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Foot :Le PSG à Newcastle : déjà cuit ?

Foot -Le PSG à Newcastle : déjà cuit ?

À de rares exceptions près, le PSG arrête prématurément sa carrière en ligue des champions . Il y a évidemment plusieurs facteurs explicatifs à ses défaites répétées. Parmi les principales il faut surtout noter que le PSG a toujours confondu jet-set et club de foot.

Le PSG a trop souvent été une sorte d’agglomérat de stars surpayées et bavardes plus brillantes dans les médias sur le terrain. Un des rares clubs européens aussi à user les entraîneurs. Les plus grands sont passés au PSG pour être ensuite virés parfois comme des malpropres.

Le problème du PSG c’est qu’il n’y a pas de véritable culture de club comme par exemple à Lens en France ou dans les clubs britanniques, italiens, espagnols ou allemands.

La plupart des membres de l’équipe du PSG sont surtout des mercenaires qui viennent encaisser des salaires démentiels sans trop se fatiguer. Pour preuve les matchs en ligue 1 qui font pitié. Du coup habituée à ce rythme de sénateur, la même équipe est bousculée lors des matchs de niveau européen.

Tout est à revoir dans ce club a commencer par sa philosophie, son fonctionnement et la réalité de son adhésion au maillot.

La défaite 4 à 1 à Newcastle témoigne bien de la différence du championnat entre la France et britannique, entre le PSG et les vrais grands clubs européens. Dernière recommandation, il serait sans doute souhaitable que les stars du PSG soient beaucoup moins présentes dans les médias mais davantage sur le terrain. Le foot n’est pas la jet-set

2002 perspectives pour Anne Hidalgo : c’est cuit

 

 

2002 perspectives pour Anne Hidalgo : c’est cuit

 

Virginie Martin, polititologue et sociologue, estime  qu’il n’y a pratiquement pas d’espoir que la campagne électorale d’Anne Hidalgo  décolle. De fait,  la plupart de sondages ne lui donne pas plus de 4 %. Une véritable débâcle. Interview sur France Info

Qu’est-ce qui pourrait faire enfin décoller la campagne d’Anne Hidalgo ?

Virginie Martin : Je ne sais pas. Pas grand chose, je pense, malheureusement pour elle, c’est difficile. La campagne rame, elle est très peu audible. Elle n’arrive vraiment pas imprimer. Aujourd’hui, on a entendu un discours qui se raccrochait plutôt au passé du Parti socialiste plutôt qu’à un avenir. Ça manque quand même un peu de colonne vertébrale idéologique pour demain et après-demain.

Dans son entourage, il se dit qu’elle veut absolument y croire. Il y a une espèce de volonté, absolument de pureté, d’aller jusqu’au bout. J’ai plutôt l’impression aujourd’hui qu’elle a envie de tenir jusqu’au bout, même si, effectivement, il peut se jouer la faillite économique du PS, qui est déjà aujourd’hui dans une très mauvaise posture financière.

Anne Hidalgo avait réclamé une primaire de la gauche, mais ne reconnaît pas aujourd’hui la primaire populaire. Les électeurs ne s’y perdent-ils pas un peu ?

Ils s’y perdent totalement. D’autant que son discours et ses positions ont fluctué. Elle a été plutôt, à un moment donné, favorable à l’égard de cette primaire populaire. Aujourd’hui, plutôt défavorable. Elle a été plutôt ouverte vis-à-vis des Verts. Aujourd’hui, elle tape beaucoup sur Yannick Jadot. Il y a une ligne qui n’est pas constante. Et là, évidemment, pour imprimer, c’est très compliqué. Etre audible, ce n’est pas possible quand on n’est pas constant.

Anne Hidalgo n’a-t-elle pas un problème de positionnement idéologique ?

