Archive pour le Tag 'Curieux !'

Rachida Dati: Un curieux objet culturel

Rachida Dati, ministre: Un curieux objet culturel

Pour le moins, la nomination de Rachida Dati comme ministre de la culture va susciter de nombreuses réactions. En effet, elle atterrit là un peu par hasard suite aux savants calculs de dosage des sensibilités politiques voulu par Macron. Une nomination qui va susciter aussi des polémiques compte tenu de la personnalité de l’intéressée qui doit surtout son avancement personnel et politique à ses relations nombreuses et variées.

La première chose qu’on peut observer c’est qu’elle n’a pas particulièrement de compétences en matière de culture. C’est même une politique un peu brute de décoffrage qui ne s’embarrasse pas de circonvolutions intellectuelles. Bref plus proche de Patrick Sébastien ou de Cyrille Hanouna que de Durkheim ou Roland Barthes !

Sur le plan personnel, c’est surtout son tissu de relation qui lui a permis d’accéder aux responsabilités. Un doute subsiste sur les conditions dans lesquelles il est devenu magistrate. Comme l’indique Wikipedia:

Le Canard enchaîné indique en 2007 qu’elle aurait produit un faux curriculum vitæ pour intégrer l’ENM, en utilisant une formulation qui laissait entendre qu’elle était titulaire d’un MBA européen du groupe HEC-ISA, cultivant une forme d’ambiguïté qui a pu induire certains magistrats ou hauts fonctionnaires en erreur, lors de sa demande d’entrée à l’ENM sur dossier28,29. Le directeur d’HEC indique qu’elle « n’a pas obtenu son diplôme, alors qu’elle avait validé tous les modules, parce qu’elle n’a pas assisté au séminaire de clôture de l’année »30.

Carrière professionnelle

En 1987, Rachida Dati effectue un stage en tant que chargée d’études16 auprès de la direction comptabilité-finance du groupe Elf Aquitaine grâce à Albin Chalandon, qu’elle rencontre lors d’une réception à l’ambassade d’Algérie en France31. Elle poursuit en parallèle des études supérieures en sciences économiques et gestion des entreprises. Après une rencontre avec Jean-Luc Lagardère en 1990, elle entre à la direction de l’audit de Matra communication, puis, en 1993, passe un an à Londres auprès de Jacques Attali, à la BERD32, toujours dans l’audit. En 1994, elle devient contrôleuse de gestion et secrétaire générale du bureau d’études sur le développement urbain à la Lyonnaise des eaux, puis, de 1995 à 1997, conseillère technique à la direction des affaires juridiques du ministère de l’Éducation nationale.

Par arrêté du 25 avril 1997 du garde des Sceaux, ministre de la Justice, elle est nommée auditeur de justice à l’École nationale de la magistrature pour effectuer une formation de 31 mois. Puis, par décret du président de la République du 20 juillet 1999, elle est nommée juge au tribunal de grande instance de Péronne (Somme). Pendant cette période, elle aurait reçu un blâme du procureur de Péronne pour avoir manqué de respect aux fonctionnaires du greffe. Se rendant souvent à Paris pendant la semaine, elle est convoquée par le premier président de la cour d’appel d’Amiens, qui lui reproche de disposer de son temps à volonté et qui l’avertit qu’il va envoyer un rapport sur elle à la direction des services judiciaires. Finalement, elle est enfin nommée substitut du procureur au tribunal d’Évry en septembre 20032,. Elle est candidate à un poste d’auditrice au Conseil d’État, dont elle connaît bien le vice-président, Marceau Long. Malgré la qualité de ses recommandations émanant de personnalités prestigieuses, sa candidature est refusée.

Un curieux plafond du prix du carburant à 1,99 euros

Un curieux plafond du prix du carburant à 1,99 euros

Inutile de tourner en rond, la pression du gouvernement sur Total énergie afin de limiter le prix du carburant à 1,99 euros est destinée à faire passer la pilule des énormes profits de Total de plus de 20 milliards en 2022.

Ce plafond en outre n’a aucun sens économique. On comprendrait mieux que Total et les autres pétroliers prennent l’engagement de réduire l’augmentation en pourcentage du prix du brut. Bref de limiter leurs profits. Le plus paradoxal c’est que la fixation d’un prix à 1,99 euros pourait rapporter pour peu que le prix du brut baisse sensiblement. C’est d’ailleurs actuellement un peu le cas avec un baril de pétrole à 80 $.

face à la hausse des prix des carburants, l’exécutif français aurait sommé t le groupe pétrolier de faire un geste en faveur des automobilistes depuis quelques jours.

