Archive pour le Tag 'Croatie'

Des rafales pour la Croatie

Des rafales pour la Croatie

 

Indiscutablement , le Rafale est le meilleur avion de chasse du monde. Il peine cependant à s’imposer du fait en particulier des oppositions des États-Unis surtout pour les pays qui font parti de l’alliance atlantique.

Le Rafale a cependant gagné l’appel d’offres international, initié par Zagreb, face à des F-16 Viper américains neufs, des F-16 israéliens d’occasion et des Gripen suédois neufs. « L’offre française était la mieux-disante pour un avion de combat considéré comme l’un des meilleurs du monde (…). Pour le meilleur prix, la Croatie obtient l’avion le mieux coté et le mieux équipé », a souligné le premier ministre croate, Andrej Plenkovic. Il estime que le Rafale sera « la base de notre sécurité ». Ce nouveau succès « est également la traduction de la crédibilité opérationnelle de l’armée de l’air et de l’espace », se félicite Florence Parly.

Après la Grèce, qui a commandé 18 Rafale l’automne dernier, la Croatie devient le second pays européen, membre de l’Otan (depuis 2009), à entrer dans le club Rafale aux côtés de l’Égypte, du Qatar et de l’Inde.

Migrants : La Croatie réexpédie les migrants vers la Slovénie

Migrants : La Croatie réexpédie les migrants vers la Slovénie

Après la décision de la Hongrie, la Croatie a commencé à rediriger les demandeurs d’asile vers l’ouest en direction de la Slovénie, mais cela prend du temps, comme en témoigne la longue file d’autocars alignés durant la nuit à la frontière entre la Serbie et la Croatie, où la police contrôle les entrées.  Les autorités slovènes ont décidé de suspendre le trafic ferroviaire avec la Croatie afin de limiter les arrivées. Elles discutent également avec Zagreb pour limiter l’entrée des migrants à deux postes-frontières, Gruskovje et Petisovci, dans l’est de la Slovénie, non loin de la frontière hongroise. « Pour le moment, il n’y a pas de problème et il n’est pas nécessaire de recourir à l’armée mais il est bien d’avoir envisagé cette option si cela se révèle nécessaire », a déclaré un responsable du ministère slovène de l’Intérieur. Le ministre croate de l’Intérieur, Ranko Ostojic, a mis en garde contre le risque d’un « effet domino » provoqué par la fermeture des frontières hongroises. Quant au gouvernement hongrois, après avoir constaté, dit-il, que des migrants « apparaissaient » en territoire slovène, il a décidé de rétablir temporairement des contrôles à sa frontière avec la Slovénie. Contrairement à la Croatie, la Hongrie et la Slovénie appartiennent à l’espace Schengen.  Depuis que le nombre de migrants et réfugiés arrivant dans l’UE par les Balkans s’est brusquement accru durant l’été, la Hongrie a clôturé sa frontière avec la Serbie, avant de faire de même avec la Croatie.  La Slovénie, qui compte deux millions d’habitants, dit pouvoir faire face à l’arrivée de quelque 8.000 migrants par jour. Ljubljana, de même que Zagreb, déclarent ne pas s’opposer au passage des migrants tant que l’Allemagne et l’Autriche continueront de les accueillir.