C’est une difficulté, une difficulté aussi des cinq ans qui viennent de passer. Le PS aurait pu se réarmer idéologiquement, vraiment se positionner très clairement aussi par rapport à Emmanuel Macron. Tout ça aurait pu se faire. Il y a eu du temps. Le programme aurait pu aussi avoir plus de souffle. Benoît Hamon, typiquement, avait un programme très riche. Il n’a pas fait beaucoup de points, il a quand même dépassé les 5%. Là, on a un peu l’impression qu’il y a une tentative de se réconcilier avec les catégories populaires. Mais finalement, Anne Hidalgo se raccroche plutôt au passé, avec le mariage pour tous, la peine de mort, l’accord climat 2015… Qu’est ce qui a été fait depuis cinq ans au sein même du parti ? Peut être pas assez de travail aussi, et pas assez de préparation pour cette élection.

Accord -Brexit : c’est cuit !

Accord -Brexit : c’est cuit !

 

Plus personne en Europe et surtout en Grande-Bretagne ne croit à la perspective d’un accord suite au brexit . On s’oriente donc vers un no deal et en même temps une sorte d’inconnu. La Grande-Bretagne imagine toujours que même sans accord elle pourra toujours bénéficier de dispositions particulières pour pénétrer le marché européen notamment en matière de finances.

Or c’est justement sur ce point que l’Europe attend la Grande-Bretagne. En effet l’Europe ne permettra pas que la Grande-Bretagne se constitue en une sorte de paradis fiscal ( comme l’Irlande) permettant de contourner toutes les législations européennes (fiscales bien sur mais aussi sociales, environnementales, sanitaires etc.).

 

Le gouvernement britannique ne croit plus à un accord entre la Grande-Bretagne et l’Union européenne sur leurs relations post-Brexit à quelques jours de la date butoir qu’il a lui-même fixée à fin juillet, rapporte The Telegraph.

Le gouvernement de Boris Johnson pense néanmoins qu’un accord “basique” demeure possible à l’automne si l’UE cède sur certains points, ajoute le journal, qui cite des sources gouvernementales.

La Grande-Bretagne a quitté l’Union européenne le 31 janvier dernier mais reste soumise aux règles communautaires pendant une période de transition s’achevant le 31 décembre prochain.

Sondage municipales Paris: c’est cuit pour LaREM ?

Sondage municipales Paris: c’est cuit pour LaREM ?

Un sondage qui n’a pas été diffusé car il semble enterrer la perspective d’une victoire de LREM à Paris.  Commandé par le candidat macroniste dissident Cédric Villani, il a été réalisé par l’Ifop auprès d’un échantillon de 1055 personnes (dont 958 inscrites sur les listes électorales), représentatif de la population parisienne. Les interviews ont été réalisées du 4 au 8 novembre, la marge d’erreur est de 1,8 point.

L’intérêt de cette enquête est qu’elle envisage plusieurs scénarios : une élection « sans Benjamin Griveaux », une autre « sans Cédric Villani », et enfin une dernière « sans Pierre-Yves Bournazel et Gaspard Gantzer ». Elle mesure également les « traits d’image » des protagonistes, ainsi que la « capacité à faire mieux qu’Anne Hidalgo » de diverses personnalités, parmi lesquelles on retrouve… Jean-Louis Borloo et Agnès Buzyn.

Premier constat, la maire sortante Anne Hidalgo, pourtant très décriée durant la mandature, arrive en tête au premier tour dans tous les cas de figure, avec un score variant peu, de 22% à 24% des intentions de vote selon la configuration. Soit une chute d’une dizaine de points par rapport à son score du premier tour de 2014 (34,4%). A l’inverse, les listes Europe Ecologie-Les Verts conduites par David Belliard, qui se maintiennent entre 15% et 16% selon la configuration, indiquent une progression de près huit points des écologistes par rapport à 2014 (8,86% des voix).

