Archive pour le Tag 'croit'

École– Gabriel Attal  »croit aux forces de l’écrit »

École– Gabriel Attal  »croit aux forces de l’écrit »

Dans une tribune au « Monde », le ministre de l’éducation, Gabriel Attal, rappelle l’aspect fondamental de l’acquisition de la lecture et de l’écriture. Et annonce faire de la lutte contre la baisse de niveau « une urgence républicaine ».

La tribune publiée le 5 septembre dans les colonnes du Monde par des artistes et intellectuels engagés pour l’écriture a connu une résonance considérable. Auprès des parents, grands-parents d’élèves, bien sûr, qui n’attendent pour eux rien d’autre que le meilleur. Auprès des enseignants, évidemment, qui rivalisent d’efforts, de ressources, de créativité souvent, pour leur permettre de s’élever. En réalité, chacun de nos concitoyens s’y retrouve.

Les frontières s’estompent, les repères se troublent, les modes de l’instant menacent l’immanence de notre héritage, à la fois si profond et toujours fragile. L’écrit, c’est ce qui situe, et ce qui reste. C’est ce qui rend possible à la fois le raisonnement cartésien et l’imaginaire fécond de chacun. Pour le ministre de l’éducation nationale et de la jeunesse que je suis, ce fut le rappel d’une responsabilité immense. L’école doit, toujours, rester la source d’une société d’intelligences libres et d’esprits émancipés. Au croisement de tous les arts, nourrie de la sensibilité de chacun, l’écriture doit être le support de la créativité des élèves, afin qu’ils puissent « écrire comme personne » avec « les mots de tout le monde », pour paraphraser Colette.

Je suis un ministre lucide. Les savoirs fondamentaux, et singulièrement la lecture et l’écriture, sont ceux qui rendent possibles tous les autres. Partant, l’absence de leur maîtrise est ce qui rend tout impossible. Au moment où je prends mes fonctions, en France, pays des plus merveilleux auteurs et des plus grands talents qui ont marqué notre histoire intellectuelle, qui continue d’éclairer le monde de ses plus beaux textes, près d’un élève sur trois ne sait pas lire ou écrire convenablement à son entrée en 6ᵉ. Une baisse de niveau qu’il faut nommer sans fard et sans détour : une urgence républicaine.

Gabriel Attal  « croit aux forces de l’écrit »

Gabriel Attal  »croit aux forces de l’écrit »

Dans une tribune au « Monde », le ministre de l’éducation, Gabriel Attal, rappelle l’aspect fondamental de l’acquisition de la lecture et de l’écriture. Et annonce faire de la lutte contre la baisse de niveau « une urgence républicaine ».

La tribune publiée le 5 septembre dans les colonnes du Monde par des artistes et intellectuels engagés pour l’écriture a connu une résonance considérable. Auprès des parents, grands-parents d’élèves, bien sûr, qui n’attendent pour eux rien d’autre que le meilleur. Auprès des enseignants, évidemment, qui rivalisent d’efforts, de ressources, de créativité souvent, pour leur permettre de s’élever. En réalité, chacun de nos concitoyens s’y retrouve.

Les frontières s’estompent, les repères se troublent, les modes de l’instant menacent l’immanence de notre héritage, à la fois si profond et toujours fragile. L’écrit, c’est ce qui situe, et ce qui reste. C’est ce qui rend possible à la fois le raisonnement cartésien et l’imaginaire fécond de chacun. Pour le ministre de l’éducation nationale et de la jeunesse que je suis, ce fut le rappel d’une responsabilité immense. L’école doit, toujours, rester la source d’une société d’intelligences libres et d’esprits émancipés. Au croisement de tous les arts, nourrie de la sensibilité de chacun, l’écriture doit être le support de la créativité des élèves, afin qu’ils puissent « écrire comme personne » avec « les mots de tout le monde », pour paraphraser Colette.