Le gouvernement le demandait ardemment, TotalEnergies l’a fait. Prié de faire un geste envers les automobilistes, dans un contexte de forte inflation, le PDG de TotalEnergies Patrick Pouyanné a annoncé mercredi soir sur TF1 que « le diesel et l’essence ne dépasseront pas 1,99€ le litre» en 2023 dans son réseau de quelque 3 400 stations-service. Et d’ajouter : «On le fait pour toute l’année. (…) Actuellement 4 stations sur 10 affichent un prix supérieur à 2€ par litre.» Depuis début 2023, les prix à la pompe sont repartis à la hausse, conséquence de la fin des ristournes gouvernementales. En 2022, TotalEnergies avait également proposé un rabais de 20, puis de 10 centimes par litre, sans que l’exécutif n’ait à faire pression.

Un curieux plaidoyer pour les cryptomonnaies

 

Un curieux plaidoyer pour les cryptomonnaies 

En ces temps de vacances nombres de journaux sont en mal de copie et  laisse passer des papiers largement inspirés par des intérêts corporatistes. C’est vraisemblablement le cas concernant un curieux plaidoyer de la Tribune pour les crytomonnaies ( Au caractère très aléatoire et qui ne repose sur aucun actif)  qui ont pourtant coûté très cher aux naïfs petits investisseurs.

 

le papier de la Tribune

Sur les marchés cryptos, il est indispensable de disposer d’une bonne stratégie d’investissement. Comment investir et à quel moment ? Ces questions sont essentielles, quel que soit l’actif choisi. Elles se posent de manière plus pointue encore lorsqu’il s’agit des cryptomonnaies. En effet, leur forte volatilité fait que le choix d’une bonne stratégie d’investissement fait souvent la différence entre la réussite et l’échec. Parmi les différentes stratégies utilisées par les investisseurs, deux d’entre elles sont particulièrement populaires chez les traders qui présentent une aversion au risque. Il s’agit d’une part de la stratégie « buy and hold », et d’autre part de la stratégie de l’investissement programmé.

La stratégie de l’investissement programmé

L’investissement programmé est utilisé pour de nombreuses classes d’actifs, y compris les cryptomonnaies. On peut même dire que les devises numériques s’y prêtent particulièrement. En quoi cela consiste-t-il ?

Appelé aussi DCA (Dollar CostAveraging), l’investissement programmé, qui est d’ailleurs également employée sur le marché des actions, consiste à étaler ses investissements dans le temps et en valeur. Concrètement, au lieu d’investir une grosse somme en une seule fois dans un actif (lump-sum en anglais), on choisit plutôt d’acheter de manière régulière une crypto, en plus petite quantité. L’investissement est donc étalé dans le temps avec des achats hebdomadaires ou mensuels. L’important est d’investir un montant identique à des intervalles réguliers.

Prenons un investisseur disposant d’une enveloppe globale de 10 000 euros. Au lieu d’acheter en une seule fois l’équivalent de cette somme en bitcoin, il choisira d’investir toutes les semaines 200 euros ou moins, mettons 192 euros chaque semaine pendant 52 semaines sur un marché crypto. De cette manière, l’investisseur achète des bitcoins à différents niveaux de prix, et paye en fait sur la période, sa cryptodevise au prix moyen, établi sur ces 52 semaines. Cette stratégie peut être mise en place quelle que soit la taille de l’investissement envisagé.

En quoi cela est-ce intéressant ? Cette stratégie permet, en fait, de lisser les hausses et les baisses du marché. Ce qui pour les cryptomonnaies, très volatiles, est un réel avantage. Acheter un peu, mais souvent permet de profiter d’une répartition du coût des achats dans le temps, et donc de réduire l’impact global d’une baisse brusque des prix. En cas de chute des cours, l’investisseur poursuit ses achats sans dévier de sa stratégie, ce qui lui permettra de rattraper d’éventuelles contre performances dès que les cours rebondissent.

Notons, toutefois, qu’il convient que l’investisseur vérifie attentivement si lors de chaque achat, le coût engagé est basé sur un pourcentage ou sur des fees. Dans ce second cas, cela pourrait lui coûter plus cher.

