Électricité: des fournisseurs « alternatifs » qui critiquent la concurrence déloyale d’EDF !!!
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Électricité: des fournisseurs « alternatifs » qui critiquent la concurrence déloyale d’EDF !!!
Ensauvagement et violences: Les Français critiquent gouvernements, élites et médias
Alors que le gouvernement médias et élites ont tous adopté une attitude particulièrement hypocrite vis-à-vis du meurtre de Thomas à Crépol considérant qu’il s’agissait d’un fait divers ne pouvant justifier d’une généralisation sociétale, les Français pensent exactement le contraire.
Selon la dernière enquête d’Elabe, une majorité de Français estiment que le drame survenu Crépol « n’est ni un fait divers ni une simple rixe » (78%), il représente « la faillite générale » (75%) et « l’ensauvagement » (67%) d’une société qui « risque de basculer ».
Il est clair qu’il y a un divorce actuellement entre la société française et les élites qui perpétuent le déni de réalité concernant l’insécurité en particulier lié à la délinquance de certaines catégories marginales sur fond de radicalisation et de trafic de drogue.
Il faut dire que ces élites médiatiques politiques et même scientifiques habitent rarement les mêmes zones géographiques que ceux qui subissent la délinquance. L’exemple plus significatif étant sans doute celui de Marseille ville pratiquement coupée en deux avec ses quartiers hors contrôle éloignés et des zones embourgeoisées compris dans le centre.
De ce point de vue, Marseille offre les pires contradictions. Sans doute la plus belle ville de France mais en même temps où la criminalité fait partie du quotidien.
L a sauvagerie du meurtre de Thomas à Crépol marque sans doute une pierre dans l’évolution de la société française vis-à-vis des violences en général. Il faudra que la justice en particulier mais aussi le gouvernement en tiennent compte sinon un jour les citoyens feront leur justice et leur police eux-mêmes comme aux États-Unis.
Politique: Meurtre de Thomas à Crépol: Les Français critiquent gouvernements, élites et médias
Alors que le gouvernement médias et élites ont tous adopté une attitude particulièrement hypocrite vis-à-vis du meurtre de Thomas à Crépol considérant qu’il s’agissait d’un fait divers ne pouvant justifier d’une généralisation sociétale, les Français pensent exactement le contraire.
Selon la dernière enquête d’Elabe, une majorité de Français estiment que le drame survenu Crépol « n’est ni un fait divers ni une simple rixe » (78%), il représente « la faillite générale » (75%) et « l’ensauvagement » (67%) d’une société qui « risque de basculer ».
Il est clair qu’il y a un divorce actuellement entre la société française et les élites qui perpétuent le déni de réalité concernant l’insécurité en particulier lié à la délinquance de certaines catégories marginales sur fond de radicalisation et de trafic de drogue.
Il faut dire que ces élites médiatiques politiques et même scientifiques habitent rarement les mêmes zones géographiques que ceux qui subissent la délinquance. L’exemple plus significatif étant sans doute celui de Marseille ville pratiquement coupée en deux avec ses quartiers hors contrôle éloignés et des zones embourgeoisées compris dans le centre.
De ce point de vue, Marseille offre les pires contradictions. Sans doute la plus belle ville de France mais en même temps où la criminalité fait partie du quotidien.
L a sauvagerie du meurtre de Thomas à Crépol marque sans doute une pierre dans l’évolution de la société française vis-à-vis des violences en général. Il faudra que la justice en particulier mais aussi le gouvernement en tiennent compte sinon un jour les citoyens feront leur justice et leur police eux-mêmes comme aux États-Unis.
Société-Meurtre de Thomas à Crépol: Les Français critiquent gouvernements et médias
Alors que le gouvernement médias et élites ont tous adopté une attitude particulièrement hypocrite vis-à-vis du meurtre de Thomas à Crépol considérant qu’il s’agissait d’un fait divers ne pouvant justifier d’une généralisation sociétale, les Français pensent exactement le contraire.
Selon la dernière enquête d’Elabe, une majorité de Français estiment que le drame survenu Crépol « n’est ni un fait divers ni une simple rixe » (78%), il représente « la faillite générale » (75%) et « l’ensauvagement » (67%) d’une société qui « risque de basculer ».
