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Carrefour : 2 400 emplois menacés, grosse grève pour l’emploi et le pouvoir d’achat

Carrefour : 2 400 emplois menacés,  grosse grève  pour l’emploi et le pouvoir d’achat

 

Très grosse mobilisation chez Carrefour pour s’opposer à la suppression de 2400 emplis et défendre le pouvoir d’achat.  Une “mobilisation historique” avec 50% de grévistes dans 180 hypermarchés engagés dans le mouvement, soit “entre 40 et 50 magasins fermés ou complètement bloqués”. Pour ce qui est des supermarchés Carrefour Markets, le taux de grévistes était de 40%, selon FO (majoritaire), qui parle de 80 magasins de proximité fermés. Carrefour a annoncé le 23 janvier un vaste plan de transformation pour retrouver sa compétitivité, qui passe par des réductions d’effectifs, la vente de certains magasins Dia et des investissements dans le numérique. Un plan de départs volontaires sera mis en place pour 2.400 salariés en France. Les salariés dénoncent aussi le passage de la prime de participation de 600 euros à 57 euros correspondants, selon la direction, au calcul légal aligné sur les résultats en baisse de Carrefour en 2017. “Consciente de ce que cela représente en terme de pouvoir d’achat pour les salariés, notamment pour les plus bas salaires”, la direction a proposé début mars de “compenser cette baisse par le versement d’un complément d’intéressement à hauteur de 350 euros”, a-t-elle rappelé samedi. Ajouté aux 57 euros, les collaborateurs pourraient selon elle bénéficier d’un “forfait” de 407 euros. “Les salariés ne peuvent pas encaisser des coups en permanence”, a déclaré au micro de BFM Business Sylvain Macé, délégué CFDT. “Comment l’entreprise peut-elle décider de restructurer parce que ça va assez mal et décider de redistribuer 45% des résultats nets du groupe, soit 350 millions d’euros, sous forme de dividendes ? Cela devient intenable.”

Sondage Pouvoir d’achat : 68% mécontents

Sondage Pouvoir d’achat : 68% mécontents

68% des interrogés estiment que leur pouvoir d’achat a plutôt diminué depuis un an. Seuls 3% considèrent que le pouvoir d’achat a plutôt augmenté, alors que 27% jugent qu’il est resté similaire. Ce sentiment de perte de pouvoir d’achat est particulièrement visible chez les retraités (82%), et les employés et ouvriers (75%). Il est en revanche moins répandu chez les cadres (37%).  Les citoyens interrogés par BVA sont majoritairement pessimistes (74%) sur une évolution favorable de leur pouvoir d’achat. À l’inverse, seuls 24% des répondants se déclarent optimistes sur ce point. Ce sentiment de morosité est particulièrement prononcé chez les ouvriers (90%), les employés (81%) et les retraités (77%), et moins visible chez les cadres (65%).

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(*) Méthode : Enquête réalisée auprès d’un échantillon de Français recrutés par téléphone, puis interrogés par Internet du 12 au 13 février 2018. Elle est basée sur un échantillon de 1.027 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.

Sondage Pouvoir d’achat : 68% mécontents

Sondage Pouvoir d’achat : 68% mécontents

68% des interrogés estiment que leur pouvoir d’achat a plutôt diminué depuis un an. Seuls 3% considèrent que le pouvoir d’achat a plutôt augmenté, alors que 27% jugent qu’il est resté similaire. Ce sentiment de perte de pouvoir d’achat est particulièrement visible chez les retraités (82%), et les employés et ouvriers (75%). Il est en revanche moins répandu chez les cadres (37%).  Les citoyens interrogés par BVA sont majoritairement pessimistes (74%) sur une évolution favorable de leur pouvoir d’achat. À l’inverse, seuls 24% des répondants se déclarent optimistes sur ce point. Ce sentiment de morosité est particulièrement prononcé chez les ouvriers (90%), les employés (81%) et les retraités (77%), et moins visible chez les cadres (65%).

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(*) Méthode : Enquête réalisée auprès d’un échantillon de Français recrutés par téléphone, puis interrogés par Internet du 12 au 13 février 2018. Elle est basée sur un échantillon de 1.027 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.