Je suis un ministre lucide. Les savoirs fondamentaux, et singulièrement la lecture et l’écriture, sont ceux qui rendent possibles tous les autres. Partant, l’absence de leur maîtrise est ce qui rend tout impossible. Au moment où je prends mes fonctions, en France, pays des plus merveilleux auteurs et des plus grands talents qui ont marqué notre histoire intellectuelle, qui continue d’éclairer le monde de ses plus beaux textes, près d’un élève sur trois ne sait pas lire ou écrire convenablement à son entrée en 6ᵉ. Une baisse de niveau qu’il faut nommer sans fard et sans détour : une urgence républicaine.

J’ai annoncé, dès ma nomination, mon ambition d’un « choc des savoirs » pour nos élèves, préalable absolu pour élever le niveau, bâtir une école qui émancipe et qui rend heureux. C’est l’objectif qu’a fixé le président de la République dès 2017, et grâce à son implication, l’investissement qui a été consenti ces six dernières années n’a connu aucun précédent dans l’histoire récente. Sa détermination nous a permis d’agir avec trois constantes claires : l’effort massif sur les petites classes, la volonté farouche d’agir pour l’égalité des chances et l’éducation prioritaire, et la prééminence des savoirs fondamentaux.

Vinci croit à la reprise rapide l’aérien !

Vinci croit à la reprise rapide l’aérien  ! 

Nicolas Notebaert, directeur général de Vinci Concessions et Président de Vinci Aiports, détaille sa vision forcément optimiste  du redémarrage du transport aérien après la crise du Covid-19 dns la Tribune . Pour lui, les compagnies aériennes doivent désormais mettre des capacités en ligne pour permettre aux passagers de réserver. Il estime que, si les restrictions sont levées, les compagnies devraient pouvoir remettre en service 75 à 80 % de leurs capacités cet été. Nicolas Notebaert donne également sa vision du trafic intérieur français avec le repli annoncé du groupe Air France.

 

Comment Vinci Airports a traversé l’arrêt quasi-complet du transport aérien mondial ?

NICOLAS NOTEBAERT - Notre première priorité a été d’assurer la continuité du service public. Nos aéroports n’ont pas fermé. Ils ont participé pleinement à l’effort de lutte contre la maladie avec l’organisation de vols sanitaires et le transport de matériels médicaux dont plusieurs millions de masques.

Autre priorité : la poursuite des travaux de rénovation sur nos aéroports, en synergie avec les équipes d’Eurovia et VINCI Construction Grands Projets. Les pistes des aéroports de Rennes et Toulon-Hyères ont été achevées et les chantiers ont avancé à Belgrade ou Santiago du Chili. Pour les travaux programmés un peu plus tard, certains seront reportés pour préserver les liquidités des aéroports concernés, notamment ceux qui portent sur une augmentation des capacités aéroportuaires. Ce qui ne signifie pas qu’ils sont remis en cause. A Lisbonne par exemple, la construction du nouvel aéroport de Montijo est maintenue, mais son ouverture, prévue initialement d’ici à fin 2022, est un peu décalée. Nous maintenons bien sûr les investissements en lien avec la réduction de l’empreinte carbone. Enfin, ces dernières semaines nous avons également préparé la reprise, en déployant les nouvelles mesures sanitaires permettant d’assurer le retour des équipes et des passagers dans les meilleures conditions.

Sur le plan social, pour pallier la chute de l’activité, une grande partie des salariés a été placée au chômage partiel dans les pays dans lesquels des accompagnements ont été mis en place comme la France, le Portugal ou la Serbie. Dans les pays où le régime social est différent  nous avons dû lancer un plan de départs volontaires pour adapter nos effectifs à l’activité. Mais, d’une manière générale, l’enjeu principal n’était pas de baisser nos effectifs. Il y a beaucoup de sous-traitance sur nos aéroports et nos effectifs ne sont pas très nombreux. Au Portugal par exemple, sur les dix aéroports que nous gérons, Vinci Airports compte seulement 1 260 collaborateurs.

Rencontrez-vous des problèmes de liquidités sur vos actifs aéroportuaires ?

Non. Pour préserver nos liquidités, nous avons réduit nos dépenses d’exploitation et reporté les investissements de capacités qui devaient débuter au deuxième semestre ou dans quelques mois.