Sans grande surprise, les listes de La République en marche conduites pas Benjamin Griveaux obtiennent leur meilleur score (21%)… en l’absence de Cédric Villani. Mais Anne Hidalgo fait alors, elle aussi, son meilleur score, avec 24% des intentions de vote.

Les listes Griveaux tombent à 16% lorsqu’elles sont en concurrence avec celles du mathématicien, qui sont alors à 12%. Et à 15,5% en l’absence de Pierre-Yves Bournazel (qui obtient de 4% à 6% des intentions des voix selon les cas) et de Gaspard Gantzer (de 1% à 1,5%). Les intentions de vote de ces deux petits candidats se reportent sur Cédric Villani (qui est alors à 14,5%) et sur Rachida Dati (18%). Conclusion, le député de l’Essonne « pique » cinq points au candidat officiel.

Quadrangulaires. En revanche, un retrait de Benjamin Griveaux ne favorise pas Cédric Villani de façon aussi spectaculaire : le candidat dissident passe de 12% à 18% des intentions de vote, mais se retrouve distancé par Rachida Dati, mesurée alors à 21%, soit trois points derrière Anne Hidalgo (24%).

De fait, les listes Les Républicains (LR) conduites par Rachida Dati obtiennent leur meilleur score (21% donc) en l’absence de Benjamin Griveaux, ce dernier prenant des voix à droite : 20% des électeurs de François Fillon à la présidentielle déclarent voter pour lui. Les listes LR tombent à 16% dans l’hypothèse où Griveaux, Villani, Bournazel et Gantzer s’affrontent.

Aux extrêmes, La France insoumise et le Rassemblement national restent l’un et l’autre contenus à 5%-6% des intentions de vote, quel que soit le cas de figure.

Globalement, le peu d’écart entre les cinq principales listes (Hidalgo-Belliard-Griveaux-Villani-Dati) laisse entrevoir des quadrangulaires dans plusieurs arrondissements, car une liste peut se maintenir à partir de 10% des inscrits.

Malgré l’incertitude que ces chiffres font peser sur le second tour, l’Ifop a mesuré l’hypothèse d’un duel entre les listes Hidalgo et Griveaux, le 22 mars : l’institut obtient l’égalité parfaite, soit 50% des intentions de vote pour l’un et pour l’autre. Dans le cas d’un face-à-face Hidalgo-Villani, la maire sortante l’emporterait de justesse, à 51% contre 49%.

La comparaison des « traits d’image » entre Anne Hidalgo, Benjamin Griveaux et Cédric Villani tourne globalement à l’avantage de la maire sortante. La maire sortante est certes perçue comme « méprisante » (à 47%, contre 38% pour Griveaux et 15% pour Villani) et « inquiétante » (43%, 33% et 24%), mais également comme « compétente » (41%, contre 35% pour Griveaux et 24% pour Villani) et « à l’écoute des préoccupations des Parisiens » (37%, 29% pour Griveaux et 34% pour Villani).

Enfin, seul l’ancien ministre Jean-Louis Borloo apparaît en mesure de défier Anne Hidalgo dans cette enquête. L’ancien ministre « agirait mieux qu’Anne Hidalgo » s’il était maire de Paris, pour 38% des personnes interrogées, « moins bien » pour 33% et « de la même manière » pour 29%. Benjamin Griveaux comme Cédric Villani agiraient « moins bien » à 39%, Rachida Dati à 47%, et la ministre de la Santé Agnès Buzyn à 43%.

