Archive pour le Tag 'croient'

Sondage Bayrou comme premier Ministre , 67 % ne croient pas à un retour de la stabilité politique

Sondage    Bayrou comme premier Ministre , 67 % ne croient pas à  un retour de la stabilité politique

 Un sondage L’Opinion en direct réalisé par l’institut Elabe pour BFMTV révèle ce samedi 14 décembre que 67% des Français ne croient pas à un retour de la stabilité politique avec le futur gouvernement. Ce n’est sans doute pas la mièvre prestation de Bayrou qui aura changé les tendances après l’intervention à l’Assemblée nationale de mardi dernier.

Sur un échantillon de 1.009 personnes interrogées, 40% voient l’arrivée de François Bayrou comme une « mauvaise chose », alors que 31% la considèrent au contraire comme une « bonne chose » (29% se disent sans avis).

52% des Français estiment que le gouvernement Bayrou ne parviendra pas à faire consensus avec les oppositions, tandis que 47% pensent à l’inverse qu’il y parviendra. En comparaison, le pronostic d’un accord est inférieur de 5 points par rapport à la nomination de Michel Barnier.

Dans l’attente d’un nouveau cap politique, une courte majorité de Français dépeint François Bayrou comme un homme capable de faire des compromis (54%) et sympathique (52%). Une partie des Français le considère également comme étant à l’écoute (48%), compétent (47%) et courageux (47%). En revanche, seuls 33% estiment qu’il est capable de réformer le pays.

Malgré Bayrou comme premier Ministre , 67 % ne croient pas à un retour de la stabilité politique

Malgré   Bayrou comme premier Ministre , 67 % ne croient pas à  un retour de la stabilité politique

 Un sondage L’Opinion en direct réalisé par l’institut Elabe pour BFMTV révèle ce samedi 14 décembre que 67% des Français ne croient pas à un retour de la stabilité politique avec le futur gouvernement.

Sur un échantillon de 1.009 personnes interrogées, 40% voient l’arrivée de François Bayrou comme une « mauvaise chose », alors que 31% la considèrent au contraire comme une « bonne chose » (29% se disent sans avis).

52% des Français estiment que le gouvernement Bayrou ne parviendra pas à faire consensus avec les oppositions, tandis que 47% pensent à l’inverse qu’il y parviendra. En comparaison, le pronostic d’un accord est inférieur de 5 points par rapport à la nomination de Michel Barnier.

Dans l’attente d’un nouveau cap politique, une courte majorité de Français dépeint François Bayrou comme un homme capable de faire des compromis (54%) et sympathique (52%). Une partie des Français le considère également comme étant à l’écoute (48%), compétent (47%) et courageux (47%). En revanche, seuls 33% estiment qu’il est capable de réformer le pays.

 

Malgré Bayrou , 67 % ne croient pas à un retour de la stabilité politique

Malgré   Bayrou , 67 % ne croient pas à  un retour de la stabilité politique

 Un sondage L’Opinion en direct réalisé par l’institut Elabe pour BFMTV révèle ce samedi 14 décembre que 67% des Français ne croient pas à un retour de la stabilité politique avec le futur gouvernement.

Sur un échantillon de 1.009 personnes interrogées, 40% voient l’arrivée de François Bayrou comme une « mauvaise chose », alors que 31% la considèrent au contraire comme une « bonne chose » (29% se disent sans avis).

52% des Français estiment que le gouvernement Bayrou ne parviendra pas à faire consensus avec les oppositions, tandis que 47% pensent à l’inverse qu’il y parviendra. En comparaison, le pronostic d’un accord est inférieur de 5 points par rapport à la nomination de Michel Barnier.

Dans l’attente d’un nouveau cap politique, une courte majorité de Français dépeint François Bayrou comme un homme capable de faire des compromis (54%) et sympathique (52%). Une partie des Français le considère également comme étant à l’écoute (48%), compétent (47%) et courageux (47%). En revanche, seuls 33% estiment qu’il est capable de réformer le pays.