 

La stratégie buy and hold participe d’une autre vision de l’investissement. L’acheteur va tenir ses positions, en dépit des chutes ou des hausses de cours. Quelle que soit la panique qui peut s’emparer des marchés, il faut conserver ses actifs et ne pas les vendre.

C’est une stratégie très classique commune à tous les marchés (actions et cryptos). Ainsi, une personne ayant acheté 1 bitcoin au 1er janvier 2020 l’aura payé 6417 euros. Le 12 mars 2020, la déferlante Covid fait chuter le cours de la cryptomonnaie à moins de 4000 euros. L’investisseur décide de ne pas vendre. Quatre mois plus tard, le 15 août 2020, le bitcoin franchit la barre des 10 000 euros. Il va ensuite fluctuer, mais l’investisseur tient toujours bon et décide de ne pas vendre. Avec raison, car la monnaie virtuelle va entamer un rallye haussier l’amenant à des sommets. Le 8 novembre 2021, la cryptodevise clôture à un cours record proche des 58 000 euros. Le gain pour l’investisseur entre le 1er janvier 2020 et le 8 novembre 2021 est faramineux, s’il s’est décidé à vendre à cette date-là, avec un bitcoin qui se sera apprécié de +1218 % en près de deux ans.

Pour pouvoir gagner sur le marché des cryptos, il est donc très important de se fixer un but à atteindre en termes de valeur pour pouvoir vendre au bon moment. Ce bon moment, c’est donc celui qui permettra à l’investisseur de dégager des profits et d’échapper à un éventuel retournement de tendance.

Alors que les cours connaissent un recul plus important depuis mai 2022, la stratégie du buy and hold est-elle tenable ? Céder à la panique, c’est assurément perdre. Or, même si rien n’est garanti, l’histoire a prouvé que le marché des cryptomonnaies vu comme un tout est incroyablement résilient. Il a déjà connu des coups de mou, mais il n’a jamais manqué de repartir à la hausse (ce qui n’empêche pas les possibilités de pertes même en tendance globale ascendante du marché sur certaines cryptodevises en particulier).

Si vous souhaitez investir dans des cryptomonnaies comme Bitcoin et Ethereum, vous pouvez procéder à vos achats sur la plateforme LiteBit. Les clients français reçoivent 20 € de frais de bienvenue pour acheter leur première crypto sur notre plateforme après vérification. LiteBit est enregistrée auprès de l’Autorité des marchés financiers en tant que fournisseur de services pour les actifs numériques. LiteBit offre un service rapide, simple et sécurisé avec un support français pour l’achat, la vente et la gestion de plus de 75 cryptomonnaies.

Les perspectives mentionnées sur ce site sont susceptibles d’évoluer. Elles ne sont en aucun cas un engagement ou une garantie de la part de LiteBit et ne doivent pas être considérés comme des conseils en investissements ou des recommandations.

Retour curieux des turbines Alstom en France !

Retour curieux des turbines Alstom en France !

En effet, ce lundi 7 février 2022, aété officialisée la vente de l’activité turbines pour les centrales nucléaires de GE à EDF. Et le président Macron jeudi 10 février à l’occasion de sa visite à Belfort a donné sa bénédiction à ce rachat; Pas étonnant, c’est lui qui l’a imposé après avoir fait le contraire !

 

Un curieux jeu de chaises musicales organisé par Macron lui-même concernant les anciennes turbines d’Alstom. C’est Sous l’impulsion de Macron en charge  des problèmes économiques qu’il y a sept ans on avait poussé Alstom à vendre le secteur très stratégique des turbines à l’Américain Général électric. Un investissement qui ne semble pas avoir satisfait l’Américain. Et Macron d’intervenir encore pour faire acheter ses turbines par EDF déjà bien endettée. Sans doute y a-t-il aussi des liens particuliers entre Macron et General ral Electric partie prenante de la campagne électorale de l’intéressé en 2017.

L’objectif du gouvernement est de renforcer la filière nucléaire, de rapatrier sous pavillon tricolore un savoir-faire, de maîtriser tous les maillons de la chaîne de production . Mais dès lors on se demande pourquoi avoir vendu les turbines d’Alstom à General Electric ?

Hugh Bailey, ancien conseiller d’Emmanuel Macron au ministère de l’Économie, avait  pris la tête de GE France !