Grève SNCF: Pepy n’y croit pas, il a tort !

Grève SNCF: Pepy n’y croit pas, il a tort !

Pepy aura surtout réussi dans le com. de la SNCF et à contrôler les conflits à la SNCF. Pour le reste, sa gestion a été assez approximative. Cette fois encore il s’efforce de déminer le terrain et affirme qu’il ne croit pas à une grève de la SNF. Il a bien tort car là c’est l’existence même de l’entreprise qui est en cause et de toute façon le rail ne s’en tirera pas uen nouvelle fois avec uen énième fausse réforme.  Après avoir été reçu lundi à Matignon dans le cadre des concertations sur la réforme ferroviaire à venir, le PDG de la SNCF, Guillaume Pepy, a tenté mardi matin de rassurer les cheminots, appelés à une mobilisation nationale le 22 mars. «On ne peut pas accepter que certains stigmatisent les cheminots», a-t-il affirmé au micro de France Info. Les salariés de la SNCF ne sont «pas des privilégiés», a-t-il ajouté, reprenant les termes de Dominique Bussereau, ancien ministre des Transports. «Le personnel a un statut. La question c’est, quand il y aura la concurrence, est-ce qu’on recrutera toujours sous le même statut ou en CDI?», s’interroge-t-il. Sur ce point, il affirme n’avoir «pas d’opinion personnelle. C’est une question politique.» Interrogé sur une autre piste sensible, évoquée dans le rapport, à savoir le changement de la SNCF en «sociétés nationales à capitaux publics», Guillaume Pepy là encore démine. «La privatisation? Même pas en rêve», lance-t-il. Et d’ajouter: «une société nationale c’est une société qui ne peut pas être privatisée». Alors que la ministre des Transports a dit dimanche qu’il y avait «urgence» à réformer le rail, Pepy estime que «ça va à la fois vite, et en même temps on prend le temps de la concertation avec les cheminots, les usagers et nous.». . Le patron de la SNCF a d’ailleurs affirmé qu’il ne s’attendait pas à une grève des cheminots contre la réforme. Pour lui «la concertation» permettra d’éviter ce mouvement. Le gouvernement a justement entamé lundi des concertations avec les acteurs du secteur en vue de la réforme à venir. Pour le PDG de la SNCF, c’est la bonne méthode. «Bien sûr, l’inquiétude est là. La bonne réponse c’est d’écouter. Avec la concertation, il y a moins de tensions».

 

Croissance « on y croit » (Banque de France) ou la méthode Coué

Croissance « on y croit » (Banque de France) ou la méthode Coué

 

A défaut de chiffres objectifs et de résultats, la Banque de France faiat comme Hollande elle utilise la méthode Coué «  il faut y croire » ! et d’annoncer à nouveau une croissance de 1.2% en 2015 et sans le moindre doute une  accélération les années suivantes ; cela faiat déjà des années que les très sérieux instituts d’analyse sous tutelle du gouvernement annonce « demain, ça ira mieux « !. Pour la croissance comme pour le chômage . d’abord 1.2% ce n’est pas le Pérou, cela témoigne au contraire que la France ( l’Europe) est engluée dans la croissance molle. Ensuite rien n’est certain car le contexte mondial est très morose surtout concernant l’industrie pratiquement en stand-by notamment en Chine, signe que la demande mondiale est atone. Et de ressortir les banalités habituelles, le pétrole est bas, l’euro également , les taux aussi ; donc tout pour relancer la croissance et aussi décréter l’amélioration des marges des entreprises. Un détail toutefois on oublie que la demande étant très faible la pression sur les prix à l production sosnt de plus en plus forte et que les marges ne peuvent justement se redresser. Bref difficile de croire a des prévisions qui mélangent pertinence économique et volontarisme politique.  La Banque de France (BdF) prévoit donc  une croissance de l’économie française de 1,2% en 2015, avant une accélération en 2016 et 2017 à 1,8% puis 1,9%, selon ses projections publiées jeudi. Ces prévisions sont plus optimistes que celles du gouvernement, qui table sur une croissance de 1% en 2015 et de 1,5% en 2016 et 2017. Selon la Banque de France, qui rend publiques des prévisions annuelles pour la première fois, la croissance du produit intérieur brut (PIB) français devrait être soutenue par «la baisse du prix du pétrole et du taux de change» de l’euro, la «politique monétaire expansionniste» menée par la Banque centrale européenne, et l’ «amélioration des marges des entreprises». «La baisse des prix du pétrole en fin d’année 2014 devrait conduire à des économies sur la facture pétrolière française de 0,8 point de PIB sur l’année 2015», estime la Banque de France, indiquant que cela devrait avoir notamment des effets sur la consommation des ménages. Par ailleurs, la dépréciation de l’euro soutient la compétitivité des entreprises françaises: la Banque de France prévoit une hausse des exportations nationales de 5,4% en 2015, 5,8% en 2016 et 5,7% en 2017, après +2,4% en 2014. De fait, selon elle, le déficit commercial devrait se réduire de 1,9% du PIB en 2014 à 1,6% en 2015 et 2016.  «Sur le plan interne, les mesures d’allègement du coût du travail» devraient soutenir l’activité et «le chômage pourrait se stabiliser en 2015 et progressivement diminuer à partir de 2016», selon la Banque de France. Le taux de chômage s’est établi à 10,0% de la population active au premier trimestre, après avoir atteint fin 2014 son plus haut niveau depuis fin 1997 (10,1%), a annoncé l’Institut national de la statistique.