Législatives PS : c’est cuit (Cambadélis)

Législatives PS : c’est cuit  (Cambadélis)

Cette fois il n’y a plus aucune illusion chez le secrétaire du parti socialiste Jean-Christophe Cambadélis. Pas étonnant puisque les sondages ne donnent que 25 à 30 sièges pour l’alliance parti socialiste, radicaux de gauche Europe écologie les Verts alors que lors des dernières élections ils  pouvaient compter sur plus de 250 députés. Dans le pire des scénarios le parti socialiste espérait encore une cinquantaine de députés mais les différents sondages ne  leur attribue plus qu’une trentaine seulement ; en outre, sur cette base électorale très réduite entre parenthèses c’est à lui sans du corps électoral) les divisions n’ont jamais été importants avec d’un côté les frondeurs gauchistes et de l’autre les progressistes on voit mal comment ces deux camps pourraient continuer de cohabiter au sein du même parti au sein d’un même groupe parlementaire « Il y a d’autres responsabilités, on en parlera en temps et  en heure », a-t-il ajouté.  » Je n’ai pas réussi à faire en sorte que les socialistes soient unis malgré mes demandes, mes discussions… », a déclaré Cambadélis. Avant de poursuivre en mettant son camp en garde: « Je pense qu’aujourd’hui comme demain, s’il n’y a pas l’unité des socialistes et de l’ensemble de la gauche, il peut y avoir une déroute des socialistes dans une défaite historique de la gauche ». Le dirigeant du PS est lui-même en danger dans sa circonscription parisienne où il fait face à Mounir Mahjoubi, candidat de La République en marche et membre du gouvernement. « Nous faisons la guerre à celui qui est plus proche de nous par rapport à la droite et l’extrême droite », a déploré le député de Paris. Jean-Christophe Cambadélis est également revenu sur le choix de Benoît Hamon de soutenir le candidat communiste opposé à Manuel Valls aux législatives dans l’Essonne: « J’ai dit déjà que Benoît Hamon faisait à Manuel Valls ce que Manuel Valls lui avait fait » en votant pour Emmanuel Macron dès le premier tour de la présidentielle. « On peut continuer comme ça pendant 30 ans, je ne pense pas que ce soit comme cela qu’on peut redresser la gauche », a-t-il prévenu.

La gauche en 2017 : c’est cuit (Cambadélis)

La gauche en 2017 : c’est cuit (Cambadélis)

 

C’est en substance ce qu’a dit Cambadélis le premier secrétaire du parti socialiste « Car à cette étape aucun candidat putatif, quel qu’il soit, ne semble pouvoir battre la droite. Et même passer le premier tour. Effectivement les sondages prévoient un score compris entre 10 et 15 % pour le candidat socialiste quel que soit son nom. C’est grave », ajoute le chef de file du PS. Il plaide donc pour une alliance « des socialistes, des radicaux, des écologistes et des syndicalistes et associatifs », seule à même selon lui de porter la gauche au second tour au printemps prochain. Le livre « Un président ne devrait pas dire ça », contenant des déclarations attribuées à François Hollande, a semé la sidération dans son camp et conduit un nombre grandissant d’élus à douter, depuis une dizaine de jours, de la capacité du chef de l’Etat à briguer un second mandat. Selon les propos rapportés dans cet ouvrage, le président qualifie les footballeurs de « gosses mal éduqués », traite la magistrature d’ »institution de lâcheté » et juge l’immigration trop massive. Selon un sondage BVA publié vendredi, François Hollande serait éliminé dès le premier tour de la présidentielle, avec 9% à 13% des intentions de vote. Cette même enquête, réalisée à six mois du premier tour, place systématiquement Marine Le Pen, présidente du Front national, et le candidat de droite, Alain Juppé ou Nicolas Sarkozy, en tête, quelle que soit l’hypothèse retenue à gauche. François Hollande promet de dévoiler ses intentions début décembre.