Anti-vax: De curieux « résistants »

Anti-vax: De curieux « résistants »

 

 

Les références à la Croix de Lorraine de manifestants contre la vaccination obligatoire anti-Covid indignent le professeur émérite de médecine Gérard Reach qui dans une tribune au « Monde » pourfend une réactance marque d’infantilisme d’adultes qui passent leur temps à se plaindre d’être infantilisés. (extrait)

 

Tribune.

 

On a pu voir dans les manifestations récentes contre la vaccination obligatoire et les autres mesures de restriction des choses étonnantes. Je ne parle pas de la stupéfaction que l’on pouvait ressentir devant ces personnes qui portaient une étoile jaune, sans doute trop bêtes pour comprendre leur ignominie.

Je voudrais plutôt m’intéresser à ceux qui ont défilé avec des croix de Lorraine, emblème de la Résistance, alors qu’il pourrait plutôt s’agir de réactance, mécanisme de défense psychologique mis en œuvre par un individu lorsqu’il croit que sa liberté lui est ôtée ou est menacée, décrit par Jack Brehm en 1966.

Résistance ? Sous l’impulsion du général de Gaulle, elle était née d’une sublime pulsion de vie visant à assurer la protection des libertés, de nos libertés, dans un élan collectif et altruiste qui a conduit bon nombre de héros, connus ou inconnus, au sacrifice suprême.

 

Comme on était loin de la résistance de ceux qui aujourd’hui manifestent contre la vaccination ou les restrictions, sans comprendre qu’ils sont poussés par un désir visant au contraire à assurer de manière égoïste leur seule liberté individuelle, avec le risque qu’elle prolonge l’épidémie avec ses morts. Ce désir mérite-t-il une croix de Lorraine ?

La liberté est par essence plurielle

Réactance : Jack Brehm (1928-2009) avait décrit le concept à propos des enfants. La réactance est chez eux habituelle ; c’est qu’ils découvrent le monde qui les entoure, qui risque de leur prendre leur bien et d’imposer des limites à leur toute-puissance. Ne touche pas à ce verre et voici qu’ils le touchent ; donne-moi ta poupée et ce sont des cris. Quels parents n’ont-ils pas vu chez leurs enfants cette réactance, expression du développement ultérieur de leur autonomie ?


Mais, alors, la réactance ne serait-elle pas dans le cas qui nous occupe une marque d’infantilisme d’adultes, qui, soit dit en passant, passent leur temps à se plaindre d’être infantilisés ? Liberté, liberté chérie, te défendre, oui ! Mais la liberté ne saurait être un concept individuel : la liberté est par essence plurielle.

Antivax : de curieux « résistants »

Antivax : de curieux résistants

Les références à la Croix de Lorraine de manifestants contre la vaccination obligatoire anti-Covid indignent le professeur émérite de médecine Gérard Reach qui dans une tribune au « Monde » pourfend une réactance marque d’infantilisme d’adultes qui passent leur temps à se plaindre d’être infantilisés.

 

Tribune.

On a pu voir dans les manifestations récentes contre la vaccination obligatoire et les autres mesures de restriction des choses étonnantes. Je ne parle pas de la stupéfaction que l’on pouvait ressentir devant ces personnes qui portaient une étoile jaune, sans doute trop bêtes pour comprendre leur ignominie.

Je voudrais plutôt m’intéresser à ceux qui ont défilé avec des croix de Lorraine, emblème de la Résistance, alors qu’il pourrait plutôt s’agir de réactance, mécanisme de défense psychologique mis en œuvre par un individu lorsqu’il croit que sa liberté lui est ôtée ou est menacée, décrit par Jack Brehm en 1966.

Résistance ? Sous l’impulsion du général de Gaulle, elle était née d’une sublime pulsion de vie visant à assurer la protection des libertés, de nos libertés, dans un élan collectif et altruiste qui a conduit bon nombre de héros, connus ou inconnus, au sacrifice suprême.


Comme on était loin de la résistance de ceux qui aujourd’hui manifestent contre la vaccination ou les restrictions, sans comprendre qu’ils sont poussés par un désir visant au contraire à assurer de manière égoïste leur seule liberté individuelle, avec le risque qu’elle prolonge l’épidémie avec ses morts. Ce désir mérite-t-il une croix de Lorraine ?