Il est clair qu’il y a un divorce actuellement entre la société française et les élites qui perpétuent le déni de réalité concernant l’insécurité en particulier lié à la délinquance de certaines catégories marginales sur fond de radicalisation et de trafic de drogue.
Il faut dire que ces élites médiatiques politiques et même scientifiques habitent rarement les mêmes zones géographiques que ceux qui subissent la délinquance. L’exemple plus significatif étant sans doute celui de Marseille ville pratiquement coupée en deux avec ses quartiers hors contrôle éloignés et des zones embourgeoisées compris dans le centre.
De ce point de vue, Marseille offre les pires contradictions. Sans doute la plus belle ville de France mais en même temps où la criminalité fait partie du quotidien.
L a sauvagerie du meurtre de Thomas à Crépol marque sans doute une pierre dans l’évolution de la société française vis-à-vis des violences en général. Il faudra que la justice en particulier mais aussi le gouvernement en tiennent compte sinon un jour les citoyens feront leur justice et leur police eux-mêmes comme aux États-Unis.
Sondage-Inflation et pouvoir d’achat: 82 % des Français critiquent le gouvernement
selon un sondage Ifop pour le JDD 82 % des Français considèrent que le gouvernement est insuffisamment efficace vis-à-vis de l’inflation. L’inflation est nettement la priorité.
Les sondés estiment ainsi que l’inflation, au cours des douze derniers mois, s’est élevée à 12, 3 %, quand elle serait officiellement réalité de 5,6 % .
Cette différence provient en vérité d’une sous-estimation par l’INSEE de l’augmentation moyenne des prix et de la déformation de la structure de la consommation des ménages. Pour parler simplement, les ménages pauvres consacrent une part proportionnellement de plus en plus élevées à l’alimentation, et aux abonnements contraints contrairement aux ménages plus aisés.La question du pouvoir d’achat des ménages et central pour la croissance de la France. En effet la consommation des ménages représente plus de 50 % du PIB. Mécaniquement la baisse de pouvoir d’achat va tirer la France vers la récession en 2023.
« Nous sommes plutôt les bons élèves de l’Europe , mais le phénomène inquiète tellement qu’on a tendance à l’exagérer, voire à le fantasmer, indique Dabi, le responsable de l’IFOP, institut proche du pouvoiret du patronat, qui ménage ainsi le gouvernement. au carburant
L’estimation de l’inflation est indexée sur le niveau de vie. » En résumé, plus le niveau de vie est bas, plus l’inflation est perçue comme élevée. Les catégories les plus aisées (plus de 2 500 euros mensuels par personne au foyer) estiment l’inflation à 8,5 % et les catégories pauvres (moins de 900 euros) à 22,5 %. Pour 94 % des Français, l’inflation va se poursuivre dans les douze prochains mois.
Ce qui va entraîner des modifications dans leurs modes de consommation : parmi ceux qui vont modifier leur ¬comportement, 80 % ont prévu de moins dépenser. « C’est un phénomène de masse qui emporte tout, qui touche toutes les catégories sociales », souligne Dabi.
SONDAGE Inflation. 82 % des Français critiquent le gouvernement
selon un sondage Ifop pour le JDD 82 % des Français considèrent que le gouvernement est insuffisamment efficace vis-à-vis de l’inflation. L’inflation est nettement la priorité.
Les sondés estiment ainsi que l’inflation, au cours des douze derniers mois, s’est élevée à 12, 3 %, quand elle est en réalité de 5,6 % .
Cette différence provient en vérité d’une sous-estimation par l’INSEE de l’augmentation moyenne des prix et de la déformation de la structure de la consommation des ménages. Pour parler simplement, les ménages pauvres consacrent une part proportionnellement de plus en plus élevées à l’alimentation, et aux abonnements contraints contrairement aux ménages plus aisés.
