Archive pour le Tag 'Cyberattaques'

Cyberattaques en Calédonie : des millions d’emails de la sphère russe

Cyberattaques en Calédonie : des millions d’emails de la sphère russe

 

Il est vraisemblable que la cyber attaque qu’a subie la Nouvelle-Calédonie mardi provient sans doute de la sphère russe qui multiplie depuis des semaines et des mois des actions contre la France ( directement ou indirectement par ses satellites comme par exemple l’attaque antisémite de Bulgares). La Russie développe un vaste plan d’espionnage et de déstabilisation qui vise un pays un peu trop engagé aux côtés de l’Ukraine.

 

La Nouvelle-Calédonie a subi mardi une «cyberattaque d’une force inédite» qui a depuis été «stoppée», a annoncé mercredi le gouvernement calédonien, des faits qui se sont produits «peu après» l’annonce par le président Emmanuel Macron de sa venue sur l’archipel français. L’attaque, consistant en l’envoi simultané de «millions d’emails», a été stoppée «avant qu’il y ait des dégâts importants», a assuré Christopher Gygès, membre (Les Loyalistes) du gouvernement local.

Si cette action a brièvement perturbé l’accès à Internet dans la nuit de mardi à mercredi, ses contours exacts restent à préciser. Elle n’aura «pas de conséquences dans la durée», selon l’Agence française de sécurité informatique qui invite à «l’extrême prudence» sur son origine. La section de lutte contre la cybercriminalité du parquet de Paris s’est saisie de l’enquête.

Cyberattaques : Suppression des rançons

Cyberattaques : Suppression des rançons !!!


Il en est des cyberattaques comme des enlèvement de personnes. Officiellement, nombre de pays affirment ne jamais payer de rançon mais dans la pratique indemnise ces délinquances. Officiellement toujours, les paiements de rançons aux cybercriminels se seraient effondrés de 40% en 2022 par rapport aux deux années précédentes 765,6 millions de dollars à 456,8 millions de dollars, selon une conclusion du rapport annuel Crypto Crime de Chainalysis.

Des chiffres cependant à prendre avec des pincettes comme ceux relatives aux enlèvements de personnes. En France par exemple, les pouvoirs publics affirment ne jamais payer de rançon pour les enlèvements de Français. Mais concrètement, la libération est souvent obtenue contre paiement ou autre indemnisation vis-à-vis des auteurs et des intermédiaires.

Pour les cyberattaques les États-Unis souhaiteraient donc obtenir cette semaine un engagement international d’une quarantaine de pays alliés à ne plus verser d’argent à l’avenir en cas d’attaque par « rançongiciel » (ransomware), a déclaré Anne Neuberger, chargée des questions de cybersécurité au sein du Conseil national de sécurité, lors d’un entretien avec des journalistes.

Quarante-huit pays au total, rejoints par l’Union européenne et Interpol, pourraient donc signer une déclaration conjointe marquant cet engagement à l’occasion d’un sommet se déroulant mardi et mercredi à Washington. « Nous sommes encore en train de finaliser les signatures de chaque membre, mais nous y sommes presque », a confirmé une source proche de Washington.

L’administration du président Joe Biden avait lancé il y a deux ans une initiative internationale pour mieux organiser la lutte contre les « rançongiciels », ces attaques informatiques qui touchent entreprises et administrations.

Dans son étude datant de janvier, l’entreprise avait toutefois rappelé que les véritables montants payés par les victimes sont généralement « bien supérieurs » à ceux qu’elle trouve, car il est pratiquement impossible de tracer tous les comptes utilisés par les cybercriminels !

Cyberattaques de la Chine : riposte en commun des pays occidentaux

Cyberattaques de la Chine : riposte en commun des pays occidentaux

 

Désormais Washington et ses alliés condamneront de concert, les cyberactivités «malveillantes» de Pékin accusé  de mener des opérations d’extorsion contre leurs entreprises, mais aussi de menacer leur sécurité, selon un haut responsable américain.

 

 

Ils accusent  notamment le gouvernement chinois de «faire appel à des pirates informatiques criminels» pour mener des attaques dans le monde entier, parfois «pour du profit personnel», et dévoileront «50 de leurs tactiques, techniques et procédures», est-il précisé.