Migrants – Hongrie –Croatie : frontière fermée

Migrants - Hongrie –Croatie : frontière fermée

La Hongrie a fermé dans la nuit de vendredi à samedi, comme annoncé, ses principaux points de passage des migrants à sa frontière croate, dont de larges sections sont désormais bloquées par une imposante clôture de barbelés.  Trois points de passage sont concernés sur toute la longueur de la frontière entre les deux pays.   Au poste de Zakany, un passage officieux en pleine campagne, les dernières ouvertures dans la clôture de barbelés ont été hermétiquement obstruées un peu avant 01H00 (23H00 GMT) après le passage d’un dernier groupe de migrants, selon les journalistes de l’AFP. Les deux postes-frontières officiels de Beremend et Letenji restent ouverts pour les usagers présentant des papiers en règle mais empêchent les passages de migrants non munis de visas.  »La frontière verte a été fermée, vous pouvez toujours franchir la frontière légalement et demander l’asile », a déclaré Zoltan Kovacs, un porte-parole du gouvernement hongrois joint par l’AFP.  Budapest avait annoncé dans l’après-midi son intention de fermer dans la nuit sa clôture anti-migrants tout juste achevée, comme le pays l’avait fait il y a un mois à sa frontière avec la Serbie. Quelque 1.500 hommes, femmes, enfants, et une personne âgée portée en fauteuil roulant par des proches, ont franchi en silence à Zakany, les pieds dans la boue, le passage vers la Hongrie, pays qu’ils ne feront que traverser pour rallier l’Europe occidentale.  Tous étaient arrivés, moins d’une heure avant la fermeture de la frontière, dans une gare voisine, étape de leur long périple depuis la Turquie à travers les Balkans, et la plupart disaient ignorer qu’ils faisaient partie du dernier groupe à franchir cet accès.  Derrière eux, les forces de l’ordre ont déroulé les ultimes pans de clôture barbelée complétant cette section de la clôture. En pratique, la clôture à la frontière croato-hongroise concerne principalement deux sections de 38 et 78 km. La plus grande partie du tracé frontalier, long de quelque 350 km, est en effet matérialisée par la Drave, une rivière dont de larges parties sont jugées infranchissables. La Croatie est le pays par lequel transite le flux de réfugiés depuis la fermeture de la frontière serbo-hongroise par Budapest le 15 septembre. Zagreb a réagi à l’annonce de la fermeture de la frontière avec la Hongrie en annonçant qu’il allait rediriger les migrants arrivant sur son territoire vers la Slovénie, en coordination avec les autorités de ce petit pays de l’UE. Deux ou trois points de passage spécialement dédiés entre Croatie et Slovénie devraient voir arriver leur premiers migrants samedi, acheminés en transport spécial puisque les trains réguliers entre les deux pays ont été suspendus pour canaliser le flux des migrants et réfugiés.

Des milliers de migrants : maintenant coincés en Croatie

Des milliers de migrants : maintenant coincés en Croatie

La politique du chacun pour soi continue en union européenne avec le rétablissement des contrôles aux frontières. Du coup les migrants se retrouvent coincés dans les pays périphériques qui veulent laisser passer ses flux ingérables. Pour l’instant la stratégie consiste pour chaque pays a repousser  les réfugiés vers le pays voisin. En même temps les principes relatifs à la circulation des personnes prévues dans l’accord de Schengen volent en éclats. On se dirige en effet doucement mais sûrement vers le rétablissement des frontières pour contrôler les migrations. On voit mal comment il pourrait en être autrement compte tenu des positions très divergentes des membres de l’union européenne. Les autorités croates sont débordées. Des milliers de migrants ont continué d’affluer en Croatie, qui en recensait jeudi 6.200 sur son territoire et s’attend à un afflux de plus de 20.000 personnes dans les deux semaines à venir. La présidente croate Kolinda Grabar-Kitarovic a d’ores et déjà prévenu que « les choses sont dans une certaine mesure en train d’échapper à tout contrôle ». Le Premier ministre croate, Zoran Milanovic, a quant à lui réaffirmé que Zagreb voulait laisser passer les migrants vers d’autres pays. « Nous ne voulons ni ne pouvons les garder en Croatie. Personne ne peut nous y contraindre. Nos ressources sont limitées », a-t-il déclaré. La Croatie est devenue la nouvelle route vers l’Europe occidentale après le verrouillage de la frontière serbo-hongroise, théâtre la veille d’affrontements entre migrants excédés et forces de l’ordre. Dans la matinée, la petite gare de Tovarnik, ville croate proche de la frontière serbe, était envahie par les migrants qui cherchaient à monter dans des trains pour rejoindre Zagreb et poursuivre leur voyage. « Il y a entre 4.000 et 5.000 personnes ici. Les trains arrivent mais ils ne peuvent pas prendre tous ces gens », a assuré un porte-parole du Haut Commissariat aux réfugiés (HCR) Jan Kapic.

Mondial foot- Brésil Croatie : premier scandale de l’arbitrage

Mondial foot- Brésil Croatie : premier scandale de l’arbitrage

 