Réactance : Jack Brehm (1928-2009) avait décrit le concept à propos des enfants. La réactance est chez eux habituelle ; c’est qu’ils découvrent le monde qui les entoure, qui risque de leur prendre leur bien et d’imposer des limites à leur toute-puissance. Ne touche pas à ce verre et voici qu’ils le touchent ; donne-moi ta poupée et ce sont des cris. Quels parents n’ont-ils pas vu chez leurs enfants cette réactance, expression du développement ultérieur de leur autonomie ?


Mais, alors, la réactance ne serait-elle pas dans le cas qui nous occupe une marque d’infantilisme d’adultes, qui, soit dit en passant, passent leur temps à se plaindre d’être infantilisés ? Liberté, liberté chérie, te défendre, oui ! Mais la liberté ne saurait être un concept individuel : la liberté est par essence plurielle.


Je ne peux pas être libre si l’autre n’est pas libre et, surtout, si ma liberté porte atteinte à sa liberté : je suis libre avec toi, pas contre toi et on comprend la gravité de la « fracture vaccinale » à laquelle nous assistons aujourd’hui. Liberté plurielle : peut-être est-ce le sens profond de la définition de l’éthique donnée par Paul Ricœur (1913-2005) : on entre véritablement en éthique quand, à l’affirmation par soi de la liberté, s’ajoute la volonté que la liberté de l’autre soit. Je veux que ta liberté soit.

Le curieux concept de tenue républicaine à l’école

Le curieux concept de tenue républicaine à l’école

 

 

 

Cette fois encore les valeurs républicaines sont sollicitées dans un domaine bien peu régalien à savoir celui de la mode en vigueur chez les élèves. On peine évidemment à identifier une valeur qui constituerait un critère esthétique ou  moral dans les valeurs républicaines. La question est plutôt celle de la décence en public. Elle relève de l’autorité des familles et non d’une quelconque intervention étatique. On  objectera que cette autorité des familles est bien affectée et que globalement ni les familles, ni l’État, ni même la société n’assurent  leur responsabilité dans ce domaine. On notera que dans nombre de pays d’Afrique et ailleurs,  l’uniforme est obligatoire et constitue en quelque sorte une manière de niveler les différences de niveau social. En France on a renoncé depuis longtemps à cette tenue unique dans le primaire. De la même manière qu’on a renoncé à l’éducation civique.  Le rappel à la décence du ministre de l’éducation nationale est largement justifié mais sa référence à la république est beaucoup plus douteuse.

 

«L’école n’est pas un lieu comme les autres. Vous n’allez pas à l’école comme vous allez à la plage ou en boîte de nuit [...]. Chacun peut comprendre qu’on vient à l’école habillé d’une façon républicaine», a déclaré le ministre de l’Éducation nationale. Ces propos confirment ceux qu’il tenait la semaine dernière lorsqu’il affirmait qu’il «suffi[sait] de s’habiller normalement».

Jean-Michel Blanquer a ajouté que le choix d’une tenue vestimentaire sobre était un «enjeu d’égalité sociale puis de protection», tout en précisant qu’il s’agissait d’une question qui concernait «les filles et les garçons». Il a ainsi affirmé qu’on «ne vient pas au collège en short, sauf pour faire de l’éducation physique et sportive».

Politique : Macron- Sarkozy : un curieux tandem d’arnaqueurs

 Politique : Macron- Sarkozy : un curieux tandem d’arnaqueurs

 

 