La Chine a «un comportement irresponsable, perturbateur et déstabilisant dans le cyberespace, ce qui représente une menace majeure pour l’économie et la sécurité» des États-Unis et de ses partenaires, a déclaré le secrétaire d’État américain Antony Blinken. «Le gouvernement chinois doit mettre un terme à son cybersabotage systématique et doit être tenu responsable s’il ne le fait pas», a ajouté le chef de la diplomatie britannique Dominic Raab.

Cyberattaques : les PME exposées

Cyberattaques : les PME exposées

Les cyberattaques se développent de manière exponentielle et les entreprises ne maîtrisent pas forcément assez ce risque surtout les PME Selon une étude inédite de l’Association pour le management des risques et des assurances de l’ entreprise (l’Amrae) sur le marché de l’assurance cyber en France, les grandes entreprises sont largement assurées. Mais elles le sont avec des couvertures qui restent insuffisantes compte tenu de la hausse de l’intensité des sinistres. En revanche, les ETI et les PME sont peu couvertes contre la montée des menaces. Ce qui pose la question de la vulnérabilité du tissu économique et freine la capacité des assureurs à mieux mutualiser les risques cyber.

Entre 2019 et 2020, le coût des sinistres a été multiplié par trois pour atteindre 217 millions d’euros alors que les primes n’ont augmenté que de 50 % (à 130 millions) sur la période. Résultat, le ratio combiné (sinistres sur primes) s’est fortement dégradé sur ce marché naissant d’une année sur l’autre, de 84 % en 2019 à 167 % en 2020.

Criminalité–Cyberattaques contre les hôpitaux en forte hausse

Criminalité–Cyberattaques contre les hôpitaux en forte hausse

En 2020, les attaques et tentatives d’attaques cyber se sont intensifiées en France et n’épargnent pas les établissements de santé, devenus des cibles de choix et une vraie priorité pour l’État français

 

Le centre hospitalier de Dax est la dernière victime en date d’une longue série de cyberattaques. L’établissement est partiellement paralysé depuis mardi soir, victime d’une attaque au rançongiciel qui perturbe sérieusement son système informatique. L’attaque «a mis à plat les systèmes informatiques et le téléphone de l’hôpital, avec une mise en danger manifeste et évidente pour la prise en charge des patients» a indiqué le procureur de Dax, Rodolphe Jarry,

 

Un phénomène qui prend de l’ampleur en France et dans le monde : les cyberattaques contre les hôpitaux. Depuis l’apparition du coronavirus, elles ont bondi « de 500% », confirme au micro d’Europe 1 Philippe Trouchaud, en charge de la cybersécurité chez PWC, l’un des principaux cabinets de conseil au monde.

 

INTERVIEW

 

C’est un phénomène qui prend de l’ampleur en France et dans le monde : les cyberattaques contre les hôpitaux. Depuis l’apparition du coronavirus, elles ont bondi « de 500% », confirme au micro d’Europe 1 Philippe Trouchaud, en charge de la cybersécurité chez PWC, l’un des principaux cabinets de conseil au monde. Dernier exemple en date à l’hôpital de Dax : dans la nuit de lundi à mardi, une attaque d’ampleur a crypté les données du système informatique de l’hôpital, paralysant l’activité sur place. Mercredi soir, certains fichiers restaient encore très difficiles d’accès, alors que les équipes de l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information (ANSSI) tentaient d’aider le personnel à rétablir la situation.

Une attaque en forme d’écho à celle subie par le CHU de Rouen en novembre 2019, qui ne semble pas surprendre Philippe Trouchaud. « Les hôpitaux sont certainement ciblés en ce moment parce qu’ils sont sous le feu de l’actualité. Avec le coronavirus, on a encore plus besoin d’eux. Donc les cybercriminels pensent qu’il va être plus facile dans ces circonstances d’obtenir de l’argent en échange des données. » Dans ce type d’attaques, les pirates s’introduisent dans le système informatique de la victime puis chiffrent ses fichiers pour les rendre inopérants, exigeant une rançon pour les débloquer.