« Nous sommes plutôt les bons élèves de l’Europe , mais le phénomène inquiète tellement qu’on a tendance à l’exagérer, voire à le fantasmer, indique Dabi, le responsable de l’IFOP, institut proche du pouvoiret du patronat, qui ménage ainsi le gouvernement. au carburant
L’estimation de l’inflation est indexée sur le niveau de vie. » En résumé, plus le niveau de vie est bas, plus l’inflation est perçue comme élevée. Les catégories les plus aisées (plus de 2 500 euros mensuels par personne au foyer) estiment l’inflation à 8,5 % et les catégories pauvres (moins de 900 euros) à 22,5 %. Pour 94 % des Français, l’inflation va se poursuivre dans les douze prochains mois.
Ce qui va entraîner des modifications dans leurs modes de consommation : parmi ceux qui vont modifier leur ¬comportement, 80 % ont prévu de moins dépenser. « C’est un phénomène de masse qui emporte tout, qui touche toutes les catégories sociales », souligne Dabi.
Selon le sondage Odoxa-Backbone consulting pour Franceinfo et Le Figaro près des deux tiers des Français jugent très sévèrement la gestion sanitaire du gouvernement. 80 % estiment même que le gouvernement ne sait pas où il va. 7 Français sur 10 jugent que les maires (73 %) et les entreprises (68 %) ont été à la hauteur de la situation. Les Français sont plus partagés au sujet de leurs concitoyens : 48 % jugent qu’ils se sont bien comportés et presque autant (51 %) le contraire.
Mais ce sont surtout les responsables politiques qui se retrouvent au cœur des critiques : pour près des deux tiers des Français, ni le président Emmanuel Macron (63 %) ni le premier ministre Jean Castex (66 %), ni le ministre de la Santé Olivier Véran (65 %) n’ont été à la hauteur de la situation. Les sondés sont encore plus sévères avec les forces d’opposition, critiquées par 84 % d’entre eux.
Quelque 77 % des sondés estiment que le gouvernement ne « rassure pas » car, selon eux, il n’est « pas clair » (80 %) et « ne sait pas où il va » (83 %). Les trois quarts des Français pensent que l’exécutif « n’a pas pris les bonnes décisions au bon moment » (73 %) et sont persuadés qu’il ne « leur a pas dit la vérité » (76 %). Si les Français sont partagés sur la gestion des masques (52 % de satisfaits) ou de la crise économique (49 % de satisfaits), ils sont majoritairement critiques sur la stratégie vaccinale menée depuis janvier (75 % d’insatisfaits).
Pause
En revanche, pour ce qui est de la liberté d’expression, un Français sur deux (49%) se dit inquiet des conséquences que pourrait avoir cet article 24.
Enquête réalisée en ligne du 24 au 26 novembre 2020, sur échantillon de 970 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus selon la méthode des quotas et redressement appliqués aux variables suivantes (sexe, âge, catégorie socioprofessionnelle et région de l’interviewé(e)).
En revanche, pour ce qui est de la liberté d’expression, un Français sur deux (49%) se dit inquiet des conséquences que pourrait avoir cet article 24.
Enquête réalisée en ligne du 24 au 26 novembre 2020, sur échantillon de 970 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus selon la méthode des quotas et redressement appliqués aux variables suivantes (sexe, âge, catégorie socioprofessionnelle et région de l’interviewé(e)).
Selon le rapport du FMI, l’économie américaine devrait se contracter de 6,6 % cette année, avant de rebondir de 3,9 % l’an prochain. A l’horizon 2025, le PIB devrait encore être inférieur de 4 à 5 % par rapport au niveau auquel il était attendu avant la pandémie, estime l’organisation internationale. Une vision trop pessimiste estime le gouvernement deTrump.
Pourtant la prévision du FMI n’est pas très différente de celle tracée par l’Office budgétaire du Congrès (CBO). Selon le dernier rapport de l’organe bipartisan du Parlement américain, le PIB chuterait de 5,8 % cette année et rebondirait de 4 % l’an prochain.
Le FMI, qui salue la vitesse de réaction et l’ampleur des premiers plans de sauvetage adoptés par le Congrès et la Maison-Blanche, pointe aussi les risques pour les finances publiques : le déficit budgétaire de l’Etat fédéral, autour de 3 % l’an dernier, devrait bondir à 18 % cette année, tandis que la dette publique devrait toucher les 100 % du PIB. Pour réduire ces déficits, le FMI suggère notamment de réfléchir aux outils fiscaux jusqu’ici peu utilisés par Washington, comme la TVA sur la consommation ou les taxes sur les carburants. Un sujet encore loin d’avoir été mis dans le débat à Washington.