Sur le plan intellectuel et du cursus tout sépare Macron et Sarkozy. Pourtant ces ceux-là ne cessent de se rapprocher et même de se mettre en scène médiatiquement pour réciproquement renforcer leur poids politique. Ce qui rapproche surtout Sarkozy et Macron, c’est leur goût pour la stratégie du coup de force. Rappelons s’il le fallait que Sarkozy a commencé sa carrière en blackboulant  Pasqua, puis Chirac de la même manière,  que Macron a bousculé Hollande. Ces deux là  ont un goût particulier pour les coups de force et les annonces tapageuses. Sarkozy s’était notamment engagé à nettoyer les banlieues et la racaille à coups de Karcher. Macron lui veut résoudre le problème du chômage en demandant à ceux qui sont sans emploi de traverser la rue pour  trouver du travail. En plus il réduit les indemnités chômage, va diminuer les retraites et sans état d’âme fait d’énormes cadeaux aux financiers. Idéologiquement rien ne les sépare vraiment. Ceci étant, Macron ne bénéficie dans le pays que d’un soutien de l’ordre de 30 % (à peu près comme Sarkozy à la même époque) ce qui est bien insuffisant pour être assuré d’une réélection. Du coup,  Macron est contraint de chasser de plus en plus sur les terres des républicains avec la bienveillante complicité de Sarkozy. Ce terrain de chasse est favorisé depuis que les électeurs de gauche ont lâché Macron car trop déçus des revirements du pouvoir. .Par ailleurs, Sarkozy compte bien sur le soutien de Macron pour gérer ses différentes gamelles qui freinent sans doute son retour politique. Il y a encore cinq ou six affaires politiques et ou financières pour lesquels Sarkozy souhaiterait bien que le pouvoir puisse faire comprendre à la justice qu’on ferait mieux d’enterrer des dossiers sulfureux qui concernent surtout le financement des campagnes électorales. Justement Macron, lui aussi, pourrait faire l’objet d’une enquête judiciaire sur les conditions de financement très obscures de sa propre campagne électorale. Une plainte à ce sujet a été déposée par Anticor mais elle  est aujourd’hui enterrée dans les méandres de la justice. Autre point commun Sarkozy, comme Macron,  aime l’argent et ceux qui en ont. Pas vraiment une admiration réciproque mais une sorte de complicité utile à l’un et à l’autre. On imagine évidemment qu’elle peut être l’état d’âme de certains socialistes sincères   ralliés à LREM  (il doit bien en exister quelques-uns)  vis-à-vis de cette proximité entre Macron et Sarkozy !

 

Macron- Sarkozy : un curieux tandem d’arnaqueurs

Macron- Sarkozy : un curieux tandem d’arnaqueurs

 

 

Sur le plan intellectuel et du cursus tout sépare Macron et Sarkozy. Pourtant ces ceux-là ne cessent de ce rapprocher et même de se mettre en scène médiatiquement pour réciproquement renforcer leur poids politique. Ce qui rapproche surtout Sarkozy et Macron, c’est leur goût pour la stratégie du coup de force. Rappelons s’il le fallait que Sarkozy a commencé sa carrière en bousculant Pasqua, puis Chirac de la même manière que Macron a bousculé Hollande. Ces deux là  ont un goût particulier pour les coups de force et les annonces tapageuses. Sarkozy s’était notamment engagé à nettoyer les banlieues et la racaille à coups de Karcher. Macron lui veut résoudre le problème du chômage en demandant à ceux qui sont sans emploi de traverser la rue trouver du travail. En plus il réduit les indemnités chômage, va diminuer les retraites et sans état d’âme fait d’énormes cadeaux aux financiers. Idéologiquement rien ne les sépare vraiment. Ceci étant, e macro ne bénéficie dans le pays que d’un soutien de l’ordre de 30 % (à peu près comme Sarkozy à la même époque) ce qui est bien insuffisant pour être assuré d’une réélection. Du coup Macron est contraint de chasser de plus en plus sur les terres des républicains avec la bienveillante complicité de Sarkozy. Ce terrain de chasse est favorisé depuis que les électeurs de gauche ont lâché Macron car trop déçu des revirements du pouvoir. . Par ailleurs, Sarkozy compte bien sur le soutien de Macron pour gérer ses différentes gamelles qui freinent sans doute son retour politique. Il y a encore cinq ou six affaires politiques et ou financières pour lesquels Sarkozy souhaiterait bien que le pouvoir puisse faire comprendre à la justice qu’on ferait mieux d’enterrer des dossiers sulfureux qui concernent surtout le financement des campagnes électorales. Justement Macron, lui aussi, pourrait faire l’objet d’une enquête judiciaire sur les conditions de financement très obscures de sa propre campagne électorale. Une plainte à ce sujet a été déposée par Anticor mais elle  est aujourd’hui enterrée dans les méandres de la justice. Autre point commun Sarkozy comme Macron aime l’argent et ceux qui en ont. Pas vraiment une admiration réciproque mais une sorte de complicité utile à l’un et à l’autre. On imagine évidemment qu’elle peut être l’état d’âme de certains socialistes sincères (il doit bien en exister quelques-uns)  vis-à-vis de cette proximité entre Macron et Sarkozy !

Les «foulards rouges»: un curieux nom pour des nantis !

 Les  «foulards rouges»: un curieux nom pour des nantis !