 

Avec Bayrou , 67 % ne croient pas à un retour de la stabilité politique

Politique -Avec   Bayrou , 67 % ne croient pas à  un retour de la stabilité politique

 Un sondage L’Opinion en direct réalisé par l’institut Elabe pour BFMTV révèle ce samedi 14 décembre que 67% des Français ne croient pas à un retour de la stabilité politique avec le futur gouvernement.

Sur un échantillon de 1.009 personnes interrogées, 40% voient l’arrivée de François Bayrou comme une « mauvaise chose », alors que 31% la considèrent au contraire comme une « bonne chose » (29% se disent sans avis).

52% des Français estiment que le gouvernement Bayrou ne parviendra pas à faire consensus avec les oppositions, tandis que 47% pensent à l’inverse qu’il y parviendra. En comparaison, le pronostic d’un accord est inférieur de 5 points par rapport à la nomination de Michel Barnier.

Dans l’attente d’un nouveau cap politique, une courte majorité de Français dépeint François Bayrou comme un homme capable de faire des compromis (54%) et sympathique (52%). Une partie des Français le considère également comme étant à l’écoute (48%), compétent (47%) et courageux (47%). En revanche, seuls 33% estiment qu’il est capable de réformer le pays.

 

Enfin, parmi les priorités d’actions des Français, le pouvoir d’achat reste en tête (55%). La préoccupation pour la dette publique progresse de 7 points en trois mois et s’installe en 2ème position (34%). Elle devance la santé (30%), la sécurité (26%) et l’immigration (24%).

Sondage transport aérien: Les Français croient peu à la décarbonation de l’aérien mais veulent encore voyager

Sondage transport aérien: Les Français croient peu à la décarbonation de l’aérien mais veulent encore voyager

D’après l’institut IFOP pour le Groupe ADP, en partenariat avec La Tribune », les Français ne croient guère à la décarbonation de l’aviation et prévoient le développement de ce mode de transport sur longue distance

87 % des Français pensent que l’avion est un moyen incontournable pour voyager sur des distances importantes. Le pourcentage semble élevé, mais s’avère là aussi inférieur à ceux des autres nations qui se situent entre 89 et 95 %.

Pensez-vous que l’industrie aéronautique est dans votre pays un secteur stratégique prioritaire qu’il faut soutenir et protéger ?

Lorsque que la notion de « distance importante » est remplacée par « quelle que soit la distance », le pourcentage chute naturellement partout en Europe. D’autant que les pays interrogés possèdent des réseaux ferrés conséquents. Sans surprise – et malgré les nombreuses critiques entendues sur le prix des trains ou des péages routiers en France – les sondés hexagonaux sont les plus rétifs à prendre l’avion : seuls 48 % le considèrent comme incontournable quelle que soit la distance. Le Royaume-Uni suit, mais le pourcentage grimpe à 53 %. Ensuite l’Espagne, l’Allemagne et l’Italie naviguent entre 59 et 70 %.

Derrière ces tendances se dégagent deux éléments. Tout d’abord, les Français font partie des Européens qui considèrent le plus le transport aérien comme un secteur fortement émetteur de CO2 (81 %). Seuls les Britanniques font mieux avec 87 %, tandis que les autres se situent à 74 et 75 %.

Et cela se conjugue avec un certain pessimisme sur le potentiel de décarbonation du transport aérien. Les deux tiers des Français croient en sa capacité à se réformer dans les prochaines années pour répondre au changement climatique. Les Allemands sont 68 % à y croire, les Espagnols 80 %.

Cette différence nette entre la France et les pays limitrophes se retrouve pour l’ensemble des autres secteurs confrontés au défi de la transition environnementale et énergétique. C’est nettement le cas pour le transport routier, l’industrie, la production d’énergie, à peine moins pour le bâtiment ou l’agriculture.

Les Français semblent donc résignés à voir des contraintes apparaître sur le secteur.
Autre signe allant dans ce sens : lorsqu’on leur demande leurs attentes vis-à-vis du secteur aérien, plus de la moitié des Français comme des Européens mettent la priorité à la réduction des émissions de CO2. Mais 20 % de nos concitoyens veulent avant tout une réduction du prix des billets d’avion. C’est plus que dans tout autre pays interrogé, le triple de l’Allemagne ou du Royaume-Uni. Ce qui laisse entrevoir une propension encore forte à voyager par les airs.

