longtemps tétanisé par la vague d’institutions de toutes sortes hauts comités, conseil nationaux et autres organisations bidon mis en place par Macron pour étouffer les institutions existantes y compris le Parlement. Cette année, le conseil a livré un diagnostic de la société à partir d’une batterie de dix indicateurs et un sondage réalisé par Ipsos. le CESE Mais surtout l’accent sur la crise du pouvoir d’achat face à l’inflation.

Pour le CESE, la multiplication des crises ces dernières années a remis la question du pouvoir d’achat au coeur des préoccupations des Français. Parmi les thèmes testés dans un baromètre commandé par le CESE, c’est même le sujet numéro UN pour 40% des personnes interrogées. Ce taux monte à 58% chez les familles monoparentales et 46% chez les moins de 35 ans. « Le pouvoir d’achat ne permet plus de répondre aux besoins de la moitié des Français ».

L’inflation des prix à certes ralenti depuis quelques mois mais les prix de l’énergie et de l’alimentaire continuent de peser grandement sur le budget des plus modestes contraint par des dépenses pré-engagées (factures d’énergie, abonnements) de plus en plus importantes. « L’inflation alimentaire est un vrai sujet de long terme », explique à La Tribune l’économiste de Pictet Christopher Dembik. « Le sentiment d’appauvrissement risque d’augmenter car les ménages sont directement exposés aux évolutions des prix sur les étiquettes », indique l’économiste.

Interrogés sur une batterie d’indicateurs, deux tiers des Français estiment que les inégalités liées au lieu de résidence sont les plus importantes. « Il y a une perception aigüe des Français sur les inégalités et leurs conséquences sur l’emploi ».

Dans son épais rapport, le CESE recommande au gouvernement de mettre l’accent sur les populations et les territoires les plus défavorisés. « Il y a une vraie pénurie de main d’oeuvre dans de nombreux secteurs » souligne la représentante de France Digitale.

Interrogés sur les freins au bien-être, les Français mentionnent d’abord le manque d’argent et de temps mais aussi l’angoisse liée au réchauffement climatique. En moyenne, 32% des Français affirment que le climat est un sujet d’anxiété. Mais Face au péril climatique, les répondants évoquent la barrière du financement comme frein à la transition pour accélérer les travaux de rénovation ou acquérir un véhicule moins polluant.

Social-Pouvoir d’achat : salaires réels bloqués depuis fin 2019 en zone euro

Social-Pouvoir d’achat : salaires réels bloqués depuis fin 2019 en zone euro

L’inflation a des effets anti redistributif vis-à-vis des salariés car si les rémunérations augmentent en monnaie constante la progression est inférieure à l’inflation. Ainsi les salaires réels sont-ils bloqués depuis quatre ans d’après l’OFCE.

La crise du coût de la vie est aussi celle de la valeur travail. Entre la fin 2019 et la fin 2024, les salaires réels – c’est-à-dire la rémunération après prise en compte de l’inflation – n’ont pas progressé dans les grands pays de la zone euro, selon les prévisions de l’Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE).

La situation est différente aux Etats-Unis, où les travailleurs voient leur salaire augmenter malgré la hausse des prix. L’économie américaine a en effet été beaucoup plus dynamique que l’économie européenne depuis la fin de la pandémie de Covid.

Social -Le pouvoir d’achat augmenterait en France !….. d’après l’INSEE

Social -Le pouvoir d’achat augmenterait en France !….. d’après l’INSEE

L’INSEE persiste et signe en affirmant que le pouvoir d’achat finalement aura augmenté de 1,2 % en 2023. Une affirmation qui se fonde évidemment sur une mesure complètement obsolète de l’inflation surtout pour les ménages les moins favorisés qui subissent davantage que les autres encore la hausse généralisée des prix.

À partir d’un indice des prix faussés, on peut évidemment affirmer n’importe quoi et dire que les revenus vont augmenter en moyenne de 5 % comme le niveau de l’inflation.

La vérité c’est qu’il y a en moyenne un retard de 10 % du revenu des ménages en particulier en raison de la hausse de plus de 20 % des produits élémentaires depuis deux ans , de la hausse de l’énergie et d’une manière générale des produits et des services.

La sous-estimation de l’inflation est évidemment destinée à éviter de nourrir des revendications de réévaluation du pouvoir d’achat des salariés et des ménages. Surtout les ménages peu favorisés donc 80 % des dépenses sont contraintes ( alimentation, logement, énergie, produits et services essentiels). Témoin de cette perte de pouvoir d’achat: la hausse de la pauvreté en France et la fréquentation accrue des associations humanitaires. Preuve aussi la réduction par les ménages du volume et de la nature de leurs achats notamment alimentaires.

En dépit de tous ces éléments concrets et objectifs l’INSEE persiste:
Alors que la question du pouvoir d’achat reste le premier sujet d’inquiétude des Français, la dernière note de conjoncture de l’Insee publiée ce jeudi devrait leur mettre un peu de baume au coeur. Le pouvoir d’achat devrait progresser nettement au cours des prochains mois. Malgré un début d’année difficile (-0,4 % au premier trimestre), il augmenterait de 1,2 % sur l’ensemble de 2023 selon l’institut de la statistique.

Cette évolution est bien plus favorable que la hausse de 0,5 % envisagée en juin dernier et très proche des prévisions de Bercy (+1,3 %). Mesuré par unité de consommation, le pouvoir d’achat progresserait de 0,7 % après un recul de 0,4 % en 2022.

En parallèle, les revenus du patrimoine (dividendes, intérêts tirés des placements) augmenteraient fortement.

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