 

 

Les foulards rouges ont sans doute d’abord fait une erreur sémantique en choisissant ce nom pour identifier ceux qui soutiennent la politique de Macron. Il n’y a en effet rien de révolutionnaire chez ceux qui profite de la politique du pouvoir. La plupart sont plutôt des nantis ou des cadres. Seconde erreur sans doute, la tentation de réitérer la manifestation du 30 mai 1968 en soutien aux général De Gaulle. Une manifestation qui, elle, a réuni de l’ordre de 1 mil, on n’est même pas sur de réunir 100 000 personnes en France peut-être même pas 50 000. On voit mal en effet sur quelle organisation de masse s’appuierait les foulards rouges. En effet l’organisation politique de Macron, la république en marche n’a aucun ancrage dans le pays, aucune réalité, aucun fonctionnement. C’est un parti totalement virtuel. En outre il y a une contradiction à vouloir réclamer la fin des manifestations et des désordres et en même temps organiser un tel événement. Le pouvoir en place a choisi une posture très prudente vis-à-vis de cette manifestation des foulards rouges en raison des contradictions évoquées mais aussi d’un possible  bide.  dernières aspect, le risque de fracturer encore un peu plus la société française déjà très segmentée pour ne pas dire écartelée notamment entre les bénéficiaires de la politique du pouvoir et ceux qui sont victimes d’une fiscalité injuste. «Le risque, c’est qu’on offre aux Français des images d’affrontement entre deux parties du pays… Or c’est précisément ce qu’on ne veut pas voir», confie un proche conseiller de l’exécutif. Car l’un des axes forts de la campagne d’Emmanuel Macron était précisément de «réconcilier les Français». Pas de les diviser.

Chômage : un recul curieux !

Chômage : un recul curieux !

 

En gros, le chômage aurait diminué d’environ  de 1 % au cours du dernier trimestre. Une évolution curieuse dans la mesure où la croissance s’est nettement (0,2 % pour l’augmentation du PIB au lieu de 04 % attendus). D’une certaine manière, ce recul du chômage relève du miracle. De toute manière les chiffres sont insignifiants car il faut rapporter cette diminution du nombre de chômeurs de 30 000 (catégorie A) à près de 3,5 millions de chômeurs. Il faut aussi noter que les conditions de radiation des chômeurs ont été renforcées et il se pourrait que l’évolution officielle découle en fait des nouvelles prescriptions pour l’inscription des chômeurs. De toute manière, compte tenu de la baisse tendancielle de la croissance tous les experts s’attendent à une dégradation de la situation du chômage au moins pour les six mois de 2019. En cause, le net ralentissement international en Chine mais aussi en Europe. L’Allemagne par exemple à diviser par deux sa perspective de croissance en 2019 avec désormais seulement un objectif de plus 1 % du PIB. Le nombre de demandeurs d’emploi sans aucune activité aurait donc  reculé en France métropolitaine au quatrième trimestre et sur l’ensemble de 2018, mais, en présence de signaux contradictoires, les spécialistes du dossier ne se risquent pas à prédire une baisse durable du nombre de chômeurs. De fait, les déclarations d’embauches de plus d’un mois hors intérim dans le secteur privé ont nettement reculé en décembre – de 3,8% par rapport à décembre 2017, selon l’Agence centrale des organismes de sécurité sociale (Acoss). Elles avaient déjà baissé de 0,7% en novembre.

1.954 mineurs radicalisés en France, curieux chiffre !

1.954 mineurs radicalisés en France, curieux chiffre !