Arbitrage toujours auusi nul et partial au Mondial et qui permet au Brésil de s’imposer 3-1 face à la Croatie qui a réalisé un très bon match. Deux erreurs magistrales : un pénalty inexistant accordé au Brésil et le refus d’un but à la Croatie parfaitement valable. Des arbitres toujours auusi incompétents qui n’ont jamais joué au foot, mal formés et partiaux. Le Japonais Yuichi Nishimura, arbitre du match, a notamment sifflé un penalty plus que douteux suite à une faute peu évidente de Dejan Lovren sur Fred (71e) et ignoré une faute de Ramires sur le troisième but d’Oscar. À l’issue de la rencontre, le sélectionneur croate Niko Kovac était particulièrement remonté. « Si c’est comme ça qu’on commence la Coupe du Monde, nous ferions mieux de leur donner et de rentrer à la maison, a-t-il lâché. Nous parlons de respect. Ce n’est pas du respect, la Croatie n’en a pas eu. Si ça c’est un penalty, nous n’avons plus besoin de jouer au football. Jouons au basket à la place. C’est une honte !» Sur l’action litigieuse, l’attaquant brésilien Fred se laisse clairement tomber dans la surface. L’arbitre se laisse abuser et désigne le point de penalty. Dejan Lovren, le défenseur croate, est furieux. L’ancien Lyonnais reçoit un carton jaune. Ce pénalty «imaginaire» donnera l’avantage aux Brésiliens en seconde période. «Il n’y avait pas faute», déplore Jorge Reis, un supporteur Brésilien de 51 ans, maillot et perruque aux couleurs auriverde, qui a suivi le match dans la «fan fest» de Sao Paulo, où étaient réunies 30 à 40.000 personnes. Dejan Lovren, est furieux après le penalty imaginaire et reçoit un carton jaune .

Référendum mariage homo : la Croatie dit non

Référendum mariage homo : la Croatie dit non

 

Selon les résultats officiels portant sur les bulletins dépouillés dans près de 99% des bureaux de vote, 65,76% des Croates ont répondu « oui » à la question de savoir si le mariage devait être inscrit dans la Constitution comme « l’union entre un homme et une femme ».  A 15H00 GMT, soit trois heures avant la fermeture des bureaux de vote, le taux de participation (26,75%) était bien inférieur à celui enregistré à la même heure (33,79%) au référendum sur l’adhésion de la Croatie à l’Union européenne en 2012, et qui à la fin du vote avait été de seulement 43%.  Dans cette ex-république yougoslave de 4,2 millions d’habitants, tout récemment devenue membre de l’UE, l’Église catholique particulièrement influente a donné son plein soutien à l’organisation de cette consultation.   »Le mariage est le fondement de la famille et de la société. Les Croates ont le droit de dire si pour eux le mariage est l’union entre un homme et une femme », a déclaré dans la journée Zeljka Markic, présidente du collectif conservateur « Au nom de la famille » qui a été à l’origine de cette consultation.  Korana Horvat, une étudiante de 24 ans, a voté « non ».   »Aucune discrimination ne peut être bénéfique, elle ouvre plutôt la voie à de nouvelles discriminations », a-t-elle dit.  Le gouvernement de centre gauche dirigé par Zoran Milanovic avait appelé ces derniers jours les citoyens à voter contre un tel amendement.   »C’est un référendum triste et insensé (…) j’espère que c’est la dernière fois que nous aurons à organiser un tel scrutin de cette manière et sur ces questions », a déclaré M. Milanovic à la presse après avoir voté.   »La Constitution devrait préciser quelles sont les questions qui peuvent être soumises à un référendum et celles qui ne devraient pas en faire l’objet, qui représentent l’intimité de la famille », a-t-il ajouté.  Mais, pour le chef du principal parti d’opposition (HDZ, droite nationaliste), Tomislav Karamarko, voter « oui » signifie « protéger les valeurs traditionnelles ».   »Il ne s’agit pas de menacer les droits des autres, mais de maintenir notre droit d’être ce que nous sommes. Malheureusement, nous devons, pour ce faire, introduire dans la Constitution quelque chose qui est naturel », a-t-il fait valoir.  Pour sa part, le chef de l’Etat, Ivo Josipovic, a noté que « la question posée était d’ordre éthique et ne changerait pas grand-chose ».   »Le message et les résultats (du scrutin) doivent néanmoins être respectés », a-t-il dit.   »Je m’aperçois que l’on utilise des méthodes démocratiques pour menacer des valeurs fondamentales de la démocratie. C’est à la majorité qu’il revient de lutter pour les droits des minorités », a estimé Eugen Pusic qui milite pour la défense des droits de l’Homme.   »Des gens qui ne peuvent rien perdre et vivent déjà mariés, veulent dicter aux autres comment ils vont vivre », s’est indigné pour sa part l’acteur Vili Matula, qui a voté « non ».  La Croatie, qui a adhéré à l’Union européenne en juillet, a parcouru un long chemin depuis sa première Gay Pride, en 2002, lorsque les participants à la marche avaient été agressés par des extrémistes.  Depuis, l’attitude envers les droits des homosexuels s’est graduellement améliorée.  En 2003, la Croatie a accordé aux couples de même sexe les mêmes droits qu’aux hétérosexuels vivant en union libre, dont une sorte de reconnaissance de la communauté de biens.




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