Alors que la directrice générale du FMI Kristalina Georgieva avait exprimé ses inquiétudes sur la guerre commerciale menée par les Etats-Unis avec la Chine, le rapport sur les Etats-Unis rappelle aussi que « des efforts doivent être faits pour inverser les restrictions commerciales et les hausses tarifaires tout en travaillant avec les pays partenaires (par des canaux bilatéraux et l’OMC) pour s’attaquer aux politiques qui faussent les flux commerciaux et les décisions d’investissement. »
Les garants critiquent le grand débat national
La principale critique des garants concernent les modalités d’organisation. Pour les garants il s’agit de privilégier un vrai débat et non de se limiter à une simple consultation. Par ailleurs les garants critiquent le formalisme du questionnaire officiel qui privilégie les questions fermées par rapport aux questions ouvertes. Des questions fermées d’ailleurs trop orientées.
Les garants à savoir Jean-Paul Bailly, Nadia Bellaoui, Guy Canivet, Isabelle Falque-Pierrotin et Pascal Perrineau critiquent certaines conditions du débat national. Leur mission est en effet de veiller à l’indépendance du dispositif et à la régularité des méthodes. Les garants rappellent d’abord le calendrier :
. 20 février : dernier jour pour écrire dans les cahiers de doléance ;
Au passage, les garants ont tenu à rassurer contre la menace de noyautage du dispositif par des lobbies. « Sur le plan d’une manipulation éventuelle du débat, il n’y a pas d’alerte pour l’instant », observe Isabelle Falque-Pierrotin. , les garants ont tout de même glissé plusieurs avertissements, sur les biais du grand débat ou sur certaines fausses attentes.
Plus précisément, 210.000 personnes ont, pour le moment, rempli le questionnaire en ligne. Au total, le site a recueilli quelques 900.000 contributions sur les quatre thèmes proposés (démocratie et citoyenneté, fiscalité et dépenses publiques, organisation de l’Etat et des services publics, transition écologique).
Mais ces 900.000 contributions devront être analysées avec des pincettes, avertissent les garants. Pour donner son avis en ligne, un citoyen peut répondre à un questionnaire ouvert et/ou à une série de questions fermées. Ces dernières, plus rapides à remplir, ont connu le plus fort succès, avec 650.000 contributions. Mais elles ne sont pas neutres, selon les garants, qui pointent trois biais :
« Dès le début, nous avons dit que les questions fermées sont le plus mauvais moyen de susciter le débat, indique Pascal Perrineau. Par ailleurs, elles étaient excessivement orientées. » « Les questions doivent faciliter les réponses, et non les diriger », estime pour sa part l’ancien membre du Conseil constitutionnel Guy Canivet.
Pour rectifier le tir, les garants ont obtenu deux modifications :
Autre point de vigilance : les réunions dites d’initiative locale, qui essaiment depuis le lancement du Grand débat. A ce jour, plus de 6.000 réunions ont été référencées sur le site, dont 3.000 qui ont déjà eu lieu. Mais seulement 600 d’entre elles ont fait l’objet d’une restitution en ligne.
Pourquoi si peu? D’autres comptes-rendus sont envoyés par courrier. Mais aussi, indiquent les garants, certains organisateurs tardent à transmettre leur bilan. Autrement dit, il existe un risque que des rencontres ne laissent aucune trace à analyser. C’est pourquoi les garants comptent relancer les organisateurs et mobiliser, pour cela, les référents départementaux du grand débat.
Restituer, mais pas n’importe comment. Après une réunion locale, les organisateurs ont trois possibilités :
La plateforme recommande la première option. Erreur, selon les garants. Ils craignent que la richesse de ces débats de plusieurs heures soit diluée dans des formulaires-types. A l’inverse, ils préconisent de proposer par défaut aux organisateurs d’utiliser un format de restitution libre. « Le gouvernement n’a pas retenu cette modalité, mais nous persistons », regrette Nadia Bellaoui. Plus tard, elle précise : « Plus le format sera libre, simple et fluide, plus le résultat des réunions pourra être pris en compte ».