1.954 mineurs seraient signalés officiellement signalés en France pour leur radicalisation islamiste ; une évaluation qui laisse dubitatif d’abord par son niveau de précision ensuite tout autant par son approximation. Dans le même temps on a évalué le nombre de zones sensibles officiellement à 750. Il y aurait donc de 2 personnes considérées comme radicaux islamistes, écrit Le Figaro dans un article à paraître vendredi. Une évaluation pifométrique car les services de renseignements faute de moyens sont bien incapables de fournir des chiffres pertinents. Environ 1 million de personnes vivent  dans ces zones sensibles, comment compter  les candidats individus potentiellement dangereux alors que l’État a déserté depuis longtemps ces zones de non-droit Ces mineurs constituent 18% du total des individus repérés depuis 2014 pour leur radicalisation, précise le quotidien sans identifier ses sources. Parmi les 689 ressortissants français actuellement en Irak et en Syrie dans les rangs des djihadistes, 17 sont mineurs, ajoute-t-il. Après l’attentat de Nice et l’assassinat d’un prêtre cet été à Saint-Etienne-du-Rouvray, le démantèlement récent d’une cellule djihadiste constituée de femmes et l’arrestation de plusieurs mineurs radicalisés ont illustré le caractère diffus et multiforme de la menace terroriste en France. A l’instar du djihadiste français Rachid Kassim, soupçonné d’avoir inspiré plusieurs attentats ou tentatives d’attentat depuis plusieurs mois en France, les recruteurs du groupe Etat islamique ciblent par le biais des réseaux sociaux un public jeune et influençable, souligne une source policière. De toute évidence pour se permettre une évaluation il conviendrait sans doute de concevoir une autre politique de renseignement avec des moyens autrement conséquents (type gendarmerie ou RG)

ISF : comme Gattaz Sarkozy veut la suppression…. curieux !

ISF : comme Gattaz Sarkozy veut la suppression…. curieux !

 

Sarkozy rejoint Gattaz dans le sulfureux amalgame entre la suppression de l’ISF et l’a amélioration de la compétitivité de l’économie. Comme Gattaz il mélange tout et dévoile les intérêts qu’il sert. Il est curieux que Sarkozy soit auusi timide sur la question des 35 heures et aussi volontariste sur la suppresion de l’ISF. Comme si l’ISF était la première question économique du pays et des PME qui créent l’emploie. . A  cet égard l’entretien d’une confusion entre la sphère financière et la sphère de l’économie réelle n’est  sans doute pas un hasard. Cette confusion nuit cependant à une compréhension des facteurs explicatifs de la crise et embrouille complètement les propositions politiques. Nicolas Sarkozy, candidat à la présidence de l’UMP, se dit donc favorable à la suppression de l’impôt de solidarité sur la fortune (ISF), dans une interview à paraître ce mercredi dans Le Figaro. « Je ne souhaite pas que la France quitte l’Union européenne ou la zone euro, donc oui, je pense qu’il faut supprimer l’ISF qui n’existe nulle part ailleurs en Europe », explique l’ex-chef de l’Etat. Selon lui, « il faut désidéologiser le débat fiscal français ». « La seule question est de savoir si l’on opte pour une fiscalité pragmatique qui nous permettra de lutter à armes égales avec les autres, notamment nos voisins européens », précise-t-il. Environ 300.000 personnes sont assujetties en France à l’ISF, dont le président du Medef, Pierre Gattaz, a récemment demandé la suppression.

 

Confiance des ménages : à 86 au lieu de 85 ; en hausse ? Curieux ! Non ?

Confiance des ménages : à 86 au lieu de 85 ; en hausse ? Curieux ! Non ?

Curieuse conclusion de l’INSEE qui voit la confiance des ménages en hausse à 86 au lieu de 85. Un écart qui se situe d’abord dans la marge d’erreur. Une sorte de volontarisme statistique surprenant car la donne macro-économique n’a guère changé. En outre les français craignent toujours la hausse du chômage qui demeure le seul véritable enjeu du redressement. Plus d’épargne, plus de pouvoir d’achat mais plus de chômage. Voilà comment on pourrait résumer l’enquête de confiance des ménages français de l’Insee en janvier. Dans l’ensemble, la confiance des ménages repart à la hausse ce mois-ci, selon les chiffres publiés par l’Insee ce mardi 28 janvier. L’indice gagne un point par rapport à décembre, à 86 points. Il retrouver ainsi son niveau d’octobre, après un hiver plutôt morose. Les ménages sont également plus nombreux à penser qu’il est « opportun de faire des achats importants » actuellement, et que leur situation financière va s’améliorer dans le futur. Les Français ont également plus confiance dans leur capacité à épargner.  Mais beaucoup craignent une hausse du chômage, et la publication des chiffres de décembre semble leur donner raison, avec une hausse de 0,3%. Après une baisse en décembre, l’indice des perspectives d’évolution négative du chômage augmente de 4 points. Les opinions sur le niveau de vie et sur l’inflation s’améliorent en revanche. « Les ménages sont moins nombreux qu’en décembre à estimer que les prix ont augmenté », explique l’Insee. Les perceptions du niveau de vie futur et passé progressent également

 




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