 

Sondage « La République » : personne n’y croit !

Sondage « La République » : personne n’y croit !

 

Pas tout à fait mais presque puisque  Pour 65% des Français, les termes « République » et « valeurs républicaines » ont perdu de leur sens car trop utilisés par les responsables politiques. D’une  certaine manière le terme république a complètement été galvaudé et en même temps dévalorisé par les politiques. La vérité c’est que nombre de Français  considèrent que la France n’est pas uen république mais uen monarchie républicaine avec sa cour, ses privilèges, ses intrigues. On est loin de la démocratie républicaine. Ce n’est pas l’ancien régime mais un nouveau régime où le monde économique et financier a pris la place de la noblesse.  Ou la techno structure mange dans la même gamelle que la finance et même les escrocs. Le mal est profond car la corruption de fait ne concerne pas seulement le sommet de la hiérarchie républicaine mais aussi et peut être surtout les collectivités locales où on s’arrange aussi en famille. À une question rappelant « que les responsables politiques parlent régulièrement dans leurs interventions et dans leurs discours de la République et des valeurs républicaines », 65% des personnes interrogées choisissent comme réponse que l’emploi de ces termes ne les « touche » pas et ne leur « parle pas vraiment car ces termes ont été trop utilisés et ont perdu leur force et leur sens ». C’est le cas de 53% des sympathisants de l’UMP et de 70% de ceux du FN, mais de seulement 47% de ceux du PS.  À l’inverse, 35% de l’ensemble des sondés répondent que l’emploi de ces termes les « touche » et leur « parle » car ils sont « très attachés à ces termes et à ces idées ». Entre « identité nationale » et « République », 38% disent être davantage touchés par le premier terme, quand il est employé par des responsables politiques, 33% par le second. 29% ne savent pas. Enfin, les sympathisants du Parti socialiste, à 54%, sont plus touchés par le terme de République, et ceux de l’UMP, à 47%, et du FN, à 64%, par celui d’identité nationale.  

Sondage baisse des impôts: personne n’y croit

Sondage baisse des impôts: personne n’y croit

 