Mais les données ne sont pas le seul moyen pour les cybercriminels de maximiser leurs chances de récupérer de l’argent. L’opinion publique joue également un rôle important, avance Philippe Trouchaud.  »En Allemagne, une patiente dans un état critique est morte en septembre 2020 alors qu’une cyberattaque était en cours contre l’hôpital de Düsseldorf. Ce genre d’actions fait donc naître une pression l’opinion publique pour mieux protéger ces établissements », mais surtout pour « payer la rançon ».

Et avec la démocratisation à venir de la 5G, Philippe Trouchaud affirme « qu’il y aura davantage de cyberattaques » à l’avenir, contre les entreprises privées ou publiques. Il faut donc faire de la sensibilisation auprès des Français pour qu’ils respectent une certaine hygiène informatique, comme faire les mises à jour, afin de limiter les risques. Ce qui n’empêche pas l’expert d’avancer que « l’on va devoir vivre avec cette délinquance ».

 

Fortes hausses des cyberattaques contre les hôpitaux

Fortes hausses des  cyberattaques contre les hôpitaux

En 2020, les attaques et tentatives d’attaques cyber se sont intensifiées en France et n’épargnent pas les établissements de santé, devenus des cibles de choix et une vraie priorité pour l’État français

 

Le centre hospitalier de Dax est la dernière victime en date d’une longue série de cyberattaques. L’établissement est partiellement paralysé depuis mardi soir, victime d’une attaque au rançongiciel qui perturbe sérieusement son système informatique. L’attaque «a mis à plat les systèmes informatiques et le téléphone de l’hôpital, avec une mise en danger manifeste et évidente pour la prise en charge des patients» a indiqué le procureur de Dax, Rodolphe Jarry,

 

Un phénomène qui prend de l’ampleur en France et dans le monde : les cyberattaques contre les hôpitaux. Depuis l’apparition du coronavirus, elles ont bondi « de 500% », confirme au micro d’Europe 1 Philippe Trouchaud, en charge de la cybersécurité chez PWC, l’un des principaux cabinets de conseil au monde.

INTERVIEW

C’est un phénomène qui prend de l’ampleur en France et dans le monde : les cyberattaques contre les hôpitaux. Depuis l’apparition du coronavirus, elles ont bondi « de 500% », confirme au micro d’Europe 1 Philippe Trouchaud, en charge de la cybersécurité chez PWC, l’un des principaux cabinets de conseil au monde. Dernier exemple en date à l’hôpital de Dax : dans la nuit de lundi à mardi, une attaque d’ampleur a crypté les données du système informatique de l’hôpital, paralysant l’activité sur place. Mercredi soir, certains fichiers restaient encore très difficiles d’accès, alors que les équipes de l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information (ANSSI) tentaient d’aider le personnel à rétablir la situation.

Une attaque en forme d’écho à celle subie par le CHU de Rouen en novembre 2019, qui ne semble pas surprendre Philippe Trouchaud. « Les hôpitaux sont certainement ciblés en ce moment parce qu’ils sont sous le feu de l’actualité. Avec le coronavirus, on a encore plus besoin d’eux. Donc les cybercriminels pensent qu’il va être plus facile dans ces circonstances d’obtenir de l’argent en échange des données. » Dans ce type d’attaques, les pirates s’introduisent dans le système informatique de la victime puis chiffrent ses fichiers pour les rendre inopérants, exigeant une rançon pour les débloquer.

Mais les données ne sont pas le seul moyen pour les cybercriminels de maximiser leurs chances de récupérer de l’argent. L’opinion publique joue également un rôle important, avance Philippe Trouchaud.  »En Allemagne, une patiente dans un état critique est morte en septembre 2020 alors qu’une cyberattaque était en cours contre l’hôpital de Düsseldorf. Ce genre d’actions fait donc naître une pression l’opinion publique pour mieux protéger ces établissements », mais surtout pour « payer la rançon ».

Et avec la démocratisation à venir de la 5G, Philippe Trouchaud affirme « qu’il y aura davantage de cyberattaques » à l’avenir, contre les entreprises privées ou publiques. Il faut donc faire de la sensibilisation auprès des Français pour qu’ils respectent une certaine hygiène informatique, comme faire les mises à jour, afin de limiter les risques. Ce qui n’empêche pas l’expert d’avancer que « l’on va devoir vivre avec cette délinquance ».