(Avec Reuters)

2017 : c’est cuit pour Hollande à cause du chômage (sondage Elabe)

2017 : c’est cuit pour Hollande à cause du chômage (sondage Elabe)

 

Plus de huit Français sur dix (83%) estiment qu’une candidature de François Hollande à l’élection présidentielle l’an prochain ne serait pas justifiée compte tenu de l’évolution du chômage ces derniers mois selon un sondage Elabe pour BFM TV diffusé mercredi. Cet avis est partagé par 62% des sympathisants de gauche et un sympathisant socialiste sur deux. Auprès de sympathisants de la droite et du centre ainsi que de ceux du Front national, le constat est quasi unanime, avec respectivement 97% et 94% qui estimeraient sa candidature injustifiée. Le bond du chômage au mois d’août n’interdit pas une candidature de François Hollande à l’élection présidentielle de 2017, a jugé mercredi le porte-parole du gouvernement, Stéphane Le Foll. Le chef de l’Etat, qui a annoncé qu’il dirait en décembre s’il est ou non candidat, a fait de la baisse du chômage une condition pour briguer un nouveau mandat. Le sondage Elabe a été effectué les 27 et 28 septembre auprès d’un échantillon de 1.000 personnes représentatif de la population française.

(Reuters)

Présidentielle 2017 : c’est cuit pour la gauche, estime Anne Hidalgo

Présidentielle 2017 : c’est cuit pour la gauche, estime Anne Hidalgo

 

 

Pas de langue de bois pour la maire de Paris qui estime que les carottes sont cuites pour la gauche en 2017 et qui ajoute en outre que la défaite sera terrible. Un désaveu évidemment cinglant à l’égard de François Hollande mais tout autant à l’égard de Manuel Valls. D’abord parce que le chef de l’État n’a pas respecté ses engagements ensuite parce qu’il a montré des contradictions entre des positions trop libérales sur certains sujets et inversement trop conservatrices sur d’autres.  Anne Hidalgo assure donc que « sauf miracle, il y aura une alternance » en 2017. La maire de Paris met en cause les orientations économiques et sociétales du gouvernement, qui selon elle, feront perdre la gauche aux prochaines élections présidentielles. « L’échéance 2017 sera difficile pour ma famille politique parce qu’on ne peut pas dire qu’on a démontré une grande efficacité dans les réalisations et on a un peu tourné le dos aux engagements« , déclare la socialiste dans une interview accordée au magazine VSD. Anne Hidalgo, plus proche dans ses idées des frondeurs que de la ligne politique de Manuel Valls ne souhaite pas donner de leçon. « J’essaie juste de dire que là, on se plante« , explique-t-elle. Et selon la maire de la capitale, « la sanction sera terrible« .

Sondage – Fillon – Jouyet : c’est cuit pour Fillon pour 58% des Français

Sondage – Fillon – Jouyet : c’est cuit pour Fillon pour 58% des Français

 

Finalement la manœuvre de l’Elysée aura réussi à discréditer un candidat de L’UMP : François Fillon. (Pour couler  Sarkozy l’Elysée compte sur « l’indépendance » la justice !).  Plus de la moitié des Français (56%) considèrent que l’avenir politique de François Fillon est compromis après les révélations de l’affaire Jouyet/Fillon, selon un sondage Odoxa pour iTélé.  Ils sont 43% à penser le contraire, 1% ne se prononcent pas. Les sympathisants de droite se montrent plus sévères que ceux de gauche: ils sont 62% à estimer que l’avenir politique de l’ancien Premier ministre est remis en question, contre 52% des sympathisants de gauche.  Deux journalistes du Monde ont fait sensation la semaine dernière en publiant des déclarations du secrétaire général de l’Elysée Jean-Pierre Jouyet, selon lesquelles M. Fillon lui aurait demandé de « taper vite » (judiciairement parlant) sur l’ancien président de la République Nicolas Sarkozy pour ne pas « le laisser revenir ». 55% des Français estiment par ailleurs que M. Jouyet doit démissionner (30% à gauche et 76% à droite). Interrogés sur l’indépendance de la justice, 59% des sondés jugent qu’elle n’est ni plus ni moins indépendante sous François Hollande que sous son prédécesseur Nicolas Sarkozy. Ils sont 22% à juger qu’elle est plus indépendante aujourd’hui, et 19% à penser le contraire.

Avenir politique de Sarkozy : c’est cuit !