Sondage aérien: Les Français croient peu à la décarbonation de l’aérien mais veulent encore voyager

Sondage aérien: Les Français croient peu à la décarbonation de l’aérien mais veulent encore voyager

D’après l’institut IFOP pour le Groupe ADP, en partenariat avec La Tribune », les Français ne croient guère à la décarbonatation de l’aviation et prévoient le développement de ce mode de transport sur longue distance

87 % des Français pensent que l’avion est un moyen incontournable pour voyager sur des distances importantes. Le pourcentage semble élevé, mais s’avère là aussi inférieur à ceux des autres nations qui se situent entre 89 et 95 %.

Pensez-vous que l’industrie aéronautique est dans votre pays un secteur stratégique prioritaire qu’il faut soutenir et protéger ?

Lorsque que la notion de « distance importante » est remplacée par « quelle que soit la distance », le pourcentage chute naturellement partout en Europe. D’autant que les pays interrogés possèdent des réseaux ferrés conséquents. Sans surprise – et malgré les nombreuses critiques entendues sur le prix des trains ou des péages routiers en France – les sondés hexagonaux sont les plus rétifs à prendre l’avion : seuls 48 % le considèrent comme incontournable quelle que soit la distance. Le Royaume-Uni suit, mais le pourcentage grimpe à 53 %. Ensuite l’Espagne, l’Allemagne et l’Italie naviguent entre 59 et 70 %.

Derrière ces tendances se dégagent deux éléments. Tout d’abord, les Français font partie des Européens qui considèrent le plus le transport aérien comme un secteur fortement émetteur de CO2 (81 %). Seuls les Britanniques font mieux avec 87 %, tandis que les autres se situent à 74 et 75 %.

Et cela se conjugue avec un certain pessimisme sur le potentiel de décarbonation du transport aérien. Les deux tiers des Français croient en sa capacité à se réformer dans les prochaines années pour répondre au changement climatique. Les Allemands sont 68 % à y croire, les Espagnols 80 %.

Cette différence nette entre la France et les pays limitrophes se retrouve pour l’ensemble des autres secteurs confrontés au défi de la transition environnementale et énergétique. C’est nettement le cas pour le transport routier, l’industrie, la production d’énergie, à peine moins pour le bâtiment ou l’agriculture.

Les Français semblent donc résignés à voir des contraintes apparaître sur le secteur.
Autre signe allant dans ce sens : lorsqu’on leur demande leurs attentes vis-à-vis du secteur aérien, plus de la moitié des Français comme des Européens mettent la priorité à la réduction des émissions de CO2. Mais 20 % de nos concitoyens veulent avant tout une réduction du prix des billets d’avion. C’est plus que dans tout autre pays interrogé, le triple de l’Allemagne ou du Royaume-Uni. Ce qui laisse entrevoir une propension encore forte à voyager par les airs.

Sondage « Baisse » d’impôts pour les classes moyennes : 80 % n’y croient pas

Sondage « Baisse » d’impôts pour les classes moyennes : 80 % n’y croient pas

Selon dernier sondage Odoxa-Backbone Consulting pour Le Figaro, Les Français ne croient pas aux promesses de Macron concernant la baisse d’impôts pour les classes moyennes et estiment au contraire Emmanuel Macron favoriserait à l’inverse les plus «favorisés» pour 80% des sondés. Ces ménages qui se sentent lésés ne croient pas plus au changement de braquet du chef de l’État : 62% d’entre eux ne pensent pas qu’ils bénéficieront des baisses d’impôts promises par le gouvernement.

L ‘écrasante majorité des Français (71%) disent appartenir à ces catégories de revenus, alors qu’elles ne concernent que 50% de la population. Un positionnement «erroné», selon l’institut, mais qui témoigne néanmoins d’une perte de «pouvoir d’achat», ressentie par toutes les tranches confondues (95% des sondés). En cause, une inflation galopante, à près de 6% sur un an, avec près de 15% de hausse pour les seuls prix de l’alimentation.