Pouvoir d’achat: la France mal classée en Europe

Pouvoir d’achat: la France mal classée en Europe

 

 

D’après une étude de l’institut allemand d’études de marché Gfk en  2016, le revenu disponible des ménages en Europe (après paiement des impôts et charges sociales) atteint la somme globale de 9.180 milliards d’euros, soit un pouvoir d’achat de 13.672 euros par habitant en Europe. Précisons que GfK étudie l’ensemble des pays du continent et pas seulement ceux qui font partie de l’Union européenne. Il inclut ainsi l’Islande, la Norvège et même la Biélorussie, l’Ukraine et la Turquie. Sur cette base, GfK a établi un top 10 dominé par… le Liechtenstein, avec 63.000 euros de pouvoir d’achat par habitant! Ce qui est pour le moins discutable, puisque le pouvoir d’achat des résidents de l’autre richissime principauté d’Europe -Monaco- n’a, lui, pas été évalué dans cette étude. En deuxième position, s’impose la Suisse, où les habitants disposent de 42.300 euros par an  Derrière le Liechtenstein et la Suisse, figure le plus riche des états membres de l’Union européenne: le Luxembourg. Ses habitants jouissent d’un pouvoir d’achat de 30.248 euros, devançant ainsi les Norvégiens (27.839 euros) et les Islandais (24.272 euros). L’Allemagne (21.879 euros) et la Grande-Bretagne (21.141 euros) viennent clore le top 10 dont la liste complète figure à la fin de cet article. La France, elle, doit se contenter du 12e rang avec un pouvoir d’achat de 19.254 euros par habitant. Mais, cela dit, elle gagne une place par rapport au classement établi par Gfk l’an passé. Elle devance ainsi clairement l’Italie (16e avec 16.709 euros), l’Espagne (17e avec 13.840 euros) mais aussi les Pays-Bas (15e avec 17.901 euros).

(La tribune)

Le pouvoir d’achat augmente mais le niveau de vie baisse !!!

Le pouvoir d’achat augmente mais le niveau de vie baisse !!!

 

D’après une enquête de l’INSEE, le niveau de vie aurait diminué de 0.5% – avec de fortes disparités en 2014 mais en mars le même INSEE avait annoncé que le pouvoir d’achat avait augmenté en moyenne de 1.1%. En cause sans doute de sérieux problèmes méthodologiques notamment l’indice des prix dont la structure est obsolète (les dépenses contraintes augmentent et les dépenses ajustables sont en baisse). Aussi surtout le faiat que l’indice des prix ne prend pas en compte les impôts ! Du coup théoriquement le pouvoir d’achat progresse de peu -mais il progresse- mais cette progression est absorbée par la hausse de la fiscalité.  Les réformes fiscales et sociales visant à la réduction du déficit public prises par le gouvernement en 2014 ont eu des répercussions négatives sur le niveau de vie des Français, selon une étude de l’Insee qui publie mercredi son « portrait social de la France ». En effet, les réformes des prestations et des prélèvements intervenus l’an dernier ont induit une perte de 220 euros sur un an pour le niveau de vie moyen des ménages français.  Certains perdent en revanche plus que d’autres. Pour faire un décompte précis, il faut donc regarder catégorie par catégorie. Les plus pauvres, eux, sont gagnants. Ceux dont le niveau de vie est inférieur à 9.000 euros par an ont bien vu leur porte-monnaie grossir de 50 euros parce que le RSA et la minimum vieillesse ont été revalorisés. En ce sens, c’est donc vrai, les inégalités reculent. Pour les ménages modestes, mais pas considérés comme pauvres, c’est la stabilité au niveau des prélèvements qui ne bougent donc pas.  Néanmoins, les classes moyennes et les plus aisés subissent l’effet négatif de ces décisions fiscales. Les plus riches, ceux qui gagnent plus de 56.000 euros par an, ont déboursé 500 euros supplémentaires l’année dernière pour leurs impôts et leurs cotisations sociales. Parmi les réformes qui ont diminué le niveau de vie moyen des Français de 0,5%, on trouve notamment la réduction du plafond du quotient familial, quand on calcule vos impôts en fonction de la composition de votre famille, la suppression de l’avantage pour les retraités ayant élevé 3 enfants, la réforme de l’imposition des plus-values immobilières ou encore l’augmentation des cotisations vieillesse.