 

 

 

Poutine responsable les cyberattaques contre Clinton (Obama)

Poutine responsable  les cyberattaques contre  Clinton (Obama)

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Une affaire qui pourrait bien faire du bruit voire même remettre en cause la légitimité de Trump s’il était prouvé que Trump  était au courant des cyber attaques de la Russie contre Clinton. Les agences de renseignements, la presse et même nombre de responsables républicains veulent faire la carté sur ce qui pourrait se révéler être l’affaire « Trumpgate ». Ils ont jusqu’au 20 janvier, date de l’investiture ensuite Trump qui méprise la CIA et les agences de renseignements fera le manages à la tête de ces institutions. Prié de dire s’il pensait que Poutine était personnellement impliqué dans le piratage des messageries de hauts responsables du Parti démocrate pendant la campagne présidentielle, Obama a répondu: « Cela s’est produit aux plus hauts niveaux du gouvernement russe » et cela ne « se produit guère en Russie sans l’aval de Vladimir Poutine. » Jeudi, Barack Obama avait laissé la porte ouverte à des mesures de représailles pour dissuader Moscou ou d’autres pays de mener de nouvelles cyberattaques. Ces mesures « seront mises en oeuvre en temps voulu et de la manière que nous aurons choisie. Certaines pourront être explicites et visibles, d’autres peut-être pas », avait-il dit à la radio publique (NPR). Le président américain a cependant dit vouloir donner plus de temps aux agences de renseignement pour peaufiner leur rapport d’enquête à ce sujet, qu’il souhaite voir sur son bureau avant son départ de la Maison blanche le 20 janvier. « Les informations que j’ai consultées me donnent pleine confiance sur le fait que les Russes ont commis ce piratage; le piratage du DNC (Comité national démocrate) et le piratage de John Podesta », le stratège en chef de la campagne de la candidate démocrate Hillary Clinton, a déclaré Obama. Donald Trump maintient que l’élection du 8 novembre s’est déroulée de manière équitable et s’irrite lorsqu’on laisse entendre que Moscou a pu en influencer le résultat. Il a pourtant, lors de la campagne présidentielle, encouragé publiquement la Russie à pirater les mails de Clinton. L’homme d’affaires a également fait l’éloge de Vladimir Poutine et depuis sa victoire, il a désigné des partisans de Moscou à certains des plus hauts postes de sa future administration.

 

Cyberattaques : 25 milliards recensées au Japon

Cyberattaques : 25 milliards recensées au Japon

 

La cyberdépendance du monde pourraiat bien aboutir un jour à une  catastrophe mondiale car les cyberattaques ne cessent de se développer. Exemple au Japon avec  25 milliards d’attaques informatiques en 2014, soit le double de l’année précédente, selon une enquête rapportée par l’agence de presse Kyodo. Il est clair  que les systèmes informatiques permettent une gestion  optimisée des informations et de nombre de  fonctions, pour autant cette cyberdépendance extrême constitue une fragilité pour nombre de système dont certains sont vitaux pour la société. Il serait urgent à cet égard de réfléchir à une  stratégie mondiale de protection et de défense des systèmes informatiques.  L’institut national des technologies de la communication et de l’information (NICT), qui est doté d’un réseau de 240.000 outils pour détecter ce type d’intrusions, a évalué à 40% la part d’attaques en provenance de Chine. Figurent ensuite en bonne place la Corée du Sud, la Russie et les Etats-Unis. Dans un nombre croissant de cas, les pirates prennent le contrôle de routeurs, caméras de sécurité et autre systèmes connectés à internet afin d’établir leurs propres communications, a indiqué l’institut. Cette étude a été menée pour la première fois en 2005: à l’époque, seulement 310 millions d’incidents avaient été recensés. Les cyberattaques et l’espionnage informatique devraient encore se multiplier en 2015 et les groupes extrémistes vont multiplier leurs offensives sur la toile, avait prévenu en décembre le spécialiste américain en sécurité sur internet McAfee. Parmi les piratages les plus récents, un groupe de hackers, le GOP, a pénétré le 24 novembre dans le système informatique de Sony Pictures, filiale américaine de cinéma du géant japonais de l’électronique, volant les données personnelles de 47.000 employés et tiers.




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