La quasi-totalité des plus «aisés» (92%) se positionnent ainsi presque toujours parmi «les classes moyennes». Ils ne sont d’ailleurs que 6% à se définir «aisés», alors que ceux-ci représentent 20% de la population. Cette tendance à la «sous-estimation» se confirme notamment au sein des vraies «classes moyennes», puisque 77% des ménages concernés se positionnent dans la tranche inférieure : 60% se voient comme des «classes moyennes inférieures», et même pour certains (17%) parmi les «foyers aux revenus modestes». Un sentiment de déclassement économique auquel les promesses ne semblent donc rien changer.

Sortie de crise covid: 59 % ne croient pas le gouvernement

Sortie de crise covid: 59 % ne croient pas le gouvernement

59 % ne croient pas le gouvernement capable de réussir la sortie de crise selon un sondage au Odoxa. M lgré leur hâte d’être «déconfinés», deux tiers des citoyens ne croient pas Jean Castex lorsqu’il assure que «la France est en train de sortir durablement de la crise sanitaire».

 

Plus globalement, ils disent, à 59 %, ne pas faire confiance au gouvernement pour «réussir ce déconfinement». Une défiance qui n’est pas nouvelle. Il y a un an, les Français étaient exactement aussi nombreux à ne pas faire confiance au gouvernement pour réussir le premier déconfinement.

Les deux tiers des Français disent se sentir «heureux que ce déconfinement arrive pour pouvoir enfin profiter à nouveau de la vie.  A contrario, moins d’un Français sur trois (32 %) se montre plus pessimiste, disant avant tout se sentir «inquiet car ce déconfinement intervient alors que l’épidémie est encore très présente».

Sondage Turquie dans l’Union européenne : 56 % des Turcs pour mais 52 % n’y croient pas

Sondage Turquie dans l’Union européenne : 56 % des Turcs pour mais 52 %  n’y croient pas

Selon  une enquête d’opinion publique menée conjointement dans ce pays par le German Marshall Fund of United States, un think tank américain, et l’Union des chambres de commerce et des bourses de Turquie (TOBB). C’est ainsi que si 56 % des personnes interrogées (la proportion est de 66 % ches les jeunes) se montrent favorables à une adhésion et que 60,1 % (69 % pour les jeunes) voteraient « oui » dans le cadre de l’organisation d’un éventuel référendum, 40 % (34 % de jeunes) pensent que cela ne se fera jamais, 19 % estimant en tout cas que cela ne se produira pas au mieux avant cinq ans. Aux yeux de 52,1 % des sondés, l’Union européenne n’a en fait pas vraiment l’intention d’accueillir la Turquie dans ses rangs.

Sondage Séparatisme islamisme: 80 % approuvent le principe d’une loi …. mais n’y croient pas

Sondage Séparatisme islamisme: 80 % approuvent le principe d’une loi …. mais n’y croient  pas

Selon un sondage Odoxa-Dentsu Consulting pour Le Figaro, 8 Français sur 10 approuvent le principe d’une loi contre le séparatisme dans le détail, 79 % des Français estiment qu’interdire le recrutement d’imams «détachés» venant de pays étrangers est efficace pour lutter contre le «séparatisme», et 77 % d’entre eux jugent pertinent de créer un contrat d’engagement sur la laïcité pour les associations bénéficiant de financements publics.une  majorité de Français est favorable à un «projet de loi renforçant la laïcité et les principes républicains». 62 % d’entre eux considèrent le terme «séparatisme» clivant, et 59 % le jugent moins compréhensible.

Pour la moitié des Français, ce texte vise avant tout à capter – ou conserver – une partie de l’électorat de droite

Enfin l’opinion publique doute de la sincérité des motivations du gouvernement. Pour la moitié des Français, ce texte vise avant tout à capter – ou conserver – une partie de l’électorat de droite.

Sondage Islamisme: 80 % approuvent le principe d’une loi contre le séparatisme…. mais n’y croient pas

Sondage Islamisme: 80 % approuvent le principe d’une loi contre le séparatisme…. mais n’y croient  pas

Selon un sondage Odoxa-Dentsu Consulting pour Le Figaro, 8 Français sur 10 approuvent le principe d’une loi contre le séparatisme dans le détail, 79 % des Français estiment qu’interdire le recrutement d’imams «détachés» venant de pays étrangers est efficace pour lutter contre le «séparatisme», et 77 % d’entre eux jugent pertinent de créer un contrat d’engagement sur la laïcité pour les associations bénéficiant de financements publics.une  majorité de Français est favorable à un «projet de loi renforçant la laïcité et les principes républicains». 62 % d’entre eux considèrent le terme «séparatisme» clivant, et 59 % le jugent moins compréhensible.