Taxes d’habitation et impôt foncier plombent le pouvoir d’achat

Taxes d’habitation et impôt foncier plombent le pouvoir d’achat

 

Hollande avait promis une baisse des impôts mais il s’agissait de l’impôt sur le  revenus ; il a bien oublié de parler de l’augmentation de la fiscalité locale, taxe d’habitation et impôt foncier qui représentent en moyenne plus de 2000 euros par foyer ; Avec l’augmentation des taux et de l’assiette,  nombre de Français voient leur pouvoir d’achat amputé bien au-delà de la réduction dimpôts sur le revenu. . Du coup plus de 100 députés socialistes se sont en effet alarmés dans un courrier à Manuel Valls de la hausse des impôts locaux affectant certains retraités modestes, et Bercy a promis vendredi un dispositif «dès la semaine prochaine» pour «neutraliser» cette augmentation. «Nous souhaitons attirer votre attention sur l’explosion de la taxe foncière qui touche de nombreux citoyens retraités», une situation «insupportable pour nombre de nos citoyens retraités, écrivent les députés, de différentes sensibilités, dans ce courrier au premier ministre daté du 26 octobre, et dont l’AFP a eu copie ce vendredi. Alors que la majorité d’entre eux n’avaient jamais payé d’impôts de leur vie, leur surprise fut en effet grande lors de la découverte de leur avis d’imposition reçu récemment. Désormais assujettis à certains impôts locaux, taxe foncière et taxe d’habitation, ces ménages bénéficiant de faibles allocations retraites se retrouvent insolvables envers l’État. Selon les estimations de Bercy, près de 250.000 retraités sont pour la première fois contraints de payer la taxe d’habitation, alors qu’ils en étaient exonérés jusqu’alors. D’autres ont vu leur taxe d’habitation augmenter. In fine, ce sont près de 900.000 nouvelles personnes qui seront assujetties à cette imposition. Les montants réclamés «peuvent aller de 500 euros à 1.000 euros», signalent encore les députés qui ont souhaité tirer la sonnette d’alarme.

Immobilier : les intentions d’achat au plus bas historique ?

Immobilier : les intentions d’achat au plus bas historique ?

A peine 27 % des français reconnaissent avoir un projet immobilier dans les mois à venir, selon le 4éme baromètre semestriel Explorimmo/IFOP . Ils étaient 30 % il y a an et 28 % en novembre dernier. Avec 73 % des personnes interrogées qui avouent ne pas avoir la possibilité de réaliser un projet immobilier, les intentions d’achat des Français sont au plus bas depuis 18 mois. Pour Guillaume Teilhard de Chardin, le directeur d’Explorimmo, « cette nouvelle vague révèle des intentions d’achat ou de location en baisse, atteignant le plus bas niveau depuis septembre 2011. Pour ceux qui souhaitent investir, les restrictions de budgets les poussent à réaliser des projets moins ambitieux, en optant par exemple pour un appartement plutôt qu’une maison. Sceptiques quant aux mesures politiques proposées jusqu’à présent, les Français jouent actuellement la carte de la prudence malgré une situation qu’ils jugent plus positive». La disparition progressive du Scellier et son remplacement par le dispositif Duflot, jugé moins favorable en termes de rendement, ainsi que la hausse des taxations sur les plus-values immobilières ont sans doute pesé sur l’appétit pour l’investissement immobilier.  Mais la baisse des intentions d’achat s’explique aussi par la réduction du budget des familles. Selon le baromètre Explorimmo/IFOP, les acheteurs prévoient de consacrer en moyenne 192.000 euros à leur projet immobilier. La somme peut paraître élevée, notamment hors des grandes villes, mais le budget a reculé de près de 10% (213.000 euros en octobre) en moins de six mois. L’apport personnel est, en effet, en net repli de près de 11% à 83.000 euros. « Logiquement, ce manque de moyens financiers est la première raison évoquée pour 48% des locataires n’ayant pas de projet immobilier. Pessimistes, 36% d’entre eux considèrent même que le statut de propriétaire leur restera inaccessible », constate le site internet spécialiste de l’immobilier.  L’étude IFOP pointe aussi du doigt l’impact des actions du gouvernement de Jean-Marc Ayrault en matière d’immobilier et qui « n’inspirent confiance qu’à 30 % des Français ». Un quart des personnes interrogées déclare même n’avoir pas du tout confiance. Le désaveu est valable que ce soit pour les mesures engagées en matière de construction de logements (37% de taux de confiance), de locations (36%), d’achats (30%) ou de ventes (24%). Ils attendent surtout que l’Etat fasse « pression sur les banques afin de limiter les taux de crédits ». Des taux qui commencent à se tendre dans certaines régions. Enfin l’action de l’Etat est aussi ardemment souhaitée en matière de location, surtout sur le marché privé. C’est justement l’un des objectifs du dispositif « Duflot » qui vise à aider la construction de 40.000 logements neufs dès cette année en France.

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