La baisse des impôts promise par le gouvernement, on n’y croit guère, 67% des Français sont plus que sceptiques. Ils ont sans doute raison car si des réductions sont possibles pour les plus défavorisés concernant l’impôt sur le revenu, d’autres impôts vont augmenter, par exemple sur le carburant, il y a aussi l’effet amplifié de la TVA sur certaines dépenses contraintes. Enfin la hausse de la fiscalité locale du fait de la diminution de la dotation de l’Etat.  Selon le sondage Yougov du mois d’octobre réalisé pour Le HuffPost et ITélé (réalisé avant la présentation du Budget), seulement 24% des personnes interrogées jugent crédible « la promesse du gouvernement de baisser l’impôt sur le revenu ». Deux tiers des personnes interrogées (67%) estiment que la promesse n’est pas crédible.  Il n’y a guère que les sympathisants du Parti socialiste et d’EELV pour encore faire confiance au gouvernement. Et encore, il ne s’agit que d’une courte majorité, à savoir 52%. Dans le reste de la classe politique, la défiance est maximale, à un niveau proche de la popularité du chef de l’Etat. Ils ne sont que 12% des sympathisants UMP et 11% des proches du FN à croire en la parole gouvernementale sur la question fiscale. A l’inverse, 85% des proches de l’UMP et 83% des sympathisants frontistes jugent la promesse pas crédible. Le gouvernement a tout de même une (petite) raison de ce réjouir de ce baromètre. A défaut de trouver les décisions réalisables, l’opinion semble en avoir compris le sens. Une majorité (41%) de personnes interrogées (toutes proximités partisanes confondues) pense que « si cette politique fiscale est menée à son terme, elle favoriserait davantage les ménages les moins aisés ». Ce sont les centristes (64%) qui sont le plus convaincus de cette phrase devant les sympathisants du Front de gauche (51%) et les proches de l’UMP (49%). Les sympathisants PS et EELV ne sont que 42% à penser cela mais ils sont aussi les plus nombreux (18%) à estimer qu’une telle politique fiscal bénéficierait surtout aux classes moyennes. Pour savoir si l’opinion a raison de douter, il faudra attendre encore quelques mois. Ce n’est qu’à réception des avis d’imposition que l’on saura si les impôts des Français ont réellement baisser.

 

Déficits : Bruxelles ne croit pas aux réductions de la France

Déficits : Bruxelles ne croit pas aux réductions de la France

Bruxelles n’y croit pas mais en fin de règne la commission s’est contentée de faire les gros yeux à la France ; cela d’autant plus que plus grand monde ne soutient  cette austérité qui tue la croissance sans améliorer les déficits. Selon Bruxelles, la stratégie budgétaire n’est que « partiellement conforme aux exigences » du pacte de stabilité.  »Le niveau de détail des mesures d’assainissement budgétaire est insuffisant pour garantir de façon crédible la correction du déficit excessif pour 2015 au plus tard », estime ce lundi 2 juin la Commission européenne dans ses recommandations macroéconomiques. Bruxelles appuie ses conclusions sur « ses prévisions de déficit annoncées pour l’année prochaine (3,4% du PIB) et compte tenu d’un ajustement structurel sous-jacent qui est très loin d’atteindre le niveau recommandé par le Conseil ». La France s’est engagée à ramener son déficit public dans les clous européens, soit en-deçà de 3% du PIB, en 2015 et a obtenu pour cela un délai de deux ans. Pour y parvenir, le gouvernement français a mis sur la table un vaste programme d’économies de 50 milliards d’euro, avec pour mesure-clé le pacte de responsabilité proposé aux entreprises pour stimuler l’emploi. Il a depuis annoncé de nouvelles mesures d’économies se traduisant par un effort supplémentaire de 4 milliards d’euros en 2014. Mais « des risques pèsent sur les objectifs du gouvernement », souligne l’exécutif européen, pour qui « une partie des mesures supplémentaires pour 2014 annoncées dans le programme doit encore être adoptée et le montant des économies prévues pour 2015 est très ambitieux ». Bruxelles salue toutefois les réformes lancées par le gouvernement français, qui vont dans le « bon sens ». « Les autorités françaises ont annoncé, avant les élections européennes, un paquet de mesures structurelles importantes. Notre analyse montre que ces mesures vont clairement dans la bonne direction », a déclaré le président de la Commission, José Manuel Barroso, lors d’une conférence de presse. « Ces mesures sont dans l’intérêt de la France et des Français eux-mêmes », a-t-il ajouté, précisant qu’elles devaient être prises pour assurer la compétitivité du pays « dans un environnement international beaucoup plus exigeant ».




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