Pour la moitié des Français, ce texte vise avant tout à capter – ou conserver – une partie de l’électorat de droite

Enfin l’opinion publique doute de la sincérité des motivations du gouvernement. Pour la moitié des Français, ce texte vise avant tout à capter – ou conserver – une partie de l’électorat de droite.

Vraie réforme des Retraites : deux Français sur trois n’y croient pas (sondage)

Vraie réforme des Retraites : deux Français sur trois n’y croient pas (sondage)

Deux Français sur trois estiment que le gouvernement ne parviendra pas à mener une réforme d’envergure, selon un sondage Odoxa-Dentsu consulting pour « Le Figaro » et franceinfo publié jeudi 5 septembre 2019.

Les Français ne semblent donc pas faire confiance au gouvernement pour réformer le système des retraites, et ce bien qu’ils décrient le système actuel. Ce dernier ne permet pas de bénéficier d’une retraite correcte selon une grande majorité des personnes sondées (72%). Ce système est jugé injuste (79%), pas viable (79%), trop complexe (68%), mal adapté aux parcours professionnels actuels (74%). Dans le détail, 83% des sondés qui jugent le système injuste perçoivent moins de 1 500 euros par mois. Du côté des retraités en revanche, qui sont les concernés du moment, 41% des sondés expriment un jugement positif sur le système.

Le gouvernement va lancer dès le mois de septembre une consultation citoyenne sur le rapport Delevoye, sur le modèle du grand débat, avant de proposer le projet de loi. Pour 61% des sondés, cette grande concertation est surtout une stratégie politique pour désamorcer les contestations.

 

 

Ce sondage Odoxa-dentsu consulting pour Le Figaro et franceinfo a été réalisé les 4 et 5 septembre 2019 sur internet, auprès d’un échantillon de 1 005 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas.

 

Politique gouvernementale 80% des Français ne croient pas à au changement

Politique gouvernementale  80% des Français ne croient pas à au changement

Pour résumer les Français considèrent toujours 70 à 80 % que la politique du gouvernement est à la fois injuste et inefficace. Selon un nouveau sondage Elabe, publié ce vendredi en fin d’après-midi, les Français ne croient pas à une évolution de l’intrigue et des dialogues. D’après l’enquête, ils sont 80% à ne croire ni à « un changement de style » ni « à un changement de méthode » après le discours de politique générale et les récentes interventions d’Emmanuel Macron. 19% des Français, eux, pensent que ce changement va advenir.  Les Français estiment à 78%, en progression de cinq points, que cette politique est injuste. Son inefficacité supposée saute également aux yeux de la plupart de nos compatriotes. En effet, la politique menée est décrite comme inefficace pour réduire les inégalités entre les territoires (79%), pour réduire le déficit public (78%) et pour améliorer le pouvoir d’achat (77%). 71% des français déclarent qu’elle ne pourra pas améliorer la situation du pays et 66% l’estiment inefficace pour relancer l’économie.  Elabe a aussi sondé les Français au regard de l’annonce-phare d’Edouard Philippe à l’Assemblée nationale mercredi: la confirmation de l’ouverture prochaine du débat autour de l’extension éventuelle de la procréation médicalement assistée aux couples de femmes et aux femmes célibataires. 53% des personnes interrogées se disent favorables à cette mesure, dont 23% « très favorables ». 30% des Français lui sont à l’inverse opposés dont 15% « très opposés ». 17% de la population refusent de s’aligner entre ces deux pôles. L’un des volets du sondage cherchait enfin à évaluer l’image d’Edouard Philippe auprès des Français. Elle semble écornée par rapport à celle dont il jouissait en janvier 2018, à l’époque de la précédente mesure. Il est jugé moins dynamique qu’auparavant (46%, 13 points de moins) moins proche des Français (26%, en chute de neuf points), et est jugé autoritaire par 56% des Français, soit deux points de plus.