Avenir politique de Sarkozy : c’est cuit !

Cette fois les carottes paraissent bien cuites pour Sarkozy enfermées dans les affaires et pris dans le cirque médiatico-judiciaire. Plusieurs  raisons vont s’opposer à un retour ga nant de Sarkozy, d’abord le calendrier des affaires lesquelles vont faire régulièrement la une au moins jusqu’en 2017 ; des affaires qui vont nécessairement entacher un peu plus l’image de Sarkozy qu’il soit ou non coupable. Second élément les Français ne croient plus Sarkozy, 23% ne croient pas en son honnêteté et 63% estiment qu’il est traité normalement par la justice ; Enfin dernier élément et non des moindres, Sarkozy n’est pas soutenu par les caciques de l’ ‘UMP (par les militants sans doute mais pas par les responsables nationaux quadras compris).  Pour la première fois dans l’histoire de la 5e République, un ancien Président a donc été  placé en garde à vue. Nicolas Sarkozy est interrogé depuis ce matin au siège de l’office central de lutte contre la corruption et les infractions financières et fiscales (OCLCIFF) de la direction centrale de la police judiciaire. L’ancien chef de l’État a rejoint son avocat Thierry Herzog, et deux hauts magistrats de la Cour de cassation, Gilbert Azibert et Patrick Sassoust, eux-mêmes placés en garde à vue dès lundi matin. Les quatre hommes sont interrogés dans le cadre de l’enquête pour « trafic d’influence » et « violation du secret de l’instruction » dans l’affaire des écoutes de Nicolas Sarkozy. Les magistrates Patricia Simon et Claire Thépaut enquêtent sur un réseau d’informateurs susceptible d’avoir renseigné les proches de Nicolas Sarkozy voire l’ancien président de la République lui-même, dans les procédures judiciaires le visant, en particulier le dossier Bettencourt. Des interceptions téléphoniques opérées par les juges en janvier et février 2014 avaient révélé des faits troublants : l’ex-président et son avocat semblaient très renseignés sur l’avancée des travaux de la Cour de cassation saisie de la procédure Bettencourt. Les deux hommes se sachant placés sur écoute, ils étaient allées jusqu’à acheter, sous un nom d’emprunt, des téléphones portables. D’où l’incrimination de « violation du secret de l’instruction ». Sarkozy est empêtré dans ces affaires et il ne pourra s’en sortir indemne, son avenir politique est plus qu’hypothéqué.

 

Sarkozy : c’est cuit ?

Sarkozy : c’est cuit ?

Visiblement les français n’apprécient pas les casseroles que traine Sarko et préfèrent Juppé ; rien n’est joué car à l’UMP c’est encore Sarko le favori ; Un pari risqué pour ce parti car si Sarko est condamné par la justice, l’UMP pourrait n’arriver qu’en troisième position en 2017. Selon un sondage IFOP pour Valeurs actuelles publié aujourd’hui, Alain Juppé est la personnalité favorite des Français pour présider l’UMP à l’issue du congrès prévu en octobre prochain.  Le maire de Bordeaux, qui devrait codiriger provisoirement l’UMP avec deux autres anciens Premiers ministres, François Fillon et Jean-Pierre Raffarin, après la démission forcée de Jean-François Copé, a la préférence de 28% des personnes interrogées. François Fillon est plébiscité par 15% des sondés auxquels treize noms étaient proposés et devance Nicolas Sarkozy de deux points (13%). L’ancien chef de l’Etat, qui continue de laisser planer le doute sur son retour, est en revanche en tête chez les sympathisants de l’UMP, avec 28% contre 26% pour Alain Juppé. François Fillon, adversaire malheureux de Jean-François Copé fin 2012 lors d’une élection très contestée, ne recueille l’adhésion que de 11% des sympathisants de son parti mais est le candidat préféré des sympathisants du Front national (24%).

 




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