Sondage Europe : 29% y croient encore

Sondage Europe : 29% y croient encore

Un sondage qui devrait inciter à une sérieuse remise en cause de l’Europe, ses champs d’activité et ses liens avec les Etats. Une Europe  qui apparaît relativement technocratique et inefficace sur des sujets fondamentaux comme sur l’emploi, l’immigration, l’environnement ou la fiscalité. En outre, l’élément le plus déterminant pour ce scrutin européen sera la question du pouvoir d’achat. Ce n’est sans doute pas globalement une condamnation de l’Europe mais plutôt une prise de distance avec une institution qui semble lointaine par rapport aux préoccupations concrètes nationales, lointaines politiquement et géographiquement. Il est donc probable qu’on assistera lors des prochaines élections présidentielles à une sorte de renationalisation de l’Europe .L’Europe ne fait donc plus rêver les Français, selon un sondage Odoxa-Dentsu consulting pour franceinfo et Le Figaro publié jeudi 4 avril. Ils sont en effet 29% à estimer que la construction européenne constitue « une source d’espoir ». Ils étaient 61% à penser cela en 2003 lors d’une enquête similaire. Pour autant, l’Europe ne constitue pas non plus une source de crainte, avec 31% des personnes interrogées qui pensent cela (- 4 points par rapport à l’enquête publiée en juin 2016).

Il ressort donc de ce sondage que l’Europe laisse désormais les Français relativement indifférents. Une majorité relative des personnes interrogées, 40%, trouve que l’Europe ne constitue ni une source d’espoir, ni une source de crainte. (+ 7 points par rapport à 2016).

L’Europe est par ailleurs jugée inefficace dans tous les domaines testés dans cette enquête d’opinion. Inefficace dans la lutte contre le terrorisme pour 56% des personnes interrogées, pour l’environnement (71%), pour l’emploi (80%), pour l’immigration (82%) et pour la fiscalité (82%).

D’ailleurs, la construction européenne ne comptera que peu dans le vote du 26 mai prochain. 19% seulement des personnes interrogées en tiendront compte au moment de glisser un bulletin dans l’urne. Sans surprise, c’est le pouvoir d’achat qui est mis en avant avec 36% des sondés qui estiment que ce critère comptera le plus dans leur vote pour les élections européennes. Suivent l’immigration (27%) et la sécurité et la lutte contre le terrorisme (24%). (Les sondés pouvaient donner deux réponses).

Suites grand débat : 80% des Français n’y croient pas.

Suites grand débat : – 80% des français n’y croient pas.

 

 

D’après un sondage de l’institut Elabe, 79% des Français pensent que le grand débat n’apportera strictement rien à la crise actuelle et 70 % pensent d’ailleurs que le gouvernement ne tiendra pas compte des propositions des Français. Pourtant les citoyens souhaitent qu’Emmanuel Macron et son gouvernement agissent en priorité sur le pouvoir d’achat (pour 60% des personnes interrogées), la baisse des dépenses publiques (37%), la réduction des inégalités sociales (36%) et la baisse des impôts (33%). Ils sont 50% à attendre des réponses à la crise sociale et 3 sondés sur 10 espèrent des réformes profondes pour le pays. Mais malgré ces attentes, une majorité des personnes interrogées restent méfiantes: elles sont 68% à douter que le gouvernement prenne en considération les points de vue exprimés lors des échanges hebdomadaires tenus depuis le 15 janvier sur l’ensemble du territoire. Ce climat de défiance est principalement entretenu par les 50-64 ans (36%), les ouvriers (40%) et les habitants des communes rurales (35%) qui estiment que la consultation citoyenne est un échec pour Emmanuel Macron et son gouvernement. Ces catégories sont entre 67% et 70% à estimer que le grand débat ne permettra pas d’améliorer la participation des citoyens aux décisions. 

Sondage mené sur un échantillon de 1002 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. La représentativité de l’échantillon a été assurée selon la méthode des quotas appliquée aux variables suivantes: sexe, âge et profession de l’interviewé après stratification par région et catégorie d’agglomération. Interrogation par Internet les 2 et 3 avril 2019. 

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